L’Amérique est en train de disparaître

Pendant des années j’ai fait l’inventaire du déclin d’une Amérique en voie d’effondrement, non seulement le déclin économique, du fait de la concentration ainsi que de la délocalisation des emplois et des investissements, mais également l’effondrement du système de croyances qui unifiait une population diverse. Aujourd’hui, non seulement l’économie est fichue, mais c’est aussi le cas du système de croyances qui étayait l’ordre social et politique.

L’Amérique n’existe plus. Il existe une entité géographique où vivent des populations différentes avec des intérêts différents, mais ce n’est plus un pays, encore moins une nation. Les États-Unis ont dégénéré en empire. Il ne s’agit plus d’un pays avec son empire. Les cinquante états sont eux-mêmes l’empire de l’« Establishment », et seule la force peut les maintenir ensemble. J’ai connu une époque où la liberté d’expression fut utilisée par les libéraux pour légaliser la pornographie, le mariage homosexuel et l’avortement, toutes choses auxquelles s’opposait la majorité de la population. Cela n’a pas empêché les libéraux d’imposer leurs agendas au peuple.

Aujourd’hui, la liberté d’expression est inadmissible parce qu’elle peut permettre de contester une élection présidentielle qu’une moitié de la population pense sincèrement avoir été volée. Même les avocats et les cabinets juridiques qui ont présenté à leurs clients des cas avérés de fraude électorale, sont sanctionnés pour avoir fait ce que font normalement les avocats. La même chose est arrivée à des professeurs d’université et à des Américains ordinaires qui ont exercé leur droit constitutionnel à la liberté d’expression et d’association et ont participé au rassemblement de soutien à Trump.

Aujourd’hui en Amérique, l’exercice de la liberté d’expression est étroitement contrôlé. On peut l’utiliser pour diaboliser Trump et ses partisans comme « ennemis de la démocratie ». On peut l’utiliser pour diaboliser les Blancs comme « racistes systémiques » et « suprémacistes blancs », également pour diaboliser les hommes blancs hétérosexuels comme « misogynes ». Son autre usage c’est la diabolisation de pays comme la Russie, la Chine, l’Iran, qui font obstacle à l’hégémonie de Washington. Il n’y a pas d’autres usages légitimes de la liberté d’expression aujourd’hui aux États-Unis, une appellation bien inappropriée pour un pays qui a été entièrement désuni par la « politique identitaire » [ « identity politics »] et par une élection présidentielle perçue par beaucoup d’électeurs comme ayant été volée. J’ai fourni à mes lecteurs un abondant, quoique partiel, ensemble de preuves du vol de l’élection.

Une simple question suffira : si l’élection ne fut pas volée, pourquoi est-il inadmissible de poser la question ? Des explications qui ne peuvent être l’objet d’une enquête ni d’un débat public, sont très probablement fausses. La raison pour laquelle elles ne peuvent être l’objet d’une enquête, c’est qu’elles ne peuvent résister au moindre examen. Vous n’avez pas à remonter loin dans le temps pour en obtenir une longue liste : les assassinats de John Kennedy, de Robert Kennedy et de Martin Luther King, Waco, la bombe d’Oklahoma City, le 11 septembre, les armes de destruction massive de Saddam Hussein, les bombes nucléaires de l’Iran, l’utilisation d’armes chimiques par Assad, l’invasion russe en Ukraine, le « Russiagate », la fraude électorale de 2020, l’insurrection de Trump le 6 janvier. Certes, j’en ai laissé de côté, mais cela ne nuit pas à la démonstration. Un pays dans lequel les explications sont contrôlées est un pays dont le peuple vit dans le mensonge.

En Amérique et dans le monde occidental en général, le concept de vérité objective a été détruit pour l’essentiel, en particulier dans les institutions éducatives et de communication. Partout dans le monde occidental, le fondement de la vérité est passé de la preuve à l’émotion. L’émotion est devenue l’évidence majeure. La vérité objective est disqualifiée comme étant une construction au service des hommes blancs.

Aujourd’hui en Amérique tout est ordonné contre la population blanche hétérosexuelle. La gauche Démocrate, les universités et les médias se rangent du côté des races et des genres, victimes du prétendu racisme et de la supposée « transphobie » des Blancs. Kristen Clarke a été nommée au Ministère de la Justice (sic) pour bien s’assurer que les politiques de l’emploi et de la promotion s’alignent sur les victimes, du fait de leur race ou de leur genre.

La politique de l’immigration s’établit contre les Américains blancs. Sans pouvoir en tant que majorité, les Américains blancs n’auront pas d’avenir lorsqu’ils seront minoritaires.  Même si les Américains blancs pouvaient sortir de leur insouciance et se rendre compte qu’on leur enlève leur pays, ils n’ont pas le pouvoir d’y remédier. Avec la nouvelle loi en préparation sur le « terrorisme intérieur », la simple protestation contre la dépossession devient un crime de sédition.

Nous pourrions examiner beaucoup d’autres aspects intéressants de notre situation. N’en considérons qu’un seul. Le gouvernement Biden semble rempli de néoconservateurs sionistes, qui sont les agents de l’hégémonie de Washington et d’Israël. La recherche de cette hégémonie, entraînera un conflit avec la Russie, la Chine et l’Iran.

Washington va entrer dans ces conflits avec une économie délabrée et une population profondément divisée. Ceux qui constituent la véritable colonne vertébrale des forces armées américaines – les « Déplorables  de Trump » – vont-ils se battre pour un Establishment qui les hait viscéralement ? Est-ce qu’une économie qui s’enfonce dans la dette et que les grandes firmes détruisent en délocalisant leurs investissements et les emplois de la classe moyenne américaine, destruction aggravée par les mesures de confinement qui anéantissent les derniers éléments de la classe moyenne – les petites entreprises – sera capable de soutenir un conflit avec des nations plus unies et qui n’ont pas de dette extérieure ni de dette intérieure insurmontable ? Si oui, ce serait une première dans l’Histoire.

 

 

 

Combien de temps les « Déplorables de Trump » resteront-ils obéissants quand ils s’apercevront qu’on les extermine en les privant de droits égaux, de protection constitutionnelle, d’emploi et de possibilité de réussite ?

Quant à l’ « Establishment » lui-même, quand donc son arrogance et son assurance seront-elles ébranlées, lorsqu’il s’apercevra qu’il ne peut pas contrôler les idéologues anti-Blancs et anti-Américains qu’il a suscités et qu’il se trouve lui-même confronté à la situation dans laquelle se trouvèrent Kerensky, les Chemises Brunes et le Parti Communiste chinois lorsque Mao déclencha la «révolution culturelle» ? L’ « Establishment » sera lui-même détruit par la haine qu’il a alimentée et laissée sortir de la lampe.

A qui en appellera l’ « Establishment » lorsque la révolution se retournera contre lui ? Que répondra-t-il lorsqu’on lui posera la question que les Bolcheviks posèrent à Kerensky : « Qui t’a choisi ? ».

Le Cabinet BIDEN compte plus de Juifs que de goys, La Maison Blanche devrait s’appeler maintenant LA SYNAGOGUE, un autre indice de la dégénérescence américaine :

LES JUIFS MONSTRUEUSEMENT SUR REPRÉSENTÉS
DANS LE CABINET BIDEN
1% de la POPULATION > 50% du CABINET

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial: La Dernière Étape De L’Empire est en train d’arriver maintenant

Les “conservateurs” américains ont incontestablement le blues, leur littérature est édifiante et leurs références (je vous recommande en particulier leur admiration pour le prophétisme spiritualiste de Soljenitsyne) assez drôlatique, la manière dont ce dernier exilé aux États-Unis, loin de les féliciter pour être une terre de démocratie les a engueulés pour ne pas être assez réactionnaires et défenseurs de l’idéal de la civilisation chrétienne. Comment en finir avec l’empire pour retrouver les charmes pionniers de la nation ? Il ne nous reste plus qu’à reprendre l’ouvrage indépassable sur le sujet, celui de l’historien britannique Edward Gibbon dans son fameux Déclin et chute de l’Empire romain.

Pour ceux qui ne l’auraient pas lu, cela les mettra dans l’ambiance… Pour Max Weber, et il rejoint Marx, la chute de l’empire romain est due au fait que les esclaves ne se reproduisent pas en captivité et que les Romains sont sans cesse obligés de faire la guerre pour s’approvisionner, ça et le modèle latifundiaire fait que Spartacus, même s’il a perdu signe la fin. Ou encore Chateaubriand devant la chute irrémédiable de la royauté absolue affirmant qu’il y avait le stade ou l’on conquiert les privilèges, celui ou on en use et abuse et celui où on les perd. Encore un petit effort et ils admettront que le socialisme est inévitable

Il est de loin préférable de voir le monde avec des yeux clairs que d’espérer bêtement un retour à «High Noon».

Pendant le week-end férié, les États-Unis ont eu 244 ans. Le temps passe. Mais est-ce vieux pour une nation? Les nations ont-elles une durée de vie semblable à celle des organismes? Les idées et les principes ne sont-ils pas immortels? Il est naturel de parler de notre nation comme de quelque chose qui continuera indéfiniment, bien au-delà de notre existence mortelle. Mais une distinction cruciale doit être faite: l’Amérique était une nation en 1776; aujourd’hui, elle est un empire [2.a]. Par conséquent, on pourrait se demander: les empires ont-ils une durée de vie?

