L’humanité en danger:il n’y a plus de ressources renouvelable d’ici la fin de l’année

Depuis minuit,le 8  août 2016 ,nous avons atteint collectivement ce moment où les ressources naturelles renouvelables de la Terre se  sont épuisées .En cette année 2016 ,ce moment fatidique est arrivé plus  rapidement qu’en 2015.Notre marge de manœuvre collective s’est affreusement rétrécie  sur cette courte période d’un an, mais cela ne dérange pas  les banquiers à la solde de Rothschild qui sont loin d’ignorer leurs implications et leurs responsabilités dans la « Mort Rapide de notre Planète ».   Cela fait même grandement leurs affaires,car ils sont liés  dans le  Plan Illuminati de Dépopulation .Mais ce moment  arrive plus tôt que l’année précédente. Les scientifiques disent que nous avons déjà épuisé toutes les ressources renouvelables de la Terre ce 8 août 2016, à seulement 221 jours après le début de l’année. Cela signifie que pour le reste de l’année, nous ajoutons aux polluants dans l’atmosphère.

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La démographie est devenue hors contrôle sur Terre.

 

Ce que cela signifie est que à partir de  maintenant ,toutes les activités  humaines qui ont un impact sur Terre que ce soit la pêche, le déboisement ,etc,tout cela fera en sorte que le surplus d’ émissions de carbone global  dans l’atmosphère ne peut plus  être absorbé et a atteint son apogée.

Pour le reste de l’année , nous ajouterons plus de carbone dans l’air  que la Terre peut  en absorber.  Le moment critique, en moyenne, il a gravi un seul jour par an au cours des cinq dernières années, comparativement à une moyenne de trois jours par an depuis qu’il a commencé à être suivi dans les années 1970. L’avenir de la vie sur cette planète ne cessera pas  de devenir de plus en plus sombre et hostile à la vie si nous continuons à détruire ce que nous appelons l’environnement.

Les événements climatiques extrèmes vont aller en augmentant.
Les événements climatiques extrèmes vont aller en augmentant.

Mathis Wackernagel, co-fondateur et PDG de GFN et Balakrishna Pisupati, chef du  Programme des Nations Unies pour l’environnement et la biodiversité, ont déclaré ensemble: «Si les humains continuent à utiliser les ressources de la Terre à ce rythme, il pourrait avoir des« conséquences désastreuses » en termes de changement climatique, l’érosion de la couche arable par la conversion des prairies et des forêts en terres agricoles, et une perte globale de biodiversité. Plus nous continuons de voir les ressources naturelles comme illimitées « , plus vite nous mettons en danger la capacité de notre planète à nous fournir les ressources renouvelables dont nous avons besoin pour nourrir, nous vêtir et nous abriter.

Brume et pollution en plein jour à Hanoi,au Vietnam.
Brume et pollution en plein jour à Hanoi,au Vietnam.

Je sais que la plupart des gens vont tout simplement voir cet avertissement comme un non-sens parce qu’ils ne voient pas de changements dans leur vie quotidienne, et de  continuer de penser: »Si je ne vois pas de changements sur mon environnement,ceci est faux ».

Si les scientifiques sont corrects, nos enfants et leurs enfants vont souffrir horriblement. Voilà quelque chose pour tout le monde devrait penser.

Le déboisement en Haiti à laissé un héritage mortel aux générations futures.
Le déboisement en Haiti à laissé un héritage mortel aux générations futures.

Depuis le  8 août 2016,avec la quantité de pollution que nous injectons dans l’atmosphère quotidienne avec des voitures, des camions et des usines, nous ajoutons plus de carbone dans  l’atmosphère qu’elle  peut absorber, il est important  que vous  commencez à penser à l’impasse vers laquelle nous nous dirigeons.

Notre dépendance continue des combustibles fossiles est en train de tuer la Terre et nous n’avons pas de substitut viable. Le CO2 ne cesse d’empoisonner notre atmosphère, et il ne fait aucun doute que les températures moyennes augmentent d’année en année. Je le sais parce que même là où je vis,au Québec, l’été a été beaucoup plus chaud que l’an dernier, et devrait augmenter encore plus l’année prochaine.

Les morts massives d'animaux se sont multiplié depuis 2011. Vous voyez ici plus de 20 tonnes de poissons retrouvés morts da l'état de Washington ,un beau matin de 2012.
Les morts massives d’animaux se sont multiplié depuis 2011.
Vous voyez ici plus de 20 tonnes de poissons retrouvés morts da l’état de Washington ,un beau matin de 2012.

Il a été clairement enregistré que les températures sont constamment à la hausse sur notre planète qui peut être vu par la fonte  massive  des glaces dans des endroits comme le pôle Nord ,où la plupart de la banquise a disparu. Nous sommes même entrain de perdre nos glaciers de montagne à un rythme rapide.Mais là encore, cela ne m’affecte pas  en ce moment donc qui se soucie de ce qu’ils disent

Qu’est-ce qui se passera quand les ressources de la planète seront finalement épuisées, comme cela devra arriver à un moment donné dans l’avenir? Nous ne leur donnons pas le temps de se régénérer, car tout ce que nous faisons c’est  prendre prendre!

Qu’est-ce qui se passera quand le pétrole sera épuisé? Pas plus de voitures, pas plus d’usines, pas plus de gadgets parce que les usines ont dû fermer. S’il vous plaît ne soyez pas si naïf que de penser que l’humanité viendra avec une autre source d’énergie suffisante pour alimenter notre monde et les industries, car cela ne se produira pas dans un proche avenir .

Nous détruisons les forêts à un rythme toujours croissant sachant très bien qu’elles sont le numéro un des fournisseurs d’oxygène à notre planète. Nous vidons les mers de leurs poissons dans la mesure où les stocks sont en baisse constante, et nous empoisonnons le sol avec des produits chimiques juste pour obtenir des cultures de croissance rapide parce que nous avons utilisé toutes les ressources naturelles dans le sol.

