La Criminelle Arnaque du Covid 19: Une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars pendant que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer claironne : « 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

 

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

 

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnation symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1% de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille
Michel Chossudovsky

 

 

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

 

 

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer lui même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

 


EN COMPLÉMENTAIRE CRIMINELLE

Une étude exhaustive évaluée par des pairs indique que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les «vaccins» covid

Les anglais connaissent maintenant officiellement la supercherie ! quand allons-nous réagir ?

Une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Cardiovascular Research, revue à comité de lecture, attire l’attention sur les dizaines de millions de nouveaux problèmes de santé graves qui sont apparus dans le monde entier depuis le lancement de l’opération Warp Speed.

L’arrivée des “vaccins” contre le Covid-19 a déclenché une recrudescence de toutes sortes de maladies mortelles affectant le cœur, la peau et le cerveau, révèle l’article. Et la plupart de ces affections persistent au moins 90 jours après l’injection.

Pour leurs recherches, les scientifiques ont examiné les mêmes personnes avant et après l’injection afin de déterminer comment les injections modifiaient leur risque de développer de nouveaux problèmes de santé. Ils ont constaté qu’une personne moyenne a 21 % plus de chances de recevoir un nouveau diagnostic dans les trois mois suivant l’injection que dans les trois mois précédant l’injection.

 

 

 

“Avec près de 240 millions d’adultes américains vaccinés, cette augmentation se traduit par des millions de nouveaux problèmes médicaux dans les mois qui suivent la vaccination, et des dizaines de millions dans le monde entier”,

explique Alex Berenson sur son site Substack.

(Voir aussi : Moderna a lancé une nouvelle injection d’ARNm pour “réparer le muscle cardiaque” endommagé par ses injections de covidés).

L’effet secondaire le plus probable des injections de covid semble être la myocardite (et d’autres problèmes cardiaques)

Dans les trois mois suivant l’injection, le risque d’hypertension augmente de 25 %, selon l’étude. En ce qui concerne la dépression, l’eczéma, le diabète et la cellulite, le risque augmente de 10 à 20 % après l’injection par rapport à la période précédant l’injection.

Le risque le plus grave est la myocardite, explique l’étude. L’injection de covid augmente le risque d’inflammation cardiaque de 260 %, en particulier chez les hommes.

“La myocardite est un effet secondaire connu des ARNm, et le fait qu’il y ait eu un taux particulièrement élevé de diagnostics supplémentaires constitue une preuve solide que le signal trouvé par les chercheurs était réel”, écrit Berenson.

Au total, les chercheurs ont constaté que parmi les 284 000 adultes vaccinés qu’ils ont évalués, près de 6 000 affections nouvelles et supplémentaires ont été diagnostiquées dans les 90 jours suivant l’introduction de l’aiguille dans leur bras.

“Avec environ 237 millions d’adultes américains vaccinés, cette estimation se traduirait par environ 5 millions de diagnostics supplémentaires pour des problèmes tels que le diabète dans les trois mois suivant la vaccination”,

explique M. Berenson.

“À l’échelle mondiale, ce chiffre pourrait atteindre 25 millions.

Comme on peut s’y attendre, les médias et le gouvernement n’ont accordé que peu d’attention à ce document. En effet, ses conclusions contredisent le discours officiel selon lequel les injections de COVID sont “sûres et efficaces”.

Une autre étude réalisée à Hong Kong a également mis en évidence une forte augmentation des “poussées” auto-immunes après l’injection de covidine.

Les nouveaux épisodes de lupus, de polyarthrite rhumatoïde et d’autres maladies auto-immunes graves montent en flèche à la suite de ces injections.

Cette étude a spécifiquement identifié les injections d’ARNm comme étant les coupables.

Les injections de virus inactivés de type chinois n’ont pas eu les mêmes effets, ce qui prouve que les types d’injections de Moderna et de Pfizer-BioNTech sont peut-être les injections de COVID les plus dangereuses qui soient.

“Les Américains n’ont pas cette possibilité, car les États-Unis n’autorisent pas l’utilisation des vaccins Covid inactivés chinois”, note M. Berenson, qui explique que les Américains ont reçu les pires des pires “vaccins”, tandis que la Chine communiste a reçu des vaccins “plus sûrs”.

Dans la section des commentaires, quelqu’un a écrit qu’il avait souffert d’un blocage cardiaque quelques semaines après avoir été vacciné par Pfizer. Il a fini par recevoir un stent. Son beau-frère a également été victime d’une crise cardiaque après sa troisième piqûre, tandis que sa sœur a subi deux accidents vasculaires cérébraux après la sienne.

“Les personnes que nous connaissons ont développé plusieurs allergies alors qu’elles n’en avaient jamais eu auparavant”, ajoute cette personne. “On ne peut pas expliquer cela de manière cynique en disant qu’il s’agit de simples coïncidences.

Vous souhaitez vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les médicaments mortels proposés par Big Pharma ? Vous pouvez le faire à l’adresse suivante : BadMedicine.news.

Source

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La politique Covid n’est qu’une falsification de chiffres

Dans les révélations du journal anglais, The Telegraph, nous apprenons que les décisions de confinement Covid n’ont en rien été sanitaire mais politique.
Nous retrouvons le même constat avec l’étude menée par le statisticien Pierre Chaillot, qui démontre que sans augmentation des décès en 2020, il n’y avait aucune raison de confiner la population.
Le confinement est une expérience politique de conservation du pouvoir face à un ennemi invisible, tout comme l’était le terrorisme fabriqué de toutes pièces par la stratégie du Pentagone.
Matt Hancock, ancien ministre de la santé britannique, a déclaré (dans ses messages WhatsApp révélés dans les Lockdown Files) qu’il voulait « effrayer tout le monde » pour que nous nous comportions tous comme de braves petits soldats.

C’est ce que Macron nous avait décrit dans son allocution à la veille du premier confinement de mars 2020, « Nous sommes en guerre ».

Comme tout ceci est une « farce », Matt Hancock ministre de la Santé de Boris Johnson, avait même décidé de participer à une émission de téléréalité, « I Am A Celebrity » (« Je suis une célébrité »), diffusée sur ITV, aux côtés de l’ex-rugbyman Mike Tindall ou du chanteur Boy George. Il s’est justifié en disant « Tous les politiciens, et moi en particulier, ont une image très stricte et ce n’est pas la réalité ».

Pour conclure cette manipulation résumée par Pierre Chaillot :
« Les statistiques sur le Covid-19 ne valent rien ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID-19:Surmortalité dans le monde entier due aux «vaccins» contre le covid

L’été 2021 jusqu’à l’automne 2021 connaît une augmentation fulgurante de la mortalité, toutes causes confondues, par rapport à celle de la même période en 2020. Qu’est-ce qui a changé ? Les injections ont été déployées dans le monde entier.
Tous les pays où la vaccination est élevée, y compris l’Écosse, Israël, le Danemark et les États-Unis, connaissent une augmentation massive du nombre de décès dus à des causes autres que le « covid ». Le coupable désigné est le vaccin.

L’Unz Review a réalisé une analyse approfondie des données disponibles, qui montre clairement que la mortalité toutes causes confondues est « lunaire », pour ainsi dire. Les records sont battus en termes de nombre de morts, en particulier dans les régions du monde où un grand nombre de personnes ont reçu les injections.
En Écosse, par exemple, le gouvernement a récemment enregistré la 20ème semaine consécutive au cours de laquelle les décès excessifs dans tout le pays ont dépassé la moyenne quinquennale. C’est dans un pays avec un taux de conformité « vaccinale » de 87 pour cent jusqu’à présent.
« Même en excluant les décès de Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse », a relayé Alex Berenson sur son Substack.
L’Allemagne est dans un bourbier similaire avec près de 78.000 décès supplémentaires signalés, un chiffre de 10% supérieur à ce qui était prévu.
« Chiffres de la mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10% au-dessus de la médiane des années précédentes », a ajouté Berenson.
Plus de jeunes meurent des inoculations que de personnes âgées
Au Danemark, en Finlande et en Norvège, les décès « mystères » de covid sont actuellement plus élevés que jamais, même pendant le pire de la plandémie. Les décès ont vraiment commencé à augmenter dans ces trois pays, immédiatement après le déploiement du « vaccin ».
Pendant cinq mois consécutifs, le Danemark a battu le record de 10 ans de décès de « toutes causes ». Pendant ce temps, il n’y a eu pratiquement aucun décès causé par « covid ».
L’Irlande, le Royaume-Uni et Israël affichent tous des chiffres alarmants similaires. Et il se trouve que ces trois pays ont des taux de « vaccination » extrêmement élevés.
Il est intéressant de noter que le groupe démographique le plus défavorisé dans tout cela est celui des jeunes, qui meurent à un taux beaucoup plus élevé des injections que les personnes âgées. On pourrait penser que le contraire serait vrai.

 

« Alors que le nombre de morts du COVID a été largement limité aux personnes âgées … ce sont les jeunes qui subissent le plus les blessures causées par le vaccin », a rapporté LifeSiteNews , comme relayé par Unz .
« Selon VigiAccess, la base de données sur les événements indésirables de l’Organisation mondiale de la santé, 41 % des plus de 2,4 millions de blessures liées au vaccin signalées à ce jour concernent des personnes de moins de 44 ans, et seulement 6 % des personnes de plus de 75 ans.
C’est un génocide des jeunes qui s’opère avec les injections
Non seulement les décès, mais aussi les blessures graves, sont en augmentation à la suite de ces injections. Pensez à des choses comme les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins, les maladies circulatoires et les problèmes neurologiques, « les mêmes maladies induites par les vaccins contre lesquelles les médecins et les scientifiques, qui nous ont dit la vérité depuis le début, nous ont mis en garde », a noté Unz .
« En termes simples, les vaccins augmentent les décès, ne les réduisent pas », ajoute Whitney. « Ils aggravent les choses »
« Ils perpétuent la crise. Et c’est pourquoi la ligne rouge dans le graphique pointe vers le haut. C’est une indication que le nombre de morts continuera d’augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons maintenant, inoculer des millions de personnes avec un agent pathogène cytotoxique qui déclenche des caillots sanguins, une inflammation et une auto-immunité.
Le rapport complet de Whitney est disponible sur le site Web d’ Unz.
Source


Selon un frère franciscain: nous sommes arrivés à la bataille finale de l’Apocalypse !

Frère Bugnolo : « Nous sommes clairement passés de la réalité à une zone grise. Ce n’est pas une blague. Interdiction des métaphores. Nous sommes arrivés à Armageddon. C’est la bataille finale dont saint Jean l’Apôtre a parlé dans le livre de l’Apocalypse, le dernier livre de la Bible, et pourquoi cela dépasse toute compréhension. Ce niveau de mal fait passer Hitler pour un saint. Cela fait passer Mao et Pol Pot pour des gens honnêtes, et je dis cela avec une sorte de rhétorique, parce qu’ils étaient d’horribles tueurs et des hommes très méchants.
Mais ce qui se passe aujourd’hui va bien au-delà et pousse le mal à un niveau que nous n’avons jamais vu dans l’histoire de l’humanité, qu’aucun esprit humain n’aurait jamais imaginé. C’est pourquoi je dis que c’est clairement l’œuvre de Satan.
Ces mondialistes ont presque certainement des prêtres sataniques quelque part ou exercent des cultes sataniques quelque part ou il y a quelqu’un qui est possédé par un démon, de qui ils reçoivent des instructions. Je ne peux pas imaginer d’autres possibilités, comment on peut humainement penser à un tel projet, le contempler puis l’exécuter. C’est au-delà de toute compréhension humaine. Je n’aime pas dire que j’avais raison. Je prends la plus grande prudence et essaie de faire tout mon possible pour accepter psychologiquement ce qui va se passer, car c’est bien pire que je ne le pensais en juin, quand j’ai fait ma première vidéo, célèbre dans le monde entier : un tour de montagnes russes, pas tout raide. Mais maintenant, Noël pourrait être les derniers mois de normalité en Occident. Différentes nations seront anéanties, a dit Notre-Dame à La Salette, je veux dire à Fatima, et le peuple ne l’a pas écoutée. Il nous a dit à travers les Écritures qu’à la fin des temps, nous devons nous séparer des méchants, nous devons quitter Babylone. Alors commencez à penser à toutes les conséquences horribles et si vous ne reconnaissez pas cette nouvelle réalité, vous serez mort. »

 


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La Gigantesque Arnaque du COVID-19:L’Allemagne a trouvé son Edward Snowden

Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien – visionné à ce jour près de 500 000 fois – avec un jeune mathématicien et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward Snowden allemand. Nous l’appellerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons évidentes, il souhaite rester anonyme).

Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.deApolut.net), Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite: « anti-anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique ».

Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.

Le vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages) d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant de consultation peu aisée par des non-spécialistes.

L’analyse se divise ainsi :

– Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;

– Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;

– Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.

Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.

– Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.

Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard Schneeten. Les ouï-dire ou signalements d’initiés ont été rigoureusement écartés. Toutes de source originale, les données n’ont pas été retouchées.

Faut-il s’étonner qu’aucun journal, émission ou publication en ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la BBC, Le Monde et al. – n’a souhaité entreprendre de près ou de loin des recherches telles que celles de Schneeten et Röper ?

Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six mois, constatent en s’appuyant sur des données factuelles que la manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment où l’on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se multiplient et se resserrent. De même, la majorité des ONG impliquées dans la manœuvre ont été fondées en 2017.

Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016, quoique Heidi Larson, l’une des figures-clefs identifiées, épouse du Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project, aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l’OMS, ou encore le Robert-Koch Institut et l’Hôpital de la Charité de Christian Drosten en sont partenaires, entre autres.

Le Dr Larson, professeur d’anthropologie et de “science des risques et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des risques depuis les essais cliniques jusqu’à la mise sur marché, et l’instillation de la confiance dans les populations” (sic).

Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine d’expertise et au factuel, considérant d’ailleurs que l’on eût pu déclencher la même campagne hystérique au sujet de n’importe quelle maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences.

Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la vaccination” avec comme objectif d’injecter 70% de la population mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l’électorat (alors que c’est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d’intérêts majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil d’Administration de Pfizer.

Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve l’époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis 2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143 fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d’au moins $US 185 millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l’Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l’Académie française de médecine.

Pour saisir la structure du réseau, commencez par éplucher le rapport Netzwerkanalyse Corona Komplex, en langue anglaise, qui représente le premier volet des travaux de Schneeten et Röper. Ces derniers font œuvre de salut public. Il ne reste qu’à espérer que le public s’y intéressera de près puisqu’il y va de notre survie. 

Le Québec a dépensé près de 133,5 millions de dollars publicitaires en prévention de la COVID..
Manipulations médiatiques et programmations psychologiques.
#CONTROLE
#PROPAGANDE
#MENSONGE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source: FranceSoir.

Remarquez que s’il y avait une terrible pandémie mondiale, on aurait pas le temps de se critiquer er de se menacer sur les médias  … on irait ramasser des corps un peu partout!

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Evo Morales: “Je suis convaincu que cette pandémie fait partie d’une guerre biologique”

Le seul leader socialiste qui a eu le courage de le dire tout haut avec Loukashenko, rappelle que  les prêts du FMI sont les outils que la classe dirigeante utilise pour imposer les mesures autoritaires synchronisées à travers le monde (comme Loukachenko l’a révélé), et que la Bolivie a remboursé son prêt.

On assiste avec la complicité de la gauche à l’érosion de la démocratie libérale et à la mise en place d’une classe impériale qui cherche à régner dans une technocratie corporatiste de biosécurité.

L’ancien président bolivien a estimé que “pour le capitalisme, les pauvres sont inutiles pour l’État” et a blâmé le “Nouvel ordre mondial” pour avoir imposé COVID-19 et ses vaccins tueurs.

Lors d’une conférence de presse, l’ancien président bolivien a déclaré :

 « Avec la pandémie à laquelle nous sommes confrontés, je suis convaincu que cela fait partie d’une guerre biologique. Qu’exporte le capitalisme, des armes nucléaires, des armes biologiques ? Cela doit faire il y a 5 ou 6 ans que le FMI a affirmé que la politique du Nouvel Ordre Mondial indiquait qu’une planification de réduction de la population inutile était importante », a-t-il déclaré.

 « Je suis un défenseur non seulement des droits collectifs, mais des personnes les plus humbles. Pour le capitalisme, les pauvres sont inutiles pour l’Etat et cette pandémie tue d’abord les personnes qui en sont les moins riches et les personnes handicapées. Je suis convaincu que cette pandémie fait partie d’une guerre biologique », a- t-il déclaré.

L’ancien président bolivien a indiqué que, selon son expérience, la “nationalisation” et la “redistribution des richesses” étaient importantes pour sa gestion économique au sein de son gouvernement.

« La meilleure façon de changer la partie politique dans notre expérience est l’Assemblée constituante, la refondation de nos républiques depuis 200 ans ; et dans la partie économique la nationalisation qui est si importante ; et dans la partie sociale la redistribution des richesses » a-t-il déclaré lors d’une conférence devant la Fédération nationale des travailleurs de l’éducation du Pérou (Fenatep), un syndicat fondé par Pedro Castillo.

Le syndicat fondé par Castillo Terrones a invité l’ancien président bolivien à intervenir au forum “Le rôle des organisations populaires dans les changements politiques, économiques et sociaux en Amérique latine”.

Source: https://gestion.pe/ 

 

Conclusion personnelle

L’argent trône la politique. Les responsables des Etats sous la domination des puissances financières mondiales, pour qui les pauvres n’ont plus de place sur cette planète. La démocratie n’est plus qu’une vilaine farce.


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La Criminelle Arnaque du COVID-19: L’Australie construit des goulags sanitaires permanents pour les récalcitrants au vaxx

Bien que la « pandémie » de Covid-19 soit à peu près terminée, du moins pour les non vaccinés, l’Australie est en train de construire de nouveaux camps de « quarantaine », qui seront nécessaires l’année prochaine pour héberger les personnes « qui n’ont pas eu accès à la vaccination. « , a déclaré le gouvernement.

Pour maintenir les « opérations en cours » relatives à la « pandémie » factice, les autorités australiennes financent la construction de complexes massifs, dont l’un aurait 1 000 lits et devrait être achevé d’ici la fin mars 2022.
« À ce stade, les cabines seront utilisées par les voyageurs nationaux revenant des points chauds COVID », précise un rapport sur l’installation des camps de quarantaine en cours d’érection à l’aéroport de Wellcamp en dehors de Toowoomba.

Le goulag emploiera de nombreux locaux, ce qui, selon le gouvernement, contribuera à stimuler l’économie. De toute évidence, c’est ainsi qu’il vend le projet pour réduire les soupçons à son sujet.
Selon les rapports, le camp est divisé en différentes zones et accueillera des chambres simples, doubles et familiales tout en étant patrouillé par la police et les gardes 24h/24 et 7j/7.

Le camp de prisonniers sera censé être utilisé pour aider à « aplatir la courbe » et à garder les Australiens « en sécurité » contre les futures « variantes » de coronavirus qui devraient émerger tant que les élites voudront qu’elles émergent.
Un groupe appelé « Les parents sont la famille immédiate » a tweeté à propos des camps, s’exclamant : « C’est dingue ! Qui sera assez fou pour être obligé de rester dans ces camps de prisonniers ?!”
Le Premier ministre du Queensland, Steven Miles, a récemment déclaré aux médias qu’il prévoyait un « besoin continu d’installations de quarantaine » dans le futur, d’où la nécessité de construire rapidement ces camps d’internement.
Le gouvernement a loué le terrain sur lequel l’installation Wellcamp est en cours de construction. Il y a une période initiale de 12 mois qui peut être prolongée d’autres périodes de 12 mois par la suite si le gouvernement le souhaite.
De même, une autre installation de quarantaine de 1.000 lits est en cours de construction sur un site de casernes de l’armée de 30 hectares dans la zone industrielle de Pinkenba, près de l’aéroport de Brisbane.
Alors que les Australiens continuent de souffrir de la tyrannie [1], ne pensez pas que de tels goulags ne sont pas prêts à surgir dans d’autres pays du monde. Les États-Unis mettent en place des « installations de quarantaine » similaires pour les Américains qui sont considérés comme « incapables de se mettre en quarantaine à la maison ». [2]
En outre, le Canada et la Nouvelle-Zélande installeraient des camps, le Canada étant peut-être le plus honnête quant à ses véritables intentions. Des responsables de la ville de Québec ont déclaré que les citoyens « non coopératifs » seront isolés dans l’établissement de « quarantaine » du Canada, dont l’emplacement reste inconnu .
L’Allemagne a également annoncé qu’elle prévoyait de maintenir en captivité les refusant les vaccins dans un « camp de détention » situé près de Dresde .

Une analyse de l’efficacité des vaccins Covid-19 montre qu’ils ne fonctionnent tout simplement pas

Il y a eu beaucoup d’illustrations maintenant concernant la tromperie de l’efficacité allant de 90% à 99% des vaccins Covid-19 (VE).

Il existe également maintenant suffisamment de données empiriques réelles pour évaluer l’efficacité globale du vaccin COVID-19 en tant qu’outil de santé publique.

By Joel Smalley – Analyste de données quantitatives

En ce qui concerne les cas de COVID-19, il est clair qu’il y en a eu beaucoup plus cette année, après la vaccination, qu’il n’y en a eu l’année dernière.
Au moins, il semble que les cas n’augmentent plus comme ils l’ont fait l’année dernière dans la « saison ».
Est-ce à cause du vaccin ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Eh bien, la plupart des cas de maladie sont chez les vaccinés. Bien entendu, la majorité de la population est vaccinée. Alors, y a-t-il vraiment plus de cas chez les non vaccinés ?
La réponse est : Non.
Le taux de cas chez les complètement vaccinés est directement proportionnel à la population vaccinée.

 

 

 

 

 

 

 

 

D’accord, mais avec une efficacité de 90 à 99 % pour réduire les maladies graves, nous devrions voir beaucoup moins de vaccinés à l’hôpital que de non vaccinés, par rapport aux cas, n’est-ce pas ?
Eh bien, les formes de la courbe ne donnent pas l’impression que les vaccinés se portent mieux.

 

 

 

 

 

 

 

Mais qu’en est-il de l’efficacité du vaccin contre le Covid-19 ?
Il y a une différence absolue d’environ 13% à 19% dans la proportion vaccinée des hospitalisations COVID-19 et de la population vaccinée, donc, oui, il y a peut-être des preuves d’une gravité réduite.
[Peu importe qu’il y ait beaucoup plus d’hospitalisations que l’année dernière.]

 

 

 

 

 

 

 

Plus important encore, pouvons-nous voir la même efficacité vaccinale dans les décès ?
Nenni. Pas de différence évidente dans les pentes des courbes sauf que les morts chez les non vaccinés semblent moins sévères.

 

 

 

 

 

 

 

Et par rapport à la population vaccinée ?
Non plus.
Exactement la même chose, tout comme les cas. Rien ne prouve qu’il y ait relativement moins de décès par COVID-19 vaccinés que la population vaccinée.

 

 

 

 

 

 

 

Encore une fois, heureusement, les décès semblent être en baisse par rapport à l’année dernière où ils étaient en hausse. Bonne nouvelle!
Peut-on attribuer cela au vaccin ? Non, car les vaccinés ne font pas mieux que les non vaccinés. Peut-être (juste peut-être), est-ce une immunité naturelle de fond ? Et en termes de santé publique globale, avons-nous mis un frein à l’excès de décès ?
Hélas non.
La situation actuelle est nettement pire que l’année dernière ou de nombreuses années précédentes en fait pour la période de l’année.

Et ce n’est pas le COVID-19.  Source


NOTES COMPLÉMENTAIRES ET INFORMATIONS DIVERSES

1-La police australienne du « goulag covidien » menace de gazer un prisonnier demandant sa libération après 14 jours de détention

Centre de test covid en Australie

 

L’holocauste vaccinal est bien engagé en Australie, où une nouvelle vidéo inquiétante montre la police australienne du camp d’internement covidien menaçant de « gazer » un prisonnier qui a déjà passé 14 jours en quarantaine forcée et qui veut être libéré. Un extrait de la vidéo est affiché dans le podcast « Situation Update » .

Ce que la vidéo semble confirmer, c’est que les autorités australiennes tyranniques :

 

 

 

1) Ne semblent pas libérer les gens après qu’ils ont été « assignés » à une quarantaine forcée de 14 jours. (Vous pouvez vous enregistrer mais vous ne pouvez pas vous désinscrire.)

2) Menacent de « gazer » les prisonniers s’ils n’obéissent pas. Il n’est pas clair d’après la vidéo si ce « gaz » consiste à gazer quelqu’un avec du gaz lacrymogène ou un gaz mortel de type Zyklon B, mais dans les deux cas, il s’agit d’une violation flagrante des droits humains fondamentaux.

Les organisations mondiales des droits de l’homme sont mystérieusement silencieuses sur tout cela, et en Amérique, la soi-disant Union américaine des libertés civiles (ACLU) a complètement abandonné les libertés civiles et approuve désormais les vaccins et les masques pour tout le monde.

La vidéo d’Australie révèle les horribles conséquences sur la santé mentale d’être interné dans ce qui est essentiellement un camp de la mort covidien, où l’un des occupants de cette vidéo explique: « vous ne pouvez pas avoir d’air pour respirer » dans les pièces fermées et scellées. Son codétenu crie : « Emmenez-moi quelque part où les murs ne se rapprochent  pas », révélant les conséquences sur la santé mentale d’un confinement involontaire sous un état de police médicale despotique.

Des personnes innocentes en parfaite santé sont considérées comme une menace pour la santé publique simplement parce qu’elles sont « testées positives » via un test PCR frauduleux

Ce qui est encore plus troublant avec tout cela, c’est la façon dont le gouvernement australien tyrannique détermine quelles personnes kidnapper médicalement et jeter dans ces goulags covidiens de la mort. Il vous suffit de tester « positif » via un test PCR frauduleux  pour être signalé et incarcéré, même si vous ne présentez aucun symptôme de maladie et êtes en parfaite santé.

Sur la base d’un test PCR frauduleux, en d’autres termes, vous pouvez vous voir refuser votre droit à la liberté et être jeté dans un camp d’internement covidien tout en étant soumis à la torture mentale et physique par les autorités cruelles qui gèrent les camps de prisonniers.

Cela se produit déjà en Australie, et cette pratique sera bientôt en Amérique car le CDC a déjà annoncé ses plans pour des camps de la mort de covid «zone verte» d’où personne ne sortira vivant. [2]

Nous assistons à l’accélération de l’holocauste vaccinal de jour en jour alors que les gouvernements deviennent des terroristes génocidaires

Sous l’influence séduisante d’un pouvoir illimité, les gouvernements du monde ont abandonné tous les piliers de la procédure régulière, de l’état de droit ou des libertés individuelles et fonctionnent désormais comme des organisations terroristes génocidaires menant des opérations d’extermination de masse. Pourtant, les êtres humains obéissants et crédules continuent de croire d’une manière ou d’une autre que s’ils se conforment juste assez, les choses reviendront à la normale.

« Normal » est un lointain souvenir, disparu depuis longtemps dans le rétroviseur. Aucun gouvernement n’abandonnera volontairement le pouvoir, c’est pourquoi les autorités sanitaires australiennes citent maintenant ouvertement le «nouvel ordre mondial» et prétendent que la pandémie de covid ne prendra jamais fin. (Ce qui signifie que leur tyrannie ne finira jamais.)

Voici le ministre australien de la Santé, le Dr Chant – qui prétend en quelque sorte être humain – déclarant que le « Nouvel Ordre Mondial » est désormais sous contrôle .

Il ne fait aucun doute que le Dr Chant soutient pleinement le gazage de masse des prisonniers des camps de la mort de Covid en Australie, car le véritable objectif du Nouvel Ordre Mondial est, bien sûr, l’extermination massive de milliards d’humains suivie de l’asservissement complet des survivants restants.

Il est maintenant tellement évident pour quiconque y prête attention qu’il est choquant de ne pas voir cela pour ce que c’est. Pourtant, les démocrates et les woke ne voient rien de mal aux camps de la mort covidiens, car tout se déroule sous « leur » président sénile, Joe Biden.

Le podcast Situation Update d’aujourd’hui se penche sur les horreurs de l’holocauste vaccinal et sur la façon dont les gouvernements terroristes mènent désormais ouvertement une guerre biologique contre la race humaine.

Brighteon.com/150d5257-277c-4557-a29b-9c683c30962e


2-Aout 2021:début de la construction du camp de quarantaine de Mickleham

La construction est en cours au Centre pour la résilience nationale de Melbourne – le nom lourd donné à la nouvelle installation de quarantaine à Mickleham – et le camp devrait ouvrir d’ici la fin de l’année.

Une séance d’engagement communautaire a eu lieu plus tôt cette semaine sur les progrès du site d’hébergement accéléré de 1 000 lits pour les voyageurs de retour, mais les résidents ont été informés que les constructeurs ne seraient retardés par aucun processus de consultation.

Les travaux de terrassement ont commencé dans un enclos vide dans le nord de Melbourne, qui se trouve à côté de l’installation de quarantaine pour animaux de compagnie du gouvernement fédéral et à environ 300 mètres des maisons.

La construction de la nouvelle installation de quarantaine à Mickleham a commencé.
La construction de la nouvelle installation de quarantaine à Mickleham a commencé.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le projet est calqué sur le centre de Howard Springs dans le Territoire du Nord, qui s’est avéré très efficace pour prévenir les fuites de COVID-19 par rapport à la quarantaine hôtelière.

Multiplex a été engagé pour construire l’installation, 80 % des bâtiments devant être préfabriqués hors site. Le centre peut être étendu à 3000 lits mais sera opérationnel dès que 500 seront prêts plus tard cette année.

Parmi les questions soulevées par le public lors d’une séance d’information jeudi figuraient des questions sur l’impact sur les prix de l’immobilier , la menace que le virus s’échappe dans la communauté et pourquoi les résidents ne recevaient que des informations sur le projet maintenant.

À quoi ressemblera la nouvelle installation de quarantaine à Mickleham.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les habitants ont été assurés que l’établissement suivrait les normes de contrôle des infections les plus strictes fixées par Howard Springs, avec un personnel entièrement vacciné et incapable d’occuper un deuxième emploi.

Vendredi, on a demandé au premier ministre Daniel Andrews pourquoi la communauté n’avait pas eu la possibilité de donner son avis sur le centre.

« Nous voulons que la communauté sache ce qui se passe là-bas, nous voulons qu’elle fasse partie de ce programme et de ce processus », a-t-il déclaré.

«Mais nous devons le construire. Il y a beaucoup plus de risques pour les habitants de Victoria, y compris Mickleham, en ayant des milliers de personnes dans des hôtels qui ne sont pas construits pour les mettre en quarantaine.

« C’est le site qui a été choisi et tout le monde, y compris les habitants, s’en portera mieux à cause de cela. »

Le gouvernement victorien a fourni des images de ce à quoi pourrait ressembler la nouvelle installation de quarantaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le maire du conseil municipal de Hume, Joseph Haweil, a déclaré que l’installation ne suivait pas un processus de consultation complet si les gens n’étaient pas en mesure de s’y opposer.

« Je dirais que c’est moins d’être consulté, plus d’être informé », a-t-il déclaré.

Une autre préoccupation soulevée par les résidents était l’impact potentiel sur la circulation, les routes environnantes étant souvent encombrées par les voitures en raison d’un afflux de nouveaux logements.

Cr Haweil a déclaré que la communauté avait le droit d’être récompensée par un financement d’infrastructure si elle devait faire le gros du travail de mise en quarantaine des voyageurs. « Cette contribution doit être reconnue », a-t-il déclaré.

Rien d’étonnant:la démocratie est morte en Australie depuis longtemps…tout comme au Québec,d’ailleurs et en France!


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Dictature totalitaire mondiale en formation:Le Kenya et le Malawi, zones test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau

Depuis 2019,des ingénieurs américains ont mis au point un marquage et une vaccination sous-cutanés encapsulés dans des nanoparticules.

La campagne de vaccination a débuté en septembre 2019,au Kenya,en prenant la population comme cobaye!
Tout cela sous les bons soins de Bill Gates!

 

Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.

La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

 

L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques inexistants.

Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates (partenaire du Monde Afrique), espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.

Les ingénieurs ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l’organisme, stables et capables de durer plusieurs années.

Croix luminescente

La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (« quantum dots » en anglais), de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (μm, 1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur.

Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge.

Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.

Des chercheurs du MIT ont présenté, le 18 décembre 2019 à Washington, une technologie de vaccination sous-cutanée encapsulée dans des nanoparticules et des nanocristaux qui deviennent fluorescents à l’approche d’une lumière proche de l’infrarouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La technique est censée être plus durable que le marquage par feutre indélébile, pour lequel les chercheurs ont simulé cinq années d’exposition au soleil. Et elle requiert moins de technologie qu’un scan de l’iris ou que la maintenance de bases de données médicales.

La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ?

La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

POSER CES QUESTIONS EST Y RÉPONDRE

L’histoire récente de l’humanité nous montre que le marquage social  a été souvent utilisé.Ce sont les allemands de la Deuxième Guerre Mondiale qui figurent au palmares avec les passeport de circulation,les croix jaunes pour identifier les  juifs,etc.

En regardant ce qui se passe en 2021 avec le passeport sanitaire et la division sociale voulue par les systèmes politiques (en vaccinés vs les non-vaccinés) ,on comprend facilement que le Troisième Reich allemand de 1933 a servi de modèle pour élaborer la situation actuelle.Il est clair que dans notre monde occidental chrétien que la démocratie est morte depuis longtemps et que ce sont des profiteurs manipulés par des sociétés secrètes qui mènent le bal!


EN COMPLÉMENTAIRE

la Guinée renforce les contrôles aux frontières et ferme les boîtes de nuit

Le port obligatoire du masque a été décrété et les fonctionnaires ne pourront accéder à leur lieu de travail que munis de leur passe sanitaire.

Une femme passe devant des graffitis sur un mur représentant des mesures d’hygiène pour freiner la propagation du coronavirus COVID-19 à Conakry, en Guinée, le 4 mai 2020

La Guinée avait annoncé 10 août 2021, le renforcement des contrôles sanitaires aux frontières, le port obligatoire du masque et la fermeture des boîtes de nuit afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19.

« A situation exceptionnelle, il faut des mesures exceptionnelles appliquées avec courage, détermination et la plus grande fermeté », a déclaré le président Alpha Condé, selon un communiqué rendant compte du conseil des ministres. Le port obligatoire du masque a ainsi été décrété, ainsi que la « fermeture jusqu’à nouvel ordre des boîtes de nuit et d’autres lieux de loisirs très fréquentés ». Les fonctionnaires, y compris les ministres, ne pourront accéder à leur lieu de travail que munis de leur passe sanitaire.

Ainsi,même en Afrique,les tentacules de la pieuvre  dictatoriale sanitaire s’étendent!