Heureusement, l’officier et érudit de l’armée britannique, Sir John Glubb, a réfléchi à cette question dans un court essai intitulé «Destin des empires et technique de survie».

Émir Faisal et le Lieutnant-colonel T E Lawrence

Contemporain de TE Lawrence, un autre soldat-érudit britannique connu comme Lawrence d’Arabie, Glubb a commandé la Légion arabe de Transjordanie de 1939 à 1956. Un esprit curieux et humble, ses expériences et son intérêt pour l’histoire l’ont amené à reconnaître des tendances à la hausse et à la baisse des empires. Ses études ont révélé que, comme les organismes, les empires passent par des étapes de création, de croissance, de maturité, de déclin et de mort.

Colonel John Glubb

Glubb a suivi chacune de ces phases et a trouvé des similitudes remarquables entre des empires aussi divers que l’Empire et la République romains, les Ottomans et l’Empire perse, indépendamment de la race, de la croyance, des institutions ou de la géographie [1]. La durée de vie moyenne estimée de dizaines d’empires au cours des trois derniers millénaires? Environ 250 ans.

Il n’est pas difficile de reconnaître le schéma général de progression impériale de Glubb dans l’histoire américaine. La bonne nouvelle pour les conservateurs est que l’empire américain tel qu’il est actuellement arrive à sa fin. La mauvaise nouvelle reste à écrire. Que deviendra cet empire en se désintégrant et comment affectera-t-il la nation semencière? Peut-être, comme Glubb le voulait, nous pouvons apprendre de l’histoire et éviter les pires destins possibles. 

La première étape identifiée par Glubb est ce qu’il appelle «l’ère des pionniers» ou «l’explosion». Les petites nations ou tribus envahissent ou supplantent celles qui ont un esprit défensif. Les exemples présentés dans Fate of Empires incluent l’éclatement islamique de la péninsule arabique au 7ème siècle, et inversement la Reconquista espagnole et l’empire qui s’en est suivi, ensemencé par deux petits territoires chrétiens. Glubb appelle les gens qui conduisent ces explosions «pauvres, robustes, souvent à moitié affamés et mal vêtus» [Les bédouins d’Ibn Khaldoun]. De plus, «ils regorgent de courage, d’énergie et d’initiative», comme les milices du sel de la terre et les réguliers continentaux mal entraînés qui ont vaincu l’armée britannique pendant la Révolution américaine.

Ce tableau décrit bien l’esprit des milices continentales…mal équipées,mal entrainées et parfois à demi-affamées!

Plusieurs fois, la nation conquérante adapte l’organisation et la technologie des vaincus à leurs besoins. En Amérique, la Révolution n’a pas été radicale et la nouvelle nation a maintenu ses institutions britanniques, ouvrant la voie à «l’ère des conquêtes». Des campagnes militaires s’ensuivent et le territoire de la nation s’élargit. Bonjour, Destinée Manifeste. Les tribus indiennes étaient soit engagées dans des alliances asymétriques, soit repoussées [mais systématiquement exterminées], les Européens étaient soit indemnisés soit se battaient pour plus de superficie, et le Far West était gagné. L’acquisition de biens sous une seule bannière du gouvernement entraîne la prospérité, ce qui mène à «l’ère du commerce».

Bien que l’ère des conquêtes et l’ère du commerce se chevauchent, leurs objectifs sont différents. Le premier vise «l’honneur et la gloire», tandis que le second recherche la prospérité et le profit. On pourrait faire valoir que l’ère de la conquête a duré deux siècles pour les États-Unis, commençant par l’expansion vers l’ouest à travers l’Amérique du Nord et se terminant en Pax Americana à la fin de la guerre froide. Débordant de ressources et de capitaux, l’empire de l’ère du commerce voit des villes animées, une grande architecture et un niveau de vie élevé pour la plupart.

L’amour du profit, cependant, déplace progressivement le sens du devoir dans la population. L’abondance “fait taire la voix du devoir”, écrit Glubb, pointant du doigt les étudiants de l’empire arabe du XIIe siècle qui n’ont plus étudié “pour acquérir des connaissances et de la vertu, mais pour obtenir les qualifications qui leur permettront de s’enrichir”. 

Dans la trajectoire parabolique d’un empire, ce qui vient ensuite est «High Noon», la transition de la conquête et du commerce à la richesse. «Service» est remplacé par «égoïsme». Un état d’esprit défensif s’empare de la nation, se manifestant par des signes tangibles tels que le mur d’Hadrien et la ligne Maginot. La conquête et la préparation militaire sont perçues comme immorales par une population stagnante et axée sur la richesse. 

Pendant ce temps, la richesse se développe à un point tel que ce qui était autrefois du luxe devient monnaie courante. Ensuite, la recherche de connaissances et de titres de compétences prend le devant de la scène et ouvre la voie à «l’ère de l’intellect». Comme indiqué dans Fate of Empires, «l’impression que la situation peut être sauvée par l’intelligence mentale, sans désintéressement ni dévouement humain, ne peut que conduire à l’effondrement» menant à la dernière étape, «l’ère de la décadence». 

L’immigration atteint des niveaux trop élevés pour une assimilation efficace, et de nouvelles idées et normes culturelles remplacent celles du stock fondateur. Comme Robert Putnam, Glubb souligne que les immigrants ne sont pas inférieurs, mais érodent la cohésion culturelle. En effet, Glubb note que “beaucoup d’immigrants étrangers appartiendront probablement à des races conquises à l’origine et absorbées par l’empire” et “lorsque le déclin s’installe, il est extraordinaire de voir comment la mémoire des guerres anciennes, peut-être des siècles auparavant, est soudainement ravivée, et les mouvements locaux ou provinciaux semblent exiger la sécession ou l’indépendance. »

On peu interpréter qu’étant donné que le Canada est de plus en plus dénaturé par l’immigration asiatique et arabe qu’un jour le Québec prendra conscience de sa richesse culturelle et naturelle et se libérera en tant que “pays”!

Une baisse du pouvoir et de la richesse combinée à des conflits internes entraîne une boucle de rétroaction créant pessimisme et «frivolité». Une population qui ne peut pas être incitée à l’action se glisse à la place dans l’évasion. Glubb compare la demande des foules romaines pour «du pain et des cirques» à la consommation britannique et américaine de football et de baseball. Il écrit même que «les héros des nations en déclin sont toujours les mêmes – l’athlète, le chanteur ou l’acteur», plutôt qu’un homme d’État, un général ou un génie littéraire comme dans les époques précédentes. Rappelez-vous, Fate of Empires a été publié en 1977. 

Parmi les autres caractéristiques de l’empire défaillant, mentionnons la montée de l’État providence et le déclin de la religion. Vérifiez et revérifiez. L’ancienne richesse de la nation conduit la population à «l’impression qu’elle sera toujours automatiquement riche» et «amène l’empire en déclin à dépenser généreusement pour son propre bien-être, jusqu’à ce que l’économie s’effondre». Ces tendances sont facilement observables aux États-Unis. Au fait, quel est le bilan de la Fed? Pire, est-ce que quelqu’un s’en soucie?

 

Glubb note qu’il est douteux que l’effondrement puisse être évité en étudiant la méta-histoire des empires. Au contraire, il écrit que «dans notre état actuel de chaos mental… nous nous divisons en nations, partis ou communautés et nous nous battons, nous haïssons et nous vilipendons les uns les autres sur des développements qui peuvent peut-être être divinement ordonnés et qui nous semblent, si nous adoptons une approche plus large, complètement incontrôlable et inévitable. 

Si cela vous semble pessimiste, n’oubliez pas que les trois derniers mots du titre de Glubb sont «Search for Survival». Il est de loin préférable de voir le monde avec des yeux clairs que d’espérer bêtement un retour à «High Noon». Les progressistes et les populistes sont généralement d’accord pour dire que l’avenir peut être meilleur; ils sont tout simplement en désaccord sur la voie de cet avenir meilleur. Nous survivrons si nous sommes honnêtes face à ce à quoi nous sommes confrontés. Pourtant, il reste à savoir comment procéder. Devrions-nous diviser le pays en nations distinctes dans l’espoir d’atténuer ce qui pourrait être une guerre civile de style espagnol ou un état policier doux de suzerains technologiques?

Des penseurs notables comme Charles Murray suggèrent que seul un renouveau religieux peut sauver les États-Unis. Si Glubb a raison de dire que le sauvetage en gros est impossible, devrions-nous protéger les braises du christianisme via «l’option Benoît» de Rod Dreher, dans l’espoir que les générations futures puissent un jour profiter de la pleine lumière de la civilisation occidentale? Glubb semble insinuer cela également, notant que dans les profondeurs de la décadence les «graines du renouveau religieux» sont semées. Alors que notre nation approche 250 ans – un quart de millénaire – nous devrions être reconnaissants d’avoir vécu dans ce qui pourrait être la plus grande nation que Dieu ait connue [2]. Peut-être, après le désagrément à venir, nous trouverons quelque chose d’encore plus grand.

