Nouvel Ordre Mondial:Al Baghdadi serait un audacieux agent du Mossad :Shimon Ellioth

Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creeux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l'heure.
Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi ou Shimon Ellioth,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.Israël peut dormir en paix.

Abou Bakr alBaghdadi, soi-disant  « le calife  de l’ISIL (de l’Etat islamique en Irak et le Levant) est simplement un agent du Mossad, un israélien nommé » Simon Elliott »ou« Elliott Shimon.
Récemment publié sur le site américain Veterans Today, un rapport sérieux  venant d’un ex-agent de la CIA  à la  retraite indique  que le chef de « Daesh » Abou Bakr alBaghdadi, est non seulement un agent du Mossad  nommé  « Shimon Elliott, » mais qu’il a été formé  spécialement ( avec la complicité du gouvernement américain) pour prendre la tête de l’organisation Daesh afin de semer le chaos dans les pays arabes voisins d’Israël.

Selon le rapport publié sur  le site, le pseudo- calife «Abu Bakr alBaghdadi, » est né de parents juifs et très jeune,il intéressa  les services du renseignement israéliens.Très doué comme espion,il devint  hautement qualifié pour espionner au cœur même des pays arabes. Ensuite,après avoir fourni des preuves de son zèle, il a été envoyé en mission  dans l’un des pays frontaliers avec Israël afin d’évaluer l’organisation « Daesh  » alors naissante.

La réussite de son influence a permis de semer le chaos dans le monde arabe en démolissant  des États jadis puissants et fiers , ce qui augmente les chances de contrôle d’Israël sur la région,toute entière.

Pendant que le monde est menacé par le terrorisme de Daesh,Israël peut dormir en paix  car l’état sioniste supporté par l’Arabie Saoudite,le Qatar,la France et les États-Unis d’Amérique .L’état-voyou islamique financé par des  milliers de fanatiques dans le monde à raison de $3 million par jour et alimenté en mercenaires pour un chiffre de 2,000 jeunes drogués  et au cerveau  lavé a pour objectif maintenant d’installer  un calife à La Mecque et l’autre à Médine,en Arabie Saoudite.

Il y a quelques jours,la ministre de la défense d’Israël a affirmé qu’Al Nostra et l’État Islamique n’inquiètent pas Israël…bien sur,Israël l’a enfanté.

Révélations de Snowden : comment les USA aident Israël et recrutent les djihadistes de l’EIIL

 

 

 

 

Edward Snowden
Edward Snowden

Glenn Greenwald l’avait dit : « Snowden fera d’autres révélations importantes à propos d’Israël.  » Et c’est ce qui s’est passé. Le journaliste britannique qui a déclenché le scandale des écoutes illégales mises en place par la National Security Agency (l’affaire dénommée le ‘Datagate’) revient à la charge sur son site The Intercept. Les tout derniers documents top-secret examinés par Greenwald parmi les quelque 1,7 million de fichiers fournis par l’ex-agent de la CIA [et fondateur du site Wikileaks] Edward Snowden, éclairent d’un jour nouveau l’agression israélienne contre les Palestiniens de Gaza, une nouvelle fois d’actualité. Ils mettent notamment en évidence l’implication directe des USA et de leurs principaux alliés. Au cours des dix dernières années – selon ces documents – la NSA a fortement augmenté son soutien, financier, en armes et en informations, à son homologue israélienne, l’unité 8.200 (aussi appelée ‘ISNU Sigint’).

La coopération entre les deux agences a débuté en 1968 et a formé la base des relations étroites qui existent actuellement entre les autres agences de renseignement israéliennes et celles américaines, comme la CIA, le Mossad et la division des opérations spéciales.

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Des services secrets alliés dans le but de tenir sous contrôle plusieurs objectifs et aussi « les pays d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient, du golfe Persique, du Sud-Est asiatique et les Républiques islamiques de l’ex-Union soviétique.  » Dans de nombreux cas, la NSA et l’ISNU ont collaboré avec les agences de renseignement britanniques et canadiennes, le GCHQ et le CSEC. On découvre aussi l’aide de certains pays arabes comme la monarchie jordanienne, et le rôle des forces de sécurité de l’ANP dans la fourniture de services d’espionnage essentiels pour identifier et frapper des « objectifs palestiniens. » The Intercept montre également un reçu de paiement daté du 15 avril 2004.

Les agressions répétées contre la population de Gaza – explique Greenwald – ne seraient pas possibles sans le soutien des USA, toujours prompts à satisfaire les requêtes belliqueuses d’Israël, comme cela s’est produit avec les 225 millions de dollars additionnels approuvés pour financer le système de missiles israélien. Une attitude qui tranche avec le présumé rôle de médiateur affiché ostensiblement par les États-Unis dans le conflit israélo-palestinien. Des faits qui affaiblissent d’autant les paroles prononcées par Barack Obama, comme si le président US n’était qu’un simple spectateur face au massacre des enfants de Gaza («  C’est effrayant de voir ce qui se passe là-bas. »)

The Intercept fait observer qu’Obama parle de [la tragédie de] Gaza comme s’il s’agissait d’une calamité naturelle, d’un événement incontrôlable auquel le gouvernement des USA assiste impuissant. D’après les documents diffusés par Snowden, actuellement réfugié en Russie, la CIA et le Mossad ont entrainé Abu Bakr Al-Baghdadi, l’actuel leader de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL). L’EIIL, qui prône le retour au « Califat » a initialement été constitué en Égypte pour combattre le gouvernement de Bashar al-Assad. Il a reçu des armes de la part du renseignement US et de celui du Royaume-Uni, et des financements de l’Arabie Saoudite et de la monarchie du Qatar.

Abu Bakr Al-Baghdadi a été prisonnier à Guantanamo de 2004 à 2009. Au cours de cette période, la CIA et le Mossad l’auraient recruté pour fonder un groupe en mesure d’attirer des djihadistes de différents pays vers un endroit précis, et ainsi les tenir loin d’Israël. Pour Snowden, «  la seule solution pour protéger l’État juif est de lui créer un ennemi à ses frontières, mais en le dirigeant contre les états islamiques qui s’opposent à sa présence. » Une opération secrète dénommée « Nid de frelons  ».

L’étroite collaboration entre les services de renseignement de Washington et ceux de Tel-Aviv n’a pourtant pas empêché l’espionnage réciproque entre les deux grands alliés. C’est ainsi – comme le révèle le journal allemand Der Spiegel – que les services secrets israéliens ont intercepté les conversations du secrétaire d’État américain John Kerry avec les médiateurs arabes et l’Autorité palestinienne, pour avoir les réponses toutes prêtes lors de l’ultime tentative de négociations avec les Palestiniens.

Sources: Agora Vox.fr ,Der Spiegel,