Les actions de Meta, la société mère de Facebook, ont chuté de plus de 25% jeudi,le 3 février 2022, anéantissant plus de 230 milliards de dollars de valeur marchande. Il y a quelques jours, la firme de Mark Zuckerberg jetait aussi l’éponge sur son projet de monnaie numérique, après des années de recherche et développement.
Meta perd près de 200 milliards de dollars en Bourse
A Wall Street, la réaction est forte, très forte. Dans les premières cotations, l’action de l’ex-Facebook plonge de plus de 25%. C’est plus de 230 milliards de dollars de capitalisation boursière qui s’envolent et la plus lourde sanction jamais accusée par le groupe de Mark Zuckerberg ou, plus largement par une société cotée à New York, souligne Bloomberg,
Le 03 février, à 15h15 GMT (16h15 en Suisse), le titre de Meta Platforms, maison mère de Facebook, dégringolait de 24% à 245 dollars, entraînant l’indice Nasdaq (-2,14%) dans sa chute.
La fortune du patron de Facebook, Mark Zuckerberg, estimée à 113 milliards de dollars à la clôture hier selon des documents de la SEC, subissait aussi une coupe sévère. Le co-fondateur du réseau social perdait virtuellement presque 28 milliards de dollars.
Les actions de Meta ont plongé à la suite d’un rapport sur les résultats trimestriels lamentable dans lequel la société a publié des prévisions de revenus plus faibles que prévu et a mis en garde contre plusieurs défis pour son activité cette année.
Les investisseurs ont abandonné les actions du géant de la technologie après avoir été alarmés à la fois par la baisse de la croissance des utilisateurs et la hausse des dépenses liées au projet de « métaverse » de la société. Facebook a dépensé plus de 10 milliards de dollars dans ce sens l’année dernière et s’attend à une “augmentation significative” des dépenses similaires pour 2022.
Le nombre d’utilisateurs, surtout, a déçu. Le revenu moyen par utilisateur (Arpu) est, certes, un peu plus élevé qu’attendu, à 11,57 dollars, contre 11,38 dollars visés par les analystes, mais ils sont moins nombreux : 1,93 milliard d’utilisateurs actifs quotidiens en décembre, contre 1,95 milliard anticipé, et 2,91 milliards d’actifs mensuels (2,95 milliards). C’est la première fois, dans l’histoire de l’entreprise, que le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens s’inscrit en baisse par rapport au précédent.
Meta cède aussi sur la cryptomonnaie et abandonne le Diem
Février est décidément un mois compliqué pour Facebook, rebaptisé Meta. Après le projet avorté en 2019 du Libra, cette cryptomonnaie qui réunissait d’autres acteurs d’Internet et des paiements (PayPal, Visa, Mastercard) autour du réseau social, c’est au tour de son successeur, le Diem, d’être enterré.
Le diem n’aura pas réussi à faire oublier le « libra », nom du projet initial, qui avait, déjà, créé un véritable séisme dans la sphère bancaire mondiale il y a un peu plus de deux ans. Cette monnaie virtuelle décentralisée devait être lancée mi-2020, mais elle avait immédiatement déclenché une fronde internationale à son égard.
Le projet de monnaie numérique de Meta (Facebook), ne verra, donc, pas le jour. Elle a annoncé son démantèlement, ainsi que la vente des droits de propriété intellectuelle et d’autres actifs à la banque Silvergate Capital pour 182 millions de dollars.
Selon Bloomberg, le coup d’épée fatal a été porté par la Réserve fédérale des États-Unis qui aurait exercé sa pression sur le partenaire banquier du diem, Silvergate.
Le recul de Meta s’expliquerait par la dissuasion des autorités centrales qui n’entendent pas perdre aussi facilement le contrôle de la monnaie. Le pari était aussi prometteur puisqu’il surfait – comme les autres GAFA – sur l’explosion des cryptomonnaies, au nombre de 12.000 selon CoinGecko, et qui se sont bâties une véritable notoriété en pleine pandémie de Covid et face aux incertitudes liées à l’inflation sur les Bourses traditionnelles.
Amazon, Google, Apple, PayPal, mais aussi Tesla du côté des Américains… les géants de la Tech se penchent sur ces nouveaux moyens d’échanges, en dehors des circuits bancaires traditionnels, sur tous les continents. Mais dans les pays où un pouvoir central contrôle l’économie, comme en Chine ou en Inde, l’activité des cryptomonnaies est pratiquement bannie.
Le projet était d’autant plus stratégique qu’il promettait potentiellement d’échanger des biens et d’acheter des services dans le futur « métaverse » de la firme de Mark Zuckerberg
Avec ce projet de « monde virtuel » Zuckerberg révèle ainsi son objectif final, qui n’est pas seulement de dominer l’internet d’aujourd’hui, mais de contrôler et de définir l’internet que nous laisserons à nos enfants et aux enfants de nos enfants. Un internet de surveillance toujours plus invasif où la parole dissidente est bannie.
Un document interne à Facebook révèle que le géant des médias sociaux surveille le comportement hors ligne de ses utilisateurs afin de déterminer si une personne doit être classée dans la catégorie «agent de la haine», comme l’a signalé le Washington Pundit .
N’OUBLIEZ PAS DE VISITEZ LA BOUTIQUE EN LIGNE DE VOTRE SITE WEB FAVORI ET DE PARTAGER SON LIEN:
Mise en place solide de la dictature totalitaire autour de la pensée unique!
Le saviez-vous ?
Les modérateurs chez Facebook sont situés au Maroc. La censure sur Facebook est donc faite par des Musulmans extrémistes qui censurent toutes critiques de l’immigration et de l’Islam.
