Comme le rapporte ce reportage allemand sur la guerre, des jeunes hommes de toute l’Europe se portent volontaires pour faire leur service militaire sur le front armé paneuropéen contre le bolchevisme soviétique.
Des scènes du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas et de l’Espagne. Les troupes allemandes libèrent Riga, la capitale de la Lettonie. Les cadavres de Lettons tués par les bolcheviks sont montrés.
Les Juifs sont rassemblés et contraints de travailler. Les forces allemandes percent les fortifications de la «ligne Staline». Dans la formidable «double bataille» de Bialystok-Minsk, plus de 300 000 prisonniers soviétiques sont capturés. Les forces allemandes prennent Minsk, capitale de la Biélorussie, que les Soviétiques ont incendiées avant de se retirer. Hebdomadaire allemand « Die Deutsche Wochenschau » du 16 juillet 1941 (n ° 567). Avec sous-titres anglais (pas tout à fait exact). Durée: 34:07 minutes
Des fouilles archéologiques dans le nord de l’Espagne révélaient il y a quelques semaines deux outils en bois vieux d’environ 90 000 ans. Chose intéressante : ces outils n’ont pas été fabriqués et utilisés par Homo sapiens, mais par nos cousins plus âgés, les Néandertaliens.
De nombreux outils ont aussi été retrouvé:comme ceux-ci!
Le site d’Aranbaltza, en Espagne, fut occupé par plusieurs générations néandertaliennes au cours des millénaires, selon des chercheurs du Centre espagnol de recherche sur l’évolution humaine (CENIEH). Dans les sédiments étaient retrouvés il y a quelques semaines deux nouveaux outils en bois, datés à environ 90 000 ans (Paléolithique moyen), époque à laquelle les Néandertaliens habitaient l’Europe. Ces outils sont très rares. Le bois est en effet une matière organique qui se décompose, ainsi les outils en bois liés aux débuts de l’histoire humaine sont souvent perdus.
Ce site au nord de l’Espagne actuelle,comporte des outils en bois.
Ces outils ne peuvent se préserver que dans des environnements très spécifiques – tels que les sédiments gorgés d’eau d’Aranbaltza. Un seul des deux outils récupérés a pour l’heure fait l’objet d’une analyse et d’une étude, et il a été pris en charge par une équipe du CENIEH dirigée par l’archéologue Joseba Rios-Garaizar. L’usure de sa pointe produite par des contraintes mécaniques répétées indique qu’elle a été utilisée pour déterrer de la nourriture comme les tubercules et les palourdes, pour creuser à la recherche de pierres ou encore pour faire des fosses pour les incendies, notent les chercheurs.
L’outil pointu en bois. a) Photographie montrant l’outil pointu immédiatement après sa récupération. b) Apparence actuelle du fragment ponctuel suite aux efforts de conservation.
« Les quelques preuves directes et indirectes disponibles suggèrent que le bois a joué un rôle important dans les adaptations technologiques de Néandertal », peut-on lire dans l’article. Le bois fournit en effet assez de plasticité pour former une gamme variée d’outils impossibles à obtenir avec la pierre, et très difficiles à créer à partir d’os, qui ont des tailles limitées et qui sont plus difficiles à travailler. D’après les analyses, cet outil aurait été produit à partir d’un tronc d’if coupé en deux de façon longitudinale.
L’une de ces moitiés semble avoir été carbonisée et durcie en utilisant le feu, et raclée avec un outil en pierre pour obtenir la forme pointue de l’outil d’excavation, pense l’équipe. Bien que les instruments en bois utilisés par les Néandertaliens soient rares, ils ne sont pas entièrement inconnus. Des armes en bois datant d’il y a 300 000 ans ont été découvertes en Allemagne en 1995. Un article publié plus tôt cette année suggérait également la présence d’outils en Toscane, en Italie, remontant à 171 000 ans.
