Quote of the month on the New World Order (May 2013)

I chose you to inaugurate this new monthly column, from the book by Jean Ziegler:

« The new masters of the world » which I hope you will think about the future of our planet and the consequences to tolerate wage slavery of the New World Order.

John Ziegler

John Ziegler

« At the heart of the global market, the predator. Banker, senior transnational company, operator of the world trade. It accumulates money, destroyed the state, devastating nature and human beings, corruption rots from the officers it provides services to people within it dominates.

For strong, but also for the weak who dream to join the happiness now is the solitary enjoyment of wealth gained by crushing others, by market manipulation, by merging ever more gigantic enterprises and accelerated accumulation of capital gains the most diverse backgrounds. Last date of invention in society greed patent life.

Market rationality havoc consciences, it alienates man and hijacks the host of a destiny freely debated democratically chosen. The logic of the commodity irreducible stifles freedom, unpredictable, ever enigmatic individual. The human being is reduced to pure market functionality. « 

 

Un grand livre !
A great book :’the new masters of the world « (in english)

 

 

La citation du mois sur le Nouvel Ordre Mondial (mai 2013)

J’ai choisi pour vous,afin d’inaugurer cette nouvelle chronique mensuelle,un extrait du livre de Jean Ziegler :

« Les nouveaux maîtres du Monde » qui je l’espère,vous fera réfléchir sur l’avenir de notre Terre et des conséquences à tolérer l’esclavagisme salarié du Nouvel Ordre Mondial.

John Ziegler

« Au coeur du marché globalisé, le prédateur. Banquier, haut responsable de société transnationale, opérateur du commerce mondial. Il accumule l’argent, détruit l’état, dévaste la nature et les êtres humains, et pourrit par la corruption les agents dont il s’assure les services au sein des peuples qu’il domine.

Pour les forts, mais aussi pour les faibles qui rêvent de les rejoindre, le bonheur réside désormais dans la solitaire jouissance d’une richesse gagnée par l’écrasement d’autrui, par la manipulation boursière, par la fusion d’entreprises toujours plus gigantesques et l’accumulation accélérée de plus-values d’origines les plus diverses. Dernière invention en date de la société de la cupidité: breveter le vivant.

La rationalité marchande ravage les consciences, elle aliène l’homme et détourne la multitude d’un destin librement débattu, démocratiquement choisi. La logique de la marchandise étouffe la liberté irréductible, imprévisible, à jamais énigmatique de l’individu. L’être humain est réduit à sa pure fonctionnalité marchande. »

Un grand livre !
Un grand livre !