La pierre IKIBUYE CYA SHARI à la frontière du Burundi-Akanyaru. Les légendes anciennes du terroir racontent qu’à l’intérieur de la pierre , il y avait un autre monde, dont vivent aussi les autres humains…Légende racontée par les anciens des villages voisins.Sur une immense étendue de terrain,cette pierre est unique.D’ou vient-elle?.
Photo satellite montrant clairement l’existence du fameux pont construit 5,100 ans environ avant Jésus-Christ.
Rama serait descendu du Ciel sur Terre…il aurait bâti un pont reliant l’Inde au Sri Lanka,il y a plus de 7,000 ans.Comment des hommes de la préhistoire auraient bâti une pareille oeuvre technologique sans …supervision?
Le pont récemment découvert (depuis l’espace par les astronautes des navettes spatiales et les engins russes) est constitué d’une chaîne de hauts-fonds et de 30 kilomètres de long dans le Détroit de Palk et couramment appelé Pont d’Adam entre Bharat et Sri Lanka,nous révèle qu’il y a derrière lui un mystère.
La courbure unique du pont et sa composition par l’âge révèle qu’il a été fait par l’homme. Tant la légende que les études archéologiques montrent que les premiers signes d’habitants humains à Sri Lanka remontent à un âge primitif, il y a environ 1.700.000 années et l’âge du pont est pratiquement équivalent. Cette information est un aspect crucial pour pénétrer dans la mystérieuse légende appelée Ramayana que l’on suppose avoir eu lieu au Treta Yuga (il y a plus de 1.700.000 ans).
Dans cette épopée il est fait mention d’un pont construit entre Rameshvaram (dans l’Inde du Sud) et la côte de Shri Lanka sous la supervision d’un personnage dynamique et invincible appelé Rama, supposé être l’incarnation du Suprême. Cette information peut ne pas être de grande importance pour les archéologues qui s’intéressent à explorer les origines de l’homme, mais il est certain qu’elle ouvrira les portes spirituelles des personnes du mondes qui en sont venues à connaître une histoire ancienne liée à la mythologie indienne. «
Autre photo du pont Hanuman ou pont d’Adam…vue de l’espace.
NASA – Le Pont d’Hanuman – Une merveille préhistorique du modeL’auteur, avec 40 années d’expérience de recherche scientifique pourrait être l’un des très rares scientifiques qui ont fait des recherches sur le Ramayana de Valmiki depuis 1975, sur les problèmes clés pour les chercheurs du monde entier pour savoir si le Ramayana était un mythe si les Vanaras étaient des singes comme certains le pensent, et si des singes ou des anciens hommes ont construit le Pont d’Hanuman. Ces questions clés sont matière à une grande signification scientifique, historique et anthropologique pour le monde laissé dans l’ignorance, car elles nécessitent une étude sérieuse des deux livres volumineux du Volumineux Ramayana. Avec quelque connaissance pratique du Rig Veda, du Yajur Veda, du Matropasana etc., l’auteur a entrepris des années de recherche scientifique profonde sur ces problèmes clés et est parvenu à des conclusions claires. L’auteur a écrit plusieurs article sur le Ramayana de Valmiki et a organisé des sites web pour l’examen attentif du public.
Le fond de l’étude est le Setu, grande masse de terrain faisant le pont entre l’Inde et Sri Lanka et qui ressemble, comme un doigt, à des projections d’un côté et d’autre que l’on ne voit nulle part ailleurs sur la côte maritime, ce qui élimine la possibilité d’une formation géologique..
Aucune preuve que le Setu a été fait par des hommes
Il n’y a d’un côté aucune preuve documentaire que le Setu, grande basse de terrain faisant le pont entre l’Inde et Sri Lanka, ait été construit par des hommes. Ironiquement, tant les Britanniques que les historiens indiens actuels sont incapables de dire qui a véritablement construit le Setu.
Preuve documentaire : le Setu a été faits par des non-humains
Aussi y a-t-il ici des preuves documentaires convaincantes qui viennent du texte ancien, le Ramayana de Valmiki, selon lequel les Vanaras, les Golangul et les Rukshyas qui ont existé à la période du Ramayana il y a des milliers d’années l’ont construit. Preuve matérielle et archéologique montrant que des civilisations parallèles aux humains ont existé à la période du Ramayana, avec des capacités ou des compétences supérieures à celles des humains. La longue carrière académique de l’auteur à L’Institut Indien des Sciences Médicales de New Delhi lui a permis de les montrer comme une civilisation différente qui existait parallèlement aux humains à la période du Ramayana.
L’architecte du Setu
Le Ramayana de Valmiki fourni des détails précis sur la construction du Setu. Construit par l’architecte Nala sans utiliser d’outils, ce pont historique qui devait résister à la charge de 1016 forces Vanara, Golangul et Rukshya forces pour traverser les mers témoignait d’une vie de permanence. A l’évidence, un tel architecte hautement compétent existait dans d’autres civilisations dans l’Inde ancienne, alors que des humains ne peuvent pas accomplir cette sorte de formidable tâche, même aujourd’hui. Construire une vaste zone terrestre comme un pont, ce juste en cinq jours par les Vanaras, comme Valmiki le décrit, donne un aperçu important de leurs capacités supérieures à celle des humains. Le pont a été construit sous le commandement suprême du prince d’Ayodhya, le Seigneur Rama, avec l’aide des chefs Vanaras y compris le Seigneur Hanuman, et du chef Rukshya Jambavan. Les Vanaras et l’armée Rukshya ont construit le pont pour traverser la mer dans la seule intention de libérer Sita, l’épouse de Rama, prince d’Ayodhya, qui avait été enlevée par le roi rakshasa Ravan dans un endroit proche de Nasik.