Les personnes entrant en Guinée et « venant de pays notamment touchés par le variant Delta » devront être vaccinées, ont ajouté les autorités, sans donner la liste des pays concernés, mais en soulignant que des tests PCR devront également être présentés à l’arrivée. Alpha Condé a précisé que l’objectif du gouvernement était de vacciner d’ici au mois de novembre 70 % de la population du pays, qui compte plus de 13 millions d’habitants.

Variant Delta et virus de Marburg:la psychose collective en oeuvre

 

 

La Guinée a officiellement recensé 27 112 cas de Covid-19, dont 263 mortels, un chiffre sous-évalué selon les observateurs. Avec l’émergence du variant Delta, plus contagieux, la barre des 1 000 personnes testées positives par jour est en passe d’être franchie, avec près de dix décès quotidiens à l’hôpital, selon les chiffres officiels.

Sur un autre front sanitaire, les autorités guinéennes n’ont encore annoncé aucune décision concernant le premier cas de la maladie à virus de Marburg, hautement virulente et provoquant une fièvre hémorragique. « Un cas a été déclaré. Nous nous organisons pour circonscrire le virus et organiser la riposte. Nous informerons l’opinion de l’évolution », a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement, Tibou Camara. « C’est la première fois que [cette maladie] est identifiée dans le pays et en Afrique de l’Ouest », peut-on lire sur le site de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Quelque 155 cas contacts de la victime – un homme décédé le 2 août – sont suivis quotidiennement. Le virus de Marburg est un cousin à peine moins meurtrier du virus Ebola, contre lequel il n’y a ni vaccin ni traitement et qui entraîne la mort dans 50 % des cas en moyenne. Ce cas a été détecté moins de deux mois après que la Guinée a déclaré la fin d’une épidémie d’Ebola qui avait éclaté au début de l’année, faisant douze morts. Le pays a déjà été sévèrement éprouvé par la fièvre hémorragique due au virus Ebola, qui y avait tué 2 500 personnes entre fin 2013 et 2016.


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La Gigantesque Arnaque du COVID-19:CDC: 5 888 DÉCÈS et 329 021 Blessures dues aux injections COVID-19 – Plus que les 29 années précédentes de décès par le vaccin VAERS

 

Les décès enregistrés à la suite des injections COVID-19 expérimentales ont grimpé en flèche cette semaine alors que le CDC a ajouté hier davantage de données dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données financée par le gouvernement américain qui suit les blessures et les décès causés par les vaccins.

 

 

 

 

Alors que les informations contenues dans le VAERS sont des informations accessibles au public, les médias d’entreprise continuent de les censurer, et quiconque ose publier des informations accessibles au public du gouvernement américain est qualifié de « fausses nouvelles » par les « vérificateurs de faits ».

Les données publiées hier 11 juin 2021, répertorient 5 888 décès parmi 329 021 cas de blessures suite à des injections COVID-19. Il y a également 5 884 autres cas mettant la vie en danger, 43 892 visites aux urgences, 4 583 incapacités permanentes et 19 597 hospitalisations.

 

 

 

 

 

Pour mettre cela en perspective, ces totaux représentent une période de 6 mois depuis décembre 2020, date à laquelle la FDA a autorisé l’utilisation en urgence de ces injections, et le total des décès dépasse désormais les décès enregistrés dans le VAERS suite aux vaccinations des 29 dernières années, depuis le début 1992.

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est un génocide. Et comme de nombreux médecins et scientifiques dissidents l’ont déclaré, il s’agit de injections d’armes biologiques conçues par des eugénistes pour réduire la population mondiale.

Le CDC et la FDA admettent enfin des problèmes d’inflammation cardiaque dus aux injections COVID

Le CDC et la FDA se sont rencontrés la semaine dernière le 10 juin 2021 et ont finalement admis qu’il y avait des centaines de cas signalés de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur) suite à des injections d’ARNm.

Avant cette réunion, la seule chose qu’ils étaient prêts à admettre était qu’il y avait des cas « rares » de caillots sanguins dans le cerveau, tout en choisissant d’ignorer une myriade d’autres conditions signalées, y compris de nombreux autres types de caillots sanguins.

Le rapport du 10 juin indiquait qu’il y avait eu 216 rapports d’inflammation cardiaque après les premières doses des injections Pfizer et Moderna, et 573 rapports après les deuxièmes injections.

L’âge médian après la première dose était de 30 ans, tandis que l’âge médian après la deuxième dose n’était que de 24 ans. Elle touche plus de deux fois plus d’hommes que de femmes.

Étant donné que ces cas signalés ne représentent qu’une infime minorité des cas réels, en raison de la nature passive de la déclaration au VAERS, il est évident que nous avons une crise nationale entre nos mains causée par les sociétés pharmaceutiques et leurs injections expérimentales.

Le gouvernement n’est pas votre ami, et peu importe que vous viviez dans un État rouge ou bleu, car ils sont tous pro-vaccins.

Alors que certains gouverneurs de l’État rouge ont pris des mesures pour empêcher la discrimination via les passeports vaccinaux, pas un seul gouverneur aux États-Unis ne s’est manifesté pour mettre un terme aux campagnes massives visant à injecter autant de personnes que possible avec ces armes biologiques, qui sont désormais axées sur les enfants, même s’ils ont le pouvoir de le faire par le biais de leurs pouvoirs exécutifs.

Pas une. Ils sont TOUS complices de meurtre.

Par Brian Shilhavy;  Rédacteur en chef, Health Impact News

Source : Health Impact News


Les vaccins expérimentaux contre la Covid sont des systèmes d’administration d’armes biologiques qui inondent les organes vitaux et la circulation sanguine de protéines de pointe inflammatoires

 

 

Après la publication des courriels de Fauci, il est maintenant clair que de hauts responsables de la santé publique ont conspiré pour dissimuler l’origine de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, une toxine de laboratoire qui est maintenant injectée sous forme d’ARN messager et traduite dans des cellules humaines. Les protéines de pointe inflammatoires sont maintenant répliquées dans les cellules humaines, subvertissant la synthèse protéique naturelle des cellules, tout en s’infiltrant dans la circulation sanguine et en s’accumulant dans les organes vitaux. Une étude montre que la protéine de pointe peut envahir et vivre dans le tissu neural, infectant les neurones et provoquant un neurotropisme

La sous-unité S1 de la protéine de pointe pénètre dans le tissu parenchymateux du cerveau dans les modèles murins. Les cellules endothéliales du cerveau tentent de cacher la protéine de pointe dans le glycocalyx capillaire cérébral, ce qui peut entraîner une dégradation du glycocalyx, un dysfonctionnement de la barrière hémato-encéphalique (BHE) et un œdème cérébral.

Les protéines de pointe causant des lésions cérébrales, sont dix fois plus puissantes lorsqu’elles sont injectées

Lorsque ces protéines de pointe traversent la BHE, elles induisent une inflammation des neurones et altèrent le fonctionnement de base du système nerveux central. Une étude de Nature Neuroscience révèle que la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est conçue pour se fixer à l’enzyme de conversion de l’angiotensine-2 (ACE2), traverser la BHE et endommager les systèmes cardiovasculaire et nerveux central. La protéine de pointe peut manipuler le système nerveux central, provoquant un afflux de cytokines et déclenchant une tempête de cytokines. Cet afflux de cytokines peut également traverser la barrière hémato-encéphalique, endommageant davantage la réponse immunitaire. Lorsque la protéine de liaison virale traverse la barrière hémato-encéphalique, elle permet au virus de traverser également la barrière hémato-encéphalique, permettant au virus d’influencer directement les régions du cerveau qui régulent la fonction respiratoire. Selon l’étude, les protéines de pointe injectées dépassent la BHE environ dix fois plus que l’exposition intranasale.

 

 

La protéine de pointe se fixe principalement à l’ACE2, mais peut également se fixer à d’autres protéines. La protéine de pointe traverse non seulement la barrière hémato-encéphalique, mais elle se déplace également dans la circulation sanguine, provoquant des caillots sanguins. Cette toxine attaque également le bulbe olfactif, le foie, la rate et les reins.

Les protéines de pointe déployées via des vaccins imitent un système de livraison d’armes biologiques

Byram Bridle, immunologiste viral et professeur agrégé à l’Université de Guelph, en Ontario, a déclaré que la communauté médicale « avait fait une grosse erreur » en déployant des programmes de protéines de pointe par le biais de campagnes de vaccination de masse. Le Dr Bridle était l’un des scientifiques qui ont travaillé sur le développement d’un vaccin contre la Covid-19. Le Dr Bridle mentionne une « étude de bio distribution » qui montre comment la protéine de pointe s’échappe dans le sang après la vaccination et circule pendant plusieurs jours, s’accumulant dans les organes et les tissus. La protéine de pointe peut attaquer la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et à des « concentrations assez élevées » dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle. Les scientifiques ont supposé que le vaccin n’affecterait que les muscles deltoïdes, reproduirait les protéines de pointe dans les cellules du site de vaccination et déclencherait une réponse immunitaire localement. Cependant, les protéines de pointe s’échappent du site de vaccination et s’échappent dans la circulation sanguine. Ces toxines peuvent provoquer une agglutination du sang ou des saignements cérébraux. 

Les méthodes de déploiement de ces vaccins expérimentaux contre la Covid ne sont pas non plus indicatives de la médecine. Il n’y a actuellement AUCUN consentement éclairé pour ces injections et AUCUN respect pour la dignité humaine ou l’auto-décision. Les méthodes de son déploiement sont des tactiques de guerre, et nos propres gouvernements et systèmes médicaux sont armés contre nous. Le vaccin peut être décrit plus précisément comme un système de distribution d’armes biologiques car il est déployé par la coercition, la fraude médicale, la corruption, l’intimidation, la discrimination et la ségrégation. 

Les gouvernements ont forcé à plusieurs reprises les citoyens à se verrouiller pour forcer l’adoption. On dit aux citoyens que leur vie ne reprendra pas son cours normal tant qu’ils ne se soumettront pas. Les gouvernements ont volé de l’argent aux contribuables et l’affichent maintenant comme des prix dans les loteries de vaccins. Le CDC essaie d’utiliser les passeports vaccinaux pour diviser la nation, en profilant et en contrôlant les vaccinés tout en séparant et en persécutant les non vaccinés.

Apprenez-en plus dans l’interview avec l’immunologiste Byram Bridle :

https://www.brighteon.com/2495a88b-90ad-4411-9171-faef76358dbc

 


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La Gigantesque Arnaque du COVID-19:L’anarchie qui vient

« Depuis un an et demi, nous pouvons constater que l’emprise technologique sans cesse grandissante s’accomplit bel et bien en un totalitarisme de type nouveau. »
« Soit nous inventons de nouvelles formes de démocratie, et ici la « tradition » anarchiste et elle seule peut nous être salutaire, soit nous allons subir, pour des décennies, un totalitarisme mondial dont le régime chinois est le prototype : une société de contrôle technologique absolu, où toute forme de dissidence est éliminée. »
« 
En réalité nous sommes tous anarchistes sans le savoir. »
« 
Sous couvert de « crise sanitaire » mondiale décrétée arbitrairement par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), on a détruit les pauvres, les jeunes, les écoles, l’Université, les arts, la culture, les PME, les classes moyennes, et bien d’autres choses. Les seuls qui soient sortis gagnants de cette « crise » montée de toutes pièces sont les oligarques du monde entier, enrichis de manière obscène « .
« 
Jamais je n’aurais cru que la propagande pourrait générer autant de comportements somnambuliques dans la population. Jamais je n’aurais cru assister, de mon vivant, à un totalitarisme qui fera passer, dans la mémoire des hommes (s’il en reste…) le nazisme et le stalinisme pour des jeux d’enfants. »
« Oui, Schwab a raison : nous étions déjà dans le « Great Reaset », mais la « crise du COVID », décidée par Bill Gates, a permis de renforcer le processus. Nous avons été pris au piège, et il se refermera implacablement sur nous si nous ne réagissons pas, ici et maintenant. »
« 
Bientôt, sera accusé de « complotiste » quiconque ose mettre deux neurones en contact. Mais les puces électroniques implantées dans nos cerveaux arrivent… »
« Dieu » désigne, depuis l’invention de son concept, une entité omnisciente, omnipotente, immortelle.  Or, la technologie contemporaine satisfait à tous les réquisits par lesquels on définit le mot « Dieu ». »
« Le véritable « virus » n’est pas la grippe virulente qui sert à terroriser toutes les populations, mais l’information frelatée que font circuler les médias de masse et les gouvernements à ce sujet »
« Si j’ai, par rapport à ce qui nous arrive, une conviction absolue, c’est bien celle-là. Communauté contre transhumanisme, telle est ma « philosophie politique ». »


VOICI UNE IMPORTANTE ENTREVUE:

Mehdi BELHAJ KACEM

 

 

Mehdi BELHAJ KACEM répond à des questions de Nika Dubrovsky

Who came up with the word « anarchy » anyway and what is in it for you?

Je ne sais pas qui a créé le mot anarchie, qui existe depuis fort longtemps. Je ne sais pas non plus quand a été utilisé pour la première fois, probablement au dix-neuvième siècle, le terme « anarchisme ». On sait que c’est Proudhon qui l’utilise pour la première fois de manière positive. Jusqu’à lui, le mot avait des connotations seulement péjoratives : désordre, chaos, cataclysme… Je donne, pour ma part, trois définitions principales au mot anarchie.

Le premier : c’est celui, à point nommé, des anarchistes historiques, toutes tendances confondues. La meilleure synthèse de ce qu’est l’anarchisme a été formulée par Goodman :

« L’anarchisme se fonde sur une proposition assez claire : qu’un comportement valable ne peut naître que de la relation directe d’individus ou de groupes volontaires aux circonstances que leur présente leur environnement historique. Il affirme que dans la plupart des affaires humaines, qu’elles soient politiques, économiques, militaires, religieuses, morales, pédagogiques ou culturelles, on fait plus de mal que de bien en utilisant la coercition, le commandement hiérarchique, l’autorité centrale, la bureaucratie, les prisons, la conscription, les États, la standardisation préétablie, la planification excessive, etc. Les anarchistes veulent accroître le fonctionnement intrinsèque et diminuer le pouvoir extrinsèque. »

Avant d’approfondir ce point, savoir ce que pourra bien signifier une politique anarchiste à notre époque, je vais m’arrêter aux deux autres définitions que je donne au mot anarchie.
Le second sens me vient de la lecture d’un livre très important de Reiner Schürmann, Le principe d’anarchie. An-archie veut dire : absence d’archè, de commandement, de principe directeur. Il s’agit d’un oxymore : du principe de l’absence de principe. Jusqu’ici, les sociétés occidentales avaient toujours réussi à vivre, agir et penser selon un grand principe directeur : l’Un pour les grecs, la Nature pour les romains, Dieu pour le moyen-âge, la conscience-de-soi pour les modernes depuis Descartes et surtout Kant… or, tous ces principes se sont effondrés, nous dit Schürmann, et aucun nouveau principe ne sera en mesure d’en prendre la relève. L’autre grand livre de Schürmann s’appelle : Les hégémonies brisées, qui désigne le même problème. Nous n’en sommes sans doute qu’au début de cette « ère anarchique », la nôtre. Mais prenons, par exemple, la revendication de beaucoup de philosophes académiques (quasi-pléonasme…) de notre temps : le « matérialisme ». Il s’agit, là encore, d’un Principe, censé donner assise et consistance au discours, pour savoir comment s’orienter dans la pensée et l’agir. Ce « nouveau » référent, repris aux philosophes des lumières et aux marxistes, ne risque pas de faire long feu non plus. Choisir « l’anarchie » au sens que je viens de dire, c’est renoncer à tout commencement qui serve d’appui supposé inébranlable à la pensée. Être un « philosophe anarchiste », c’est avancer dans l’inconnu. 

Je me dois, ici, de signaler une philosophe dont les analyses sont extrêmement proches des miennes, Catherine Malabou. Elle s’apprête à publier un livre, que j’attends avec impatience, qui demandera pourquoi l’essentiel de la philosophie moderne, comme Derrida, Deleuze, Foucault, Schürmann… sont anarchistes « ontologiquement » mais n’ont jamais ouvertement revendiqué d’être anarchistes politiquement. Dans une préface à un livre de Schürmann sur justement l’anarchie (et notamment sur la question « Comment se constituer en sujet anarchique ? » chez Foucault), je pose la même question que Malabou : pourquoi est-ce que Schürmann, probablement sans les avoir lus, tient-il à se démarquer de Proudhon, Bakounine, Kropotkine, etc. ? Car il s’agira ici d’élucider la communauté sémantique qui peut bien exister entre anarchie ontologique et anarchisme politique. Un autre philosophe contemporain qu’on peut ranger dans la catégorie ontologico-politique de l’anarchie est Giorgio Agamben. Tu verras comme tout cela n’est pas anodin.

Les anarchistes historiques (essentiellement au dix-neuvième siècle, des ouvriers) auront donc été des précurseurs : en refusant autant que possible tout principe directeur local, toute coercition circonscrite, comme la police ou le  clergé, ils ont annoncé ce que la philosophie moderne, de Heidegger et Wittgenstein à Schürmann et Derrida, en passant par Deleuze et Foucault, nous a appris : la pensée moderne se heurtait pour la première fois à la question de « l’abîme », du non-sens, de l’absence de fondement au penser, au vivre et à l’agir.

Le troisième grand sens que je donne au mot anarchie est une création personnelle, mais cohérente avec ce qui précède. La philosophie moderne a pour programme, depuis Kant, ce qu’on a appelé la « déconstruction de la métaphysique ». Cette déconstruction fut elle-même passablement « anarchique » : Kant ne déconstruit pas la métaphysique comme le feront Kierkegaard et Schopenhauer, Marx proposera une sortie différente de la métaphysique que tous ceux-là, Nietzsche proposera une sortie de la métaphysique rigoureusement opposée à celle de Marx, Heidegger ne pratiquera pas la même déconstruction que Derrida, et je ne déconstruis pas la métaphysique de la même manière que ne le fait mon maître en la matière, Reiner Schürmann. Ou que Malabou ou Agamben, ou encore Nancy ou Meillassoux.

Or, comme l’a découvert Heidegger, la métaphysique s’accomplit aujourd’hui sous une forme et une seule : la technologie planétaire. Schürmann parlait de « totalitarisme technologique »… je crois qu’il ne croyait pas si bien dire. Depuis un an et demi, nous pouvons constater que l’emprise technologique sans cesse grandissante s’accomplit bel et bien en un totalitarisme de type nouveau, dont ceux du vingtième siècle n’étaient que les précurseurs. Une grande philosophie met toujours quelques siècles pour s’accomplir (j’en donnerai quelques exemples). Si ma définition de la modernité philosophique est juste, à savoir qu’elle est la déconstruction de la métaphysique, alors elle s’accomplira, politiquement, par la déconstruction du Léviathan technologique planétaire qui a pris le pouvoir comme jamais auparavant, au prétexte de ce qu’on appelle la « crise sanitaire ». J’y reviendrai.

Mais ici, il s’agit de souligner l’affinité des trois définitions principales que je donne du mot anarchie : l’anarchisme, au sens de la récusation de tout principe de commandement, de hiérarchie, etc. ; l’anarchie, au sens de l’époque de l’absence de principe unitaire pour conduire la pensée et l’agir ; enfin, l’anarchie au sens de la déconstruction des grandes hégémonies qui nous ont jusqu’ici dominé, dont la dernière en date (la « dictature sanitaire »), dont il faudra donc reparler, car elle jette un éclairage très cru sur ce qu’il faut entendre aujourd’hui par le terme « anarchie ».

– How did you learn about anarchism?

Essentiellement par l’ultra-gauche, c’est-à-dire par les situationnistes, que j’ai lus à seize ans et qui sont toujours restés ma référence principale en matière politique. J’ai ainsi participé au groupe Tiqqun, qui devait devenir le mondialement célèbre « comité invisible » plus tard. Enfin, je suis en ce moment engagé dans le seul mouvement d’opposition politique réel qui existe actuellement en France, les gilets jaunes. Le reste est mascarade « médiatico-parlementaire », comme je le dis depuis vingt ans. Depuis un an et demi, on voit que les régimes occidentaux de démocratie libérale ne sont plus seulement à l’agonie, comme je l’ai annoncé il y a vingt ans dans un livre intitulé La chute de la démocratie médiatico-parlementaire, qui m’a valu beaucoup d’ennemis, mais cliniquement morts. La démocratie bourgeoise telle qu’elle a existé bon an mal an en Occident depuis un peu plus de deux siècles est définitivement dernière nous. La question de savoir pourquoi c’est à l’occasion d’une « crise sanitaire » qu’a été mondialement signé cet avis de décès méritera qu’on s’y arrête.

Au moins la situation est-elle désormais claire : soit nous inventons de nouvelles formes de démocratie, et ici la « tradition » anarchiste et elle seule peut nous être salutaire, soit nous allons subir, pour des décennies, un totalitarisme mondial dont le régime chinois est le prototype : une société de contrôle technologique absolu, où toute forme de dissidence est éliminée. Nous ne sommes pas dans une « crise sanitaire », mais dans une guerre civile mondiale à peine larvée, déclenchée par les oligarchies de tous les pays pour imposer ce qu’on nous annonce depuis longtemps : le « nouvel ordre mondial ». Comme toute hégémonie, ce « nouvel ordre » est destiné à s’effondrer : c’est ça le sens de ce que disait Schürmann. D’ores et déjà, nous voyons que ce « nouvel ordre » ne produit que la terreur, la misère, la mort : le contraire même de l’ordre, c’est-à-dire le chaos. L’« anarchie » au sens vulgaire.

Mais je dirais encore plus volontiers que mon « anarchisme », avant d’être politique, a été essentiellement esthétique. J’ai lu Lovecraft puis Lautréamont à douze ans, et ils ont changé ma vie. Pour moi, ils sont anarchistes. Rimbaud et Verlaine sont anarchistes poétiquement comme ils l’ont été politiquement (participation à la Commune, faite à 80% par des ouvriers anarchistes). Goya et Sade étaient anarchistes avant l’heure. Les impressionnistes étaient anarchistes, comme le seront Dada et les surréalistes. Francis Bacon ou Antoine d’Agata sont anarchistes. Schönberg est l’anarchiste de la musique, mais aussi bien les punks ou les rappeurs. Burroughs ou K.Dick sont des visionnaires du monde qui est le nôtre, et ils étaient clairement anarchistes eux aussi. Et je pourrais allonger la liste à l’infini… tout l’art moderne depuis la Révolution française est spontanément anarchiste, c’est-à-dire qu’il nous montre le chaos du monde anthropologique, au lieu d’en montrer l’Ordre, ce qui fut la fonction de la Propagande de toutes les époques, et tout particulièrement le nôtre (le « nouvel ordre mondial », qui accouche sous nos yeux du plus grand chaos planétaire de tous les temps). La plus grande de ces propagandes, c’est justement la métaphysique elle-même, comme discours destiné à la fois à épeler l’ordre du monde tel qu’il existe déjà, et à prescrire celui qui doit advenir. Je reviendrai aussi sur cette disjonction essentielle, qui est la disjonction, fondamentalement, entre science et politique. 

Tout cela pour dire que je ne suis pas, hélas, un grand militant comme David, mais avant tout un anarchiste « esthétique » (j’ai commencé en écrivant de la littérature, j’a écrit récemment un poème musical sur la situation actuelle…) puis je me suis « découvert », en pratiquant la philosophie, anarchiste ontologiquement. Un de mes livres s’appelle Esthétique du Chaos, ce qui résume bien les choses. A condition d’ajouter : ce que j’entends par « anarchisme ontologique », ce n’est pas du tout que l’être lui-même soit chaotique. Je pense au contraire que l’être comme tel est régi par d’innombrables lois, celles que nous épelle la science. Il n’y a donc pas de chaos au niveau de l’être lui-même. Ma question sans doute centrale en philosophie, c’est : pourquoi est-ce que, à mesure que nous nous approprions les lois de l’être par la science, sommes-nous d’autant plus incapables de trouver des règles de coexistence civiques (c’est ce qu’on appelle  la politique) à peu près viables ? C’est la disjonction entre ces deux régimes de la pensée et de l’agir, la science d’un côté et la politique de l’autre, que j’appelle « chaos ». 

-How does anarchism relate to anthropology? David called himself an anthropologist but got annoyed when he was called an anarchist. He did not belong to any party.

C’est une excellente question ! D’abord, je tiens à dire qu’il y a autant à apprendre des grands anthropologues modernes, selon moi, que des grands philosophes modernes : notamment, en ce qui me concerne, Lévi-Strauss, Jared Diamond ou Graeber, qui m’ont autant appris que les plus grands philosophes de tous les temps.

Que nous ont-ils appris d’essentiel, concernant le « principe d’anarchie » ? Qu’aucune société dite « primitive » (David préférait dire : « libre ») ne fonctionnait comme une autre. Que chacune avait ses règles de coexistence extrêmement singulières, mais qui fonctionnaient. « L’anarchie, c’est l’ordre sans le pouvoir », disait Proudhon. Les sociétés « primitives » nous le démontrent, et c’est le génie de David que d’avoir repéré une jonction essentielle entre anthropologie et anarchisme.

C’est ce qu’a compris David, et la raison peut-être pour laquelle à la fois il assumait l’étiquette d’ »anarchiste », et était embarrassé par elle. La vérité très difficile à saisir, pour nous qui nous considérons comme anarchistes, c’est qu’en réalité nous sommes tous anarchistes sans le savoir. J’y reviendrai bien sûr, mais j’insiste ici sur ce point : les anthropologues nous prouvent que, quand une communauté existe à échelle limitée (quelques centaines ou milliers de personnes), comme toutes les tribus de chasseurs-cueilleurs sans exception, les choses fonctionnent plutôt bien, quoique chaque fois singulièrement, puisqu’aucune société « primitive » ne fonctionne selon les mêmes règles de coexistence multiple, selon la même représentation du monde, etc., que les autres. C’est quand les choses commencent à « grandir » que les ennuis commencent. C’est avec les chefferies que commence la « kleptocratie », nous dit Jared Diamond : kleptocratie qui vient d’atteindre récemment son paroxysme absolu, avec la soi-disant « crise sanitaire ». Plus on va vers la collectivisation, l’universalisation, l’impérialisation, l’étatisation, etc., plus on peut s’attendre à de graves ennuis. Et tel est exactement le moment que nous vivons, au prétexte de la « crise sanitaire », qui a transformé le monde entier en assignation à résidence oppressive, répressive, néo-totalitaire. Sous couvert de « crise sanitaire » mondiale décrétée arbitrairement par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), on a détruit les pauvres, les jeunes, les écoles, l’Université, les arts, la culture, les PME (petites et moyennes entreprises), les classes moyennes, et bien d’autres choses. Les seuls qui soient sortis gagnants de cette « crise » montée de toutes pièces sont les oligarques du monde entier, enrichis de manière obscène grâce à elle, et la République chinoise. Il y a une logique profonde qui anime tout cela, que masquent depuis un an et demi les intenables propagandes médiatico-gouvernementales du monde entier au titre de la « crise sanitaire ».

La kleptocratie que Diamond démontre être née avec les chefferies n’a cessé de s’agrandir depuis le néolithique, voire le paléolithique supérieur, jusqu’à des proportions proprement monstrueuses. L’homme est l’animal voleur : tout commence avec l’invention, au paléolithique supérieur, du stockage, qu’ignorent toutes les autres espèces animales. Le Capital de Marx n’est qu’une annotation historique de l’évolution que suit l’humanité depuis son origine. C’est pourquoi j’ai créé ce concept : le « pléonectique », qui veut dire : avoir-toujours-plus. Les 3000 oligarques qui possèdent désormais le monde (les gouvernements ne sont que leurs marionnettes) ne sont pas satisfaits de tout ce qu’ils possèdent déjà, le « stockage » devenu délire financier illimité : ils veulent désormais posséder nos corps. La soi-disant « pandémie mondiale » décrétée par l’OMS leur sert de prétexte pour faire désormais main basse sur nos organismes, notre santé, notre hygiène de vie. J’y reviendrai bien sûr, car c’est cela qui est en jeu avec la soi-disant « crise sanitaire ».

– Tell us about David Graeber.

Le plus grand anthropologue de sa génération avec Jared Diamond, mais aussi le plus grand penseur anarchiste de sa génération. Je pense simplement que, quand tu me dis qu’il était un peu embarrassé d’être étiqueté anarchiste (tout en le revendiquant ! Nous sommes tous un peu schizophrènes !), c’est qu’il était conscient de ce que j’ai essayé de lui dire, avec mon très mauvais anglais, dans nos entretiens : qu’en réalité l’anarchie, au triple sens où je l’ai défini, était en réalité partout depuis l’origine de l’humanité, qu’on la date au sens large (2.000.000 d’années) ou au sens strict (30 ou 40.000 ans). L’homme est celui qui dérègle, et de plus en plus, les lois de la Nature, en se les appropriant. La chasse, c’est une appropriation des lois de la prédation. L’agriculture, c’est une appropriation des lois de l’efflorescence naturelle. Beaucoup plus tard, les mathématiques seront l’appropriation des lois de l’être lui-même. La physique mathématisée, l’appropriation des lois de tout le monde cosmique au-delà de la minuscule planète terre. La biologie, l’appropriation des lois naturelles extrêmement diverses qui habitent cette même petite planète terre. La physique quantique, c’est l’appropriation des règles qui régissent les particules élémentaires. Etc. Or, aucune des autres espèces parmi les millions qui ont habité et qui continuent à habiter la minuscule planète terre ne s’est montrée susceptible de s’approprier les lois de la Nature et de l’être. L’homme est l’animal appropriateur. L’homme est l’animal pléonectique : avoir toujours plus. Et ça ne se réduit malheureusement pas au compte en banque de ceux qui contrôlent aujourd’hui l’information officielle et la politique mondiale. Ca touche à toutes les dimensions de nos vies.

Tout commence avec la science elle-même : la chasse et l’agriculture (d’ailleurs, quand on dit « chasseur-cueilleur », on ne pose pas la question de savoir pourquoi l’augmentation proto-pléonectique de la prédation qu’est la chasse, ce serait un « Mal », tandis que l’interdiction anti-pléonectique de l’agriculture qu’est la cueillette, c’est un « Bien ». Ce sont des questions qui se poseront très vite à l’humanité, car tout va désormais très vite). Tout commence avec ce que j’appelle donc le pléonectique. Le capitalisme n’est qu’un épiphénomène du pléonectique. Tout, en nous, est volonté d’avoir-plus. Beaucoup (et ce sont les plus criminels) veulent avoir plus d’argent et de pouvoir (pléonasme). D’autres (les moins criminels) veulent avoir plus de savoir ou d’émotions esthétiques. Mais nous sommes tous criminels. L’humanité, censée être depuis la naissance de la métaphysique l’animalité douée de « raison », est la cause de la sixième extinction de masse de l’histoire de la planète, et, virtuellement, de la suppression pure et simple de toute vie sur terre, ce miracle scientifique extraordinaire, qu’aucun scientifique n’est encore en mesure d’expliquer (on appelle ça « l’ajustement fin »). Nous avons d’ores et déjà supprimé 90% de la biosphère. Les américains ont exterminé les « indiens », c’est-à-dire les sociétés de chasseurs-cueilleurs pluralistes qui habitaient le continent qu’ils ont colonisé. Les nazis ont exterminé presque tous les juifs d’Europe. Les Cro-magnons ont commencé par l’extermination des ures et des mammouths.

Aujourd’hui, on nous dit : « un virus va exterminer l’humanité ». La dernière fois qu’on nous a dit ça, c’était les nazis (le « virus juif »), qui ont failli exterminer la terre entière. Et que constatons-nous ? C’est la « politique sanitaire » décidée par un petit nombre de personnes sur la planète entière qui est déjà en train de détruire la vie de centaines de millions de personnes sur terre, c’est-à-dire demain des milliards. 3.500.000 de personnes mortes du « COVID » à ce jour (chiffres très probablement grossis par les autorités publiques, pour les besoins de leur propagande terroriste) ; 150.000.000 de personnes qui sont déjà dans un stade « d’extrême pauvreté » depuis les « politiques sanitaires », c’est-à-dire le confinement mondial. En termes clairs : ces gens sont en train de mourir de faim. Où sont les images dans les médias ? Où sont les articles dans la grande presse? Il n’y en a que pour les lits de réanimation dans les hôpitaux, et pour les pseudo-débats entre « experts » la plupart du temps corrompus. Jamais on n’a assisté, pas même sous le nazisme ou le stalinisme, à une propagande aussi massive, à un lavage de cerveau planétaire. Tout ça pour une grippe un peu virulente, qui tue 0,15% de la population, dont la moyenne a 82 ans, la plupart du temps des gens perclus de comorbidités. Vous mourez à 96 ans d’un cancer terminal, mais avec le COVID ? Vous êtes mort du COVID. Vous mourez à 45 ans d’un accident de mobylette, mais avec le COVID ? Vous êtes mort du COVID. Les chiffres ont donc été volontairement grossis. Jamais je n’aurais cru que la propagande pourrait générer autant de comportements somnambuliques dans la population. Jamais je n’aurais cru assister, de mon vivant, à un totalitarisme qui fera passer, dans la mémoire des hommes (s’il en reste…) le nazisme et le stalinisme pour des jeux d’enfants.

Donc  des milliards d’êtres humains sont en train de voir leurs vies détruites par les politiques « sanitaires » décidées par l’OMS et par Davos. Regardez les vidéos de Véra Sharav sur Internet, une rescapée de la Shoah, qui explique qu’elle n’aurait jamais cru que, de son vivant, elle verrait la même chose que ce qu’elle a vu dans son enfance se reproduire, mais à échelle mondiale. Elle est extrêmement brillante et lucide (elle a été médecin, et a milité toute sa vie contre les magouilles de l’industrie pharmaceutique).

J’avoue avoir mis du temps à m’éveiller à la situation. Lors du premier confinement en France, je me suis réfugié dans une sorte de bulle autistique, je m’informais très peu, je ne comprenais rien à ce qui se passait. Puis à l’issue de ce confinement, ma mère a été retrouvée pendue dans son petit studio parisien. Elle était en parfaite santé, n’avait pas de précédent dépressif, seulement voilà : elle vivait depuis des années sur le fil du rasoir du seuil de pauvreté. Elle arrivait à peine à payer son loyer en tant que gardienne de musée. Elle ne voulait plus être un poids pour personne (mon frère l’aidait tant bien que mal financièrement) et s’est supprimée.

Ma mère n’est qu’un chiffre statistique des milliards de victimes que fait nous nos yeux non pas le « virus », mais la « politique sanitaire » mondiale impulsée par l’OMS et Davos, et appliquée contre toute raison dans la quasi-totalité du monde. Un médecin canadien, qui dénonce par ailleurs les graves effets secondaires produits sur ses patients par le « vaccin », a eu un mot savoureux : le « virus » fait perdre trois sens : l’odeur, le goût, et le bon sens. Une gouvernementalité mondiale folle est parvenue à rendre la majorité de la population terrestre complètement folle aussi. Il faudra examiner de près le lien qui unit la question de la folie à la question de l’anarchie.