En Haiti,faute de ressources, de nombreux villages brulent leurs déchets.
En Haiti,faute de ressources, de nombreux villages brûlent leurs déchets.

Le groupe de réflexion a salué les objectifs énoncés dans l’accord climatique de Paris qui a été adopté par près de 200 pays en Avril 2016. Le GFN a dit « il n’y a rien à retenir que ces nations pourrons atteindre le neutre en carbone d’ici 2050, à l’exception de la volonté politique de parvenir à ce but . Cette nouvelle façon de vivre est offerte avec de nombreux avantages, et sa réalisation prendra beaucoup d’ efforts.Les bonnes nouvelles sont qu’il est possible avec la technologie actuelle, et financièrement avantageuse avec des avantages globaux supérieurs aux coûts « , a-t-il dit, ajoutant que la transition va stimuler les pays émergents des secteurs tels que les énergies renouvelables tout en évitant le risque et les coûts liés à l’adaptation des infrastructures à l’impact du changement climatique grossissant.

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En Inde,un homme prie au milieu des eaux polluées par les nombreux détergents.

Une chose est sûre, cela ne peut pas continuer indéfiniment  ainsi , pour l’humanité qui sera dans une situation désespérée si nous continuons comme nous sommes. Je souhaite sincèrement que cet avertissement sincère aura un impact au moins certaines personnes, et ils font des changements à leur vie quotidienne pour aider à sauver notre monde.

L’humanité en danger:Le point de non-retour aurait été franchi et le réchauffement des océans ne peut plus être arrêté

Ce glacier qui fond dans une région nordique est un bel exemple du réchauffement global des océans. Ceci devrait suffire à lui seul pour décimer la population  du peuple des Humains de la Terre. Nous aurions franchi le point de non retour! Les responsables des entreprises capitalistes polluantes vont vous dire qu'ils sont désolé,donc on n'a plus rien à dire,Nous ,les esclaves!
Ce glacier qui fond dans une région nordique est un bel exemple du réchauffement global des océans.
Ceci devrait suffire à lui seul pour décimer la population du peuple des Humains de la Terre.
Nous aurions franchi le point de non retour!
Les responsables des entreprises capitalistes polluantes vont vous dire qu’ils sont désolé,donc on n’a plus rien à dire,Nous ,les esclaves!

Définition:

Un point de non-retour est dans un continuum spatiotemporel un lieu et/ou moment à partir duquel un évènement ou une action en cours ne peut plus être arrêtée, ou à partir duquel il devient impossible de revenir sur une décision.

Annoncée depuis la conférence de 1992 ,à Philadelphie,la fin de notre civilisation est de mieux en mieux annoncée et sa probabilité de plus en plus évidente.Si les protagonistes éhontés du néolibéralisme actuel,tels que ceux qui nous vantent les vertues du Plan Nord au Québec,l’importance de la croissance économique en se servant du pétrole comme moteur de développement partout en Occident,ou les défenseurs des alliances économiques comme l’ALENA ,par exemple,jouent à l’autruche devant le peuple en continuant le  mythe  de la croissance capitaliste infinie,les savants eux,viennent de donner une note très discordante à leur symphonie « bientôt » achevée:le réchauffement océanique.

Le réchauffement des océans est désormais imparable suite aux températures record de 2014. Voilà le constat annoncé, le 16 juillet 2015, par les scientifiques du monde entier dans le rapport intitulé «L’Etat du Climat». L’étude, qui a rassemblé 413 scientifiques de 58 pays, explique que les changements climatiques ont contribué à la montée des eaux, atteignants un niveau jamais égalé.

Les chercheurs révèlent également que les conséquences des températures océaniques élevées seront ressenties pendant des siècles, même si des efforts immédiats pour réduire les émissions de carbone étaient entrepris. «Même si nous pouvions geler l’effet de serre à son niveau actuel, la mer continuerait à se réchauffer pendant des siècles et des millénaires ; et ce réchauffement entrainera son expansion et donc son élévation», indique au Guardian, l’océanographe de l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA) Greg Johnson.

Le réchauffement océanique est installé à demeure

Partout où les températures océaniques sont anormalement chaudes, comme à l’Ouest de la côte étasunienne, l’excès de chaleur produit des hivers plus chauds, provoque des conditions de sécheresse, et fait fondre le manteau neigeux. Selon Tom Karl, le directeur des centres nationaux de l’information environnemental de la NOAA, ce surplus pourrait également déclencher de fortes tempêtes.

La capacité d’absorption des océans n’y changera rien. Même s’ils peuvent retenir 90% de l’excès de chaleur causé par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, ils ne peuvent pas contrôler leur température. C’est pourquoi ils ont connu en 2014 des records de températures accompagnés d’une hausse de leurs niveaux de 6,7 centimètres par rapport à 1993. Greg Johnson utilise une métaphore pour illustrer le problème du réchauffement océanique : «C’est comme un train de marchandise. Il faut lui donner une grande impulsion pour le lancer. Mais il est en route maintenant et continuera à avancer longtemps après que nous ayons arrêté de pousser».


LE GIEC ARRIVE DANS LE  PORTRAIT…LA CATASTROPHE SE PROFILE À L’HORIZON

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« Les conclusions du GIEC s’appuient sur des données datant au mieux de 2005. Compte tenu de la lourdeur de cette organisation, qui réunit 2 500 chercheurs de 130 pays et dont l’ensemble des publications est soumis au consensus, le prochain rapport ne paraîtra pas avant 2014. Or « les dernières observations confirment que le pire des scénarios du GIEC est en train de se réaliser. Les émissions ont continué d’augmenter fortement et le système climatique évolue d’ores et déjà en dehors des variations naturelles à l’intérieur desquelles nos sociétés et nos économies se sont construites », a affirmé le comité scientifique de la conférence. Les prévisions du GIEC anticipent une hausse des températures comprises entre 1,1 °C et 6,4 °C à la fin du siècle par rapport à la période préindustrielle.