Le Pont- un record préhistorique mondial à plusieurs points de vue jamais battu par les humains
Ca a été le pont le plus ancien, le plus long et le plus large jamais construit dans le monde, en un temps très court : juste 5 jours, sur une mer turbulente qui avait probablement de 20 à 200 m de profondeur. Non pas comme un pont étroit ou une route suspendue comme en construisent de nos jours les humains au-dessus des routes ou au-dessus des rivières, mais une zone terrestre très large que des satellites peuvent voir comme ils voient la Muraille de Chine. Ca a été la merveille préhistorique du monde, bien supérieur aux Sept Merveilles du Monde faites par les humains.
Crédibilité du Ramayana de Valmiki
Détails géographiques justes donnés sur le Setu
Valmiki Maharshi a compose l’histoire de Rama intitulée ‘Ramayana’ en slokas sanskrits. Ce qui surprend tout le monde est que Valmiki donne les détails géographiques les plus justes sur la zone, quand la cartographie, la photographie aérienne, les images par satellite et la géographie n’étaient pas encore connus de l’homme. Valmiki Maharshi a fait une description claire dans le Ramayana, comme un géographe, de l’endroit où se trouvait la première zone terrestre la plus large et la plus longue jamais construite sur la mer profonde reliant l’Inde (appelée Bharat dans les temps anciens) et Sri Lanka, là où se situait la Lanka historique de Ravana. Lors du vol de retour à Ayodhya à bord du Pushpak Vimana (ancien aéronef qui existait et qui a aidé Rama à retourner à Ayodhya) Rama a fait remarqué à Sita le pont le plus difficile construit sur la mer salée that is no famous a ‘Nala-Setu’ (sloka 17, page 1429, 8me édition, Srimad Valmiki Ramayan Gita Press, Gorakhpur, Uttar Pradesh). Pour confirmer ce que Valmiki a écrit sur la construction du Setu par l’armée Vanara,, on peut même le voir dans les Atlas d’école.
L’Hindustan Times a présenté un article le 10 octobre 2002 : Des images de la NASA montrent un Vieux Pont Fait de la Main de l’Homme vieux de 1.750.000 ans, quoique l’âge du pont demande à être confirmé par des méthode de datation comme la datation à l’uranium.
Détails techniques
Il donne des détails précis : qui a été impliqué dans la construction du pont, leur nombre, les matériaux qu’ils ont utilises, la source des matériaux le transport des matériaux et le temps pris.
Détails historiques
La description graphique que Valmiki donne de l’histoire de la vie de Rama, des civilisations humaine, Vanara, Rukshya et Rakshasa qui existaient alors lui valent la distinction d’être qualifié de ‘premier historien’.
La vue des historiens sur le Setu
L’ancien nom Bharat ou Bharat Khand a été change en Inde ou Hinndustan lors de la domination étrangère. ‘Religion védique’ a été changé en ‘Hindouisme’. Le changement des noms de nombreuses villes et de sites historiques et religieux a efface le passé historique de la mémoire des gens. Le Setu qui reflète les glorieuses civilisations Vanara, Golangul et Rukshya ainsi que l’exploit unique du Seigneur Rama dans l’histoire humaine n’a pas été épargné. En changeant son nom en Pont d’Adam, l’effet est évident. Les Indiens d’aujourd’hui ne sont pas surs que ce soit le même Setu. Même lorsque les images satellite de la NASA montraient que c’était le même « ancien pont mystérieux entre l’Inde et Sri Lanka, comme il est dit dans le Ramayana », des scientifiques et historiens indiens ont argumenté contre :
Rama…le grand bâtisseur.
