Un puissant séisme de magnitude 6,9 s’est produit lundi matin au large des côtes du nord de la Californie, a annoncé l’institut américain de géophysique USGS. Aucune victime ni dégât n’a été signalé.
La terre a tremblé fortement en Californie. Selon les sismologues, une réplique de magnitude 5 pourrait avoir lieu dans la semaine.
La secousse s’est produite à 5h18 GMT (6h18 heure suisse). Son épicentre était localisé à 77 km à l’ouest de la ville de Ferndale, et à une profondeur de sept kilomètres, a précisé l’USGS.
L’institut américain a fait état d’une possible réplique, à 90%, de magnitude 5 «forte et susceptible de faire des dégâts» dans les sept jours suivants, et d’une faible probabilité (de 5 à 10%) d’avoir un séisme identique ou plus fort que celui de dimanche.
Des secousses de magnitude 3 à 3,5, et une de 4,6 ont été enregistrées une heure après le séisme, a précisé l’USGS. On peut s’attendre à 300 autres petites répliques dans la semaine.
60 morts en 1994
En 1994, un séisme de magnitude 6,7 à Los Angeles avait fait 60 morts et des dégâts chiffrés à 10 milliards de dollars. Cinq ans plus tôt, 67 personnes étaient mortes à San Francisco dans un tremblement de terre de magnitude 6,9.
L’importante activité sismique de la Californie est due à la faille de San Andreas, qui traverse l’Etat le plus peuplé des Etats-Unis sur un axe Nord-Sud. La «ceinture de feu» qui borde le Pacifique a produit une série de tremblements de terre majeurs par le passé.
«The Big One»
Les sismologues estiment à 99% la probabilité d’un séisme dévastateur en Californie dans les 30 prochaines années, déjà surnommé «The Big One». Ce phénomène, qui se reproduirait périodiquement, aurait actuellement du retard. Nachricht per e-mail send
Tous les thons rouges capturés dans la Californie sont radioactifs :
Une alerte vient d’être lancée aux USA.
Chaque thon rouge testé dans les eaux au large de la Californie a montré des signes sérieux de contamination par le rayonnement qui provient de Fukushima .
Il y a plus d’un an et demi , en mai 2012, le Wall Street Journal a rapporté une étude de l’Université de Stanford . Daniel Madigan , un écologiste marin qui a dirigé l’étude , a affirmé: » Le thon emmagasine le maximum de radiations ( le rayonnement ) et l’apporte à travers le plus grand océan du monde . Nous étions vraiment surpris de voir cela dans son ensemble et encore plus surpris de voir le taux mesuré dans chacun des poissons » .
Un autre membre du groupe d’étude , le biologiste marin Nicholas Fisher de l’Université Stony Brook , dans l’État de New York a déclaré , » Nous avons constaté qu’ absolument chacun d’eux avait des concentrations comparables de césium 134 et le césium 137 . «
C’était il y a plus d’un an . Les poissons qui ont été testés avait relativement peu d’exposition aux déchets radioactifs déversés dans l’océan suite à la fusion nucléaire survenue à la centrale de Fukushima Daiichi, en Mars 2011. Depuis ce temps , le flux de contaminants radioactifs rejetés (dumping ) dans l’océan s’est poursuivi sans relâche . Les poissons qui arrivent à ce stade vont nager dans des contaminants pour toute leur vie .
Lorsque le contact avec le césium radioactif se produit , ce qui est très peu probable , une personne peut éprouver des lésions cellulaires dues à un rayonnement des particules de césium . Pour cette raison, des effets tels que des nausées, des vomissements, la diarrhée et les saignements peuvent se produire. Lorsque l’exposition dure longtemps , les gens peuvent même perdre conscience. Le coma ou même la mort peuvent alors suivre. La gravité des effets dépend de la résistance des individus et la durée d’exposition et la concentration qu’une personne est exposée .