Stefan Rahmstorf a présenté une étude selon laquelle le niveau des océans pourrait augmenter dans une fourchette de 75 cm à 190 cm d’ici à 2100. Soit bien au-delà des prévisions du GIEC allant de 18 cm à 59 cm. Celles-ci – et le GIEC avait pris soin de le souligner – ne prenaient pas en compte l’évolution des calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique. Or leur rôle serait en réalité majeur, au travers de la fonte des glaces mais surtout de leur « écoulement » dans la mer. « Ce phénomène est beaucoup plus massif et beaucoup plus rapide que nous ne le pensions », confirme Eric Rignot, professeur à l’UC Irvine en Californie.

Lucka Kajfez Bogataj, de l’université de Ljubljana (Slovénie), a épluché l’ensemble des études climatiques parues dernièrement. Elle conclut sans hésiter : « L’impact du réchauffement est plus précoce et plus rapide que prévu. » Entre 1990 et 2006, le monde a connu les treize années les plus chaudes depuis 1880, qui marque le début de l’ère industrielle, cite-t-elle en exemple. »

Les  immenses incendies de forêts au nord de la Saskatchewan  au Canada,ainsi qu'aux États-Unis et en Australie sont directement lié au réchauffement climatique.
Les immenses incendies de forêts au nord de la Saskatchewan au Canada,ainsi qu’aux États-Unis et en Australie sont directement lié au réchauffement climatique.

[…]  » Présent à Copenhague, le président du GIEC, Rajendra Pachauri, n’est pas sorti de son devoir de réserve mais, à neuf mois de l’échéance, il a jugé « utile que cette conférence rappelle aux politiques qu’il existe une crise plus grave que la crise économique ». James Hansen, le célèbre climatologue de la NASA qui fut l’un des premiers à alerter en 1988 sur les dangers du réchauffement, a été plus direct : « Il faut que l’opinion soit sûre d’une chose. Les scientifiques sont clairs. Il n’existe pas de grosses incertitudes sur le film qui est devant nous. Et les politiques ne peuvent pas s’abriter derrière de prétendues inconnues pour ne pas agir. »

Selon Georges Monbiot, éditorialiste réputé au journal britannique The Guardian, concernant l’évolution du climat, il est temps de cesser de parler de « changement » pour décrire une catastrophe (13 mars 2009).

Plus récemment encore, le même Georges Monbiot annonce clairement la couleur: il faut cesser d’émettre du CO2 ou aller à la catastrophe (21 mars 2009): « Le monde ne s’adaptera pas et ne pourra pas s’adapter : la seule réponse adaptative à une pénurie mondiale de denrées alimentaires, c’est la faim. Des deux stratégies, c’est la réduction des émissions, et non pas l’adaptation, qui s’avère être l’option la plus réaliste, même elle si elle étire le concept de faisabilité jusqu’à ses limites. Comme le souligne Dieter Helm, l’action requise est aujourd’hui peu probable, mais « pas impossible. En fin de compte, c’est une question de bien-être humain et d’éthique. »

Oui, il est peut-être déjà trop tard – même si nous réduisions et d’éthique. »

Oui, il est peut-être déjà trop tard

– même si nous réduisions demain les émissions à zéro –

pour prévenir un réchauffement de plus de deux degrés, mais nous ne pouvons pas nous comporter comme si c’était le cas. Car ainsi nous rendrions cette prédiction certaine. Aussi difficile ce combat soit-il, aussi improbable ses chances de succès soient-elles, nous ne pouvons nous permettre de renoncer.

En clair, les scientifiques ont fait leur travail. Aux politiques maintenant de faire le leur…mais croyez-vous que les politiciens vont bouger?

LA SONNETTE D’ALARME EST LANCÉE DEPUIS LONGTEMPS

 Les experts mondiaux du climat présentent vendredi de nouvelles preuves de l’ampleur du réchauffement dans un rapport, destiné à guider les Etats vers un grand accord international sur le climat en 2015.

Les Maldives sont parmi les premières victimes du réchauffement climatique.
Les Maldives sont parmi les premières victimes du réchauffement climatique.

Leur objectif est de contenir le réchauffement climatique sous le seuil de +2°C depuis l’époque pré-industrielle. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), réuni à Stockholm, devait finaliser son rapport destiné à guider les pays vers un grand accord international en 2015. 

Le Giec, co-lauréat du prix Nobel de la paix en 2007, devait  présenter en 2013  le « résumé pour décideurs » du premier volet de son nouvel état des lieux, portant sur les aspects purement scientifiques. Deux volumes (sur les impacts possibles par secteur et par région et les moyens de les atténuer) devaient suivre  au printemps 2014 avant une synthèse en octobre 2014.

Les innondations se multiplient depuis quelques années...partout dans le monde.
Les innondations se multiplient depuis quelques années…partout dans le monde.

Après l’échec du sommet de Copenhague en 2009, ces signaux d’alerte sont susceptibles de relancer les négociations internationales sur le climat. Un nouvel accord global est promis pour 2015 .

+0,8°C depuis le début du XXe siècle

« Les preuves scientifiques du (…) changement climatique se sont renforcées année après année, laissant peu d’incertitudes à part ses graves conséquences« , a rappelé lundi le président du Giec, Rajendra Pachauri. Alors que la planète s’est déjà réchauffée d’environ 0,8°C depuis le début du XXe siècle, les conclusions du Giec risquent de mettre en lumière le peu de marge dont disposent les pays pour rester sous la barre des 2°C.

Reposant sur les contributions de 250 scientifiques et des études déjà publiées, le premier volume devrait confirmer la responsabilité de l’homme, revoir à la hausse la montée attendue du niveau de la mer et l’intensification de certains événements extrêmes dans certaines régions, comme les vagues de chaleur ou les fortes pluies par exemple. 

Ralentissement de la hausse depuis 10-15 ans

Ce résumé devrait également aborder les raisons possibles du ralentissement observé depuis 10-15 ans dans la hausse du thermomètre. Une « pause » apparente qui, pour les climatologues, est provisoire et ne remet pas en cause la tendance de réchauffement à long terme.

