La Criminelle Arnaque du COVID 19:Suite à la découverte d’un insecte dans un flacon, Moderna retire près de 800 000 doses de vaccin

Un moustique a été découvert à l’intérieur d’un flacon dans un centre de vaccination de Malaga, en Espagne. Invoquant la « présence d’un corps étranger », l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (AEMPS) a annoncé le retrait, le 8 avril, de lots du vaccin Moderna, rapporte le quotidien El Pais. Le laboratoire Moderna a dû procéder au rappel de 764 900 doses de vaccin.

Le lot dont était issu le flacon avait été produit dans une usine située à San Sebastian de los Reyes, près de Madrid, où sont réalisés le remplissage des flacons et leur conditionnement. Le contenant est, lui, produit en Suisse.

Moderna fait face à un autre problème : depuis la mi-janvier 2022, les fioles ont été distribuées dans plusieurs pays en dehors de l’Espagne : la Norvège, la Suède, la Pologne et le Portugal. Tous sont concernés par le rappel annoncé par le laboratoire. Les autorités norvégiennes sont d’ailleurs à l’origine du dévoilement de la raison de ce retrait.

Pour autant, le laboratoire a voulu se montrer rassurant en publiant un communiqué commun avec l’entreprise responsable de la fabrication (Rovi) : « Le flacon impacté […] n’a pas été administré », assurent-ils, ajoutant qu’une enquête est en cours. Moderna soutient par ailleurs qu’« aucun problème de sécurité n’a été signalé chez les personnes ayant reçu un vaccin […] de ce lot », faisant valoir les 900 millions de doses de leur vaccin injectées à travers le monde.


EN COMPLÉMENTAIRE

Au Japon,en 2021, Moderna était contraint de retirer 1,63 million de doses de vaccins

Août 2021-Le Japon a retiré du marché 1,63 million de doses du vaccin Moderna après qu’une alerte venue de plusieurs centres de vaccination a signalé des lots contenant des impuretés. Après consultation avec le ministère de la Santé japonais, le groupe pharmaceutique nippon Takeda qui distribue le vaccin au Japon a décidé de suspendre l’utilisation des doses et demandé à Moderna de mener l’enquête.

La production du vaccin Moderna s’inscrit dans une longue chaîne de fabrication, une chose qui ne lui est pas propre puisque tous les fabricants de vaccins ont fait appel à des sous-traitants pour produire en quantité et répondre le plus rapidement possible à une demande mondiale très élevée.

Concernant le vaccin Moderna et les lots défectueux japonais, le principe actif composé d’ARN messager est fabriqué en Suisse tandis que son conditionnement est sous-traité en Espagne, près de Madrid par la société Rovi. Le problème viendrait du conditionnement et la société Rovi aurait, selon le quotidien El Pais « reconnu dans une lettre que le problème a pu survenir dans une de ses lignes de production et qu’il ne concerne qu’un lot, bien que les autres lots soient analysés à titre préventif ».

Ce problème sanitaire vient s’ajouter à une situation sanitaire déjà critique dans un pays, qui malgré le programme de vaccination de masse mis en place depuis mai, connaît un taux d’infections record depuis l’arrivée du variant Delta, plus contagieux.


une plainte pour crime d’empoisonnement déposée au Tribunal judiciaire de Paris

 

Une plainte criminelle contre X pour crime contre l’humanité, empoisonnement et tentative d’empoisonnement, rédigée par un collectif de juristes et d’avocats, est envoyée cette semaine au Tribunal judiciaire de Paris par l’association BonSens.org, l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) et des citoyens victimes d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19.

Au cours des dernières semaines, la campagne présidentielle et la guerre en Ukraine ont subitement puis totalement pris le pas sur la politique sanitaire du gouvernement, qui avait envahi nuit et jour l’espace médiatique au cours des deux dernières années. Marquée par l’obligation indirecte de prendre un vaccin à l’efficacité contestée et aux effets secondaires de plus en plus avérés (Voir : Le Sénat à l’écoute des victimes présumées d’effets secondaires graves du vaccin et « Il y a une volonté de ne pas savoir » : le collectif « Où est mon cycle » au Parlement européen), la crise du Covid-19 a jeté le doute sinon franchement mis en cause dans les esprits des Français, la probité de l’action du gouvernement et de son chef. Dernièrement, les affaires McKinsey et du Rothschild Gate sont venus renforcer au sein de la population ce sentiment de dichotomie entre l’intérêt général et les intérêts privés de la caste dirigeante. C’est pourquoi des associations poursuivent, malgré les embûches, la bataille judiciaire en vue d’obtenir au pénal réparation pour les victimes des conséquences de la politique vaccinale. C’est dans ce cadre que nous avons interviewé Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, qui représente les plaignants.

Pourraient être impliqués, et par la suite, mis en examen : Jean Castex, Premier ministre ; Edouard Philippe, ancien Premier ministre ; Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé ; Frédérique Vidal, ministre déléguée à l’Enseignement supérieur et à la Recherche et membre de la « task force » vaccin ; Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, responsable de la « task force » vaccin ; Jérôme Salomon, directeur général de la santé ; Alain Fischer, coordonnateur de la stratégie vaccinale de l’État ; Louis-Charles Viossat, ancien responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19  ; Laetitia Buffet, responsable de la « task force » interministérielle vaccination covid-19  ; Bernard Celli, responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19  ; Patrick Bouet, président du Conseil national de l’Ordre des médecins.

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Les membres du conseil scientifique constitué à titre de l’urgence sanitaire en application de la loi n°2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19 (ci-après conseil scientifique, créé par le décret du 3 avril 2020) : Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19 ; Laetitia Atlani-Duault, anthropologue ; Daniel Benamouzig, sociologue ; Lila Bouadma, réanimatrice ; Simon Cauchemez, modélisateur ; Catherine Chirouze, infectiologue ; Angèle Consoli, pédopsychiatre ; Pierre Louis Druais, médecine de ville ; Arnaud Fontanet, épidémiologiste ; Marie-Aleth Grard, milieu associatif ; Olivier Guérin, gériatre ; Aymeril Hoang, spécialiste des nouvelles technologies ; Bruno Lina, virologue ; Denis Malvy, infectiologue ; Yazdan Yazdanpanah, infectiologue ; la Haute Autorité de santé (HAS) ; Dominique Le Guludec, directrice générale de la HAS ; l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ; Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale de l’ANSM ; l’Agence européenne du médicament ; Emer Cooke, directrice de l’Agence européenne du médicament ; la Commission européenne ; Ursula van der Leyen, présidente de la Commission européenne ; la société Pfizer SAS ; Henriette Rosenquist, présidente de la société Pfizer SAS ; Franck Le Breguero, pharmacien responsable et directeur général de la société Pfizer SAS ; la société Pfizer Holding ; Florence Petelet, gérante de la société Pfizer Holding ; Marie-Gabrielle Laborde-Rayna, pharmacien responsable et gérante non-associée de la société Pfizer Holding ; la société Pfizer inc. ; Albert Bourla, PDG de la société Pfizer inc. ; la société BioNtech AG ; Helmut Jeggle, président de la société BioNtech AG.