Et avec la loi Avia qui censure la liberté d’expression des Français sur les réseaux sociaux, des milliers, voir des millions de comptes Facebook vont être supprimés…
Je décide d’écrire cet article pour dénoncer la censure abusive des modérateurs Musulmans de chez Facebook.
En effet, je suis le Webmaster du site Internet MyJournal.fr qui est un site d’actualités parlant de toutes les vérités qui dérangent.
Des vérités qui dérangent liées à la corruption du Gouvernement Français, aux nombreuses aberrations de l’immigration de masse, ainsi que sur la propagation de l’Islam en France…
Mon site Web dénonce également tous les scandales qui empoisonnent le quotidien des Français… Mais les sujets principaux de mon site d’actualités sont principalement liés à l’immigration et à l’Islam, car pour moi, c’est un problème majeure en France et dans toute l’Europe.
J’avais comme tout le monde, un compte chez Facebook et ceci, depuis de nombreuses années. Mais il ne se passait pas une semaine sans que ces modérateurs Musulmans me bloque mon compte Facebook à cause d’un partage d’article lié à l’immigration et/ou à l’Islam émanant de mon site Internet MyJournal.fr…
Et le jeudi 28 mai 2020, mon compte Facebook a purement et simplement été supprimé par ces modérateurs Musulmans parce que mes publications ainsi que mes partages d’articles ne respectaient pas « les standards de la communauté Facebook »…
Je précise que sur MyJournal.fr, il n’y a aucun propos raciste et que les articles liés à l’immigration et à l’Islam sont uniquement des vérités. Des vérités qui dérangent bien entendu, toutes les personnes concernées…
Et avec la mise en place de la loi Avia, notre liberté d’expression sur les réseaux sociaux n’existe plus… Il est dorénavant interdit de critiquer l’immigration de masse ainsi que l’Islam radical… Même si ces publications sont des vérités que personne ne peut nier…
Par contre, la censure sur Facebook n’a qu’un sens, un peu comme l’association SOS Racisme qui combat uniquement le racisme envers les étrangers, mais qui se moque complètement du racisme anti-Français et du racisme anti-blanc. Donc, sur Facebook, personne n’est censuré parce que l’on critique la France et les Français…
Ces modérateurs Musulmans ne censurent pas non plus leurs compatriotes maghrébins qui prennent plaisir à publier sur ce réseau social des images et des vidéos d’agressions et de tortures sur des Français et/ou sur des animaux…
Le Gouvernement Français fait tout son possible pour favoriser l’invasion migratoire ainsi que la propagation de l’Islam dans notre pays. Ce même Gouvernement met également des lois en place pour faire taire définitivement les Français qui refusent le remplacement de la population Française par des Maghrébins…
Oui, vous avez bien lu !
Le Gouvernement Français veut le remplacement de la population Française par des Maghrébins pratiquant cette religion qu’est l’Islam radical…
J’ai tenté en vain, par différents moyens, de me recréer un autre compte sur Facebook. Le moindre commentaire ou partage dénonçant l’invasion migratoire et/ou la propagation de l’islam est aussitôt censuré par ces modérateurs Musulmans et la fermeture définitive du compte Facebook est systématique !
Avec la loi Avia, il est interdit de critiquer l’immigration et l’Islam, mais il est possible de critiquer le Christianisme et/ou le catholicisme…
Le réseau social Facebook n’est plus ce que c’était auparavant car Mark Zuckerberg, le propriétaire de Facebook, a choisi le Maroc pour la modération de son réseau social afin de payer le moins cher possible ses modérateurs. Mais hélas, en voulant faire des économies, c’est son réseau social tout entier qui se dégrade au niveau qualité et liberté d’expression…
Comme tous les nationalistes et/ou les patriotes censurés par ces modérateurs Musulmans de chez Facebook, je me suis redirigé sur le réseau social Russe VK.com. Ce réseau social Russe est similaire à Facebook, hormis que notre liberté d’expression n’est pas censurées par des modérateurs Musulmans…
Source:MyJournal.fr
…et
…et:
Ceci est accepté par les censeurs facebookiens !!!
Tout a été dit et écrit sur ce malheureux sujet gangstérisé à l’extrème!
Facebook de Mark Zuckerberg a récemment mis en place un comité de surveillance de la modération du contenu comprenant des universitaires du monde entier.
Son objectif est de répondre aux critiques croissantes des attaques de Facebook contre la liberté d’expression et la dissidence politique en permettant un processus d’appel sur lequel ces experts vont peser.
Sur le papier, le conseil d’administration prétend être une vérification de la liberté d’expression contre les «normes communautaires» draconiennes. Dans la pratique, c’est un autre coin amen néolibéral qui tentera de légitimer la censure des réseaux sociaux et exigera qu’elle aille plus loin.
Le conseil comprend des universitaires et des travailleurs d’ONG de tous les continents. Des nations aussi diverses que le Brésil, le Sénégal, le Yémen et Israël sont représentées, mais notamment, il n’y a pas une seule voix russe, chinoise, vénézuélienne ou iranienne dans le panel.
Andras_Sajo
Les nations du groupe de Wisegrad, où Facebook joue également un rôle controversé, n’ont aucune représentation à l’exception du militant anti-Orban financé par George Soros, András Sajó. Alors que Sajó est répertorié comme représentant hongrois, il est un agent des intérêts de Wall Street et de Bruxelles en Europe de l’Est, y compris en tant que fondateur de l’Université d’Europe centrale, un produit de l’Open Society Foundation autrement connu sous le nom de « Soros U. »
Le manque de représentation pour les pays qui ont des milliards de personnes soumises de manière disproportionnée à la censure de Facebook fait de l’ensemble du projet une fraude illégitime. Lors des manifestations de Hong Kong de l’année dernière, Facebook a entrepris une purge massive de journalistes chinois qui contredisaient le récit officiel du Pentagone.