Par   JEFF GROOM

https://www.theamericanconservative.com/author/jeff-groom/

 


NOTES

[1] Il est plus que probable que John Glubb a repris à son compte les analyses d’Ibn Khaldoun, comme nous l’avons vu dans Naissance et mort des Empires .(voir notre autre article:Naissance et mort des empires

 

–  Dans  Sir John Glubb et la décadence impériale, Nicolas BONNAL écrit :

Témoin donc de la désintégration de l’empire britannique causée par Churchill et Roosevelt, militaire vieille école, Glubb garde cependant une vision pragmatique et synthétique des raisons de nos décadences. 

….

Et comme notre homme est un arabisant distingué, il parle de la décadence arabe – citant le passionnant al-Ghazali :

« Dans la première moitié du neuvième siècle, Bagdad a connu son apogée en tant que plus grande et la plus riche ville du monde. Dans 861, cependant, le Khalif régnant (calife), al-Mutawakkil, a été assassiné par ses turcs mercenaires, qui ont mis en place une dictature militaire, qui a duré environ trente ans.

Au cours de cette période, l’empire s’est effondré, les divers dominions et provinces, chacun en recherchant l’indépendance virtuelle et à la recherche de ses propres intérêts. Bagdad, jusque-là capitale d’un vaste empire, a trouvé son autorité limitée à l’Irak seul. »

Glubb ajoute :

« Les travaux des historiens contemporains de Bagdad au début du Xe siècle sont toujours disponibles. Ils ont profondément déploré la dégénérescence des temps dans lesquels ils vivaient, en insistant sur l’indifférence à la religion, le matérialisme croissant, le laxisme de la morale sexuelle. Et ils lamentaient aussi la corruption des fonctionnaires du gouvernement et le fait que les politiciens semblaient toujours amasser de grandes fortunes quand ils étaient en fonction. »

Détail chic pour raviver ma marotte du présent permanent, Glubb retrouve même trace des Beatles chez les califes !

« Les historiens ont commenté amèrement l’influence extraordinaire acquise par les populaires chanteurs sur les jeunes, ce qui a entraîné un déclin de la moralité sexuelle. Les chanteurs “pop” de Bagdad ont accompagné leurs chansons érotiques du luth (sic), un instrument ressemblant à la guitare moderne. Dans la seconde moitié du dixième siècle, en conséquence, le langage sexuel obscène est devenu de plus en plus utilisé, tels qu’ils n’auraient pas été tolérés dans un âge précoce. Plusieurs califes ont émis des ordres pour interdire les chanteurs «pop» de la capitale, mais en quelques années ils revenaient toujours. »

Afin d’illustrer ce qui précède, il n’y a qu’à se référer au plus grand poète arabe de tous les temps (Abou Nawas 747-815) dont on trouvera des centaines de vers de citations traduites en français, telle que celle-ci :

Le vin, le vent, la vie de Abû-Nuwâs

J’ai quitté les filles pour les garçons

et, pour le vin vieux, j’ai laissé l’eau claire.

Loin du droit chemin, j’ai pris sans façon

celui du péché, car je le préfère.

J’ai coupé les rênes et sans remords

j’ai enlevé la bride avec le mors.

[2] L’auteur prend les vessies pour des lanternes.

  1. Le plus grand empire du monde a été celui des Mongols. Fondé par Gengis Khan, cet empire du XIIe siècle s’étendait de la mer Caspienne au Pacifique. Si on se réfère à Wikipédia, on constate que “l’empire américain” n’existe même pas parmi les empires du Monde.
  2. Son Dieu est bien méchant, car il lui a permis d’éradiquer toute une race humaine, qu’ils ont appelés peaux-rouges. On croit reconnaître ici les préceptes talmudiques.

 

 

 

 

 

En Chine communiste, la « pensée Xi Jinping » ne fait pas l’unanimité

Alors que le vice-président de l’Ecole centrale du Parti communiste compare le président chinois à Karl Marx, des voix minoritaires redoutent de voir la « capacité de penser » être « dévastée ».

A Pékin, le 28 mai.

 

Pour le 67e anniversaire de Xi Jinping, lundi 15 mai, He Yiting, vice-président de l’Ecole centrale du Parti communiste chinois a publié une tribune sur le site de l’école comparant le secrétaire général du Parti communiste chinois à Karl Marx. « La nouvelle ère du socialisme aux caractéristiques chinoises de Xi Jinping est le marxisme du XXIe siècle ». « Le développement de la Chine transcende les frontières géographiques nationales et acquiert une importance historique mondiale, signifiant que la Chine est qualifiée pour être le sommet idéologique et théorique qui guide le développement innovant du marxisme mondial », écrit-il notamment. Déjà le 11 juin, Dong Zhenhua, vice-directeur du département des affaires philosophiques de l’Ecole centrale du Parti, avait développé une idée comparable.

De tels propos sont récurrents depuis le XIXe congrès du Parti communiste chinois, qui s’est tenu en octobre 2017. Qu’ils soient désormais publiés à l’occasion de l’anniversaire de Xi Jinping confirme cependant le culte de la personnalité dont celui-ci est désormais l’objet. « Il se considère comme l’égal de Mao et de Marx. Ce qui peut justifier, à ses yeux, qu’il ait réformé la Constitution pour pouvoir rester au pouvoir plus de dix ans. Sa pensée dépasse le cadre de la Chine. Il se veut un penseur de classe mondiale, comme le montre l’expression de communauté de destins pour l’humanité ou l’initiative des “Nouvelles routes de la soie” », explique Willy Lam, chercheur à l’université chinoise de Hongkong.

« Réunion secrète »

Mais cette évolution ne fait pas l’unanimité. Deux ans après la fameuse modification de la Constitution, en mars 2018, quelques – rares – voix se font entendre pour dénoncer celle-ci. Depuis quelques jours, circule sur les réseaux sociaux l’enregistrement d’une intervention très sévère pour Xi Jinping prononcée par Cai Xia, une ancienne professeure à l’Ecole centrale du Parti à l’occasion, paraît-il, d’« une réunion secrète de notables rouges ».

Xi Jinping, le nouveau timonier

 

Aujourd’hui retraitée et vivant à l’étranger, cette femme juge que « la société chinoise ne manque pas de vitalité. Ce n’est pas que nous manquons d’énergie ou de personnes talentueuses. La société est en train d’être dévastée. La capacité de penser est en train d’être dévastée, le parti est en train d’être dévasté. Si cette menace pouvait être levée, je pense que tout irait mieux. Tout comme en 1976, après la mort de Mao, beaucoup pensaient que c’était la fin de la Chine, pourtant nous nous en sommes sortis. C’est pourquoi nous avons besoin de croire en cette nation, elle est résiliente et vivante. Toutefois, le problème est que cette personne a bloqué la voie à suivre pour le pays et le parti », explique cette femme, qui n’a pas besoin de nommer Xi Jinping pour être comprise et qui fait cette prédiction : « Je pense que vers la fin de cette année ou au premier semestre de l’année prochaine, l’économie va complètement s’effondrer ».

Nul doute qu’à l’intérieur du Parti, de telles voix sont extrêmement minoritaires. Elles prouvent néanmoins que « la pensée de Xi Jinping » continue de faire débat, notamment parmi une certaine élite intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

Chute de l’Empire : Londres, Washington et Paris au bord de l’effondrement

Malgré les gesticulations hystériques de l’appareil de désinformation de l’OTAN, le cœur de l’empire a démarré l’année 2019 dans un état de chaos intégral.

 

Washington, Londres et Paris — les trois capitales de l’Empire — sont aujourd’hui effectivement en panne de gouvernance, paralysées, au bord de l’effondrement ou assiégées par leur propre peuple.

 

