Lorsque la lumière du soleil se reflète sur la surface de la réplique d’un miroir Sankakubuchi Shinjukyo,les motifs gravés sur le dos sont projetés sur un mur au Musée national de Kyoto, le 29 janvier 2014.
Dirigeants de l’ancien Japon peuvent avoir utilisé un « miroir magique » pour évoquer des images de sorciers des montagne et les bêtes divines pour les rituels des adorateurs du soleil.
Le Musée National de Kyoto a déclaré le 29 janvier 2014 que les motifs gravés sur le dos d’un type de miroir de bronze associé à l’ancienne reine Himiko ,sont projetées sur un mur lorsque le soleil se reflète sur l’avant. Selon Ryu Murakami, chef de conseil des conservateurs du musée, la découverte pourrait fournir des indices précieux pour étudier comment les miroirs de bronze ont été utilisés dans le Japon ancien. « Quelqu’un apparemment a remarqué le phénomène et utilisé intentionnellement des miroirs formés de cette manière « , a-t-il dit. «Je crois qu’ils ont quelque chose à voir avec le culte du soleil. »Utilisation d’une imprimante 3-D, selon Murakami, un expert dans l’histoire de la science des matériaux, a produit des répliques de deux miroirs Sankakubuchi Shinjukyo faits de matériaux utilisés dans les originaux, tels que le cuivre et la poudre d’étain.
Les dogons sont une des populations les plus anciennes d’Afrique noire et certainement l’une des plus mystérieuses.
Les dogons sont originaires du Mandé, ils quittèrent cette contrée entre le XIe et le XIIe siècle, c’est le refus de se convertir à l’islam qui provoqua leurs migrations vers une région montagneuse du Mali appelée » falaises de Bandiagara ».
La langue parlée par les dogons est le dogon qui se subdivise en 15 dialectes (non inter compréhensibles) de type voltaïque avec de nombreuses variantes dialectales selon les villages. Les dogons sont des cultivateurs de mil, de sorgho et de riz ainsi que de quelques autres légumes. Ils sont éleveurs de petit bétail, surtout des moutons.
Les dogons représentent 3% de la population du Mali, en 1990 elle a été estimée à 360 000 âmes réparties en de nombreux villages. Ces villages sont accrochés aux falaises, refuges naturels contre les ennemis. Les dogons détiennent de nombreuses formes de littérature orale. La famille étendue ou « ginna », se compose de tous les descendants d’un même ancêtre en ligne masculine. Chaque ginna possède collectivement un ensemble de maisons et de champs dont la propriété est inaliénable. C’est l’homme le plus âgé qui gère les biens et qui habite la grande maison symbole de la lignée. La femme appartient au ginna de son mari et l’enfant à celui de son père. La société dogon est formée de groupes sociaux, opposés mais complémentaires. Les initiés et les non-initiés, les hommes et les femmes, les groupes d’âges, des cultivateurs et les gens dits « castés ». Les classes d’âge sont composées de garçons ayant subi ensemble la circoncision et qui, de ce fait sont tenus de s’entraider pendant toute leur vie. Les différentes castes dogons sont : les artisans du fer, du bois, du cuir et les griots. Les relations sexuelles avec les membres du groupe des cultivateurs leur sont interdites.
La mythologie dogon
Selon la mythologie dogon amma dieu suprême, créa la terre et en fit son épouse. Une termitière, clitoris de la terre, se dressa en rivale du sexe mâle, et Amma dut l’abattre. Un fils unique naquit, Yurugu ou le Renard pâle. La terre excisée fut plus docile à son époux et mit au monde le Nommo, à la fois mâle et femelle, couple idéal, maître de l’eau et de la parole. Le Renard pâle, unique et donc imparfait, principe de désordre, commit l’inceste avec sa mère parce qu’il ne trouvait pas de compagne, et c’est alors qu’apparut le sang menstruel, impur parce que signe de stérilité. Errant sans cesse à la recherche d’une épouse, il ne connaît que la première parole, celle qu’il révèle aux devins. Amma façonna avec de l’argile un couple humain, qui devait donner naissance aux huit ancêtres. Nommo leur enseigna la parole, liée à l’humidité, ainsi qu’au tissage car elle est faite de questions et de réponses entrelacées.