Le réseau d’information vénézuélien Telesur a été interdit en 2018 alors que la CIA entamait des préparatifs pour renverser Nicolas Maduro et mettre Juan Guiado au pouvoir.
La filiale Facebook d’Instagram a supprimé des publications et interdit des comptes appartenant à des Iraniens pleurant la mort du héros national Qassem Soleimani après avoir été assassiné par le gouvernement américain l’été dernier.
Les Russes qui critiquent le gouvernement ukrainien ou expriment leur soutien aux efforts russes en Syrie sont arbitrairement déclarés «désinformation» parrainés par l’État par Facebook et fermés à vue.
Quant aux États-Unis, les critiques nationaux du système américain – des conservateurs aux gauchistes anti-guerre en passant par les ethno-nationalistes – sont également complètement exclus du nouveau chien de garde de la « liberté d’expression » de Facebook. Les individus et les nations entières qui sont ciblés par Zuckerberg pour leurs convictions politiques ou pour remettre en question les positions de l’oligarchie américaine ne reçoivent même pas un seul avocat sur le panel du conseil de surveillance superficiellement diversifié et idéologiquement unifié.
Facebook n’est peut-être tenu par aucune loi de respecter la libre circulation des idées, mais il n’a pas le droit de se faire une fausse image de marque qui encourage et respecte ce concept.
Leur « conseil de surveillance » nouvellement créé est une tentative futile de changer le public américain et une grande partie de la perception exacte du monde: Facebook est un monopole gonflé et sur la colline qui sert d’outil de propagande aux Juifs internationaux et au gouvernement américain.
EN COMPLÉMENTAIRE
George Soros s’est infiltré à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH)
George Soros
Dans son article volumineux, divisé en huit » chapitres « , citant les recherches de Grégor Puppinck, chef de l’ONG du Centre européen de droit et justice, dont il a constaté qu’il était le seul propriétaire, le milliardaire américano-hongrois existe depuis une vingtaine d’années.
Dans le premier chapitre, après Puppinck, qui a cartographié les biographies des 100 juges de la Cour européenne des droits de l’homme qui sont en fonction depuis 2009, l’auteur fait un rapport sur les « juges Soros », y compris le professeur hongrois András Sajó, Université d’Europe centrale. l’un de ses fondateurs. Sajó était également membre de la chambre qui a condamné l’Italie en 2009 pour le passage obligatoire dans les écoles.
Dans le deuxième chapitre, l’auteur explique comment la Soros Open Society Foundation a pu s’infiltrer dans le conseil d’administration: Puppinck a déclaré qu’il était « très utile » dans les pays derrière le rideau de fer de déléguer à la Cour des ONG expérimentées dans le domaine des droits de l’homme.
Dans le troisième chapitre, il rappelle que, selon les recherches de Puppinck, 22 des 100 juges étaient en contact direct avec sept organisations Soros qui avaient bénéficié des 32 milliards de dollars que Soros avait investis dans l’Open Society Foundation depuis 1984.
Dans le quatrième chapitre, l’auteur dresse un portrait milliardaire des « militants et intéressés » qui, en tant que philanthrope, investit principalement dans des pays où il y a une chance de retour sur investissement, et nomme les États dont les juges soutenus par l’Open Society Foundation sont issus de la Cour EDH. Bosnie-Herzégovine, Albanie, Bulgarie, Croatie, Hongrie, Lettonie et Roumanie.
Dans le cinquième chapitre, après Puppinck, il explique que depuis 2009, le tribunal a entendu 185 affaires dans lesquelles l’une des sept organisations non gouvernementales (ONG) était la plaignante, et dans 88 affaires des juges qui étaient en contact direct avec les ONG concernées. .
Dans le sixième chapitre, l’auteur analyse les poursuites engagées dans le cadre du programme de surveillance des étrangers PRISM lancé par la U.S.National Security Agency (NSA) pour la surveillance britannique, impliquant 14 des 16 plaignants, des ONG, dont 10 sont financés par la Fondation Soros.
Le chapitre 7 examine plusieurs cas spécifiques concernant l’importance des relations personnelles, y compris un procès en 2018 dans lequel un défenseur d’un groupe féministe appelé Pussy Riot a ensuite été nommé juge dans un tribunal de Strasbourg et le tribunal statue en faveur des féministes contre la Russie, qui a des frais d’avocat. doivent également rembourser.
Dans le huitième chapitre, l’auteur pose la question de savoir s’il vaut la peine de jouer si les règles du jeu sont fausses et il s’inquiète de l’indépendance de la Cour EDH. La « Fondation de la société ouverte hongroise et la Commission d’Helsinki à titre d’exemple Stop Soros mentionne des soumissions contre » la loi, qui a déjà examiné le comité des droits de l’homme du Conseil de l’Europe et de la Commission de Venise, selon » l’immigration illégale encourage pour » l’infraction d’une nouvelle disposition légale est illégale et elle doit être détruit. «La Hongrie a-t-elle une chance d’obtenir justice si l’attaque vient de la main de certains juges européens? Que s’est demandé l ‘auteur de l’article .
Les ultra-riches américains ont vu leur richesse augmenter de 282 milliards de dollars pendant ces trois semaines de pandémie artificielle.
Un nouveau rapport de l’Institute for Policy Studies révèle que, pendant que des dizaines de millions d’Américains ont perdu leur emploi à cause de la pandémie de coronavirus, l’élite ultra-riche des États-Unis a vu sa valeur nette augmenter de 282 milliards de dollars en seulement 23 jours. Et ce, malgré le fait que l’économie devrait se contracter de 40 % ce trimestre.