La mort de ma mère a été un choc très rude, et j’ai mis six mois à, non pas m’en remettre, mais à simplement à faire en sorte que mon cerveau fonctionne à nouveau. Il n’y a que depuis six mois que je m’informe, que j’essaye d’analyser la situation, que je me pose mille questions. Et ce que je vois est proprement terrifiant. Nous vivons la crise la plus grave, le guerre la plus totale, de l’histoire de l’humanité. Et cette crise n’a rigoureusement rien à voir avec un virus grippal un peu virulent. Il faut être tout simplement aveugle pour ne pas le voir. Mais 80% de l’humanité est devenue complètement aveugle.

-So there are different kinds of anarchism? What is « anarchism from above? »

C’est en abyme : bien sûr que, dans sa définition même, la notion d’anarchisme recouvre la notion de « pluralité », comme le prouvent tous nos grands anthropologues à commencer par David.

Bien sûr qu’il y a un « anarchisme par le haut », et c’est là que les choses deviennent inquiétantes. Quand vous ne disposez plus d’un principe directeur pour dicter le penser et l’agir des êtres humains, alors, vous n’avez plus recours qu’à la force pure. Le mensonge propagandiste de la « crise sanitaire » est en train de se dissiper dans la tête de centaines de millions de personnes. Ce qui se passe derrière, c’est la plus grave crise économique de tous les temps. Je ne me fais plus aucune illusion à ce sujet : nous sommes d’ores et déjà dans la troisième guerre mondiale, peut-être même dans la première guerre civile mondiale de l’histoire de l’humanité. Il va y avoir des milliards de morts. C’est ça, et rien d’autre, qui advient sous nos yeux, sous forme d’une propagande absolument matraquante des médias de masse. 

C’est ça, « l’anarchisme par le haut ». Dans le Salo de Pasolini, les bourreaux disent : « nous sommes les vrais anarchistes ». Je ne cesse de penser à cette phrase depuis que je comprends de quoi retourne cette soi-disant « crise sanitaire ». Celle-ci a servi de prétexte, dans tous les pays occidentaux et au-delà, à supprimer les lois constitutionnelles, l’état de droit, et ce qui restait de la démocratie représentative, à laquelle je ne crois de toute façon plus depuis vingt ans. Mais maintenant, ça avance à visage découvert : nous assistons depuis un an et demi à la prise de pouvoir mondiale d’un fascisme oligarchique de type entièrement nouveau, où les grands médias diffusent la même propagande abrutissante et pleine de contradictions, et où les gouvernements ne sont plus que les marionnettes de cette oligarchie mondialiste, la seule à profiter ouvertement, financièrement et politiquement, de la soi-disant « crise sanitaire ».

Je le dis dans une chanson qu’on peut trouver sur le Net, « Bienvenue » : « bienvenue dans un monde où la nouvelle dictature consiste à changer tous les jours de règles du jeu, afin de nous rendre tous fous. » Bernard Stiegler, peu avant sa mort, avait déjà posé la question : comment, dans la « disruption » capitaliste mondiale et l’emprise sans cesse grandissante de la technologie, ne pas devenir fou ? Les bonnes vieilles dictatures imposaient une loi martiale à tout le monde une bonne fois pour toutes : vous vous y soumettiez ou vous mourriez. Les nouvelles dictatures vont beaucoup plus loin : elles improvisent tous les jours des lois nouvelles, pour vous rendre fous avant que vous ne soyez purement et simplement assassinés. Tel est le sens terrible aujourd’hui dont il faut aussi recouvrir le mot « anarchie ». L’arbitraire de la règle civique, quand le pouvoir est détenu par une infime minorité de l’humanité.

En France comme ailleurs, c’est à quoi nous assistons depuis au moins un an : la constitution est foulée aux pieds et ne vaut plus rien. Il n’y a quasiment plus d’état de droit. Chaque jour, un parlement entièrement corrompu fait passer de nouvelles lois chaque fois encore plus absurdes que celles qui étaient valables la veille : lois dictées par le seul et unique gouvernement, qui lui-même ne fait qu’entériner les caprices d’un président de la république conseillé par un « conseil scientifique » parfaitement opaque, et dont les membres sont perclus de conflits d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique. « Scandale » est un mot très faible pour dénoncer ce qui est en train de se passer.

Qui peut encore sérieusement croire qu’une maladie qui tue, dans le monde entier, 0,14% de la population, pour une moyenne de gens de 82 ans perclus de comorbidités, qui peut encore sérieusement croire que cette soi-disant « pandémie » décidée par l’OMS, massivement financée par Bill Gates et la Chine (Bille Gates a demandé à l’OMS en mars 2020 d’ « étendre » très largement la définition de ce qu’était une « pandémie »…), justifie à ce qu’on tue tous les droits civiques acquis par des siècles de luttes, à ce qu’on assassine les PME, l’hôtellerie et la restauration, à ce qu’on abîme très gravement l’Université, l’école et les hôpitaux (en France, le gouvernement a promis la construction de milliers de nouveaux lits de réanimation, et il en a finalement supprimé des milliers…), à ce qu’on sacrifie non seulement les pauvres et la jeunesse, mais aussi les classes moyennes et les enfants, etc. ? Eh bien, l’hallucinant est qu’une majorité des gens y croit. Il s’agit quasiment d’une nouvelle religion, la religion du « virus », qui fait que, de manière commode, on n’a plus à parler de conflits sociaux, d’économie, de politique et de géopolitique, d’arts et de culture, etc. Il n’y en a plus que pour le « virus ». Mais il suffit d’ouvrir les yeux pour se rendre à l’évidence : ce qui détruit, et en masse, la vie des gens, ce n’est assurément pas cette grippe un peu virulente probablement sortie d’un laboratoire, mais la « politique sanitaire » qui a été un peu partout adoptée pour soi-disant le contrecarrer. Orwell est fréquemment évoqué pour décrire ce qui se passe, et on ne peut que souscrire : les mots, les slogans gouvernementaux et médiatiques, désignent systématiquement le contraire de ce qu’ils signifient. Les mesures les plus malsaines sont présentées comme « sanitaires ». On nous dit : « luttons ensemble contre le virus » pour nous assigner à résidence et nous retourner, avec succès, les uns contre les autres, dans une sorte de paranoïa démocratisée. Le Mal est présenté comme le Bien, et le Bien, comme le Mal. Mike Yeadon, biologiste et ex-vice-directeur du laboratoire pharmaceutique Pfizer, de nationalité anglaise, le dit depuis un an : son gouvernement a menti a la population sur tout. Sur absolument tout. La même chose advient en France, et nos « intellectuels médiatiques » ne mouftent pas; les autres se taisent. Rien de ce que nous a raconté le gouvernement français depuis un an n’était vrai, absolument rien. Il s’est sans cesse renié lui-même, sans cesse fait circuler de fausses informations et prescrit des lois délirantes, et les gens n’ont cessé d’obéir de manière exactement proportionnée. Je le répète : jamais je n’aurais cru pouvoir assister à un tel spectacle de mon vivant, qui dépasse les pires scénarios contenus dans les livres ou films d’horreur et de science-fiction. 

 On prend les gens pour des enfants parce qu’au niveau politique, ce sont des enfants. L’irresponsabilité totale dont font preuve les dirigeants mondiaux reflète l’irresponsabilité de populations débilisées par des décennies d’abrutissement par le « totalitarisme technologique ». qui peut croire que les 3.500.000 morts du « CORONAVIRUS » à ce jour dans le monde justifient qu’on jette 150.000.000 d’êtres humains à ce jour dans la famine, c’est-à-dire, demain, des milliards d’êtres humains ? Les gens meurent des mesures anti-« CORONA », et non pas du « CORONA ». Comme le dit le grand avocat Reiner Fuellmich (qui a fait condamner la Deutshbank et Volswagen) : il s’agit, d’ores et déjà, du plus grand crime contre l’humanité jamais perpétré. Véra Sharav fait rigoureusement le même constat, et à vrai dire des dizaines de millions de personnes dans le monde. Une majorité de gens sont rendus proprement somnambules par la propagande d’Etat, mais, fort heureusement, des gens de plus en plus nombreux se réveillent et prennent conscience de tout l’incroyable carnage social qui a été perpétré au nom de la « crise sanitaire ».

Mais le pouvoir a cru avoir trouvé la parade : tous ce gens sont des « complotistes ». C’est un mot qui désigne exactement aujourd’hui ce que la bourgeoisie française reconnaissait comme « anarchistes » au dix-neuvième siècle, ce que le mot « résistant » désignait dans la France vychiste des années quarante du siècle dernier, ou ce que le mot « dissident » désignait dans les dictatures européennes de l’est dans le même siècle. Pourquoi des dizaines de milliers de médecins en Europe, au risque de perdre leur réputation et parfois leur droit d’exercer, se sont-ils érigés contre ce diktat ? Pourquoi, en face, dans les grands médias et pour entourer nos gouvernements, n’a-t-on que des médecins ultra-corrompus par des conflits d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ? Pourquoi des milliers d’avocats dans le monde, là encore au risque de leur réputation, voire d’être radiés des barreaux, ont-ils lancé la campagne « Nuremberg 2 » pour dénoncer et faire tomber la gigantesque manipulation qui a cours depuis maintenant un an et demi dans le monde ? Mais voilà : lorsque vous dites l’évidence, et que les deux organisations les plus influentes dans cette affaire sont la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum de Davos, vous êtes traité de « complotiste ». Lorsqu’on dit que Billa Gates, fort d’une idéologie eugéniste, hygiéniste et « bioéthique » proprement délirante (et de sucroît, bien sûr, « transhumaniste »), rêve depuis des décennies d’une « pandémie mondiale », et qu’il a quasiment acheté l’OMS à cet effet, vous êtes traité de « complotiste ». Lorsqu’on rappelle que le même rêve, depuis des décennies, à vacciner la terre entière (mais pas ses trois enfants…) sous n’importe quel prétexte, on vous traite de « complotiste ». Lorsqu’on signale que le même a professé publiquement, l’année dernière, que « le vaccin est la solution finale contre le virus », on vous traite de « complotiste ». Lorsque vous dites que ne pas prendre aujourd’hui au sérieux The great Reaset, de Klaus Schwab, le porte-parole de ceux que Reiner Fuellmish surnomme « la clique de Davos », est comme ignorer ou ne pas prendre au sérieux Mein Kampf dans les années vingt ou trente ou quarante du siècle qui a précédé, on vous traite de « complotiste ». Lorsque vous montrez que ces personnes ont de gigantesques réseaux d’influence qui décident de tout (gouvernements, grands médias, GAFAM, OMS…), vous êtes traité de « complotiste ». Vous aurez beau citer des dizaines de milliers de documents sourcés et d’innombrables preuves empiriques à l’appui, vous serez de toute façon toujours tamponné « complotiste ».

Bref : « complotiste », d’après ce que j’en comprends et ce que j’en vois, c’est quelqu’un qui, généralement, a le courage de la vérité. Un « complotiste », c’est généralement quelqu’un d’intègre. Un « complotiste », c’est quelqu’un qui n’a pas peur de risquer sa vie symbolique et biologique pour sauver ce qu’il pense être le bien commun. Un « complotiste », c’est quelqu’un qui dit que le roi est nu.

J’ai écrit, il y a des années, un livre un peu prémonitoire sur un de mes héros, Antonin Artaud, qui s’appelait Artaud et la théorie du complot. Je préfère, quant à moi, parler de « plus grande manipulation de masse de tous les temps » ; mais il est un autre de mes héros qui, lui, n’avait pas peur du mot « complot ». Il s’agit de Guy Debord, dont les Commentaires sur la société du spectacle ont toujours été, pour moi, un « manuel de survie » à chaque phase critique de ma biographie. A chaque fois dans ma vie que j’ai compris que, précisément, c’était ma vie biologique qui était en jeu, j’ai relu ce livre, comme récemment. Je cite ces passages essentiels, écrits il y a déjà trente-cinq ans :

« Autrefois, on ne conspirait jamais que contre un ordre établi. Aujourd’hui, conspirer en sa faveur est un nouveau métier en grand développement. Sous la domination spectaculaire, on conspire pour la maintenir, et pour assurer qu’elle seule pourra appeler sa bonne marche. Cette conspiration fait partie de son fonctionnement même. (…)

Ainsi, mille complots en faveur de l’ordre établi s’enchevêtrent et se combattent un peu partout, avec l’imbrication toujours plus poussée des réeseaux et des questions ou actions secrètes ; et leur processus d’intégration rapide à chaque branche de l’économie, la politique, la culture. La teneur du mélange en observateurs, en désinformateurs, en affaires spéciales, augmente continuellement dans toutes les sphères de la vie sociale. Le complot général étant devenu si dense qu’il s’étale quasi au grand jour, chacune de ses branches peut commencer à gêner ou inquiéter l’autre, car tous ces conspirateurs professionnels en arrivent à s’observer sans savoir exactement pourquoi, ou se rencontrent par hasard, sans pouvoir se reconnaître avec assurance. Qui veut observer qui ? Pour le compte de qui, apparemment ? Mais en réalité ? (…)

Thucydide (…) dit, à propos des opérations d’une autre conspiration oligarchique, quelque chose qui a beaucoup de parenté avec la situation où nous nous trouvons : « qui plus est, ceux qui y prenaient la parole étaient déjà du complot et les discours qu’ils prononçaient avaient été soumis au préalable à l’examen de leurs amis. Aucune opposition ne se manifestait parmi le reste des citoyens, qu’effrayait le nombre des conjurés. Lorsque quelqu’un essayait malgré tout de les contredire, on trouvait un moyen commode le faire mourir. Les meurtriers n’étaient pas recherchés et aucune poursuite n’était engagée contre ceux qu’on soupçonnait. Le peuple ne réagissait pas et les gens étaient tellement terrorisés qu’ils s’estimaient heureux, même en restant muets, d’échapper aux violences. Croyant les conjurés bien plus nombreux qu’ils étaient, ils avaient le sentiment d’une impuissance complète. La ville était trop grande et ils ne se connaissaient pas les uns les autres, pour qu’il leur fût possible de découvrir ce qu’il en était vraiment. Dans ces conditions, si indigné qu’on fût, on ne pouvait confier ses griefs à personne. On devait donc renoncer à engager une action contre les coupables, car il eût fallu pour cela s’adresser soit à un inconnu, soit à une personne de connaissance en qui on n’avait pas confiance. Dans le parti démocratique, les relations personnelles étaient partout empreintes de méfiance et l’on se demandait toujours si celui auquel on avait affaire n’était pas de connivence avec les conjurés. Il y a avait en effet parmi ces derniers des hommes dont on n’aurait jamais cru qu’ils se rallieraient à l’oligarchie.  »

Ces commentaires… se passent de commentaires, tant ils décrivent avec exactitude ce que l’on voit se passer sous nos yeux aujourd’hui. « Le complot est devenu si dense qu’il s’étale quasi au grand jour » : on peut aujourd’hui enlever l’adverbe : il s’étale au grand jour. Au fond, le « complotisme », ce terme inventé par l’Etat pour désigner ses opposants, renvoie à la structure de la lettre volée d’Edgar Poe : le meilleur moyen de dissimuler une preuve judiciaire accablante, c’est de l’étaler au grand jour. La fondation Bill et Melinda Gates ne cache pas qu’elle finance l’OMS et de nombreux médias de masse mondiaux, ni ses accointances « transhumanistes » avec les GAFAM, ni les liens extrêmement amicaux qui lient l’ami Bill aux principaux gouvernants du monde, à commencer par notre misérable président français, ou au président chinois (la Chine est le second bailleur de fonds de l’OMS après la fondation BMG…), ni les conflits d’intérêt faramineux qui le lient aux laboratoires pharmaceutiques : il a avoué dans une interview que rien ne lui a rapporté autant d’argent que cette industrie-là, et pour cause, c’est l’industrie la plus juteuse au monde, au-dessus même de l’industrie immobilière. Cette fondation ne cache pas avoir simulé une pandémie mondiale « CORONAVIRUS », avec la participation du forum de Davos, le 18 octobre 2019, pour aviser aux « moyens d’y remédier » (le confinement mondial, en attendant la « solution finale » du « vaccin »). Le forum de Davos, avec la parution du Great reaset, ne cache en aucune façon, et ce depuis des années, que la démocratie représentative lui devenait embarrassante, et qu’il fallait passer à la « quatrième révolution industrielle », après les trois autres qui ont fait tant de bien à l’humanité : assigner les gens à domicile et ne plus accepter que la « démocratie » de l’Ordinateur et d’Internet. Le « COVID », nous dit Klaus Schwab (c’est-à-dire tous ceux qu’il représente : l’oligarchie mondiale et nos gouvernants) en toutes lettres, est une aubaine : école numérique, Université numérique, « entreprises numériques » donc infédoées aux multinationales, art numérique (« la dernière série de Netflix ! »), amour numérique (les sites de rencontre et le porno), santé numérique. En France, Laurent Alexandre opine docilement du bonnet, bien conscient de la docilité qu’a déjà atteint la population. Oui, Schwab a raison : nous étions déjà dans le « Great Reaset », mais la « crise du COVID », décidée par Bill Gates, a permis de renforcer le processus. Nous avons été pris au piège, et il se refermera implacablement sur nous si nous ne réagissons pas, ici et maintenant.

Voilà, pour résumer de manière très concrète, la différence entre « anarchisme par le haut » – les oligarques multimilliardaires, les grands médias, les gouvernements, les GAFAM – et « anarchisme par le bas » -. J’ai toujours pensé, – je n’entre pas ici dans le détail car c’est trop complexe – que l’anarchisme authentique était un « dépassement par bas ». Le « communisme », par exemple, était un tel « dépassement par le haut » : comme dans toutes les « grandes hégémonies » au sens où en parle Schürmann, le « communisme » aura dit : « oubliez vos expériences individuelles et égoïstes ! Pensez en très grand, pour l’intérêt commun majeur ! » L’anarchiste, tant au sens politique qu’au sens ontologique de Schurmann, rétorquera toujours : « Pour savoir ce qu’est la bien commun, examinez avant tout où se trouve votre intérêt individuel « égoïste », examinez les traits qui constituent votre quotidienneté, rompez avec les injonctions qui vous poussent à vous dépasser « par le haut » ».  

Badiou, Zizek, Rancière, auront mis un poins d’honneur à ne rien comprendre à la « crise du COVID ». Badiou, qui nie la crise écologique et n’a rien voulu comprendre non plus à l’insurrection des gilets jaunes, a même ouvertement avalisé les « mesures sanitaires », jusqu’à blâmer les manifestants contre la loi de réforme retraite en France en tant que dangers pour le restant de la population, lors même que la fameuse « pandémie » n’avait pas encore été déclarée ! Et les gens se demandent encore pourquoi j’ai rompu avec lui… Badiou a passé sa vie à poser à la « résistance » au sens de la période de Vichy en France, en avançant que son père avait été résistant et que donc, en quelque sorte, ça se transmettait génétiquement. Hélas ! Au moment historique où il aurait fallu entrer en résistance radicale, au sens de Vichy, Badiou aura claironné un diagnostic totalement erroné, voire collaborationniste. L’histoire le jugera de manière extrêmement sévère. Ma rupture avec Badiou m’a énormément coûté au niveau social et symbolique, tant il représentait, en grande partie grâce à moi, la « gauche radicale » en France. Je n’ai jamais regretté ma rupture. Et, depuis ce texte désastreux et stupide, je le regrette moins que jamais.

Agamben, lui, a tout de suite compris de quoi il s’agissait, car cela faisait des années qu’il fourbissait les armes contre une telle catastrophe, qu’il ne pouvait imaginer comme telle (il n’y a pas de philosophe-prophète, mais j’y reviendrai). En ce sens, nous sommes dans un nouveau « dévoilement de la vérité », comme aurait dit Heidegger : il y a nombre de philosophes et d’intellectuels dont les thèses apparaissent visiblement comme fausses, du fait que, tout « rebelles » et « critiques » qu’ils soient envers le système, ils aient entériné sa propagande et sa politique proprement criminelle, et de rares philosophes et intellectuels qui sortent grandis de cette crise, du fait d’avoir annoncé de longue date ce qui risquait de se passer, puis d’avoir immédiatement alerté l’opinion sur ce qui était en train d’arriver.

Moi je dis : observez d’abord votre situation « individualiste et égoïste », et jugez ensuite. Les gouvernements vous veulent-ils du bien ? Les grands médias et les GAFAM vous veulent-ils du bien ? Les oligarques vous veulent-ils du bien ? Les industries pharmaceutiques vous veulent-elles du bien (toutes celles qui ont fabriqué des « vaccins » ont été condamnées, du temps où l’état de droit existait, à des peines très lourdes, à commencer par Pfizer) ? Si vous répondez : « oui », c’est que vous avez cessé de penser. Si vous répondez : « non », c’est que vous pouvez encore penser. Je n’aurais jamais cru, de mon vivant, que le pouvoir pourrait atteindre un tel niveau de décervelage des populations. Je n’aurais jamais cru assister, de mon vivant, à la naissance d’un totalitarisme d’une telle envergure. Je me répète, mais on ne répète assez jamais les choses importantes.

On appelle aujourd’hui « complotiste » quelqu’un qui se contente de rapporter des faits, dûment sourcés et vérifiés, et de les mettre en relation les uns avec les autres. Debord l’avait diagnostiqué : ce que la « société du spectacle » détruit en premier lieu, c’est l’aptitude à la simple logique.  Les « anti-complotistes », sont ceux qui écoutent aveuglément les ordres absurdes de nos gouvernements et les informations totalement incohérentes de nos grands médias. Bientôt, sera accusé de « complotiste » quiconque ose mettre deux neurones en contact. Mais les puces électroniques implantées dans nos cerveaux arrivent…

Je citerais ici Wittgenstein : « Ce qui est caché ne nous intéresse pas ». Je suis « complotiste » tendance Debord : là où le « présent perpétuel » de la propagande médiatico-comportementale a détruit toute capacité logique dans les cerveaux de ceux qui reçoivent ce que j’appelle la « désinformation en continu », il s’agit, simplement, de relier les faits les uns aux autres, d’interroger les chiffres, et de dégager, à travers le discours proprement délirant qui nous est tenu en haut lieu depuis un an et demi, de dégager, à point nommé, la logique de tout cela.

– What does it mean Anarchists want to increase intrinsic functioning and decrease extrinsic power. — do you have a story? 

C’est à peine une question pour moi. J’y ai répondu de diverses manières par ce qui précède. La démocratie représentative, quand elle n’est plus appuyée sur un corps législatif stable et un état de droit fonctionnel, ne veut plus rien dire. Soit nous reprenons le pouvoir à un niveau local – comme avec le municipalisme libertaire -, soit nous serons des esclaves planétaires pour des décennies et des décennies. Il y a eu quatre tentatives de prise de pouvoir anarchiste « en grand » : la Commune de Paris, la Révolution espagnole, mai 68, les gilets jaunes. Toutes ont échoué et je reconnais que nous nous retrouvons là face à une aporie. Je suis, depuis longtemps, un anarchiste mélancolique : je pense que l’anarchisme est une excellente solution à échelle locale, mais qu’il n’a rien à dire à échelle globale, contrairement au « communisme » de Badiou et de tant d’autres. La réponse de l’anarchisme aux « globalismes » en tous genre, c’est tout simplement la déconstruction au sens que j’ai précisé plus haut, voire la destruction. Mais cette déconstruction-destruction des grandes instances globalisantes (Etats, « gouvernance mondiale », institutions supranationales, entreprises mondiales, etc.) prendra des siècles à s’accomplir : je ne me fais aucune illusion sur ce point, et l’anarchisme politique ne peut tout au mieux qu’agir locelement dans le monde où nous sommes. Il ne peut que résister à la mondialisation et non pas l’abattre de but en blanc. 

Mais la « crise sanitaire », par son degré d’imposture et de criminalité sans précédent, m’a ouvert les yeux sur ce qui était en jeu. Jusqu’ici, nous étions tous culpabilisés par une sorte de « Surmoi » historique, qui nous disait, en gros : « Vous êtes rebelles, d’accord. Le système démocratico-capitaliste laisse à désirer, d’accord. Mais enfin, c’est toujours mieux que le nazisme ou le stalinisme… » Ce que la « crise sanitaire » a révélé, c’est que ce temps était révolu : ce qui se passe est pire que le nazisme ou le stalinisme, car à échelle mondiale. Le capitalisme n’a plus besoin de démocratie. Bien plus : il a désormais un besoin vital de supprimer la démocratie, et c’est ce qu’il fait depuis un an et demi. Vital, parce que s’il ne l’avait pas fait, c’est lui qui n’aurait pas survécu : la crise économique mondiale serait devenue si visiblement grave que des gens seraient venus demander des comptes à ses principaux responsables. Lesquels ont justement avalisé la « crise sanitaire mondiale »….

Je suis un anarchiste mélancolique. Je suis persuadé que l’anarchisme, littéralement et en tous sens, est la seule politique viable pour l’humanité : au fond, Proudhon est un prophète qu’on commence à peine à découvrir. Mais j’ai bien conscience que l’anarchisme ne peut répondre aux problèmes à l’échelle globale, sauf sur le mode auquel nous assistons en ce moment : le fascisme oligarchique mondialisé, qui détruit les populations au nom de leur « santé ».  C’est vraiment « anarchisme par le haut » – état d’exception mondial perpétué – ou « anarchisme par le bas » – inventer des règles de coexistence civique toujours circonstanciées -.

Je ne pose, au fond, qu’une seule et unique question en philosophie : pourquoi est-ce que l’être humain, d’être le seul animal capable de technologie et de science, c’est-à-dire le seul étant capable de s’approprier les lois de ce qui est, est-il incapable, sauf à échelle locale, de se donner des règles civiques de coexistence à peu près viables ? C’est ce qui éclate au grand jour avec la « crise sanitaire » : jamais nous n’aurons été aussi avancés au niveau de la science et de la technologie – la « techno-science », c’est la science au service du Capital -, et jamais nos régimes politiques n’auront été si précaires et si délirants. Ils ne savent plus comment garder le pouvoir, donc ils terrorisent à grande échelle et exterminent par procuration. Voilà le réel de ce qui se passe aujourd’hui.

Ici il me faut donc saluer le philosophe précurseur de ce qui nous arrive aujourd’hui : Giorgio Agamben. Cela fait trente ans qu’il annonce que la différence entre démocratie et dictature risquait de s’estomper de manière irréparable. Cela fait trente ans qu’il alerte sur les risques du « biopouvoir », c’est-à-dire du moment, expérimenté pour la première fois par les nazis, où la « médecine » devient une politique d’Etat (Véra Sharav dit exactement la même chose). La lucide et loyale Naomi Wolf appelle l’installation actuelle « biofascisme », mais ce qu’Agamben nous a de longue date montré, c’est qu’à partir du moment où une politique devenait biopolitique, vous pouviez être sûr que le fascisme n’était pas bien loin. « Biofascisme » est donc un pléonasme. Cela fait trente ans qu’Agamben nous annonce que l’état d’exception pourrait bien devenir la règle : tout s’est réalisé très au-delà de ses prédictions (la question étant pour moi : l’humanité comme telle n’est-elle pas, dès ses origines, un état d’exception ?). Agamben a beaucoup scandalisé, quand son livre-référent, Homo sacer, est paru, d’avoir tenu que « le paradigme de la biopolitique moderne était le camp de concentration ». Davos et l’OMS décident qu’il faut « confiner » ? Les trois quart de la planète s’exécute ! La vérité est que nous vivons dans le rêve de Gates et de Davos, comme d’autres ont vécu dans le rêve de Hitler et Staline. Et ce rêve est, pour presque tout le monde, un cauchemar éveillé. Et ça risque de n’être que le début, s’il n’y a pas quelque part un soulèvement à grande échelle et même, osons le mot, une révolution.

L’état d’exception mondiale. L’anarchie mondiale. Nous y sommes. Le « nouvel ordre mondial », c’est l’état d’exception permanent : des règles parfaitement arbitraires et chaque jour changeantes de coexistence civique. L’anarchie est à présent au sommet de l’Etat, des Etats. Il faut que les gens se réapproprient l’anarchie et posent leurs propres règles de coexistence civique. C’est ça que j’entends par le mot « pléonectique » : un régime d’appropriation monstrueux qui se solde par un régime d’expropriation monstrueux jamais vu sur terre. Celui-ci n’a fait que se renforcer depuis un an et demi au nom de la « crise sanitaire » : le nombre de milliardaires chinois a explosé pendant la soi-disant « pandémie » redéfinie par Bill Gates, tous les oligarques du monde se sont enrichis sans exception, tandis que des milliards d’êtres humains se sont appauvris. Combien de temps allons-nous continuer comme ça ? De même que Schurmann ne croyait pas si bien dire avec « totalitarisme technologique », je ne croyais pas si bien dire, depuis dix ans que j’ai forgé le concept, avec « pléonectique ». La maladie de l’être humain, de l’animal humain et lui seul, c’est d’avoir toujours plus. Ce qui ont déjà presque tout veulent aller plus loin : posséder nos pensées, posséder nos corps (le « vaccin » !).

-How is it possible to live without a state and without armies? Who will protect us from our enemies? 

Question très complexe, mais il y a plus que des éléments de réponse dans ce qui a précédé. Tu touches là, pour sûr, à mon « anarchisme mélancolique » : à mesure que l’Etat se mondialise, sur un mode para-hégélien, nous nous nous voyons davantage expropriés de notre pouvoir de décision politique.

La réponse simple est, à point nommé, la réponse anarchiste : demandez-vous pourquoi il n’y a ni armée, ni police, ni prisons, ni hôpitaux psychiatriques dans les tribus de chasseurs-cueilleurs. J’ai beaucoup d’affinités avec les « anarcho-primitivistes » sur ce point. Mais, je le répète, je suis un anarchiste mélancolique : je ne crois pas vraiment à une solution immédiate aux problèmes à quoi nous sommes confrontés, car nous sommes allés trop loin dans la totalisation, l’universalisation, la « mondialisation » qui en réalité est en cours depuis les origines strictes de l’humanité, 30.000 ou 40.000 ans. Mais on peut constater une chose : plus on va vers la totalisation, plus c’est l’état d’exception, comme dit Agamben, qui devient la règle : car personne ne sait, surtout pas Bille Gates ou « la clique de Davos », comment « gérer » sept milliards d’êtres humains (avant eux, Hitler ou Staline ont fait le même rêve et ont tout aussi catastrophiquement échoué). Là réside le peu d’espoir qu’il nous reste. J’ai toujours été catastrophiste et négativiste, « collapsologue » avant la lettre, mais, quand on sait ce qui s’est passé à échelle planétaire depuis un an et demi, il y a de quoi être plus désespéré que jamais. Le « seul » espoir qui nous reste, c’est que les classes mondiales dirigeantes « veulent » la guerre civile totale, sans même forcément s’en rendre compte (en voulant le contrôle absolu sur nos vies). Eh bien, s’ils la veulent vraiment, ils l’auront. Mon diagnostic est simple : ils l’ont en réalité déjà. C’est nous contre eux. Si on n’est pas conscient de ça, il est inutile de parler encore de « politique ». Et je suis accablé par le fait que, parmi tant d’intellectuels qui nous ont sans cesse intimidés avec la chanson du « plus jamais ça », – plus jamais de nazisme, de stalinisme-, au moment même où quelque chose de pire est en train de se mettre en place et d’exterminer de manière sournoise sous leurs yeux, eh bien, vous n’avez plus personne. Le silence des intellectuels est assourdissant pendant cette « crise sanitaire ». Ils seront jugés très durement par l’histoire, et c’est bien fait. Ils n’avaient déjà pas compris grand-chose à la « crise de gilets jaunes »…  

Qui va nous protéger de nos ennemis ? Me demandes-tu. Ici je ferais une réponse parfaitement circonstanciée : depuis au moins un an et demi, de façon de plus en plus visible, la question n’est pas : est-ce que la police va nous protéger de l’ennemi de l’extérieur, mais de l’intérieur. En France, les Gilets jaunes sont au courant depuis plus de trois ans : la police ne veut pas notre bien, elle a obéi au Gouvernement et au Président. Elle a traumatisé et mutilé la population de façon à ce que tous y regardent à deux fois avant de se soulever une seconde fois. Que dire de l’armée aujourd’hui partout dans le monde ? que dire de ce qui reste, en Europe par exemple, de l’Etat-nation ? Ce que tu pointes sans le savoir par ta question, c’est quelque chose qui court depuis des années dans les débats politiques, et dont la « crise des gilets jaunes » est le révélateur : ce n’est plus le clivage gauche/droite qui est le plus structurant des débats politiques toutes échelles confondues, mais le clivage souverainisme/mondialisme. Je ne peux ici entrer dans les subtilités infinies qu’induit ce nouveau clivage. Je me contente ici de dire : ça a tout à voir avec la question d’une position anarchiste aujourd’hui en politique. Et, si on traverse les subtilités infinies, la position anarchiste ne peut pas être autre, aujourd’hui, que souverainiste. 

Nous sommes en état de guerre civile généralisée. De quelle armée parle-t-on, de quel pays ? Par exemple, chez vous, aux Etats-Unis, que penserez-vous quand l’armée viendra vous forcer chez vous à vous faire « vacciner » ? Qu’elle vous défend contre vos « ennemis » ? Que ferez-vous si elle vient vous obliger à « vacciner » votre bébé? Souvenez-vous du nazisme : d’abord, les handicapés et les malades mentaux ; ensuite, les juifs ; enfin, le reste de l’humanité pour l’avènement de la race « aryenne ». Aujourd’hui, c’est : d’abord, les « porteurs du COVID » ; plus tard, toute l’humanité, pour l’avènement de la « race » « transhumaniste », ceux qui sont déjà au pouvoir et qui aspirent, de manière délirante, à l’« immortalité ».

Telle fut l’une des promesses de la métaphysique : l’immortalité. Tel est l’un des sens tout à fait concret de la déconstruction de la métaphysique depuis Kant : accepter la finitude. L’endurer. La « pâtir », dirait Schürmann. Il y a eu un débat intéressant, entre ce sujet, entre Jean-Luc Nancy, avec qui je co-dirige la collection « Anarchies », et Agamben. Jean-Luc a opposé à Agamben qu’à la faveur de la « crise sanitaire », nous n’assistions pas tant à l’avènement de l’état d’exception, mais à une nouvelle modalité d’exposition collective à la finitude. Je m’abstiens ici de commenter plus avant cette polémique passionnante entre deux grands philosophes. Je me contenterai de poser une question à Jean-Luc : es-tu bien sûr que cette question de l’exposition à la finitude ressortisse du seul « virus » ? Ou s’agit-il, sous couvert de « virus », de tout autre chose, d’une toute autre modalité d’exposition à la finitude et donc à la mort, qui s’appelle la guerre civile ? En attendant celle-ci, qu’est-ce qui a fait le plus de mal : le « virus », ou la peur du « virus »? Une grippe un peu virulente, ou les politiques mondiales délirantes qui ont été mises en place pour y « remédier »? La réponse, pour quiconque est encore capable de penser, coule de source.