Si vous voulez partager cet article , alors probablement quelques personnes de plus seront alerté de ce péril et seront sauvé.
PENDANT CE TEMPS AU JAPON,LE POISSON EST MAUDIT
Le marché du poisson au Japon,condamné à mort.
L’accident dans la centrale nucléaire japonaise de Fukushima, qui a fait suite au tremblement de terre et au tsunami qui lui a fait suite il y a deux ans, a eu une conséquence catastrophique sur l’intérêt que le monde entier porte à la cuisine de ce pays. Par peur de suites d’une éventuelle contamination radioactive, beaucoup de consommateurs se sont détournés de leur plaisir de consommer la cuisine japonaise. En Corée du Sud, toute importation de poisson et de produits de la mer provenant du Japon a été interdite. Cela a eu des conséquences graves, car le poisson n’est pas seulement un élément essentiel de l’art culinaire japonais, mais il représente aussi un des plus importants secteurs d’exportation du pays.
Jusqu’à la catastrophe de la centrale nucléaire, le Japon gérait une des plus importantes flottes de pêche au monde. Le pays représentait, selon les estimations du magazine Forbes, environ 15% de la pêche mondiale. Ce secteur a été fortement menacé par la catastrophe, même si, selon les observateurs, on note une timide reprise au vu de certains indicateurs. Etant donné que les consommateurs ont largement réfrené leur enthousiasme pour la cuisine japonaise par peur de la radioactivité, les pêcheurs sont obligés de vendre à perte une grande partie de leurs prises.
Yamashike Yosuke, professeur d’ingénierie de l’environnement à l’Université de Kyoto, fait remarquer que dans les environs de la centrale touchée par l’accident, on peut enregistrer sur le fond de la mer une importante contamination, avec une forte concentration en césium radioactif. Cette contamination est en grande partie due à la fuite de l’eau destinée au refroidissement du système hydraulique de la centrale. On a craint que cette radioactivité ne continue à se répandre dans l’Océan Pacifique. Il est possible que 5 préfectures soient touchées par la contamination. Ce facteur menace de nombreuses entreprises de pêche, qui capturent environ 40.000 tonnes de poisson par an.
Les compagnies de pêche de la préfecture de Fukushima sont donc maintenant obligées de contrôler l’éventuelle contamination de leurs prises. « Lors de chaque pêche, un échantillon est prélevé à des fins de tests », déclare un porte-parole du secteur. « Même la plus petite indication d’une possible irradiation est suffisante pour rejeter toute la pêche et la détruire. Mais jusqu’à présent, on n’a encore constaté aucune contamination. Le poisson japonais est sûr ». Il semble cependant difficile de convaincre le public que le poisson japonais est tout à fait sain, malgré les efforts des autorités pour affirmer que le problème est sous contrôle.
Aleksey Yaroshevsky, éditeur du magazine Russia Today, dit au contraire avoir constaté que dans le port de Soma, à quelques kilomètres du site nucléaire, chaque pêche effectuée dans un rayon de 30 kilomètres autour de la centrale est automatiquement détruite à cause du danger d’irradiation. « Selon l’économe Hirokai Kurasaki, les pêcheurs concernés sont dédommagés pour leurs pertes par Tepco, exploitant de la centrale », ajoute-t-il. « Les pêcheurs ne sont donc pas tentés de faire de la publicité quant au problème. Certaines quantités de poisson seraient d’ailleurs proposées à la vente dans de petits magasins », pense Kurasaki.
✔ En juin 2012, la National Academy of Sciences a publié un rapport choquant qui révélait que des thons rouges avaient amenés des éléments radioactifs en Californie.
✔ Déjà en 2012, le Vancouver Sun rapportait que du césium-137, un isotope radioactif instable de césium, avait été retrouvé dans un pourcentage important du poisson que le Japon vend au Canada : dans 73% des maquereaux, 93% des thons et 92% des sardines. (Entre-temps, l’article a disparu du journal).
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