Les dossiers de Michel Duchaine:Pardonné par l’église, un prêtre pédophile atteint du VIH qui a violé 30 enfants

Un prêtre pédophile atteint du VIH, qui a avoué avoir violé 30 jeunes filles âgées de 5 à 10 ans, a été acquitté par l’Église catholique romaine et ne sera pas poursuivi. Le site d’informations en langue espagnole Urgente 24 rapporte : 

L’hypocrisie de l’église catholique fait peur!

 

 Le prêtre Jose Ataulfo ​​Garcia a été acquitté de tout crime par l’archidiocèse Primada de México après avoir avoué avoir agressé sexuellement des dizaines de filles dans la communauté indigène d’Oaxaca, rapporte la plate-forme « Anonymous » du Mexique. Le crime d’abus et le viol de 30 filles âgées de 5 à 10 ans, admises par le clerc lui-même, ajoute au fait que Garcia est porteur du VIH. 

 

Ni l’État de Mexico ni aucune organisation défendant les droits des enfants n’ont parlé de cet acquittement, probablement en raison du respect que l’Église catholique inspire aux régions autochtones. De plus, cette institution religieuse a une grande influence dans les institutions mexicaines: sur le grand nombre de victimes, seulement 2 ont osé dénoncer officiellement.

 

Une mère de la victime a écrit une lettre au pape demandant à lui parler, mais elle a été rejetée par le Vatican et le vieux « l’affaire est close. » Seulement deux des trente victimes de viol se sont levées pour décrier l’acquittement. Le pape François dit que ce genre d’actions de l’église est conçu pour faire une «église plus miséricordieuse». Malheureusement, cela crée un environnement doux pour que les pédophiles se reproduisent et violent plus d’enfants. L’Église catholique romaine a une longue histoire de pédophilie et de sodomie à travers le monde, y compris aux États-Unis . Jay Greenburg fait référence au Boston Globe dans son commentaire sur les activités de l’église. La question a été placée sous le feu des projecteurs en 2002 lorsque le Boston Globe a révélé à quel point l’archidiocèse local protégeait les prêtres abusifs d’être exposés au public même s’il savait qu’ils représentaient un danger pour les jeunes paroissiens. L’article du Globe, qui détaillait des cas d’abus qui se chiffraient par milliers pendant plusieurs décennies, a inspiré d’autres victimes à se manifester, menant à une avalanche de poursuites civiles  et de poursuites criminelles. En 2004, le Vatican a rouvert une enquête préalable contre Marcial Maciel, accusé d’avoir abusé sexuellement de mineurs en tant que tel. ainsi que d’être le père de six enfants par trois femmes différentes. Jésus était spécifique quand il a parlé de ce que l’on fait aux petits enfants. Mais quiconque offenserait un de ces petits qui croient en moi, il valait mieux pour lui qu’une meule de moulin soit pendue à son cou, et qu’il fût noyé au fond de la mer. – Matthieu 18: 6 .

Peut-il y avoir une vraie miséricorde de Dieu pour les actions que ce prêtre a commises? Je l’espère bien. L’apôtre Paul était celui qui a reçu la miséricorde de Dieu et il a persécuté l’Église. Cependant, je ne suis pas si sûr que cela absout quelqu’un d’affronter les conséquences de ses actions. L’Église catholique romaine envoie un message selon lequel ils se soucient davantage de protéger un criminel parmi eux qu’au lieu de rendre justice au nom de ses victimes.

 