Les Némésis qu’elles se sont elles-mêmes choisies —Moscou et Pékin — ont entre-temps porté un toast à la nouvelle année dans un état d’optimisme et de confiance en soi considérables. Ce sont les faits, ce sont les informations.
Commençons par le sommet de l’Empire. Le gouvernement des États-Unis a fermé ses services fédéraux dans un contexte de paralysie politique et de tirs de barrage intergouvernementaux.[1]
Le secrétaire à la défense, « Mad Dog » (« chien fou ») Mattis, a démissionné, tout comme d’autres subalternes en uniforme en colère contre la détermination retrouvée du président à se retirer de guerres étrangères coûteuses et perdantes. Le véritable « chien fou » — John Bolton — défie ouvertement le président Trump sur la Syrie, Mueller se rapproche de son but[2] et la nouvelle majorité démocrate à la Chambre se prépare à « destituer ce fils de p**e ».
Personne ne sait si le président Trump sera encore là longtemps, mais un simple regard sur son successeur possible — le vice-président Mike Pence — rappelle la célèbre image du président Nixon avec son vice-président, Spiro Agnew, debout derrière lui. La légende de l’image montrait Nixon qui pointait par-dessus son épaule et disait : « Personne ne va me tirer dessus avec ce type comme successeur. »
Theresa May
À Londres, la Première ministre britannique Theresa May est un cadavre ambulant ; la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne est encore dans un flou total, à 80 jours à peine de son entrée en vigueur. Des violences ont commencé à éclater à l’extérieur du Parlement, aucune faction n’a de majorité, aucune élection ne peut avoir lieu parce que son résultat le plus probable serait l’élection de Jeremy Corbyn, un anti-impérialiste chevronné que « l’État profond » préférerait arrêter (ainsi que votre serviteur, selon l’appareil à coups d’État appelé « Integrity Initiative » [3]).
Un Brexit sans accord paralyserait le sud de l’Angleterre, faute de préparation. Une fois à l’arrêt, les camions en provenance et à destination du continent transformeraient le Kent, le « Jardin de l’Angleterre », en parking géant.
Le « Brexit » purement cosmétique concocté par Theresa Mayne pourra pas être adopté par la Chambre des communes, la semaine prochaine, étant donnée l’opposition des travaillistes, d’au moins cinquante députés du gouvernement et des dix membres des partenaires de la coalition des Tories, le DUP.
La troisième option, un nouveau référendum, risque de déclencher le même scénario que dans les rues de Paris et les autres villes françaises (qui est au passage presque entièrement occulté par la presse britannique). Défier le résultat du premier référendum, déposséder 17,4 millions de personnes des résultats de leur vote, c’est mettre en danger la paix sociale en Angleterre. Des millions d’électeurs du Brexit comptent parmi ceux qui, en Grande-Bretagne, n’ont plus rien à perdre.
En France, l’Élysée est devenue la Bastille de Macron et il n’est pas du tout inconcevable qu’elle soit prise.
Le week-end dernier, son propre porte-parole a dû être évacué en catastrophe par une porte arrière après qu’un véhicule de chantier détourné par des manifestants ait défoncé la porte cochère de son immeuble gouvernemental. Les conditions mêmes que Macron s’était tant acharné à créer à Damas et que la France avait aidées à créer à Kiev font maintenant trembler les fondations de la République française .
Aucun « œil de Nelson » – dans un célèbre épisode de la Bataille de Trafalgar, quand l’amiral anglais Nelson avait appris que la marine française avançait à sa rencontre, il avait collé son télescope au bandeau noir qui cachait son œil manquant et avait dit « Je ne vois aucun bateau » – ne changera le fait que, pendant huit semaines, des centaines de milliers de Français de toutes allégeances politiques se sont retrouvés dans les rues des villes du pays pour exiger à cor et à cri la démission de leur président. Et le fait que Macron fasse pleuvoir des euros sur les Champs-Élysées – en contravention absolue des règles fiscales de l’UE — n’a fait qu’encourager « les autres » à continuer à manifester.
Gilets jaunes italiens.
Cette semaine, le gouvernement italien, membre de l’UE (et de l’OTAN) s’est joint aux Gilets jaunes, avec l’Italien Salvini dénonçant personnellement le président français qui « gouverne contre son peuple. »
Ce samedi, une manifestation gigantesque est prévue à Londres pour porter sur la place publique les mêmes exigences anti-austérité contre le gouvernement britannique que celles des Gilets jaunes contre Macron.
Le centre de l’Empire ne peut pas tenir.
L’ancien ordre se meurt, le nouvel ordre n’arrive pas à naître. Si nous ne faisons pas attention, nous serons bientôt au temps des monstres. [4]
Un article de George Galloway
(Il a été membre du Parlement britannique pendant presque trente ans. Il présente des émissions de radio et de télévision (y compris sur RT). C’est un célèbre réalisateur, écrivain et tribun.)

Notes de la traduction :

[1] Un « partial government shutdown », une fermeture partielle des services fédéraux des USA, a été décrétée pour une durée de 19 jours en réponse à l’opposition du Parti démocrate à la construction du mur de Trump.

[2] L’enquête de Mueller, dite « Russiagate » et menée depuis le 17 mai 2017, cherche à établir la preuve d’une collusion entre la Russie et Trump dans le but de le faire élire. En l’absence de preuves formelles, elle a élargi le champ de ses investigations etinculpé plusieurs personnes de l’entourage de Trump sous divers chefs d’accusation, dont des fraudes fiscales et bancaires, des mensonges sous serment, du blanchiment d’argent, de la subornation de témoins, du détournement de fonds, des financements étrangers illégaux, etc. Il semble que ces derniers jours, l’enquête ait révélé l’existence d’un milliardaire russe devenu informateur du FBI sous Obama, et qui serait lié à Trump. A suivre.

[3] « Integrity Initiative » : A la suite de fuites, les Britanniques ont eu la surprise de découvrir, il y a quelques semaines, que les méga-campagnes de diabolisation contre Jeremy Corbyn, RT, la Russie, etc, qui faisaient les Unes de leurs médias avaient été organisées par le gouvernement britannique… sur l’argent des contribuables.

[4] Allusion à la célébrissime citation d’Antonio Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Source: RT sous le titre Fall of Empires: London, Washington & Paris on brink of collapse (by George Galloway)

La France en chute libre

  • Les responsables français comprennent évidemment que les terroristes sont engagés dans une longue guerre et qu’il sera difficile de les en empêcher; ils semblent donc avoir cédé. Ces responsables sont sans doute conscients que les jeunes musulmans français se radicalisent de plus en plus. La réponse a toutefois été de renforcerles institutions musulmanes en France.
  • Au moment où le président Macron parlait, l’un de ses émissaires était au Maroc pour signer le Pacte mondial des Nations Unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, qui définit l’immigration comme “bénéfique” pour les pays hôtes. Dans ce cadre, les États signataires s’engagent à “renforcer les systèmes de fourniture de services intégrant les migrants”.
  • Un groupe de généraux à la retraite a publié une lettre ouverte dans laquelle il déclarait que la signature du Pacte mondial était un pas supplémentaire vers “l’abandon de la souveraineté nationale” et notait que “80% de la population française pense que l’immigration doit être stoppée ou réglementée de manière drastique”.
  • L’auteur Éric Zemmour a décrit la révolte des “gilets jaunes” comme le résultat du “désespoir des gens qui se sentent humiliés, oubliés, dépossédés de leur pays par les décisions d’une caste méprisante”.
Le président français Emmanuel Macron semble espérer que la fatigue conduira les manifestants au “gilet jaune” à baisser les bras, mais rien ne semble encore le montrer. Au contraire, les “gilets jaunes” semblent consacrés à le faire tomber. Sur la photo: manifestants du “gilet jaune” le 15 décembre 2018 à Paris, en France.

 

 

 

Strasbourg, France. Marché de Noël. 11 décembre, 20h. Un homme criant “Allahu Akbar” tire sur les passants, puis en blesse plusieurs avec un couteau. Il assassine trois personnes sur le coup et en blesse une douzaine d’autres, parfois sévèrement. Deux mourront plus tard de leurs blessures. Le meurtrier s’échappe. Deux jours plus tard, la police l’a abattu .

Il était connu de la police. Lorsque des membres de la Direction générale de la sécurité intérieure et des gendarmes sont arrivés chez lui quelques heures plus tôt, il s’était échappé. Bien qu’ils sachent qu’il était un islamiste armé et dangereux, prêt à agir et que les marchés de Noël étaient et pourraient être des cibles probables, aucune surveillance n’était en place.

Le meurtrier, Cherif Chekatt, aurait en fait dû être tenu à l’écart de la rue. Il avait 29 ans, son nom figurait sur la liste des personnes accusées de radicalisation terroriste ( FSPRT ), et il avait déjà été condamné pour 27 crimes. Il était néanmoins libre, sans surveillance de la part de la police.

Son cas est similaire à celui de nombreux terroristes djihadistes en France au cours de la dernière décennie. D’ autres comprennent Mohamed Merah , qui a assassiné des enfants juifs à Toulouse en 2012; Cherif et Said Kouachi , qui ont assassiné la plupart des employés du magazine satirique Charlie Hebdo en 2015, et Amedy Coulibaly , qui a assassiné des personnes dans un supermarché casher quelques jours plus tard.

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Les gouvernements qui se sont succédé n’ont rien fait pour remédier à la situation. Au lieu de cela, ils ont prononcé des discours et ont posté des soldatsdans les rues. “Les jeunes Français doivent s’habituer à la menace d’attaques”, avait déclaré en 2015 le Premier ministre, Manuel Valls . Deux ans plus tard, juste avant le premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron, toujours candidat, utilisait presque le mêmes mots. Le terrorisme, a- t- il déclaré , est “impondérable” et constituera une “menace qui fera partie de la vie quotidienne des Français pour les années à venir”.

Les lois françaises sont extrêmement laxistes . Même les tueurs en série et les terroristes ne sont pas condamnés à de longues peines de prison. La plupart des prisons sont devenues des postes de recrutement djihadistes. Actuellement, plus de 600 zones interdites sont sous le contrôle d’imams et de gangs musulmans. Les islamistes, apparemment “prêts à agir”, se comptent par milliers . La police n’a tout simplement pas le personnel ni les ressources matérielles nécessaires pour tout contrôler

Les seuls dirigeants politiques qui ont proposé des lois plus sévères contre le terrorisme, ou qui ont déclaré que des mesures exceptionnelles étaient nécessaires – par exemple, un recours plus large aux bracelets de cheville électroniques – pour contrer les menaces croissantes, proviennent de partis considérés comme “de droite”. Les principaux médias ont immédiatement qualifié ces dirigeants d ‘” extrémistes ” et leurs propositions ont été rejetées.