Depuis  2013, c’est ce « résumé pour décideurs », un document d’une trentaine de pages résumant les milliers de pages du premier volume, qui est approuvé paragraphe par paragraphe à huis clos. « Ces discussions peuvent être vues comme l’endroit où se rencontrent la science, la politique et la communication », estime la responsable de la communication de l’une des ONG présentes à Stockholm.

Les experts du climat du Giec ont présenté ,en 2013,leur nouveau rapport. Réchauffement de la Terre, responsabilité de l’Homme, multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes, hausse du niveau de la mer… leurs conclusions sont inquiétantes.

 


LE FAMEUX RAPPORT DU GIEC EN  2013

La photo alarmante du réchauffement global.
La photo alarmante du réchauffement global.

Les experts mondiaux du climat  ont présenté  en 2013,leur nouveau rapport à Stockholm. Rassemblés au sein du Giec, ils assurent que la responsabilité de l’homme dans le  réchauffement climatique est plus certaine que jamais. Voici les principales conclusions de ce nouvel état des lieux scientifique. 

– L’activité humaine davantage pointée du doigt. Il est désormais « extrêmement probable » que l’influence humaine est la principale cause du réchauffement observé depuis le milieu du 20e siècle, ce qui équivaut à 95% de certitude dans la terminologie très précise du rapport. Dans son dernier rapport, en 2007, cette certitude était de 90%.

– Ca chauffe de plus en plus, quatre scénarios possibles.Le Giec estime qu’il est probable que la Terre se réchauffe entre 0,3°C, dans le scénario le plus optimiste, et 4,8°C d’ici la fin du siècle par rapport à la température moyenne de la période 1986-2005. La forte incertitude dépend en premier lieu des quantités de gaz à effet de serre qui seront émises dans l’atmosphère dans les prochaines décennies. 

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– La température est déjà montée de 0,8°C depuis l’époque pré-industrielle. La Terre s’est déjà réchauffée de près d’un degré en un siècle. « Limiter le changement climatique va nécessiter des réductions substantielles et durables des émissions de gaz à effet de serre », selon Thomas Stocker, vice-président du Giec.

Le réchauffement climatique est bien chiffré ici.
Le réchauffement climatique est bien chiffré ici.

 
La météo va s’affoler de plus en plus. « Les vagues de chaleur vont probablement se produire plus fréquemment et durer plus longtemps. Avec le réchauffement de la Terre, nous nous attendons à voir les régions actuellement humides recevoir davantage de précipitations et les régions sèches en recevoir moins, même s’il va y avoir des exceptions », selon Thomas Stocker. Les experts du Giec n’ont cependant pas précisé certains aspects de ces manifestations météorologiques.
  
– Le niveau de la mer devrait monter plus que prévu.Le Giec revoit à la hausse ses projections sur cette conséquence majeure du réchauffement. Les scientifiques estiment désormais qu’elle peut monter en moyenne de 26 à 82 cm d’ici 2100 contre 18 à 59 cm dans le rapport 2007. Les climatologues prennent désormais mieux en compte un phénomène encore insuffisamment étudié il y a 6 ans : un écoulement dans les océans des glaciers côtiers du Groenland et de l’Antarctique.


Selon un rapport de chercheurs sur le climat, les gaz à effet de serre ont atteint des sommets de concentration dans l’atmosphère en 2014, tandis que la planète a enregistré une température record à sa surface.

 

Exemple d'irresponsabilité sociale et politique:les exploitations des sables bitumineux au nord de l'Alberta,au Canada. La pollution des eaux de surface et des eaux  souterraines devrait couter 10 fois la valeur  des profits générés  par ce sale pétrole.
Exemple d’irresponsabilité sociale et politique:les exploitations des sables bitumineux au nord de l’Alberta,au Canada.
La pollution des eaux de surface et des eaux souterraines devrait couter 10 fois la valeur des profits générés par ce sale pétrole.

Alors que nous vivons actuellement un nouvel épisode de canicule, des chercheurs sur « l’Etat du climat » (State of the Climate), rapportent ce jeudi que les températures enregistrées sur la surface de la Terre ont battu des records en 2014. Ces spécialistes ont également noté que les gaz à effet de serre à l’origine du changement climatique ont atteint des sommets de concentration dans l’atmosphère l’an dernier.
Extinction de la biodiversité 15 à 37% de la biodiversité auront disparu d'ici 2050 du fait du réchauffement planétaire, affirme un article publié en 2004 par un collectif de scientifiques du monde entier. Le rythme actuel de disparition des espèces de la planète est de 100 à 1000 fois supérieur au rythme naturel qu'on a connu depuis l'histoire de la terre. En savoir plus
Extinction de la biodiversité 15 à 37% de la biodiversité auront disparu d’ici 2050 du fait du réchauffement planétaire, affirme un article publié en 2004 par un collectif de scientifiques du monde entier. Le rythme actuel de disparition des espèces de la planète est de 100 à 1000 fois supérieur au rythme naturel qu’on a connu depuis l’histoire de la terre. En savoir plus
Dans leur rapport publié par l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), les 413 scientifiques originaires de 58 pays différents, révèlent que les océans eux aussi ont connu l’an dernier des records de température tandis que le niveau de la mer a atteint son plus haut niveau. « L’Europe a connu son année la plus chaude et de loin, avec une vingtaine de pays qui ont battu de précédents records », précise le rapport.
« Beaucoup de pays en Asie ont connu des températures annuelles parmi les dix plus chaudes. L’Afrique a recensé des températures supérieures à la moyenne sur la majorité du continent, l’Australie a battu un record de températures pour la troisième fois, après un sommet en 2013 ». En Amérique latine, le Mexique a connu son année la plus chaude tandis que l’Argentine et l’Uruguay ont atteint pour la deuxième fois des sommets de températures.
Exception en matière de température, la région Est de l’Amérique du Nord ( dont particulièrement le Québec) est la seule zone dans le monde à avoir connu l’an dernier des températures inférieures à la moyenne.
Un lac asséché en Chine:bientôt des centaines de millions de gens   deviendront des victimes de cet asséchement.
Un lac asséché en Chine:bientôt des centaines de millions de gens deviendront des victimes de cet asséchement.
 