Le rapport note également qu’entre 1980 et 2020, la pression fiscale sur les milliardaires américains, mesurées en pourcentage de leur richesse, a diminué de 79 %. Au cours des 30 dernières années, la richesse des milliardaires américains a augmenté de plus de 1100 %, alors que la richesse médiane des ménages a augmenté d’à peine 5 %. En 1990, la richesse totale détenue par la classe des milliardaires américains était de 240 milliards de dollars ; aujourd’hui, ce chiffre s’élève à 2950 milliards de dollars. Ainsi, les milliardaires américains ont accumulé plus de richesses au cours des trois dernières semaines qu’ils n’en possédaient avant 1980. En conséquence, trois personnes seulement – Jeff Bezos, PDG juif d’Amazon, Bill Gates, co-fondateur crypto-juif de Microsoft, et Warren Buffet de Berkshire Hathaway – possèdent autant de richesses que la première moitié des ménages américains.
Le rapport de l’Institute for Policy Studies brosse le tableau d’une oligarchie des temps modernes, où les super-riches se sont emparés du pouvoir législatif et exécutif et contrôlent les lois qui sont adoptées. Le rapport parle de ce qu’il appelle une nouvelle « industrie de défense de la richesse », où « les milliardaires paient des millions pour éviter des milliards d’impôts », avec des équipes de comptables, d’avocats, de lobbyistes et de gestionnaires d’actifs qui les aident à dissimuler leurs vastes fortunes dans des paradis fiscaux et des « trusts caritatifs ». Il en résulte des programmes sociaux paralysés, une baisse du niveau de vie et même une diminution durable de l’espérance de vie – chose rarement vue dans l’histoire en dehors des grandes guerres ou des famines. Rares sont les Américains qui pensent que leurs enfants seront mieux lotis qu’ils ne l’étaient. Les statistiques suggèrent qu’ils ont raison.
Les milliardaires donnent de façon très théâtrale une fraction de ce qu’ils donnaient auparavant en impôts, en s’assurant un maximum de publicité pour leurs actions. Et ils assurent une couverture positive pour eux-mêmes, auprès de l’opinion, en maintenant à flot des organismes de presse influents. Une enquête menée en décembre par MintPress révélait que Gates avait donné plus de 9 millions de dollars au Guardian, plus de 3 millions à NBC Universal, plus de 4,5 millions à NPR, 1 million à Al-Jazeera, et la somme astronomique de 49 millions au programme Media Action de la BBC. Certains, comme Bezos, préfèrent tout simplement acheter eux-mêmes des organismes de presse [Washington Post, NdT], changeant ainsi la position éditoriale en faveur d’une loyauté sans faille envers leurs nouveaux propriétaires.
La montée en flèche de la richesse des milliardaires survient dans un contexte de krach économique sans précédent ; 26,5 millions d’Américains ont déposé une demande d’allocation chômage au cours des cinq dernières semaines, et ce nombre devrait continuer à augmenter de façon spectaculaire. Alors que les super-riches se terrent dans leurs manoirs et leurs yachts, les 49 à 62 millions d’Américains désignés comme « travailleurs essentiels« doivent continuer à risquer leur vie pour maintenir le fonctionnement de la société, même si beaucoup d’entre eux ne gagnent même pas autant que l’augmentation hebdomadaire de 600 dollars des allocations de chômage prévue par la loi CARES. De nombreux travailleurs faiblement rémunérés, tels que les employés des épiceries, sont déjà tombés malades et sont morts. La mère d’une employée de 27 ans du Maryland qui a contracté le COVID-19, et en est morte, a reçu le dernier chèque de salaire de sa fille. Il s’élevait à 20,64 dollars.
Le personnel d’Amazon, directement employé par Bezos, risque également sa vie pour une maigre rémunération. Un tiers de tous les travailleurs d’Amazon Arizona, par exemple, sont inscrits au programme de bons alimentaires, leurs salaires étant si bas qu’ils ne peuvent pas payer leur propre nourriture. L’effet très contrasté de COVID-19 sur les super riches par rapport au reste d’entre nous amène beaucoup de gens à conclure que la richesse des milliardaires et la pauvreté du reste du monde sont les deux faces d’une même médaille : la raison pour laquelle les personnes travaillant à plein temps ne peuvent toujours pas se permettre d’acheter une maison ou même de manger est la même que celle pour laquelle des gens comme Bezos contrôlent plus de richesses que de nombreux pays. La solution de Bezos à la famine de ses employés a été de créer une association caritative et de demander des dons publics pour aider ses travailleurs désespérés.
La majorité de la génération des années 2000, dont la plupart sont exclus du rêve américain, préfèrent déjà le socialisme au capitalisme, considérant ce dernier d’un mauvais œil. Les dernières nouvelles selon lesquelles la classe des milliardaires rigole et s’enrichit pendant cette période d’intense souffrance économique ne va probablement pas améliorer leur état d’esprit.
Par Alan Macleod – Le 27 avril 2020 – Source Mint News
Top 20 du classement Forbes 2020 des milliardaires mondiaux. Sur les vingt, il y en a DIX qui sont juifs.
La personne la plus riche dans au moins 7 États américains est juive
Le magazine Forbes a publié une liste des personnes les plus riches de chacun des 50 États.
Mark Zuckerberg
Le fondateur et PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, 31 ans, est la personne la plus riche de Californie avec une valeur nette de 71 milliards de dollars. Le promoteur immobilier Ted Lerner, 93 ans, et sa famille sont les plus riches du Maryland avec une valeur nette de 5,1 milliards de dollars.