Macron et son gouvernement continuent leur triste tradition de se soumettre à la rectitude politique. Il semble qu’ils préfèrent apaiser les extrémistes plutôt que de les affronter.

Ces politiciens sont sans aucun doute conscients que de nouvelles émeutes pourraient avoir lieu. En 2016, Patrick Calvar, chef de la Direction générale de la sécurité intérieure française, a évoqué le risque élevé d ‘”affrontements entre communautés”, voire de guerre civile.

Ces responsables comprennent évidemment que les terroristes sont engagés dans une longue guerre et qu’il sera difficile de les en empêcher; ils semblent donc avoir cédé. Ces responsables sont sans doute conscients que les jeunes musulmans français se radicalisent de plus en plus. La réponse a toutefois été de renforcer les institutions musulmanes en France.

Bien que ces responsables voient vraisemblablement aussi que l’immigration musulmane en France se poursuit et que des centaines de milliers de migrants musulmans illégaux créent des problèmes de sécurité accrus, ils ne font rien pour inverser la tendance. Le nombre de déportations est en augmentation, mais reste rare: un peu plus de 26 000 personnes ont été déportées en 2017. Parallèlement, plus de 150 000 immigrants clandestins vivent en Seine Saint Denis, près de Paris. Macron, depuis qu’il est président, a répété à plusieurs reprises que ceux qui l’invoquaient pour expulser les immigrants clandestins étaient ” xénophobes“.

En fait, Macron et le gouvernement actuel encouragent davantage de migration: tous les immigrants clandestins en France reçoivent une aide financière s’ils le demandent, ainsi que des soins de santé gratuits ; et ils ne courent presque aucun risque d’être déportés.

Chaque année, plus de 200 000 permis de séjour sont délivrés (262 000 en 2017), y compris pour les immigrants clandestins. Nombre d’entre eux n’ont aucune compétence commerciale, certains perçoivent pendant des décennies le revenu minimum versé à une personne en difficulté.

Le soutien social aux migrants, qu’il soit légal ou non, augmente le coût d’un système de protection sociale de plus en plus coûteux. La France est aujourd’hui le pays le plus lourdement imposé du monde développé: les prélèvements obligatoires représentent plus de 45% du PIB. Le chômage est élevé à 9,1%. Les salaires typiques sont bas et stagnants. Un enseignant d’une école publique qui débute gagne 1 794 euros par mois (2 052 dollars). Après une année de service, un policier gagne encore moins: 1 666 euros par mois (1 906 dollars).

Macron, lors de son élection à la présidence, avait promis de stimuler la croissance et d’améliorer le pouvoir d’achat. Pour encourager les grandes entreprises multinationales à investir en France, il a réduit leurs impôts et supprimé un impôt sur la fortune . Ne souhaitant apparemment pas augmenter le déficit du budget français (2,6% en 2017), il a créé de nouvelles taxes et augmentéquelques taxes payées par l’ensemble de la population, y compris les taxes sur les carburants.

Il est dans ce contexte que le « gilet jaune » ( « gilets JAUNES ») manifestants – qui ont été des émeutes dans toute la France pour les huit week – ends, est entré en être . Ils ont juré de continuer à manifester.

Les nouvelles taxes, ainsi que l’augmentation des taxes existantes, ont plongé de nombreuses personnes dans une situation financière difficile . Beaucoup ont également estimé que la réduction des impôts sur les grandes entreprises, associée à la suppression de l’impôt sur la fortune des riches, était scandaleusement injuste. Ils constatent parfaitement que le manque de sécuritése propage, que l’immigration explose et que le gouvernement n’assure pas suffisamment de loi et d’ordre.

Les remarques de Macron, telles que comparer “ceux qui réussissent et ceux qui ne le sont pas” – ou son affirmation selon laquelle “la vie d’un entrepreneur est beaucoup plus dure que celle d’un employé” – lui ont donné méprise les pauvres et ne sait rien des problèmes auxquels ils sont confrontés. Certaines de ses déclarations, telles que “il n’y a pas de culture française ” ou que les Français sont des Gaulois “résistants au changement” – ont amené beaucoup à penser qu’il n’avait même pas de respect pour les Français ni pour la France.

La prolifération de radars de vitesse sur les routes et l’abaissement de la limite de vitesse à 80 km / h , mis à part les autoroutes, ainsi qu’une augmentation notable du nombre de contraventions pour excès de vitesse , n’ont pas non plus aidé ses cotes de popularité.

Enfin, une augmentation supplémentaire des taxes sur les carburants a déclenché une révolte qui ne s’est pas arrêtée à ce jour.

La première manifestation des “vestes jaunes”, qui a eu lieu le 17 novembre , a spontanément rassemblé des centaines de milliers de personnes à travers le pays et a bénéficié du soutien de plus de 80% de la population.

Plutôt que de réagir rapidement et de dire qu’il comprenait les difficultés de millions de Français, Macron a attendu 10 jours jusqu’à ce qu’une deuxièmemanifestation, plus importante que la première, y réponde. Il a ensuite prononcé un discours sur l’environnement et souligné que des taxes sur les carburants étaient nécessaires pour lutter contre le “changement climatique”.

Ses propos semblaient totalement déconnectés de la détresse économique ressentie par le public.

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Quatre jours plus tard, le 1 er décembre , une troisième manifestation a attiré encore plus de monde que la deuxième. Les manifestants ont agité des drapeaux français et ont chanté l’ hymne national . Les personnes qui ont parlé à la télévision ont déclaré que Macron s’était moqué d’elles et lui avait rappelé ses promesses. Ils ont exigé sa démission , de nouvelles élections et un retour de la souveraineté au peuple.

Des gangs de banlieue ont pillé des magasins et détruit des biens. La police a été particulièrement brutale envers les manifestants, mais n’a pas pu empêcher le pillage ou la destruction.

Macron ne dit rien.

Le 8 décembre, jour de la quatrième manifestation, Paris était effectivement assiégée . Des véhicules blindés ont été déployés le long des principales avenues. Des milliers de policiers ont fermé l’accès au quartier de la résidence présidentielle, le palais de l’Élysée. Un hélicoptère a attendu dans la cour de l’Élysée, au cas où Macron aurait besoin d’être évacué. Le pillage et la destruction ont recommencé.

Lorsque Macron a finalement décidé de dire quelque chose, le 10 décembre, il a annoncé une légère augmentation du salaire minimum et la suppression de certains impôts. Il a promis d’ ouvrir un “débat national” et a annoncé la nécessité de revoir les règles relatives à l’ immigration . Cependant, au moment où Macron parlait, l’un de ses émissaires était au Maroc au nom de la France pour signer le Pacte mondial des Nations Unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières , qui définit l’immigration comme ” bénéfique ” pour les pays hôtes. Dans ce cadre, les États signataires s’engagent à “renforcer les systèmes de fourniture de services intégrant les migrants”. Le lendemain, l’ attaque terroriste près d’un marché de Noël à Strasbourg a eu lieu, dans lequel cinq personnes ont été assassinées.

La colère du public ne s’est pas apaisée. Les manifestants du “gilet jaune” qui ont parlé à la télévision les jours suivants ont déclaré que Macron n’avait manifestement pas pris la mesure de ce qu’ils disaient. Ils ont déclaré que parler de revoir les règles d’immigration lors de la signature du Pacte mondial – sans prendre en compte l’opinion de la population – montrait que Macron était un menteur .

Un groupe de généraux à la retraite a publié une lettre ouverte dans laquelle ildéclarait que la signature du Pacte mondial constituait un pas supplémentaire vers “l’abandon de la souveraineté nationale” et notait que “80% de la population française pense que l’immigration doit être stoppée ou réglementée de manière drastique”.

“En décidant seuls de signer ce pacte”, ont écrit les généraux , “… vous êtes coupable de déni de démocratie, voire de trahison, dans le respect de la nation”.

La ministre de la Défense, Florence Parly, a déclaré que la lettre des généraux était “inadmissible et indigne”, mais n’a pas contesté les arguments qu’elle énonçait. Encore une fois, Macron ne dit rien.

Le 22 décembre , lors de la cinquième manifestation des “gilets jaunes”, les manifestants étaient moins nombreux mais leur colère semblait plus vive. Les appels à la démission de Macron sont venus de partout. Une marionnette représentant Macron était symboliquement décapitée par une guillotine d’imitation . Une sculpture représentant une main jaune , ressemblant au logo de SOS Racisme , la plus ancienne organisation luttant contre le “racisme” et “l’islamophobie” en France, a été incendiée.

Les antisémites ont saisi l’occasion pour donner leurs opinions habituelles , mais ils étaient marginaux. Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, a toutefois utilisé leurs commentaires pour attaquer les manifestants du “gilet jaune”. Il a envoyé un tweet disant que les “gilets jaunes” étaient “des lâches, des racistes, des antisémites” et qu’ils étaient du genre à organiser des coups d’État. Un peu plus tôt, il avait dit que quoi qu’il arrive, Macron ne “changerait pas de cap”.