Quant au niveau global des mers, en hausse de 6,7 centimètres par rapport à la moyenne de 1993, il a aussi atteint un nouveau record en 2014.
Rapport basé sur des données collectées par les postes de surveillance de l’environnement et publié dans le Bulletin of the American Meteorological Society.
Des événements climatiques extrêmes comme   la supertempête Sandy,en octobre 2012, deviendront de plus en plus fréquents et intenses. L'environement va devenir hostile aux humains.
Des événements climatiques extrêmes comme la supertempête Sandy,en octobre 2012, deviendront de plus en plus fréquents et intenses.
L’environnement va devenir hostile aux humains.
La température a dépassé jeudi ,le 5 juillet 2015,les 50 degrés Celsius au Koweït, un record pour cette année, selon le Centre météorologique de ce pays désertique du nord du Golfe. Les températures tournent autour de 40°C durant l'été au Koweït mais il arrive qu'elles grimpent au-dessus de 50°C. Aux environs de 14H00 locales (11H00 GMT) le mercure est monté à 50,1°C dans la capitale koweïtienne, pour la première fois cette l'année, selon le site internet du centre. Il a même atteint 50,9°C à l'aéroport international, situé à une vingtaine de km au sud de la capitale. Ce niveau a été dépassé dans le désert alors que les Koweïtiens et les communautés musulmanes vivant dans le pays observent le jeûne du mois du ramadan. Au poste frontalier d'Abdali avec l'Irak, à 120 km au nord de la capitale, la température a atteint 51,1°C et même 52°C dans la localité proche de Mutriba. Ces températures exceptionnelles ont été provoquées par un front d'air chaud et sec alors que l'humidité n'atteint que 5%, selon le Centre météorologique. En conséquence, la consommation d'électricité, largement utilisée pour la climatisation, a atteint un pic de 12.000 mégawatts, soit près de 90% de la capacité du pays, et 500 mégawatts de plus que mercredi.
La température a dépassé jeudi ,le 5 juillet 2015,les 50 degrés Celsius au Koweït, un record pour cette année, selon le Centre météorologique de ce pays désertique du nord du Golfe.
Les températures tournent autour de 40°C durant l’été au Koweït mais il arrive qu’elles grimpent au-dessus de 50°C.
Aux environs de 14H00 locales (11H00 GMT) le mercure est monté à 50,1°C dans la capitale koweïtienne, pour la première fois cette l’année, selon le site internet du centre.
Il a même atteint 50,9°C à l’aéroport international, situé à une vingtaine de km au sud de la capitale.
Ce niveau a été dépassé dans le désert alors que les Koweïtiens et les communautés musulmanes vivant dans le pays observent le jeûne du mois du ramadan.
Au poste frontalier d’Abdali avec l’Irak, à 120 km au nord de la capitale, la température a atteint 51,1°C et même 52°C dans la localité proche de Mutriba.
Ces températures exceptionnelles ont été provoquées par un front d’air chaud et sec alors que l’humidité n’atteint que 5%, selon le Centre météorologique.
En conséquence, la consommation d’électricité, largement utilisée pour la climatisation, a atteint un pic de 12.000 mégawatts, soit près de 90% de la capacité du pays, et 500 mégawatts de plus que mercredi.

Élections 2014 -Changements climatiques : la CAQ, le PLQ et le PQ n’obtiennent pas la note de passage

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Des groupes environnementaux, dont Nature Québec et la Fondation David Suzuki, ont fait passer un questionnaire sur la lutte contre les changements climatiques aux partis politiques qui souhaitent prendre le pouvoir lors du prochain scrutin au Québec. Résultat : selon leurs critères, la moitié des formations n’obtient pas la note de passage.

À la lumière des réponses aux 17 questions posées aux partis, si les environnementalistes observent qu’il existe un certain consensus sur les cibles de réduction des gaz à effet de serre, ils notent un clivage entre les partis sur la question de l’exploitation et de la consommation pétrolières dans la province.

Les notes obtenues par les partis :

  • Québec solidaire : 98 %
  • Parti vert du Québec : 96 %
  • Option nationale : 75 %
  • Parti québécois : 46 %
  • Parti libéral du Québec : 32 %
  • Coalition avenir Québec : 28 %

 

Des réductions de GES de 20 % à 40 %

Les groupes environnementaux constatent que presque tous les partis se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 20 à 40 % d’ici 2020 par rapport au niveau de 1990.

« Toutefois, il existe des différences significatives entre les partis quant à la compréhension du problème et l’urgence pour le Québec de contribuer à sa solution et à prendre le virage qui s’impose », estime Marie-Claude Lemieux, directrice pour le Québec du Fonds mondial pour la nature.

Les groupes, qui soulignent que ces notes sont dévoilées au lendemain de la publication d’un rapport alarmant du GIEC sur les changements climatiques, déplorent le peu d’importance accordée à cet enjeu au cours de la présente campagne électorale.

Pour Patrick Bonin, de Greenpeace, si les partis émettent de bonnes intentions, il importe qu’ils « passent de la parole aux actes ». Il souligne que si plusieurs partis proposent des objectifs de réduction, ils n’avancent que peu de moyens concrets pour les atteindre.

« Il est ahurissant que si peu d’importance ait été accordée à la question climatique dans la présente campagne électorale, en particulier chez les partis qui mènent dans les sondages. Nous espérons que le récent rapport du GIEC réveillera les partis qui ont échoué le test et qui manquent d’ambition pour briser notre dépendance au pétrole. »— Patrick Bonin, de Greenpeace

Division sur la question du pétrole

Les groupes environnementaux constatent un « clivage net » entre les partis qui s’opposent à l’exploitation du pétrole de schiste d’Anticosti (Québec solidaire, Parti vert du Québec, Option nationale) et ceux qui souhaitent « à la fois réduire la consommation de pétrole et foncer sans débat dans l’aventure pétrolière d’Anticosti », position qu’ils associent au PQ et à la CAQ. Quant au PLQ, les groupes affirment que la formation « n’a pas d’objectif de réduction de consommation du pétrole ».