Et toutes autres personnes à déterminer.

FranceSoir : Me Joseph, quel est l’intérêt de cette plainte pour les victimes des conséquences des injections ?

Me Joseph : Pour les victimes et les proches de victimes, l’intérêt est double. D’une part, il est de se voir reconnues comme victimes d’un acte que le juge qualifiera, mais qui, selon les plaignants, réunit les conditions du crime d’empoisonnement.

Ainsi, les fabricants doivent répondre des substances qu’ils ont conçues et mises sur le marché, nous y reviendrons. Les ministres en charge et les différentes agences et commissions qui sont intervenues pour administrer ces substances aux Français (HAS, ANSM, Conseil scientifique) engagent également leur responsabilité. Tout comme la Commission européenne, sa présidente et l’Agence européenne du médicament, ils ne pouvaient ignorer que tout indiquait, avant leur mise sur le marché, qu’elles étaient mal évaluées, donc potentiellement dangereuses. Ceci, d’autant plus que depuis près d’un an, de nombreux scientifiques les en informent et que de nombreux citoyens ont attiré leur attention sur une des dispositions du contrat signé entre la Commission européenne et Pfizer, précisant (p. 48 et 49) que les parties au contrat reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables du « vaccin » et trouvent étranges que ces « vaccins » ne protègent soi-disant que pendant 4 mois, n’empêchent pas de contracter la maladie et rendent les « vaccinés » potentiellement contagieux, ce qui a justifié que l’on oblige pendant plusieurs mois, les « vaccinés » à porter le masque, qui reste obligatoire, même pour eux, dans les transports.

J’ajouterai qu’à un tel niveau de responsabilité, il est impossible de se prévaloir de son ignorance, surtout si, au lieu de vérifier ce que leur expliquaient de nombreux médecins, biologistes, virologues, statisticiens de renommée internationale, ils ont dénigré ces derniers, se campant dans une certitude méprisante et suffisante, les qualifiant de « complotistes », plutôt que de « lanceurs d’alerte ». Dans ce cas, les responsables publics sont tenus de s’informer de la façon la plus précise, surtout s’agissant de la santé de la population. Si, malgré tout, on ne sait pas, le simple bon sens ou même l’application du principe de précaution doivent conduire à ne pas faire prendre un risque aussi inconsidéré aux Français, femmes enceintes et enfants compris, pour une maladie dont on sait qu’elle tue peu, qu’elle tue essentiellement les personnes les plus âgées et, surtout, que de nombreux traitements existent pour la combattre. Malheureusement, tous les traitements prescrits par des médecins, faisaient l’objet de poursuites de la part du Conseil de l’Ordre pour qui « Il n’y avait pas de traitement… »

D’autre part, les victimes, fortes de la faute pénale ainsi reconnue pourront se tourner vers les responsables et, singulièrement les fabricants, pour voir les préjudices qu’ils ont subis indemnisés. Ces derniers espéraient probablement, de ce que l’on sait des contrats d’achat avec la Commission européenne, échapper à leur responsabilité civile en incluant dans ces contrats des clauses exonératoires. En d’autres termes, les fabricants et la Commission européenne, représentée par sa présidente, Ursula von der Leyen, auraient convenu que ni la Commission ni les États membres ne pourraient se retourner contre les fabricants.

La loi du 25 juillet 2021 sur la gestion de la crise sanitaire a d’ailleurs choisi d’intégrer la vaccination contre le Covid-19 au dispositif de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM), qui propose une indemnisation amiable des victimes d’accidents médicaux et se charge, le cas échéant, de poursuivre le responsable en remboursement. Mais cela signifie aussi que, s’agissant d’une procédure amiable, l’intégralité des préjudices ne sera pas réparée. Et, surtout, l’indemnisation des victimes relèvera de la Solidarité nationale. Si ce financement est, en soi, défendable, il l’est moins dans le contexte actuel.

En effet, le contribuable qui aura financé la recherche, avec les fonds d’urgences attribués par la Commission européenne aux fabricants, puis l’achat de ces substances doit maintenant assumer l’indemnisation des conséquences des injections… Pendant le même temps, le groupe Pfizer, par exemple, annonce un chiffre d’affaires, pour 2021, de 81,3 milliards de dollars, en augmentation de 95% par rapport à l’année précédente et un bénéfice record de 22 milliards de dollars.

Toutefois, on peut penser que la reconnaissance par la justice de la faute pénale des fabricants permettra, ensuite, aux victimes de se retourner directement contre eux pour obtenir l’indemnisation de leur préjudice, puisque la voie de l’ONIAM n’est qu’optionnelle et ne ferme pas la voie juridictionnelle aux victimes.

Cette plainte peut être téléchargée en fin d’article afin d’être communiquée par les victimes à leurs avocats.

FS : En quoi consiste l’empoisonnement qui fait l’objet de cette plainte ?

JPJ : Dans cette affaire, l’empoisonnement, qui est un crime consistant à donner la mort par administration d’une substance mortelle, prend plusieurs formes.

D’abord, le professeur Jean-Michel Claverie, professeur émérite de médecine, PU-PH de l’université d’Aix-Marseille, a récemment évalué la quantité d’ARNm de la protéine Spike qui pénètre le corps humain à chaque injection de l’une des substances géniques expérimentales, abusivement nommées « vaccin ». Il est parvenu à la conclusion suivante :

– Une dose du produit Pfizer délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 6,75 m³ de fluide nasal infecté par le virus.
– Le même constat peut être fait à propos du produit Moderna, qui délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 23 m³ de fluide nasal infecté par le virus.

Le professeur Claverie évoque une quantité « véritablement astronomique » d’ARNm de la protéine Spike ainsi injectée dans le corps humain.

Une de ses conclusions est que « l’injection de ces vaccins ne mime absolument pas le processus d’infection naturel par le SARS-CoV2, mais constitue une modification locale de la concentration en ARNm totalement non-physiologique pour les cellules qui l’incorporent. Même au cours d’une infection virale très virulente, on estime que le nombre de molécules d’ARN messager ne dépasse pas une centaine d’exemplaires par cellule infectée, pour les gènes viraux les plus fortement exprimés ».

L’inquiétude augmente encore lorsqu’on lit, toujours d’après le professeur Claverie, que ces produits contiennent des « impuretés totalement inattendues ».