Macron semble espérer que la fatigue conduira les “gilets jaunes” à baisser les bras, mais rien ne semble encore le montrer. Au contraire, les “gilets jaunes” semblent consacrés à le faire tomber. Ceux à la télévision disent qu’ils sont déterminés à se battre ” jusqu’au bout “. Le préjudice économique est considérable. les premières estimations s’élevaient à des centaines de millions d’euros.

“Macron et son équipe” , a récemment écrit Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro , “aurait tort de croire que si la mobilisation faiblit pendant la trêve de Noël, cela signifie qu’ils sont hors du bois”.

L’auteur Éric Zemmour a décrit la révolte comme le résultat du “désespoir de ceux qui se sentent humiliés, oubliés, dépossédés de leur pays par les décisions d’une caste méprisante”. Il a conclu qu’il pensait que Macron avait perdu toute légitimité et que sa présidence était terminée .

Le commentateur de la radio, Jean-Michel Aphatie, a déclaré que la présidence et le gouvernement “tenaient bon”, et que la lettre publiée par les généraux est un signe fort que les institutions françaises sont profondément ébranlées. “Si la police faiblit”, at-il souligné, “la France pourrait rapidement sombrer dans le chaos”.

Le 20 décembre, deux jours avant la cinquième manifestation des “gilets jaunes”, des policiers ont organisé une manifestation devant le palais de l’Élysée. Le vice-président d’une organisation composée d’officiers de police a déclaré que de nombreux membres étaient épuisés, avaient de la sympathie pour la révolte et étaient prêts à la rejoindre.

Le lendemain, le gouvernement augmenta les salaires des policiers et leur paya des millions pour les heures supplémentaires – des paiements en retard depuis des mois.

“Les autorités ont vraiment peur que la police ne les reproche “, a commenté le journaliste Jean-Michel Aphatie. “C’est difficile à imaginer. C’est là où nous sommes en France, aujourd’hui”.

La popularité du Macron est en chute libre; il est tombé à 18%. La popularité d’aucun président français n’est tombée si bas, si rapidement. Flore Santisteban, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, a cité des enquêtes montrant que Macron cristallise désormais “une haine intense et peut-être plus que la haine: la rage”.

De nombreux commentateurs se demandent comment Macron pourra encore gouverner dans les semaines à venir et demandent s’il pourrait être contraint de démissionner et d’appeler à des élections présidentielles anticipées.

Plusieurs analystes ont annoncé que cette fois-ci, Marine Le Pen, chef du parti populiste de droite, le Rassemblement national, pourrait être élue présidente. Les thèmes de sa campagne présidentielle en 2017 ressemblaient aux revendications du mouvement “gilet jaune”.

Macron ne dit toujours rien. Il n’est nulle part en vue . Ses seules déclarations publiques récentes ont été faites dans des pays étrangers: Belgique et Tchad. Sa dernière apparition publique en France a eu lieu le 4 décembre , dans le Massif Central, tard dans la soirée. Il est allé voir les dégâts causés à un bâtiment officiel en partie brûlé par des vandales. Bien que sa visite fût inopinée, des dizaines de “gilets jaunes” sont arrivés, l’ont insulté et il est rapidement parti.

 

Les sondages montrent que le Rassemblement national de Le Pen pourrait remporter les élections au Parlement européen de mai 2019 avec 24% à 25% des voix. Un autre parti nationaliste de droite, Debout la France! (France, Stand Up!), Dirigé par le député Nicolas Dupont-Aignan et allié au parti du Rassemblement National, pourrait obtenir 8%. Le total représenterait 32% à 33% des voix. La République en Marche de Macron Le parti, créé il y a deux ans, n’obtiendrait que 18% des suffrages.

L’élection au Parlement européen n’a pas d’impact direct sur la vie politique française. Un tel résultat, cependant, constituerait un désaveu cinglant de Macron – s’il parvient à rester au pouvoir jusqu’alors.

Il y a quelques mois, Macron s’est présenté comme le champion d’une Europe ouverte, “progressiste” et multiculturelle et a décrit les défenseurs de la souveraineté nationale et tous ceux qui sont hostiles à l’immigration et au multiculturalisme, comme des ” lépreux ” et des partisans du ” nationalisme belliqueux ” vantant le rejet de l’autre “. Il feignit facilement de triompher d’eux.

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En juillet 2017, il a laissé entendre qu’il gouvernerait comme le dieu romain Jupiter . Il ne tarda pas à tomber de son piédestal.

Le soir du 31 décembre, Macron a offert aux Français ses voeux pour l’année 2019. Il ne s’est pas excusé. Il a ignoré les griefs des manifestants du “gilet jaune” et de leurs partisans. Il a simplement déclaré que “la colère a éclaté” et que “l’ordre sera maintenu sans indulgence”. Il a décrit en termes positifs tout ce qu’il avait fait depuis son accession à la présidence. Il a ajouté qu’il “avancerait” dans la même direction sans rien changer: “J’ai l’intention de continuer à suivre la ligne tracée depuis le premier jour de mon mandat”. Il a décrit ses opposants politiques comme des “extrémistes”, des “démagogues” et des “mégaphones d’une foule remplie de haine”. Il a encore dit que le “

Un grand nombre des manifestants du “gilet jaune”, interviewés à la télévision, ont semblé contrariés; certains ont dit qu’ils avaient même décidé de ne pas écouter le discours. Les opposants politiques de Macron le critiquèrent sévèrement. Nicolas Dupont-Aignan a écrit:

“Ce soir, les Français ont eu la confirmation qu’Emmanuel Macron n’avait rien appris des événements de 2018. Alors que sa politique rassemblait plus de 75% des Français contre lui, il semblait déterminé à continuer, au mépris de la démocratie.”

Laurence Saillet, du parti de droite modéré, Les républicains, a déclaré :

“J’ai l’impression que pendant que les” vestes jaunes “protestaient, il était sur une autre planète … Il n’a pas pris la mesure de la colère du pays. Il ne fait pas de mea culpa, il a même évalué positivement ses actions, précisément ce qui est rejeté par le français.”

Marine Le Pen a tweeté : “Ce président est un imposteur. Et un pyromane.”

Le 3 janvier, Eric Drouet, l’une des principales figures du mouvement des “gilets jaunes”, a été arrêté par une dizaine de policiers alors qu’il se rendait à la Place de la Concorde, dans le centre de Paris, pour allumer des bougies et rendre hommage aux blessés. ou tué depuis le début des manifestations. Il marchait paisiblement sur le trottoir avec 15 à 20 de ses amis. Aucun d’entre eux ne criait, ne portait de banderole ou même un gilet jaune. Drouet a été inculpé pour avoir organisé une manifestation illégale. Les opposants politiques de Macron ont déclaré que Macron ajoutait de l’essence à l’incendie.

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Le 4 janvier, après la première réunion du cabinet de l’année, Macron a demandé au porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, de déclarer que “ceux qui continuent à protester … sont des agitateurs qui font la promotion de l’insurrection”, et que le gouvernement doit “aller plus loin, plus fort façon”.

Samedi 5 janvier, des milliers de “gilets jaunes” ont à nouveau manifesté , réclamant la démission de Macron. Ils ont enfoncé les portes de l’immeuble de bureaux de Griveaux alors qu’il se sauvait. Le soir, les rues de Paris et d’autres villes ressemblent de nouveau à des champs de bataille .

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Fraude électorale US:Le FBI rouvre le dossier Clinton après que de nouveaux e-mails sont trouvés dans le cas Anthony Weiner

La candidate démocrate Hillary Clinton a appelé le FBI vendredi,28 octobre 2016, pour libérer toutes les informations dans son enquête renouvelée dans son utilisation d’un serveur privé alors qu’ell était  secrétaire d’Etat.Ceci arrive  après que le FBI  a découvert de nouveaux e-mails – apparemment lors de l’enquète  de l’ancien sexting Anthony Weiner ( Republicain),ce qui provoque un retournement de situation  étonnant et inattendu  des événements quelques jours avant l’élection présidentielle.
http://video.foxnews.com/v/embed.js?id=5190015038001&w=466&h=263

 

“[Le directeur du FBI James Comey] lui aurait  dit qu’il ne sait pas si les e-mails … sont importants ou non”, a déclaré Hillary Clinton aux journalistes dans l’Iowa vendredi soir. “Je suis confiante  qu’ils sont ne changeront pas la conclusion en Juillet. Par conséquent, il est impératif que le FBI tente  d’expliquer cette affaire, quelle qu’elle soit, sans aucun délai.”

Plus tôt vendredi, Comey a  informé les  membres importants  du Congrès dans une lettre que le FBI avait “appris l’existence des courriels qui semblent être pertinents à l’enquête.”

