Fukushima: le complot médiatique de la science officielle se poursuit

La diffusion des vrais informations relatives à ce qui arrive ,à Fukushima ,a provoqué une réplique médiatique de la part des universitaires ,des politiciens en poste et des médias capitalistes …en vue d’un combat de lavage de cerveau !

Parler de dilution en milieu fermé il faut le faire. Avec une constante déversation d’eau contaminée dans l’océan il finira tôt ou tard par y avoir une concentration importante d’éléments radioactifs dans l’eau … Je veux dire faut pas être un génie pour comprendre qu’un élément à la durée de vie de 30 ans ne disparait pas dans l’océan alors qu’il est déversé de manière continue ( on parle de tonnes d’eau déversées quotidiennement ).

Visualisation de l'étendue des radiations dans l'océan Pacifique.
Visualisation de l’étendue des radiations dans l’océan Pacifique.

Quand à la santé des américain de la côte ouest, il y a bien eu des morts suite à Fukushima. L’année de la catastrophe la mortalité infantile a explosé sur la côte ouest des USA. Certes c’était du au panache radioactif et non à l’eau mais ça n’empêche pas que c’est un fait.Le nombe  de gens atteint d’un cancer a aussi explosé depuis 2011 …une coïncidence?

Voyez ce qui ressort dernièrement des médias officiels ,dont le quotidien « Le Monde »:

Depuis la catastrophe, l’opérateur Tepco est en effet confronté à un problème majeur : celui des eaux radioactives. 400 000 tonnes d’eau, contaminées après avoir servi à refroidir les réacteurs, sont accumulées sur le site – 300 000 dans des réservoirs et le reste dans les sous-sol de la centrale. Conséquence : 300 tonnes d’eau contaminée (avec notamment du césium, strontium et tritium) finissent à la mer chaque jour depuis la nappe phréatique. Des fuites des réservoirs sont également régulièrement découvertes, comme nous l’avons expliqué dans cette vidéo :

300-tons-radioactive-water in pacific

Dans une étude publiée ce mois-ci dans la revue Deep-Sea Research, des scientifiques ont étudié la trajectoire dans l’océan du césium 137, l’un des radioéléments les plus persistants dans la mesure où sa demi-vie est de 30 ans (c’est-à-dire le temps au bout duquel la moitié des noyaux radioactifs se sont désintégrés).

Conclusion : le panache de césium 137 émis dans le mois qui a suivi la catastrophe devrait atteindre le nord-ouest de la côte américaine au début de l’année prochaine, mais à des niveaux sans danger pour la santé. Un puissant courant passant près des côtes japonaises, le Kuroshio, a en effet dilué la radioactivité en quatre mois à des niveaux inférieurs aux normes de l’Organisation mondiale de la santé, tandis que les tourbillons du Pacifique ont poursuivi ce processus de dilution. Les chercheurs prévoient des taux compris entre 10 et 30 Becquerels par mètre cube d’eau (Bq/m3) sur les côtes de l’Oregon et de l’Etat de Washington entre 2014 et 2020, et entre 10 et 20 Bq/m3 en Californie entre 2016 et 2025.

Graphique strontium 137
Ce graphique montre les concentrations en césium 137 à la surface des océans (entre 0 et – 200 mètres) en avril 2012 (a), avril 2014 (b), avril 2016 (c) et avril 2021 (d).

Ce graphique montre les concentrations en césium 137 à la surface des océans (entre 0 et – 200 mètres) en avril 2012 (a), avril 2014 (b), avril 2016 (c) et avril 2021 (d).

« Ces taux, s’ils sont environ dix fois supérieurs à ceux d’avant la catastrophe de Fukushima, restent malgré tout très faibles. Ils ne présenteront aucun danger pour la faune et la consommation de produits de la mer, commente Dominique Boust, responsable du laboratoire de radioécologie de Cherbourg-Octeville à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Avec une moyenne de 20 Bq/m3 d’eau, on devrait retrouver 2 Becquerels par kilo de poisson frais, ce qui est très en deçà du niveau maximum admissible en Europe, de 500 Bq/kg, ou au Japon, de 100 Bq/kg. »

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Conclusion finale de Michel Duchaine

Lentement mais surement ,les mensonges du système esclavagiste dans lequel nous vivons,vont  se faire mettre à la une de l’information déformée des médias  contrôlés par le Nouvel Ordre Mondial.