Ainsi, « une publication récente, par le laboratoire Moderna lui-même, décrit la présence d’impuretés totalement inattendues dans le principe actif même du vaccin, dans lequel une partie de l’ARNm injecté est modifiée par une réaction chimique avec l’enveloppe lipidique des nanoparticules chargées de le véhiculer à l’intérieur des cellules. S’agissant d’une modification chimique inconnue à ce jour, dont la toxicité éventuelle n’a pas été évaluée, cette découverte aurait dû poser la question de la suspension éventuelle de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché, ce qui n’a pas été fait. La même modification chimique a probablement lieu également dans le vaccin BNT-162b2 de BioNTech/Pfizer (dont la composition est proche de celle de la préparation de Moderna), mais à ma connaissance, aucune vérification n’a été publiée ».

Le rapport du professeur Claverie est en téléchargement avec la plainte, au pied de l’article.

Ensuite, et c’est une information particulièrement inquiétante révélée par des travaux de recherche de mai 2021, confirmés en février 2022 : les cellules humaines auraient la capacité de transformer l’ARNm des substances géniques expérimentales en ADN et, donc, de l’intégrer à leur propre génome, entraînant des modifications du génome humain. Bien entendu, les conséquences de telles modifications, qui auront nécessairement des effets sur la descendance des personnes concernées, sont à ce jour totalement imprévisibles.

Cette découverte est d’autant plus choquante que le mécanisme de la transcriptase inverse (qui permet la transformation d’un ARNm en ADN) au sein des cellules humaines est connu depuis 1970. Les derniers travaux de 2021 et de 2022 ne font que confirmer la possibilité d’intégration de l’information délivrée par l’ARNm vaccinal injecté, dans le génome humain. Il n’y a donc plus de doute possible : les substances géniques expérimentales peuvent modifier, voire endommager le génome humain.

Que doit-on penser, lorsque le professeur Claverie ajoute que « la possibilité d’une intégration génomique, longtemps considérée comme improbable vient d’être démontrée (…) avec des quantités expérimentales d’ARNm largement inférieures à celles (…) découvertes dans les injections ARNm » ? On ne peut qu’en déduire que le risque de modification du génome est d’autant plus considérable, vu les quantités injectées aux Français.

Enfin, les travaux de Christine Cotton, biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans, ont révélé un autre fait scandaleux. Les essais cliniques préalables comportent d’importants biais méthodologiques, rendant peu fiables les conclusions d’efficacité. Il apparaît également que la baisse de l’immunité et les effets secondaires potentiellement dangereux pouvaient être anticipés. Ces faits étaient connus des fabricants, tout comme les autorités européennes et françaises au moment de l’autorisation en vie réelle.

Malheureusement, les chiffres vertigineux des décès et des blessures consécutifs à l’injection provenant des organismes de pharmacovigilance des pays concernés sont la preuve de cette désinvolture criminelle.

Par ailleurs, avec maintenant une année de recul, les chercheurs observent, dans tous les pays qui ont eu recours aux injections, une surmortalité inexpliquée, spécialement marquée chez les personnes de 15 à 44 ans. Or, la courbe de la surmortalité épouse parfaitement celle des campagnes vaccinales. La corrélation est telle que l’hypothèse d’une surmortalité de la population due à la vaccination est désormais avancée.

Ces éléments sont d’une extrême gravité, puisqu’ils touchent à la santé des Français, mais aussi à celle des enfants à naître, pour les femmes enceintes qui auraient reçu l’injection, et à l’espèce humaine, elle-même, dont le génome pourrait être modifié de façon aléatoire, inconnue et incontrôlée. Or, les autorités françaises ne peuvent ignorer les informations que je viens d’exposer et qui sont consignées dans la plainte.

Pourtant, les campagnes de vaccination se poursuivent aveuglément. Le chantage à l’emploi continue, la ségrégation et la discrimination sont toujours d’actualité (on rappellera qu’un passe sanitaire est toujours exigé pour entrer à l’hôpital), les menaces et les insultes ne sont qu’en sourdine. Doit-on rappeler que de nombreux responsables publics et personnalités médiatiques n’ont pas été en reste pour proférer insultes et menaces publiques contre les personnes non-injectées. Ainsi, Laurent Alexandre ou Gilbert Deray voient en elles « des criminels », à qui, renchérissent Christian Estrosi ou François Sauvadet, il faut supprimer chômage et aides sociales. Olivier Véran impute lui, sans autre procès, la responsabilité du Covid dans un Ehpad à une soignante non-injectée. Emmanuel Lechypre déclare vouloir les faire « emmener de force par des policiers », tandis que Gabriel Attal n’y voit qu’une « frange capricieuse », à qui le gouvernement promet une « vie de merde ». Dans cette ambiance délétère, CNews a dû trouver vendeur de titrer « Antivax : comment s’en débarrasser ? »

C’est pourquoi, face à des constats aussi alarmants, BonSens.org, l’AIMSIB et les autres plaignants ont décidé de déposer une plainte criminelle pour les chefs d’accusation d’empoisonnement, de complicité d’empoisonnement et de crime contre l’humanité contre tous ceux qui ont incité ou forcé, selon les cas, les Français à se faire injecter une substance, toujours au stade de l’essai clinique, mal évaluée, dont la dangerosité pouvait être anticipée et qui continue à tuer et à blesser chaque jour. Il s’agit donc d’actes criminels.

FS : Pensez-vous que les faits soient suffisamment graves pour que l’on puisse parler de crime contre l’humanité ?

JPJ : Oui. Le crime contre l’humanité est rarement invoqué devant les juridictions françaises. Il l’a été pour des crimes commis sous l’occupation nazie (Touvier, Barbie) ou pour des crimes commis à l’étranger pour lesquels la juridiction française est compétente (par exemple, le juge pénal peut poursuivre les crimes commis au Rwanda et en ex-Yougoslavie, si les responsables vivent en France).

Cependant, les faits sont là et les qualifications pénales également. Or, il ne fait pas de doute que la campagne de vaccination que nous subissons, relève de la définition du crime contre l’humanité, spécialement maintenant qu’on en mesure mieux les conséquences psychologiques, sociales, économiques et en termes de santé.

Ce qu’il importe de comprendre, c’est que le crime contre l’humanité, ce ne sont pas seulement des actes criminels isolés (forcer les Français à se faire injecter une substance potentiellement mortelle). Ce sont des actes criminels, commis de façon coordonnée par un groupe criminel, contre une population ou un groupe de population, inscrits dans un plan exécuté au nom d’un « État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique », pour reprendre les termes de la Cour de cassation.