L’organisation d’Hillary Clinton a fustigé la police fédérale américaine (FBI), affirmant que les récents courriels qu’examine le corps policier ne sont pas liés à la candidate démocrate. Pendant ce temps, parcourant l’ouest des États-Unis, le républicain Donald Trump a tenté de tirer avantage de cette dernière controverse. John Podesta, le directeur de campagne de Mme Clinton, a déclaré aux journalistes que la lettre du directeur du FBI James Comey au Congrès était «pleine d’insinuations», mais n’apportait «aucun fait concret». D’autres démocrates ont dénoncé que cette révélation pourrait déterminer de façon injuste le résultat de l’élection présidentielle du 8 novembre. M. Podesta a insisté pour dire qu’il n’y avait «aucune preuve d’actes répréhensibles» et que rien ne prouve encore que ces courriels concernent Hillary  Clinton.
L’organisation d’Hillary Clinton a fustigé la police fédérale américaine (FBI), affirmant que les récents courriels qu’examine le corps policier ne sont pas liés à la candidate démocrate. Pendant ce temps, parcourant l’ouest des États-Unis, le républicain Donald Trump a tenté de tirer avantage de cette dernière controverse.
John Podesta, le directeur de campagne de Mme Clinton, a déclaré aux journalistes que la lettre du directeur du FBI James Comey au Congrès était «pleine d’insinuations», mais n’apportait «aucun fait concret». D’autres démocrates ont dénoncé que cette révélation pourrait déterminer de façon injuste le résultat de l’élection présidentielle du 8 novembre.
M. Podesta a insisté pour dire qu’il n’y avait «aucune preuve d’actes répréhensibles» et que rien ne prouve encore que ces courriels concernent Hillary Clinton.

CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA LETTRE

 

 

Voici un document important:

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Comey n’a pas précisé ces e-mails, disant seulement qu’ils ont fait surface “dans le cadre d’une autre affaire.”

Une source du FBI, cependant, a confirmé à Fox News que les nouveaux e-mails ont été découverts après que le bureau a saissi des dispositifs appartenant au  déshonoré ex-Republicain   Weiner et son épouse, Huma Abedin, une proche collaboratrice de  Clinton qui a récemment annoncé qu’elle se séparait de l’ancien membre du Congrès. Le New York Times a rapporté le premier ,les détails sur la connexion d’enquête Weiner, notant que le FBI enquêtait sur des  textes que Weiner a  envoyé à une jeune fille de 15 ans.

Comme Donald Trump et les républicains du Congrès saisis sur la décision du FBI, chef intérimaire du Parti démocrate Donna Brazile simplement tweeté, “Bon sang,” après que  les nouvelles de la connexion Anthony Weiner ont éclaté. Le directeur de  campagne de Clinton a qualifié la décision de revoir ce cas si proche de l’élection «d’extraordinaire» et a exhorté Comey de fournir plus de détails.

Comey a donné un bref aperçu dans sa lettre aux législateurs de ce qui a incité leur décision. Il a écrit que l’équipe d’enquête l’a informé de l’information un jour plus tôt, “et j’ai  convenu que le FBI devrait prendre des mesures d’enquête appropriées pour permettre aux enquêteurs d’examiner ces e-mails afin de  déterminer si elles contiennent des informations classifiées, ainsi que d’évaluer leur importance à notre enquête. “

Il a dit que le FBI n’a pas encore pu déterminer si le nouveau matériel est important et il ne pouvait pas prédire combien de temps il faudra pour compléter “ce travail supplémentaire.”

Ce retournement de situation arrive  après  que Comey et le ministère de la Justice ont  décidé en Juillet de ne pas porter des accusations sur les pratiques de courriel de Clinton, en disant à l’époque que l’enquête était terminée.

Comey est devenu plus tard critiqué par Trump,des  législateurs GOP et d’autres qui prétendent que l’enquête a minimisé la mauvaise gestion des informations classifiées pendant le mandat de Clinton.

Une référence à l’oléoduc Keystone XL a été retirée des mémoires de Hillary Clinton pour des raisons politiques, selon la dernière série de courriels volés, publiée jeudi par WikiLeaks. Alors qu’elle écrivait le livre «Hard Choices» («Le temps des décisions»), Hillary Clinton avait inclus une référence à l’oléoduc à la suggestion de sa fille, Chelsea, selon un courriel apparemment envoyé en 2014 au président actuel de sa campagne, John Podesta. La note, signée par le rédacteur de discours de Mme Clinton Dan Schwerin, précisait que la politicienne avait décidé d’écrire sur Keystone parce que sa fille croyait que ce serait une omission évidente et qu’elle aurait l’air de vouloir éviter le sujet.
Une référence à l’oléoduc Keystone XL a été retirée des mémoires de Hillary Clinton pour des raisons politiques, selon la dernière série de courriels volés, publiée jeudi par WikiLeaks.
Alors qu’elle écrivait le livre «Hard Choices» («Le temps des décisions»), Hillary Clinton avait inclus une référence à l’oléoduc à la suggestion de sa fille, Chelsea, selon un courriel apparemment envoyé en 2014 au président actuel de sa campagne, John Podesta.
La note, signée par le rédacteur de discours de Mme Clinton Dan Schwerin, précisait que la politicienne avait décidé d’écrire sur Keystone parce que sa fille croyait que ce serait une omission évidente et qu’elle aurait l’air de vouloir éviter le sujet.

Trump, parlant sous les  applaudissements nourris de ses  partisans vendredi après-midi à Manchester, NH, a salué le FBI pour avoir le eu  «courage» de mettre à la  lumière du «droit l’horrible erreur qu’ils ont fait” , en disant qu’il espère que  tout est “corrigé”.

«La corruption de Hillary Clinton est sur une échelle que nous n’avons jamais vu auparavant”, a déclaré Trump. “Nous ne devons pas laisser prendre en main   le Bureau ovale par  son régime criminel.”

Dans un clin d’œil à l’importance de l’annonce faite par le FBI, Trump a ironisé: “Le reste de mon discours va être tellement ennuyeux.”

D’autres législateurs GOP ont également  insisté, appelant le FBI à poursuivre une nouvelle enquête approfondie.

“La décision du FBI de rouvrir son enquête sur Mme Clinton renforce ce que le Comité judiciaire de la Chambre a affirmé pendant des mois: plus nous en apprenons sur l’utilisation de la secrétaire Clinton d’un serveur de messagerie privée, plus il devient clair qu’elle et ses associés ont commis  des actes répréhensibles  et compromis la sécurité nationale “, que le  président du Comité judiciaire Bob Goodlatte, R-Va., a déclaré dans un communiqué.

Puis, le président du Comité national républicain Reince Priebus a  dit que la découverte doit être «très grave» pour que le FBI  se met subitement à enquêter à partir  d’une  date si  proche de l’élection.

Hillary Clinton n’a pas répondu aux questions des journalistes au sujet du développement subit de cette affaire, comme elle venait  d’atterrir à Cedar Rapids, Iowa, et elle n’a même  pas abordé la question en prenant la  parole devant  ses partisans dans la même ville.

Mais le  Président de la Campagne d’Hillary Clinton, John Podesta ,a fortement remis en question la décision du FBI et dit que Comey devrait «fournir immédiatement» plus d’informations.

«À l’issue de cette enquête, il y a plus de trois mois, le directeur du FBI, Comey, a déclaré qu’aucun procureur raisonnable ne pouvait aller de l’avant avec un cas comme celui-ci et il a ajouté qu’il n’avait même pas reçu un appel à ce moment-là. Dans les mois qui suivirent , Donald Trump et ses alliés républicains ont été sans fondement deuxième à deviner ce qui pouvait bien arriver avec le FBI et, à la fois le  public et le privé, ont tenté  d’intimider les fonctionnaires de carrière  pour revoir leur conclusion dans une tentative désespérée pour nuire à la campagne présidentielle de Hillary Clinton “, a-t-il dit dans un communiqué.

Podesta a déclaré: «nous ne savions même pas  que ces e-mails [qui sont venus à la lumière] existaient et le directeur lui-même fait remarquer qu’ils ne peuvent même pas être significatifs.”

Selon une source reliée à la campagne Clinton qui a réclamé l’application de la loi, le FBI a quatre appareils  qui  appartiennent à Abedin, et au moins un appartient à Weiner. Jusqu’à présent, aucune information classifiée n’a été trouvé sur les appareils, selon Fox News.

Le développement inattendu de tout cela est arrivé  11 jours avant l’élection générale, et est la dernière “onde de choc”  à venir  frapper la campagne électorale de plein fouet. Jusqu’à présent,Hillary Clinton avait gagné dans les sondages sur Trump dans le sillage du dévoilement  des vidéos et des enregistrement  montrant Trump parler sans respect des femmes et les allégations ultérieures d’agression sexuelle et de harcèlement contre lui qu’il nie fortement.

Cependant, les révélations quotidiennes de piratage des courriels de la campagne Clinton obtenus par WikiLeaks sont devenus un casse-tête pour la campagne de la  démocrate. La reprise de l’enquête du  FBI pose potentiellement un  problème mille fois plus important que les dérapages clownesques de Donald Trump:c’est  la première fois dans l’histoire des États-Unis d’Amérique que les citoyens  peuvent  bien sentir  le vol et le pillage de leur gouvernement.

Ron Hosko, ancien directeur adjoint du FBI à la retraite, a déclaré à Fox News dans une interview téléphonique que des fonctionnaires du FBI étaient «livides de peur » face  à Comey sur le fait que des accusations criminelles  n’ont pas été portées contre Hillary Clinton dès le  premier jour de l’enquête,devant la masse de preuves qui s’accumulaient devant leurs yeux.