La cosmologie et cosmogonie dogon
« …Les dogons ont développé des points de vue qui ne sont pas, dans leur ensemble, démentis par la science contemporaine. C’est dire toute la rationalité de cette cosmogonie dogon qui contient encore d’autres faits plus éblouissants encore relatifs à la connaissance des corps célestes… » (C. A Diop, volney et le sphinx de T. Obenga professeur de langue égyptienne et d’histoire ancienne Editions Présence Africaine p.171)
« Pour les dogons il y a pluralité des mondes, des univers stellaires à l’infini, bref une infinité de mondes ». (C. A Diop, volney et le sphinx de T. Obenga Edit. Présence Africaine p.156)
« Il y a donc une prolifération de la vie sur la pluralité des mondes. Nous les hommes nous sommes sur la 4ème terre. Les formes exactes, les aspects concrets de la vie sur les autres mondes ne sont pas connus, et les dogon d’imaginer des « hommes à cornes » sur la 3ème terre, des « hommes à queue » sur la 5ème, des « hommes ailés » sur la 6ème terre, des « hommes rampants » sur la 7ème terre, etc. » (C.A Diop, Volney et le sphinx de T. Obenga Edit. Présence Africaine p.156)
« Ainsi, à partir des choses plus petites qui sont contenues dans la chose la plus petite mise en exposition par un mouvement tourbillonnant et rayonnant (qui est le Démiurge lui même), l’Univers créé va s’étendre constamment (expansion de l’Univers), les êtres(humains, animaux, végétaux, etc.) vont se multiplier et peupler les mondes qui seront innombrables (pluralité des mondes).Les particules (signes d’Amma) vont aussi proliférer, pour réaliser toutes les choses qui formeront toujours l’Univers. » (C. A Diop, volney et le sphinx de T .Obenga Edit. Présence Africaine p.159)
« La cosmologie dogon est peut-être vieille d’environ 700 ans jouissant ainsi d’une longue tradition.
Les dogons ont élaboré leur cosmogonie au niveau même de l’immensité et de l’infinité du cosmos, avec les connaissances suivantes :
– L’univers est hiérarchisé et tournoie ;
-Notre Galaxie (la voie lactée) est une galaxie spiral, en forme de disque en rotation autour de son axe ;
-Les étoiles et les constellations sont innombrables : le chiffre démiurgique 266 signifie précisément qu’il s’agit de phénomènes cosmiques qui comptent par milliards ;
-La voie lactée forme l’Amas galactique local : ce que les dogons appellent « système stellaire externe » où se trouvent cependant le soleil et la terre ;
-Le système solaire est désigné par « système stellaire externe » : le soleil ayant une influence directe sur la vie de la terre ;
-La terre n’est donc pas au Centre de l’Univers puisqu’elle appartient au système solaire et à l’ensemble galactique de l’Amas local (système externe d’astres en spirale) ;
-Quatre (4) étoiles formes la croix du sud qui indique la direction du pôle céleste austral, -l’une des directions spatiales essentielles. La Polaires indique la direction du pôle Nord ;
-Les étoiles (visibles et invisibles) qui emplissent l’Univers se meuvent selon leurs orbites respectives, et forment d’immenses champs stellaires, galactiques ; -La vie sur terre dépend du Soleil, directement ;
-La spirale, le cercle, la fourche (l’axe de rotation), le mouvement des étoiles, des systèmes stellaires, de la terre, etc., interviennent dans la compréhension dogon de l’Univers en sa globalité, en sa structure, en ses éléments cosmiques ;
-L’homme est indissociable du cosmos, puisque la Terre qui le porte est elle-même partie intégrante du système solaire et de l’ensemble galactique ;
-Le cosmos est certes « infini » mais « mesurable », donc connaissable par la raison et l’intuition humaines.
Aucune de ces idées essentielles de la cosmologie dogon n’est contredite par l’astronomie moderne… »
Sources: C. A Diop, Volney et le sphinx de T. Obenga Edit. Présence Africaine. sergegrah.centerblog.net
L’image du Hollandais Volant est restée dans les mémoires.
Le 11 juillet 1881,le vaisseau-école de la Marine Royale Britannique, »La Bacchante » était en route pour Melbourne,à moitié environ de son long voyage par le Cap de Bonne-Espérance.L’équipage s’attendait à du mauvais temps,mais personne à bord n’avait jamais vu une telle tempête,connu un ciel aussi noir ou entendu le vent hurler de telle façon.La Bacchante transportait aussi le jeune duc d’York qui deviendra le roi Georges V ,ainsi que le prince Albert-Victor qui sera lui-même témoin.(1)
À genoux sur le pont,le Capitaine et ses matelots priaient,implorant la venue d’une aube qui semblait hésiter à paraître,enfin.Là-haut dans la mâture,une vigie se cramponnait à la vergue du grand cacatois,essayant en vain de percer du regard la brume qui noyait tout.
Soudain,une lueur parut à l’horizon.Un instant,la vigie crut que c’était l’aube…puis réalisa que c’était impossible.Cela venait du plein Sud,une étrange clarté rouge qui augmentait en brillance et en intensité,exactement au cap que suivait la Bacchante,comme s’ils faisaient voile tout droit dans la gueule de l’Enfer….