Le Pont d’Hanuman est un mythe : les experts
The Times of India – Samedi 19 octobre 2002
New Delhi: Après la Nasa, c’est au tour des experts indiens de déclarer qu’il n’existe pas de preuve reliant le pont mythique de Lanka construit par Hanuman à la chaîne de bancs de sable que la camera de l’agence spatiale US a capture en travers du Détroit de Palk. L’éminent astrophysicien J V Narlikar, lorsque nous l’avons contacté à Pune, nous a dit qu’il avait vu des comptes-rendus revendiquant le pont mythique, mais qu’il n’y avait aucune preuve pouvant suggérer que ce qui avait été localisé avait des liens avec le pont mentionné dans le Ramayana. « Il n’y a aucune preuve archéologique ou littéraire pour supporter cette revendication. « , a dit au Times of India à Patna l’historien éminent R S Sharma. « Le Ramayana lui-même n’est pas si ancien. Et il n’y a pas eu d’habitation humaine il y a 1,75 million d’années » (1) , a dit Sharma, autorité reconnue dans le domaine de l’histoire ancienne de l’Inde. Le témoignage le plus ancien, celui du Ramayana se situe autour de 400 av. JC et passe à travers cinq strates, ses shlokas se multipliant et passant de 6.000 à 24.000 dans les années 1.200 apr. JC. « Même si vous voulez faire confiance au témoignage littéraire, le témoignage littéraire le plus ancien remonte à 1500 av. JC. » Sharma dit que même la localisation du pont et celle de l’ancienne Lanka doivent encore être établies de manière convaincante. Vaishnava News Network et quelques autres réseaux d’informations basés aux US ont clamé que la NASA avait « découvert » les restes du pont connu dans le folklore comme Hanuman Setu – à cause du rôle d’Hanuman et de ses troupes de singes dans sa construction – au travers du Détroit de Palk qui relie l’Inde à Sri Lanka. Ce pont est supposé avoir été capturé de l’espace par les caméras de la NASA. Mais la NASA a officiellement démenti cette prétention, en disant que l’agence ne pouvait pas fourni d’information scientifique sur l’origine ou l’âge de la chaîne d’îles, et qu’elle ne pouvait assurément pas déterminé si des humains avaient été impliqués dans la production des motifs que l’on voyait. » L’agence US disait que ce qui avait été capturé n’était rien de plus qu’une chaîne de hauts-fonds de 30 kms de long formés naturellement et appelés Pont d’Adam. D N Jha, professeur d’histoire à l’Université de Delhi, dit que ce que les caméras de la NASA avaient capturé était une formation géologique. Que la question avait « plus à voir avec la géologie qu’avec l’histoire » étant donnée cette affirmation d’un page de 1.750.000 ans. « Relier cela à Rama ou au Ramayana est ridicule. Relier n’importe quoi que l’on trouve avec le Ramayana ou le Mahabharata peut être de la mythologie, mais ça n’est certainement pas de l’histoire », dit Jha.
Couronnement de Rama :notez les corps peints en bleu.
Age du Setu
The Hindustan Times a fait paraître un article le 10 octobre 2002 Les images de la NASA montrent un Pont fait par l’homme vieux de 1.750.000
La navette de la NASA a pris des photos d’un ancien pont mystérieux entre l’Inde et Sri Lanka, tel que mentionné dans le Ramayana. Le pont récemment découvert, généralement appelé Pont d’Adam et constitué d’une chaîne hauts fonds de 30 kms de long dans le Détroit de Palk entre l’Inde et Sri Lanka, laisse voir un mystère derrière lui. La courbure unique du pont et sa composition due à l’âge révèle qu’il a été fait par l’homme. La légende comme les étude archéologique révèlent que les premiers signe d’habitant humains à Sri Lanka remonte à l’âge primitif il y a environ 1.750.000 ans et l’âge du pont est aussi à peu près le même.
Mon commentaire : Les images satellite de la NASA et son estimation de l’âge du Setu à 1.750.000 ans ont fixé de manière correcte la période du Ramayana (2) , alors que les historiens et les savants lui attribuaient arbitrairement, en l’absence de ressources scientifiques, quelques centaines ou quelques milliers d’années av. JC. Une chose sure est que la période du Ramayana est vieille de 1,750,000 années ou catégoriquement plus ancienne que celle donnée précédemment pas les historiens. Cela établit directement que le Sanskrit utilisé dans le Ramayana et le Yajur Veda etc.. que Rama a appris de Vashishta Maharishi a plus de 1.750.000 ans ou est tout au oins plus ancien que ce que l’on pensait auparavant.
Référence au Setu dans le Ramayana de Valmiki
PREMIERE SUGGESTION Sugriva a suggéré de construire le Setu et a ajouté que les Vanaras étaient là qui pouvaient changer leur forme physique à volonté (sloka: 12, page 1053)
Mami-wata,principale « divinité maritime » de la tradition ancestrale Africaine
MamiWata vient de « Mother water », vite transformée en « Mommy Water », puis en « Mammy water », et enfin en « MamiWata ».
Mamiwata est la Mère des eaux, mi-femme mi-poisson, mi-terrestre mi-aquatique, déesse du culte vodun au Togo et au Bénin, esprit de l’eau craint par les pêcheurs du Nigeria et du Ghana, mangeuse d’Hommes qui erre dans la nuit africaine sous les traits d’une revenante, sainte patronne des prostituées de Kinshasa. Mamiwata est une divinité qui est l’objet d’autant de cultes que d’adeptes. Héroïne de contes lacustres et de légendes urbaines, elle recouvre autant de symboles que de cultures, et incarne autant de vertus que d’espoirs, autant de maléfices que de peurs.
Cette sirène est l’une des rares déités de la mythologie africaine à être représentée, picturalement parlant, sous des traits et une forme récurrents. Les Dieux du panthéon Yoruba, sont presque les seuls à posséder des effigies et des représentations humaines. Rappelons que l’une des caractéristiques de la spiritualité africaine, est sa capacité à « animer » des objets et des êtres appartenant au monde animal, végétal ou minéral, en leur reconnaissant une âme et une existence propre. Mais également en les investissant de pouvoirs et de symboles, permettant aux hommes de communiquer avec le monde « invisible », celui des morts et des esprits.
