Crise Économique Mondiale:Les USA de Trump à un mois du défaut de paiement

Le compte-à-rebours est enclenché!

Dans un mois, les caisses du gouvernement américain seront vides si le plafond de la dette publique n’est pas relevé. Les experts ont déjà ouvert le concours du scénario le plus apocalyptique.

Plus le pronostic est sinistre, plus grand sera son écho auprès du public — c’est logique. Et c’est précisément le coup marketing parmi d’autres qu’a décidé d’utiliser l’agence de notation Standard & Poor’s. D’ailleurs, c’est elle qui avait réduit la note de crédit des USA en 2011, précisément après la dernière tentative ratée d’augmenter le plafond de la dette publique. Selon Vestifinance.

Il suffit de noter le titre de l’article publié par l’agence pour comprendre: «With A Shutdown, There Will Be Blood» («En cas d’arrêt du gouvernement, le sang va couler»). L’article continue sur le même ton dramatique.

Ainsi, l’économiste du département américain de S&P Beth Ann Bovino déclare que si le plafond de la dette publique n’était pas relevé, cela provoquerait des conséquences encore plus catastrophiques qu’après l’effondrement de Lehman Brothers. De plus, on pourrait assister à un véritable crash anéantissant toute la croissance économique post-crise. 

Par ailleurs, Beth Ann Bovino n’accorde pratiquement aucune attention aux éventuelles conséquences de la dette technique des USA, par exemple une perte potentielle, par le dollar, du statut de monnaie de réserve. L’économiste se concentre essentiellement sur les pertes subies pour l’économie en cas d’arrêt du travail du gouvernement.

En particulier, elle écrit que si la suspension du travail du gouvernement arrivait au début du prochain trimestre, elle coûterait au PIB du pays au moins 6,5 milliards de dollars par semaine. Beth Ann Bovino base son analyse sur l’expérience des anciens shutdowns en 1995-1996 et de l’arrêt du travail du gouvernement pendant 16 jours en octobre 2013.

Par ailleurs, Beth Ann Bovino, tout comme les analystes de Goldman Sachs, ne croît pas vraiment à un arrêt du travail fin septembre, du moins elle estime cette probabilité peu plausible. D’autant que les conséquences de l’ouragan Harvey rendent le pire des scénarios moins probable.

D’un autre côté, l’économiste de S&P ne s’empresse pas d’annoncer une fin positive à cette histoire. «Miser sur la réflexion rationnelle du gouvernement américain pourrait être risqué», écrit-elle.

Et manifestement, les acteurs du marché sont du même avis. La marge de revenus sur les lettres de change expirant en octobre et en septembre a considérablement augmenté hier, ce qui confirme l’anxiété des investisseurs. La disposition actuelle signifie que les investissements dans les obligations de dette expirant en octobre paraissent très risqués. Si le shutdown avait lieu, ces titres pourraient ne pas être remboursés.

Sources:
https://fr.sputniknews.com/presse/201709011032874533-gouvernement-americain-dette-publique-defaut/

La dette des Etats-Unis frôle les 60 000 milliards de dollars…signe avant-coureur d’une nouvelle crise majeure

 

 

Le dollar US en danger
Le dollar US en danger

 

Selon des données de la Réserve Fédérale de Saint Louis, la dette des Etats Unis atteint presque 60.000 milliards de dollars (exactement 59.400 milliards de dollars au 31 mars de cette année), soit une augmentation de 500 milliards de dollars depuis la fin de l’année 2013, indique Russia Today. Mais en fait de dette, il s’agit essentiellement de dette privée, et non d’emprunts du gouvernement, rappelle le site. Or, la progression de cette dette privée pose un risque bien réel de récession.