Ces actes, et c’est ce qui caractérise un crime aussi terrible que le crime contre l’humanité, dépassent la simple intention de tuer. Ils visent à déshumaniser les victimes, à nier leur nature humaine, à les rejeter en dehors de la communauté des Hommes, ceci, pour des motifs purement idéologiques.

Or, nous sommes bien, avec « l’idéologie vaccinale » actuelle, dans le cadre d’une politique d’hégémonie idéologique. En effet, la finalité des politiques discriminatoires, de ségrégation, de persécution et, finalement, d’empoisonnement, pratiquées depuis plus de deux ans est bien de dénier leur humanité aux personnes réfractaires. Elle a, d’ailleurs, trouvé sa synthèse dans les propos du président de la République, selon lequel, un « irresponsable », ce terme désignant une personne non-injectée, « n’est plus un citoyen ».

Comment mieux dire qu’il s’agit de retirer à cette partie de la population ce qui est le plus intimement attaché à sa personne, au sens juridique comme au sens politique : sa citoyenneté, son appartenance à la nation française, laquelle constitue son identité et, non, un artefact dont on pourrait se débarrasser. Porter atteinte à la qualité de citoyen revient ainsi à porter atteinte à la personne même, dans son identité et dans sa dignité. On rappellera, à cet égard, dans un domaine très proche, que la perte de nationalité est une sanction infamante, réservée à certaines infractions particulièrement graves.

Il y a pire encore. Nous savons désormais que les substances géniques expérimentales pourront avoir des effets sur la descendance des personnes injectées dont l’ADN aura été endommagé. En d’autres termes, les faits que dénoncent les plaignants sont, non seulement une attaque généralisée et systématique contre une population, pour reprendre les termes du code pénal, mais ils constituent également une attaque contre l’espèce humaine, elle-même, dès lors qu’existe la possibilité de modification du génome humain.

FS : Cette plainte intervient dans un contexte particulier ?

JPJ : En effet. La question des effets indésirables de ces substances a, enfin, été saisie par le Parlement, dont l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) a été chargé, selon son vice-président, Gérard Longuet, de « rassembl(er) les éléments techniques et scientifiques sur les effets du vaccin ».

On remarquera d’emblée que la création de cette commission d’enquête est due à l’initiative des citoyens et non à celle des parlementaires ou d’autres responsables publics. C’est ainsi une pétition citoyenne, déposée par le docteur Devilleger, cardiologue, sur le site du Sénat qui, ayant recueilli plus de 33 600 signatures en quelques semaines, a incité les sénateurs à saisir l’Opecst. Ainsi, « constatant la forte dynamique des signatures », le Sénat « a décidé d’y donner suite sans attendre » pour « répondre aux inquiétudes qui s’expriment ». Le cycle d’auditions, qui a débuté le 28 mars, est prévu pour durer trois mois. Souhaitons que, comme l’annonce Gérard Longuet, les parlementaires « prendront (leurs) responsabilités » sur une question aussi importante pour les Français.

Par ailleurs, un colloque scientifique international s’est tenu à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée, dirigé par le Pr Didier Raoult, les 30 et le 31 mars dernier et à Massy, les 1er et 2 avril, l’International Covid Summit (ICS), intitulé « Covid-19, premier bilan des connaissances et controverses scientifiques », qui a réuni de nombreux experts du monde entier. La science progresse donc, envers et contre tout a-t-on envie de dire, sur la maladie, son traitement et sur les effets des « vaccins ».

Dans ce sens, on ne peut qu’espérer que l’épisode dramatique que nous vivons nous ramènera à ce qu’est la science : le doute, la controverse, la remise en question. Lorsqu’on entre dans le monde des certitudes, comme nous l’observons avec le tout vaccinal que l’on tente d’imposer aux Français, on est dans l’idéologie, plus dans la science. Malmener la science, l’instrumentaliser ne peut, l’histoire nous l’avait pourtant déjà enseigné, que mener à des catastrophes, telle celle que nous expérimentons. Et, face à l’incurie, pour le moins, de nos responsables politiques, sourds aux souffrances que leurs politiques ont créées, la seule arme qui reste au citoyen pour mettre un terme à cette situation et pour rendre justice aux victimes, est la juridiction pénale. Nous ne doutons pas de la diligence du juge pénal, car, dans le droit humaniste qui était le nôtre avant la crise sanitaire, de tels actes sont des crimes.

La plainte avec ses pièces peut être téléchargée sur ce lien :
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Si vous pensiez que les élections américaines de 2020 étaient chaotiques, attendez vous n’avez rien vu

HR1 regroupe dans un projet de loi de 791 pages toutes les mauvaises idées sur la façon d’organiser les élections et les mandats que les États doivent adopter – les choses mêmes qui ont fait de l’élection de 2020 un tel gâchis. Il comprend tous les plus grands succès de 2020: les bulletins de vote obligatoires, les bulletins de vote sans cachet de la poste, les bulletins de vote tardifs et le vote dans les circonscriptions où vous ne vivez pas. Il contient tellement de mauvaises idées qu’aucune publication ne dispose d’un espace suffisant pour les couvrir toutes. Le projet de loi d’accompagnement du Sénat, S.1, pourrait être encore pire.

Voting suppression destruction of votes and electoral fraud or election crime or vote tampering and rigging as a hand crushing a ballot paper as an illegal electoral scheme with 3D illustration elements.

Ces projets de loi réorganisent les relations entre les États et le gouvernement fédéral. La Constitution suppose que les États réglementent leurs propres élections, mais la Constitution a un gros «mais» dans ce qu’on appelle la clause électorale. La Constitution dit, « mais le Congrès peut à tout moment par la loi établir ou modifier de tels règlements. » Pendant plus de 200 ans, le Congrès a rarement utilisé ce pouvoir. Après tout, le pouvoir a été mis dans la Constitution uniquement pour empêcher les États d’étouffer le gouvernement fédéral en ne tenant jamais d’élections fédérales.

Ne supposez pas que les factures vont caler et se faner au cours du processus. Ils sont nommés HR1 et S.1 pour une raison. Les projets de loi sont la priorité absolue des démocrates nouvellement habilités au Congrès.

Insatisfait de l’efficacité du dernier mandat fédéral – la loi sur les électeurs automobiles de 1993 – HR1 se dispense de l’idée qu’un Américain devrait s’inscrire par l’affirmative pour voter.

En 2020, des États tels que le Nevada et le New Jersey ont envoyé des bulletins de vote par courrier à toute personne inscrite sur leurs listes d’inscription malgré des listes électorales pleines d’erreurs. La Public Interest Legal Foundation a documenté des milliers d’inscriptions inadmissibles dans le Nevada seulement qui ont reçu des bulletins de vote par correspondance. Certains ont été envoyés dans des terrains vagues, des mines abandonnées, des casinos et même des magasins d’alcool.