Mami-wata ,sculpture de Côte d’Ivoire.
Les mythes des origines, de la création, la cosmogonie, qui permettent d’expliquer l’origine, l’essence et le sens du monde, sont symbolisés, chez la plupart des peuples africains, par des éléments naturels comme l’eau, la terre ou le feu, par des animaux-totems incarnant l’être primordial, par des figures ancestrales, héroïques ou légendaires. La majorité des éléments qui composent leur univers spirituel est donc déjà dans la nature, elle est la nature elle-même. Mamiwata, en plus d’être un être hybride, est une divinité étrangère. Etrangère aux hommes et étrangère à la nature. C’est une créature supranaturelle, car elle incarne le croisement de trois mondes : animal, humain et spirituel. Cette hybridité, qui est en fait une difformité, car elle fait de Mamiwata un « monstre », lui confère paradoxalement tous ses pouvoirs. Mamiwata est également la seule divinité africaine, vénérée ou connue dans un espace géographique rassemblant des cultures et des peuples aussi divers que les Ibo du Nigeria, les Ewé du Bénin, les Bamiléké du Cameroun et les Kongo de la RDC. Bien qu’elle soit l’objet de cultes différents et soit rattachée à des symboles bien particuliers selon les ethnies, les croyances, mais aussi les milieux sociaux, on peut dire que Mamiwata est une déesse « panafricaine ».
En se basant sur la localisation « côtière » des pays où le culte de Mamiwata est le plus répandu, à savoir le golfe de guinée, pour le Nigeria, le Ghana, le Bénin et le Togo, et l’Afrique Centrale pour le Cameroun et la RDC, certains chercheurs sont arrivés à la conclusion que Mamiwata, dans sa représentation moderne, est apparue pour la première fois en Afrique au 15ième siècle, au moment où les Européens ont abordé les côtes du continent noir. La sirène aurait été introduite en Afrique, à la fois par les récits des marins européens, mais également par les figures de proue de leurs navires, qui représentaient très souvent cette créature fabuleuse. Au milieu du 19ième siècle, une autre image, intitulée « la charmeuse de serpents », inspirée des déesses hindoues, fut emmenée en Afrique. Elle circula abondamment en Afrique de l’ouest, où elle fut perçue comme une peinture mystique, par son étrangeté, par la puissance et la beauté de la figure féminine, dont les traits ressemblaient à ceux d’une africaine. De plus, le thème du serpent s’accordait avec les croyances africaines sur cet animal sacré. Il est plus probable que ces images et ces récits aient influencé la représentation figurative de Mamiwata, en lui donnant un visage et des caractères « humains », mais ils ne l’ont pas inventée. Les Africains n’ont fait que s’approprier ces éléments extérieurs, ils les ont réinventés afin de mieux les intégrer à des croyances existant déjà.
Les divinités aquatiques ou lacustres étaient déjà très nombreuses, en Afrique de l’ouest comme en Afrique centrale. On vénérait dans la culture Ibo du Nigeria les ndi mmili, esprits de l’eau, tandis que dans la civilisation Kongo, ces esprits portaient le nom de mbumba, et faisaient souvent référence à un grand serpent mythique. La divinité Mamiwata a été intégrée au panthéon des dieux préexistants du vodun sur les bases d’une ou de plusieurs déités de l’eau, mais surtout par le biais du culte Dan du python royal, pratiqué par les Mina, les Ewé, les Adja, les Fon, les Yoruba et les Ibo.
La religion vodun ayant traversé l’Atlantique avec les esclaves africains durant près de quatre siècles de traite, la sirène Mamiwata est également très présente dans certains cultes de la diaspora noire. En particulier ceux du Candomblé au Brésil, où elle porte le nom de Yemanja, et ceux de la Santeria à Cuba, où les descendants d’esclaves africains l’ont baptisée Yemoya. Mamiwata est donc une combinaison subtile de croyances africaines et d’imageries à la fois européennes et indiennes. L’aspect « étranger » de Mamiwata a d’ailleurs toujours été fortement souligné dans sa représentation picturale, comme symbole des bouleversements culturels apportés par la traite négrière et la colonisation européenne.
Mamiwata, en tant qu’allégorie du pouvoir et de la violence coloniale, symbolise l’influence négative du monde extérieur sur les valeurs africaines. La déesse vient du monde des eaux, des mers, des océans par lesquels sont venus les premiers navires portugais, puis hollandais, anglais et français, qui ont emporté des millions d’esclaves vers les Amériques, et ont imposé leurs pouvoirs politique, économique et culturel. Bien que sa représentation physique et son symbolisme varient selon les cultures, dans sa représentation la plus commune, tout chez Mamiwata rappelle l’homme blanc des périodes coloniale et contemporaine. Ses caractéristiques physiques sont celles d’une européenne (peau blanche et cheveux longs), comme l’est aussi son tempérament (autoritaire, égoïste, vaniteuse avec un fort sentiment de supériorité), ses mœurs (libre, amorale et individualiste) et ses pouvoirs (liés à l’argents, aux signes extérieurs de richesse et à la réussite économique). Mais en dépit de tout ce syncrétisme, ce mélange d’influences et de symbolismes, Mamiwata est bien une divinité africaine. Elle est pour beaucoup une allégorie, une projection des désirs sexuels, des difficultés économiques, des espoirs d’ascension sociale. Son hybridité et sa « monstruosité » reflètent avant tout le désarroi des sociétés africaines face à leurs propres mutations, entre tradition et modernité, entre authenticité et aliénation.