Corruption policière et judiciaire 2002-­2005 -­ Montréal et Longueuil

Dans le domaine de la corruption politique au Québec ,voici un élément de preuve qui nous montre que même la justice et nos policiers ne sont pas neutres  face aux citoyens et au gouvernement néolibéral.Voici le témoignage de mon ami Dominique Dufour:
La plainte déposée en 2004
La plainte déposée en 2004
Savez-vous pourquoi la Direction des Poursuites Criminelles et Pénales garde le silence?
À cause de ceci… le DPCP, c’est la machine corrompue à fabriquer des juges du PLQ!
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Corruption policière et judiciaire 2002-­2005 -­ Montréal et Longueuil Dominique Dufour <dominique.dufour303@gmail.com> 14 mars 2016 à 10:54
À : info@dpcp.gouv.qc.ca
Bonjour,
Par la présente, je désire porter des accusations criminelles de corruption policière et judiciaire dans ce dossier.
Vous pouvez entendre mes explications dans la cause 500-01-059915-113 le 14 novembre 2011 devant la juge Louise Villemure à Montréal. Je suis assermenté.
Voici les faits importants:
-le 12 juin, je suis en pied de bas et je lève mon pied au derrière de mon ex-conjointe le jour de notre séparation (aucune marque, aucune blessure). -le 13 juin 2002, je suis accusé de voie de fait simple sur mon ex-conjointe Pascale Charette à Longueuil -14 septembre 2002 : suite à un appel de détresse au 911, je suis victime voies de fait par le policier Sylvain Paquet avec la complicité du policier Jérôme Ste-Marie du SPVM + fabrication d’un faux rapport pour faussement m’accuser de voies de fait sur Jérôme Ste-Marie à Montréal. Le policier Sylvain Paquet m’a battu et torturé dans l’auto-patrouille avec une couverture enroulée autour de ma tête et j’étais menotté aux 4 membres avec les 2 paires de menottes reliées par une chaîne dans mon dos.
-16 septembre : comparution à Montréal pour m’accuser faussement de voies de fait sur un policier du SPVM -16 septembre : je devais me présenter en Cour à Longueuil pour mon procès pour le voie de fait simple sur mon ex-conjointe. Retenu à Montréal cette journée pour me faire faussement accusé de voies de fait sur un policier, la procureur de la Couronne Me Louise Leduc à Longueuil est allé dire à mon ex-conjointe Pascale Charette que j’avais battu un policier à Montréal pour l’influencer, lui faire peur et la monter contre ma personne pour l’obliger à maintenir sa plainte de voie de fait simple contre ma personne (influence de témoin et suspicion). C’est l’amie de Pascale Charette, Sylvie Laurier, qui m’en a informé le 30 octobre 2002.
-7 octobre 2002 : je plaide coupable sur le voie de fait simple à Longueuil, mais la procureur adjointe de Me Louise Leduc (j’ignore son nom), me fait passer auprès du juge pour un « dangereux criminel, un homme extrêmement violent, et un risque sérieux pour la société », prétextant que j’étais accusé de voie de fait sur un policier à Montréal (suspicion).
La lettre envoyée par l'avocat de Dominique qui permet d'établir la preuve des malversations.
La lettre envoyée par l’avocat de Dominique qui permet d’établir la preuve des malversations.
-2003-2004 : acharnement, arrestations et tentatives à Longueuil pour tenter de me faire passer pour un homme dangereux et violent
-18 juin 2004 : Je suis acquitté de la fausse accusation de voie de fait sur un policier à Montréal par les policiers Sylvain Paquet et Jérôme Ste-Marie du SPVM. La procureur Me Louise Leduc et al. à Longueuil se retrouvent tous dans la merde jusqu’au cou suite à mon acquittement à Montréal
-5 juillet 2004 : dépôt de ma plainte contre les policiers Sylvain Paquet et Jérôme Ste-Marie auprès du poste 31 du SPVM
-10 août 2004 : Je suis rencontré au quartier général par la S/D Caty Rivard des affaires internes du SPVM pour une entrevue filmée. Je dénonce à madame Rivard tout ce qui s’est passé entre le 7 juin 2002 et le 19 juin 2004.
-Vers le 5 septembre 2004, je suis arrêté par la Sûreté du Québec, et je suis faussement accusé de menace de mort. avec parjures à la Cour de Longueuil par le S/D Francis Bouffard de la SQ.
-Le 7 septembre 2004, suite aux parjures du S/D Francis Bouffard de la SQ en Cour à Longueuil pour faussement m’accuser de menace de mort sur Louise Leduc, le juge m’envoit en psychiatrie à Pinel pour une évaluation psychiatrique.