Il y a quarante ans, la dette des États-Unis ne représentait que 2.200 milliards de dollars. Mais selon James Butler, le recours au crédit est comparable à une maladie virale : « En 50 ans, la dette est passée d’un luxe réservé à une minorité à une commodité pour certains, à une addiction pour beaucoup, et à une maladie pour tous. C’est un virus qui s’est répandu dans chaque aspect de notre économie, du consommateur qui utilise sa carte de crédit pour acheter une barre chocolatée à 0,75 dollar à un distributeur, au gouvernement qui emprunte 17.000 milliards de dollars pour pouvoir continuer à éclairer les rues », écrit-il.

Selon une étude de The Economist de 2012, la croissance de la dette privée est un indicateur de récession plus fiable que l’augmentation de la dette publique, l’offre de monnaie, ou un déséquilibre dans les échanges. Aux Etats-Unis, le crédit à la consommation a connu une hausse de 22% sur les 3 dernières années, ce qui l’a porté au niveau de 18 milliards de dollars au mois d’avril de cette année. De plus, l’utilisation des cartes de crédit a également augmenté de 8,8 milliards de dollars au cours de cette période.

L'écran indicateur de la dette US le 26 juillet 2011
L’écran indicateur de la dette US le 26 juillet 2011

Pendant la récession, les gens ont eu tendance à réduire les crédits souscrits au moyen de leur carte, et plus généralement, à se désendetter. Mais ce n’est plus le cas, désormais, et ils sont revenus à leurs habitudes de consommation à crédit, souligne Michael Snyder d’Infowars. Actuellement, 56% des Américains ont un crédit, et 52% des propriétaires ont eu besoin de retarder l’échéance de leur emprunt hypothécaire, et ne disposent pas des ressources financières suffisantes pour y faire face. Les jeunes adultes sont particulièrement vulnérables ; une étude menée par Wells Fargo est venue à la conclusion que les jeunes de la génération Y consacrent au moins la moitié de leur salaire à leurs échéances de prêt. Et deux ans à la suite de l’obtention de leur diplôme, la moitié des diplômés américains sont toujours obligés de compter sur leurs parents ou des proches pour joindre les deux bouts.

dette-US-evolution

D’après un rapport du Congressional Budget Office, la croissance économique aux Etats-Unis est susceptible de stagner d’ici 2017, parce que la population va continuer à consommer, sans que les salaires ou la richesse du pays n’augmentent suffisamment, ce qui risque d’accentuer les inégalités.  L’écart sera en effet comblé par des crédits, selon la même dynamique que celle qui a contribué à la récession. Toutefois, ironiquement, cette dynamique est aussi celle qui a permis de sortir de la crise.

«Les économistes ne s’accordent pas sur la stratégie à adopter pour éviter une nouvelle crise, mais ils pensent que la dépendance des Américains au crédit ne facilitera pas les choses. « Le problème, c’est que plus il y a de dettes, plus le revenu futur qui doit être utilisé à rembourser la dette avec les intérêts doit être conséquent, ce qui réduit l’argent que nous pouvons dépenser sur des choses. Cela agit en ralentissant l’économie », explique James Butler. « Finalement, l’effet négatif de la charge de la dette deviendra plus important que l’impact positif des dépenses supplémentaires, ce qui déclenchera une récession, voire, pire ».

Évolution de l'immobilier
Évolution de l’immobilier

UN EMPIRE EN DÉCADENCE

Tout empire est voué au déclin. Cela prend plus ou moins de temps selon l’époque et la capacité de régénération du dominateur. Mais l’issue est inéluctable. Assiste-t-on en cet été 2011 à la chute de l’Amérique et peut-on s’en réjouir ?

