Une découverte change le récit de l’humanité

En 2012, des chercheurs russes ont découvert un mammouth mort il y a 45 000 ans dans la région centre de la Sibérie arctique. Après analyse du squelette, ils ont constaté que les humains étaient présents dans cet endroit bien plus tôt qu’il ne le pensait.

Le mammouth découvert en 2012.
Le mammouth découvert en 2012.

Suite à la découverte d’un squelette de mammouth dans l’Arctique, des scientifiques russes ont découvert que les humains étaient présents dans cette région il y a 45 000 ans, soit 10 000 ans plus tôt qu’on ne le pensait. Ils ont pu établir ce constat grâce aux pointes de flèches et autres objets tranchants observés sur la carcasse gelée de l’animal, trouvé en 2012 dans les sédiments gelés d’une falaise sur la côte est de la baie de Yenisei (centre de la Sibérie arctique). Cette découverte, publiée dans la revue scientifique «Science», pourrait ainsi relater le plus ancien exemple de survie dans l’Arctique où les indices paléolithiques humains sont rares.

Le squelette du mammouth montre des signes de blessures inhabituelles sur les côtes, sur la défense droite et les mandibules. Des marques qui résultent très probablement de pointes de lance très aiguisées, ont analysé ces scientifiques. Les ramus mandibulaire, partie montante de l’os de la mandibule qui sont très résistants, sont le plus souvent intacts quand ils sont découverts. Mais dans les restes de mammouths plus récents abattus par des humains les mandibules sont très souvent incomplètes ce qui pourrait avoir résulté d’une extraction de la langue, supputent-ils.

La chasse aux mammouths

Les chasseurs mangeaient souvent la langue des mammouths, une sorte de rituel ou parce que cette partie de l’animal était peut-être considérée comme un met raffiné, indiquent les chercheurs. La seule défense préservée de ce mammouth, celle de droite, montre des traces de travail humain pour en modifier la forme. Ainsi ces marques indiquent une tentative de la séparer du reste du corps.

En revanche l’extrémité extérieure de la défense, normalement peu tranchante, a été travaillée pour en faire un outil, selon des techniques différentes observées plus tardivement dans l’Arctique. Ces hommes faisaient de longs éclats d’ivoire effilés pour couper la viande dans une région où d’autres matériaux lithiques bruts étaient difficiles à trouver.

Des avancées dans les techniques de chasse aux mammouths ont probablement permis à ces groupes de se propager dans la partie la plus au nord de la Sibérie arctique, estiment les auteurs.

 

Source:Paris Match

 

Les savants russes auraient découvert une méthode sure de clonage du mammouth

Un impressionnant mammouth...très bien conservé.
Un impressionnant mammouth…très bien conservé.

*Traduction personnelle de la langue russe.Mon contact vient de la région de Vladivostok…et il vous salue tous.

C’est avec une nouvelle force dans les cercles pseudo-scientifiques que les savants russes vont  de nouveau parler de clonage d’un mammouth. Des scientifiques  du Yakutsk enquêtent actuellement sur du  sang de mammouth bien conservé. C’est l’une de leurs  dernières découvertes,et elle procure  beaucoup  de sensations.

 L’histoire  des recherches sur le mammouth laineux  a commencé à la même époque  qu’avec l’histoire de la lutte de l’ homme de la Terre pour sa survie, c’est juste qu’à la  fin, il était beaucoup plus rapide que l’animal ,pour le suivre et l’abattre. À cette époque,il y a plus de 12,000 ans, les Humains de la Terre ,grossièrement appelés « hommes préhistoriques,hirsutes et supposément ignares et illettrés, auraient exterminés les mammouth laineux pour la viande, les peaux et les os de l’animal, ou tout simplement pour  se tenir au chaud . Maintenant ,les mammouths  sont trouvés dans le pergélisol:des  milliers d’ années après s’être couché sur la glace, nous  sont  parvenus parfaitement conservés. Mais pour parler sérieusement de clonage, vous devez, en premier lieu,établir  son génome complet (son chemin, son ADN serait déjà décrypté en Russie), et, d’autre part, recréer un ensemble des cellules de mammouth  viables (il faut  les retrouver toutes), et, en troisième lieu, nous avons besoin d’une mère porteuse, et ce n’est que le problème, parce que le mammouth et l’éléphant – c’est comme un éléphant et un roquet,en terme de différence.

Le sang de mammouth bien conservé  est  la sensation principale de l’histoire de la reconstitution  des animaux fossiles.

Le mammouth découvert récemment dans le  Iakoute,est  pour les scientifiques est la première (importance) dans plus d’une centaine d’années pour vraiment faire leur grand bonheur. Sur l’île de Little Lyakhovsky Novosibirsk ,un archipel, ils ont réussi à déterrer les restes du mammouth  glacé ,probablement âgé de 60 ans à sa mort , que des  prédateurs ont  probablement mordu. Les scientifiques  ont été surpris par  le fait suivant : peu après  que la carcasse a été retiré de la couche de glace, elle a commencé à saigner.

« Ce tube avec un agent de conservation – GTA appelé – dit le chef d’un musée gigantesque nommé Lazarev Semyon Grigoriev -. Prélever un échantillon de sang. »

Les employés de l’Université sont venus à la conclusion que l’hémoglobine dans le sang à transporter l’oxygène mammouths ,qui pourraient se faire même à de très basses températures. Théoriquement, le sang,ce moteur naturel  pourrait devenir le principal matériau de construction pour élaborer  le clonage du génome d’un ancien mammifère disparu.

«Si le sang n’est pas détérioré , s’il ne gèle pas, alors il devrait y avoir de l’hémoglobine, des érythrocytes, et il doit y avoir aussi  des cellules qui  peuvent ne pas être en vie, mais ces cellules pourraient être  structurellement intactes, » – dit le directeur adjoint de l’Institut de zoologie (Saint-Pétersbourg) Alexei Tikhonov.

Les savants russes auraient découvert une  méthode sure de clonage.
Les savants russes auraient découvert une méthode sure de clonage.

Il reste une question importante qui reste  ouverte:soit celle  du  financement du projet – selon des estimations approximatives, pour le clonage de cet  éléphant préhistorique ,cela nécessite au moins un million de dollars. Mais une fois  trouvé, les paléontologues croient, que cela  aidera à faire une véritable percée dans  nos connaissances sur les mammouth  et dans la science de l’évolution de la vie, et peut-être dans quelques années de nouveaux  mammouths  ,venant  de cette espèce éteinte ,marcheront à nouveau sur la Terre .

Source: un ami  correspondant en Russie