La compagnie gérante de la centrale accidentée de Fukushima,TEPCO, a reconnu mardi que la technologie de mur de glace qu’elle veut employer pour stopper les courants d’eau souterraine autour des réacteurs ne prenait pas dans le premier pan dressé entre un réacteur et la mer.
le mur de glace:une technologie qui n’est pas bien rodée et qui vient d’échouer.
Avant même de se lancer dans la construction d’un rempart de glace souterrain de 1,5 kilomètre tout autour des quatre réacteurs accidentés, la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) est en train d’employer la même technologie au pied du réacteur 2 pour stopper les fuites d’eau contaminée vers la mer depuis des tranchées souterraines.
Le pan de mur construit avec des tuyaux verticaux emplis d’un liquide réfrigérant pour congeler le sol ne prend pas comme prévu, bien que les opérations aient débuté il y a maintenant un mois et demi.
« Nous ne parvenons pas à faire baisser partout la température de l’eau pour qu’elle se transforme en glace », a expliqué un porte-parole de Tepco. »
Outre des déchets solides qui feraient obstacles, le courant empêcherait la prise du mur.
« Nous sommes en retard sur le calendrier mais prenons des dispositions supplémentaires« , a-t-il insisté. Tepco cherche notamment comment mieux contrôler les flux et augmente le nombres de tuyaux pour favoriser la glaciation.
Des experts extérieurs avaient d’emblée souligné la difficulté de mise en œuvre de cette technologie, arguant notamment que la longueur du mur prévu risquait de constituer un vrai défi technique.
L’eau contaminée dont le volume augmente chaque jour représente un des plus gros problèmes qu’aient à gérer Tepco et les autorités.
Plus d’un millier de gigantesques réservoirs de stockage plus ou moins fiables ont déjà été installés sur le site et un système de décontamination est censé nettoyer les centaines de milliers de mètres cubes de liquide souillé, mais il est régulièrement en panne et ne parvient pas à suivre le rythme.
Au moins 10 pieds d’élévation du niveau de la mer sont maintenant garantis dans le monde entier; c’est presque inévitable, et un fait accompli. Une banquise de deux miles d’épaisseur de glace s’est effondrée dans l’Antarctique Ouest,récemment.Les glaciologues ont redoutés ce moment depuis des décennies, mais ces dernières années, il n’a été plus qu’une question de temps et il n’y a rien qui ne peut l’empêcher de fondre maintenant.
Les chercheurs qui ont passé toute leur carrière à étudier la lenteur de la fonte des glaces antarctiques et celle de plus en plus inévitable des glaces permanentes (glaciers de montagne) de notre planète l’affirment. Ils le définissent fort bien dans deux nouvelles études debutant cette semaine ; une en sciences et une dans Geophysical Research Letters. Ils disent tous que nous devrions commencer à nous familiariser avec le niveau des mers qui baignent nos cotes jusqu’à 10 pieds plus haut d’ici peu de temps:une affaire de décennies.
Bien avant l’effondrement de la calotte glaciaire de l’Antarctique Ouest ,Thwaites, un organisme appelé Central climat créé cette carte interactive qui montre comment différents niveaux de l’élévation du niveau de la mer aura un impact sur les États-Unis. Sinistrement et fortuitement, l’évaluation va jusqu’à 10 pieds-, le montant qui est maintenant immobilisé, mais en aucun cas,on ne définit ceci comme le minimum de l’élévation du niveau de la mer,que nous pouvons nous attendre à découvrir grâce au changement climatique. Allez-y, branchez votre ville en, et voir quelles sont les chances pour cent vous avez d’être chassés par la montée des eaux.
Par exemple, 99,5 pour cent de la population de la Louisiane, comme si elles n’ont pas assez souffert, sera à nouveau se plonger sous l’eau lorsque les mers montent de 10 pieds. Trente pour cent de toutes les maisons en Floride seront submergées; c’est 5,6 millions de personnes. Lauderdale, pour sa part, sera presque sous les vagues. Seulement 9 pour cent de New York City devra déménager face à la marée montante, mais alors, cela signifie que 700 000 personnes devront trouver de nouveaux foyers et c’est deux fois plus que la Nouvelle-Orléans.