Le fondateur et propriétaire de Quicken Loans, Dan Gilbert, 57 ans, propriétaire des Cleveland Cavaliers, est la personne la plus riche du Michigan avec une valeur nette de 6,8 milliards de dollars. Le magnat du casino, le maffieux et ami de Trump, Sheldon Adelson, 85 ans, également propriétaire du quotidien Las Vegas Review-Journal, est la personne la plus riche du Nevada avec une valeur nette de 37,5 milliards de dollars.
L’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, 77 ans, co-fondateur et propriétaire majoritaire de la société d’information financière et de médias Bloomberg LP, est la personne la plus riche de New York avec une valeur nette de 58,3 milliards de dollars.
Leslie Wexner, 81 ans, fondatrice et PDG de L Brands, est la personne la plus riche de l’Ohio avec une valeur nette de 4,7 milliards de dollars. Anita Zucker, PDG d’InterTech Group, un fabricant de produits chimiques, est la personne la plus riche de Caroline du Sud avec une valeur nette de 1,8 milliard de dollars.
La personne la plus riche de tous les États – également considérée comme l’homme le plus riche du monde – est le fondateur et propriétaire d’Amazon, Jeff Bezos, avec une valeur nette estimée à 157 milliards de dollars.
Or les juifs représentent 1,8% de la population américaine. Les milliardaires juifs sont en tête dans 7 états sur 50, soit un score de 7/50 c’est-à-dire 14%. Ils sont donc surreprésentés dans les milliardaires dans une proportion de 14%/1,8% = 7,8, arrondi à 8.
Cela veut dire que, si vous êtes juif aux USA, vous avez 8 fois plus de chances de devenir milliardaire que si vous êtes goy. Il en est de même en France etc…
Au niveau mondial :
Selon le bureau central des statistiques (CBS) israélien, la population juive mondiale serait de 13,855 millions, que l’on arrondit à 15 millions. La population mondiale est de 7,7 milliards. Donc les juifs représentent 15/7700= 0,19%, arrondi à 0,2%. Si les juifs étaient aussi riches (ou pauvres) que les goys, leur nombre parmi le top 20 des milliardaires serait de 20*0,02=0,4. Or leur nombre actuel est de 10, ils sont donc surreprésentés dans un rapport de 10/0,04= 250. Cela veut dire que, dans le monde, si vous êtes juif, vous avez 250 fois plus de chances de faire partie du top20 des plus riches (donc faisant partie des 1%) que si vous êtes goy.
Naturellement, expliquer des statistiques relatives à la position, dans le classement de la richesse, des juifs par rapport aux non-juifs, c’est de l’antisémitisme. Le « politiquement correct » impose de cacher des vérités élémentaires et connues depuis des lustres. C’est pour cela que notre Blog est puni par Facebook and Co.
Bien entendu,la famille Rotschild n’a pas été incluse dans ces estimations…la richesse de cette famille est hors-normes!
David de Rothschild (à gauche) est président du conseil d’administration du WJC; Ronald Lauder (troisième à gauche) est président du WJC. Jacob Rothschild (deuxième en partant de la gauche) a reçu un prix du WJC, novembre 2018. (Source: WJC)
Le réseau social payait des centaines de sous-traitants pour écouter les conversations d’usagers de Messenger, avec l’accord de ces derniers.
Facebook a payé des centaines de sous-traitants pour transcrire des extraits sonores de conversations de certains usagers, a révélé mardi 13 août l’agence Bloomberg. Le premier réseau social au monde a longtemps nié agir de la sorte pour mieux calibrer ses publicités ou pages d’information.
Dans un communiqué transmis à l’agence financière, Facebook reconnaît avoir fait transcrire des enregistrements sonores de conversations – avec l’autorisation des usagers – mais affirme avoir mis fin à cette pratique.
« Tout comme Apple ou Google, nous avons gelé la pratique de faire écouter les enregistrements sonores par des humains la semaine dernière », explique le réseau social. Interrogé par l’AFP, Facebook n’a pas répondu dans l’immédiat. Facebook explique avoir eu l’autorisation de procéder à la transcription de leurs conversations par des usagers de son application Messenger.
Les sous-traitants vérifiaient si l’intelligence artificielle du réseau interprétait correctement les messages qui avaient été rendus anonymes. Mais Bloomberg se demande s’il n’était pas aussi question de mieux calibrer ses publicités ciblées, et de vérifier si les appels enfreignaient la politique de Facebook.
Des accusations longtemps niées par Facebook
Selon Bloomberg, les employés qui sont chargés de la transcription s’inquiètent des implications éthiques de leur travail, n’étant ni informés de l’origine des enregistrements des conversations, ni de l’usage qu’en fait l’entreprise fondée par Mark Zuckerberg.
Amazon, Apple et Google, qui vendent tous des assistants vocaux, avaient déjà reconnu faire de même pour améliorer les réponses de leurs applications. Apple et Google ont indiqué avoir abandonné la pratique ces dernières semaines.
Amazon donne le choix aux usagers de bloquer l’utilisation de leurs échanges avec Alexa, l’intelligence artificielle qui anime ses assistants vocaux Echo.
Facebook, qui vient tout juste de payer une amende record de 5 milliards de dollars aux autorités fédérales américaines pour un mauvais usage des données privées de ses usagers, a longtemps nié utiliser des enregistrements audio pour pouvoir mieux cibler ses publicités ou rendre ses pages plus attractives.
Le fondateur et PDG du géant des réseaux sociaux avait rejeté l’idée même lors d’une audition devant le Congrès en avril 2018.