Elle est là, la guerre civile entre « l’anarchie par le haut » et « l’anarchie par le bas ». Il faut au moins créditer les religions monothéistes d’avoir été démocratiques sur ce point : l’immortalité, c’est pour tout le monde, pourvu que vous acceptiez la Loi prescrite par le Livre Sacré. Même le nazisme était plus démocratique que le « transhumanisme », puisqu’il voulait sauver le peuple allemand de tout le reste du monde, qui avant la prise de pouvoir d’Hitler lui faisait effectivement beaucoup de Mal. Solution ? Identifier l’ennemi « de l’intérieur ». Le « juif », qui n’était pas seulement l’agent de la « mauvaise idéologie », mais véritablement un agent infectieux porteur de plein de maladies physiques. Exactement le type de discours que nous avons en ce moment, sic Véra Sharav. Et Hitler a « réussi » à sauver la « nation allemande »… en restructurant l’économie, en refusant les diktats financiers de son époque, en restaurant le plein emploi. Le résultat, on le connaît. Le « troisième Reich millénaire » a duré quinze ans. C’est à cette profondeur-là qu’il faut lire Schurmann, parce que celui-ci savait très bien que Heidegger avait été nazi, mais il a essayé de comprendre pourquoi il l’avait été, et pourquoi il a assez vite compris qu’il avait fait « la plus grosse erreur de sa vie ». Il a répondu plus tard cartes sur tables : « je croyais que le nazisme était une réponse adéquate à la toute-puissance de la technologie ». Et, à la fin de sa vie, Heidegger n’en a pas démordu : « Je ne crois pas que la démocratie soit le meilleur moyen d’administrer la technologie ». Tout ça, c’était des questions, et, en philosophie, il n’y a que des questions. C’est ce qui la différencie de la politique, qui n’a que des solutions. Généralement « finales »… la République de Platon, la somme théologique de Saint Thomas d’Aquin, l’individu génial autonome de Kant, l’Etat universel de Hegel, la dictature du prolétariat de Marx, reprise par Lénine, pour soi-disant abolir l’Etat à niveau universel, le « surhomme » de Nietzsche… Heidegger a compris quelque chose de très important en qualifiant Nietzsche de « dernier métaphysicien ». 

Je marque ici ma solidarité avec Malabou et Agamben, car ils sont les seuls philosophes contemporains qui ont compris tout ce qui était en jeu dans cette affaire. Moi, pendant huit ans, j’ai cru en une « perpétuation de la métaphysique » en la personne d’Alain Badiou. Un jour, j’ai compris que tout cela n’allait nulle part, sauf vers le massacre de masse, qui ne fera jamais sourciller le maoïste Alain Badiou. Ce qui se passe en ce moment, il s’en fout complètement, ses prises de positions publiques le prouvent. Ce qu’il veut, c’est le « communisme » divin, déjà en place et en état de constat avancement depuis 30.000 ou 40.000 ans : la collectivisation planétaire de l’humanité aux moyens de la technologie. Je le soupçonne (Badiou) d’être extrêmement complaisant envers les « transhumanistes », dont il ne touche jamais mot dans ses livres. Je suis sûr que, « l’immortalité » technologiquement assistée, il est pour. Le « surhomme » de la Silicon Valley. Le fait que le monde soit en train de se « chiniser », il serait plutôt pour, puisqu’il l’a défendu publiquement. Peu importe nous a-t-il toujours dit, qu’il y ait des camps de concentration (les logoai chinois) et des camps d’extermination. L’important, c’est l’avancée de l’humanité vers les vérités über alles. J’ai exprimé mon profond désaccord avec cette vision dans Système du Pléonectique, je ne peux y revenir avec toute la profondeur nécessaire ici. J’attends avec gourmandise la prochaine intervention publique de Badiou, après son texte inepte sur la « crise sanitaire » et un an de silence. Il dira : « vaccinez-vous ! ». « Vacciner »… contre qui, contre quoi ? Le « grand » Badiou a posé toute sa vie à l’héroïsme et à la résistance héritée de son père sous Vichy : et, comme Zizek, au moment même où il faut résister, collectivement, à un ennemi beaucoup plus puissant encore que ne le fut le nazisme, il n’y a plus personne. Zizek, presque pareil. Rancière, il porte un masque quand il passe à la télévision. Voilà pour ce que j’appelle depuis dix ans le « gauchisme universitaire ». Ils ne voient pas ce qui est en jeu avec l’état d’exception mondial qui a été mis en place depuis un an. Et, ce qui se passe, c’est qu’il y a un tel désespoir au sujet de l’Universel positif que les détenteurs du monde n’ont plus qu’une chose à dire : « vaccinez ! ». C’est le nouvel universel, qui demain sera remplacé par un autre. « Anarchie par le haut ». 

Je mets le verbe « vacciner » entre guillemets car ces « vaccins » n’ont suivi aucun des protocoles sanitaires et de pharmacoviligance usuels courants pour être utilisés. Là encore, état d’exception délirant. Les contrats signés avec les industries pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Astrazeneca, etc. – sont à moitié opaques au grand public et, pour le peu qu’on peut en lire, se déchargent de toute responsabilité en cas d’effets secondaires plus ou moins graves. Ce sont les Etats qui devront en répondre, d’où le peu d’empressement de ceux-ci à faire état, c’est le cas de le dire, des effets secondaires plus ou moins graves liés à ces soi-disant « vaccins », qui sont en réalité des thérapies géniques expérimentales. Là encore, c’est lettre volée sur table : ceux qui sont « vaccinés » sont dans la phase d’expérimentation dite de « phase 3″, c’est-à-dire qu’ils sont tous des cobayes. Comment peut-on accepter de se faire « soigner » quand on dispose de si peu de garanties, c’est-à-dire aucune ? Mais l’hypnose médiatique a atteint des sommets de sophistication qui font passer les totalitarismes du vingtième siècle pour des amateurs. C’est-à-dire : pour des précurseurs. Comme je l’ai dit dans un texte pour les gilets jaunes : « les totalitarismes n’étaient pas un accident ». Goebbels était le grand précurseur de tout ce qui est en train de se passer. « Plus c’est gros, plus ça marche ». Il y a une histoire avec Goebbels que je tiens à raconter, avec le grand cinéaste Fritz Lang (qui définissait Goebbels comme « very clever »). Goebbels invite Fritz Lang pour lui dire que le Führer, adorant de manière générale le cinéma, considérait Lang comme le plus grand cinéaste vivant, et qu’il voulait qu’il soit le cinéaste officiel du régime nazi. Lang répond : « Il y a un petit problème ici : je suis juif. » Goebbels rétorque : « Nous décidons de qui est juif et de qui ne l’est pas. » Et la question qu’en ce moment je pose à tout le monde, c’est : qui décide de ce qu’est une pandémie et de ce qui ne l’est pas ?

Toujours « l’anarchie » au triple sens que j’entendais plus haut : il n’y a plus de règles arrêtées, et surtout pas « sanitaires » (les règles « sanitaires » qu’on prescrit depuis plus d’un an et demi à échelle mondiale sont les plus malsaines de toute l’histoire de l’humanité). Comment peut-on leur faire confiance ? C’est comme si vous achetiez une voiture en signant un contrat qui vous stipule que le volant n’est pas sûr, que la pédale de frein n’est pas sûre, que le moteur n’est pas sûr. Acheteriez-vous cette voiture ? C’est pourtant ce que des centaines de millions de gens font, totalement abrutis par la propagande d’Etat incessante. « Je veux être libre, donc je me vaccine ! ». « Je veux êtres libre, donc j’accepte le passeport vaccinal qui me tracera partout et fera que le pouvoir saura tout de moi ! » Agamben avait raison : à partir du moment où la « médecine » s’invite dans les débats politiques et prétend prendre les rênes pour le bien commun, vous pouvez être sûr que le fascisme n’est pas bien loin. 

On marche sur la tête. Voilà pour « l’anarchie par le haut » : vous ne l’avez pas seulement au niveau de Gates et Davos, pas seulement au niveau des gouvernements, mais au niveau des industries pharmaceutiques, et ce depuis longtemps. Sauf que, désormais, tous ce gens marchent ouvertement la main dans la main. « L’anarchie couronnée », disait Artaud à propos d’Héliogabale. Le plus souvent, je suis totalement désespéré par ce à quoi j’assiste. Il va falloir un sérieux réveil de nos populations, sans quoi nous entrerons dans la période la plus sombre de toute notre histoire. Et je suis d’ores et déjà persuadé que les atrocités qui ont rempli l’histoire du vingtième siècle étaient des jeux d’enfant par rapport à ce qui nous attend dans celui-ci, tant au niveau des guerres que de la torture, tant au niveau de la santé que des inégalités sociales, tant au niveau du développement des techniques de contrôle que des chaos civiques sans nom qu’ils produiront.

C’est ce fascisme oligarchique qui a imposé cet état planétaire d’exception, où on ne sait pas qui est l’ami ou l’ennemi. C’est pire que l’Etat d’exception fasciste théorisé par le nazi Carl Shmidt, où l’ami et l’ennemi sont clairement définis (le juif, l’étranger, le communiste, le bourgeois…). C’est la guerre civile larvaire, entre « vaccinés » et anti-« vaccins », entre pass-sanitaire et non-pass sanitaire… on essaie de créer un apartheid mondial. Les Etats-Nations se disloquent tous de l’intérieur. Et, quand un Etat se disloque de l’intérieur – en d’autres termes : la guerre civile – la seule question que doit se poser une armée est : sommes-nous du côté du peuple ? Ou des irresponsables qui le gouvernent ?

Donc je réponds, pour finir, à ta question, de manière parfaitement circonstanciée au moment précis où nous parlons : en France, des rumeurs persistantes parlent d’une volonté de coup d’Etat par l’armée contre l’atroce Marcon. Eh bien, tu veux que je te dise ? Je pense que ce serait une bonne chose. Je préfère vivre dans une dictature militaire « à l’ancienne », avec un minimum de règles civiques stables, que dans le fascisme oligarchique psychopathe de la Silicone Valley ou de Davos, qui retournent les peuples contre eux-mêmes et essaient de les rendre fous en dictant aux gouvernements, chaque jour, de nouvelles règles du jeu. En Australie, on va en prison sans procès si on ne porte pas le masque à l’extérieur, ou si on le porte pas correctement. Aux Philippines, c’est une balle dans la tête sans sommation pour le même délit. Alors qu’il est prouvé que le masque en extérieur ne sert rigoureusement à rien. En France, ça fait six mois qu’on le sait, mais l’Etat ne fait rigoureusement rien. Bon, la moitié des gens, dont moi, s’en foutent, du masque à l’extérieur, et ne le portent pas… c’est un timide début…

Ce qui arrive est terrible. Terrible. Le monde est devenu totalement fou. Tout ce que je peux faire, en tant que penseur, c’est donner les outils pour comprendre ce qui nous arrive. Et force m’est de constater que, sur bien des points, mon Système du pléonectique était prémonitoire… Par exemple, je parle, à un moment, du “quatrième Reich transhumaniste ». Je plaisantais à moitié, je n’arrivais pas à y croire. Et, désormais, ça se déroule sous nos yeux… je n’en peux plus d’avoir même autour de moi des gens censément cultivés, intelligents, ayant une connaissance minimale de l’histoire, ne pas se rendre à l’évidence : nous assistons à la tentative d’imposition de la plus grande tyrannie de toute notre histoire, ce qui n’est évidemment pas peu dire. Il n’y qu’un philosophe vivant, à ma connaissance, qui soit en accord avec moi sur ce point précis : il s’appelle Pierre-Henri Castel et il prévoit, comme moi, de nouvelles formes du Mal qui relégueront celles qui ont existé jusqu’ici au rang d’enfantillages.

– If we abolish prisons, will we be attacked by criminals?

Mais ne sommes-nous pas déjà en prison depuis plus d’un an ? Sous « liberté conditionnelle », expression dont on pourrait facilement montrer qu’elle est un pléonasme : je renvoie à ce que j’en ai dit dans notre livre avec David et, pour aller plus en profondeur dans la nature du problème, à mon Système du pléonectique, à l’entrée éponyme. Comme dit David : « tout commence par le fouet ». On pourrait ajouter : la liberté commence par la capacité à asservir et emprisonner. C’est ça la définition de la liberté depuis Kant : la capacité à poser des règles qui ne sont pas dans la nature. La liberté a donc une définition d’abord négative, à partir de laquelle seulement on peut parler de « liberté positive », de liberté au sens où on l’entend communément. Je développe cela longuement dans mon travail. Tout commence par les prisons de toutes sortes, comme l’habillage (aucune espèce animale n’éprouve le besoin de se vêtir, ce n’est par excellence pas une loi inscrite dans la nature), le travail, les impôts et les factures… la liberté positive, c’est la marge étroite laissée entre les mailles de ce filet législatif où, nous humains, nous nous sommes pris nous-mêmes pour coexister civiquement sans trop de dégâts. Mais souvent, comme aujourd’hui, la peine appert comme perdue, et c’est la guerre civile qui gagne à nouveau. La liberté, c’est d’abord le fouet, c’est d’abord la prison, c’est d’abord ces règles non-naturelles que nous nous imposons à nous-mêmes.

Mais je ne vais pas jouer au plus fin et prendrai le mot « prison » au sens strict du terme. J’ai, d’une certaine façon, répondu plus haut : il n’y a pas de prisons dans les sociétés par ailleurs si diverses des chasseurs-cueilleurs. Maintenant demande-toi ce qui se passerait si les drogues étaient légalisées. Eh bien, tu dépeuplerait les prisons de 80% de ses effectifs!

C’est la question fondamentale, dans mon travail, du jeu de la transgression et la législation. C’est trop complexe pour que j’entre ici dans le sujet comme il faudrait. J’appelle ça le « transcendantal législatif-transgressif ». A savoir que nous, animaux humains, et nous seuls, sommes constamment pris dans des jeux sans cesse changeants de transgressions et de législations. S’il fallait que j’applique cette méthode transcendantale à la seule « crise sanitaire » sur la base de tout ce que je sais, j’écrirais un livre d’au moins dix mille pages. J’essaie, à la faveur des questions que tu me poses, d’aller à l’essentiel. Regarde ce que font nos gouvernements. Transgression des règles de la constitution. Transgression de toutes les règles de la démocratie. Des milliers de brevets falsifiés. Des contrats pharmacologiques violant toutes les lois de l’éthique médicale et de la parmacovigilance jusqu’ici admises, à commencer par le code de Nuremberg. « L’anarchie par le haut ». « Nous sommes les vrais anarchistes. » Port du masque à l’extérieur. « Distanciation sociale ». Pas de réunions à plus de six personnes. En France, l’Académie de médecine, qui veut désormais rendre le « vaccin » obligatoire, a conseillé, pendant les repas, de remettre son masque après chaque bouchée, ce qui revient à rendre les gens totalement fous. La même « Académie » de charlatans stipendiés a conseillé aux gens de ne pas parler dans le métro, derrière leurs masques (ils risqueraient, sacrilège! de s’informer un peu à contre-courant médiatico-politico-académique….). Au Canada, pays aux taux de mortalité au « COVID » ridicule, les équivalents des cette « Académie » ont prescrit aux gens de faire l’amour avec masque.  On voit des gens mettre le masque tout seuls dans leur voiture (se poser une règle). On nage en pleine démence. 

Bon, la prison. Je me contente de redire ce que j’ai dit plus haut : pourquoi l’homme, d’être l’animal susceptible de science, est-il de plus en plus incapable d’instaurer, à échelle mondiale, des règles de coexistence civique pérennes ? Pourquoi les « vaccins » improvisés de Pfizer, Moderna, Astrazeneca, etc., sont-ils par un putsh parlementaire déclarés « légaux » – et même bientôt obligatoires – alors que la marijuana ne l’est pas ? Où sont les pires criminels ? En prison, ou au sommet de l’Etat ? C’est un problème vieux comme l’humanité. Comme disait Deleuze, la philosophie est l’art de bien poser les questions, et non pas d’apporter des réponses péremptoires. Sur l’armée, la police, la prison, etc., je n’ai aucune réponse « solutionniste » à apporter à tes questions. Mais j’ai une manière inédite, qui s’appelle philosophie, de reformuler la question : de bien la poser.

Et la question, ici, est à la fois immémoriale et relativement inédite. Pourquoi est-ce que l’animal susceptible de virtuosité technologique et de science est-il aussi l’animal obligé de se poser des lois de coexistence civique qui ne sont pas dictées par la nature, comme les autres animaux ? C’est ça la définition de la liberté depuis Kant : je me pose une règle qui n’existe pas dans la nature. Mais Kant n’a pas vu que cette règle ne venait jamais entièrement « de moi-même ». Elle vient toujours d’un Autre qui me l’impose : s’habiller, par exemple. Ca devient, comme on dit si bien, une « seconde nature », où je m’impose quotidiennement de me vêtir avant de sortir dehors (sans quoi je finirais… en prison !). Ici j’aimerais tant que David soit encore là, car je lui demanderais, lui qui s’y connaît tellement mieux que moi : mais, même dans n’importe quelle tribu de chasseurs-cueilleurs, n’y a-t-il pas des règles de coexistence qu’on s’impose en commun que tout le monde accepte sans être menacé d’aller dans une prison qui n’existe pas ? Ce consensus est-il créé par le fait que ces sociétés vivent plus à proximité de la Nature que nous, et doivent donc d’abord aviser aux règles de leur survie ? Que pouvons-nous, aujourd’hui, retirer pour nous de ces innombrables expériences de coexistence civique positive ?

La question concrète, aujourd’hui, est : comment avons-nous pu accepter si passivement des règles aussi absurdes que celles qui nous sont imposées depuis plus d’un an ? Comment vous, new-yorkais, pouvez-vous accepter le « confinement », dont toutes les études sérieuses ont démontré qu’il ne servait rigoureusement à rien au niveau épidémiologique, alors que New York est depuis si longtemps l’une des plus grandes villes des libertés positives ?

En 1927,la justice américaine condamnait à la peine de mort,Nicola Sacco et Bartoléo Vanzetti pour des considérations plus politiques que judiciaires.

 

Tout ceci, paradoxalement, pourrait s’avérer une chance tout à fait inouïe pour la renaissance à échelle mondiale de l’anarchisme politique. Car la leçon de la « crise du Covid » est tout de même très claire : les gouvernements ne nous veulent pas du bien. Les Etats ne nous veulent pas du bien. La mondialisation ne nous veut pas du bien. Les grands médias ne nous veulent pas du bien. Les démocraties représentatives ne nous veulent pas du bien. Les organisations internationales, comme l’OMS, ne nous veulent pas du bien. Tout ce qui pourra déconstruire ou détruire ces grandes entités ira dans le bon sens. Nous n’avons, de toute façon, plus le choix. Toutes ces macro-organisations ont démontré, par les trésors de coercitions, de manipulations et de propagande qu’elles ont déployé depuis un an et demi, qu’elles étaient là pour nous faire le plus de Mal possible. Dans des pays comme le Pérou, la Colombie, le Chili ou les Philippines, la situation est d’ores et déjà politiquement atroce, et ce sera partout pareil si les peuples ne réagissent pas. 

A ce sujet Agamben parle depuis quelques temps de « capitalo-communisme », à la chinoise. Le diagnostic me paraît tout à fait juste. Nous aurons le pire du capitalisme (le maximum de pouvoirs et de richesses concentré dans le minimum de mains) et le pire du communisme (l’aliénation totale de nos libertés individuelles et collectives positives). Donc, quelque part, ce cataclysme planétaire est une “bonne” nouvelle pour l’anarchisme politique, en ce qu’il appert raisonnablement comme la seule alternative possible au système terrifiant qui est en train de se mettre en place. En France, les gilets jaunes, la plupart du temps (mais pas toujours) sans s’en rendre compte, sont les héritiers directs de l’anarchisme. L’espoir, chez nous, viendra de là. Ce n’est pas un hasard si l’écrasante majorité des gilets jaunes ont très vite compris ce qui était en jeu sous couvert de « crise sanitaire », lors même que l’extrême-gauche classique dans son écrasante majorité, pour ne rien dire de la gauche parlementaire (je l’appelle « la France soi-disant insoumise »), a complètement embrayé sur la Grande Terreur propagée par la propagande médiatico-gouvernementale.

– We were told in school that political parties and elections are the foundation of our democracy, and democracy is the foundation of prosperity and freedom. What is this story about when anarchists reject the state? With the polite excuse that he is from New York, David never voted. New Yorkers always elect Democrats anyway.

Eh bien, je t’ai déjà en grande partie répondu. Le mythe de la démocratie libérale et représentative est définitivement mort avec la « crise sanitaire », – qui est la plus grande opération de manipulation politique de tous les temps -. Nous étions nombreux à nous douter que quelque chose n’allait pas avec ce modèle – celui de la démocratie représentative libérale -. Au moins les choses sont aujourd’hui claires : il n’y a plus de « démocraties », nulle part, il n’y qu’une oligarchie mondialiste qui tire toutes les ficelles des gouvernements et des médias. C’est ce que j’appelle le « stade terminal du pléonectique » : quand une poignée d’êtres humains, en plus de posséder des comptes en banques chiffrés en centaines de milliards d’eurodollars, veut encore s’approprier non seulement les esprits, mais les corps du restant de l’humanité. Nous assisterons à l’imposition d’un nouvel esclavagisme si nous ne réagissons pas. 

Je suis comme David, je n’ai jamais voté. « Élections, piège à cons », disait-on en France en mai 68 [1]. Quant aux « démocrates » américains, je préfère m’abstenir de dire ce que j’en pense.

-What might political life look like for a collection of singular people?

A l’anarchisme tel qu’il a toujours existé ! Je pense tous les jours à jeter mon ordinateur et mon smartphone, et à aller vivre dans une ZAD : à fuir le totalitarisme oligarcho-technologique chaque jour grandissant. Pense aux kibboutzs… Je souffre beaucoup de ma solitude, mais l’avantage de cette soi-disant « crise sanitaire », c’est que les gens recommencent à se parler à échelle locale pour résister au totalitarisme inédit qui s’est mis en place. Je vis dans un village et, pour la première fois, je parle à pas mal de mes voisins. Nous songeons à aller envahir la mairie. Municipalisme libertaire… Il y a beaucoup de moyens d’action. Les gilets jaunes sont très actifs en ce moment, et très souvent efficaces, mais les grands médias, bien sûr, n’en parlent jamais… parce que leurs actions sont très souvent dirigées contre les grands médias! Et leurs mensonges gros comme des maisons.

La question de la singularité, qui est au cœur de mon travail philosophique, est trop complexe pour que je l’aborde ici comme il faudrait. Je me contenterai de quelques grandes lignes : comme le disait Schopenhauer (le plus grand nom, à mon avis, de réelle « sortie de la métaphysique »), seul l’être humain s’individue, l’animal ne fait que se caractériser. Qu’est-ce que ça veut dire ? Dans mon vocabulaire, « singulier » signifie exactement ce que veut dire Schopenhauer par « individuation » (et, plus tard, Simondon, qui verra très bien que « l’individuation » n’existe que pour l’animal capturé par le dispositif technologique, à savoir nous).

Que faire à l’époque de l’avènement du techno-oligarchisme mondial devenu fou ? Résister, autant que possible, aux règles sans cesse changeantes qu’il nous impose. Imposer ses propres règles de coexistence civique qui échappent au « modèle » dominante, qui n’a même plus de modèle mais des stratégies de modélisation toujours plus poussée de l’ingéniérie sociale. Créer des tribus, des villages, faire la fête, faire communauté. Ne pas avoir peur de mourir pour la liberté. « La liberté ou la mort », « la révolution ou la mort » : tous ces vieux slogans anarchistes sont redevenus pleinement d’actualité. Je préfère mourir libre que vivre en esclave, surveillé dans le moindre de mes faits et gestes, empêché dans mes déplacements et mes rencontres, « vacciné » contre mon gré, et bientôt directement déshumanisé par une puce électronique sous-cutanée. Je préfère mourir dans la vérité que vivre dans le mensonge.

Et, si on ne peut plus rien faire de tout ça (sortir, se déplacer, rencontrer autrui : vivre, tout simplement) : écrire, comme je fais en ce moment. Foucault décrivait déjà très précisément comment l’écriture pouvait se constituer en « création de soi » dans la marge de manœuvre étroite que, déjà, son époque laissait au sujet constitué par les dispositifs de savoir/pouvoir. Il n’avait pas vu notre époque…

Pour l’instant, je fais d’ores et déjà partie de ceux dont le fascisme oligarchique mondial a décidé qu’ils seraient du mauvais côté de l’apartheid planétaire qu’ils veulent mettre en place. De ceux que les transhumanistes appellent les « inutiles ». Si le « vaccin » devient obligatoire, je n’aurai plus le droit de sortir de chez moi. Je vais voir, à Paris, la semaine prochaine, des gilets jaunes très radicaux pour réfléchir à des moyens d’action. Donc je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant sur « l’action collective », au-delà des vagues indications que j’ai posées… Dans une vidéo que j’ai faite sur la situation, j’ai comparé l’état actuel de la France à un « Vichy biopolitique ». Eh bien, il va sans aucun doute falloir aviser à des moyens de résistance comparables à ceux employés pendant la période de l’occupation nazie en France. Je n’en dirai pas plus.

Une chose est sûre : nous sommes dans la guerre totale. La marge de manœuvre que nous laisse le néofascisme oligarchique mondial est très étroite. L’ennemi n’est pas trop difficile à définir. Ce qui est difficile, c’est de traverser la division délirante que le système a introduit au sein des peuples eux-mêmes « COVID »-croyants et « COVID »-sceptiques, « vaccinés » et non-« vaccinés », pro-masques et anti-masques, pro-distanciation sociale et anti-… Là encore, il y a des stratégies concrètes à mettre en place. Là encore, je n’en dirai pas beaucoup plus. Tout ne peut pas être étalé sur la place publique. Je n’ai pas peur d’entrer dans la clandestinité s’il le faut.

Mais, en somme : tout ce que vous pouvez faire pour détruire l’installation de ce totalitarisme mondial, faites-le.  Le mensonge, la manipulation, le chantage, la corruption ont atteint un point critique de non-retour avec la soi-disant « crise sanitaire ». Chacun, de là où il est, doit faire tout son possible avec ce qu’il a. Nous avons face à nous des pouvoirs qui agissent hors de tout cadre légal et juridique préexistant. A chacun d’en tirer les conclusions qui s’imposent. 

– Talk about God and how anarchism relates to metaphysics. 

Ah, j’ai bien senti dans nos entretiens avec David et Assia que cette question vous « titillait » !  Eh bien, j’ai publié il y a quelques années un livre qui s’appelait « Dieu », et qui soutenait que le vrai signifié du signifiant « Dieu », depuis qu’on l’utilise (surtout dans sa guise monothéiste), c’était la technologie. Presque personne n’a parlé de ce livre, et pourtant tous les théoriciens transhumanistes ont repris depuis cette idée ! Ai-je déjà une puce dans le cerveau ? Les Maîtres du monde sont-ils au courant de tout ce que je pense depuis des années ? Étions-nous déjà dans un fascisme planétaire dont la « crise sanitaire » ne sert qu’à renforcer de plusieurs crans l’emprise ?

« Dieu » désigne, depuis l’invention de son concept, une entité omnisciente, omnipotente, immortelle.  Or, la technologie contemporaine satisfait à tous les réquisits par lesquels on définit le mot « Dieu ». Sur ce point, les oligarques transhumanistes sont dans une ambivalence : oui, Dieu, c’est la technologie. Or, nous contrôlons la technologie. Donc, « nous » sommes Dieu. Mais nous ne pouvons pas tous être « Dieu ». Donc : nous sommes « des » dieux (paganisme plutôt que monothéisme : cyborg). La technologie va nous permettre d’être immortels demain. Donc il faut trier, et drastiquement : entre ceux qui ont « droit » à l’immortalité, qui sont comme par hasard ceux qui détiennent déjà les richesses, le pouvoir et l’information de masse (le pléonectique en un mot), et ceux qui n’ont « droit » qu’à la mortalité : nous tous (« nous sommes les 99% » était un slogan prophétique, mais au sens cette fois de Véra Sharav…).

Je suis du côté de ceux qui ont « droit » à la mortalité. C’est ce que j’aurais à répondre à Jean-Luc, Nancy du nom, sur la crise que nous traversons (qui n’a de « sanitaire » que le nom de propagande). Je développerai tout ça dans un livre plus fouillé à l’avenir, ici je te réponds en catastrophe, je vide mon sac trop plein d’informations, un peu en vrac. Blanchot parlait de « la littérature et le droit à la mort ». Et nous devons désormais faire de ce droit un devoir. Le grand philosophe David Bowie me disait il y a des années : « faites quelque chose de votre mort. Ne la laissez pas traîner dans un coin. Moi, j’enregistrerai ma mort. » Et il l’a enregistrée, c’est son dernier disque… David était déjà un anti-transhumaniste convaincu. « David », nom du roi d’Israël, est un prénom qui porte bonheur !

Dieu, c’est l’information. L’être humain est un big-bang informationnel et cognitif sans équivalent dans le restant du règne vivant. Aucun animal n’a de « connaissance » qui dépasse celle de la symbiose de ses sens avec son milieu. Kant et Schopenhauer disaient : ils ont de l’entendement (la « connaissance » des liens causaux qui les entourent), mais pas de raison. La raison est ce qui dépasse le milieu symbiotique immédiat. Aucune espèce animale ne sait qu’elle habite sur une planète qui s’appelle la terre. Un tigre du Bengale est inconscient de l’existence d’un tigre en Afrique. Une fourmilière est inconsciente de la fourmilière qui existe à un kilomètre de distance d’elle. Seul l’animal humain, par la science, sait qu’il habite une planète miraculeuse située dans une infinité cosmique de non-vie ; qu’il fait partie d’une espèce animale commune qui s’étend à la planète entière (c’est pourquoi je suis néo-humaniste et anti-anti-spéciste) ; qu’il a sept milliards de congénères…

Dieu, c’est cette extraordinaire explosion d’informations qui circulent à travers nos consciences, mais que seule la technologie peut stocker dans son entièreté en permanente expansion. Aucune conscience individuelle n’est aussi peu que ce soit à la mesure de toutes les connaissances qu’il y aurait à engranger. Et c’est ce que croient avoir « compris » les transhumanistes : si nous parvenions à « augmenter » la conscience par la technologie, alors nous pourrions accoucher de véritables dieux « incarnés ». Je montrerai ailleurs comme il s’agit d’un sophisme. 

La question qui se pose en ce moment, depuis un an et demi, est quasi-théologique, au sens des gnostiques. L’information, comme chacun sait, est en guerre. Le véritable « virus » n’est pas la grippe virulente qui sert à terroriser toutes les populations, mais l’information frelatée que font circuler les médias de masse et les gouvernements à ce sujet. Oui, la question est quasi-théologique. Au sens d’un démiurge mauvais qui nous dissimulerait le « vrai » Dieu plein de bonté et de vérité. Depuis un an et demi, c’est le mensonge, la manipulation éhontée et le Mal qui se sont emparés de l’écrasante majorité de l’information. Là est le vrai « virus » : celui de la falsification et de la Terreur de masse.

C’est une question très complexe, que je pose dans mon travail : et si le mensonge était plus originaire que la vérité ? Je m’explique : pour manipuler les autres animaux et la nature, dès l’invention de la chasse et de l’agriculture, nous avons dû apprendre à être les animaux menteurs, pour prendre les ures ou les mammouths à nos pièges diaboliques. Telle est la question : et si la folie était plus originaire que la Raison glorifiée par la tradition métaphysique ? Je vais bientôt écrire un livre là-dessus. Si nous voyions un chimpanzé frotter deux silex, nous serions terrifiés et serions tentés de l’abattre. Nous le considérerions comme « fou ». En ce sens, oui, la folie est plus originaire que la Raison glorifiée par la métaphysique. Et la folie n’est pas l’Autre de la Raison, mais, en un sens bien précis, elle est au cœur de la raison elle-même : dans l’acte insensé par lequel l’animal humain a, comme on dit, dépassé sa condition par l’invention de la Science. Nous savons au fond de nous-mêmes ce que dit l’Ancien Testament : que la technologie et la science sont des cadeaux empoisonnés. Si nous voyions une autre espèce que la nôtre se rendre capable de ce que j’appelle la « virtuosité techno-mimétique », nous considérerions, à juste titre, cette espèce comme extrêmement dangereuse. Au fond, nous ne sommes pas dupes de nous-mêmes. 

Pareil avec le partage du mensonge et de la vérité. En un sens, l’animal humain a inventé la science grâce à sa capacité à leurrer des animaux mille fois plus puissants que lui, donc grâce au mensonge. On pourrait facilement prouver qu’il en va de même avec la sexualité : l’homme est le seul mammifère à être capable de manipuler de bout en bout sa sexualité. Tout commence à vrai dire par la manipulation : par l’aptitude à s’approprier les lois de la nature pour en faire un usage détourné, perverti : ce que j’appelle donc le pléonectique.

Heidegger a réinventé la notion même de vérité en revisitant la notion grecque de l’alétheia : c’est-à-dire que la vérité est toujours un mélange inextricable de voilement et de dévoilement, c’est-à-dire de vérité et de mensonge. Schürmann parlera de « la conflictualité sans accord qu’est la vérité ». Lacan dira que « rien n’est incompatible avec la vérité : on crache dedans, on pisse dedans ». Badiou parlera de la vérité comme d’une entité incorporelle, indiscernable et infinie : la « somme » de tous les énoncés qui peuvent se tenir de véridique et de faux sur une situation donnée. Ce qui veut dire : il faut distinguer rigoureusement la question de la vérité de celle du savoir. Badiou crédite Heidegger d’avoir été le premier à distinguer les deux. Mais, en réalité, vous trouvez cette distinction énoncée très nettement dans le Thétèète de Platon. Socrate, dans ce dialogue, dit à son interlocuteur : tout citoyen athénien a un savoir. Le mathématicien a un savoir, le médecin a un savoir, le cordonnier a un savoir. Il ajoute : moi, ce qui m’intéresse, ce n’est pas tant le savoir (même si je me renseigne), mais la vérité. La vérité, c’est ce qui résulte du savoir. Qu’est-ce que ça veut dire? Ce que disent Heidegger (qui, en effet, a redécouvert de fond en comble le problème), Lacan, Schurmann ou Badiou. Nous, animaux humains, sommes des êtres de savoir. Nous savons comment fonctionnent les formes ontologiques, par les mathématiques, nous savons comment fonctionnent les particules élémentaires, par la physique mathématisée, nous savons comment fonctionnent les plantes et les animaux, par la biologie (et ça a commencé avec l’agriculture et la chasse…), nous savons comment fonctionnent les précessions des équinoxes… nous savons, nous savons, nous savons. La question que je pose est toujours la même : pourquoi n’arrivons-nous pas, à mesure même que nous nous approprions tous ces savoirs, à savoir la chose qui serait la plus essentielle : comment fonctionnons-nous nous-mêmes? Et ça va de mal en pis, comme la « crise sanitaire » l’aura prouvé d’abondance. Plus nous avançons dans la conquête des savoirs, moins nous comprenons comment nous fonctionnons nous-mêmes. C’est ça, le coeur de la crise de la métaphysique initiée par Kant : « critique de la raison pure » veut dire : la Raison autonome, ça n’existe pas. Oui, nous sommes, et nous seuls, comme l’a dit la métaphysique à son envoi, des êtres doués-de-raison. Chasse et agriculture : nous instrumentalisons les lois de la Nature pour un bénéfice purement égoïste, ce que j’appelle le pléonectique. Plus nous instrumentalisons, plus nous devenons opaques à nous-mêmes (ce que Freud a appelé « l’inconscient », et aucun autre animal n’a d' »inconscient »).  Mais la « crise sanitaire » marque un point de non-retour absolu sur cette question. Quand ce sont des gouvernements corrompus, des grands médias corrompus (pléonasme), des industries pharmacologiques corrompues, qui nous disent quoi dire et quoi faire, eh bien je pense qu’on touche vraiment du doigt, si tu me passes l’expression, ce qu’on appelle « fin de la métaphysique ». Et ce qu’il faut entendre, à la fois par « anarchie », dans tous les sens du terme, et par « anarchisme » au sens politique. 