Les États seraient également bloqués par HR1 des procédures de vérification des signatures.

HR1 truque le système pour tout procès contestant la constitutionnalité de la loi. Toutes les poursuites ne peuvent être déposées que devant un seul tribunal – le tribunal fédéral du district de Columbia. Et toute opposition doit être regroupée en un seul mémoire, un seul avocat étant en mesure de faire valoir le bien-fondé. Il accorde également une intervention automatique à tout législateur qui souhaite se joindre à la lutte contre la seule opposition.

Il interdit aux États de procéder à la mise à jour des listes sur les listes électorales. Cela signifie que le bois mort et les enregistrements obsolètes vont s’empiler.

HR.1 et S.1 sont des projets de loi omnibus qui changeraient la relation de chaque citoyen américain – et étranger – avec l’inscription des électeurs.

L’enregistrement automatique universel des électeurs est, depuis des années, une priorité absolue de la gauche institutionnelle. En fait, HR1 supprimerait l’inscription réelle des électeurs et ferait plutôt des listes électorales une simple copie de toute personne déjà inscrite sur une liste gouvernementale – comme les bénéficiaires de l’aide sociale et d’autres bénéficiaires des services sociaux. Les projets de loi s’étendraient bien au-delà des entités fédérales comme l’Administration de la sécurité sociale, le ministère de la Défense, des douanes et de l’immigration et des éléments de la santé et des services sociaux.

Naturellement, une base de données fédérale géante servirait de foyer à cette liste de personnes qui doivent être automatiquement inscrites pour voter, qu’elles le sachent ou non.

Imaginez le nombre de bases de données gouvernementales dans lesquelles vos informations sont contenues. Vos noms et adresses correspondent-ils tous? La sécurité sociale sait-elle que vous avez quitté votre état de naissance? Vos noms de mariée et de jeune fille sont-ils différents? Avez-vous obtenu un permis de conduire avant d’obtenir la citoyenneté américaine?

Vous pouvez voir les pièges. Une personne sera «inscrite» pour voter plusieurs fois, avec de légères variations dans les noms et peut-être plus dans les adresses de résidence.

Il peut être «plus facile» de s’inscrire pour voter grâce à l’inscription automatique à partir de listes gouvernementales peut sembler attrayant, jusqu’à ce que vous envisagiez le désastre du vote universel par courrier automatique comme nous l’avons vu en 2020.

HR1 et S.1 obligeront les États à envoyer les bulletins de vote par la poste. Cela crée du mou dans le système électoral. Les élections de courrier décentralisées introduisent une erreur en raison de listes remplies d’erreurs. Les bulletins de vote par la poste retardent les résultats, créent de l’incertitude et poussent les élections dans les cuisines et les chambres à coucher où les responsables électoraux ne peuvent pas observer le processus de vote et ne peuvent pas protéger l’électeur de la contrainte.

HR1 prend les pires changements de règles d’urgence absolus de 2020 et les consacre en tant que loi fédérale. Finies les exigences relatives aux témoins d’État et aux notaires lors du processus de demande de vote par correspondance. Les États ne peuvent pas non plus édicter des exigences d’identification de «quelque forme que ce soit» pour ceux qui demandent un scrutin. Cela signifie qu’il n’y a plus d’identification des électeurs en vertu de la loi fédérale.

Les États seraient également bloqués par HR1 des procédures de vérification des signatures.

Ça s’empire. La facture de 791 pages comprend également:

  • « Le Congrès peut réduire la représentation d’un État au Congrès lorsque le droit de vote est refusé. » Sans qualification ni définition, le Congrès pourrait s’appuyer unilatéralement sur cette phrase pour réduire le nombre de membres de la Chambre de tout État qui, selon lui, refuse le droit de vote.
  • Il criminalise quiconque utilise les lois de contestation des États pour remettre en question à tort l’éligibilité des inscrits. La peine peut aller jusqu’à un an de prison par instance.
  • Il interdit aux États de procéder à la mise à jour des listes sur les listes électorales. Cela signifie que le bois mort et les enregistrements obsolètes vont s’empiler.
  • Il criminalise la publication de « fausses déclarations » sur les qualifications requises pour voter et de « fausses déclarations » sur les groupes qui ont approuvé quels candidats. Les informations interdites de publication comprennent de fausses qualifications pour voter et les sanctions pour le faire. Ce qui est une fausse déclaration sera apparemment dans l’esprit des avocats du ministère de la Justice qui portent les accusations. Et s’ils n’agissent pas, la loi accorde un droit privé d’action aux plaignants individuels de traîner les orateurs devant le tribunal. Vous pouvez être sûr que cette disposition serait utilisée comme une arme impitoyable contre les opposants politiques.
  • Et au cas où il n’était pas clair que HR1 démantelait le pouvoir de l’État de tenir ses propres élections, le projet de loi le précise: « L’absence de norme uniforme pour voter aux élections fédérales conduit à une disparité injuste et à une participation inégale aux élections fédérales basées uniquement sur où vit une personne.  » En d’autres termes, les lois des États qui ont le pouvoir constitutionnel de déterminer l’éligibilité au vote de ses résidents, seront préemptées par une norme uniforme fédérale.

Ce n’est pas tout. Dans tout le pays, les États doivent accepter les bulletins de vote par correspondance le jour du scrutin plus 10 jours plus tard. Les États sont autorisés à ajouter du temps supplémentaire à la fenêtre. Plus de jour d’élection. Ce sera la saison des élections, avec un mois de vote anticipé et des semaines de bulletins de vote arrivant et comptés.

Et bien sûr, la collecte illimitée des bulletins de vote – avoir l’aide d’un tiers pour remplir et rassembler les bulletins de vote, puis les déposer dans un bureau de vote ou un autre bureau désigné – est garantie.

La désinformation, les manifestations, les troubles et même la violence étaient tous des symptômes du traumatisme de 2020. Les groupes d’activistes et les responsables collusoires en 2020 ont transformé les tribunaux en armes pour transformer les lois des États en procédures électorales favorables à un parti en particulier. HR1 finirait le travail et fédéraliserait les politiques et les procédures électorales qui ont fait de 2020 un tel gâchis.

Ce n’est pas une solution de présumer que les règles fédérales, même si elles ont été élaborées de la bonne manière, résoudraient le problème. Lorsque Washington DC prend le contrôle des élections, la politique va toujours dans un sens.

J’ai travaillé au ministère de la Justice, où le personnel de carrière ignorait les lois fédérales qu’ils n’aimaient pas et n’appliquait que celles qui, selon eux, permettraient de faire progresser leurs convictions politiques. Motor Voter, par exemple, avait un mandat fédéral qui stipule que les listes électorales sont propres. Devinez ce qui s’est passé après l’adoption de cette règle en 1993? Aucune action d’exécution privée n’a été intentée pendant deux décennies jusqu’à ce que j’en ai intenté une contre Indiana.