Pour Christian Simard, de Nature Québec, « il est pourtant de première importance que la classe politique québécoise résiste aux chants des sirènes des marchands de pétrole et concentre sa lutte aux changements climatiques sur ce qui fait sa force, soit l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables ».

 

Autobus électrique de la STL.
Autobus électrique de la STL.

En outre, les groupes estiment que la lutte contre les changements climatiques passe notamment par un virage vers les transports collectifs. « Malgré certains engagements intéressants en matière de transports collectifs et d’électrification des transports, il faudra bien plus pour atteindre la réduction de GES urgente demandée hier par le GIEC », déclare André Bélisle, président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA).

Du positif…

Des mesures avancées par les partis politiques sont tout de même qualifiées de « dignes de mention » par les groupes environnementaux. Ils soulignent notamment l’engagement des libéraux à commander une évaluation environnementale stratégique sur l’ensemble de la filière de l’exploitation des hydrocarbures, et l’opposition de Québec solidaire à toute forme de transport de pétrole en provenance des sables bitumineux sur le territoire québécois.

Les groupes mentionnent aussi l’engagement de certains partis visant à interdire la fracturation hydraulique pour le pétrole et le gaz de schiste sur tout le territoire de la province. Finalement, ils font ressortir que plusieurs partis se sont engagés « à une stratégie énergétique qui prend en compte les perspectives de demande à long terme », misant sur l’expertise développée au Québec sur le plan des nouvelles énergies propres, des technologies d’efficacité énergétique et de l’économie d’énergie.

 

Source:Radio-Canada

 

 

 

 

 

Il n’y a jamais eu autant de CO2 dans l’atmosphère depuis 800 000 ans

Pas question ici de particules fines mais bien du polluant le plus commun de notre atmosphère : le CO2, dont les concentrations ne cessent d’augmenter. Pour la première fois, le cap symbolique des 400 ppm (part par million) a été dépassé cette semaine. « On a atteint le plus haut niveau en 800 000 ans », affirme samedi Jean-Pascal van Ypersele, professeur en climatologie à l’UCL et membre du GIEC, dans De Standaard.

« On a pu remonter à 800 000 ans grâce à l’analyse de bulles d’air dans la glace de l’Antarctique », explique le climatologue. « Le CO2 est l’un des plus importants gaz à effet de serre d’origine humaine et il joue un rôle crucial dans le réchauffement de la planète« , rappelle M. van Ypersele. « La dernière fois qu’on a atteint 400 ppm remonte à 2 à 3 millions d’années. A l’époque, la température de la Terre était d’un à deux degrés plus chaude qu’aujourd’hui. Si ce scénario se répète, la glace au Groenland devrait fondre en 500 à 1000 ans, ce qui ferait monter le niveau des eaux d’environ six mètres. Nous jouons avec le feu si nous n’agissons pas.« 

Une canette de CO2 par m³ d’air

Selon Jean-Pascal Van Ypersele, les concentrations actuelle de CO2 dans l’atmosphère représentent de l’ordre d’une canette de gaz carbonique par m³ d’air. Or, ces concentrations sont amenées à augmenter encore au rythme actuel de la consommation d’énergie fossile et de la déforestation d’origine humaine; et cela indépendamment des mécanismes naturels, par nature imprévisibles(éruptions volcaniques par exemple). Mais d’autres gaz à effet de serre (GES) sont également directement ou indirectement produits par l’activité humaine, comme le méthane. Celui-ci, dont les effets en tant que gaz à effet de serre sont jusqu’à 20 fois supérieurs à ceux du CO2, est non seulement produit par l’agriculture mais également libéré dans l’atmosphère dans le processus d’extraction des gaz de schiste ou encore libéré à la faveur de la fonte du permafrost.

Ensemble, les dégagements actuels de GES conduisent à rendre probable le plus mauvais scénario d’évolution des températures à l’échelle du globe, soit une augmentation moyenne de 4° à la fin du siècle. En revanche, en agissant dès maintenant sur les quantités de GES émises, et en dépit de leur capacité d’inertie (le fait que les quantités supplémentaires de GES produits aujourd’hui développeront seulement leurs effets dans les décennies à venir), il est encore possible de stabiliser la hausse des températures, celle-ci restant toutefois inéluctable selon les projections établies par le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) sur la base des travaux compilés et certifiés par cette organisation.

Sources: RTBF.info

La crise économique globale menace l’humanité

À la recherche d’une alternative au Nouvel Ordre Mondial:

Dans  toutes les grandes régions du monde , la récession économique est profonde , entraînant le chômage de masse , l’effondrement de programmes sociaux étatiques et l’appauvrissement de millions de personnes. L’effondrement des marchés financiers a été le résultat d’une fraude institutionnalisée et de la manipulation financière. La crise économique s’accompagne d’un processus mondial de militarisation , d’une «guerre sans frontières» menée par les Etats-Unis et ses alliés de l’OTAN .

Il faut creuser sous la surface dorée  de l’étalage de faussetés jeté aux yeux du peuple des humains de la Terre, pour révéler une toile complexe de tromperie et de déformation médiatique servant à camoufler les rouages ​​du système économique mondial et ses effets dévastateurs sur la vie des gens .Il est fondamental dans l’intérêt de la survie du néolibéralisme et du capitalisme pur et dur de Wall Street,que l’ensemble des travailleurs et des travailleuses de cette planète ignore que toutes les formes de vie sont menacées de mort et que pour se maintenir,le Nouvel Ordre Mondial aura besoin de pratiquer l’eugénisme,à grande échelle…de manière discrète.