Déjà au Québec ,les médias contrôlés par GESCA  (Power Corporation) et ceux contrôlés par  Pierre Karl Péladeau ,ont commencé cette déformation de vérité.

Alerte Fukushima no 2:sous la centrale se forme un marécage radioactif

Plus on arrose et plus la radioactivité pénètre dans le sol.
Plus on arrose et plus la radioactivité pénètre dans le sol.Malgré les efforts du gouvernement japonais et de la compagnie Tepco pour faire croire à un retour à la normale à Fukushima, la situation sur le site nucléaire reste extrêmement critique. Le sous-sol de la centrale est en train de s’affaisser dangereusement et un séisme risquerait de tout précipiter dans la mer. Voici une synthèse de la situation, trente mois après la catastrophe.

 

 

Trente mois après la catastrophe déclenchée le 11 mars 2011, la situation n’était toujours pas sous le contrôle de la compagnie Tepco, que l’Etat laisse en première ligne tout en la finançant. Le déluge d’informations et de communiqués émis par Tepco et les autorités concernant la situation a eu pour objet de faire croire au retour progressif à la normale grâce aux moyens mis en oeuvre. En fait la situation est telle que la construction d’un sarcophage complet serait nécessaire.

 

Par ailleurs, l’objectif a été de rassurer les populations et d’organiser au plus vite le retour de celles qu’il avait fallu évacuer. La réalité est que les populations sont les victimes du négationnisme nucléaire.

 

Un gigantesque sarcophage est nécessaire

 

Depuis le début, de l’eau de refroidissement est injectée dans les réacteurs. Cette injection reste nécessaire et le circuit n’est pas fermé. Une installation retraite l’eau récupérée, mais sans diminuer suffisamment sa radioactivité pour qu’on puisse la déverser dans la mer ; il faut donc la stocker. 300 000 m3 d’eau radioactive se trouvent ainsi contenus dans près d’un millier de cuves, qui commencent à fuir. Cependant, toute l’eau injectée dans les réacteurs n’est pas récupérée. Une partie de cette eau contaminée a envahi les sous-sols et des tranchées.

 

En outre Tepco et les autorités publiques ont reconnu en août que 300 m3 d’eau polluée – soit le tiers de ce qui est injecté chaque jour – rejoint la mer.
Tepco semble incapable de colmater les brèches, mais il n’est pas question d’arrêter ou de ralentir cette injection d’eau, l’état des réacteurs ne le permet pas. Bien au contraire, on a même appris en juillet qu’il était toujours nécessaire, comme on le fit au plus fort de la crise en 2011, d’y injecter de l’azote.

 

Au vu des informations récentes, il apparaît que le risque en cas de séisme ne concerne pas seulement, comme on le pensait jusqu’à présent, la piscine du réacteur n°4, mais la totalité du site de la centrale.

 

On peut soupçonner qu’ayant percé leurs cuves, les cœurs fondus des réacteurs ont enfoncé et fissuré les enceintes de confinement et les radiers de béton, ouvrant le chemin à l’eau de refroidissement qu’ils reçoivent. Elle se charge de radionucléides et les emmène dans les sous-sols, dans les tranchées et dans la nappe phréatique qui communique avec la mer. Ceci est cohérent avec toutes les données de relevés publiés par Tepco.

 

Le dessous de la centrale est en train de devenir un marécage radioactif. Un séisme violent pourrait provoquer un glissement de terrain qui emporterait le tout dans l’océan. Pour parer à cela, il faut envelopper le tout dans un gigantesque sarcophage. Pour le moment il n’en est rien dit officiellement.

Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), l'entreprise de service public que l'opéra en la centrale nucléaire sinistrée de Fukushima, estimez-vous que le dimanche a publié des chiffres sur la quantité d'eau contaminées par les radiations a coulé de son installation, le premier de ces données, la société a communiqués au public depuis 2011 de séisme et le tsunami Mars a provoqué une fusion du réacteur multiple à l'installation. TEPCO estime le montant total de l'eau radioactive déversée dans l'océan Pacifique depuis mai 2011 sera entre 20000000000000-40000000000000 becquerels.
Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), l’entreprise de service public qui opère   la centrale nucléaire sinistrée de Fukushima,  a publié des chiffres sur la quantité d’eau contaminées par les radiations a coulé de son installation, Sur les premieres  de ces données, la société a communiqué au public que  depuis 2011 le séisme et le tsunami de Mars 2011 qui  a provoqué une fusion multiple du réacteur  à l’installation. TEPCO estime le montant total de l’eau radioactive déversée dans l’océan Pacifique depuis mai 2011  s’estime  entre 20000000000000-40000000000000 becquerels. (des trillions)

 

Les populations victimes du négationnisme nucléaire

 

La nouvelle équipe au pouvoir espère redémarrer les centrales arrêtées. Pourtant, dès la mi-septembre, le Japon se retrouvera sans aucun réacteur nucléaire en activité. Le gouvernement, continue comme depuis mars 2011, à minimiser tant l’étendue des zones concernées par la contamination que le niveau de sa dangerosité. Elle persiste à prétendre que 20 msv/an [milliSievert / an] constitue un niveau de radioactivité inoffensif pour les populations, quon pourrait donc laisser vivre dans des zones présentant ce niveau. Elles se calent sur la position officielle des organismes internationaux clamant l’innocuité de l’exposition à des doses dites faibles tant qu’elles restent en dessous de 100 msv/an.

 

Une récente étude menée en Australie sur la population de l’ensemble des jeunes sur plusieurs années vient pourtant de démontrer qu’à partir de 4 msv/an d’exposition, on voit apparaître des effets sur la santé.

 

Les populations appelées par les autorités à revenir dans de telles zones se montrent récalcitrantes. Seules s’y décident des personnes âgées.

 

Ailleurs dans le département de Fukushima, la situation n’est pas pour autant « normale ». En 2010, dans la ville de Fukushima à 80 km de la centrale, on enregistrait un niveau de 0,4 msv/an. La norme internationale est de 1 msv/an. Le niveau mesuré dans le département était annoncé le 17 août comme étant de 3 msv/an – soit sept fois plus qu’en 2010. Au bureau de la mairie pour l’eau pure, l’indicateur, on mesure même un niveau atteignant presque les 4 msv/an.

 

Nombre de résidents restent dans cette ville et dans le département, faute de pouvoir faire autrement, mais sont inquiets. 300 000 personnes environ ont quitté depuis 2011 leur résidence – bien au-delà des communes ayant eu l’ordre d’évacuer – et nombre d’entre elles ont reçu un peu d’aide pour se loger de manière temporaire. Mais aucune aide à la relocalisation n’a été fournie, l’objectif des autorités étant qu’après un peu de temps, tout le monde revienne pour reconstruire un beau Fukushima.

 

Pourtant même dans des zones situées en-dehors du département, l’environnement est trop radioactif et les autorités l’ont reconnu de fait : elles ont financé un programme de décontamination dans plusieurs départements où vivent près de 15 millions de personnes et qui incluent des communes de départements limitrophes de Tokyo (Saitama et Chiba par exemple).

 

La santé des populations japonaises est en danger sur le long terme, dans des proportions bien plus élevées que ce que montre la réalité d’aujourd’hui pourtant dramatique : les 200 000 enfants de Fukushima sont suivis quant à leur thyroïde et déjà 44 d’entre eux ont développé un cancer.

 

Mais on ne veut pas songer à ce qui se passerait si les autorités publiques et Tepco ne prenaient pas les mesures nécessaires face à l’état de la centrale et qu’un séisme venait précipiter des pans entier de la centrale dans la mer.


 


(Source : Marc Humbert)

 

 

Alerte nucléaire: un réacteur nucléaire au bord de la catastrophe

Corée du Nord  réacteur nucléaire

La centrale nucléaire en question...vue  de l'espace.
La centrale nucléaire en question…vue de l’espace.