Il y a un mandat fédéral, adopté au 19 e siècle, pour avoir un seul jour d’élection. Les bureaucrates à Washington chargés de faire appliquer cette loi ignorent cette loi. Les mandats fédéraux sont un cliquet politique à sens unique. Ils aident toujours et seulement un parti politique.

La nation a déjà vu cette ligne de pensée. Comme Obamacare plus tôt, HR1 fait passer notre République fédéraliste à un autre nouveau système courageux qui prétend corriger des générations de torts structurels, tout en renforçant en même temps d’autres torts. Unifier les expériences américaines telles que se rassembler pour voter lors d’un seul jour d’élection, régi par des règles adoptées par les législateurs des États, eh bien, aux auteurs de HR1, c’est juste démodé.

*Un article de J. Christian Adams  qui est président et avocat général de la Public Interest Legal Foundation et ancien avocat du ministère de la Justice. Il a également siégé à la Commission consultative présidentielle pour l’intégrité électorale et est actuellement commissaire nommé par le président à la Commission des droits civils des États-Unis.


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La Gigantesque Arnaque du COVID-19:le reportage « Mal traités » dénonce la gérance criminelle de la fausse pandémie

Mal traités. Tel est le nom d’un reportage d’1h27 signé Alexandre Chavouet, qui évoque la pandémie de Covid-19, mais surtout les traitements médicaux inhérents et la bataille, autour de l’hydroxychloroquine notamment. Le documentaire évoque également la pensée unique sanitaire gouvernementale, sous influence de l’industrie pharmarceutique, visant à empêcher tout traitement alternatif à celui que propose les autorités. Producteur exécutif et réalisateur de ce projet, Alexandre Chavouet présente dans ce documentaire les traitement naturels passés sous silence et qui ont prouvé, études scientifiques à l’appui, une efficacité réelle contre la Covid-19. Un reportage qui permettra d’avoir un autre regard (la mission que s’étaient donnés les réalisateurs d’Hold-Up) sur la pandémie et ses conséquences. Il devrait toutefois susciter la critique et les tentatives de censure habituelles de la petite caste dirigeante, et de ses relais économiques et médiatiques.

 


Voici le film:


EN COMPLÉMENTAIRE …SUR CETTE CONSPIRATION

La deuxième plus grande usine de fabrication d’hydroxychloroquine au monde vient d’exploser à Taiwan

 

L’usine lors de l’explosion Une explosion dans une usine pharmaceutique à Taoyuan City a fait deux blessés et a provoqué un incendie en début d’après-midi, le 20 décembre.

 

 

 

 

 

Voici que la seconde plus grande usine fabriquant de l’hydroxychloroquine explose à Taiwan. Quel hasard !

Nous voyons là les moyens considérables de ceux qui veulent instaurer le nouvel ordre mondial et qui n’hésitent devant aucun moyen illégal pour arriver à leurs fins.

 

 

Un certain sens du timing : La deuxième plus grande usine de fabrication d’hydroxychloroquine au monde vient d’exploser à Taiwan

 

Une explosion dans une usine pharmaceutique à Taoyuan City a fait deux blessés et a provoqué un incendie en début d’après-midi, le 20 décembre.

 

Des personnes jusqu’au district de Tamsui à New Taipei City ont déclaré avoir entendu l’explosion massive peu après midi. Immédiatement après l’explosion, une épaisse fumée noire s’est dégagée de l’usine SCI Pharmtech.

Les pompiers qui ont répondu à l’incendie ont trouvé deux personnes blessées. Un travailleur migrant étranger de 30 ans a subi des brûlures au troisième degré sur 80% à 90% de son corps, et est décrit comme étant dans un état critique.

Un homme de 40 ans a souffert d’une brûlure à une main. Les deux hommes ont été envoyés au Chang Gung Memorial Hospital pour y être soignés.

Bien que l’usine soit située à proximité de l’aéroport international de Taipei Taoyuan, les opérations à l’aéroport n’ont pas été affectées, selon les rapports du United Daily News et de ET Today.

Le service des pompiers de la ville de Taoyuan a envoyé 76 personnes, 28 appareils de pompiers et 2 ambulances sur le lieu de l’incendie.

La cause de l’explosion est actuellement en cours d’investigation.

Le Liberty Times a rapporté que l’usine produit des API d’hydroxychloroquine, et est le deuxième plus grand fournisseur de matières premières d’hydroxychloroquine au monde.

 

 

Source : https://news.ltn.com.tw/news/society/breakingnews/3386792  / https://whatnownews24.com/2020/12/20/massive-explosion-at-a-pharmaceutical-company-in-north-taiwan/ / https://www.taiwannews.com.tw/en/news/4082989 et https://taiwanenglishnews.com/pharmaceutical-factory-on-fire-after-explosion-2-injured/

 

 

Diseurs de Vérités: Wikileaks révèle que l’atterrissage sur la Lune a été filmé dans le désert du Nevada

Voilà de quoi meubler  vos discussions ou monologues…durant le temps des fêtes (détruit par  nos politiciens):

WikiLeaks révèle que l’atterrissage lunaire a été filmé dans le désert du Nevada!

 

La nouvelle  de l’ouverture et de la divulgation de tous les documents d’enquêtes secrets de Wikileaks juste avant Noël,a eu l’effet d’une bombe sur les médias sociaux qui ont censuré les nouvelles inhérentes…comme celle-ci!

Voici donc la vidéo qui tue l’intégrité « politique » de la NASA et de nos scientifiques batards et corrompus:

 

 

 

 

 

La Grande Arnaque du COVID 19 et dictature de la pensée unique:YouTube a annoncé supprimer “Tout ce qui va à l’encontre des recommandations de l’OMS”

On l’a constaté avec la vidéo du médecin américain Dan Erickson vues par des millions d’internautes et supprimée à plusieurs reprises : YouTube a instauré de nouvelles règles qui ne font pas grand cas de la liberté d’expression.

Selon le site Businessinsider : “Susan Wojcicki, DG de YouTube, a suggéré que la plateforme vidéo pourrait supprimer les contenus qui contredisent les conseils de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le Covid-19. Dimanche sur CNN, elle a déclaré que YouTube “supprimerait les informations qui posent problème”, y compris “tout ce qui est médicalement non fondé.” […] et “Tout ce qui va à l’encontre des recommandations de l’OMS serait une violation de notre politique et donc retiré”, a-t-elle poursuivi.