A la première question, l’avenir répondra. Englués dans des guerres qui lui ont coûté des sommes colossales, les Etats-Unis ne dominent plus aussi ouvertement le monde. Ils doivent faire face à la timide mise en commun européenne, qui tient la comparaison en terme d’agrégats économiques et d’influence culturelle, mais pas en pouvoir politique et militaire ; l’émergence de nouvelles économies, au Brésil aujourd’hui, en Indonésie demain ; le réveil de la Chine, pour qui la seule place qui vaille est celle de numéro un. L’alerte sur la dette américaine sonne comme une piqûre de rappel pour ce pays qui vit au-dessus de ses moyens et, grâce à sa monnaie, a réussi à faire payer son train de vie à la planète toute entière, ce qui est formidable de cynisme, le pays le plus riche faisant payer sa domination aux pays les plus pauvres. Mais en soi, cela n’a rien de nouveau. Durant l’Antiquité déjà, le dominant se payait sur le dos du dominé.

Peut-on se réjouir que le géant vacille ? Oui si on est anti-américain, il en existe. Oui, si on considère que ce n’est que justice de voir que les Etats-Unis subir les conséquences d’une crise que leur duplicité et leur addiction aux crédits a, partiellement mais grandement, engendré.

La chute possible, par une croissance atone et peu de créations d’emplois qui entraînerait la stagnation américaine, n’est pourtant pas souhaitable. Parce qu’elle entraînerait en onde de chocs, un tsunami en Europe dont les premiers touchés seraient ceux qui sont déjà les plus mal-lôtis, et étendraient les pressions salariales déjà largement insupportables sur quantité de peuples à travers le monde.

 

Un niveau historique
Un niveau historique

Manque de courage politique

Par leur créativité, leur capacité à rebondir, les Etats-Unis d’Amérique ont montré à maintes que des crises pouvaient jaillir aussi de nouvelles périodes de croissance. Cette confiance en l’avenir est la marque de la fabrique d’un peuple qui baigne dans un optimisme parfois béat. Cela ne doit pas dispenser les USA de réaliser les efforts suffisants pour se sortir de ce bourbier. Tout comme de l’autre côté de l’atlantique, il est indispensable de trouver une sortie à la crise financière qui nous accable. Cela ne doit pas dispenser non plus de réfléchir aux évolutions du système financier et économique qui est le nôtre. Faute d’avoir mis en œuvre cette réflexion après la crise de 2008, les pays occidentaux paient au prix fort ce manque de courage politique. Les conséquences de cette couardise font qu’aujourd’hui les efforts à réaliser sont autrement plus grands.

 

DES CHIFFRES SUR LA DETTE MONDIALE

…et c’est la CIA qui nous renseigne!

La dette mondiale se montait à plus de 46.000 milliards de dollars en 2010. C’est le total auquel on arrive en reprenant les chiffres publics de la CIA et en les compilant. Outre la sensation d’être un espion, c’est le mot CIA qui en donne le frisson, l’analyse principale vient du pourcentage de dette par rapport à la richesse mondiale : 74%. L’Union européenne impose, en théorie, à ses pays membres de ne pas dépasser 66%.

Bémols et fa dièse

Plusieurs bémols avant le tableau. 1, La CIA ne donne les pourcentages de dette que pour 133 pays, dont les plus importants, mais la planète en comporte 193. 2, il est possible qu’en retraitant les données, j’ai, involontairement, glissé des erreurs. Si tel était le cas, merci de me le faire remarquer. 3, les données datent de 2010 et ont bien évidemment évoluées depuis. Mais cela donne des indications. On constate ainsi, on le savait mais c’est intéressant de le rappeler, que les Etats-Unis disposent de 28% de la dette mondiale, le Japon, 23%. La France est endettée à hauteur de 4,5% de la dette mondiale. La Libye est le pays le moins endetté au regard du PIB. La dette publique est ici prise au sens de la CIA, j’ai redressé les chiffres de la dette publique de 30%, comme l’agence américaine le recommande, pour que les chiffres soient comparables.