En d’autres mots,le  Nouvel Ordre Mondial ,pour perpétuer  sa puissance pendant  le temps très court qu’il reste à vivre aux humains de cette planète,aura besoin de ramener  la population mondiale à un maximum net de 500 millions d’individus sélectionnés.Donc,il faudra appliquer le  programme tel que défini sur les pierres de la Georgia Guidestone.

La majeure partie de l’humanité est donc menacée de mort et vit ,comme des autistes enfermés dans leur bulle qui ne peuvent  voir le monde ,dans un état d’Éveil Spirituel.

Il nous faut donc fournir  un exposé très lisible d’un système économique mondial , manipulé par une poignée d’ acteurs économiques extrêmement puissants pour leur propre bénéfice , pour enrichir une minorité au détriment d’une majorité sans cesse croissante. Il faut aussi préciser que nous sommes tous dans une impasse majeure sur le plan écologique surtout ,en plusieurs dimensions.

Les néolibéralistes ont tout intérêt à cacher la Vérité sur la condition terrible de  la vie et des écosystèmes ,sur Terre.S’il fallait  que le monde sache exactement ce qui arrive avec l’irradiation de l’océan Pacifique depuis le désastre de Fukushima,il y aurait une levée de foules à l’échelle mondiale.Le printemps arabe  de 2011 aurait l’air d’une marche de santé à côté de cela.

Voici un petit aperçu de ces dimensions du « paradigme ,lire l’impasse  de l’humanité actuelle »:

PREMIÈRE DIMENSION: l’efficacité énergétique dans le monde

Une étude sur l’efficacité énergétique dans le monde montre que les progrès patinent.


Un relatif consensus international émerge. Il voit l’efficacité énergétique comme une stratégie bénéfique pour chaque partie prenante : réduction de la dépendance aux importations d’énergie, réduction des émissions de gaz à effet de serre liées à l’énergie, préservation de la compétitivité des entreprises et du pouvoir d’achat des ménages…

Toutefois, ces bonnes nouvelles apparaissent en trompe-l’oeil, avec un ralentissement généralisé de l’efficacité énergétique sur les années récentes. Les disparités régionales demeurent et des solutions nouvelles doivent être trouvées pour tenir compte de la réalité de chaque pays et ainsi passer à la vitesse supérieure.

L’efficacité énergétique est devenue une réalité mondiale mais de fortes disparités persistent

L’édition 2013 du rapport sur l’efficacité énergétique dans le monde, réalisé par l’Ademe (Agence de l’environnement et la maitrise de l’énergie) pour le Conseil Mondial de l’Energie, avec le concours d’Enerdata, pointe les progrès sensibles observés partout dans le monde avec des différences régionales encore notables, fortement influencées par les économies dites émergentes.

Depuis 1990, au niveau mondial, l’intensité énergétique primaire (i.e. le ratio entre la consommation d’énergie primaire et le PIB d’un pays) a diminué au rythme de 1,3 % par an en moyenne et la diminution de l’intensité énergétique finale (i.e. le ratio entre la consommation finale d’énergie et le PIB) se révèle encore plus importante, de 1,6 % par an. [Mais cette baisse s’est fortement ralentie dans les années récentes, comme le montre le graphe ci-dessous :

Evolution de l'intensité énergétique.

Cette différence s’explique par l’augmentation rapide de la consommation d’électricité dont la production génère des pertes énergétiques dues aux faibles rendements de production et donc une baisse de l’efficacité du système de transformation de l’énergie.

Au-delà de l’impact de la crise économique, l’efficacité énergétique progresse dans la plupart des pays du monde sous l’effet des politiques mises en place. Les écarts de performance sont notamment liés à des contextes économiques disparates comme, par exemple, la forte présence de l’industrie lourde en Chine, ou les prix de l’énergie au Moyen-Orient et au sein de la Communauté des Etats Indépendants. Le ralentissement important de l’efficacité énergétique en Inde et surtout en Chine depuis 2008 est préoccupant et pèse fortement sur les performances mondiales.

D’un point de vue sectoriel, l’intensité énergétique des transports a diminué dans toutes les régions du monde, de 10 % en moyenne entre 1990 et 2011. La baisse est encore plus forte en Chine et en Inde, où la consommation d’énergie des transports par habitant est beaucoup plus faible que dans l’OCDE. Les progrès dans la consommation d’énergie des voitures, le développement des transports collectifs et le renchérissement du coût des carburants expliquent ces différences.

Dans le secteur résidentiel, si la consommation d’énergie par ménage a diminué de 0,8 % par an en moyenne au niveau mondial depuis 1990, les disparités nationales persistent. Les écarts sont particulièrement forts en termes de consommation électrique : 750 kWh par ménage par an en Inde, contre 1 300 en Chine, 3 500 en Europe, 5 000 au Japon et encore 10 000 en Amérique du Nord !(1)

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SECONDE DIMENSION: le réchauffement climatique  va détruire l’humanité à lui seul

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Le GIEC vient de rendre son rapport. Angoissant, mais nullement surprenant pour les vieux écolos dans mon genre… Le GIEC, c’est le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Claude Allègre et quelques autres ont débiné ses études, sous les applaudissements d’un quarteron d’irresponsables économiques, politiques et médiatiques…

À Stockholm, le GIEC en rajoute une couche. Il trace des perspectives pour la fin du XXIe siècle. Si l’on ose dire, le réchauffement qu’il annonce fait froid dans le dos.

Une situation qui ne s’améliore pas

Nous avons besoin d’énergie. Je laisse de côté le cas du nucléaire. Le pétrole se raréfie, et nous croyons malin de le remplacer par du très lourd – du charbon, des schistes bitumineux, des sables asphaltiques ou des gaz ou huiles de schiste. Les hydrocarbures « non conventionnels », voilà l’avenir, nous serinent les pétroliers, les financiers et Arnaud Montebourg.

Nous paierons ces combustibles beaucoup plus cher que ne le prédisent ces « responsables » aux yeux de taupe.