…Et c’était peut-être le cas!
La vigie laissa échapper un hurlement de terreur.Au centre exact de l’incandescence rouge,on pouvait voir un autre navire…le plus célèbre vaisseau-fantôme de tous les temps:le « Hollandais Volant »!
Se découpant avec une parfaite précision,ses mâts,ses espars et ses voiles furent bientôt visibles à deux cents yards de distance.
Durant plusieurs secondes,la vigie demeura rivée au gréement,écarquillant des yeux incrédules.Puis comme un geste de reddition,l’homme lâcha prise en écartant les bras et son corps s’écrasa sur le pont au terme d’une chute mortelle.
Les hommes de l’équipage se rassemblèrent sur le pontage,unis dans un terrible pressentiment.Au bout d’un moment,comme s’il eut été satisfait de son travail nocturne,l’étrange navire émit trois sons de cloche et disparut.
La rouge lueur faite de ciel et d’eau s’éteignit brutalement.Ce n’est que plusieurs heures plus tard,bien après la venue du jour,que Larsen,capitaine de la Bacchante,put persuader son équipage de continuer le voyage.
Mais,au bout de plusieurs autres heures,on découvrit une horreur nouvelle.Un Amiral,embarqué comme passager de la Bacchante,fut trouvé mort dans sa couchette.Le corps pétrifié,l’expression horrifiée sur le visage du cadavre,tout indiquait que l’homme avait péri dans un état de terreur extrême.La tête était tout près du hublot situé au-dessus de la couchette,comme si l’Amiral avait été témoin d’une chose indescriptible.
Le capitaine Larsen conta très souvent ce voyage et son récit provoqua des hochements de tête entendus de la part des vétérans de la mer qui ,tous,affirmaient:
« Vous avez rencontré le « Hollandais Volant »! »
En fin de compte,Larsen fut mis au courant de la légende et il inscrivit sur le Livre de Bord de la Bacchante pour 1885:
« Notre route a croisé celle du « Hollandais Volant ».Treize d’entre nous l’ont vu! »
L’histoire Véritable du « Hollandais Volant »
Quelle était donc l’histoire du « Hollandais Volant »?Qu’était-ce donc ce qui avait poussé son fantôme à errer sur les mers,messager de désastre pour toute embarcation qu’il rencontrait?
Vers le milieu du XVII ième siècle,aucun capitaine de haute mer n’était aussi craint et haï que le fougueux Cornélius Vanderdecken.Il avait la réputation d’un homme sans pitié tout aussi bien pour les navires qu’il commandait que pour leurs équipages.Sitôt qu’il avait posé le pied à bord,il n’avait plus d’autre préoccupation ou d’objectif que de conduire le bateau au terme de son voyage.Poursuivi par ce qui était devenu une obsession,il pouvait lancer son vaisseau dans les plus terribles tempêtes,affronter des océans dont la férocité même menaçait de le détruire.Vantard et blasphémateur,Vanderdecken déclara même un jour:
« Ni homme ni Dieu ne peut me forcer à abandonner un navire que je commande!Plutôt que de m’avouer vaincu,j’enfermerai s’il le faut le Tout-Puissant en Enfer! »
Lors de ce voyage fatidique,Vanderdecken était parti de Batavia,faisant voile vers la Hollande.Tout alla bien jusqu’au moment ou le « Hollandais Volant » atteignit le Cap de Bonne-Espérance.À cet instant,la malédiction qui allait condamner le malheureux navire à hanter les autres vaisseaux,lui vint d’un ciel limpide à l’apparence innocente.Un violent vent contraire stoppa le « Hollandais Volant ».
Durant neuf semaines épuisantes,Vanderdecken et son équipage recru de fatigue souquèrent le bateau sans aucun résultat.Le vent debout le maintenait aussi immobile qu’une mouche prise dans la glu.Vanderdecken donna libre cours à une colère qui terrifia l’équipage encore plus que la tempête,elle-même.Dans un délire de frustration,il se jeta à genoux sur le pont et,parodiant une prière,demanda l’aide du Démon,lui-même,pour franchir le Cap.Comme sous l’aiguillon de ce pacte diabolique,les vents forcirent encore,hurlant dans le gréement et ballottant avec mépris la coque déjà bien éprouvée sur la surface de la mer.