 

Sources :
BusinessInsider.fr
CNN

Même Google

Le site TheConversation.com rapporte par ailleurs que : “Google supprime les informations trompeuses concernant le Covid-19 sur YouTube, Google Maps, ses plates-formes de développement comme Play, et dans les publicités. Twitter vérifie, entre autres, les comptes qui sont des sources crédibles d’information sur le Covid-19 et surveille les conversations pour s’assurer que les mots clés recherchés sur le virus permettent d’accéder aux informations fiables.”

Sources : TheConversation.com
Communiqué Google
Communiqué Twitter


EN COMPLÉMENTAIRE

 la vidéo du médecin américain Dan Erickson

 

Dr Dan Erickson

 

Le médecin californien Dan Erickson a décrit ses observations concernant le Covid-19 lors d’une conférence de presse le 22 avril. Voici ce qu’il a dit.

 

En se basant sur les taux respectifs de tests positifs, le Dr. Dan Erickson a calculé que “le taux de létalité du Covid-19 serait actuellement de 0,03% en Californie, 0,05% en Espagne, 0,09% en Suède et 0,1% dans l’État de New York, en comparaison le taux de létalité de la grippe aux États-Unis est d’environ 0,13%.”

Il rapporte par ailleurs que “des médecins de plusieurs États américains ont été “poussés” à délivrer des certificats de décès mentionnant Covid-19, contre leur propre avis”.

Le Dr. Erickson affirme également que “le confinement et la peur affaiblissent le système immunitaire et la santé des personnes. Il y a déjà eu une augmentation significative des “effets secondaires” tels que l’alcoolisme, la dépression, le suicide et la maltraitance des enfants et des conjoints.”

Enfin, le médecin américain recommande que “seuls les malades, et non les personnes en bonne santé ou la société entière, soient mis en quarantaine”. Et selon lui, “porter un masque n’a de sens que dans des situations aiguës comme à l’hôpital, mais pas dans la vie de tous les jours”

[…]

À noter que la vidéo a déjà été supprimée à plusieurs reprises par YouTube pour “non respect des règles”. La version ci-dessous est hébergée sur notre site web.

Voir la vidéo :

 

 

 

 

 

La croyance en «l’Holocauste» s’effrite dans le monde

 

 

La question qui interpelle les philosophes et prophètes les plus astucieux est de savoir comment le monde réagira lorsque le récit de l’holocauste ne sera plus considéré comme crédible. Que se passe-t-il lorsque l’holocauste est considéré aussi farfelu que le Père Noël, une illusion tout comme la fable des Nouveaux Vêtements de l’Empereur de Hans Christian Andersen.

Les révélations contemporaines des révisionnistes, des historiens et des érudits ont leur équivalence avec les hérésies de Galilée (1564 – 1642) et des hérétiques comme Alexander Soljenitsyne qui a osé remettre en question ce que George Orwell a décrit comme «la vérité dominante».

En Chine, en Inde, en Extrême-Orient et au Moyen-Orient, l’incrédulité dans le récit de l’holocauste est monnaie courante. En Afrique et en Amérique latine, l’holocauste est   une non-histoire; c’est donc un sanctuaire pour ceux que les médias qualifient de «négationnistes de l’holocauste».

Même en Occident, où les plébéiens ont constamment l’holocauste enfoncé dans leurs gorges de protestation, le récit de l’holocauste s’effondre.

Aujourd’hui, il y a peu d’endroits où les sondeurs osent poser des questions concernant la position officielle sur l’holocauste. Cependant, nous savons que 79% des Polonais considèrent l’holocauste comme de la propagande. Les Hongrois sont encore plus sceptiques avec seulement 17% croyant en l’histoire de l’holocauste.

Quelle est la différence entre une vache à lait et l’holocauste ? Tu ne peux pas traire la vache durant 75 ans

 

Le test décisif est aux États-Unis où les peuples américains ont été soumis au lavage de cerveau par la propagande de l’holocauste plus que tout autre pays. Pourtant, aujourd’hui, un tiers impressionnant des Américains pense que «nettement moins» que six millions de personnes ont été assassinées. Une telle perte de crédibilité ne peut tout simplement pas être récupérée.

Pays dans lesquels il est interdit
de remettre en cause la fable de l’Holocauste

 

Une fois, on m’a confié qu’après la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918), le gouvernement britannique a officiellement reconnu que les calomnies accumulées sur les troupes de l’Allemagne impériale étaient fictives et n’étaient que de la propagande pour entraîner les masses dans une psychose de guerre. Le résultat fut une vague de sympathie sans précédent pour les Allemands lésés et très calomniés.

L’Histoire est une propagande écrite par les vainqueurs:
il est interdit de la remettre en cause

 

Imaginez alors les conséquences s’il est admis que le récit de l’holocauste n’est pas durable. Pire, contrairement à la propagande de la Première Guerre mondiale, le mythe de l’holocauste a été utilisé sans vergogne et illégalement pour traire les Allemands et d’autres nations de milliards d’euros.

Le président russe Vladimir Poutine et le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov   reconnaissent que le révisionnisme historique doit être reconnu. Mais tous deux conseillaient la prudence et le contrôle car les conséquences du révisionnisme (vérités historiques sans propagande) peuvent dépasser l’imagination.

Lorsque la Croix Rouge a questionné les rescapés des camps de concentration sur les chambres à gaz, la réponse unanime était :
on n’a jamais vu de morts dans des chambres à gaz
(document Croix Rouge N°9925de Juin 1946)

 

On ne peut que spéculer sur la réaction de millions de personnes qui se rendent compte que non seulement elles ont été trompées par le lobby juif sur l’holocauste, mais qu’elles ont en fait aidé les arnaqueurs en défendant le récit de l’holocauste.

Un autre sujet de spéculation est sur la façon dont les lobbyistes de l’holocauste, qui sont en train de paniquer, les médias, les pédagogues, le pouvoir judiciaire et l’élite politique défendront leurs positions antérieures.

Les coûts de la réfutation de l’histoire de l’Holocauste sont incalculables. Chaque livre ou périodique qui a soutenu le mensonge de l’holocauste aura bientôt peu d’utilité autre que le revêtement de cage à oiseaux; le contenu des sections d’histoire de la bibliothèque publique sera sans valeur, tout comme des millions de films et de documentaires. Le résultat pourrait être égal à la découverte que le pétrole ou le dollar américain n’ont plus de valeur; ce sera un changement de la vie.

Les trois piliers du mensonge de l’Holocauste :
Un Plan, Des chambres à gaz, 6 millions

 

Le lobby juif de l’holocauste ne sait plus comment le scénario de l’holocauste peut être maintenu plus longtemps. Leur dernier bastion est d’appliquer un «enseignement complémentaire» dans le même sens que les «programmes de dénazification» d’après-guerre de 1946, auxquels les Allemands ont été contraints de participer avant de pouvoir trouver un emploi ou un logement.