La Corée du Nord  mène des travaux sur le réacteur nucléaire de Yongbyon, qui est dans un « état épouvantable », une situation risquant d’entraîner « une catastrophe » dans la péninsule coréenne, a indiqué une source russe citée par les agences de presse. « Il est évident que des travaux sont menés là-bas depuis longtemps. Certains signes montrent que cela va vers le redémarrage », a indiqué cette source diplomatique. « Le réacteur, qui est une construction des années 1950, est dans un état épouvantable », a souligné cette source. La Russie s’est dite inquiète des conséquences de cet éventuel redémarrage pour la région. « Cela pourrait avoir des conséquences terribles pour la péninsule coréenne, entraîner une catastrophe », a ajouté la source russe. « Nous n’avons pas de données prouvant que le réacteur est redémarré », a toutefois souligné la source russe.

Un groupe de réflexion américain a affirmé mercredi que la Corée du Nord semblait avoir redémarré un réacteur nucléaire de la centrale de Yongbyon qui produit du plutonium, ce qui devrait permettre au régime d’accélérer son programme d’armement. Une photo prise par satellite le 31 août montre de la vapeur s’échappant d’un bâtiment adjacent au réacteur d’une puissance de cinq mégawatts sur le complexe nucléaire de Yongbyon, a indiqué l’Institut américano-coréen de l’université Johns Hopkins.

« Viol des résolutions de l’ONU« 

Le cliché montre que la Corée du Nord « semble avoir fait redémarrer le réacteur », ont précisé les chercheurs Nick Hansen et Jeffrey Lewis sur le blog de l’institut. Le réacteur « est capable de produire 6 kilos de plutonium par an que Pyongyang pourrait utiliser pour lentement accroître la taille de son arsenal nucléaire », ont-ils poursuivi. La Corée du Nord avait annoncé en avril dernier le redémarrage prochain de ce réacteur nucléaire, arrêté en 2007 dans le cadre d’un accord international soutenu par les États-Unis. Les révélations concernant le réacteur nord-coréen interviennent au moment où les houleuses relations internationales avec la dictature nord-coréenne connaissent une légère accalmie, après un troisième essai nucléaire en février suivi de menace d’attaque des États-Unis.

« S’il s’avère que ces informations sont exactes et que la Corée du Nord a relancé son réacteur au plutonium d’une puissance de 5 mégawatts, il s’agirait d’un problème très grave », a déclaré à la presse l’émissaire américain pour la Corée du Nord, Glyn Davies, après avoir rencontré des responsables du ministère nippon des Affaires étrangères. Il s’agirait « d’une erreur de la part de la Corée du Nord, parce que cela viole évidemment les résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies », a-t-il souligné. « Cela contredit les propres engagements et promesses donnés par la Corée du Nord pendant des années », a noté le diplomate américain, ajoutant que les États-Unis suivaient cela « de très près ».

(Sources: AFP )

Fukushima menace le monde

À Fukushima,un niveau record  de radiation a été découvert dans la laine isolante d'un toit.
À Fukushima,un niveau record de radiation a été découvert dans la laine isolante d’un toit.

Les niveaux de rayonnement continuent d’augmenter dans et autour de la centrale de Fukushima Daiichi,et les informations critiques  qui pourraient affolées la foule,ne sortent pas dans les médias. Les organismes environnementaux du Japon,de l’Union Européenne et des États-Unis ont tous soulevé des niveaux de radiations  acceptables, ce qui prouve que cette catastrophe dans le monde entier est totalement « filtrée » et qu’un « cover up » est en cours.

Les radiations s'étendent maintenant à tout le Pacifique.
Les radiations s’étendent maintenant à tout le Pacifique.

FUKUSHIMA,6 juillet 2013  -Après plus de deux ans , les niveaux de césium radioactif présent dans la mousse sur un toit dans le centre de Fukushima ont dépassé 1,7 million de becquerels, les plus fortes concentrations détectées en un an, selon les chercheurs et .