« Vous parlez d’une théorie du complot qui circule affirmant que nous écoutons ce qui se passe dans votre micro et que nous l’utilisons pour de la pub », avait répondu le jeune milliardaire à une question du sénateur Gary Peters. « Nous ne faisons pas ça », avait-il répliqué fermement.
Plus tard, Facebook avait précisé qu’il n’accédait au microphone d’un usager uniquement si ce dernier avait donné l’autorisation à l’application.
Selon Bloomberg, l’entreprise n’avait pas précisé ce qu’elle faisait ensuite des enregistrements.
Une fuite de plus… Des numéros de téléphone liés à plus de 400 millions de comptes Facebook se sont retrouvés stockés en ligne, à la merci d’une utilisation malveillante, dernière violation en date du groupe américain en matière de protection des données personnelles, a rapporté ce mercredi 4 septembre le site TechCrunch.
Un serveur vulnérable a stocké 419 millions de dossiers d’utilisateurs du premier réseau social mondial sur plusieurs bases de données, dont 133 millions de comptes aux Etats-Unis, plus de 50 millions au Vietnam et 18 millions en Grande-Bretagne, selon le site américain.
Les bases de données répertoriaient les identités des utilisateurs de Facebook – une combinaison de chiffres unique pour chaque compte – ainsi que les numéros de téléphone associés aux profils, le sexe pour certains comptes et la localisation géographique.
Le serveur n’était pas protégé par un mot de passe ce qui signifie que n’importe qui pouvait accéder aux bases de données. Il est resté en ligne jusqu’à tard mercredi, quand TechCrunch a contacté l’hébergeur.
Facebook a partiellement confirmé les informations de TechCrunch mais minimisé l’incident, assurant qu’en l’état actuel des vérifications le nombre de comptes concernés ne représentait que la moitié environ des 419 millions évoqués.
Amende record de 5 milliards de dollars
Le groupe a ajouté que nombre d’entre eux étaient des copies et que les données étaient anciennes. « Cet ensemble de données a été retiré et nous n’avons vu aucun signe montrant que des comptes Facebook aient vu leur sécurité compromise », a indiqué un porte-parole.
Après le scandale Cambridge Analytica en mars 2018, révélant l’exploitation à des fins politiques de données de millions d’utilisateurs de Facebook à leur insu, le groupe avait supprimé une fonctionnalité permettant des recherches sur la plateforme avec les numéros de téléphone.
La mise en ligne de leurs numéros de téléphone expose les utilisateurs aux appels non sollicités ou à des piratages avec le transfert de cartes SIM – comme cela est arrivé récemment au patron de Twitter Jack Dorsey.
Fin août, Facebook a dévoilé des tests pour une nouvelle fonctionnalité permettant aux utilisateurs de contrôler leurs données récupérées par la société américaine hors du réseau social. Cette annonce intervenait moins d’une semaine après de nouvelles révélations sur les pratiques de Facebook, qui a reconnu avoir transcrit les écoutes d’extraits sonores de conversations de certains usagers après l’avoir longtemps nié.
Fin juillet, Facebook a été condamné à une amende record de 5 milliards de dollars par la FTC, l’autorité américaine de régulation des communications, pour ne pas avoir su protéger les données personnelles de ses utilisateurs.
L’entreprise Facebook a fait savoir le 16 mai qu’elle avait supprimé 265 comptes, pages et groupes, sur Facebook et Instagram, qui faisaient partie d’un même réseau utilisé pour diffuser de fausses informations ou influer de manière malhonnête sur le débat politique, principalement en Afrique, en Asie et au Brésil. Ces comptes étaient suivis par environ 2,8 millions de personnes et ont diffusé pendant sept ans des publicités politiques pour plus de 700 000 euros.
Les équipes de l’entreprise dirigée par Mark Zuckerberg ont produit des exemples pour étayer ces accusations : des messages qui montrent que ces pages servaient à diffuser de fausses informations. Un de ces messages rendus publics, écrit en français, avait été publié par une page nommée «L’Afrique cachée», était destinée aux internautes maliens et qui assurait notamment que la société Airbus avait investi dans une mine d’or détenue par un proche du pouvoir malien.
L’enquête de Facebook a réussi à prouver que ces comptes suspects appartenaient à l’entreprise israélienne Archimedes Group, désormais interdite sur cette plateforme. Selon les informations du Monde, cette entreprise «plutôt discrète» se présente comme «une société fournisseuse d’outils électoraux, vendant notamment une suite logicielle, Archimedes Tarva, conçue pour « la gestion de campagnes de masse sur les réseaux sociaux » ou encore les « opérations nécessitant un nombre illimité de comptes« .»
Ses clients sont principalement situés en Afrique sub-saharienne et en Amérique du sud. Son président-directeur général, Elinadav Heymann, aurait longtemps travaillé dans la politique en tant que lobbyiste et consultant politique, notamment à Bruxelles, après un passage dans l’armée de l’air israélienne. Il est connu comme un défenseur zélé de la ligne israélienne conservatrice, farouchement opposée au terrorisme et au boycott des produits de l’Etat hébreu.
Le responsable de la sécurité chez Facebook a déclaré lors d’une conférence de presse :
«Certaines pages se présentaient comme étant la création d’acteurs locaux, voire comme des médias des pays concernés, et publiaient de prétendues informations confidentielles sur des hommes et des femmes politiques. Ces comptes n’ont pas été supprimés en raison de ce qu’ils disaient ou de qui les avait créés, mais en raison de leur comportement, qui visait à tromper les utilisateurs.»