S’ils ne sont pas aussi anciens, ces nouveaux outils contribuent néanmoins à la théorie selon laquelle l’utilisation d’outils en bois était répandue dans toute l’Europe paléolithique. « Le paléolithique moyen précoce et tardif de la région se caractérise par une grande variabilité comportementale », expliquent les chercheurs, notant à titre d’exemples, « le transport sur de longues distances des matières premières lithiques [l’ensemble des objets en pierre transformés intentionnellement par les humains], l’utilisation de technologies de chasse complexes, le contrôle et l’utilisation du feu, l’utilisation d’outils osseux et un certain degré d’exploitation des ressources marines ».
Imaginons la scène !
Vous retrouverez tous les détails de cette étude dans la revue PLOS One.
Quelque 300.000 personnes manifestaient dimanche ,le 29 octobre 2017,à Barcelone pour l’unité de l’Espagne, deux jours après la déclaration d’indépendance proclamée au Parlement catalan, selon la police municipale. La Société civile catalane, qui organise cette manifestation, sous le slogan la Catalogne c’est nous tous, a elle estimé la participation à 1,1 million de personnes. Tout est bon pour la propagande politique du régime espagnol.
La rage, le ras-le-bol, l’indignation, mais, aussi, la solidarité, le soutien mutuel et la dignité sont le combustible des « Marches de la Dignité » qui, depuis la fin mars et le début de février, parcourent tout l’Etat espagnol pour arriver demain à Madrid. Face à la spoliation de nos droits et à la soumission politique aux diktats de la « sainte » Troïka, les Marches exigent des emplois et des logements dignes, l’arrêt des coupes et qu’on cesse payer une dette illégitime. Il y a bien assez de motifs pour marcher.
Selon les chiffres du dernier rapport de l’Observatoire de la Réalité Sociale de Caritas, il y a aujourd’hui dans l’Etat espagnol trois millions de personnes qui vivent avec moins de 307 euros par mois, soit deux fois plus qu’en 2007, juste avant le début de la crise. La pauvreté devient sévère et chronique : deux millions de femmes et d’hommes sont au chômage depuis plus de deux ans et 3,5 millions le sont depuis plus d’un an. Selon cet organisme caritatif, sur le total des personnes aidées, une sur trois l’est depuis plus plus de trois ans. Des chiffres effrayants.
Ils nous disent que les mesures actuelles de sortie de crise génèrent de l’emploi. Néanmoins, les données contredisent ces affirmations. Selon les chiffres de l’OCDE, chaque semaine dans l’Etat espagnol entre 2007-2013, 13.000 personnes ont perdu leur emploi ; le taux de destruction d’emploi le plus élevé de toute l’Europe. Un triste record qui s’ajoute à la chute des revenus des ménages : 2.600 euros en moins par personne entre 2008 et 2012, l’une des plus fortes chutes du continent.
Le « tsunami » de la pauvreté, qui ravage nos vies et notre futur, n’a rien de naturel. C’est ce qu’indiquent les chiffres. L’appauvrissement n’est pas le patrimoine d’un pays ou de certains peuples, elle frappe, selon la doctrine sacrée du capital, une classe sociale déterminée. Dans l’Etat espagnol, les 10% les plus pauvres ont vu leurs revenus se réduire de 14% par an entre 2007 et 2010. La moyenne d’appauvrissement de ce secteur en Europe se situe à hauteur de 2% par an. Pendant ce temps, selon l’OCDE, les revenus des 10% les plus riches ont augmenté de 1%. L’Etat espagnol est devenu un pays où la brèche entre les pauvres et les riches est devenue encore plus importante et elle le situe en tête des inégalités en Europe après la Lettonie.
Face à tant d’injustice, les rues devraient être en ébullition. Néanmoins, on nous inocule la peur, le scepticisme, l’apathie. Le nombre de suicides, qu’on veut souvent passer sous silence, augmente. Selon l’Institut de Statistiques, en 2012, les décès pour cause de lésions auto-infligées ont augmenté de 11,3% par rapport à l’année antérieure, dépassant ainsi le chiffre le plus élevé de morts par suicides de 2004 et constituant désormais la première cause externe de mortalité.