Donc, tu vois que tout ça est lié : le savoir n’est pas la vérité (Socrate, plus honnête que Platon, mourra en disant : « je sais que je ne sais rien », et c’est ça la philosophie). Quand Heidegger te dit que la vérité, c’est toujours un mixte de mensonge et de savoir (la chasse, l’agriculture…), il dit ce que tous les grands anthropologues de notre temps ont dit après lui. Quand Lacan te dit, en réponse à la question, « en quoi savoir et vérité sont-ils compatibles? », et qu’il répond, en très grand dialecticien : « Pour vous répondre comme ça me vient, rien n’est incompatible avec la vérité : on crache dedans, on pisse dedans. » Le mensonge est compatible avec la vérité : on le voit parfaitement bien aujourd’hui. Quand Badiou vous fait un schème – génial, et trop peu étudié encore aujourd’hui, à part par moi – de la « vérité indiscernable » comme étant un ensemble infini qui « reçoit » sans moufter les énoncés à la fois véridiques et mensongers qui peuvent se recevoir autour d’une même situation, il ne fait que radicaliser la conception de Lacan, qui ne fait que radicaliser la conception de Heidegger. Et Schurmann, sans rien comprendre à Lacan ni Badiou, dira donc : « la contradiction sans accord qu’est la vérité ».

J’ai radicalisé toutes ces conceptions en démontrant qu’en un sens précis, le mensonge et la falsification étaient la condition de la vérité. La vérité n’est pas le véridique ou l’exact (par exemple : « le mur en face de moi est vert », « j’habite un village qui s’appelle Turenne », « j’écris sur un ordinateur PC et non pas Mac Intosh »). La vérité est la guerre entre le véridique et l’exact , d’un côté, et le faux et le mensonge, de l’autre. Par exemple, depuis un an et demi, nous assistons à une guerre pure et simple entre les scientifiques et les médecins intègres, et les scientifiques et les médecins corrompus. La vérité, c’est le résultat de cette guerre à échelle mondiale. La vérité, c’est tout simplement cette guerre elle-même. Et il est très naïf de croire qu’il ne s’agit pas, d’ores et déjà, d’une véritable guerre, et la plus terrible qui ait secoué l’humanité depuis ses origines, ce qui n’est évidemment pas peu dire. Il est naïf de ne pas voir que cette guerre, d’ores et déjà, va se chiffrer en milliards de morts. Les « trois cent cinquante millions de morts-du-COVID » ne sont qu’une devanture trompeuse, qui cachent le plus grand crime de masse de toute l’humanité. Et derrière ce chiffre lui-même, se cache sans doute une énorme quantité de mensonges. Je t’ai déjà parlé de la confusion « savamment » entretenue entre morts avec « COVID » et morts du « COVID ». Mais l’imposture va en réalité encore plus loin. Car même pour être diagnostiqué avec « COVID », il faut avoir été testé. Avec quoi? Avec les fameux « tests PCR ». Or, ceux-ci relèvent de la pure et simple escroquerie, à l’instigation d’un charlatan en grand, le professeur Drosen, conseiller principal en « santé » pour Mme Merkel. Les « tests PCR » ont déjà été condamnés comme étant de l’imposture pure et simple par des tribunaux portugais, autrichiens et allemands. Comme le dit Reiner Fuellmich, c’est le point stratégique de toute l’affaire. Si vous démontrez que les « tests PCR » sont de l’escroquerie, c’est tout le chaeau de cartes de la prétendue « pandémie » qui s’effondre. On estime jusqu’à 97% de faux positifs à cause de ces tests! Je te laisse déduire toute la suite, et à quel point cette « crise du COVID » est la plus grande manipulation de masse à avoir été pratiquée de toute l’histoire de l’humanité. Pour l’anecdote : Elon Musk a fait le « test PCR » quatre fois en une journée. La première fois, il était positif. La seconde fois, il était négatif. La troisième fois, il était positif. La quatrième fois, il était négatif. Tout cela ne serait que burlesque, si les conséquences n’avaient été si tragiques sur des milliards d’êtres humains. Mais voilà pourquoi cette « crise » montée de toutes pièces illustre parfaitement la crise moderne qu’endure la philosophie sur la question de la vérité, telle que je te l’ai exposée plus haut. En un sens, si nous parvenons à réagir avec toute la force populaire nécessaire, cette « crise du COVID » aura été une aubaine : le mensonge voulu et concerté par les plus hautes instances du pouvoir nous aura permis d’entrer dans la vérité de ces instances. On peut interpréter en mille sens mon « le mensonge est la condition de la vérité », y compris en ce sens-là. La mythomanie publique de la « crise sanitaire » aura révélé la vérité profondément mortifère du système politique où nous vivons. Quelque part, nous devrions lui en savoir gré.

Revenons, sur l’entrefaite de toutes ces considérations, sur ma question peut-être centrale en philosophie : pourquoi est-ce que, à mesure que la techno-science accroît ses pouvoirs (c’est-à-dire la science et la technologie au service des plus voraces « animaux » pléonectiques qui composent notre espèce, mais qui ne se considèrent plus comme des êtres humains), la politique devient-elle d’autant plus… anarchique, il n’y a pas d’autre mots ? Pourquoi est-ce que le « nouvel ordre mondial », qui se réclame partout dans la propagande de la « science », accouche-t-il du plus grand chaos planétaire auquel on aura jamais assisté ? Pourquoi n’y a-t-il décidément pas de « transition », comme l’a cru à son envoi la métaphysique (Platon et Aristote), entre la science et la politique (surtout, évidemment, quand la « science » officielle devient indigne de cette appellation)? Pourquoi, est-ce qu’à mesure même que nous devenons davantage capables d’épeler, par la science, l’ordre des étants inanimés et animés, sommes-nous d’autant plus incapables de mettre de l’ordre dans notre coexistence civique ? La question que pose mon concept de pléonectique, c’est : pourquoi, à mesure que nous nous approprions davantage les lois de l’être et de la nature, créons-nous, de manière exactement proportionnée, un régime monstrueux d’expropriation tel qu’on n’en a jamais vu sur terre ? Et la « crise sanitaire », c’est le summum du summum de ce processus. En un an et demi, on a assisté au plus grand transfert de richesses jamais observé sur terre, ce qui n’est pas peu dire. Les 3000 plus grandes fortunes du monde se sont enrichies, le reste de l’humanité s’est appauvrie, jusqu’à la famine, concernant 150.000.000 d’êtres humains à ce jour, mais le chiffre va s’accroître vertigineusement demain. La famine va être à nos portes « occidentales » très bientôt. Les transhumanistes avancent lettre volée sur table : l’humanité elle-même est à déconstruire. Il s’agit, au fond, d’un cancer évolutionniste, qu’il est temps, sinon d’éliminer, du moins d’élaguer drastiquement. Au profit, bien entendu, d’eux. Comment déconstruire cette pseudo-déconstruction? (Il y a beaucoup de pseudo-ententes du mot « déconstruction » aujourd’hui, mais je ne peux m’y arrêter).

Sur l’entrefaite, encore, de toutes ces considérations, tu peux mieux saisir l’affinité profonde qui existe entre mes trois définitions principales du mot « anarchie » : la déconstruction de la métaphysique, c’est le démantèlement de la technologie. Plus celle-ci prétend « gouverner » le monde, plus celui-ci s’enfonce dans le chaos.  

Je me demande de plus en plus si le jugement de Heidegger, que j’ai longtemps contesté sous l’influence de Badiou (qui est terriblement « scientiste », comme les transhumanistes au fond), n’était pas juste : « la science ne pense pas ». La science calcule et constate. Le domaine de la science authentique, c’est le savoir : c’est le véridique. La vérité, c’est autre chose. C’est ce qui échappe à la science. Les scientifiques intègres disent le véridique, quel que soit leur domaine. Laissons donc le conflit entre les scientifiques intègres et les « scientifiques » corrompus, entre Didier Raout et Jérôme Salomon, entre Ioannidis et le Dr Fauci, entre Maître Reiner Fuellmish et Mr Drosten (combat décisif, qui décidera de l’avenir même de l’humanité). Les premiers disent le véridique, les seconds mentent. La philosophie est plus importante que la science, car elle examine le résultat de ce conflit intra-scientifique, qui est en réalité en cours depuis les origines mêmes de l’humanité. Nous ne devons plus nous préoccuper de la « crise sanitaire », cette imposture mondiale « décidée », à l’aveugle, par Bill Gates et Davos. Nous devons aviser au résultat des « solutions finales » proposées contre le « virus » depuis un an et demi désormais. 

Et le résultat est accablant, annoncé par Agamben et surtout rappelé par Véra Sharav : à partir du moment où vous mettez le « médecin » aux postes de commande (en France, le plus grand infectiologue du monde, Didier Raout, a immédiatement démissionné du « conseil scientifique » qui s’est mis en place autour de notre lamentable président de la république), l’atrocité politique est garantie. Nous y sommes. « Le vaccin est la solution finale pour le virus », a dit publiquement le « médecin du monde » selon CNN, nommément Bill Gates. Le Mal absolu est aux postes de commande, et jamais je n’aurais cru de ma vie pouvoir dire ça. Le mensonge est Roi, mais peut-être à cause de ce que j’ai dit : la vérité scientifique elle-même, au fond, doit sans doute plus, originairement, au mensonge qu’à la vérité. Nietzsche est sans doute devenu fou d’avoir été le premier à pressentir que le partage classique de la vérité et du mensonge était en train de défaillir.  

– You and David talked a lot about the nature of evil. Why do people care at all about the violence which is not affected them directly?

Question éminemment complexe, là encore ! Mais je peux donner une réponse simple : le Mal, c’est la collectivisation. Le Mal, c’est l’universalisation forcée (le colonialisme par exemple). Le Mal, c’est la transition « simple » de la science à la politique. Ou, depuis un an et de demi, de la pseudo-science et de la politique… Le Mal, c’est de dire « puisque nous pouvons universaliser les lois qui régissent les animaux, les planètes et les particules élémentaires, nous pouvons universaliser les règles de coexistence civique de l’humanité tout entière ». Et c’est exactement le contraire qui a lieu… C’est ça, dans mon travail, la singularisation : c’est chacun de nous pris individuellement, tel qu’il échappe aux règles de coexistence civique imposées par les hiérarchies de toutes sortes. Parfois, on se singularise collectivement : les tribus de chasseurs-cueilleurs, les anarchistes. Ils sont presque toujours éliminés, exterminés. Adorno : « l’histoire de l’humanité n’est pas l’histoire du Bien, mais de l’horreur ». L’humanité est l’espèce suicidaire (il y a eu plus de suicides dans le monde en 2020 que de « morts-du-COVID »). L’humanité est l’espèce exterminatrice. C’est une insulte aux autres espèces que de dire : « les oligarques mondiaux sont des prédateurs ». Un lion n’extermine personne, il tue une biche isolée pour se nourrir, il n’extermine pas l’espèce « biche ». Nous, nous exterminons à tour de bras, depuis 30.000 ou 40.000 ans. Désormais, nous nous exterminons nous-mêmes. Les commanditaires : les transhumanistes possesseurs du monde, les « champions » du pléonectique. Ils pensent ouvertement qu’ils sont des dieux, qu’ils sont le Dieu technologique qui domine tout. Le reste : une sous-espèce qu’il faut au mieux esclavagiser, au pire supprimer.

Sur cette bonne base, je réponds à la seconde partie de ta question, qui est la question, dans mon travail, de la katharsis dans l’art depuis Aristote. Aristote demandait : « nous prenons plaisir à contempler les images les plus exactes de choses dont la vue nous est pénible dans la réalité, comme les formes d’animaux les plus méprisés et des cadavres ». Ce diagnostic, pour moi le plus profond jamais fait de toute l’histoire de l’art, ne s’est pas démenti depuis : il s’est, au contraire, sans cesse renforcé. Pourquoi prenons-nous un tel plaisir, par exemple, à lire Sade, alors que, si ça arrive sous nos yeux, nous serions à jute titre horrifiés ? Question plus profonde en ce moment : pourquoi prenons-nous autant de plaisir à regarder des films qui décrivent un monde proche du monde où nous vivons depuis un an et demi, comme mettons le film Infection ou la série bien nommée Black Mirror, mais qu’évidemment nous ne prenons aucun plaisir à vivre tout à coup dans la situation effective que décrit un tel film ou une telle série ? 

J’ai déjà répondu, en un sens, à la question. Le mensonge est plus originaire que la vérité. La vérité ne transparaît que par le mensonge. Nous mentons aux ures et aux mammouths pour les prendre au piège. Nous nous sommes approprié les lois de leur fonctionnement, pour les exproprier de leurs vies. C’est ce que font actuellement les oligarques, les gouvernements, les GAFAM, et les grands médias avec nous depuis un an et demi, et sans doute beaucoup plus longtemps. « Charité bien ordonnée commence par soi-même », dit un proverbe français. L’humanité étant l’espèce exterminatrice, il n’y a aucune raison rationnelle ultime pour qu’elle n’en fasse pas autant avec elle-même. Nouveau pli définitionnel que tu peux donner à l’expression « anarchie par le haut »….

Nous sommes fascinés par les images du Mal car nous croyons que ces images nous protègent du Mal réel. Nous avons raison. Tant que ces images sont créées par Sophocle ou David Lynch, le Mal est tenu à distance. Mais que se passe-t-il quand les images du Mal sont diffusées par les gouvernements, les grands médias, etc. ? Alors il n’y a plus aucune distance. Le Mal est là. Mais justement les choses s’inversent, de manière saisissante : là où l’œuvre d’art met le Mal à distance en nous montrant quel est le Mal réel, de Sophocle à Sade, les dictatures de toutes sortes nous cachent le Mal réel en nous montrant sans cesse un Mal fictif (le « virus », le « Juif », les lits de réanimation, les images tronquées du Brésil ou de l’Inde…). Au fond, la plupart des gens sont « philosophes » au mauvais sens du terme : il croient plus facilement à des abstractions (la propagande médiatique expliquant que la seule chose qui existe, c’est le « virus »), qu’à ce qu’ils voient autour d’eux : la destruction de tout leur mode de vie antécédent : the great reset. La solution finale de Davos. C’est ma fidélité à la phénoménologie sur ce point, telle que je l’ai revistée plus haut : pour juger d’une situation, partez de ce que vous pâtissez personnellement, et non pas de ce que les pouvoirs vous présentent comme le « bien publique ». Vous verrez beaucoup plus clair dans la situation générale elle-même que si vous partez de ce que dit le consensus du moment. 

Ma définition du Mal est liminaire : il s’agit de la création de souffrances innombrables, incommensurables et gratuites, non nécessitées par les besoins strictement animaux. Seul l’animal humain est susceptible d’une telle création. Des philosophes tels qu’Adorno, Anders, Schurmann ou Lacoue-Labarthe auront eu beau tirer la sonnette d’alarme, « pourquoi nous infligeons-nous de telles souffrances à une telle échelle ? », rien n’y a fait : ce que nous vivons actuellement est pire encore que ce qui est advenu sous le nazisme, sous le stalinisme ou sous le pol-potisme. Tout le monde en sera conscient très vite : malheureusement, et comme d’habitude, sans doute quand il sera trop tard, quand l’atrocité sera visiblement à nos portes. C’est pourquoi les quelques personnes déjà éveillées doivent combattre de toute leur force, jusqu’à la mort s’il le faut, pour que le pire ne s’installe pas trop impunément. Comme le dit le mathématicien Vincent Pavent, qui a réfuté les modélisations absurdes d’un autre escroc notoire, Niels Ferguson, sur lesquelles s’est basé notre président français de la République, et bien d’autres dans le monde, pour décréter l’absurde « confinement » : il s’agit d’une lutte à mort entre la vérité et le mensonge (entre le véridique et le mensonger, dans mes termes). Ceux qui ont menti dès le début sont désormais dans une fuite en avant désespérée, une surenchère criminelle, pour ne pas dire génocidaire. Ceux qui défendent coûte que coûte le véridique et donc la vérité au sens neuf où je la définis, savent qu’ils seront diffamés, persécutés, peut-être éliminés. Tant pis. 

Je suis très fier de la définition que je donne, dans Système du pléonectique, de la tristesse : « Les vérités gagnent toujours. Presque jamais ceux qui les défendent. » La nouvelle hégémonie, au sens de Schurmann, qui s’organise autour du complexe « pandémie »-oligarchie-gouvernements-médias de masse-transhumanisme, s’effondrera tôt ou tard, comme toutes les autres. La question que posent des gens comme Schurmann ou moi, c’est : quand tirerons-nous enfin les leçons qui s’imposent du massacre à grande échelle qui définit quasiment à lui seul l’humanité depuis sa naissance (bien plus que la « rationalité »…). 

– What does « technological totalitarianism » mean, and how can it be stopped? Can it be?

 J’ai déjà un peu répondu à cette question, mais on peut approfondir, en enchaînant avec ce que je viens de dire. Ce seront comme des variations sur un thème musical déjà familier.

Malabou a raison de dire que personne, pas même Kant, n’a « décidé » de la déconstruction de la métaphysique. C’est un processus immanent à son histoire. La métaphysique est immunodéficiente. Si mon hypothèse est bonne, et que le nom phénoménologique, le nom de « l’effectivité » de la déconstruction de la métaphysique, c’est le démantèlement de la technologie, et qu’à son tour le nom effectif de ce démantèlement, c’est la vie politique, alors le constat s’impose : nous sommes déjà dans l’anarchie. Le moment actuel du « totalitarisme technologique », la « crise sanitaire » commandée par des oligarques mégalomanes et psychopathes, relayés par des gouvernements, des médias de masse hyper-contrôlés et une « science » corrompue, accouche du contraire de ce qu’il escomptait : non pas un « nouvel ordre mondial », mais un nouveau désordre mondial, une guerre à échelle planétaire comme on n’en avait jamais vue. 

Or, ça a toujours été comme ça. Toutes les prophéties de la métaphysique se sont réalisées, en échouant. La République de Platon a mis plus de deux millénaires à se réaliser ; je ne pense pas que Platon aurait été satisfait du résultat. Descartes a annoncé le règne de « l’homme maître et possesseur de la nature » : je ne pense pas qu’il se serait réjoui outre mesure du résultat. Hegel a annoncé l’Etat de droit démocratique et universel, dont le réel était le progressisme de la démocratie libérale-bourgeoise depuis deux siècles : je ne pense pas qu’il aurait sauté au plafond en constatant ce que ça a donné, surtout aujourd’hui. Marx, c’est encore plus évident. Nietzsche ne se serait pas beaucoup réjoui de ce qu’en on fait les nazis, et je pense qu’il se réjouirait encore moins de voir que le cœur de ses thèses sur le « surhomme » sont reprises par aujourd’hui par qui de droit : l’apartheid des « transhumains » technologiques et des « sous-hommes » planétaires, exterminés par procédés plus sournois, mais plus rapidement efficaces, que ceux du nazisme.

Nietzsche est mon adversaire favori en philosophie, pour cette raison et pour quelques autres. Mais faisons-lui crédit de ceci : il a été le premier grand philosophe anti-universaliste de l’histoire de la philosophie. Métaphysique, universalisme, technologie : ces concepts recoupent un seul et même phénomène, celui de l’avènement, effectivement « totalitaire », de l’espèce animale Cro-Magnon il y a 30.000 ou 40.000 ans.

Il y a d’abord eu les grands philosophes anti-universalistes « de droite », voire fascistes : Nietzsche, Heidegger notamment, mais aussi Wittgenstein (aux tendances fascisantes près). Il y a eu, en France, un anti-universalisme « de gauche » : Derrida, Deleuze, Foucault. Il y a un regain, comme je l’ai montré, de l’universalisme positif récemment avec Badiou, Zizek ou Meillassoux (les « matérialistes »). Comme je l’ai montré, ça ne peut plus marcher. Mais c’est là que le cercle est vicieux. C’est que même la « déconstruction de la métaphysique », elle est vouée à fonctionner en échouant. C’est en abyme. « L’auto-déconstruction de la métaphysique » dont parle lucidement Malabou, c’est peut-être tout simplement l’auto-suppression de l’espèce humaine comme telle : une simple impasse évolutionniste, à ceci près qu’elle risque d’entraîner avec elle la disparition de la quasi-totalité du vivant sur terre. En transgressant toutes les règles de la survie animale simple, l’espèce humaine a simplement passé son temps (et « l’histoire de la métaphysique » ne serait rien d’autre) à tresser la corde pour se faire pendre. Il s’agit de l’espèce suicidaire. Seul l’animal humain se suicide (même s’il y a un doute sur les baleines et les orques). Et elle ne se suicide pas qu’individuellement. Elle se suicide collectivement (et là, le doute n’est plus permis avec les baleines et les orques : eux ne se suicident pas collectivement, comme nous sommes en train de le faire).

J’ai trouvé une autre piste que le grand flux moderne de la philosophie anti-universaliste. Mon travail s’est surtout nourri de philosophes un peu « maudits », peu connus, qui ont été des philosophes négatifs. Adorno, Schürmann et Lacoue-Labarthe, hantés par les atrocités qui se sont perpétrées au vingtième siècle : notamment Auschwitz.

J’en ai déduit ceci : on ne peut pas être simplement « anti-universaliste ». L’universalisme est notre élément inné. Je ne te parlerai pas en ce moment s’il n’y avait pas cet élément d’universalité qui nous unifie planétairement en tant qu’espèce, avec tous les prix à payer qu’on sait. Un anthropologue ne pourrait pas aller étudier une tribu amazonienne sans ce minimum d’universalité qui le relie à elle. L’universel est l’élément « inné » de l’animal technologique (techno-mimétique, comme j’aime mieux dire).

Universalisme négatif, donc : telle est ma voie. Ce que je démontre, dans mon travail, c’est qu’il n’y aurait pas de singularisation de chacun d’entre nous si nous n’appartenions à l’universel positif révélé par la science : « le carré de la de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés », « l’oviparité est une stratégie de reproduction d’une espèce où l’ovule à maturation au sein de la femelle est ensuite reproduit sous la forme d’un oeuf », tandis que les mammifères « sont une classe d’animaux vertébrés qui ont pour caractéristiques principale que les représentants femelles allaitent leurs juvéniles à partir d’une sécrétion cutanéo-glandulaire spécialisée appelée « lait » », « la précession des équinoxes est le décalage progressif de la direction où sont vues les étoiles, d’un siècle à l’autre, à raison d’une rotation complète, tous les 26.000 ans environ, effet produit par un lent changement de direction de l’axe de la direction de la Terre, dans la même durée ») : des millions et des millions de lois de la nature et de l’être ont ainsi été appropriées par la science au cours de notre courte histoire. Le « phénomène humain », comme disait le bon père Teilhard de Chardin? Un big-bang cognitif sans équivalent dans l’histoire de l’évolution. Nous sommes censés « tout » savoir. Aucun d’entre nous, surtout pas ceux qui nous manipulent (les oligarques), nous dominent (les gouvernements) et nous « informent » (les médias de masses), aucun, dis-je, ne sait tout. C’est devenu matériellement impossible, parce que ça l’a toujours été (Debord, avec ses moyens propres, constatait strictement la même chose : la masse d’informations disponibles aux mains du pouvoir est sans cesse grandissante, mais il n’y a personne qui puisse singulièrement en faire le tour). C’est ce que voulait dire Lacan quand il disait : je dit toujours la vérité, mais pas toute. La dire toute, c’est matériellement impossible.

La science nous dit tout de la manière dont tout fonctionne, des planètes aux particules élémentaires en passant par les autres animaux que nous et par la logique. « Nous » sommes censés « tout » « savoir ». Et aucun de nous, pour diriger sa vie quotidienne concrète, ne sait quoi que ce soit. Chacun de nous, à sa manière, échappe aux catégorisations que ces lois universelles imposent à l’étant, ce qu’en philosophie on appelle : subsomption. Soumettre un cas particulier à la loi universelle du concept scientifique. Comme ça ne marche pas, on a depuis longtemps aussi inventé des lois qui ne se trouvaient pas dans la nature et dans l’être : les lois politiques et civiques qui elles aussi se comptent par millions. Comme le sait tout anthropologue, ce sont déjà des lois de singularisation.

C’est ce que veut dire Schopenhauer quand il parle de la différence entre caractérisation et individuation. Il y a eu des millions et des millions d’espèces animales sur terre, d’une extraordinaire variété entre elles. Mais aucune n’est capable de se différencier à l’intérieur d’elle-même comme l’espèce humaine présente de différences à l’intérieur d’elle-même. C’est ce que mon travail apporte aux « philosophies de la différence » du vingtième siècle, si volontiers « anarchisantes » : je démontre, de façon quasi mathématique, que la capacité qu’a l’animalité humaine de s’approprier les différences des autres étants aboutit à une capacité à sdifférencier que ne connaît aucun autre étant. J’ai pu appeler ça le « queer » ontologique. Preuve de plus que l’espèce humaine, par sa capacité presque illimitée à se singulariser, est en quelque sorte intrinsèquement « anarchiste ».

 -Tell us about the technology and the destruction of metaphysics. Maybe a short sentence or two about Descartes and Leibniz? 

 J’ai déjà répondu sur Descartes. Leibniz, quant à lui, est une sorte de prophète du « transhumanisme » : Dieu est un Grand Ordinateur. Là encore, il n’est pas sûr que, s’il ressuscitait, il se réjouirait outre mesure de la « réalisation » de Dieu que sont en train d’opérer les GAFAM et le big data, pour ne rien dire du délire hygiéniste réalisé de Bill Gates et du great reaset programmé par ce que Reiner Fuellmich la « clique de Davos ». Là encore, le résultat est tout sauf l’Ordre impeccable escompté, mais un chaos sans nom : une véritable guerre de l’information, par exemple en ce moment sur la « crise sanitaire », avec une censure sans précédent (« jamais censure ne fut si parfaite », disait déjà Debord de la « société du spectacle » il y a trente-cinq ans, quand il n’y avait pas d’Internet) : une guerre sans merci entre le véridique et le mensonger, qui donne cette « conflictualité sans accord qu’est la vérité ». Si on a un peu de mémoire historique, il convient de se poser une question simple pour choisir son camp dans la guerre en cours : de manière générale, sont-ce les persécuteurs qui disent la vérité ? Ou sont-ce les persécutés ? Réfléchissez bien. Actuellement, sont-ce les centaines de milliers de médecins intègres, qui risquent leurs carrière, qui disent la vérité, ou sont-ce les médecins que tu vois sur les plateaux télévisés? Réponds à cette questions, et fais ensuite des déductions à l’avenant. Car tout est comme ça. La vérité, c’est ce qui résulte du conflit entre le véridique et le mensonger. Tu as des médecins, assez tard venus dans la discussion, à part quelques collabos patentés (en France : Jérôme Salomon, Karine Bertrand, des gens qui méritent la potence), qui disent : « le vaccin est la seule solution! Oui il y a une pandémie mondiale! Il faut confiner, ça sert à quelque chose! », et d’autres qui disent : « il y a des traitements précoces, et la « pandémie » n’est qu’un mythe monté de toutes pièces, le confinement ne sert à rien ». Les premiers mentent éhontément depuis le début, les seconds disent le véridique depuis le début. L’affaire du philosophe, sur ces bonnes bases, c’est la vérité, c’est-à-dire ce qui résulte de tout ça. Et le résultat, au bout d’un an et demi de propagande médiatico-gouvernementale insultante pour l’intelligence humaine, n’est pas beau à voir.    

Sur la destruction de la métaphysique et la technologie, j’ai déjà abondamment répondu. Mais pose-toi cette fois cette question : si l’humain est l’animal suicidaire, la technologie n’est-elle pas le nom global de ce suicide ? N’est-ce pas à ce spectacle atroce (pour revenir à la question de « l’art », c’est-à-dire de la représentation) que nous sommes en train d’assister ? Dans un livre d’entretien avec Jean-Luc Nancy, celui-ci me dit, à un moment : mais est-ce si grave que l’espèce humaine disparaisse ? Je lui ai dit (je laisse aux curieux le soin de reprendre le fil de nos arguments dans ce livre d’entretiens sur la sexualité, qui s’appelle Immortelle finitude) : mais alors, tu veux dire que la technologie est le suicide de la vie ? Il a répondu affirmativement. Donc je reviens au débat que j’ai évoqué plus haut entre lui et Agamben : si la « crise sanitaire » est une occasion d’expérimenter à nouveaux frais notre communauté d’exposition à la mort et à la finitude (mais orchestrée par qui…?), devons-nous pour autant accepter les conditions que les pouvoirs de toute sorte (oligarques, gouvernements, médias de masse, médecins corrompus, etc.) imposent à cette communauté ? Mais, « contre » Agamben, je repose une question que j’ai déjà soulevée : certes, sa « prophétie » s’est définitivement accomplie : l’état d’exception est devenu la règle. Mais ce qui se révèle à nous, n’est-ce pas le fait que l’humanité a toujours été un état d’exception, par la science et la technologie, aux règles pléonectiques « faibles » du restant du règne animal sans… exception ? A savoir : les animaux ont des capacités limitées d’appropriation (prédation et broutage, notamment). Nous, nous sommes l’espèce de l’appropriation illimitée. C’est ça le pléonectique.

Question donc à Jean-Luc, Nancy du nom : que devrions-nous faire s’il s’avérait que le « confinement » mondialisé fait infiniment plus de morts que le « virus » ? Si les « vaccins » s’avéraient un « remède » bien pire encore que le Mal qu’ils sont censés combattre ? Et si cette histoire de « virus » nous faisait replonger dans les pages les plus sombres de notre histoire, comme le démontre à mes yeux Véra Sharav, et comme Jean-Luc lui-même l’a magistralement démontré, avec Philippe Lacoue-Labarthe, dans un livre qui s’appelle Le mythe nazi, que je conseille à tout le monde. J’ai proposé à Jean-Luc d’écrire ensemble, comme il l’avait fait avec Lacoue-Labarthe, un livre qui s’intitulerait Le mythe transhumaniste. Mais il faudrait beaucoup de courage aujourd’hui pour faire ça. C’est-à-dire une exposition littéralement guerrière à la mort. Et je m’empresse de préciser l’essentiel : ce n’est pas à Nancy, Jean-Luc, du prénom, que je jette la pierre, mais d’abord à moi-même. Depuis deux ans et demi, je n’écris presque pas, et, depuis un an, je me suis tu sur la « crise sanitaire ». C’est toi, Nika, qui m’aura poussé à m’exprimer là-dessus pour la première fois. Et, comme tu le vois, « j’en ai gros sur la patate », comme on dit en français.

Je conclus sur une variation encore différente de la question. J’admire immensément, comme tout le monde, Spinoza, mais au fond j’ai toujours été en désaccord avec lui. Je ne peux évidemment résumer ce désaccord en quelques lignes, mais je peux pointer sur un sujet qui nous intéresse, et qui est justement la question du… sujet. Spinoza dit : « c’est un empire dans l’empire », ça n’existe pas. Pourquoi ? Parce que Spinoza est un philosophe de la Nature. Il ne croit, au fond, qu’aux rapports de force (c’est pourquoi Schopenhauer jugeait sa philosophie, à juste titre, « immorale »). Je pense que Spinoza – peut-être le plus grand métaphysicien, à point nommé, de toute l’Histoire de la philosophie -, plus qu’à son tour, s’il revenait parmi nous, se rétracterait : le sujet, non au sens individuel mais au sens global de l’espèce humaine, est effectivement un « empire dans l’empire ». Le suicide écologique, qui est au « virus » ce qu’un incendie forestier est à une étincelle, le prouve par l’absurde. Par exemple, en discutant avec Bernard Stiegler, je lui ai demandé : d’accord, le « sujet » (individuel, de Descartes à Husserl) a été « déconstruit ». Mais n’en reste-t-il pas quelque chose ? Et je lui ai là-dessus avancé la question de l’inflation de l’autisme dans nos civilisations dites « avancées » (en quoi ? Nul ne le sait). Il m’a répondu, fort pertinemment, que lui assistait à l’inflation de l’autisme infantile due à la technologie, notamment aux smartphones : il travaillait directement sur ces questions-là. Les dirigeants des GAFAM veulent que tout le monde utilisent leurs outils, mais ils envoient leurs enfants dans des écoles privées où il n’y a pas de GAFAM. Eux aussi se singularisent, « par le haut ». Le problème, c’est que nous, ils nous singularisent « par le bas », en posant des règles universelles d’une parfaite absurdité « sanitaire », économique, politique, psychologique, et tout ce qu’on voudra. Le Mal se fait passer pour le Bien, le mensonge pour la vérité, la transgression pour la législation. 

J’en tire un enseignement qui en est à l’état embryonnaire, mais précieux : je deviens presque « manichéen ». Et j’attribue ça au fait d’avoir fait le contraire de ce que fait le gros des philosophes professionnels : j’ai essentiellement travaillé sur la question du Mal, non du Bien. J’ai toujours considéré, à la lecture de toute la tradition qui va de Platon à Badiou en passant par Saint Thomas et Descartes, que la question du Bien était très confuse, ce qui innerve jusqu’au moindre de nos actes quotidiens. La question « Qu’est-ce qui est bien? Qu’est-ce qui est mal? » est obscurcie par la simplification de la question par la métaphysique : « Qu’est-ce qui est bien, et seulement bien? » La réponse est toujours « prescriptive », comme dit Badiou : il faut faire ceci, il faut faire cela. Tout mon travail est une pure et simple démolition de cette manière immémoriale de procéder en philosophie.  Ce que la soi-disant « crise sanitaire » m’a fait comprendre, c’est que, en effet, mon travail était nécessaire et salutaire : nous devons d’abord identifier où est le Mal avant de parler de « Bien ». Le Bien ne surgit qu’à la lumière du Mal, savoir des milliards de souffrances inutiles que nous nous infligeons à échelle planétaire. Démontez le mécanisme du Mal, et vous aurez une petite idée de ce qu’est le Bien. Il ne faut surtout pas procéder en sens inverse : définir, de manière unilatérale, ce qu’est le Bien, pour ensuite dire que le Mal, c’est ce qui n’obéit pas aux prescriptions que vous délivrez sans compter pour que le Bien Universel advienne. C’est précisément cette procédure qui donne le Mal à grande échelle (pléonasme…). Il faut, à chaque fois, partir des cas singuliers. Qu’est-ce qui me fait du Mal? Est-ce le « COVID », ou sont-ce les « mesures anti-COVID »? Il faut partir  du singulier pour aller vers l’universel, et pas le contraire. Quand l’Universel, c’est devenu cette organisation criminelle qu’est l’OMS et ce débile mental de Bill Gates, vous savez, au moins, à quoi vous en tenir : au pire. Comme le dit Rabbi Weismann : aucune tyrannie ne se présente à vous en disant : « nous voulons que vous disparaissiez ». Elle se présente toujours à vous en disant qu’elle veut votre Bien. 