Open data

Ces données sont rendues publiques par la CIA, comme le font beaucoup d’agences gouvernementales américaines, du fait qu’elles ont été payées par le contribuable américain et qu’il doit donc pouvoir y avoir accès. C’est ce que fait la Nasa également, notamment avec les photos de l’espace, évidemment à la gloire de l’Amérique, et c’est bien le moins. Il est dommage que l’Union européenne, premier PIB du monde, c’est un chiffre que l’on retrouve dans les tableaux de la CIA, n’en fassent pas autant, et en tout cas pas aussi visiblement. C’est toute l’importance des données ouvertes pour une meilleure compréhension du monde. Il y aurait encore beaucoup de choses à dire, je vous laisse le faire dans les commentaires.

Rang Pays %GDP Date Montant Pib Dette en milliards de $ % de la dette mondiale
36 Albania 59,3 2010 est. 11,77 6,98 0,01%
128 Algeria 6,6 2010 est. 160,3 10,58 0,02%
109 Angola 20,8 2010 est. 85,31 17,74 0,04%
60 Argentina 45,1 2010 est. 370,3 167,01 0,36%
58 Aruba 46,3 2005 2,258 1,05 0,00%
98 Australia 26,6 2010 est. 1236 328,78 0,70%
26 Austria 71 2010 est. 376,8 267,53 0,57%
131 Azerbaijan 4,6 2010 est. 54,37 2,50 0,01%
28 Bahrain 65,8 2010 est. 22,66 14,91 0,03%
81 Bangladesh 35,2 2010 est. 104,9 36,92 0,08%
10 Barbados 120,1 2010 est. 3,963 4,76 0,01%
11 Belgium 100,9 2010 est. 465,7 469,89 1,00%
20 Belize 80 2010 est. 1,396 1,12 0,00%
39 Bhutan 57,8 2009 1,412 0,82 0,00%
70 Bolivia 39,7 2010 est. 19,37 7,69 0,02%
73 Bosnia and Herzegovina 39,1 2010 est. 16,83 6,58 0,01%
108 Botswana 20,9 2010 est. 14,03 2,93 0,01%
37 Brazil 59 2010 est. 2090 1233,10 2,64%
116 Bulgaria 16,2 2010 est. 47,7 7,73 0,02%
117 Cameroon 15,8 2010 est. 22,48 3,55 0,01%
15 Canada 84 2010 est. 1574 1322,16 2,83%
123 Chile 9,2 2010 est. 203,3 18,70 0,04%
112 China 18,9 2010 est. 5878 1110,94 2,38%
59 Colombia 45,4 2010 est. 285,5 129,62 0,28%
66 Costa Rica 42,7 2010 est. 35,78 15,28 0,03%
29 Cote d’Ivoire 63,8 2010 est. 22,82 14,56 0,03%
38 Croatia 58 2010 est. 60,59 35,14 0,08%
83 Cuba 34,3 2010 est. 57,49 19,72 0,04%
34 Cyprus 60,8 2010 est. 23,17 14,09 0,03%
74 Czech Republic 38,7 2010 est. 192,2 74,38 0,16%
62 Denmark 43,4 2010 est. 310,8 134,89 0,29%
22 Dominica 78 2009 est. 0,376 0,29 0,00%
78 Dominican Republic 36,8 2010 est. 51,63 19,00 0,04%
103 Ecuador 23,2 2010 est. 58,91 13,67 0,03%
21 Egypt 79,9 2010 est. 218,5 174,58 0,37%
47 El Salvador 52,7 2010 est. 21,7 11,44 0,02%
130 Equatorial Guinea 5,3 2010 est. 14,49 0,77 0,00%
127 Estonia 6,6 2010 est. 19,78 1,31 0,00%
55 Ethiopia 47,9 2010 est. 29,72 14,24 0,03%
54 Finland 48,3 2010 est. 239,2 115,53 0,25%
17 France 82,4 2010 est. 2583 2128,39 4,55%