C’est pour tout cela que la récupération de la dignité, le « oui, nous pouvons » pour lequel luttent ces gens si indispensables des Marches de la Dignité et tant d’autres, est tellement importante. Révolte ou résignation ; mort ou vie : telle est la question.
Les marcheurs qui arrivent à Madrid de tout l’Etat espagnol et, aussi, de l’étranger, sont le meilleur exemple du fait que face à tant de barbarie il ne reste pas d’autre choix que de se serrer les coudes et de lutter. Ce n’est qu’ainsi que nous aurons la possibilité de gagner.
Nous lançons un appel pour la dignité et contre le mépris de l’Etat espagnol, dans la capitale, Madrid, le 22 mars :
Non au paiement de la dette
Stop aux coupes budgétaires
Contre les gouvernements au service de la Troïka [Commission européenne, FMI, Banque centrale européenne]
Un travail et un toit, pour toutes et tous.
En 2014, nous sommes confrontés à une situation extrêmement difficile, une situation extrême, une urgence sociale qui exige que nous donnions une réponse collective pour la classe ouvrière, pour les citoyens et citoyennes ainsi que pour le peuple.
Des millions de travailleurs et travailleuses sont au chômage. Disposer des capacités manuelles et intellectuelles et ne pas trouver un emploi décent est humiliant. C’est un gaspillage des talents collectifs de la société, une hypothèque permanente sur leur avenir. Les travailleurs ne méritent pas cette atteinte à leur dignité collective.
Des centaines de milliers de familles ont perdu leurs maisons. Il n’y a rien de plus inhumain que d’expulser une famille de son logement, pour la seule raison de répondre la voracité insatiable de quelques banquiers sans scrupule. Banquiers que les Etats soumis à la Troïka ont alimentés en appauvrissant encore plus les classes laborieuses et les personnes les plus précaires.
Pendant ce temps, le patronat, utilisant le drame du chômage massif, accentue la pression à la baisse des salaires et des conditions de travail des personnes qui disposent encore d’un emploi.
Les travailleurs et travailleuses, en raison de cette situation difficile, ne peuvent même pas s’opposer à leur statut de simples exploité•e•s par le capital. Le système essaie de nous forcer à nous montrer redevables vis-à-vis des employeurs qui sont transformés en bienfaiteurs de la société. Il est temps de répartir le travail et la richesse pour que les travailleuses et les travailleurs puissent se sentir maîtres de leur avenir.
Notre jeunesse ne peut pas se projeter dans l’avenir en raison des politiques actuelles et elle n’a pas d’autre choix que d’aller chercher du travail à l’étranger comme l’ont fait précédemment nos parents et nos grands-parents.
Nous disons NON à un système patriarcal qui nous repousse vers le passé, nous enlevant le droit de disposer de nos corps, nous déniant la capacité de décider si nous voulons ou non être mères, nous poussant à un retour au foyer afin de nous dédier aux soins des enfants.
Nous souffrons des politiques mises en œuvre par le gouvernement du PP [Parti populaire de Mariano Rajoy] sous les diktats de la Troïka, qui aboutissent à l’extorsion des droits et à la paupérisation généralisée de la majorité sociale. Ces politiques sont fondées sur le paiement d’une dette illégitime, qui n’a pas été contractée par les citoyens et citoyennes et qui est le produit de la spéculation bancaire et des excès des différents gouvernements.
Ils privatisent les secteurs rentables, alors qu’ils coupent dans les budgets de la santé, de l’éducation, des aides aux invalides, des transports publics, de l’eau, de l’énergie, des communications, des services sociaux, etc. Tout cela affecte négativement nos droits de citoyens et citoyennes. Les gouvernants et les dominants se moquent de nos aîné•e•s qui subissent une énorme diminution de leur pouvoir d’achat alors qu’ils voient comment leurs épargnes de toute une vie sont extorquées par des arnaques des banques d’affaires et par la diffusion de produits financiers frauduleux.