En novembre 2004, je communique avec la S/D Caty Rivard des affaires internes du SPVM pour lui demander où en est rendu l’enquête. Elle me demande je suis où, et je lui répond que je suis à Pinel en évaluation. Elle m’oblige à lui donner l’autorisation de prendre possession de l’évaluation psychiatrique du Dr Jacques Talbot de Pinel.
-Vers la fin novembre 2004, je communique à partir de Pinel avec monsieur Jean-Pierre Forgues, directeur à l’époque de la Direction aux affaires policière du ministère de la sécurité publique du Québec. Je lui demande de me faire part par écriit les conclusions du rapport d’enquête interne menée par la S/D Caty Rivard du SPVM. Monsieur Forgues m’a donc envoyé par écrit par la poste les conclusions du rapport à Pinel. Le rapport de madame Caty Rivard conclut : « Tout porte à croire que monsieur Dominique Dufour fut victime de violence policière par le policier Sylvain Paquet ». Monsieur Jean-Pierre Forgues est à la retraite aujourd’hui.
-Vers la fin novembre 2004, j’ai montré au psychiatre devant ses yeux les conclusions écrites du rapport de madame Caty Rivard du SPVM provenant de monsieur Forgues du ministère de la sécurité publique. Le psychiatre Jacques Talbot continuera à me faire faussement passer pour un délirant quand même.
-Le 10 ou le 12 décembre 2004, juste avant de partir pour la Cour de Longeuil, le psychiatre Jacques Talbot m’a menacé en me disant : « Monsieur Dufour, si vous ne reconnaissez pas votre maladie, vous allez rester ici très longtemps ».
-Le 10 ou le 12 décembre 2004, je rencontre mon avocat Me Pierre Bélisle, et je lui demande de dénoncer Me Louise Leduc pour sa suspicion avec la fausse accusation de voie de fait sur un policier depuis le 16 septembre 2002 à Longueuil. Me Pierre Bélisle m’a répondu : » Je ne peux pas dénoncer Me Leduc car c’est ma collègue de travail, et si tu veux faire ça, il va falloir que tu te trouves un autre avocat et que tu le paies très cher ». Donc, on m’a carrément accolé au pied du mur pour me forcer à plaider la non-responsabilité criminel et la délirance à la Cour de Longeuil.
-Le 17 ou 18 janvier 2005, je suis libéré de Pinel.
-Le 2 février 2005, je reçois la lettre du commandant Denis Dubé du SPVM m’annonçant qu’aucune accusation ne serait portée contre les policiers Sylvain Paquet et Jérôme Ste-Marie pour leurs gestes de 2002.
-En février 2005, je communique avec la S/D Caty Rivard, et elle me dit que les affaires internes du SPVM ont fait leur travail, et que je devais m’adresser au procureur de la Couronne Me Jean-Marie Tanguay à Montréal pour savoir pourquoi les accusations n’avaient pas été retenues.
-En mars 2005, je communique avec le bureau du procureur à Montréal, et on m’apprend que Me Jean-Marie Tanguay est parti à la retraite.
– En mai 2005, je demande une révision du dossier d’accusations auprès de la procureur chef adjointe Me Hélène V. Morin. Elle me rappelle à mon travail pour me dire que les accusations n’avaient pas été portées parce que je n’étais pas crédible, puis elle m’a raccroché la ligne au nez.
Conclusion:
La Couronne à Montréal s’est servie du faux rapport de psychiatrie du Dr Jacques Talbot de Pinel, car la S/D Caty Rivard l’a joint au rapport d’enquête du SPVM en 2004. C’est la raison pourquoi il n’y a pas eu d’accusations. De plus, je sais que ce n’est pas surtout les policiers qu’on a voulu protéger, mais bien plus la suspicion de la Procureur de la Couronne Me Louise Leduc à Longueuil, étant donné que je l’avais déjà dénoncée à la S/D Caty Rivard en entrevue filmée le 10 août 2004 au quartier général du SPVM.
Cette affaire est un complot judiciaire en fin de compte. Je fais remarquer que Louise Leduc, Pierre Bélisle et Hélène V. Morin sont tous juges à la Cour aujourd’hui.
Plus tard en 2006, ce sera le capitaine Pierre Scalabrini des affaires internes de la Sûreté du Québec à Montréal qui étouffera ma plainte contre les parjures du S/D Francis Bouffard à la Cour de Longueuil le 7 septembre 2004.
Article et témoignage de Dominique Dufour sur notre système politique et judiciaire corrompu  jusqu’à la moëlle!
Dominique Dufour est comme moi,un homme qui aime la vie et qui communique sa joie!
Dominique Dufour est comme moi,un homme qui aime la vie et qui communique sa joie!