Dans les pays d’Afrique centrale, comme le Cameroun et la République Démocratique du Congo par exemple, cette divinité ou plutôt son esprit, apparaît au cœur des grandes villes, de préférence à la tombée de la nuit. Elle est très présente également sur les marchés, autre allégorie du monde invisible, qui par leur affluence attirent la convoitise des revenants et des mauvais esprits. Mamiwata apparaît surtout dans les bars et les lieux de débauche, toujours sous les traits d’une très belle femme qui entraîne les hommes dans la folie. Dans le folklore congolais, Mamiwata est une prostituée qui tente et pervertit les hommes. Elle symbolise toutes les dérives liées à la sexualité : la polygamie, l’infidélité, mais surtout le SIDA.
Le mythe de Mamiwata est loin d’être figé. Il se nourrit chaque jour des nouveaux symboles que lui confèrent ceux qui se l’approprient. Comme tous les mythes, Mamiwata a pour fonction d’incarner une vision du monde positive ou négative. Qu’elle soit un repère spirituel ou un bouc émissaire, elle constitue un mode d’expression des rêves et des peurs que suscitent en Afrique les incertitudes du monde moderne.
Les quatre grands Dieux Tiki représentaient les Forces hawaïennes de la Nature personnifiée!
Ku – Ancien dieu de la Guerre Tiki Dans la mythologie hawaïenne Ku est l’un des quatre grands dieux avec les anciens dieux tiki, Kanaloa, Kane, et Lono. Il était l’époux de la déesse Hina , suggérant un dualisme complémentaire que le mot ku dans la langue hawaïenne signifie « debout » tandis qu’un sens de «hina» est «tombé en panne. »
Ku est adorée sous de nombreux noms, y compris Ku-ka-ili-Moku, le « Seizer de terre» (une plume-dieu, le gardien de Kamehameha). Rituels compris les sacrifices humains, qui ne faisait pas partie du culte des autres dieux. Ku, Kane, et Lono causé la lumière de briller, sur le monde. Ils sont des dieux incréé qui ont existé de toute éternité (Tregear 1891:540).
Lono – Ancien Tiki Dieu de la fertilité et de la paix Dans la mythologie hawaïenne, Lono est un taux de fécondité et de la musique dieu qui est descendu sur Terre à bord d’un arc de se marier Laka. Dans les traditions agricoles et de plantation, Lono a été identifié avec la pluie et la nourriture des plantes. Il était l’un des quatre dieux (avec Ku, Kane, et son frère jumeau kanaloa) qui existaient avant la création du monde. Lono était également le dieu de la paix. En son honneur, la grande fête annuelle de la Makahiki a eu lieu. Au cours de cette période (d’Octobre à Février), tout travail inutile et la guerre était Kapu (tabou). C’est aussi la saison des impôts, olympique comme les jeux et lorsque les chefs regroupé leurs forces (et les campagnes organisées ironiquement).
Lono et la mort du capitaine Cook Certains Hawaïens croyaient que le capitaine James Cook était le dieu Lono,de retour, et même ce fait a peut-être finalement contribué à la mort du capitaine Cook (voir James Cook – troisième voyage (1776-1779)). Cependant, il n’est pas certain que Capitaine Cook a été pris pour le dieu Lono ou l’un des personnages historiques ou légendaires qui ont également été désignés comme Lono-i-ka-Makahiki. Selon Beckwith, il y avait en effet une tradition qu’une telle manifestation humaine du dieu [Lono] avaient effectivement apparu, jeux établis et peut-être la taxation annuelle, et est ensuite parti à « Kahiki», promettant de revenir « par la mer sur des pirogues» Auwa’alalua « , selon la note de prose. « Un homme espagnol de la guerre» traduit la reine, se rappelant une tradition de l’arrivée d’un galion espagnol battu sur son cours dans les premiers jours de l’exploration du Pacifique, « une très grande pirogue double » est rendu plus littérale de Mme Pukui, de «Au [hau] Wa’a-l [o] a-lua. La méduse bleue navigué que nous appelons Hawaïens « portugais homme de guerre» proprement parler, peut-être la moitié en dérision, comme «Auwa’alalua. La mère a honoré le fils de Keawe, peut-être né propitiously pendant la période de la Makahiki, en lui donnant le nom de Lono-i-ka-Makahiki, voir peut-être chez l’enfant un symbole de retour promis du tiki dieu. « (Beckwith 1951).