Le gouvernement du PSOE, avec le soutien du PP, a modifié l’article 135 de la Constitution pour que soit donnée la priorité au paiement de la dette face aux droits et aux besoins des personnes. Ils l’ont justifié en disant que nous avons « vécu au-dessus de nos moyens » et qu’il fallait être plus économes car il était impératif de réduire le déficit. Pourtant, il n’y a eu aucune austérité à l’heure d’injecter des dizaines de milliards d’euros pour « sauver » les banques et les spéculateurs.
Ils profitent de la crise pour réduire nos droits. Ces politiques d’austérité provoquent la souffrance, la pauvreté, la faim et y compris des morts. Et tout cela afin que les banques et les pouvoirs économiques puissent continuer d’obtenir d’importants profits au détriment de nos vies.
Ils nous ont volé la liberté. Le capitalisme est le possesseur des libertés et des droits de la majorité sociale. C’est un système qui cherche exclusivement le bénéfice privé de quelques-uns et nous conduit inexorablement à une catastrophe environnementale et sociale d’une ampleur incalculable.
Pour la grande majorité, cette crise-escropquerie implique un gigantesque drame humain. Mais pour une minorité insignifiante, elle offre la possibilité d’opérer de fructueuses affaires. Quand nous protestons, nous faisons face sans cesse à la même réponse : la répression et la criminalisation du syndicalisme et des mouvements sociaux. Pour combattre cette répression, nous devons continuer à nous défendre et à descendre dans la rue. C’est un système qui a besoin de la répression pour se maintenir en place et qui doit être dépassé par la lutte directe, dans la rue.
La décomposition du régime issu de la Constitution de 1978 [Constitution assurant la transition, avec des éléments de continuité, de la dictature franquiste à ladite démocratie] devient évidente à cause des éléments qui ont présidé à sa naissance – laquelle se fit contre le peuple. Ce régime est rongé par la corruption et n’a aucune légitimité. Les droits et les libertés nous ont été volés pour favoriser les intérêts d’une minorité et pour assurer ses profits. Ces intérêts nous ont conduits à cet état d’exception sociale fondé sur le démantèlement de l’éducation et du système de santé publique, sur la réduction drastique des retraites de nos aînés, sur l’expropriation de nos logements et la fermeture des entreprises accompagnée du licenciement de milliers de travailleuses et travailleurs.
Les différents gouvernements se sont placés hors de la légalité ; ils ont transformé en négoce les droits dont la conquête nous a tant coûté et ils sont partie prenante de la corruption. C’est un fait généralisé mais qui n’est pas indépendant du système économique. Il fait partie de la structure même de cette société et est indispensable à son développement. Aussi bien les corrupteurs qui ceux qui se laissent corrompre font partie de ce système injuste de production et distribution de la richesse.
Nous appelons les peuples à exercer leur souveraineté, en faisant entendre, à partir d’en bas, leur voix. Démocratiquement, afin de construire un processus constituant qui garantisse réellement les libertés démocratiques, le droit de décider et les droits fondamentaux de la personne.
Du point de vue de la Marche de la dignité du 22M, il est important d’organiser une mobilisation unitaire, massive et vigoureuse contre les politiques qui portent atteinte aux droits humains et à la justice sociale.
Une mobilisation contre le paiement de la dette, pour un emploi digne, pour un revenu de base assuré, pour les droits sociaux, pour les libertés démocratiques, contre les coupures budgétaires, contre la répression et la corruption, pour une société d’hommes et de femmes libres. Une mobilisation contre un système, un régime et des gouvernements qui nous agressent et qui ne nous représentent pas.