Aujourd’hui, le « virus » fait de nous tous des autistes. A titre personnel, cela fait vingt ans que je suis « autiste » : que j’essaie de me protéger de la société, des grands médias, des réseaux sociaux, et de je ne sais quoi encore. Schizophrénie, paranoïa, autisme, Alzheimer, dyslexie, aphasie, anorexie… tous ces phénomènes singuliers n’adviennent qu’à l’espèce humaine. Pourquoi ? Mon travail fournit de larges réponses à cette question, mais je les approfondirai dans ce livre sur la folie que je compte écrire bientôt.

Mais mon minuscule cas personnel prouve qu’on n’en sort pas : j’ai voulu résister à l’universalisme positif, à la « mondialisation », à la propagande des mass médias, à à peu près tout. J’ai échoué. Mais, dans cet échec, je me suis singularisé. Ce n’est pas « contre », mais grâce à ces pouvoirs effarants de la « technologie comme auto-destruction de la métaphysique », que je me suis singularisé. Tout le propos de Schürmann, qui met en échec toute « dialectique », est là. C’est une philosophie qui est encore extrêmement peu comprise aujourd’hui. C’est dommage, attendu ce qui nous arrive. D’où ma rupture avec Badiou, que “parachève” la “crise sanitaire » où nous sommes : il n’y a plus d’« universel positif » (« le vaccin pour tous ! ») : toutes les hégémonies sont brisées et continueront à l’être. C’était soit Badiou, soit Schürmann. J’ai compris que la vérité de notre époque était du côté de Schürmann (il dit quelque part à peu près : « le philosophe critique est incapable de prendre la pose du philosophe-Roi »), non des grandes prescriptions de Badiou (« le communisme ! »). Comme le disent aussi bien Nancy que Graeber (et, désormais, Agamben) : le communisme est déjà là, technologiquement organisé par les « réseaux sociaux » (demain, ça sera autre chose). Je soupçonne fort Badiou et Zizek d’envier Gates et Schwab, comme ils ont envié Mao et Staline… le grand Timonnier qui dicte tout… Problème, et là Heidegger les avait d’avance réfutés avec ce qu’il a compris de sa méprise quant au nazisme : aujourd’hui, seul celui qui contrôle la technologie « contrôle tout ». Certainement pas un philosophe professionnel, qui est même incapable d’organiser la résistance armée quand ça s’impose, à l’époque où ça s’impose : Vichy ou la nôtre. Mais, comme nous l’a appris Badiou lui-même; le Tout n’existe pas, et surtout pas dans la clôture anthropologique. Toute totalisation est un « phantasme », comme dit Schürmann. Toute hégémonie a pour destin d’être brisée. La question de l’anarchisme politique doit être uniquement et seulement celle-ci : à quelles conditions allons-nous perpétuer l’emprise incontournable de la science et de la technologie sur nos vies ? Peut-on penser un usage « non totalitaire » de la science et de la technologie ? Telle est la question aporétique que nous pose « l’anarchie » au sens large.

Je pense à présent avoir été suffisamment clair sur les raisons pour lesquels je suis un « anarchiste », littéralement et en tous sens. Quand le message de Jésus, « je suis la resurrection et la vie » est repris par une marchandise, le « vaccin », c’est que la situation est très grave, et que nous sommes effectivement dans l’anarchie, au sens large que nous aurons parcouru jusqu’ici.

– Let’s talk about the difference between « game » and « play »? Do you have a story about coming up with the rules of a new game? How do you even make up the rules if we don’t have One Big rule anymore? Is it Freedom? Or does it mean we are abundant and never be safe and happy?

Aïe, j’ai mal à la tête ! Il y a trop de questions à la fois ! Essayons de procéder par ordre.

La distinction entre « game » et « play » m’a passionné dans nos discussions avec David, car elle n’existe pas en français. Le « game » est un jeu dont les règles sont fixées une fois pour toutes. Le « play » un jeu dont les règles ne préexistent pas au jeu lui-même, et sont donc constamment changeantes. La réponse est « simple » par rapport à la situation présente : déjouer les règles du jeu sans cesse changeantes que les régimes d’exception actuels nous imposent. C’est clairement le « play » contre le « game ». Chaque jour le système nous impose de nouvelles règles coercitives du jeu social. Chaque jour nous devrons les déjouer. C’est loin d’être gagné. Cela fait des mois que, sachant ce que je sais, j’ai refusé d’avance d’être « vacciné » par des thérapies géniques expérimentales. Et je ne te dis rien du « passeport vaccinal » : il y a six mois, quand on disait qu’il y aurait un « passeport vaccinal », tout le monde vous traitait, à poins nommé, de « complotiste ». Et le « passeport vaccinal » arrive, sous un nom plus avenant, le « pass sanitaire ». Il y a une blague sur Internet que j’aime bien : « Quelle est la différence entre une théorie du complot et le vérité? Entre six et douze mois… ». Une autre blague que j’aime bien : « Quelle est la différence entre un complotiste et un génie? Un génie a un coup d’avance. Un complotiste en a deux. » Tout ce que les « complotistes » du « COVID » ont annoncé depuis en an s’est réalisé, systématiquement, implacablement. Là, nous touchons à un des points-clés de ce que décrivait Debord dans les Commentaires sur la société du spectacle : une des plus grandes victoires de celle-ci sur le citoyen moyen est la destruction totale de la logique dans le cerveau de celui-ci. Les gens ont beau avoir du bon sens, le fait simple d’être constamment en contact avec les médias de masse fait qu’ils ne sont plus capables d’établir des raisonnements de continuité entre ce qu’on leur dit un jour et ce qu’on leur dit le lendemain. Le gouvernement leur dit un jour ceci? Ils le font. Le lendemain, cela? Ils le font aussi. Ils sont comme des moutons, comme des poulets en batterie. « Les français sont des veaux », disait le Général de Gaulle. Toujours l’illusion de dresser l’humanité comme nous avons dressé, puis exterminé, les mammouths ou les ures. Ca ne marche pas et ne marcherai jamais. La révolte est désormais un devoir, un « impératif catégorique » au sens de Kant, car, si nous les laissons faire, ils exterminerons des milliards d’êtres humains. Et c’est déjà ce qu’ils sont en train de faire, au nom d’une grippe un peu virulente dont les chiffres officiels nous disent que 99,85% de nous échapperont. Ou auraient échappé s’il n’y avait pas eu le « vaccin »… Astrazénéca? Des milliers de morts dans la seule Angleterre. Des centaines de milliers d’effets neurologiques graves. Des centaines de problèmes visuels tout aussi graves, et déjà cinquante aveugles recensés. 63 enfants entre 0 et 3 ans morts après l’injection. Tout ça pour sauver d’une grippe saisonnière un peu virulente… Comme le dit le résistant israélien Rabbi Weissman, en toute simplicité : le gouvernement israélien a menti sur la grippe saisonnière, à savoir qu’il a dit qu’il n’y avait aucun cas de grippe saisonnière en 2019-2020. En France, on nous a raconté presque la même chose : 7 morts de la grippe saisonnière 2019-20. Ca fait des décennies que la grippe saisonnière fait entre 20.000 et 30.000 morts par an en France. Où sont-ils passés cette année? La réponse coule de source : classés « COVID ». Et, comme le dit encore Rabbi Weismann, s’ils mentent là-dessus, c’est qu’ils mentent sur absolument tout. Et c’est effectivement ce qu’on fait les gouvernements de quasiment le monde entier. On nous a menti sur absolument tout depuis un an et demi. Qu’est-ce que la philosophie peut déduire de cet « événement » négatif? C’est une très vaste question. Force est d’avouer que, si la situation est dramatique, comme peut-être jamais à ce point dans notre histoire, elle est intellectuellement passionnante. 

Nous jouons tous, depuis un an et demi, un jeu extrêmement pervers, imposé par le néo-totalitarisme présent « au jour le jour » : ils jouent avec nous, avec nos âmes et avec nos corps. Je ne peux pas, dans ces conditions, proposer de « nouveau jeu », car par définition un jeu se joue à plusieurs, et donc fixe collectivement ses propres règles, par exemple une nouvelle communauté anarchiste. Je verrai dans quelques jours avec les groupes de gilets jaunes radicaux ce que nous pourrons faire. Il semble que nous soyions condamnés à être seulement réactifs au néo-totalitarisme présent, mais peut-être trouverons-nous le moyen d’être proactifs collectivement et d’inventer un « nouveau jeu ».

J’en profite pour dire que, depuis que nous avons fait l’entretien avec David, je souscris entièrement à son affirmation selon laquelle la vraie pensée est dialogique. La preuve : c’est la première fois depuis deux ans et demi que j’écris quelque chose de substantiel depuis mon Système du pléonectique. Je souffre beaucoup de ma solitude depuis plus de deux ans mais ne veux pas me satisfaire des fausses communautés des réseaux sociaux. J’ai besoin de me mettre en contact, penser et agir avec des communautés réelles. Les lois d’exception qu’on nous impose depuis un an ont pour finalité ultime de rendre impossible toute communauté réelle. Les nouveaux tyrans veulent que nous n’entretenions de rapports que sous leur contrôle numérisé. La communauté est devenue, comme telle, révolutionnaire.

Je suis, tu le vois, un peu parti dans tous les sens. Je me suis un peu répété, car j’écris comme au coeur d’une catastrophe, d’un bombardement. Mais si j’ai, par rapport à ce qui nous arrive, une conviction absolue, c’est bien celle-là. Communauté contre transhumanisme, telle est ma « philosophie politique ».

Mehdi Belhaj Kacem ; samedi 5 juin 2021

Mehdi Belhaj Kacem  est un philosopheécrivain et acteur francotunisien.


NOTES COMPLÉMENTAIRES

1-VOTER [élire des maîtres], C’EST ABDIQUER

Elisée Reclus

 

On devrait relire souvent cette lettre d’Élisée Reclus datant du 26 septembre 1885.

 

« Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.
Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.

Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.


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Merci!


 

 

Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L’ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu’il était avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.

N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez !

Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.

Je vous salue de tout cœur, compagnons. »

Élisée Reclus


 

Elections…piège à cons

En réponse au commentaire suivant d’Eddie :

« Dans tous les pays occidentaux “démocratiques”, une poignée d’oligarques achète tous les médias. Puis, avant une élection, ces oligarques choisissent leur candidat : un larbin insignifiant, ultra servile et traître à son pays de préférence. L’élection de leur larbin se fait par bourrage de crâne médiatique via quasi l’intégralité des médias leur appartenant, y compris et surtout les journalistes. Et l’obéissance naturelle, entre 65% et 67%, d’une quelconque population, démontrée par le test d’obéissance de Stanley Milgram, fait le reste : leurs divers larbins sont élus à chaque fois!!!

Les élections sont devenues une grosse mascarade, une gigantesque fumisterie. Mais le résultat non voulu par ces grosses ordures est la révolte des populations dans le monde entier. »  Eddie24 mai 2020 à 07:23

 

« « Élections… Piège à cons« .

Le slogan a fait ses preuves en 68. On pourrait peut-être le ressortir de la naphtaline aujourd’hui, l’aérer et en profiter pour se poser des questions pas vraiment inutiles au vu de l’usage qu’on fait un peu partout dans le monde de ce mode d’expression pour lequel l’humanité s’est tant battue. » Patrick Adam

Que de crimes n-a-t-on pas commis ces derniers temps au nom d’une démocratie qu’on prétend vouloir imposer aux « Arabes, Vénézuéliens, Iraniens,  et autres « sous-développés » récalcitrants aux sirènes de l’Empire». On nous dit qu’une démocratie est un régime politique dans lequel les décisions sont prises en fonction de la volonté du peuple. Mais qu’est-ce que la volonté du peuple ? En d’autres termes, quelle est la bonne façon de tenir compte des préférences de chaque individu pour en déduire la préférence collective ? Depuis quelques décennies, les mathématiciens se sont penchés sur ces questions, et sont arrivés à des conclusions… surprenantes !

Le principe de démocratie existe depuis environ 2600 ans.

 

 

La démocratie athénienne est réputée pour être l’ancêtre des démocraties modernes. Le mot démocratie vient de deux mots grecs : dêmos (le peuple) et kratos (le pouvoir). À la même époque que la démocratie grecque, un autre type de démocratie était appliqué à Carthage.  L’organisation politique de Carthage était louée par de nombreux auteurs antiques qui mettaient en avant sa « réputation d’excellence » [PolybeHistoires, VI, 43.]. Aristote (-384 ; -322)   la dépeint comme un modèle de constitution « mixte », équilibrée et présentant les meilleures caractéristiques des divers types de régimes politiques, c’est-à-dire mêlant des éléments des systèmes monarchique (suffètes), aristocratique (Sénat) et démocratique (assemblée du peuple). 

Qu’en pensaient les anciens ?

Platon,selon une représentation

–      Platon (entre  -427 ; -347) avait écrit, dans La République, qu’à son avis, la « démocratie apparaît lorsque les pauvres, ayant emporté la victoire sur les riches, massacrent les uns, bannissent les autres, et partagent également avec ceux qui restent le gouvernement et les charges publiques ; et le plus souvent ces charges sont tirées au sort. » Ainsi, voter pour élire un président ou des représentants n’est pas, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, une garantie de vie en démocratie.

–      Pourtant Aristote, le père de la philosophie, écrivait déjà dans Les politiques que : «  Le choix judicieux est l’affaire des gens de savoir : par exemple le choix d’un géomètre appartient à ceux qui sont versés dans la géométrie, et le choix d’un pilote à ceux qui connaissent l’art de gouverner un navire. Car, en admettant même que, dans certains travaux et certains arts, des profanes aient voix au chapitre, leur choix en tout cas n’est pas meilleur que celui des hommes compétents. Par conséquent, en vertu de ce raisonnement, on ne devrait pas abandonner à la masse des citoyens la haute main sur les élections de magistrats. ». Aristote était donc contre la démocratie comme nous l’entendons et sa conception de l’État se rapprochait plus d’une dictature que d’une démocratie, mais d’une dictature dirigée par des hommes de savoir : des dictateurs éclairés.

Le théorème d’Arrow

Pour « gouverner » tout d’abord, il faut à un moment ou à un autre faire des choix et trancher entre plusieurs alternatives. Comme dans une démocratie c’est le « peuple » qui est supposé diriger, ces choix devront être réalisés collectivement. Or ces choix collectifs ne sauraient être réalisés à partir d’autre chose que les choix des individus composant le peuple. Il va donc falloir, d’une manière ou d’une autre, agréger les choix individuels en un choix collectif.

Justement, le vote est le moyen d’agréger les convictions personnelles de chacun en un choix collectif unique.

Depuis cette époque lointaine, une multitude de méthodes de vote ont vu le jour sans que jamais aucune ne semble forcément surpasser les autres.

Dans les années 1970, l’Américain Kenneth Arrow (prix Nobel d’économie) énonça et démontra son théorème dont le résultat est pour le moins surprenant et qui passe pour le théorème le plus important de ce siècle en théorie du choix social.

Ce « théorème d’impossibilité » s’énonce ainsi (en simplifiant, car il s’agit d’un théorème mathématique de théorie des ensembles qui réclame une démonstration élaborée) :

« Il n’existe pas de fonction de choix social (un système de vote) qui puisse convertir des préférences individuelles en une décision agrégée cohérente, hormis dans le cas où la fonction de choix social coïncide avec les choix d’un seul individu (« dictateur »), indépendamment du reste de la population. »

La dictature éclairée serait-elle plus démocratique que la démocratie ?

Si on posait la question aux Irakiens, aux Syriens,  ou aux Libyens, la réponse serait  évidente. La vie sous la dictature de Saddam Hussein, de Bachar Al-Assad ou de Mouammar Kadhafi, est infiniment préférable, non seulement à la démocratie que voudrait leur imposer l’Occident à coup de bombes, mais aussi aux sinistres et obscurantistes dictatures des rois islamo-fainéants. De même, pour la grande majorité des Tunisiens, la vie quotidienne sous le « dictateur » Ben Ali était, de loin, préférable à la « démocratie islamise » (oxymore) qui a suivi son renversement, et qui leur a été imposée par la France et les USA. Pourquoi ? Parce que sous le régime « dictatorial » de Ben Ali, la démocratie ne signifiait certes pas « élections libres », mais signifiait : sécurité (la première des libertés),  égalité homme femme, propreté, bien-être, travail, etc. Toutes choses disparues avec la « démocratie » islamiste d’aujourd’hui. Lorsqu’on suit les débats à l’Assemblée des Représentants du Peuple (défense de se fendre la pipe), on a l’impression d’assister à des querelles et au langage de gamins des rues sans aucune éducation ni aucune valeur morale.

Il semble a priori, qu’une dictature éclairée soit un oxymore, au même titre que qu’un « islamiste modéré » ou qu’un « gentil terroriste ». Car, être dictateur signifierait prendre les décisions (et en assumer les conséquences) pour son peuple, et être éclairé signifierait à la fois avoir les capacités et les compétences lui permettant de faire les bons choix pour son peuple en toute connaissance de cause (Voir Aristote ci-dessus).

Le dilemme des Alliérins (par Rémi Peyre)

Suite à une révolution, le département de l’Allier est devenu indépendant. La Constitution du nouvel État prévoit que des élections démocratiques soient organisées pour désigner sa capitale. Il se trouve que l’Allier présente la particularité d’avoir trois villes principales de tailles comparables, villes que nous noterons par leur dernière lettre : Montluçon (N), Moulins (S) et Vichy (Y). Chacune des ces villes a déposé une candidature pour devenir capitale, et chaque citoyen souhaite naturellement que la future capitale soit la plus proche possible de chez lui. Ainsi [voir la carte ci-dessous], les habitants de N, à défaut de voir leur ville choisie, préfèreraient S à Y, les habitants de S préfèreraient Y à N, et les habitants de Y préfèreraient S à N. (Nous négligerons ici les citoyens n’habitant aucune des trois villes).

 

Si la Constitution dit bien que c’est par une élection démocratique que doit être désignée la capitale, elle ne précise en revanche pas quelle méthode électorale doit être suivie. Plusieurs méthodes concurrentes, toutes clairement démocratiques, ont été proposées. Nous n’en montrons que trois :
·   Méthode A : Chaque électeur vote pour une ville ; la ville qui reçoit le plus de suffrages gagne.
·   Méthode B : Dans un premier tour, chaque électeur vote pour une ville, puis un second tour est organisé entre les deux villes ayant reçu le plus de suffrages au premier tour ; la ville qui reçoit le plus de suffrages au second tour gagne.
·   Méthode C : Chaque électeur vote contre une ville ; la ville qui reçoit le moins de suffrages gagne.
Diantre, que de possibilités ! Mais bon, vu que ces méthodes sont toutes démocratiques, peut-être donnent-elles en fait la même ville vainqueure… Hélas, non. Imaginons par exemple que 40 % des électeurs habitent N, 35 % habitent Y et 25 % habitent S. Alors :
–  Suivant la méthode A, N gagne par 40 % des suffrages contre 35 % pour Y et 25 % pour S.
– Suivant la méthode B, Y gagne au second tour contre N par 60 % des suffrages contre 40 %, vu que les habitants de S se reportent sur Y au second tour.
–   Suivant la méthode C, S gagne par 0 % des suffrages contre 40 % pour Y et 60 % pour N, vu que les habitants de S et de Y votent contre N et que ceux de N votent contre Y.
La conclusion qu’on tire de cet exemple simplifié, c’est que le concept de “volonté du peuple” se révèle ambigu, dans la mesure où plusieurs définitions a priori raisonnables de cette volonté sont en fait contradictoires… Par conséquent, le concept de démocratie, en tant que régime politique dans lequel les décisions sont prises en fonction de la volonté du peuple, est trompeur ! Aussi bien Aristote que Platon avaient raison. Ainsi, derrière l’idée “naturelle” de démocratie, se pose le délicat problème suivant : comment déterminer la volonté du peuple à partir des préférences individuelles ? Y a-t-il des méthodes qui soient meilleures que d’autres, et si oui lesquelles ?

Le paradoxe de Condorcet

En démocratie, on dit souvent « la majorité a toujours raison », ce qui paraît très simple à première vue. Ainsi, si le choix doit se faire entre 2 options seulement (ce que nous appellerons un référendum), les trois méthodes que nous avons données dans le « dilemme des Alliérins » se confondent en une seule et même méthode : c’est l’option que la majorité des électeurs préfère à l’autre, qui gagne ! 
Toutefois, cette belle simplicité s’écroule dès qu’il y a au moins 3 options ! La découverte de ce phénomène est due au mathématicien français du XVIIIe siècle Nicolas de Condorcet, qui fut le plus important précurseur de l’étude mathématique de la démocratie avec son Essai sur l’application de l’analyse à la probabilité des décisions rendues à la pluralité des voix écrit en 1785. Dans cet ouvrage, Condorcet démontre que la méthode de la majorité peut aboutir à des incohérences, et qu’il n’est donc pas raisonnable de poser le principe que « la majorité ait toujours raison » :
Paradoxe de Condorcet (1785) : « Il existe des situations où les préférences majoritaires des électeurs sont incohérentes, au sens où on peut trouver trois options X, Y et Z telles qu’une majorité d’électeurs préfèrent X à Y, une majorité d’électeurs préfèrent Y à Z, mais pourtant une majorité d’électeurs préfèrent Z à X»

 

Conclusion (provisoire)

La problématique de déterminer la volonté du peuple à partir des préférences individuelles n’a pas de solution parfaite et indiscutable, en particulier à cause du fait que les électeurs ont la possibilité de manipuler le scrutin en exprimant une opinion mensongère afin de mieux faire triompher leur camp. Quand il n’y a que 2 options en lice, la méthode de la majorité surmonte cette difficulté et s’impose comme la méthode la plus convenable ; mais dès qu’il y a au moins 3 options, le paradoxe de Condorcet sur l’incohérence des préférences majoritaires empêche l’existence d’une telle méthode “parfaite”.
C’est pour cela que, quelque soit le mode de scrutin, et quel que soit le pays, les électeurs « gagnants » ont, a posteriori, souvent l’impression de s’être « fait avoir ». Pourquoi ? Parce que la véritable démocratie :
–    Est celle des travailleurs et des petites gens, elle n’est pas le droit de voter pour celui qui, durant plusieurs années, servira de chef de file aux oligarchies dirigeantes et d’un appareil d’État, qui eux n’ont été choisis et ne sont révocables par personne.
–    Ne consiste pas à cacher la réalité de la lutte des classes qui fait qu’une infime minorité accapare toutes les richesses.

 

    Doit être organisée par et pour les classes opprimées et non pour les classes exploiteuses.

    ne cherche pas à camoufler la nature de classe de l’État (État populaire ou État bourgeois) mais au contraire à la rendre consciente.

–    c’est quand des millions d’opprimés font de la politique et chassent les oligarques et leurs valets qui tiennent les rênes du pouvoir afin de les enrichir toujours plus .

 

« J’ai la mémoire hémiplégique

Et les souvenirs éborgnés

Quand je me souviens de la trique

Il ne m’en vient que la moitié

Et vous voudriez que je cherche

La moitié d’un cul à botter ?

Dans ces temps on ne voit pas lerche…

Ils n’ont mêm’ plus d’cul les Français ! »

Léo Ferré – Ils ont voté… et puis après ?

 

 

 

La Gigantesque Arnaque du COVID-19:… du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.
A partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog,
 les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

Blachier, médecin médiatique sans patients,
porte-parole de Big pharma et installateur de peur,
fondateur d’une nouvelle religion : la covidisme !

 

 

 

 

 

 

 

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

On relèvera pareille effondrement chez la Task Force, l’OFSP et les centres hospitalo-universitaires helvétiques. L’indigence de l’analyse et la médiocrité des publications de ces pseudo « centres d’excellence » (en corruption systémique assurément mais au-delà, on ne voit vraiment pas…) détonne et choque, surtout quand on la compare par exemple avec la qualité de l’article que je partage ici.

Le Pr Raoult a mille fois raison de relever qu’il n’y a pratiquement plus aucune science dans les productions des autorités de santé, alors que certaines de celles réalisées à leurs heures perdues par des penseurs compétents et diffusées sur le net surpassent haut la main cette navrante pseudoscience. Pourtant payée -avec largesse- par nos impôts avec des salaires plus que dodus, complétés tant qu’à faire par les contributions de donateurs désintéressés comme un certain « philanthrope » américain, adoré par chez nous, et accessoirement en train de devenir le plus gros propriétaire agricole des États-Unis. Où, nous n’en doutons pas, il s’en donnera à cœur joie avec l’agriculture OGM intensive qui constitue, avec la vaccination (désormais OGM elle aussi) sa principale obsession…

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.

La presse en a hélas donné un contre-exemple assez lamentable, en combinant l’obsession de l’anecdotique et du spectaculaire avec l’enfumage générique. Ce que l’on a pu constater par exemple sur la page web dédiée aux statistiques Covid de la Tribune de Genève, objectivement une des meilleures et des plus complètes de Suisse, mais dont les données les plus importantes étaient reléguées en toute fin de liste, noyées après des tartines et des tartines de données peu pertinentes.

Maniant l’art de décoder les chiffres et de les interpréter avec pertinence, l’auteur fait émerger des motifs puissants, que je résumerai ici à partir de quelques citations. Avec un préambule épistémologique qui est tout sauf secondaire :

« Nous comprenons aisément le rôle du vieillissement dans l’évolution de la mortalité. Les progrès de la science moderne nous permettent aujourd’hui de savoir que plus on vieillit, plus on a de chances de mourir. De plus, en attendant suffisamment longtemps tout le monde finit toujours par décéder. La connaissance du mécanisme sous-jacent à la statistique, c’est-à-dire le rôle des classes d’âges dans la constitution des agrégats statistiques, est l’élément primordial qui permet d’interpréter les résultats quantitatifs. Sans elle nous ne saurions pas quelles sous-populations étudier pour donner du sens aux données. La statistique, malgré les apparences, est incapable de se substituer à la démarche hypothético-déductive exacte qui forme la base de toute méthode scientifique.

En médecine, la primauté de la logique sur les statistiques n’est plus considérée. La médecine basée sur les faits – qu’il vaudrait mieux appeler médecine basée sur les statistiques – a complètement abandonné l’idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d’interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n’importe quoi et elle le sait. John Ioannidis, professeur de médecine à l’université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. » Depuis, la communauté des chercheurs ose avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié en 2016 un article signalant l’impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant publiées dans les règles de l’art, citant par exemple un taux d’échec ahurissant de 89% en oncologie.

On n’insistera jamais assez sur l’importance des disciplines fondamentales. Accusées d’être inutiles, elles sont pourtant les garde-fous qui permettent de savoir de quoi on parle et de comprendre ce que l’on fait : elles sont la conscience qui manque à la science. L’enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni d’épistémologie à l’attention des scientifiques : ils ne savent plus ce qu’est la science, d’où elle vient ni sur quoi elle s’appuie. Ils sont par la force des choses devenus de simples techniciens ignorant les bases de leur propre discipline. On entend dire partout que la médecine est une science : il n’y a rien de plus faux. La médecine est un art, l’art de soigner dans le but de guérir. Elle s’appuie sur des sciences comme par exemple la biochimie ou la physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l’humain qui vient consulter à un ensemble de paramètres conformes. Une thérapie qui soignera l’un tuera peut-être l’autre. Le savoir-faire, le talent et même l’instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Il est une sorte d’ingénieur de la santé ; mais il n’est pas un scientifique. Un mécanicien n’est pas un scientifique ; mais je conseille chaudement à quiconque de ne pas faire réviser sa voiture par un physicien, fût-il détenteur d’un prix Nobel. »

Ceci posé, les analyses et les résultats s’enchaînent ! Premier constat : la mortalité est dans l’ensemble comparable à celle des épisodes grippaux habituels (une fois pondérée du vieillissement important de la population sous l’effet de la génération des baby-boomers). Avec pourtant la singularité d’une mortalité inhabituellement faible pour les tranches d’âge inférieure à 50 ans et normale au possible jusqu’ à… 80 ans !

Voici par exemple un diagramme présentant les courbes de mortalité (en valeur pour mille) pour les deux catégories « âge inférieur à l’espérance de vie » et « âge supérieur à l’espérance de vie ». Pour faire paniquer la population avec cela et lui imposer des mesures totalitaires et destructrices, il faudrait vraiment se lever de bonne heure…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’inconfortable vérité pour l’idéologie (ou l’agenda) totalitaire est que la COVID-19 n’a quasiment pas concerné (en termes de mortalité) les personnes en dessous de l’espérance de vie : il n’y a eu statistiquement aucune différence significative entre mourir de la COVID-19 et mourir de vieillesse.

Déni de soins et mortalité

L’auteur développe ensuite une percutante analyse à partir des données relatives à la prise en charge (hospitalière puisque le rideau des généralistes a été, contrairement à toutes les recommandations en la matière, mis sur le carreau). Pourquoi cela importe-t-il ?

«  De deux choses l’une : on meurt soit à l’hôpital, soit en dehors. Dans le premier cas, c’est le signe que la prise en charge a permis au malade de recevoir des soins. Il est certes mort ; mais bien plus nombreux sont ceux qui survivent. Cependant, dans le second cas, la prise en charge n’a pas été assez efficace pour hospitaliser le malade puis tenter de le sauver. Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins. »

Or c’est bel et bien ce paramètre (qui se dégrade régulièrement mais à bas bruit depuis 2014) qui a explosé l’année passée, atteignant :

« (…) des hauteurs himalayennes en 2020. La COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin. »

La prise en soins apparaît en effet, toutes catégories confondues, comme le principal prédicteur de mortalité ! Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.

« Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 14 et la figure 15 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et que leur dette dépasse 50% de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent comme l’illustre la figure 16, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980. La figure 17 exhibe cette funeste chute sur la période 1997-2018. Mais la raréfaction des ressources hospitalières a commencé bien avant et elle continue encore en 2021 malgré la COVID-19 qui, paraît-il, aurait révélé le manque criant de lits disponibles dans les services de réanimation. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a donc largement de quoi expliquer la hausse des abandons de soins depuis 2014 ainsi que son pic pendant la crise de la COVID-19, en fait principalement un pic de confusion des instances sanitaires.L’auteur conclut dès lors que les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique », ajoutant avec une douce-amère ironie : « quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir. » Ce qui permet de pondérer et mettre en perspectives les données :

« Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.

En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s’impose : la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. »

« Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien. »

Tout le monde se souviendra comment, au moment même où il prohibait d’une manière injustifiée et sans précédent l’hydroxychloroquine, le gouvernement français libéralisait et recommandait la prescription de Rivotril, en particulier dans les Ehpad, aux patients âgés en détresse respiratoire, que l’on soupçonnait d’être atteints du Covid. Si l’affaire a fait couler -à juste titre- beaucoup d’encre, il convient encore de rappeler que « sa notice officielle précise pourtant qu’il n’est absolument pas indiqué dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. »

« Selon la notice de ce produit et les injonctions des autorités de santé, l’état clinique du patient atteint de la COVID-19 ne devrait donc jamais justifier l’injection de Rivotril, bien au contraire : son utilisation dans les cas de détresse respiratoire relève de la faute médicale grave. La notice précise bien que l’âge avancé est un facteur de risque et que l’insuffisance respiratoire est une contre-indications majeure à son utilisation :

« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules : Si vous avez une insuffisance respiratoire grave. »

« Ce médicament peut provoquer chez certaines personnes, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des réactions contraires à l’effet recherché. »

La notice du VIDAL précise en outre [22] :

« Il convient d’utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »

Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la COVID-19 :

‒ insuffisance cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ;

‒ dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt respiratoire.

Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. En effet, le Rivotril n’est pas un analgésique. La lettre aux prescripteur précitée insiste sur ce point :

« L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie postopératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil). »

Au sens strict, l’utilisation du Rivotril ne relève pas de l’euthanasie car le produit utilisé n’est pas un analgésique. Pire encore, elle a toutes les qualités pour précipiter la mort de ceux à qui on préconise de l’injecter. Enfin, le consentement formel et éclairé du patient ou de sa famille n’est pas requis. Ainsi, en toute rigueur, son administration suivant la note de l’ARS Île-de-France et le décret du 28 mars 2020, en plus de constituer un refus de soins caractérisé, entre dans le champ de l’homicide. »

Une autre donnée choquante émerge de l’analyse de la variation des quantités de Rivotril délivrés non seulement en Ehpad mais aussi, de manière importante, en hôpital !

« L’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29’866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique. »

« Confinez ! » qu’ils disaient 

Mais les choses ne s’arrêtent pas là : ainsi que je l’ai moi-même abondamment souligné depuis mars 2020, les mesures coercitives imposées (au premier rang desquelles le confinement) doivent aussi être questionnées quant à leur impact sur l’épidémie et la mortalité de la Covid !

J’avais vérifié, après que le Pr Goetzsche m’ait mis sur la piste, que la connaissance épidémiologique suggère bel et bien que les virus se propagent d’avantage au sein d’un population confinée. Ce fut également…

« … la conclusion d’une grande étude séro-épidémiologique menée par le Ministère de la santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III, les services de santé des communautés autonomes et l’Institut national des statistiques. Les taux de contamination au SARS-CoV-2 ont été mesurés dans différentes catégories de population. Les contaminés ne tombaient par forcément malades ; mais tous ont croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées ont été contaminés par le virus dans une proportion de 6,3%, tandis que les travailleurs l’ont été à 5,3%. La différence est significative ; elle montre que le SARS-CoV-2, à l’instar de la rougeole, est plus virulent dans une population confinée. Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2. »

Une seconde vérification s’offrait par la comparaison entre la France (ayant confiné) et la Suède (qui y a renoncé) :

« Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. En effet la Suède est l’un des rares pays européens à avoir refusé de confiner sa population. On ne constate aucune différence significative. »

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.

Source


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Vintage par Michel

 

 

 

 

 

Pour débuter l’année 2021:des vidéos importantes sur Arruda et l’agenda 21 sécurisés sur notre site web

Pour beaucoup de gens,le grotesque  et odieux personnage d’Horacio Arruda est apparu,un jour,au côté du psychopathe  François Legault,comme un souriant spécialiste des services de santé.