Je veux citer un seul chiffre : 400. 400 quoi ? 400 ppm… 400 parties par million de gaz carbonique dans l’atmosphère. Le CO2 constitue le principal gaz à effet de serre, fauteur de réchauffement climatique. Lorsque les scientifiques ont commencé à mesurer son abondance dans l’air, en 1957, ils trouvaient la valeur de 360 ppm. Avant l’ère industrielle, on en était à 280. Nous avons dépassé les 400 cette année.

Les recommandations du GIEC, répétées, rabâchées lors de la Conférence des Nations unies de Copenhague, en 2009, étaient que nous ne devions à aucun prix dépasser une hausse de la température moyenne superficielle de la terre de 2°C en 2050. Et que, pour obtenir ce résultat, nous étions dans l’obligation de diviser par deux nos émissions de gaz à effet de serre, par rapport à ce qu’elles étaient au début des années 1990.

Le fait est qu’en ce moment, nous ne divisons pas par deux ces pollutions : nous les multiplions par le même chiffre. Nous allons quatre fois trop vite, trop fort, trop mal.

Les conséquences désastreuses d’un réchauffement

Que se passera-t-il si nous persévérons dans cette inconscience ? Nous dépasserons les 2°C de réchauffement en 2050, et nous atteindrons 4 à 6 en 2100. Le GIEC nous donne sa fourchette révisée : entre 0,3 et 4,8°C pour la fin du siècle.

La valeur la plus basse nécessiterait que nous devenions immédiatement et durablement vertueux, et que nous acceptions, pour ainsi dire, la décroissance économique générale. Nous atteindrons les 4,8°C (autant dire 5) si nous continuons simplement à brûler les carburants fossiles au rythme actuel…

Si nous réchauffons à ce point l’atmosphère, nul ne maîtrisera plus rien. Le phénomène s’est déjà produit, de façon cataclysmique, à la fin de l’ère Primaire, il y a 250 millions d’années. Selon la science officielle,l’homme était innocent de cet événement, pour la bonne raison qu’il n’était même pas en projet dans les cartons de l’évolution…

À l’époque, de gigantesques volcans se sont éveillés en Sibérie, et ont vomi des nappes de lave (qu’on appelle des « trapps ») plus vastes que la France. Ils ont craché des quantités prodigieuses de gaz carbonique. La température de la planète a augmenté de 4°C.

  Photo prise lors de la conférence de Copenhague sur le climat, le 18 décembre 2009 (WITT/SIPA).

C’est alors que s’est produit un rebond fatal : les glaces polaires ayant fondu, les océans ont absorbé davantage de chaleur. Les organismes du plancton sont morts à cause de l’acidification des mers : or, ce sont les principaux « puits de carbone » de la planète.

Par ailleurs, de gigantesques quantités de méthane, jusque-là fixées au fond des mers et dans le sol toujours gelé (le permafrost ou permagel) des régions arctiques et subarctiques, ont été rendues à l’atmosphère : or, le méthane est 23 fois plus « efficace » que le CO2 comme gaz à effet de serre.

Résultat : la température de la planète a grimpé en flèche, de plus de 10°C. Des catastrophes indicibles se sont déclenchées : incendies, extension des déserts, pluies acides, ouragans gigantesques, élévation de 70 mètres du niveau des mers, etc. Plus de 90% des espèces végétales et animales ont été anéanties…

Nous sommes vulnérables

La plus formidable extinction de masse de l’histoire du la Terre a été provoquée par un réchauffement climatique initial de 4°C, suivi d’un rebond implacable à plus de 10.

Nous filons vers les 4 ou 5 : nous aurons donc les 10. Nous commençons à entrevoir que tel est l’avenir que nous réservons à nos enfants à la fin du XXIe siècle ou au début du suivant.

Parmi les lignées zoologiques disparues, au terme de l’ère Primaire, figurait un groupe de poissons que les paléontologues appellent « cuirassés ». Malgré leur impressionnante armure, ces animaux sont morts jusqu’au dernier. Si nous persévérions dans notre erreur énergétique actuelle, nous pourrions incarner les poissons cuirassés de la grande extinction que nous aurions déclenchée, et qui conclurait en farce notre aventure orgueilleuse sur cette négligeable planète.

Nous sommes tous des poissons cuirassés en voie d’extinction. Par notre faute. Sur le mode du hara-kiri – ou du seppuku, comme disent les Japonais.

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TROISIÈME DIMENSION: Fukushima va irradier les océans

J’ai prouvé par mes articles que la situation va en empirant et nous allons mener une action politique sérieuse sur ce point.

Il s’agir de relire mes articles pour s’en convaincre:

http://michelduchaine.com/2013/10/12/alerte-fukushima-mise-a-jour-importante-lhumanite-en-danger-de-mort-imminente/

http://michelduchaine.com/2013/10/17/alerte-fukushima-no-2sous-la-centrale-se-forme-un-marecage-radioactif/

http://michelduchaine.com/2013/10/14/alerte-fukushima-rien-nempeche-la-fuite-radioactive-dempoisonner-locean-pacifique/

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QU’ALLONS-NOUS FAIRE?….Un MOUVEMENT MONDIAL DE DÉSOBÉISSANCE CIVILE…POUR NOUS OPPOSER AU NOUVEL ORDRE MONDIAL!
Afin de sauvegarder un minimum d’espoir pour l’avenir de l’humanité ainsi que protéger un tant soit peu ,le reste des autres formes de vie,il va nous falloir désormais œuvrer pour enlever le pouvoir de gérance du monde des mains des politiciens et des sociétés secrètes qui les contrôlent.
La mise en place des éléments de base afin de développer un Mouvement Mondial de Désobéissance Civile est rendue nécessaire et incontournable.
Donc,notre but ultime sera de proposer une alternative au Nouvel Ordre Mondial afin de rétablir l’ordre sur Terre…même s’il fallait retourner à un ordre ancien pour parvenir à un équilibre.
Aussi allons nous rechercher des alliés et des militants dans toutes les nations du monde.
Vive la Révolution Mondiale!

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LÉGENDE

(1)source:

(Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie)  http://a:deme.typepad.fr/file/cp_etude_ademe_08102013.pdf