 

 

 

Je suppose qu’ayant accepté que l’holocauste n’est pas considéré comme plus crédible que le père Noël ou le Nouveau Vêtement de l’Empereur, la propagande sur l’holocauste sera discrètement mise à l’écart, mais les shekels continueront sans relâche, peut-être sous les auspices du blanchiment d’argent qualifié d’«  aide étrangère  » .

Ensuite, la campagne révisionniste passera à l’attaque pour s’assurer que la vache à lait du Juif international soit mise à l’abri de sa misère. Imaginez un instant le trésor lorsqu’on s’aperçoit que la victime assassinée pour laquelle une indemnisation a été extorquée, est en bonne santé.

En avril 1945, le ministre allemand de l’Information, Joseph Goebbels, écrivit à son beau-fils Harald. «Les mensonges s’effondreront un jour sous leur propre poids et la vérité triomphera à nouveau. L’heure viendra où nous nous serons considérés comme purs et sans tache, comme nos objectifs et nos croyances l’ont toujours été.

 

Source : Belief in the ‘Holocaust’ Is Crumbling Around the World

 

Par MICHAEL WALSH   journaliste, diffuseur et auteur mondial de 64 titres de livres avec 36 ans d’expérience. Comme d’autres journalistes intègres, il n’écrit plus pour les Grands médias menteurs, optant plutôt pour un vrai journalisme. 

Prisonniers d’Auschwitz libérés par l’Armée Rouge
rescapés des chambres à gaz imaginaires
et dont PERSONNE n’a trouvé trace

 

 

 

 

Réécrire l’histoire du Canada: Les libéraux blancs déforment l’histoire des «Premières nations» au BC Museum

(Article d’un correspondant canadien anonyme) 

J’ai décidé d’emmener les enfants au Royal British Columbia Museum de Victoria, en Colombie-Britannique, la semaine dernière. Maintenant, j’aime les musées, ils ont une longue histoire de conclusions factuelles rigoureusement vérifiées. Eh bien,on peut dire qu’ ils avaient l’habitude. 

Le British Columbia Museum

 

La première zone d’affichage dans laquelle nous sommes entrés était la section «Première nation» . Dans l’intérêt d’une divulgation complète, je dois ajouter à cet article le fait que j’ai une vaste expérience des «Premières nations», à la fois sur et hors des divers Rez.

Mes Dénés et Cris, bien qu’ils ne parlent pas couramment, soient passables et j’ai passé de nombreuses semaines à camper et à chasser avec les Autochtones et les Métis.

Soucieux de savoir qu’avant l’arrivée du Blanc, les Autochtones de l’Amérique du Nord n’avaient pas de langage écrit, ni de calcul ni de calcul (au-delà des mains et des orteils) et aucune notion de la roue, j’attendais avec impatience une analyse judiciaire de ce que la vie devait avoir été avant l’arrivée des hommes blancs.

Cependant, rien ne pouvait me préparer pour l’exposition présentant la plus grande collection de discours paternalistes et sycophaniques de ce côté de la création.

 


 

* L’entrée comportait un certain nombre de «pôles» qui diffusaient des salutations dans différentes langues, enregistrées sur une mémoire non volatile traditionnelle et étayées par des mots écrits équivalents. Ils disaient tous bonjour, salut, merci ou une phrase amicale, dénuée de sens et bien évidemment blanche – nous montrant à quel point les Premières nations s’entendaient merveilleusement bien – et un écart total par rapport à la réalité des différentes tribus ne faisant que haïr et s’entre-tuer assez longtemps pour passer un peu de temps de qualité avec une politique interministérielle déchirante. Ce comportement reste répandu même aujourd’hui.


 

* Aucune date n’était indiquée sur la plupart des étalages – et il était évident que la plupart d’entre eux n’avaient pas plus de 200 ans. Par exemple, le tissage de la plupart des vêtements traditionnels était tellement post-européen dans leur création Historique des Premières Nations – ce qui implique que l’histoire n’a commencé que lorsque l’homme blanc est arrivé!

Ci-dessus: Couture et travaux de couture autochtones «traditionnels»… mais tous les matériaux et les perles utilisés ont été fournis par des Européens…

* La section des mâts totémiques était encore pire, avec le même manque de dates, une vidéo montrant comment les mâts totémiques ont été créés à l’aide d’une tronçonneuse Stihl traditionnelle. Au moins, la vidéo était en noir et blanc, donnant une certaine authenticité à la date postérieure à 1950.


Un lieu de table «traditionnel». . . complété avec des serviettes européennes. . .

 

* Et oh, les excuses inventées pour essayer d’expliquer ou de justifier pourquoi les «Premières nations» font face à tant de défis. Principalement la faute des blancs  bien sûr.

* Il est risible de s’en remettre à l’histoire orale pour transmettre des informations et apprendre. Pourtant, elle  est traité comme une vérité  révérée, sacrée et précise. Ces histoires changent d’une génération à l’autre, sans distinction d’une génération à l’autre, et sont notoirement peu fiables. Une société sans langue écrite est extrêmement limitée, à la fois en termes de transmission des connaissances, d’histoire et de notions abstraites telles que la précision, le temps et les mathématiques.

Sculptures en bois. . . soi-disant «traditionnels» mais tous créés avec des couteaux à découper fournis par l’Europe…

 

* La plus grande plaisanterie de toutes a été de décrire les Premières nations comme des gardiennes du pays. Maintenant, je sais par expérience personnelle que rien ne procure plus de joie à nos frères autochtones que de rouler dans un VTT traditionnel ou une motoneige, de broyer,de détruire  la Terre Mère et de ne faire qu’une pause pour faire sauter un orignal ou un caribou vers la Terre promise avec un fusil traditionnel à grande vitesse. Parce qu’ils le peuvent maintenant.

J’ai donc été profondément déçu que les archives archéologiques se soient limitées à l’arrivée de l’homme blanc. Aucune histoire significative au-delà d’une tête de lance n’a été exposée.

Je serais extrêmement embarrassé si j’avais été aborigène de cette  banale fraude dérivée de l’esprit blanc. Ce qui était intéressant, c’est la façon dont les enfants ont tout gâché. Sans connaissance de première main de la réalité et privés de la capacité de remettre en question l’histoire sociale, ils la croyaient implicitement.

Je n’ai même pas essayé de soulever les problèmes avec les enfants – ils sont tellement à l’abri de la réalité de leur climat micro-social d’égalité et d’équité créé par le gouvernement et les médias contrôlés qu’ils sont aussi inconscients de la réalité que deux femmes scandinaves qui marchent à travers le maroc.

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