Kane-antique Tiki Dieu de la Lumière et de la Vie Dans la mythologie hawaïenne, Kane Milohai est le père des dieux tiki Ka-Moho-ali’i, Pelé (qu’il a exilé à Hawaii), Kapo, Namaka et Hi’iaka par Haumea. Il a créé le ciel, la terre et le ciel supérieur et a Kumu-Honua le jardin. Il possédait un petit coquillage qui, lorsqu’il est placé sur les vagues de l’océan, se transforme en un immense voilier. L’utilisateur du bateau n’avait simplement qu’à indiquer sa destination et le bateau l’emmene là-bas. Dans les traditions agricoles et de plantations, Kane a été identifié avec le soleil.
Le mot Kane seul signifie «homme». Comme une force créatrice, Kane était le père céleste de tous les hommes. Comme il était le père de tous les êtres vivants, il était un symbole de la vie dans la nature.
Dans de nombreux chants et les légendes de l’ancienne Hawaii, Kane est jumelé avec le dieu kanaloa, et est considéré comme l’une des quatre grandes divinités hawaïennes avec kanaloa, Ku et Lono.
Autrement connu comme Kane, Kane-Hekili (« Tonnerre » ou « rupture de l’éclair dans le ciel»), Kane Hoalani.
Kanaloa – Ancien Tiki Dieu de la mer Kanaloa est l’un des quatre grands dieux de la mythologie hawaïenne, avec Kane, Ku et Lono. Il s’agit de la forme locale d’une divinité polynésienne généralement relié à la mer. Divinités à peu près équivalents sont connus comme Tangaroa en Nouvelle-Zélande, Tagaloa à Samoa, et Ta’aroa à Tahiti.
Dans les traditions de l’ancienne Hawaii, kanaloa est symbolisé par le calmar, et est généralement associée à Kane dans les légendes et les chants où ils sont dépeints comme des pouvoirs complémentaires (Beckwith 1970:62-65). Par exemple: Kane a été appelée lors de la construction d’un canot, kanaloa pendant la navigation de celui-ci; Kane régi la bordure nord de l’écliptique, kanaloa le sud, les points Kanaloa à ressorts cachés, et Kane tape ensuite pour les sortir. De cette façon, ils représentent une dualité divine des forces sauvages et apprivoiser comme celles observées (par Georges Dumézil, et al.) En indo-européen dieu principal-paires comme Odin-Tyr et Mitra-Varuna, et comme le très populaire yin-yang du taoïsme chinois.
Les interprétations sur kanaloa le voient comme un dieu du mal qui s’opposent à la bonne Kane (une lecture qui défie leurs invocations jumelés et les dévots partagés dans l’ancienne Hawaii) est probablement le résultat d’efforts des missionnaires européens afin de refondre les quatre divinités majeures d’Hawaii à l’image de la Trinité chrétienne ainsi que sur Satan.
Les 4 Grands Dieux Tiki
Dieux mineurs et légendes Tiki
Kauhuhu – Le Dieu de requin de Molokai Kauhuhu vit dans une grotte sur le flanc d’une falaise haute de l’océan qui est protégée par deux dragons hawaïens antiques. Il arrive à sa caverne en prenant la huitième vague d’une série de vagues géantes. Il dévorait tout homme qui l’a vu et ses dragons tuent quiconque est entré dans sa grotte. Une fois cependant il a trouvé un homme dans sa cave et rapidement jetés sur lui et l’avait fait entrer à mi-chemin dans sa bouche quand il a eu pitié de lui. L’homme, Kamalo, a pu expliquer assez rapidement que ses fils avaient été assassinés pendant la lecture d’un puissant chefs tiki ,aux tambours. Le chef, Kapu, était très puissant et tout le monde le craignait donc Kamalo a dû chercher Kauhuhu, le dieu-requin.
Le dieu-requin avait chargé Kamalo de retourner dans son village, dans la vallée Mapulehu et de préparer un sanctuaire avec de nombreux animaux sacrés et entouré de sacrés tapa blancs et de kapu personnel. Puis il devait attendre l’arrivée du dieu-requin. Un nuage géant pouvait flotter contre le vent au-dessus de l’île de Lanai. Il croîssait en taille et couvrait les montagnes au-dessus de Mapulehu Valley. De là, un arc en ciel apparaît et Kamalo savait que le requin Dieu était arrivé.
Kamalo est rentré chez lui et a pris soin des dieux requins du vieux prêtre (Kahuna) qui avait fabriqué une falaise, il a ensuite placé les états-majors kapu dans un grand anneau sur la falaise, l’escrime chez les animaux sacrés. Kamalo appelle tous ceux qui sont proches de lui pour vivre ensemble dans l’enceinte. Puis il attendit en surveillant Lanai.
Des Mois passèrent avant que le nuage est apparaisse, il a voyagé contre le vent et s’immobilise au-dessus des montagnes qui surplombait la vallée Mapulehu. Un arc en ciel est apparu et le vent a commencé à ramasser de la vigueur. Les Imposants nuages sombres bientôt explosèrent à l’intérieur et une grande tempête a commencé à faire rage. La foudre a éclaté dans le ciel et les pluies torrentielles se répandirent dans des quantités que l’île n’avait jamais connu. L’eau a dévalé les montagnes dans la vallée… dans une crue éclair. Le torrent s’est précipité de la montagne avec une telle force,entrainant tout ce qui précède, il balayait tout . La seule région qui n’a pas été dévasté était le sanctuaire avec les états-majors de kapu où Kamalo et ses disciples regardaient dans la crainte. La tempête a ravagé les terres et les eaux a inondé la vallée, lavant tout avant de le ranger. Kupa, sa maison, tous ses disciples et leurs biens ont été emportés dans la mer où les requins Kauhuhu attendaient de livrer la vengeance finale de Kamalo. Les eaux de la baie furent bientôt colorés en rouge avec le sang des Kupa et ses partisans.