Même si vous ne vivez pas au niveau ou près de la mer dans une de ces zones vulnérables, la crise que la hausse du niveau des océans apportera ,aura un impact sur tout; on devra soit payer des sommes énormes pour consolider les murs et préparer les digues, ou le chaos et le malheur vont régner en cas de catastrophe-un ouragan, par exemple. De toute façon, la montée des eaux est une force extrêmement déstabilisante.
Ce degré d’élévation du niveau de la mer pourrait prendre des décennies encore, la dernière étude scientifique nous dit qu’il faudra 200 ans pour faire fondre la totalité de la feuille, mais d’autres études disent que la fonte des glaces pourrait être plus rapide . Elle est entraînée par les eaux plus chaudes,et non pas de l’air plus chaud; dans l’ouest de l’Antarctique, ces grandes plaques de glace sont lentement chauffées par le bas, puis battues par les vents à part.Ce sont encore les plus féroce fonctions d’un monde au climat en changement,et…, les scientifiques émettent ainsi l’hypothèse de la fin d’une époque,la nôtre. Et le risque est d’autant plus grand que 10 pieds,ne sont qu’une infime partie des réserves réelles en eau glacée ,car la calotte glaciaire du Groenland et les autres banquises de l’Antarctique détiennent 200 pieds d’élévation du niveau de la mer dans leurs réserves bancaires apocalyptiques et adoucissantes.
Pendant que notre civilisation est menacée,que la biodiversité se meurt sous nos nos yeux et que nos Maîtres actuels du monde préparent une nouvelle guerre mondiale « rentable »,nos scientifiques commencent à donner plus de précisions à la « Fin inéluctable de l’Espèce Humaine…sur Terre ».
L’été dernier , les archéologues en Israël ont découvert une énorme structure sous la mer de Galilée .
Un énorme monument , en forme de cône a été découvert par une équipe d’archéologues israéliens en réalisant un relevé géophysique sur la mer sud de la Galilée .
» Selon un article publié dans l’International Journal of Nautical Archaeology , la structure a été construite,il ya plusieurs milliers d’années et plus tard submergé sous l’eau .
Il mesure 230 pieds ( 70 m) de diamètre et d’environ 39 pieds ( 12 m) de haut . Le poids estimé du monument est de plus de 60.000 tonnes .
» Le site ressemble à lieux de sépulture du début en Europe et a probablement été construit au début de l’âge du bronze. Il peut y avoir un lien avec l’ancienne ville voisine de Beit Yerah , le plus grand et la ville la plus fortifiée dans la région » , a expliqué le Dr Yitzhak Paz de l’Université Ben Gourion , le principal auteur de l’article présentant cette découverte.
» Les pierres qui composent la structure , ont probablement été amenés de plus d’un mile et disposés selon un plan de construction spécifique », a ajouté le co-auteur Professeur Shmuel Marco de l’Université de Tel-Aviv . «
La diffusion des vrais informations relatives à ce qui arrive ,à Fukushima ,a provoqué une réplique médiatique de la part des universitaires ,des politiciens en poste et des médias capitalistes …en vue d’un combat de lavage de cerveau !
Parler de dilution en milieu fermé il faut le faire. Avec une constante déversation d’eau contaminée dans l’océan il finira tôt ou tard par y avoir une concentration importante d’éléments radioactifs dans l’eau … Je veux dire faut pas être un génie pour comprendre qu’un élément à la durée de vie de 30 ans ne disparait pas dans l’océan alors qu’il est déversé de manière continue ( on parle de tonnes d’eau déversées quotidiennement ).
Visualisation de l’étendue des radiations dans l’océan Pacifique.
Quand à la santé des américain de la côte ouest, il y a bien eu des morts suite à Fukushima. L’année de la catastrophe la mortalité infantile a explosé sur la côte ouest des USA. Certes c’était du au panache radioactif et non à l’eau mais ça n’empêche pas que c’est un fait.Le nombe de gens atteint d’un cancer a aussi explosé depuis 2011 …une coïncidence?