Dès lors, nous exigeons qu’ils s’en aillent. Que s’en aille gouvernement du PP et aussi tous les gouvernements qui portent atteinte aux droits sociaux fondamentaux, tous les gouvernements qui collaborent avec les politiques de la Troïka.
Dans ce but, nous lançons cet appel, afin de remplir de dignité et de rébellion la capitale de l’Etat espagnol, Madrid, le 22 mars. Ce jour-là arriveront à Madrid des marches en provenance de toutes les régions de la Péninsule et nous demandons aux habitant•e•s de Madrid de descendre dans la rue et de s’insérer dans cette grande mobilisation de la majorité sociale.
Que vaut la vie humaine pour la Guardia Civile espagnole?
Événements de Mélilla:
Être un membre de la sécurité aux frontières (édictées par les anciens Maîtres du Monde ),donne-t-il carte blanche pour assassiner sommairement et légalement un africain?
C’est là la question de $1 million de dollars qu’il faut se poser en regardant cette première photo.
Mardi,le 11 février 2014,
Plus de 450 d’immigrés clandestins originaire du Sud-Sahara ont pris d’assaut une barrière de barbelés de six mètres de haut au Maroc pour tenter de pénétrer dans l’enclave espagnole de Melilla, le mercredi . Quelque 300 immigrants ont attaqué la barrière mardi après-midi, et une centaine ont pu la franchir avant d’être rattrapés par la police et placé dans des centres d’accueil temporaire, aprécisé Irene Flores, porte-parole du ministère de l’Intérieur de Melilla.parmis lesquelles ils y a eu 8 morts et plus précisement 6 camerounais.
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Événements de Ceuta
De nombreux réfugiés ont tenté de contourner les barrières en nageant.
Mensonges officiels: plus de 1001 versions de la tragédie de Ceuta…les agents de la Guardia sont embarrassés
Un examen chronologique totalement différent de la version officielle, que le ministère espagnol de l’Intérieur a dû sortir dans sa composition et son contrôle de l’information ,tout en cherchant à discréditer les témoignages affiché dans les dernières heures,dans les médias.
À 9 h , le jeudi 5 Février 2014,les médias obtiennent les premières nouvelles de la mort de migrants entre le Maroc et l’enclave espagnole de Ceuta . Ils se sont noyés en essayant de contourner la clôture de la frontière ,par la mer .
La version officielle # 1
– 400 personnes sont venues à la frontière et ont été » repoussés » en trois points de la frontière .
– Les forces de sécurité espagnoles n’ont pas eu à agir du tout. Ils ont pris soin de tous les Marocains .
– Un seul non immigrant a été fait prisonnier sur le territoire espagnol .
– Les gens se sont noyés sans aucun épisode de violence .
– Les gardes espagnols n’ont eu aucun contact avec les immigrés et ont reçu les coordonnées des décès et les détails de ce qui s’est passé grâce à des contacts sur le côté marocain .(!?)
A 17h,les témoignages d’immigrants qui accusent la Garde Civil de les charger de gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc … sont publiées dans le journal eldiario.es. En réaction à ces témoignages , le ministère espagnol de l’intérieur dressé contre et fait un tout autre récit des événements .
La version officielle # 2
– Un porte-parole officiel de la Garde civile a déclaré que « peut-être ils auraient utilisé des armes blanches », mais « qui ne font rien ,pas de mal , juste du bruit . « (!?)
– Introduire l’élément de la violence des immigrants : «Ils ont jeté des pierres sur tout ce qu’ils ont pu » .
A 19h, une nouvelle preuve a pu survenir alors que les gardes espagnols auraient ouvert le feu avec des balles en caoutchouc pour percer les flotteurs et des fumigènes pour disperser la foule .
Compte tenu de la situation ,le ministère de l’Intérieur reviendra afin de fournir les données sur la participation de la Garde civile dans l’épisode .
La version officielle # 3
– Les forces espagnoles n’ont pas intervenu .