Note : Cela me rappelle cette news récente où plus de 400 comptes suspectés d’être frauduleux généraient des fake news pro-Netanyahu diffusées en masse sur les réseaux sociaux et calomniaient les opposants politiques pendant la campagne électorale d’avril dernier.
Facebook refuse de supprimer une vidéo altérée pour faire laisser croire que la chef des démocrates à la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a livré un discours alors qu’elle était saoule, ce qui met en lumière un problème majeur dans le plan du géant techno pour combattre les fausses nouvelles.
Le clip, d’abord rapporté par The Washington Post, montre la démocrate californienne discutant du président Donald Trump à un événement organisé par le Center for American Progress mercredi. Un troll non identifié a réduit la vitesse de la vidéo et monté le ton pour que son discours ait l’air confus, mais normal – créant alors la fausse apparence qu’elle avait les capacités affaiblies.
La fausse vidéo s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. L’avocat privé de Trump, Rudy Giuliani, a tweeté un lien vers la vidéo sur Facebook, où le clip avait alors pas loin d’un million de visionnements. (Giuliani a plus tard supprimé le tweet et a livré des excuses qui avaient l’air confuses.)
Facebook a depuis longtemps admis ses échecs dans la lutte aux fausses nouvelles dans la course à la présidentielle de 2016, et a dévoilé l’année suivant un système supposé arrêter le courant de matériel faux ou trompeur.
«Les fausses nouvelles sont nocives pour notre communauté, elles rendent le monde moins informé, et elles érodent la confiance», écrivait Facebook en avril 2017. «Ce n’est pas un nouveau phénomène, et nous tous – entreprises techno, entreprises médiatiques, salles de nouvelles, enseignants – nous avons la responsabilité de faire notre part pour y faire face.»
Mais un porte-parole de Facebook a déclaré vendredi que des «fakes news» évidentes, comme cette vidéo de Pelosi, techniquement ne brisaient pas les règles puisqu’il n’y a pas de politique contre la publication de faux contenu sur la plateforme. Facebook laissera donc la vidéo circuler.
Cela dit, Facebook a toutefois «mis en file d’attente» la vidéo pour une revue par une compagnie tierce de vérification des faits, ce qui voudrait dire qu’il juge la vidéo trompeuse. Alors maintenant, au lieu d’être supprimée complètement, la fausse vidéo du discours de Pelosi sera plus difficile à trouver sur la plateforme, selon le porte-parole.
L’annonce de Facebook a relancé les discussions sur les campagnes de salissage et les fausses nouvelles qui ont terni la dernière présidentielle. La vidéo de Pelosi rappelle celle d’Hillary Clinton devenue virale lors de sa campagne, qui la montrait physiquement ou mentalement indisposée.
«La vidéo modifiée/falsifiée de Nancy Pelosi n’est pas exactement une nouvelle affaire», a tweeté la journaliste de Wired Issie Lapowsky. «C’est copié du manuel “Hillary Clinton est malade” de 2016.»
Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:
Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:
«Il y a une tension ici: nous travaillons fort pour trouver le bon équilibre entre l’encouragement de la liberté d’expression et la promotion d’une communauté sécuritaire et authentique, et nous croyons que de réduire la distribution de contenu inauthentique atteint cet équilibre. Mais ce n’est pas parce que quelque chose est permis sur Facebook qu’elle devrait obtenir de la distribution. En d’autres mots, nous permettons aux gens de la publier en tant que forme d’expression, mais nous ne la montrerons pas à la une du fil d’actualité.»
Facebook a intenté vendredi une poursuite contre Rankwave, une firme sud-coréenne qu’il soupçonne d’avoir utilisé illégalement les données de ses utilisateurs à des fins publicitaires.
D’après la plainte citée par CNN, Rankwave a mis en ligne au moins 30 applications sur Facebook entre 2010 et 2019. L’une d’entre elles était une application servant à déterminer la « popularité » d’une personne sur le réseau social et vérifiant le nombre d’interactions qu’elle avait eues avec d’autres utilisateurs.
Le réseau social ne peut pas conclure pour l’instant que Rankwave a bel et bien enfreint les règles en matière d’utilisation des données privées. Les soupçons de Facebook émanent du fait que l’entreprise sud-coréenne a refusé de se soumettre à des vérifications, obligatoires pour tous les partenaires de la plateforme.
L’entreprise de Mark Zuckerberg allègue que Rankwave a utilisé les données d’utilisateurs de Facebook pour « créer et vendre de la publicité ainsi que des plateformes d’analyse marketing », à l’encontre des politiques du réseau social, rapporte CNN.
« Facebook a déjà suspendu les applications les comptes associés à Rankwave, et la plainte d’aujourd’hui demande au tribunal d’appliquer les conditions de coopération de base que Rankwave a acceptées en échange de la possibilité d’exploiter des applications sur la plateforme », a écrit dans un communiqué Jessica Romero, la directrice des litiges et de la mise en application des règles de Facebook.
Rankwave reste muette
Chris Hughes,jeune pdg de Rankwave
Les partenaires de Facebook proposant des applications et des services sur le réseau social peuvent normalement accéder à certaines données des utilisateurs s’ils obtiennent leur accord explicite. L’accès à ces données permet entre autres de se connecter à d’autres services en utilisant ses identifiants Facebook, de jouer à des jeux en ligne et de remplir des questionnaires. Les entreprises n’ont pas le droit de s’en servir pour d’autres raisons.
Facebook croit toutefois savoir que Rankwave a utilisé ces données pour mousser ses affaires en « fournissant des services de consultation à des annonceurs et des entreprises de marketing », indique CNN.
Rankwave n’a pas commenté publiquement la plainte de Facebook. En février dernier, après avoir reçu une mise une demeure du réseau social, Rankwave avait indiqué ne pas avoir enfreint les règles de Facebook.