Ryoji Enomoto, professeur agrégé à l’Institut universitaire de Tokyo pour Cosmic Ray Research, qui a dirigé l’équipe, a déclaré que les niveaux de césium radioactif ont été exceptionnellement élevée dans les échantillons prélevés.

Afin d'étudier les effets de la fonte des réacteurs nucléaires,on perce afin de recueuillir des échantillons.
Afin d’étudier les effets de la fonte des réacteurs nucléaires,on perce afin de recueuillir des échantillons.

 

Voici  des échantillons pris à la base des murs de rétentions.Il y a eu une  forte infiltration  de métal en fusion ,particulièrement  de l'uranium 237 provenant des barres de fusion des réacteurs.Il semble  que le combustible a fondu à plusieurs milliers de dégrés puis a coulé comme  une mer de lave ver les murs...et vers la mer.Tout le sol auour des centrales ,serait à décontaminer.
Voici des échantillons pris à la base des murs de rétentions.Il y a eu une forte infiltration de métal en fusion ,particulièrement de l’uranium 237 provenant des barres de fusion des réacteurs.Il semble que le combustible a fondu à plusieurs milliers de dégrés puis a coulé comme une mer de lave ver les murs…et vers la mer.Tout le sol autour des centrales ,serait à décontaminer.

La ville est située à plus de 50 kilomètres de la centrale de Fukushima n ° 1 ,la centrale nucléaire paralysée.

La zone évacuée est insuffisante:il faudrait 75 kilomètres au moins,alors que seulement  40 kilomètres environ ont été évacués.C'est  environ 25 millions de personnes qu'il faudrait relocaliser.
La zone évacuée est insuffisante:il faudrait 75 kilomètres au moins,alors que seulement 40 kilomètres environ ont été évacués.C’est environ 25 millions de personnes qu’il faudrait relocaliser.

 

Une vaste zone a été évacuée,mais elle reste totalement insuffisante.
Une vaste zone a été évacuée,mais elle reste totalement insuffisante.


« Les travaux de décontamination englobant de vastes domaines sont importants, mais il est également important de trouver des endroits les niveaux de radiation sont élevés localement à l’aide d’outils de mesure simplifiés et de décontaminer les lieux« , a déclaré Enomoto. »Ceci aidera à rassurer les gens« , at-il dit.

Une nouvelle variété de champignon ...en mutation.
Une nouvelle variété de champignon …en mutation.

 

Les champignons en mutations dévorent les racines des arbres dans le sol...et ceux-ci s'abatrtent au sol.
Les champignons en mutations dévorent les racines des arbres dans le sol…et ceux-ci s’abattent au sol.

Enomoto a mesuré les niveaux de radioactivité ,à cet endroit infernal, le 8 Juin. Les chercheurs ont utilisé une caméra gamma simplifiée pour détecter le rayonnement.

Un groupe à but non lucratif basée dans la ville a confirmé les résultats initiaux; leurs tests ont détectés 1,78 million de becquerels de césium.

Les niveaux de rayonnement d’environ 0,5 microsieverts par heure ont également été mesurées d’un mètre au-dessus de la mousse.

Le gouvernement de la ville de Fukushima prévoit de décontaminer le bâtiment,ont dit les responsables contactés au téléphone.Si l’on comprend bien,ces gens ne font plus de déclarations officielles.

Un niveau de radioactivité si élevé que certains poissons  dégagent une lumière dans la nuit.
Un niveau de radioactivité si élevé que certains poissons dégagent une lumière dans la nuit.