– Le matériel de contrôle des émeutes de la Garde civile aurait été utilisée contre les immigrés, mais seulement sur la première tentative d’entrer par terre .
– Aucune action n’a été entreprise par les autorités espagnoles sur la clôture ou dans l’eau ou sur la plage .
De plusieurs façons ,l’information officielle détaillée apparaît, comme dans ce graphique ,montrant le pays .
L’enclave espagnole de Ceuta:un vestige du colonialisme.
À 10h le vendredi le 14 février 2014, le nombre de morts est confirmés à 13 victimes.
Pour les changements de version et de la confusion parmi les sources officielles, des journalistes ont demandé si nous pouvons voir des images de caméras de sécurité qui ont généralement autour des postes frontaliers.
La version officielle # 4
– Un porte-parole de la Garde civile a déclaré que dans la tragédie (poste frontière, barrière et de l’eau environnante qui l’entoure) aucune des caméras ne fonctionnait et donc on ne peut pas voir les images de ce qui s’est passé.
La version officielle # 5
– Version officielle du gouvernement espagnol: pas de caméras en fonction »dans toute la région. »
– Version de la Police: oui il y a des caméras, mais personne n’a encore vu les images, 24 heures plus tard.
Qu’il y avait des gardes espagnoles le long de la clôture et le long de l’eau, les immigrants eux-mêmes ont foulé le sol espagnol et les agents les ont retournés immédiatement en utilisant des moyens illégaux: A 14h une vidéo qui montre trois choses particulières se répand sur internet.
La version officielle # 6
– Les forces espagnoles ont agi le long de la clôture seulement.
– Bien que la Loi sur l’immigration interdit le retour des immigrés à la volée , la Guardia Civil a attiré les immigrants à Ceuta,les ont retiré hors de l’eau et les ont retourné de l’autre côté,en territoire marocain . Il est «normal» et ils l’ont fait » pour des raisons humanitaires » ,ont ajouté les autorités espagnoles.
– Le territoire de l’Espagne ne démarre pas en suivant la ligne de clôture, mais derrière les gardes civils . Aussi pour que les immigrants n’entrent pas officiellement en Espagne, la Garde civile les attendait sur la plage pour les rejeter de l’autre côté de la clôture. Voici donc la X-ième version officielle des événements:
– Un groupe d’immigrants est arrivé à la frontière entre le Maroc et Ceuta et a essayé d’aller par la route vers l’Espagne .
– La Garde civile a agi avec fumigènes et a tiré des salves , des coups à blanc et des balles en caoutchouc en l’air pour dissuader les immigrants.
– Les immigrants se sont retirés et ont essayé un autre endroit , où la police marocaine a tenté de les arrêter.
– Le groupe s’est déplacé vers l’eau et la clôture de la mer environnante.
– Les gardes civils ont été déployés le long de la clôture sur la plage afin de les décourager d’entrer par la mer .
– Certaines personnes réussirent à traverser par la plage de Ceuta et ont été retournés au Maroc .
– Les blessures et les noyades se sont produit sans que personne n’utilise la violence contre les immigrés .
– Aucun des décès ne sont survenus dans les eaux espagnoles . Comparer avec la version n ° 1 .
Les morts n’ont pas seulement eu lieu par noyade,mais aussi par la tentative d’escalader la barrière frontalière.
En conclusion:
Il s’agit ni plus,ni moins que d’un meurtre légal .Les agents de la Guardia ont un ordre non écrit de tirer à vue et sont « couverts » par leur gouvernement .
Le sang d’un réfugié africain,ne semble pas faire un pli aux autorités colonialistes espagnoles.Dans combien de siècles,le Maroc pourra-t-il reprendre en main,la souveraineté des enclaves de Mélilla et de Ceuta?
Est-ce que ces deux événements reliés ensemble vont disparaître dans notre passivité,notre négligence et notre suffisance?
Que vaut la vie de 21 réfugiés africains en 2014?
Avons-nous perdu toute forme de compassion?
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