Laissez moi vous enlevez ce dangereux personnage mondialiste de son piedestal:

 


Le piège de l’agenda 21 …nous y sommes déjà dedans:

 

 

 

 

 

 

 

La Gigantesque Arnaque du COVID-19:Les tenants et les aboutissants de l’Arnaque

 

 

Foster Gamble appelle Covid-19 «le plus grand crime de l’histoire» dans cet examen approfondi du sujet.
Des milliards de personnes sont paralysées par la confusion, la peur et l’impuissance.

Ceux qui ne suivent pas la vérité pandémique devraient sauter cet article.

Je considère Foster comme un commentateur crédible et son «lien complet entre les points» mérite d’être pris en considération.

Où réside la vraie maladie – et comment la guérir.

 

 

 

 

 

 

INTRODUCTION

«Si vous dites un mensonge assez gros et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire.» ~ Joseph Goebbels, ministre nazi de la propagande

Des milliards de personnes semblent paralysées par la confusion, la peur et l’impuissance.

Nous entendons dans les médias grand public que la deuxième vague prévue est là et que des nombres record de cas sont signalés. L’Europe ferme à nouveau. Joe Biden vante des mandats de masque nationaux et plus de verrouillages. Les médias traditionnels évitent toute discussion sur des preuves contraires à leur récit, des opinions divergentes d’experts qui ne sont pas d’accord, ou la reconnaissance de la Suède, du Dakota du Sud, de la Russie [1] et d’autres, qui n’ont pas fait de verrouillage et qui étaient apparemment mieux lotis.

Les médias traditionnels nous disent de résister aux théories du complot et que les bonnes personnes obéissent, alors que le nombre de cas supposés, notre économie, nos relations et nos options ne cessent de s’aggraver. Mais que se passe-t-il si les médias sont eux-mêmes le bras d’un complot très réel et dangereux qu’ils nous disent d’éviter? Que nous ayons confiance ou non dans ces sources traditionnelles est au cœur du grand fossé que nous traversons. Même un examen superficiel de qui paie pour les publicités dans les médias grand public révèle un biais en faveur des intérêts pharmaceutiques. Ce n’est que la pointe de l’iceberg.

Foster Gamble

 

 

 

 

 

Onze mois de recherches dévouées m’ont conduit à la conclusion inéluctable que la plupart d’entre nous sont des cibles sans méfiance du plus grand crime de l’histoire . Nous sommes au bord d’un scénario mondial de tyrannie médicale, biologique et politique qui ferait passer l’holocauste d’Hitler ou le grand bond de Mao comme un jeu d’enfant – car cette fois, il englobe la planète entière.

Les bonnes recherches ne manquent pas pour les personnes vraiment curieuses de savoir ce qui se passe réellement, mais vous ne les trouverez pas dans la plupart des journaux grand public. En fait, on peut souvent les identifier parce qu’ils sont censurés. Ce que j’espère offrir au lecteur, c’est une connexion complète des points et des stratégies et ce que nous pouvons faire à ce sujet.

Je décrirai l’histoire cohérente qui a émergé des références croisées de milliers d’articles, d’études, de livres et de vidéos. Je présenterai les informations les plus critiques dans un dialogue de questions-réponses pour distiller de nombreuses conversations que j’ai eues au cours des derniers mois. Cela ne vise pas à instiller la peur, bien que, naturellement, les gens auront toute une gamme de réactions émotionnelles au scénario que je décris. Il vise à informer et à responsabiliser quiconque est prêt à prendre des mesures critiques pour mettre fin aux souffrances inutiles et créer ensemble un monde vraiment prospère.

Alors, accrochez-vous à vos basques… et allons-y.

(REMARQUE: toutes les références (#) se trouvent au bas de cet article.)

DIALOGUE

Q – Alors que pensez-vous de toute cette histoire de COVID?
Je pense qu’il se passe des choses très dangereuses, donc, comme pour les arts martiaux, nous devons nous détendre, trouver notre centre, être agiles et aussi discernant que possible sur ce qui nous attend.

Q – Êtes-vous préoccupé par le virus?
J’essaie d’être attentif à toute contagion qui pourrait me rendre malade, moi ou quelqu’un d’autre. Donc, je fais très attention à garder mon système immunitaire fort et à éviter d’être avec des personnes malades.

Q – Ils appellent cela une «pandémie mondiale», avec des centaines de milliers de morts. Cela ne vous concerne pas?
Ma plus grande préoccupation n’est pas Covid-19, mais ce qui se cache derrière.

Q – Qu’entendez-vous par «qu’est-ce qu’il y a derrière?»
L’expérience de ma vie m’a fait beaucoup hésiter à prendre les déclarations des grands médias, du gouvernement, des mondialistes ou des producteurs pharmaceutiques pour argent comptant. Cela m’a encouragé à voir comment nous pourrions être dupés pour servir leur programme de contrôle accru sur la vie des gens. Je pense que nous devons naviguer en amont dans les hypothèses communes pour découvrir ce qui se passe réellement.

Q – Êtes-vous en train de dire que vous êtes un théoricien du complot?
Oui, comme la plupart des gens qui se sont réellement penchés sur les complots du passé et du présent. Mais plus important encore, je me considère comme un analyste du complot. Je suis très conscient qu’une grande partie de l’activité destructrice dans le monde est le résultat de conspirations très réelles. Ainsi, lorsque nous sommes confrontés à des informations sur la prochaine menace effrayante, nous pouvons regarder à travers plusieurs lentilles.

Nous pouvons paniquer et nous abandonner à tout ce que les contrôleurs nous dictent (comme avec le 11/9, l’effondrement de la bulle immobilière de 2008, Ebola, Zika et la grippe porcine, etc.), ou nous pouvons commencer à chercher avec diligence pour découvrir autant de vérité que nous pouvons. Au cours de mes 15 années de formation et d’enseignement de l’art martial non violent de l’Aikido, j’ai appris que la première condition préalable, pour nous défendre et défendre nos proches, est la conscience de la situation – une évaluation précise de notre réalité environnante.
Ne serait-il pas logique, si le monde entier était réellement confronté à une menace microbienne mortelle, d’avoir des débats publics télévisés avec des experts de toutes les sciences et perspectives? Mais nous n’avons pas vu cela. Plutôt l’inverse. Les projections terrifiantes qui ont justifié toute cette prise de contrôle autoritaire ne se sont pas manifestées. Ces projections de décès ont été créées par Neil Ferguson (1), financé par Gates, de l’Imperial College de Londres, le même type dont les modèles de réchauffement planétaire financés par l’ONU ont été utilisés pour tenter de justifier et de financer un gouvernement mondial unique. Celles-ci aussi étaient outrageusement surestimées mais elles servent encore à effrayer les gens  suffisamment pour atteindre leur objectif prévu de créer une assiette fiscale à partir de laquelle ils veulent financer une autorité mondiale toute-puissante.

Ce que vous voyez lorsque votre contenu est interdit:

 

 

 

 

 

 

Nous avons vu la censure pure et simple (2) de dizaines de milliers d’experts médicaux réputés et d’autres enquêteurs s’ils ne sont pas d’accord avec le dogme de l’establishment transmis par l’Organisation mondiale de la santé, par les CDC Centers for Disease Control, GAVI, les Nations Unies, le World Economic Forum, Big Pharma et certaines des grandes banques.

Les alertes viennent du monde entier. L’archevêque Carlo Maria Vigano (3) avertit: «Le but de la Grande Réinitialisation est d’imposer une dictature de la santé (supprimer la virgule)… avec un passeport sanitaire, une carte d’identité numérique, … et des camps de détention.» C’est l’homme qui a également aidé à démasquer les dissimulations d’abus sexuels sur des enfants au Vatican. Le président du Ghana a également lancé un avertissement public. (4) – vidéo (Citation)

Q – Mais ce sont de grandes organisations bien financées et très respectées dans la communauté internationale. Pourquoi n’accepterions-nous pas l’expertise de ces établissements de haut niveau?

Après des décennies de recherche, j’ai exposé le cas dans THRIVE I (5), selon lequel la principale mission tacite de la plupart de ces organisations n’est pas de favoriser la santé, la liberté et la prospérité des peuples, mais de tromper, de manipuler et de forcer l’humanité à devenir centralisée, une autorité totalitaire mondiale – leur soi-disant Nouvel Ordre Mondial, plus récemment appelé The Great Reset.

Q – Cela ressemble au scénario d’un film de James Bond, pas à la vraie vie. Comment diable un groupe de personnes relativement restreint pourrait-il acquérir suffisamment de pouvoir et garder les choses suffisamment secrètes pour tromper 99,9% de l’humanité en leur faisant renoncer à leurs libertés?

Auriez-vous pu imaginer il y a neuf mois que la quasi-totalité de l’humanité – avec peu de questionnement ou de résistance – pourrait être mise en quarantaine dans leurs maisons, leurs entreprises détruites, obligées de porter des masques et poussées à se icraindre et à s’éviter?

Q – Non, honnêtement, je ne pourrais pas, mais il semble que nous soyons dans une situation difficile qui appelle une réponse dramatique. Cela ne suffit pas pour me faire penser que cela fait partie d’un programme géant pour conquérir le monde.

C’est compréhensible, alors regardons plus en profondeur. J’ai dit très clairement dans THRIVE I et II que ceux qui veulent dominer le monde s’efforcent depuis longtemps d’accomplir certains jalons qui leur donneraient le pouvoir qu’ils recherchent. En neuf ans, pas un seul de ces faits et affirmations n’a été réfuté avec succès et cet ordre du jour a considérablement progressé. Malheureusement, il semble que j’avais raison dans mon diagnostic.

Je rendais récemment visite à une amie – une femme très intelligente qui n’est pas informée sur la plupart de cela, et elle disait qu’elle ne pouvait pas imaginer comment les citoyens allemands auraient pu manquer ce qui se passait vraiment avec l’agenda d’Hitler pendant si longtemps. J’ai dit: « Ils ressentaient probablement le même sentiment de déni que vous ressentez actuellement. » Nous sommes comme la grenouille proverbiale dans la marmite qui est lentement portée à ébullition.[2].

La plupart des universités américaines sont devenues des camps d’endoctrinement marxistes (6) , avec des jeunes hypothéquant leur vie pour s’entraîner à se frayer un chemin vers l’assujettissement ultime qui s’est systématiquement terminé par la pauvreté, l’emprisonnement, la torture et le massacre de masse.

Les mondialistes ont très bien réussi à prendre le contrôle des écoles, des gouvernements, des armées, des agences de renseignement, des devises, des économies, des médias, du divertissement et plus encore. Ils ont supprimé les médias de recherche de la vérité, les nouvelles énergies, les remèdes médicaux révolutionnaires et l’agriculture naturelle.

Cependant, il y a des éléments importants sur la liste de contrôle des «choses à faire» nécessaires des contrôleurs avec lesquels ils n’ont pas réussi suffisamment pour obtenir un contrôle total.

Soudainement, au cours des neuf derniers mois, ils sont sur le point de les accomplir tous.

LISTE DE VÉRIFICATION «TOUJOURS À FAIRE» DES CONTRÔLEURS

Q – Que pensez-vous qu’ils essaient encore de faire?

Voici quelques exemples:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Détruisez les petites entreprises
    • Les méga-sociétés restent ouvertes tandis que les petites entreprises et les églises sont fermées – décimant davantage la classe moyenne (en France, les fast food genre MacDo sont ouverts alors que les autres restaurants sont fermés, ce qui sur la paille beaucoup de chefs et cuisiniers…)
  • Effondrement des économies des États-Unis et d’autres pays
    • Cela éliminerait le principal obstacle à un gouvernement mondial unique, tous les centaines de millions d’amoureux de la liberté, armés et indépendants.
    • Les principaux milliardaires aux États-Unis ont considérablement augmenté leur richesse (7) tandis que des centaines de millions d’autres perdent leurs revenus, leurs entreprises et leurs maisons.
    • Les grandes technologies comme Google, Amazon et Facebook ont​​ soudainement et discrètement acheté des immeubles de bureaux récemment libérés (8)  et des villes ravagées par les émeutes comme New York.
  • Distraire les gens en imprimant des renflouements de trillions de dollars (9) pour les banquiers, les grandes entreprises et les États
    • Les grandes banques américaines et européennes étaient toutes en faillite avec des milliards de dettes sur produits dérivés – et elles étaient incapables d’augmenter les taux d’intérêt, les taxes ou de créer de nouvelles guerres – qui sont les techniques habituelles de sauvetage des grandes banques.

 

 

 

 

  • Faire respecter une société sans numéraire (10)
    • Cela permettrait une surveillance totale et un contrôle numérique des ressources de chacun. Les cryptos gérés par le gouvernement, plutôt qu’indépendants, ne feraient que contribuer à cette stratégie de contrôle.
  • Dissidents censurés – Internet, livres et films
    • Ceci est la version technocratique de la police du ministère de la vérité et de la pensée d’Orwell
  • Susciter des troubles civils
    • Allumer la flamme pour nous amener à nous blâmer et à nous battre les uns contre les autres – comme toutes les «révolutions de couleur» financées par Soros dans le monde, ce qui facilite la justification de la loi martiale et ouvre la voie au système bancaire Rothschild et acquiescement au Nouvel Ordre Mondial.
  • Interdire les manifestations pour la liberté dans des pays du monde entier, notamment à Hong Kong, en France et en Chine
  • Arrêter la vendetta de Trump contre l’État profond en nuisant à l’économie, en le blâmant pour le Covid et en forçant des bulletins de vote par correspondance qui sont plus facilement manipulés
  • Forcer la vaccination mondiale (11)
    • L’eugénisme de Gates / Gavi / Monsanto et le cartel de dépeuplement changent notre ARN / ADN pour transformer l’humanité en une espèce OGM – plus facile à contrôler et prête à fusionner avec des robots d’intelligence artificielle. Les humains naturels voudront-ils se reproduire avec des OGM? Aurons-nous besoin de cartes d’identité pour décrire l’état de notre ADN? Combien de temps avant qu’aucun humain naturel n’existe plus? (12)
  • Obtener des puces RFID dans le corps de chacun
    • Nous rend plus facile à suivre, à devenir malade ou à avoir des effets émotionnels – en utilisant la 5G et d’autres rayonnements EMF
  • Réduire rapidement la population sans que la cause réelle ne soit apparente
    • Une population plus petite est plus facile à contrôler, avec moins de concurrence pour la nourriture
  • Imposer l’Agenda 21/30 de l’ONU (13) et le Green New Deal
    • Il s’agit du plan techno / communiste – présenté par l’ONU sous le couvert de l’environnementalisme et des objectifs de développement durable – pour contrôler toutes les populations, se déplacer le plus dans les villes et gérer de manière centralisée l’attribution des ressources via le réseau intelligent et les scores de crédit social de style communiste chinois.
  • Justifier et imposer une surveillance totale (14)
    • Du ciel, dans les rues, sur nos ordinateurs, dans nos maisons et appareils électroménagers et dans nos corps grâce à l’écaillage avec suivi et traçage
  • Fascisme technocratique
    • Plutôt qu’un dictateur ou un roi individuel (dont les gens ont fini par reconnaître l’autorité injuste), le système technologique lui-même qui nous traque, nous restreint et nous récompense semblera être la source de l’autorité. Mais derrière ce rideau numérique se cacheront toujours les redoutables sorciers sociopathes – des sociétés secrètes perverties utilisant des mensonges et de la fausse monnaie pour dominer ou détruire le reste d’entre nous.[3]
  • Contrôle gouvernemental universel des soins de santé
    • Le contrôle gouvernemental national des soins de santé s’est déjà révélé incompétent et coercitif. Maintenant, l’ONU fait pression pour un contrôle mondial de l’accès de chacun aux traitements médicaux. (15)
  • Un gouvernement mondial
    • L’Accord de Paris sur le climat, le Partenariat transpacifique, la grande réinitialisation du WEF… ce sont toutes des ruses trompeuses pour amener l’espèce humaine à financer, légaliser et se soumettre à un État totalitaire mondial – le grand objectif tragique et mortel de l’Agenda de la domination mondiale.
À quoi ressemble le programme de domination mondiale

 

 

 

 

 

 

Q – C’est peut-être juste une coïncidence? Peut-être que les humains sont intrinsèquement mauvais et ont besoin d’une règle de type parental.

Alors peut-être êtes-vous un «théoricien de la coïncidence»? Le virus n’est pas naturel. L’effondrement économique n’est pas naturel. Les vaccins proposés ne sont pas naturels. Forcer les gens à s’injecter des toxines n’est ni naturel ni moral. Se donner le pouvoir de forcer les gens à quitter leur travail et de restreindre leurs mouvements n’est ni naturel ni moral.

Nous sommes dans un moment très dangereux au niveau mondial – en partie en relation avec notre santé – mais surtout en relation avec les auteurs du programme de domination mondiale utilisant cette opération Covid sous «faux drapeau», ce scénario «Problème / Réaction / Solution», pour sauter leur ligne de but prévue dans leur plan de règle complète des espèces. De leur point de vue, c’est «Comment pouvons-nous obtenir un contrôle complet des systèmes mondiaux avec une résistance minimale et avant que les gens ne réalisent ce que nous faisons?»

Oui, cela peut arriver ici. C’est déjà le cas.

Nous sommes assez nombreux à comprendre cela et à agir. Ils continueront à fonctionner à moins qu’ils ne soient arrêtés.

Nous devons nous réveiller avec cet agenda et non seulement dire NON, mais utiliser cette crise pour dénoncer,  et poursuivre ceux qui nous priveraient de notre liberté, de nos ressources – même de nos vies – pour satisfaire leur besoin de tout contrôler sur la planète Terre.

C’est ce vers quoi ils visent. Nous avons tout mis en garde il y a 9 ans dans Thrive I. La narration est «Voici à quoi ressemble le programme de dépopulation aujourd’hui.» Notez les «vaccins toxiques», «irradiation» et «pandémies d’origine humaine».

 

 

 

Capture d’écran de THRIVE I

 

 

 

 

 

 

 

Il s’agit du cartel mondialiste Rothschild / Gates / Rockefeller / ONU / CIA / WEF / CDC / OMS qui réalise un plan pluriannuel pour couvrir l’effondrement de leurs banques endettées et prendre le contrôle du monde avant qu’elles ne soient complètement exposées, hors du pouvoir et poursuivies.

Q – Êtes-vous en train de suggérer que toute cette épidémie mondiale a été intentionnellement orchestrée afin de faire avancer ce programme ou simplement que certaines personnes profitent d’une pandémie à leur propre avantage?

Mes amis enquêteurs me disent que pour résoudre un crime, suivez l’argent et cherchez le MOTIF , les MOYENS ET l’OPPORTUNITÉ . La domination mondiale a longtemps été une motivation essentielle (plus importante que l’argent pour les gens au sommet de la pyramide qui peuvent imprimer ou prendre votre argent). Bill Gates, George Soros, les Rockefeller, les Rothschild et les autres suspects habituels ont les moyens de racheter, de soudoyer ou de menacer les principales sociétés technologiques, pharmaceutiques et médiatiques ainsi que les grandes agences de régulation. Il est donc logique de voir s’il existe des preuves qu’ils envisagent de créer et de saisir l’ occasion d’infliger leurs méga crimes à l’humanité.

 

 

 

 

 

 

Jetons un coup d’œil aux preuves circonstancielles qui sont accessibles au public et voyons quel genre d’image elles dépeignent.

PREUVE CIRCONSTANCIELLE

Un exercice de juin 2001, connu sous le nom de «Dark Winter», a prédit de nombreux aspects de la réponse gouvernementale à la pandémie qui réapparaîtraient plus tard en 2010. (16)

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié une étude (17) sur les réponses potentielles à une pandémie, dont une appelée «Lockstep», qui est presque identique à l’arrêt autoritaire mondial actuel.

La même année, Bill Gates a annoncé la «Décennie du vaccin: 2010-2020». (18)

 

 

 

 

 

Gates est un eugéniste de deuxième génération (19) en faveur d’une dépopulation drastique qui a parlé à plusieurs reprises en public du rôle positif des vaccins dans la réduction de la population.

Gates, le CDC, l’OMS et divers Big Pharmas ont été attrapés à plusieurs reprises avec des stérilisants cachés dans les vaccins qu’ils faisaient la promotion en Afrique, aux Philippines, au Mexique, en Inde, etc.

 

 

 

 

Gates était l’un des principaux bailleurs de fonds du coffre-fort de semences biologiques du Svalbard, en Norvège (20) , tout en poussant des semences OGM chez les agriculteurs africains et indiens.

Gates a financé toutes les étapes de ce programme de vaccination – planification, armement, fabrication, vaccination, tests, traçage, suivi, puce, l’OMS et les médias.

Gates était un partenaire, avec le CDC, l’OMS, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes banques et Johns Hopkins dans la création de l’événement 201 (21) – en octobre 2019. Cette répétition de scénario enregistrée sur vidéo montre une fois de plus la planification détaillée des verrouillages mondiaux, les effondrements économiques , les pénuries alimentaires, les troubles civils et les dépassements autoritaires – avec la pandémie comme excuse.

Les recherches du Dr David E. Martin révèlent que le CDC a commencé à breveter illégalement la propriété du virus Sars-Covid en 2003. (22) [4]

Fauci a détruit la recherche de dénonciation de doctoresse Judy Mikovitz sur le virus et l’a fait emprisonner pendant des années sans aucune accusation. Pourquoi feraient-ils cela? Elle raconte son histoire dans le film PLANDEMIC et dans ses livres, PLAGUE and PLAGUE OF CORRUPTION.

Fauci a fait volte-face sur les masques, les tests et les verrouillages – en fonction de la manière dont le vent politique souffle. La seule chose dont il semblait certain était en 2017, lorsqu’il a déclaré dans un discours public: « Trump verra une pandémie surprise au cours de son mandat (23) » . Était-il un devin oracle… ou plutôt était-il au courant?

L’ONU s’est efforcée d’imposer son Agenda 21 (24) comme une façade pour un gouvernement de style communiste mondial. Est-ce une coïncidence si elle devait être achevée juste après la «décennie du vaccin»? Apparemment, il est un peu tard, il a donc été renommé Agenda 2030.

Les gouvernements du monde entier ont mis fin à la promotion ou à l’utilisation de l’hydroxycholoraquine (25) – qui s’est avérée efficace pendant plus de 40 ans avec des symptômes de type Covid, mais qui concurrencerait les nouvelles innovations de plusieurs milliards de dollars des grandes entreprises pharmaceutiques et exclurait le besoin d’une vaccination mondiale.

Les nouveaux verrouillages sont basés sur des «cas». (26) «Plus de tests conduisent à plus de « cas », car les tests PCR ne sont pas seulement peu fiables, mais peuvent être facilement truqués en faisant plus que les cycles recommandés. La plupart des personnes dites «infectées» ne présentent aucun symptôme. Elles sont en bonne santé et rien ne prouve qu’elles infectent d’autres personnes dont l’immunité n’est pas compromise. (27)

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans un classique «bait and switch», Big Media et Big Tech ont fait la transition de leur appât de médias sociaux gratuits et l’ont fait passer à une exploration complète des données, au suivi, à la limitation de la portée des réseaux et finalement à la censure pure de tout message allant à l’encontre du récit mondialiste – même s’il s’agit de dizaines de milliers de médecins, d’infirmières et de scientifiques réputés. (28)

Des camps de confinement Covid (29) sont en cours de création dans de nombreux pays, à commencer par l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et les États-Unis (FEMA) [5]. Dans Thrive I, nous avons souligné que ceux-ci étaient en cours de rénovation «en cas de pandémie ou de troubles sociaux».

Le PDG de Moderna a vendu tout son stock (30) immédiatement après une flambée des prix basée sur des contrats gouvernementaux pour un vaccin non encore testé. Si le capitaine du navire est en train de renflouer, que dit-il pour le reste d’entre nous?

Le PDG de Pfizer a vendu 62% de son action (31) dans un scénario similaire.

Avant la déclaration d’une pandémie, Klaus Schwab et son Forum économique mondial avaient déjà préparé leur «grande réinitialisation», le programme détaillé pour prendre le contrôle de l’économie mondiale, établir la tyrannie médicale et un gouvernement mondial unique, ainsi que la vaccination, la puce et suivi de tout le monde, partout. «Les problèmes mondiaux nécessitent des solutions mondiales», déclare Schwab. Et il nous assure: «D’ici 2025, vous ne posséderez rien… et vous en serez heureux (32) .»

Maintenant, nous avons beaucoup de preuves sur la façon dont les autoritaires émergents pensent et agissent quand ils pensent que personne ne les voit. Gavin Newsom, Nancy Pelosi, Diane Feinstein, London Breed, Steve Adler, Lori Lightfoot et de nombreux autres politiciens dictatoriaux ont été surpris en train d’ignorer hypocritement leurs propres décrets de verrouillage. Et ce n’est qu’aux États-Unis.

 

 

RÈGLES POUR TOI MAIS PAS POUR MOI –
Nancy Pelosi au salon de coiffure, Gavin Newsom au French Laundry,
Diane Feinstein à l’aéroport de DC

 

 

 

 

 

Je pourrais continuer encore et encore… Nous entendons sans cesse: «Cela ne semble tout simplement pas logique.» Oui… à moins que l’on ne comprenne l’Agenda pour la domination mondiale. Ensuite, cela devient évident.

 

 

 

 

 

 

 

 

Q – Êtes-vous en train de dire que vous pensez que ce virus s’est propagé intentionnellement? Et voulez-vous dire que le virus était d’origine humaine?

Je ne sais pas personnellement de manière concluante, mais il existe de nombreuses preuves convaincantes qui le suggèrent. Considérez les faits suivants:

La base de l’armée à Ft. Detrick, dans le Maryland, était l’endroit où la soi-disant recherche sur le «gain de fonction» était menée pour créer des armes biologiques basées sur Covid. Il a été fermé en 2019 (33) en raison d’apparentes violations de la sécurité. La recherche s’est poursuivie à Wuhan, en Chine, avec un financement de 3,7 millions de dollars du NIAID dirigé par le Dr Fauci (34) .

Le Dr Paul Cottrell, qui a étudié la «bioinformatique» de Covid-19, a trouvé au moins quatre modifications humaines (35) – des «inserts» génomiques pour rendre Covid plus contagieux et toxique pour les humains. (Il y a toujours l’excuse que «nous devons le développer pour trouver un antidote» ou un vaccin – au cas où quelqu’un d’autre le développerait.). Le virologue lauréat du prix Nobel, le Dr Luc Montagnier, a également déclaré publiquement que «Covid-19 était créé dans un laboratoire séropositif. (36) »

Un autre professeur de Harvard (37 ans) a été arrêté pour avoir secrètement fourni des matériaux toxiques et consulté le laboratoire de Wuhan.

Les rayonnements toxiques, comme la 5G, semblent être l’une des sources de dommages à notre système immunitaire qui nous rend vulnérables à la contagion Corona. [6]
Wuhan a été la première de nombreuses villes de Chine à être complètement couverte de rayonnement 5G (38) – peu de temps avant l’épidémie. Les navires de croisière Princess Line (39) qui étaient mis en quarantaine avec un grand nombre de cas Covid s’étaient vantés de leur nouvelle couverture 5G sur l’ensemble des navires.

 

 

 

 

 

 

 

Je reconnais qu’il existe de nombreux cas de Covid, y compris ceux présentant de réels symptômes, dans des régions où il n’y a pas de 5G. Cependant, je pense que la 5G est une source importante de toxicité, qui submerge notre corps et nous rend vulnérables à diverses maladies. Il existe également d’autres sources.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Jeux mondiaux militaires (40) ont eu lieu à Wuhan à la fin de 2019. L’équipe américaine – de Ft. Detrick – généralement de solides performances, a terminé 35e, derrière des équipes comme l’Iran, la Finlande et la Slovénie. L’équipe était logée à distance de marche du marché libre que certains appellent «Ground Zero» – la source de la propagation virale qui s’est produite quelques jours après le départ de l’équipe. Y a-t-il eu des soldats sélectionnés qui étaient en quelque sorte engagés dans le démarrage de la propagation? De nombreux participants sont tombés malades. Ont-ils été utilisés pour ramener la contagion dans leurs pays? [7]

Q – Mais maintenant, on dit que la «deuxième vague» arrive… les gouvernements et l’OMS signalent une augmentation significative des cas partout dans le monde. Ne pensez-vous pas que c’est urgent?

Je suis profondément désolé pour la perte d’êtres chers que vivent les gens. Tout comme je le serais s’ils mouraient d’une autre maladie.

La grande majorité des décès dits Covid concernent des personnes âgées de plus de 65 ans (41) et présentant des conditions préalables à la sortie – comorbidités.

Les taux de mortalité globaux sont en baisse (42) malgré Covid et toutes les personnes qui n’ont pas pu obtenir de soins nécessaires pour d’autres afflictions.

 

 

 

 

 

 

Les statistiques sur la propagation de Covid sont extrêmement gonflées (43) . À qui cela servirait-il?

Les rapports d’hôpitaux débordés se sont avérés extrêmement exagérés. Pourquoi?

Les hôpitaux ont été considérablement incités financièrement (44) à appeler pratiquement tous les décès Covid. Cela signifie plus d’argent pour les hôpitaux, mais cela sert-il un programme plus large de remplissage des chiffres?

 

 

 

 

 

 

Les tests PCR utilisés pour établir les nombres de «cas» ne sont absolument pas fiables (45) à cette fin, même comme l’atteste son inventeur – même Fauci dit qu’il est inutile s’il est effectué plus de 35 fois et la plupart des tests sont effectués à 37-40 cycles ou plus . Pourquoi quelqu’un ferait-il ça? Les tests PCR ne reflètent même pas avec précision la présence d’un virus.

 

 

 

 

 

 

Q – Suggérez-vous qu’il n’y a peut-être même pas de virus?

Comme l’expliquent le Dr Robert Young et le Dr Tom Cowan, il semble y avoir un EFFET CORONA important – pas un virus Corona.

Les postulats de Koch et Rivers établissent la norme pour prouver l’existence de virus (c’est ce qui est enseigné à l’école de médecine), tels que l’isolement, la reproduction et l’infection (46) . Aucun virus, y compris Corona, n’a jamais répondu aux critères de cette norme.

Du Dr Andrew Kaufman, MD – Postulats de Koch: ont-ils été prouvés pour les virus? ou (Le coq dans la rivière des rats)

 

 

 

 

 

 

 

L’effet Corona est une fonction de notre système immunitaire excrétant les toxines de nos cellules sous forme d’exosomes (les sphères couronnées). Si nous en sommes surchargés, cela endommage notre circulation, notre respiration, notre santé. Les envoyer en grand nombre sur d’autres qui sont également déjà débordés donne l’illusion qu’il existe un «bug» infectieux qui veut nous nuire. Cette dynamique peut être militarisée.

 

Par le Dr Andrew Kaufman, MD - Covid-19 et exosomes
Par le Dr Andrew Kaufman, MD – Covid-19 et exosomes

 

 

 

 

 

 

 

Le Dr Young demande: «Si votre poisson rouge est malade, allez-vous d’abord le traiter avec un vaccin… ou changez-vous l’eau?»

D’après le Dr Robert O. Young –
La théorie du terrain contre la théorie des germes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Louis Pasteur, le père de la théorie des germes, a déclaré sur son lit de mort: «Le germe n’est rien. Le terrain est tout. » Nous devons nettoyer le terrain de nos fluides interstitiels en éliminant les métaux lourds, l’excès d’acide, le stress, l’air polluant, la nourriture, l’eau et les rayonnements électromagnétiques. Les vaccins exacerbent la condition toxique dans notre corps et peuvent être utilisés pour «abattre le troupeau» – pour une action proactive de  dépeuplement.
La grippe espagnole de 1918 a «coïncidé» avec la première couverture majeure de populations humaines avec des ondes radio et des tests chimiques toxiques sur des soldats américains (47) .
L’épidémie de «virus» Zika en Afrique a «coïncidé» avec une exposition massive au glyphosate toxique et à la vaccination par DTC. (48)
En 1968, la grippe de Hong Kong «coïncidait» avec l’utilisation massive du radar (49) . L’oxyde d’aluminium utilisé dans de nombreux vaccins peut agir comme une antenne réceptrice qui amplifie les effets destructeurs des radiations – comme la 5G.
Ces théories sont importantes à considérer et si la santé mondiale était vraiment l’objectif, elles feraient partie du débat public, non censurées. Ils soulignent certainement l’importance d’établir et de maintenir un mode de vie sain en tant qu’élément essentiel de notre défense contre Covid, et pourtant les gymnases, les parcs et les plages sont fermés car les gens sont obligés de respirer leur propre C02, qui est connu pour nous rendre malades.
Q – Êtes-vous en train de dire que tout cela est simulé pour des profits?
Le profit va de pair avec le contrôle. Big Pharma est déjà en train de ratisser d’énormes contrats gouvernementaux pour des vaccins non testés. Une condition comparable à une grippe grave est utilisée pour générer la peur et l’effondrement économique pour affaiblir et terrifier les masses en vue d’un contrôle total.
 
DOUBLESPEAK À L’ENVERS
Lorsque nous sortons du contrôle de l’esprit orwellien, il est soudainement évident que …
–  «La quarantaine est en fait une« arrestation à domicile ».
–  «La distance sociale est en fait une « isolation forcée ».

–  Le port du masque est considéré par de nombreux experts et tests comme non seulement inutile (sauf comme un symbole de notre subjugation), mais dangereux (50) .
–  La «nouvelle normalité» n’est pas une normale naturelle d’un individu en bonne santé, souverain et prospère dans des communautés bénévoles, mais un État policier totalitaire technocratique, biologique, médical et politique mondial.
Si cette soi-disant «pandémie» que les mondialistes milliardaires ont prédit, planifiée, perpétrée et dont ils ont profité était ce qu’ils disent, pourquoi auraient-ils besoin de:
– Fabriquer des modèles exagérés et défectueux
– Utiliser des tests peu fiables
– Exagérer les nombres de «cas» lorsque le taux de mortalité réel est minuscule
Les hôpitaux et les navires médicaux semblaient débordés
– Censurer des données et des opinions divergentes?
Q – Alors, que pensez-vous qu’il se passe réellement?
J’ai entendu un résumé en une seule équation!… 1929 + 1984 + 911 = 2020 Effondrement économique orchestré (1929) + État policier envisagé (1984) + terrorisme sous faux drapeau (911) = Covert 19 Scamdemic (2020)

 

 

 

 

 

Beaucoup de gens peuvent le sentir. Nous nous dirigeons vers une sorte de conflit majeur, une guerre civile mondiale, mais quelles sont les parties?

Est-ce la gauche contre la droite, les conservateurs contre les libéraux? Est-Ouest? Masque contre pas de masque? Vaccin vs pas de Vaccin? Noirs vs Blancs? Hommes vs femmes? Riches vs pauvres?