TOKYO Des niveaux élevés de césium jamais encore détecté  auparavant viennent d’être découvers dans les poissons au large des côtes de Fukushima ,au Japon.Ces taux  suggèrent que les particules radioactives de la catastrophe nucléaire de 2011, se sont accumulés sur le fond et peuvent contaminer la vie marine pendant  des décennies, selon une nouvelle étude. Parce que le césium tend à  ne pas rester très longtemps dans les tissus des poissons de mer et parce que les niveaux de radiation élevés ont été détectés le plus souvent sur les poissons de fond .Il est aussi  probable que ce soient des poissons  nouvellement contaminés par le césium sur les fonds marinsécrit M. Buesseler dans  un article scientifique . Autant que les quatre cinquièmes des substances radioactives libérées de la Daiichi centrale nucléaire de Fukushima sont censés avoir retombé en  mer, que ce soit soufflées ou libérées directement dans l’océan par de l’eau utilisée pour refroidir les réacteurs du site à la suite de l’accident. Les courants marins  avaient dispersés rapidement  la radioactivité, et les lectures prises sur  de l’eau de mer au large de la côte de Fukushima étaient revenues à des niveaux proches de la normale,l’an passé. Mais les poissons  capturés  dans la zone continuent de montrer des lectures élevées pour le césium radioactif, qui est associée à un risque accru de cancer, chez les humains.

De nouvelles mutations apparaissent continuellement...et ceci donne naissance à de nouvelles espèces...de la  mauvaise vie!
De nouvelles mutations apparaissent continuellement…et ceci donne naissance à de nouvelles espèces…de la mauvaise vie!

Comment cela nous affecte vous vous  demandez peut-être? Si vous mangez du poisson , vous pourriez être touchés. Nous recevons une grande quantité de nos fruits de mer en provenance du Japon et  nous savons qu’il n’y a pas de niveaux de radiation qui est sans danger pour les humains. Puisque vous ne pouvez pas être sûr à 100%, la meilleure attitude  serait de limiter considérablement votre consommation de poisson.

Les enfants,les chats et tout ce qui est vivant est menacé par les radiations.
Les enfants,les chats et tout ce qui est vivant est menacé par les radiations.

 

 

De Fukushima …à votre assiette

Des poissons pris dans l'environnement de Fukushima ,montrent un niveau très élevé de radioactivité.
Des poissons pris dans l’environnement de Fukushima ,montrent un niveau très élevé de radioactivité.

De l’eau contaminée provenant de la centrale nucléaire de Fukushima s’échappe probablement dans la mer, a déclaré mercredi l’agence japonaise de surveillance du nucléaire. Les responsables de la centrale ont jusqu’à maintenant nié ce problème, que les experts redoutent depuis longtemps.

L’Autorité de réglementation du nucléaire suspecte fortement une fuite et a pressé l’entreprise Tokyo Electric Power Co. (TEPCO) de déterminer d’où elle pourrait provenir et de limiter les risques, notamment pour l’environnement et la chaîne alimentaire.

L’agence de surveillance réunira un comité d’experts qui se penchera sur les moyens de limiter les dégâts.

La TEPCO a de nouveau mis en doute l’existence d’une fuite mercredi. Son porte-parole, Noriyuki Imaizumi, a défendu l’entreprise en affirmant que l’augmentation du niveau de césium dans les échantillons récoltés dans des puits ne signifie pas nécessairement que l’eau contaminée de la centrale coule dans l’océan.

L’entreprise analyse d’autres échantillons d’eau et suspecte que les hausses précédentes du niveau de césium aient été causées par des poussières contaminées qui auraient glissé dans les échantillons.

M. Imaizumi ajoute toutefois que la TEPCO est ouverte aux mesures de prévention proposées par l’agence de surveillance.

La centrale nucléaire Dai-ichi de Fukushima a été ravagée en mars 2011 par un tremblement de terre et un tsunami. Elle éprouve depuis des problèmes de fuite de l’eau utilisée pour refroidir les réacteurs, ralentissant les efforts de décontamination.

Des biologistes marins ont soulevé la possibilité que de l’eau radioactive s’écoule de façon continue dans les eaux souterraines. Des analyses sur des poissons prélevés près de la centrale ont démontré un haut niveau de radioactivité.

Bien que la TEPCO ait enregistré des hausses du niveau césium et de strontium dans les eaux avoisinantes, elle affirme que la plupart de la contamination s’est faite au moment de l’accident. Elle soutient ne pas avoir détecté d’«impact significatif» sur l’environnement.

Selon l’Autorité de réglementation du nucléaire, les eaux souterraines contaminées ont vraisemblablement atteint l’océan.