Après cette journée de la baie était connu comme Aikanaka, qui signifie «mangeur d’hommes», et tout le monde a appris un grand respect pour la puissance de nuages sur les sommets au-dessus de leur village. Tout le monde qui a entendu l’histoire a aussi appris beaucoup de respect pour la puissance de la Shark Dieu, Kauhuhu.
Kaupe – l’homme-chien cannibale Dans l’ancien Hawaii, il y avait une classe de personnes appelées Olohe qui étaient glabre et souvent spécialisées dans la lutte et la rupture de l’os. Malheureusement, ils ont été également connus pour être des cannibales et des voleurs. Leur chef était Kaupe et il avait le pouvoir de se transformer en un chien géant. Il a utilisé ces pouvoirs pour traquer et tuer les hommes jusqu’à sa mort. Maintenant, il chasse les Hawaïens comme un chien fantôme.
Nightmarchers Dans la légende hawaïenne, « Nightmarchers » (huaka’i po ou « Ranks esprit», «oi’o) sont les fantômes des anciens guerriers hawaïennes. Certaines nuits, on dit qu’ils sortent de leurs lieux de sépulture au mois de mars, les armes à la main, les batailles passées ou à d’autres lieux sacrés. Toute personne vivant près de leur chemin peut entendre chanter et marcher, et doit aller à l’intérieur pour éviter tout préavis. Ils peuvent apparaître au cours de la journée si vous venez pour escorter un parent mourant au monde des esprits. Quiconque cherche à ou vu par les marcheurs mourra si au moins un parent est à l’intérieur des rangs des Nightmarchers, certaines personnes soutiennent que si vous mentez à plat ventre sur le sol, ils ne vous voient pas. D’autres disent que cela ne fonctionne que si vous êtes nu. D’autres encore disent que vous devriez être nu, se coucher face et feindre le sommeil. Placer les feuilles de ti (Cordyline sp.) Autour de sa maison est dit pour éloigner tous les mauvais esprits, et entraînera la huaka’i po pour éviter la zone. Un autre être venu des esprits vous protégera.
Un Dieu Tiki en 1905
Nanaue – L’homme requin Une fois, un roi des requins remarqua une belle princesse sur une plage hawaïenne. Il s’approcha d’elle sous la forme d’un grand chef humain et ils sont tombés amoureux. Ils se sont mariés et elle est tombée enceinte. Cependant, dans la nuit avant qu’elle ne donne naissance à son fils, Nanaue, le roi des requins est parti. Il a averti qu’elle de jamais laisser l’enfant manger de la viande et le remit à l’eau. Quand le garçon est né la princesse remarqua une fente sur son dos, elle le garda couvert et le cacha du village. Comme il a grandi cette fente est devenue une grande bouche de requin sur son dos qu’il a gardé couvert de tous. Quand le garçon a grandi pour être un homme qu’elle ne pouvait pas manger avec lui à cause d’un tabou strict envers les femmes et les hommes mangent ensemble. Un jour, le garçon mangeait de la viande et développé un goût vorace pour elle. Dès lors, il suivrait les gens à la plage quand ils sont allés nager, il serait alors se tourner vers la forme d’un requin géant et les mangeait comme ils revenaient au rivage. Cependant, après que beaucoup soient morts, le village est devenu méfiant et a déchiré la chemise de Nanaue off révélant la grande bouche de requin sur son dos.
Après beaucoup de luttes et de morsures vicieuses de la bouche de l’homme-requin,celui-ci revint dans le village.Les villageois le ligotèrent . Le grand chef a alors ordonné qu’un grand four sera construit et tout le monde a creusé un trou et placé des pierres en elle. Ils ont ensuite tenté de mettre en panne le Man Shark dans le four, mais il s’est ensuite transformé en forme de requin, claquer les cordes qui le liaient. Nanaue floppé, cassé les gens et finalement dévalé une colline dans une rivière qui coulait de la Waipio chutes. Les guerriers de la vallée ont couru le long de la côté de la rivière, en jetant des lances et des pierres sur le requin géant, mais aucun n’a osé entrer et avant qu’ils puissent obtenir leurs filets Nanaue nagé dans la mer.
Nanaue a nagé loin de la vallée Waipio et n’a pas été aperçu de nouveau jusqu’à ce qu’il refait surface à Maui ont été qu’ils n’avaient pas encore entendu parler de l’homme requin. Il a résidé près de Hana et a épousé leur chef, de belles femmes. Là, il a secrètement nourri les habitants de Maui jusqu’à ce qu’il devienne négligent et a été vu changer de forme et d’attaquer une victime. Les villageois ont alors lancé des canots et chassaient Nanaue hors de leurs eaux.