107 Gabon 21,1 2010 est. 13,06 2,76 0,01%
16 Germany 83,2 2010 est. 3316 2758,91 5,90%
84 Ghana 34,4 2010 est. 31,08 10,69 0,02%
126 Gibraltar 7,5 2008 est. 1,106 0,08 0,00%
4 Greece 142,8 2010 est. 305,4 436,11 0,93%
92 Guatemala 29,7 2010 est. 41,47 12,32 0,03%
42 Guyana 57 2010 est. 2,215 1,26 0,00%
94 Honduras 29,1 2010 est. 15,35 4,47 0,01%
113 Hong Kong 17,2 2010 est. 225 38,70 0,08%
19 Hungary 80,2 2010 est. 129 103,46 0,22%
7 Iceland 126,1 2010 est. 12,59 15,88 0,03%
49 India 51,9 2010 est. 1538 798,22 1,71%
100 Indonesia 25,5 2010 est. 706,7 180,21 0,39%
115 Iran 16,6 2010 est. 357,2 59,30 0,13%
12 Ireland 96,7 2010 est. 204,3 197,56 0,42%
25 Israel 74,5 2010 est. 213,1 158,76 0,34%
8 Italy 119,1 2010 est. 2055 2447,51 5,23%
6 Jamaica 126,5 2010 est. 13,69 17,32 0,04%
2 Japan 197,5 2010 est. 5459 10781,53 23,06%
30 Jordan 63,2 2010 est. 27,53 17,40 0,04%
118 Kazakhstan 15,5 2010 est. 138,4 21,45 0,05%
57 Kenya 47,5 2010 est. 32,16 15,28 0,03%
104 Korea, South 22,7 2010 est. 1007 228,59 0,49%
121 Kuwait 11,9 2010 est. 131,3 15,62 0,03%
61 Latvia 44,7 2010 est. 24,05 10,75 0,02%
5 Lebanon 133,8 2010 est. 39,25 52,52 0,11%
133 Libya 3,3 2010 es 74,23 2,45 0,01%
76 Lithuania 38,7 2010 est. 36,36 14,07 0,03%
119 Luxembourg 15,2 2010 est. 54,95 8,35 0,02%
101 Macedonia 24,8 2010 est. 9,108 2,26 0,00%
72 Malawi 39,3 2010 est. 5,053 1,99 0,00%
48 Malaysia 52,4 2010 est. 238 124,71 0,27%
89 Mali 32,1 2010 est. 9,268 2,98 0,01%
27 Malta 70,9 2010 est. 8,288 5,88 0,01%
40 Mauritius 57,7 2010 est. 9,729 5,61 0,01%
79 Mexico 36,8 2010 est. 1039 382,35 0,82%
105 Moldova 21,3 2010 est. 5,81 1,24 0,00%
77 Montenegro 38,7 2006 4,017 1,55 0,00%
33 Morocco 60,9 2010 est. 103,5 63,03 0,13%
56 Mozambique 47,7 2010 est. 9,893 4,72 0,01%
110 Namibia 20,1 2010 est. 11,87 2,39 0,01%
31 Netherlands 62,6 2010 est. 783,3 490,35 1,05%
91 New Zealand 30,3 2010 est. 104,4 31,63 0,07%
23 Nicaragua 78 2010 est. 6,551 5,11 0,01%
120 Nigeria 11,9 2010 est. 216,8 25,80 0,06%
53 Norway 48,9 2010 est. 414,5 202,69 0,43%
132 Oman 4 2010 est. 55,62 2,22 0,00%
51 Pakistan 50,7 2010 est. 147,9 74,99 0,16%
63 Panama 43,3 2010 est. 26,78 11,60 0,02%
99 Papua New Guinea 26,3 2010 est. 9,668 2,54 0,01%
111 Paraguay 19 2010 est. 18,48 3,51 0,01%
102 Peru 23,9 2010 est. 152,8 36,52 0,08%
44 Philippines 55,4 2010 est. 188,7 104,54 0,22%
46 Poland 52,8 2010 est. 468,5 247,37 0,53%
13 Portugal 93 2010 est. 229,3 213,25 0,46%
122 Qatar 10,8 2010 est. 129,5 13,99 0,03%
90 Romania 30,8 2010 est. 161,6 49,77 0,11%
124 Russia 9 2010 est. 1465 131,85 0,28%
3 Saint Kitts and Nevis 185 2009 est. 0,531 0,98 0,00%