Retour sur Cambridge Analytica
Au début de l’année 2018, Facebook a été confronté à un scandale semblable lorsque le sonneur d’alerte Christopher Wylie a révélé que la firme d’analyse de données Cambridge Analytica avait eu accès de manière illégitime à des données d’utilisateurs.
Cambridge Analytica a par la suite utilisé ces données pour mettre au point des modèles de prédictions politiques très avancés, utilisés entre autres dans le cadre des campagnes du Oui au Brexit et de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
Mark Zuckerberg, directeur général de Facebook. La société a déclaré que des millions de mots de passe de comptes d’utilisateurs avaient été stockés de manière non sécurisée.
Facebook a déclaré jeudi que des millions de mots de passe de comptes d’utilisateurs avaient été stockés de manière non sécurisée, permettant potentiellement aux employés d’accéder aux comptes des personnes à leur insu.
La société de la Silicon Valley a annoncé la défaillance de la sécurité à peu près au même moment où Brian Krebs, rédacteur en cybersécurité, avait signalé la vulnérabilité du mot de passe. M. Krebs a déclaré qu’un audit de Facebook avait révélé que des centaines de millions de mots de passe d’utilisateurs datant de 2012 étaient stockés dans un format appelé texte brut, ce qui rend les mots de passe lisibles par plus de 20 000 employés de l’entreprise.
Facebook a déclaré qu’il n’avait trouvé aucune preuve d’abus et qu’il commencerait à alerter des millions d’utilisateurs et des milliers d’utilisateurs Instagram du problème. La société a déclaré que les personnes ne seraient pas obligées de réinitialiser leurs mots de passe.
L’échec de la sécurité est un autre embarras pour Facebook, un colosse de 470 milliards de dollars qui emploie certains des experts en cybersécurité les plus recherchés du secteur. Cela s’ajoute à la liste croissante de scandales de données qui ont terni la réputation de Facebook au cours des dernières années. L’année dernière, parmi les révélations selon lesquelles un cabinet de conseil politique aurait eu indûment accès aux données de millions de personnes , Facebook a également révélé qu’une attaque sur son réseau avait révélé les informations personnelles de dizaines de millions d’utilisateurs .
En réponse, la société a déclaré à plusieurs reprises son intention d’améliorer la protection des données des personnes.
« Il n’y a rien de plus important pour nous que de protéger les informations des personnes, et nous continuerons à apporter des améliorations dans le cadre de nos efforts de sécurité en cours sur Facebook », a déclaré Pedro Canahuati, vice-président de l’ingénierie en sécurité et confidentialité de Facebook .
Voici un aperçu de ce que vous devez savoir sur la vulnérabilité du mot de passe et ce que vous pouvez faire.
Quel est le problème?
Stocker les mots de passe en texte brut est une pratique de sécurité médiocre. Cela laisse les mots de passe largement ouverts aux cyberattaques ou aux abus potentiels des employés. Une meilleure pratique de sécurité aurait été de conserver les mots de passe dans un format crypté et indéchiffrable.
Facebook a déclaré qu’il n’avait pas trouvé de preuve d’abus, mais cela ne veut pas dire que cela ne s’est pas produit. Citant un initié de Facebook, M. Krebs a déclaré que les enregistrements d’accès avaient révélé que 2 000 ingénieurs ou développeurs avaient effectué neuf millions de requêtes pour des données contenant des mots de passe utilisateur en texte brut.
Un employé de Facebook aurait pu partager votre mot de passe avec une autre personne qui aurait alors un accès inapproprié à votre compte, par exemple. Ou bien un employé aurait pu lire votre mot de passe et l’utiliser pour vous connecter à un autre site sur lequel vous utilisiez le même mot de passe. Il y a beaucoup de possibilités.
En fin de compte, une entreprise aussi grande, riche et dotée d’un personnel suffisant que Facebook aurait dû mieux se connaître.
Comment savoir si quelqu’un a eu accès à mon compte?
Il n’y a pas de moyen facile de savoir. Facebook enquête toujours et commencera à alerter les personnes dont le mot de passe aurait pu être stocké au format texte.
Que devrais-je faire?
Facebook ne demande pas aux utilisateurs de changer leurs mots de passe, mais vous devriez le faire quand même.
Il existe de nombreuses méthodes pour définir des mots de passe forts. Par exemple, n’utilisez pas le même mot de passe sur plusieurs sites et n’utilisez pas votre numéro de sécurité sociale en tant que nom d’utilisateur ou mot de passe. Vous pouvez également configurer des fonctionnalités de sécurité telles que la vérification en deux étapes.
Il y a quelques autres mesures à prendre. Je recommande également de configurer votre compte Facebook pour recevoir des alertes dans le cas où un appareil non reconnu se connecte au compte. Pour ce faire, accédez aux paramètres de votre application Facebook, appuyez sur Sécurité et connexion, puis sur Recevoir des alertes concernant les connexions non reconnues. À partir de là, vous pouvez choisir de recevoir les alertes via des messages, des courriels ou des notifications.
Un audit des appareils connectés à votre compte peut également être en ordre, de sorte que vous sachiez quels ordinateurs portables, téléphones et autres gadgets ont déjà accès à votre compte. Sur la page Sécurité et connexion de Facebook , sous l’onglet « Où vous êtes connecté », vous pouvez voir une liste des appareils connectés à votre compte, ainsi que leurs emplacements.
Si vous voyez un gadget inconnu ou un appareil connecté depuis un emplacement étrange, vous pouvez cliquer sur le bouton “Supprimer” pour démarrer l’appareil à partir de votre compte.
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