Nanaue plus tard refait surface à Maui où il s’installe près de Hana. Malheureusement, il n’avait pas perdu son goût pour la chair humaine, et il a commencé à se nourrir de villageois innocents. Un jour, il est devenu négligent cependant et a été repéré changer en forme de requin à poursuivre un nageur. Les guerriers de Maui ensuite déjeuné leurs canots et l’ont poursuivi à la place! En utilisant des lances et des filets qu’ils tentaient de capturer et de tuer l’homme requin, mais il a glissé loin dans le vaste océan.
Une fois de plus l’homme requin put renaître sur une île hawaïenne. Cette fois, c’était Molokai où il a commencé une nouvelle vie. Les nageurs ont commencé à disparaître de nouveau bien et la suspicion a été soulevée. Le réseau de Kahuna Hawaiian avait à cette époque, passer le mot sur le Shark Man et kahunas de Molokai dangereux mis tout le monde en alerte.
Un dessin moderne représentant l’Esprit Tiki
Les pêcheurs, qui étaient un élément essentiel de l’effort pour trouver l’homme de requin, a constaté un glissement de l’homme dans l’eau, puis un requin géant dans la mer. Ils ont prudemment inclinés leurs bateaux vers lui et alors jeté leurs filets. L’homme requin était empêtré, mais qu’il allait bientôt sortir, mais les guerriers de Molokai étaient prêts et ont lancé leur canot et rejoint la lutte. La grande forme de requin de Nanaue a été poignardé avec des lances et a inscrit plusieurs fois. Kahunas scandé et utilisé la totalité de leur magie pour saper le requin de sa grande force. La lutte terrible taché la mer rouge, mais la puissance de Molokai sur les pêcheurs, les guerriers et les kahunas s’est avéré être trop pour Nanaue. Il a finalement été traîné vers le rivage où il a été battu avec des bâtons de guerre, tailladé avec des armes tranchantes comme des dents de requins et poignardé avec des lances. Enfin, la forme du grand requin revenue à celle d’un homme avec une bouche de requin sur son dos, et des saignements de dizaines de blessures dans le surf teinté d’un rouge profond.
Le grand chef de Molokai alors ordonné le corps de Nanaue à être haché et les morceaux jetés dans un four. Les villageois étaient heureux de rendre service et telle fut la fin de la Nanaue. Bientôt la nouvelle au sujet de sa mort se répandit comme la fumée du four, et tous les Hawaïens respiraient mieux de savoir que l’homme requin avait été vaincu. (Pour une version plus voir hawaïen Mythologie) Lua-o-Milu – Land of the Dead Dans la mythologie hawaïenne, Lua-o-Milu est la terre des morts, gouverné par Milu. Âmes mortes entrent Lua-o-Milu par un sentier appelé Mahiki. Les esprits des morts peuvent regarder ce que font les vivants et les transformer en pierre par les regardant. (Voir voir hawaïen Mythologie pour plus d’informations)
Autres dieux hawaïens anciens Tiki Dans un récit de la création célèbre, le demi-dieu Maui pêché dans les îles d’Hawaï de la mer après une petite erreur qu’il a faite lors d’un voyage de pêche. De Haleakala, Maui pris au piège du soleil dans une autre histoire, le forçant à ralentir donc il y avait des périodes égales de l’obscurité et de lumière chaque jour. Pele est une autre divinité célèbre, le feu (en plus d’une façon) fille de Kane qui a amené la mer à Hawaii et provoque des coulées de lave.
Ancien Traîneau à Lava hawaïenne Traîneau de lave d’Hawaï (Hawaii: Holua he’e, « montagne surfing») est un sport traditionnel des autochtones hawaïens. Semblable à la vague surf, he’e Holua implique l’utilisation d’un 12 pieds long et étroit, 6 pouces traîneau en bois large (papaholua) fabriqué à partir de bois indigène comme Kau’ila ou Ohia. Le traîneau est utilisé debout, couchée ou à genoux, pour descendre les cours artificielles de pierre de lave, atteignant souvent des vitesses de 50 mph ou plus. Dans le passé, la luge de lave hawaïen a été considéré à la fois un sport et un rituel religieux pour honorer les dieux.
Même dans les traditions fricaines ,on retrouve cette légende de l’homme-requin,comme celui-ci provenant du Dahomey.
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »
Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »
On peut se demander à quoi ça sert. Après tout c’est vrai, quelques gouttes d’eau n’éteindront pas un feu de forêt. Une bouteille en plastique recyclée plutôt que jetée à la poubelle n’empêchera pas le réchauffement climatique. Une feuille de papier recyclé ne freinera pas la déforestation. Un bateau en fibre végétale en France ne changera pas la face du monde…
Des actions ponctuelles ne sont peut-être pas des révolutions, mais ce sont des changements, qui valent toujours mieux que de ne rien faire. Le feu ne s’arrêtera pas avec un seul colibri qui s’agite, mais s’ils sont 100, 1 000 ou même plus ? Une personne qui agit seule, ça ne change sûrement pas grand chose, mais c’est un début ! Et au final, c’est peut-être la meilleure action écologique, que chacun fasse sa part…
Légende amérindienne.
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