Soudain,surgie du ciel d’un noir d’encre,une brillante lueur rouge baigna la poupe du navire.Les matelots tombèrent à genoux,se prosternant devant une forme éblouissante qui se matérialisait devant eux.Certains crurent à un ange,d’autres au Saint-Spectre,mais tous y virent un messager d’espoir,un esprit bienveillant qui apportait un peu de calme dans leur meurtière tragédie.Tous,sauf Vanderdecken qui tint tête,une volée de blasphèmes aux lèvres.La silhouette fantômatique ne lui prêta aucune attentiuon.Pour le reste de l’équipage,c’était une présence amicale devant laquelle ils conservaient la tête haute et lke coeur ferme.
Il y eut une détonation quand Vanderdecken fit feu sur le spectre,lui intimant l’ordre de quitter son navire sur le champ.La balle traversa le fantôme qui ,d’après la légende,prononça les paroles suivantes:
« Vanderdecken,pour terminer ce voyage,tu as fait un pacte avec le Diable.
Pour l’éternité,tu appartiendras aux Puissances des Ténèbres!Sans cesse,tu écumeras les Sept Mers.Les imprécations dont tu viens de m’abreuver ont scellé le destin de ton équipage.Quiconque aura pu déchiffrer sur le flanc de ce vaisseau ,le nom du « Hollandais Volant »,MOURRA! »
On dit que le fantôme s’évanouit à cette minute.Le typhon,comme s’il eut été impatient de souffler,s’abattit sur le « Hollandais Volant » avec une fureur nouvelle,l’empêchant de jamais atteindre sa destination.
Pensez-vous,chers amis que cette histoire ne serait rien d’autre qu’une légende romanesque?
Deux siècles plus tard
Et pourtant,deux siècles plus tard,deux hommes mourraient à bord de » La Bacchante ».Deux hommes qui avaient vu quelque chose qui les avait glacés de terreur.Tous deux avaient-ils lu les mots « Hollandais Volant »?Et dans ce cas,était-ce la dernière apparition du vaisseau maudit de Vanderdecken?
Non!
En 1911,un baleinier appelé la « Orkney Belle » croisa un vaisseau fantôme au large de Reyjkavik.L’équipage le décrivit plus tard comme portant d’immenses voiles qui se gonflaient malgré l’absence de la moindre petite brise.Son étrave éperonna presque le flanc du baleinier.Plusieurs marins prétendirent avoir lu les mots « Hollandais Volant »,juste avant que les trois sons de cloche ne résonnent tristement.Le spectral visiteur avait alors viré sur tribord et disparu.Un an plus tard,la « Orkney Belle » coulait,victime d’un destroyer allemand.
En 1939, un bateau semblable fut vu par une douzaine de personnes qui se baignaient àGlencairn Beach, une plage d’Afrique du Sud, au sud-est du Cap. Le navire, qui avait toutes ses voiles gonflées, a traversé la mer à vive allure bien qu’il n’y ait pas la moindre brise.
Ces derniers temps,aucune rencontre du « Hollandais Volant » n’a été signalée.Peut-être les puissances célestes ont-elles pardonné…,peut-être que l’ombre de Cornélius Vanderdecken est devenue inoffensive.D’autre part,la malédiction peut fort bien être toujours valide et franchir l’abime des siècles,parfaitement intacte.
Il est fort possible qu’un jour,soit un plongeur ou l’équipage d d’un sous-marin détecte un grand voilier sur lequel sera tracé le nom si redouté de « Hollandais Volant »!
Mais s’ils ont un peu de sagesse,ils auront déjà détourné les yeux.Lire les deux mots « Hollandais Volant » est synonyme de mort!
Trois cents ans après ,le fantôme de Cornélius Vanderdecken ,accompagné d’un « Esprit Infernal » ,est peut-être encore sur la passerelle…attendant dans l’ombre !
NOTES
Au Cap de Bonne-Espérance,et en plusieurs lieux faisant face à l’océan,des croix sont dressées afin d’éloigner la malédiction du « Hollandais Volant »!
Cette légende inspira, en 1834, une nouvelle au poète allemand Heinrich Heine : les Mémoires de Monsieur de Schnabelewopski qui, mêlée à d’autres éléments de la légende, servit de thème au livret de l’opéra de Richard Wagner créé en 1843.
En 1933,les postes du Reich allemand imprimèrent un timbre commémoratif sur le thème du « Hollandais Volant ».
(1)Le prince Albert-Victor notera dans son carnet personnel:
« Au milieu d’une lumière rouge, on distingua nettement les mâts, les vergues et les voiles d’un brick à environ deux cents yards par bâbord avant. Le veilleur d’étrave signala le navire très proche et l’officier de quart le vit aussi, clairement, de la passerelle. Le midshipman de service l’aperçut également et fut envoyé sur le gaillard d’avant, mais, quand il y arriva, il ne put voir aucun signe de bateau matérialisé. La nuit était claire, la mer calme. Treize personnes au total ne pouvaient nier l’avoir vu. »
par Michel Duchaine
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