 

Le monde s’enfonce jour après jour dans le totalitarisme fasciste (quand nous disons fascistes, nous pesons nos mots et le disons en accord avec la définition même du fascisme selon Mussolini: « … fusion de l’état et de la grande industrie ») total devant les yeux endormis des populations, qui continuent d’espérer pour une réforme du système par le système et qui comme sœur Anne… ne voient jamais rien venir !

Le temps est venu de prendre conscience de l’étendu du désastre au profit du plus petit nombre… et de reléguer État, institutions, capitalismes et farce économico-bancaire aux oubliettes de l’Histoire.

Boycott du vote, des institutions et de l’impôt; les trois piliers de l’oppression systémique.Citoyens et citoyennes du monde vous êtes maintenant dans une situation de défense légitime et seule la désobéissance civile va vous permettre de survivre et de vaincre  solidairement  sur le Nouvel Ordre mondial.

 

 

 

Dette américaine:un record sans précédent de hausse en un jour

La planche à billets américains vient de s'emballer ...vitesse maximum!
En ce jeudi, 17 octobre 2013,la planche à billets américains vient de s’emballer …vitesse maximum!

La dette américaine a sauté un record 328 milliards $ ,ce jeudi (17 octobre 2013) , le premier jour  que le gouvernement fédéral a pu emprunter de l’argent dans l’entente que  le président Obama et le Congrès ont  scellé cette semaine.

La dette est maintenant égale  à $ 17,075 trillions, selon les chiffres du département du Trésor Mis en ligne ce vendredi.

L’augmentation de328 milliards $ a brisé le record précédent de 238 milliards de dollars établi il y a deux ans.

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Indifférent, Obama a fait la seule chose qu’il peut faire, salir  son bureau ,dans le bureau oval.

Le saut de géant vient du fait que le gouvernement a été réapprovisionner son stock de «mesures extraordinaires» les fonds fédéraux, il empruntait à cours depuis les cinq derniers mois, il a essayé d’éviter les chocs sur le plafond de la dette.

Selon la loi, le  réapprovisionnement arrive dès qu’il y a un nouvel espace de la dette.

Dans ce cas, le département du Trésor a emprunté 400 milliards de dollars d’autres fonds à partir de mai, en attendant un accord final du Congrès et M. Obama.

Habituellement le Congrès fixe un plafond d’emprunts, ou le plafond de la dette, qui plafonne le montant total que le gouvernement peut être dans le rouge.

Mais selon les termes de l’accord de cette semaine, le Congrès a fixé un délai au lieu d’un” bouchon de dollars”. Cela signifie que la dette augmentera d’autant que le gouvernement dépense entre maintenant et le 7 février 2014 (deadline).

A en juger par le taux de croissance au cours des cinq derniers mois, qui pourrait finir par dire que le Congrès a accordé à M. Obama une augmentation de la dette de 700 milliards de dollars ou plus.

Les Républicains ont  d’abord cherché à  mettre un frein à l’augmentation de la dette, mais se sont rendus cette semaine, au lieu de s’installer sur un projet de loi qui a rouvert le gouvernement et comprenait des projets spéciaux à entendre , mais ne comprenait pas de coupes dans les dépenses.

Les Démocrates ont insisté pour que l’augmentation de la dette  soit  «propre», ce qui signifie sans aucune condition. Ils disent que l’augmentation de la dette ne permet à  M. Obama  que  payer les factures  que  lui Congrès ont déjà amassés, et que cela  n’encourage pas de nouvelles dépenses.

Donc tenez-vous  bien  assis sur votre chaise,le bar est ouvert…and the sky is the limit.

 

(Source:the Washington Times)