Voyez ce qui ressort dernièrement des médias officiels ,dont le quotidien « Le Monde »:
Depuis la catastrophe, l’opérateur Tepco est en effet confronté à un problème majeur : celui des eaux radioactives. 400 000 tonnes d’eau, contaminées après avoir servi à refroidir les réacteurs, sont accumulées sur le site – 300 000 dans des réservoirs et le reste dans les sous-sol de la centrale. Conséquence : 300 tonnes d’eau contaminée (avec notamment du césium, strontium et tritium) finissent à la mer chaque jour depuis la nappe phréatique. Des fuites des réservoirs sont également régulièrement découvertes, comme nous l’avons expliqué dans cette vidéo :
Dans une étude publiée ce mois-ci dans la revue Deep-Sea Research, des scientifiques ont étudié la trajectoire dans l’océan du césium 137, l’un des radioéléments les plus persistants dans la mesure où sa demi-vie est de 30 ans (c’est-à-dire le temps au bout duquel la moitié des noyaux radioactifs se sont désintégrés).
Conclusion : le panache de césium 137 émis dans le mois qui a suivi la catastrophe devrait atteindre le nord-ouest de la côte américaine au début de l’année prochaine, mais à des niveaux sans danger pour la santé. Un puissant courant passant près des côtes japonaises, le Kuroshio, a en effet dilué la radioactivité en quatre mois à des niveaux inférieurs aux normes de l’Organisation mondiale de la santé, tandis que les tourbillons du Pacifique ont poursuivi ce processus de dilution. Les chercheurs prévoient des taux compris entre 10 et 30 Becquerels par mètre cube d’eau (Bq/m3) sur les côtes de l’Oregon et de l’Etat de Washington entre 2014 et 2020, et entre 10 et 20 Bq/m3 en Californie entre 2016 et 2025.
Ce graphique montre les concentrations en césium 137 à la surface des océans (entre 0 et – 200 mètres) en avril 2012 (a), avril 2014 (b), avril 2016 (c) et avril 2021 (d).
Ce graphique montre les concentrations en césium 137 à la surface des océans (entre 0 et – 200 mètres) en avril 2012 (a), avril 2014 (b), avril 2016 (c) et avril 2021 (d).
« Ces taux, s’ils sont environ dix fois supérieurs à ceux d’avant la catastrophe de Fukushima, restent malgré tout très faibles. Ils ne présenteront aucun danger pour la faune et la consommation de produits de la mer, commente Dominique Boust, responsable du laboratoire de radioécologie de Cherbourg-Octeville à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Avec une moyenne de 20 Bq/m3 d’eau, on devrait retrouver 2 Becquerels par kilo de poisson frais, ce qui est très en deçà du niveau maximum admissible en Europe, de 500 Bq/kg, ou au Japon, de 100 Bq/kg. »
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Conclusion finale de Michel Duchaine
Lentement mais surement ,les mensonges du système esclavagiste dans lequel nous vivons,vont se faire mettre à la une de l’information déformée des médias contrôlés par le Nouvel Ordre Mondial.
Déjà au Québec ,les médias contrôlés par GESCA (Power Corporation) et ceux contrôlés par Pierre Karl Péladeau ,ont commencé cette déformation de vérité.
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Parler de dilution en milieu fermé il faut le faire. Avec une constante déversation d’eau contaminée dans l’océan il finira tôt ou tard par y avoir une concentration importante d’éléments radioactifs dans l’eau … Je veux dire faut pas être un génie pour comprendre qu’un élément à la durée de vie de 30 ans ne disparait pas dans l’océan alors qu’il est déversé de manière continue ( on parle de tonnes d’eau déversées quotidiennement ).
Quand à la santé des américain de la côte ouest, il y a bien eu des morts suite à Fukushima. L’année de la catastrophe la mortalité infantile a explosé sur la côte ouest des USA. Certes c’était du au panache radioactif et non à l’eau mais ça n’empêche pas que c’est un fait.Le nombe de gens atteint d’un cancer a aussi explosé depuis 2011 …une coïncidence?