Ce sont les batailles «diviser pour régner» dans lesquelles l’élite veut nous duper tout en dissimulant la vraie bataille – dans laquelle elle serait largement dépassée en nombre et immédiatement vaincue si l’humanité était suffisamment consciente. Et c’est… la lutte entre ceux qui veulent être vraiment libres et ceux qui veulent continuer à nous voler notre liberté.

Telle est la véritable signification du terme «conformité». C’est comme l’Allemagne dans les années 40, l’URSS dans les années 50 et la Chine dans les années 60 – mais en pire, car c’est mondial et cela inclut l’abandon non seulement de nos droits et de notre liberté, mais de notre ADN même et potentiellement de nos vies. Si nous perdons cette guerre, il n’y a personne d’autre pour nous sauver, pas d’endroit où fuir, pas d’endroit où se cacher. Cela dépend de nous et le moment est venu de se réveiller et de défendre la liberté.

Q – N’y a-t-il donc de BONNES NOUVELLES dans tout cela?

BONNES NOUVELLES
  1. Cette fraude mondiale est si évidente – pour quiconque ose penser de manière critique et relier les points … que les gens se remettent en question récemment et se réveillent par centaines de millions au programme de contrôle et de fraude pour la domination mondiale – le Nouvel Ordre Mondial, le Grande réinitialisation.

 

 

 

 

 

 

  1. Covert-19 a clairement indiqué que l’humanité peut se connecter à l’échelle mondiale et agir en quelques jours ou semaines. Imaginez si nous nous connections tous autour d’une vraie liberté , de percées scientifiques bénéfiques et d’ une collaboration volontaire .
  2. Les politiciens et les dirigeants institutionnels doivent prendre des positions publiques sur des questions telles que le consentement éclairé, la liberté de la santé, le choix du masque, le choix ou non du vaccin obligatoire, les décrets gouvernementaux autoritaires, les verrouillages et les médias menteurs ou de vérité … Les politiciens et les dirigeants institutionnels doivent prendre des positions publiques, ce qui révèlera de façon dramatique leurs côtés autoritaires et leur pulsion psychopathique pour un contrôle absolu dans tous les aspects de nos vies.
  1. Puisque les soi-disant «virus» ne sont pas des entités vivantes et reproductrices, au sens habituel, ils sont très difficiles à manipuler / à armer pour se propager et tuer. Cela nous donne une chance de nous réveiller en tant qu’espèce et de neutraliser les sociopathes qui, l’histoire nous le montrera, viendront ensuite avec les décès par vaccin, l’internement et le meurtre de dissidents.
  2. Il existe une solution saine . Éliminer les toxines comme la 5G, la pollution, les pesticides , les OGM, les herbicides qui empoisonnent notre environnement et notre corps. Renforcer notre système immunitaire avec des aliments sains, de l’air pur, de l’eau et des aliments. Faire de l’exercice et réduire notre stress. Nourrissons plus de contacts, de but dans la vie et d’amour.
  3. Nous devons trouver nos épines , trouver nos amis en toute liberté et trouver comment nous allier avec succès autour de principes vrais et éthiques. Les gens grandissent et partagent de la nourriture, trouvent des modes alternatifs d’éducation centrée sur l’enfant et forment des groupes de solutions locaux et virtuels.
  4. Les White Hats aux États-Unis (véritables patriotes et amateurs de liberté dans l’armée et les agences de renseignement) travaillent main dans la main avec l’ Asian Dragon Alliance (les familles royales les plus riches de Chine, du Japon, d’Indonésie, des Philippines et du Viet Nam) pour évincer les banques de la Cabale, et pour le retour dans un monde multipolaire basé sur des devises honnêtes et adossées à des actifs, un commerce éthique et la protection de l’environnement. Parmi ces forces, ils ont les preuves, les renseignements, de l’argent et la force militaire pour accomplir cette tâche historique et commencer à libérer le monde. Je ne crois pas que les auteurs de l’agenda totalitaire réussiront, parce qu’ils sont dénoncés et parce qu’ils ne comprennent pas le pouvoir de l’amour et de la vérité.
  5. Nous créons, par nécessité, de nouvelles plateformes Internet (Bitchute, LBRY, Brighteon, Parler, Locals, MeWe, etc.) pour le partage d’informations qui honorent la liberté d’expression, des points de vue divergents, la confidentialité des données et des informations vitales pour notre santé et notre sécurité.
  6. La motivation monte en flèche pour trouver une base pour un moyen durable pour les gens de coexister harmonieusement . Il est clair que les gens ne s’entendront pas sur toutes sortes de choses, et il est temps de changer notre objectif de forcer les autres à respecter notre point de vue pour  établir une morale universelle où les principes, et non la politique, sont la réponse cohérente. Plus précisément, le principe de non-agression (NAP – comme on le voit dans Thrive II) (51) , où chacun de nous est responsable de ne pas violer les droits d’un autre contre sa volonté.

QUE POUVONS-NOUS FAIRE?

  1. Trouvez le courage de dépasser votre peur . Ceci est pour vos petits-enfants. C’est pour l’avenir de notre espèce. C’est la bataille pour l’utopie (basée sur la vraie liberté) ou l’oubli (basée sur l’assujettissement total aux autoritaires corrompus et psychopathes que nous appelons «l’État profond».) Partagez cet article et d’autres médias alternatifs de dénonciation avec votre communauté, levez-vous contre la honte dominante qui garde les chercheurs de vérité dans le placard.
  2. Tenez-vous debout à votre façon . Trouvez votre chemin d’objectif. Clarifiez votre mission. Choisissez votre secteur d’intérêt sur lequel concentrer vos efforts. Choisissez votre principal problème dans ce secteur et le niveau d’engagement qui vous convient (besoins immédiats, changement systémique ou changement de conscience) de toutes les manières possibles.
  3. Joignez-vous à d’autres via le ThriveOn Solutions Hub (52) ou d’autres infrastructures collaboratives décentralisées. Formez des groupes locaux de liberté et partagez des ressources et les meilleures pratiques avec d’autres groupes dans votre comté, état, pays et au niveau international. (Le ThriveOn Solutions Hub est conçu pour prendre en charge tout cela. Il s’agit d’ une plate-forme destinée à faciliter l’action coordonnée mondiale que Thrive lance en 2021. )
  4. Soutenez les sources de Truth Media engagées dans une vérité fondée sur des preuves plutôt que les annonceurs d’entreprise, les partis politiques ou les États-nations

 

 

 

 

 

  1. Classer des poursuites – comme le Dr Reiner Fullmich (53) et Robert Kennedy Jr. (54)
  2. Délivrer des avis de responsabilité et de déshonneur (techniques de common law pour tenir les auteurs responsables et empêcher leurs actes destructeurs.) (55)
  3. Manifestez dans d’énormes actions de masse critique.

 

Manifestation de Berlin,cet été.

 

 

 

 

 

 

 

  1. Rejoignez-nous pour protéger vos entreprises locales .
  2. Se désinvestir , boycotter et poursuivre en justice les organisations et les individus responsables.
  3. Dénoncez et abandonnez les politiciens corrompus.
  4. Demandez à vos shérifs et policiers locaux de cesser d’appliquer la tyrannie Covid et de sanctionner des crimes dans lesquels il n’y a aucune victime.
  5. Activez votre sifflet! Si vous êtes en mesure de dénoncer la corruption et la conspiration dans votre société pharmaceutique, hôpital, agence de régulation, bureau gouvernemental, média, faites-le comme si l’avenir de l’humanité en dépendait.
  6. Achetez autant de terres réelles , de graines, de crypto-monnaies et de métaux précieux que possible. Stockez de l’eau, de la nourriture et d’autres fournitures.
  7. Créez et utilisez des alternatives à la tromperie du Covid Pass – compagnies aériennes, banques, écoles, lignes de bus, restaurants et plus encore… comme des bastions sécurisés de santé et de liberté économique.

 

Imaginez un vaccin tellement bon pour votre santé
qu’on vous menace pour que vous le preniez
Pour une maladie tellement mortelle
qu’on doit vous tester pour savoir si vous l’avez

 

 

 

 

 

 

 

 

S’il vous plaît, ne me croyez pas simplement parce que j’écris cela. Vérifiez par vous-même. Nous ignorons cela à nos risques et périls et à celui de notre espèce.

«Ce sont la maladie. Nous sommes le remède.~ Jon Rappoport

«Ce qu’il faut, c’est de la bravoure et de la désobéissance.» ~ Gary Barnett

«Nous devons apprendre qu’accepter passivement un système injuste, c’est coopérer avec ce système, et ainsi devenir un participant à son mal.» «Ceux qui aiment la paix doivent apprendre à s’organiser aussi efficacement que ceux qui aiment la guerre.» ~ Dr. Martin Luther King jr.

 

Si le peuple pouvait réaliser sa puissance, tout serait différent

 

 

 

 

 

 

 

Il y a de la lumière à la fin du Trance-demic Rabbit Hole.

Nous avons la vérité et la force vitale de notre côté.

Réveillez-vous. Parlez. Agissez maintenant pour créer un avenir prospère!

RÉFÉRENCES

1 – Le modèle informatique de Neil Ferguson Neil Ferguson est déchiré en lambeaux https://www.technocracy.news/neil-fergusons-computer-model-is-ripped-to-shreds/

Analyse: les racines communes du changement climatique et de l’hystérie COVID-19 https://regulatorwatch.com/reported_elsewhere/analysis-the-common-roots-of-climate-change-and-covid-19-hysteria/

Imperial College clairement lié à la réponse américaine à la pandémie https://www.technocracy.news/imperial-college-clearly-linked-to-us-pandemic-response/?print=print

Imperial College (Royaume-Uni) trouvé en tant que seul agent de panique sur le coronavirus https://www.thelibertybeacon.com/imperial-college-uk-found-as-sole-agent-of-panic-over-coronavirus/

2 – Censure Oligarques ou gouvernement: qui dirige vraiment la censure des Big Tech? https://www.technocracy.news/oligarchs-or-government-who-really-directs-big-tech-censorship/ BREAKING: YouTube démantèle la chaîne «The Highwire» de Del Bigtree après que ses enquêtes ont remis en question le COVID-19 truqué récit de l’OMS et du CDC https://www.newsbreak.com/news/1609151368228/breaking-youtube-de-platforms-del-bigtrees-the-highwire-channel-after-his-investigations-questioned-the-rigged- covid-19-narratif-de-qui-et-cdc

CHD répond à l’accusation de diffusion de «désinformation» sur Facebook https://childrenshealthdefense.org/news/chd-responds-to-accusation-of-spreading-misinformation-on-facebook/

Facebook et Twitter franchissent une ligne bien plus dangereuse que ce qu’ils censurent https://theintercept.com/2020/10/15/facebook-and-twitter-cross-a-line-far-more-dangerous-than-what-they -censurer/

YouTube annule l’interdiction de deux ans de The Health Ranger, puis interdit la première vidéo mise en ligne qui exhorte les téléspectateurs à passer à Brighteon.com https://www.naturalnews.com/2020-07-07-youtube-reverses-two-year -ban-of-the-health-ranger.html

YouTube interdit les vidéos Mercola https://www.lewrockwell.com/2020/06/joseph-mercola/youtube-bans-mercola-videos/

Twitter lève la barre de la censure sur COVID-19 https://www.technocracy.news/twitter-raises-censorship-bar-over-covid-19/ Technofascism: livre numérique brûlant à l’ère totalitaire https://www.lewrockwell.com / 2020/05 / john-w-whitehead / technofascisme-livre-numérique-brûlant-à-l’ère-totalitaire /

Censure du coronavirus: les entreprises de médias sociaux s’associent à l’OMS pour censurer Info https://needtoknow.news/2020/03/coronavirus-censorship-social-media-companies-partner-with-who-to-censor-info/

3 – Lettre puissante de l’archevêque Viganò de Carlo Maria Vigano au président Trump: La lutte éternelle entre le bien et le mal se joue en ce moment https://www.lifesitenews.com/opinion/archbishop-viganos-powerful-letter-to-president-trump-eternal -la-lutte-entre-le-bien-et-le-mal-se joue-maintenant

4 – Le Président du Ghana LE PRÉSIDENT DU GHANA EXPOSE L’AGENDA DE LA CORONA – Nana Akufo-Addo – COVID19 – CORONAHOAX https://youtu.be/6_Pg1XCsNPU

5 – THRIVE I https://www.thriveon.com/thrive-i

6 – camps d’endoctrinement marxiste – socialisme à la hausse: Les universités et les Profs « radicales » aidant steer changement dans la politique de la gauche, les critiques disent https://www.foxnews.com/politics/socialism-rising-universities-and-radical-profs-helping-steer -guerre-en-politique

100% des professeurs sont de gauche dans 40% des collèges américains https://www.independentsentinel.com/100-of-professors-are-leftists-in-40-of-us-colleges/

7 – Les milliardaires aux États-Unis ont augmenté leur richesse en ballon de fortune des milliardaires américains à plus de 1000 milliards de dollars depuis le début de la crise COVID: rapport https://www.nydailynews.com/news/national/ny-billionaires-get-richer-20201126-2schu3d6gzeotmulc3tc3n6z5a -story.html

Milliardaires américains Râteau dans une autre 1 billion $ depuis le début de la pandémie https://childrenshealthdefense.org/defender/american-billionaires-another-1-trillion-since-pandemic/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=cd018a74-f455-4c6e-a69e- dbae75bead44

8 – Achat d’immeubles de bureaux récemment libérés, Manhattan vidé pendant la pandémie, mais les grandes technologies déménagent https://www.nytimes.com/2020/10/13/nyregion/big-tech-nyc-office-space.html

9 – Sauvetages d’un billion de dollars Les États-Unis ont jeté plus de 6 billions de dollars dans la crise des coronavirus. Ce nombre pourrait augmenter. https://www.washingtonpost.com/business/2020/04/15/coronavirus-economy-6-trillion/

10 – La société Cashless La Fed présente la Cashless Society http://www.theuncensoredreport.com/2020/10/fed-introduces-cashless-society/

Le cercle est terminé: la BOJ se joint à la Fed et à la BCE pour préparer le déploiement de la monnaie numérique https://www.lewrockwell.com/2020/10/tyler-durden/the-circle-is-complete-boj-joins-fed-and- la BCE prépare le déploiement de la monnaie numérique /

Voici comment une société sans numéraire affecterait la vie quotidienne https://www.lewrockwell.com/2020/08/daisy-luther/heres-how-a-cashless-society-would-affect-day-to-day-life /

11 – Forcer la vaccination mondiale Le New England Journal of Medicine promeut les vaccinations obligatoires et explique aux États comment le faire https://www.technocracy.news/new-england-journal-of-medicine-promotes-mandatory-vaccinations/

La Chine commence un programme de vaccination non prouvé mais largement répandu https://www.technocracy.news/china-begins-unproven-but-widespread-vaccination-program/

OBEY OU AUTRE: New England Journal of Medicine dit que les gens qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES coronavirus doivent être sévèrement punis, enfermés dans leur maison et ont tiré de leur emploi https://www.naturalnews.com/2020-10-04-new-england-journal -of-médecine-obligatoire-vaccins-coronavirus-punis.html

Le gouvernement américain et Yale organisent des essais cliniques sur la meilleure façon de «  persuader  » les Américains de prendre le vaccin COVID-19 https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/us-government-yale-hold-clinical-trials-on -comment-mieux-persuader-les-Américains-de-prendre-le-vaccin-covid-19 /

Le vaccin contre le coronavirus est l’arme de dépopulation «solution finale» contre l’humanité; les mondialistes espèrent convaincre des MILLIARDS de personnes de se suicider via le vaccin https://www.naturalnews.com/2020-08-03-coronavirus-vaccine-final-solution-depopulation-weapon.html

Plan de vaccination forcée dévoilé https://www.lewrockwell.com/2020/07/bill-sardi/forced-vaccination-plan-unveiled/

Ce que la vaccination obligatoire et le déploiement de la 5G ont en commun https://www.greenmedinfo.com/blog/what-mandatory-vaccination-and-5g-rollout-have-common-12

Health Ranger déclare son indépendance de la tyrannie médicale: nous avons tous le droit de légitime défense contre les vaccins forcés https://www.naturalnews.com/2020-07-04-health-ranger-declares-independence-from-medical-tyranny- nous-avons-tous-le-droit-de-légitime-défense-contre-les-vaccins-forcés.html

La technocratie dans votre corps: pas la science-fiction https://blog.nomorefakenews.com/2020/06/19/technocracy-inside-your-body-not-science-fiction/

Pourquoi le public devrait-il se rebeller contre la vaccination forcée https://www.technocracy.news/why-the-public-should-rebel-against-forced-vaccinations/

12 – Au-delà des humains naturels – L’ÂGE DES MACHINES SPIRITUELLES – Ray Kurzweil

13 – Imposer l’Agenda 21/30 de l’ONU https://www.thriveon.com/media/agenda-21-think-globally-enslave-locally-qa-with-thrive

14 – Justifier et imposer une surveillance totale Une biopuce implantable financée par la DARPA pour détecter le COVID-19 pourrait frapper les marchés d’ici 2021 https://www.mintpressnews.com/darpa-covid-19-vaccine-implant-mrna/271287/

Microchip’d? La biopuce DARPA pour nous «sauver» de COVID peut contrôler l’ADN humain https://www.zerohedge.com/technology/microchipd-darpa-biochip-save-us-covid-can-control-human-dna

Micropuces, nanotechnologie et biocapteurs implantés: la nouvelle norme? https://childrenshealthdefense.org/child-health-topics/military-vaccines/microchips-nanotechnology-and-implanted-biosensors-the-new-normal/

Cela commence: essais de passeport COVID sur United Airlines au Royaume-Uni https://www.technocracy.news/it-begins-covid-passport-trials-on-united-airlines-in-uk/

Google et Oracle vont surveiller les Américains qui reçoivent le vaccin Covid-19 de Warp Speed ​​pendant jusqu’à deux ans https://www.thelastamericanvagabond.com/google-oracle-monitor-americans-who-get-warp-speeds-covid-19-vaccine -pendant deux ans/

Premier test des «passeports d’immunité» qui a lieu aujourd’hui https://www.technocracy.news/first-test-of-immunity-passports-taking-place-today/

Vous ne parlez pas aux traceurs de contact? Il y a une assignation pour cela https://www.technocracy.news/wont-talk-to-contact-tracers-theres-a-subpoena-for-that/

Contact Tracing in the Circus of Robots https://blog.nomorefakenews.com/2020/06/01/contact-tracing-in-the-circus-of-robots/

US Surveillance Bill 6666: The Devil in the Details https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/06/02/hr-6666-covid-19-government-surveillance.aspx

Le nouveau monde courageux de Bill Gates et Big Telecom https://www.lewrockwell.com/2020/06/no_author/the-brave-new-world-of-bill-gates-and-big-telecom-2/

Ben Swann analyse le projet de loi de 100 milliards de dollars sur la recherche des contacts, HR 6666 https://needtoknow.news/2020/05/ben-swann-analyzes-the-100-billion-contact-tracing-bill-hr-6666/

Le pire est à venir: traçage des contacts, cartes d’immunité et tests de masse https://www.lewrockwell.com/2020/05/john-w-whitehead/the-worst-is-yet-to-come-contact-tracing -cartes-d’immunité-et-tests-de-masse /

L’Union européenne prépare un «passeport des vaccins» depuis 2018 https://needtoknow.news/2020/05/the-european-union-has-been-planning-a-vaccine-passport-since-2018/

15 – Contrôle gouvernemental universel des soins de santé L’ OMS se félicite de la déclaration historique des Nations Unies sur la couverture sanitaire universelle https://www.who.int/news/item/23-09-2019-who-welcome-landmark-un-declaration-on-universal- couverture sanitaire

16 – L’opération Dark Winter All Roads mène à Dark Winter https://www.unz.com/wwebb/all-roads-lead-to-dark-winter/

17 – En 2010, la Fondation Rockefeller publie une étude Rockefeller Lockstep 2010 was Blueprint for 2020 COVID-19 Pandemic http://themillenniumreport.com/2020/07/rockefeller-lockstep-2010-was-blueprint-for-2020-covid- 19-pandémie /

Un monde de contrôle gouvernemental descendant plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une répulsion croissante des citoyens. https://archive.org/details/pdfy-tNG7MjZUicS-wiJb/page/n17/mode/2up?q=Lock+Step+A+world+of+tighter+top-down

Simulation en direct Exercice pour préparer les dirigeants publics et privés pour réponse à une pandémie https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic- réponse

18 – «Décennie du vaccin: 2010-2020». Décennie de collaboration vaccinale https://www.gavi.org/our-alliance/global-health-development/decade-vaccine-collaboration

19 – Gates est un eugéniste de deuxième génération The Gates Family, Eugenics and COVID-19 https://tottnews.com/2020/04/09/gates-family-eugenics-covid-19/

Les Nations Unies forcées d’admettre que les vaccins de Bill Gates propagent la polio dans toute l’Afrique https://www.naturalnews.com/2020-09-08-united-nations-admits-vaccines-bill-gates-spreading-polio-africa.html

Frederick Taylor Gates https://en.wikipedia.org/wiki/Frederick_Taylor_Gates

La peste la plus meurtrière du XXe siècle: la grippe de 1918 https://www.youtube.com/watch?v=UDY5COg2P2c&fbclid=IwAR3a6DSKcncUrmWrrgnnyHV2V_Ur32Ul3ynBfMIhnbl4kiinDAAcJqoJ0WI

Déconstruire l’agenda de Bill Gates https://www.lewrockwell.com/2020/06/joseph-mercola/deconstructing-bill-gates-agenda/

EXCLUSIF: Bill Gates a négocié un accord de recherche de contacts de 100 milliards de dollars avec un membre du Congrès démocrate, parrain du projet de loi, six mois AVANT la pandémie de coronavirus https://truepundit.com/?s=EXCLUSIVE%3A+Bill+Gates+Negotiated+%24100+Billion+Contact+Tracing

Qui est Bill Gates? (Documentaire complet, 2020) https://www.corbettreport.com/who-is-bill-gates-full-documentary-2020/ ‘Bill Gates cherche à Microchip Humanity!’ https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/bill-gates-seeks-to-microchip-humanity/

La micropuce contraceptive de Gate sera implantée chez les femmes https://www.armstrongeconomics.com/international-news/disease/gates-contraceptive-microchip-to-be-implanted-into-women/

WO2020060606 SYSTÈME DE CRYPTOCURRENCE UTILISANT DES DONNÉES D’ACTIVITÉ CORPORELLE https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606&tab=PCTDESCRIPTION&_cid=P21-KHQMHA-36858-1

20 – Réserve de semences biologiques Pourquoi Bill Gates et Monsanto financent-ils un coffre-fort de semences «Doomsday»? https://theantimedia.com/why-are-bill-gates-and-monsanto-funding-a-doomsday-seed-vault/

21 – Événement 201 Événement 201: La simulation de coronavirus https://www.youtube.com/watch?v=HQt7pcVlcEM

22 – La recherche du Dr David Martin expose les crimes de brevet des CDC https://takeoregonback.com/2020/05/19/cdc-broke-the-law-in-2003-patenting-corona-sars-human-virus/

23 – «Trump verra une pandémie surprise pendant son mandat.» En 2017, Fauci dit qu’il y aura une épidémie surprise pendant le mandat de Trump https://www.youtube.com/watch?v=puqaaeLnEww

24 – Agenda 21/30 de l’ONU https://www.thriveon.com/media/agenda-21-think-globally-enslave-locally-qa-with-thrive

25 – Arrêt de la promotion ou de l’utilisation de l’hydroxycholoraquine The Lancet, New England Journal of Medicine s’est transformé en risées alors qu’une étude largement diffusée sur l’hydroxychlore s’est avérée basée sur des données fabriquées organisées par un écrivain de science-fiction et un modèle de contenu pour adultes https: //www.naturalnews .com / 2020-06-04-lancet-new-england-journal-of-medicine-hydroxychlorine-study-Surgisphere-total-fraud.html

26 – Les nouveaux verrouillages sont basés sur des «cas». https://thefatemperor.com/published-papers-and-data-on-lockdown-weak-efficacy-and-lockdown-huge-harms/

Les lockdowns sont basés sur la fraude: lettre ouverte aux personnes qui veulent la liberté https://blog.nomorefakenews.com/2020/12/03/lockdowns-are-based-on-fraud-open-letter-to-people-who-want -liberté/

Une bombe de 10 mégatonnes contre les Covid Creeps https://mailchi.mp/tomwoods/stillmorecharts?e=6047021e56

Comment le CDC pourrait-il commettre cette erreur? https://www.theatlantic.com/health/archive/2020/05/cdc-and-states-are-misreporting-covid-19-test-data-pennsylvania-georgia-texas/611935/

27 – Aucune preuve qu’ils infectent d’autres personnes dont l’immunité n’est pas compromise. NY Times sur le test Covid-19: «Jusqu’à 90% des personnes testées positives portaient à peine n’importe quel virus», beaucoup ne sont «pas susceptibles d’être contagieux» https://www.infowars.com/posts/ny-times-on- test covid-19-jusqu’à-90-personnes-testées-positives-portées-à peine-n’importe quel-virus-beaucoup-ne sont-pas-susceptibles-d’être-contagieux /

28 – Des dizaines de milliers de médecins, d’infirmières et de scientifiques réputés. NOUVELLES ALTERNATIVES Mise à jour: plus de 50000 médecins et scientifiques signent une déclaration s’opposant aux verrouillages COVID https://www.collective-evolution.com/2020/11/01/update-nearly-45000-doctors-scientists-sign-declaration-opposing-covid -blocages /

29 – Camps de confinement Covid De l’Australie aux États-Unis et au Royaume-Uni, des camps de coronavirus de haute sécurité abritent des évacués de Wuhan https://www.news.com.au/lifestyle/health/health-problems/from-australia-to-the- nous-et-royaume-uni-camps-de-coronavirus-de haute sécurité-abritent-les-évacués-de-wuhan / news-story / 883731ee030debb4c741f3eed5ca67fb

L’armée américaine approuve 11 camps de quarantaine de coronavirus à côté des principaux aéroports américains qui peuvent traiter «  jusqu’à 1000 personnes  » alors que le 13e cas américain est confirmé en Californie https://www.dailymail.co.uk/news/article-7992909/Military- approuve-11-COVID-19-camps-de-quarantaine-1-000-personnes-grands-aeroports.html

30 – Le PDG de Moderna a vendu la plupart de ses actions «Bad Optics» ou quelque chose de plus? Les ventes d’actions des dirigeants de Moderna suscitent des inquiétudes https://www.npr.org/2020/09/04/908305074/bad-optics-or-something-more-moderna-executives-stock-sales-raise-concerns

31 – Le PDG de Pfizer a vendu 62% de ses actions Le PDG de Pfizer Albert Bourla a vendu des millions en stock le jour même de la révélation du vaccin https://nypost.com/2020/11/11/pfizer-ceo-sold-5-5m- en-stock-parmi-covid-19-vaccin-révèle /

32 – «Vous ne posséderez rien dans 10 ans… et vous en serez heureux.» https://www.armstrongeconomics.com/world-news/conspiracy/klaus-schwab-says-you-will-own-nothing-in-10-years/

33 – Wuhan, Chine avec des millions de dollars de financement NIAID dirigés là-bas par le Dr Fauci. Le Dr Fauci a soutenu le laboratoire controversé de Wuhan avec des dollars américains pour que les laboratoires d’armes biologiques de recherche sur le coronavirus à risque soient fermés et les scientifiques poursuivis

https://www.lewrockwell.com/2020/05/joseph-mercola/bioweapon-labs-must-be-shut-down-and-scientists-prosecuted/ https://www.newsweek.com/dr-fauci- soutenue-controversée-wuhan-lab-millions-us-dollars-risky-coronavirus-research-1500741

34 – Le laboratoire d’armes biologiques à Ft. Detrick, Maryland a fermé La recherche sur les germes mortels est arrêtée au laboratoire de l’armée en raison de problèmes de sécurité https://www.nytimes.com/2019/08/05/health/germs-fort-detrick-biohazard.html

35 – Dr Paul Cottrell – au moins quatre modifications humaines
MISE À JOUR DU CORONAVIRUS: DR PAUL COTTRELL: «PRÉPAREZ-VOUS MAINTENANT PENDANT 18 MOIS!»
https://www.bitchute.com/video/J6VEYzwSdZU/?t=0 (13h00 – 20h00)

36 – «Covid-19 a été créé dans un laboratoire séropositif.» «COVID-19 Created in Lab with HIV» Medicine Nobel confirme Indian Research divulgué par VT https://www.veteranstoday.com/2020/05/15/covid-19-created-in-lab-with-hiv-medicine- nobel-confirme-recherche-indienne-divulguée-par-vt /

«Je suis la cible»: un virologue chinois réduit au silence dit à Tucker COVID-19 libéré intentionnellement, le PCC essayant de la «disparaître» https://www.zerohedge.com/medical/i-am-target-silenced-chinese-virologist-tells -tucker-covid-19-libéré intentionnellement-ccp

Un scientifique norvégien se joint à d’autres affirmant que le coronavirus a été créé dans un laboratoire https://nexusnewsfeed.com/article/science-futures/norway-scientist-joins-others-claiming-coronavirus-was-created-in-a-lab/

Les laboratoires d’armes biologiques doivent être fermés et les scientifiques poursuivis https://www.lewrockwell.com/2020/05/joseph-mercola/bioweapon-labs-must-be-shut-down-and-scientists-prosecuted/

Pourquoi un scientifique du laboratoire d’armes biologiques de Fort Detrick a été assassiné https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/05/19/fort-detrick-bioweapons-lab-scientist-murdered.aspx

Dr Meryl Nass: Pourquoi la protection de l’origine du COVID-19 est-elle si importante? https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/06/14/how-did-coronavirus-originate.aspx

COVID fabriqué dans un laboratoire! Les ex-sceptiques l’admettent en raison de l’accumulation de preuves https://www.veteranstoday.com/2020/05/27/accumulating/

Preuve que le SRAS-CoV-2 a émergé d’un laboratoire biologique de Wuhan, en Chine https://project-evidence.github.io

La preuve que COVID était une attaque de guerre biologique américaine contre la Chine https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/the-evidence-that-covid-was-a-us-biowarfare-attack-on-china/

Un scientifique lauréat du prix Nobel qui a découvert le VIH déclare que le coronavirus a été créé en laboratoire https://www.dr-rath-foundation.org/?s=Nobel+Prize-Winning+Scientist+Who+Discovered+HIV+Says+Coronavirus+Was + Créé + en + laboratoire

Le Dr Fauci a soutenu le laboratoire controversé de Wuhan avec des dollars américains pour la recherche sur le coronavirus à risque https://www.newsweek.com/dr-fauci-backed-controversial-wuhan-lab-millions-us-dollars-risky-coronavirus-research-1500741

Scientifique de «  Bat Woman  » qui pourrait détenir la clé pour guérir le coronavirus et l’empêcher de se reproduire https://www.mirror.co.uk/news/world-news/bat-woman-scientist-who-could-21857145

COVID 19: Créé par la CIA en Caroline du Nord pour la bio-guerre https://principia-scientific.com/covid-19-created-by-cia-in-north-carolina-for-bio-warfare-2/

CV19 Pas du tout chinois, conçu, Deep State et prouver que c’est plus facile et plus facile https://orwell1984366490226.wordpress.com/2020/03/18/cv19-not-chinese-at-all-engineered-deep-state-and -l’améliorer-est-plus facile-et-plus facile /

37 – Charles Lieber de Harvard arrêté pour activités à Wuhan Un scientifique acclamé de Harvard est arrêté, accusé d’avoir menti sur des liens avec la Chine https://www.npr.org/2020/01/28/800442646/acclaimed-harvard-scientist-is-arrested- accusé de mentir sur ses liens avec la Chine

38 – La relation de la 5G avec Covid COVID-19 est un écran de fumée pour la maladie des radiations 5G HTTPS://GREATMOUNTAINPUBLISHING.COM/2020/11/15/COVID-19-IS-A-SMOKESCREEN-FOR-5G-RADIATION-POISONING/

LA 5G POURRAIT-ELLE DÉCLENCHER LA PROPAGATION DU CORONAVIRUS? https://manhattanneighbors.org/5g-corona/

5G – Pourquoi? https://www.armstrongeconomics.com/world-news/technology-world-news/5g-why/ Rayonnement 5G lié à une infection à coronavirus, une nouvelle étude suggère https://nexusnewsfeed.com/article/health-healing/5g- nouvelle-étude-liée-aux-rayonnements-à-une-infection-coronavirus /

Appel international Stop 5G sur Terre et dans l’espace, The Evidence Mounts http://cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2020/05/The-Evidence-Mounts.pdf

Une étude montre une corrélation directe entre les réseaux 5G et les épidémies de «coronavirus» http://radiationdangers.com/?s=Study+Shows+Direct+Correlation+between+5G+Networks Étude de la corrélation entre les cas de coronavirus et la présence de réseaux 5G https://www.5gexposed.com/wp-content/uploads/2020/04/Study-of-correlation-coronavirus-5G-Bartomeu-Payeras-i-Cifre.pdf 5G, 60 GHz, absorption d’oxygène, vous et Coronavirus https://ourgreaterdestiny.org/2020/02/5g-60-ghz-oxygen-absorption-you-and-coronavirus/

COVID et une connexion 5G? https://blog.nomorefakenews.com/2020/04/07/covid-and-a-5g-connection/

RAPPORT: Comment la surveillance et la 5G sont accélérées sous le prétexte https://www.takebackyourpower.net/surveillance-5g-fast-tracked-under-coronavirus-pretext/

Le ciel tombe-t-il vraiment? https://www.cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2020/03/Is-the-Sky-Really-Falling.pdf

39 – Les navires de croisière Princess Line s’étaient vantés de leur nouveau COVID-19 5G est un écran de fumée pour la maladie des radiations 5G https://greatmountainpublishing.com/2020/11/15/covid-19-is-a-smokescreen-for-5g- intoxication aux radiations /

40 – Les Jeux mondiaux militaires ont eu lieu à Wuhan à la fin de 2019 Les Jeux mondiaux militaires ont-ils propagé Covid-19? https://prospect.org/coronavirus/did-the-military-world-games-spread-covid-19/

41 – La majorité des décès dits Covid concernent des personnes de plus de 65 ans 95% des Américains tués par COVID-19 avaient 50 ans ou plus https://www.aarp.org/health/conditions-treatments/info-2020/ coronavirus-morts-seniors-adultes.html

42 – Les taux de mortalité globaux sont en baisse Comment le CDC / OMS simulera les effets du vaccin COVID pour le faire passer pour un succès https://blog.nomorefakenews.com/2020/09/22/how-cdc-will-fake- effets-du-vaccin-covid-font-le-ressembler-au-succès /

Étude de l’UCLA: La chance que 50-64 ans meurent de COVID19 est de 1 sur 19 millions https://principia-scientific.com/ucla-study-chance-of-50-64-year-old-dying-from-covid19- is-1-in-19-million / CDC a dit qu’il y avait eu plus de suicides que de morts par COVID-19 https://www.armstrongeconomics.com/world-news/corruption/cdc-said-there-have-been-more -suicides-que-mort-par-covid-19 /