“Il l’a allumé le feu, puis est reparti», a déclaré Hosko,en parlant  de Comey,lors de  la tenue d’une conférence de nouvelles portant sur la mauvaise gestion d’Hillary Clinton sur des informations classifiées.

Hosko dit qu’il ose encore  défendre Comey  parce que le FBI a toujours agi de manière à prendre une décision “sur la base de ce qu’ils ont” à l’époque. Hosko dit qu’il pense que les agents ont trouvé des e-mails qui ont fait dire: «Oh mon Dieu, regardez ce que nous avons.”

Ils ne croyaient pas ce qu’ils voyaient parce qu’il croyaient au système politique dans lequel ils vivaient.Ils ne pouvaient pas croire,ni comprendre qu’une femme comme Hillary Clinton qui a si longtemps servi le gouvernement américain puisse être une si grande criminelle.

Elle semble plus vieille sur cette photo prise en Ohio le 28 octobre 2016.
Elle semble plus vieille sur cette photo prise en Ohio le 28 octobre 2016.

Discussions sur Twitter:

My full statement ⇩

 Paul Ryan (speaker) …on twitter this morning.

Président de la Chambre Paul Ryan a qualifié la décision du FBI “depuis longtemps.”


 

How many emails did the FBI find? Get your butt in gear, read them, assess them, form a conclusion. Letting this hang is so irresponsible.

Mais l’ancien porte-parole de l’administration Obama Tommy Vietor a réprimandé le FBI sur Twitter. 


En plus que de servir les Illuminati,elle sert aussi le CFR (Council of Foreign Relations) et elle est le choix du Groupe de Bilderberg. Hillary Clinton est l'ennemie No 1 du Peuple Américain.
En plus que de servir les Illuminati,elle sert aussi le CFR (Council of Foreign Relations) et elle est le choix du Groupe de Bilderberg.
Hillary Clinton est l’ennemie No 1 du Peuple Américain.

EN CONCLUSION

Profitant d’une première accalmie après des semaines à la dérive, Donald Trump s’en est donné à coeur joie, vendredi. « C’est plus gros que le Watergate », a-t-il lancé lors d’un rassemblement tenu dans le New Hamp-shire. « La corruption d’Hillary Clinton atteint une ampleur sans précédent », a ajouté M. Trump, alors que ses partisans scandaient« Enfermez-la ! ».

 

Cela, parce que le directeur du FBI, James Comey, a donné son accord pour que l’agence examine une nouvelle série de courriels qui « semblent pertinents à l’enquête » latente que mène le FBI sur l’usage d’une messagerie privée par Mme Clinton alors qu’elle était la secrétaire d’État.

 

Ces courriels ont été obtenus par hasard dans le cadre d’une enquête séparée qui n’a rien à voir avec Mme Clinton : elle concerne plutôt des messages à caractère sexuel envoyés par Anthony Weiner, l’ex-mari d’une proche conseillère de la candidate démocrate (Huma Abedin).

 

En évoquant le Watergate, M. Trump a pris plusieurs pas d’avance sur le directeur du FBI. Dans une lettre transmise à des présidents de commission parlementaire, M. Comey indique que « le FBI ne peut déterminer si ces informations seront ou non significatives ». Ce sera aux enquêteurs « d’examiner ces courriels et de déterminer s’ils contiennent des informations classifiées ».

 

Des détails !

 

Le flou maintenu par James Comey a fait bondir le chef de la campagne d’Hillary Clinton, John Podesta. « M. Comey devrait donner plus d’informations immédiatement, a-t-il écrit dans un communiqué publié en fin de journée. Nous n’avons aucune idée de ce que [les courriels visés] disent et le directeur reconnaît lui-même qu’ils sont peut-être non signifiants. C’est extraordinaire de voir quelque chose comme ça survenir à 11 jours d’une élection présidentielle. »

 

Hillary Clinton a lancé sensiblement le même message en soirée, se disant convaincue que le FBI « ne changera pas sa conclusion de juillet ».

 

Le scandale des courriels embête Hillary  Clinton depuis mars 2015, avant même son entrée en campagne. Lorsqu’elle dirigeait la diplomatie américaine (durant le premier mandat d’Obama), elle a utilisé une messagerie privée plutôt qu’un compte gouvernemental officiel, exposant ainsi potentiellement des informations confidentielles à un piratage.

 

Le FBI a ouvert une enquête, pour conclure en juillet 2016 qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre Mme Clinton. Donald Trump a souvent vilipendé cette décision. James Comey avait tout de même souligné que l’ancienne secrétaire d’État avait fait preuve d’une« négligence extrême ». Hillary Clinton a présenté ses excuses dans cette affaire, mais elle a toujours prétendu n’avoir rien fait d’illégal.

 

Quel impact ?

 

Les révélations faites vendredi risquent-elles de renverser la vapeur dans une course qui annonce une victoire assez nette d’Hillary Clinton ? 

 

« Le FBI se doit de vérifier qu’aucun crime n’a été commis par l’usage d’une messagerie privée, dit-il. Mais je pense surtout que l’agence a voulu démontrer que c’est vraiment une institution indépendante, après avoir été souvent accusée par Donald Trump d’être à la solde des démocrates. »

 

Selon M. Tourreille, James Comey aurait « évoqué dans sa lettre s’il y avait quelque chose de majeur dans ces courriels. Or il est resté très vague. J’ai plus l’impression d’une démarche pour rassurer l’opinion publique [sur l’indépendance] du FBI. »

 

Directeur de la Chaire d’études politiques américaines du Cérium, Pierre Martin n’y voit pas un danger majeur pour Hillary Clinton à ce stade de la campagne. « Les informations [diffusées vendredi] ne sont pas fondamentalement différentes de ce qu’on savait déjà de ce dossier. C’est sûr que tout prend une dimension énorme en fin de campagne. Mais, dans les faits, ce dossier n’a pas eu énormément d’effets sur l’opinion publique dans le passé, et je ne pense pas que la lettre de M. Comey va convaincre un partisan de Mme Clinton de voter pour M. Trump. »

 

N’empêche que la décision du FBI n’est pas une bonne nouvelle pour la candidate démocrate, ajoute M. Martin. « On relance les questions sur son manque de transparence, on renforce cette perception qu’elle se croit au-dessus des règles. Mais ce sont des éléments qui sont dans le débat depuis longtemps. »

Donald Trump semble   terminer la course à l'élection avec beaucoup de forces et de supports nouveaux.
Donald Trump semble terminer la course à l’élection avec beaucoup de forces et de supports nouveaux.

ANNULER L’ÉLECTION OU FAIRE APPEL À L’ARMÉE POUR RÉTABLIR LA DÉMOCRATIE

 Donald Trump a suggéré jeudi,27 octobre 2016, lors d’un meeting électoral dans l’Ohio, d’annuler l’élection présidentielle et de le déclarer vainqueur, rapporte la chaîne américaine CNN.Ce serait peut être la meilleure solution dans cette campagne électorale.

 

 

Les allégations de fraude électorale martelées par Donald Trump se sont enracinées chez ses partisans, pour qui la victoire de Hillary Clinton ferait naître de sérieux doutes quant à la légitimité des résultats du scrutin, révèle un sondage Associated Press-GfK.

Seuls 35 pour cent des sympathisants du candidat républicain disent qu’ils accepteront probablement les résultats de l’élection si Mme Clinton accède à la Maison-Blanche, contre 64 pour cent qui affirment qu’ils s’en méfieraient sans doute.

D’autre part, 69 pour cent des partisans de l’ancienne secrétaire d’État se disent prêts à accepter l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Cependant, 30 pour cent d’entre eux manifestent une réticence face à cette idée.

Au total, 77 pour cent des électeurs probables disent qu’ils reconnaîtront le résultat du vote, même si Donald Trump en sort gagnant. À l’opposé, 70 pour cent des Américains qui se rendront sûrement aux urnes, le 8 novembre, adoptent la même position face à l’éventuelle victoire de la candidate démocrate.

Lors du troisième et ultime débat présidentiel, l’ex-vedette de téléréalité a refusé de dire s’il allait reconnaître ou non les résultats du dépouillement. «Je garde le suspense», avait-il répondu en souriant au modérateur.

Cet affront à la transition pacifique du pouvoir — un élément central de la démocratie américaine — lui a attiré bien des critiques, mais n’a pratiquement pas fait sourciller sa base partisane.

«Bien sûr, je crois que c’est truqué, et bien sûr je n’accepterai pas les résultats, a lancé Mike Cannilla, un électeur de Staten Island. Ça vient d’en haut: Obama essaie de prendre contrôle du pays, il cache tous les crimes de Hillary et il manipule les médias pour faire perdre Trump.»

«Notre seule chance, le 9 novembre, c’est si l’armée développe une conscience et prend les choses en main», a avancé le sympathisant républicain de 53 ans.

Bien qu’il y ait eu quelques cas isolés de fraude électorale aux États-Unis, aucune preuve ne permet d’affirmer — comme le répète M. Trump — qu’il s’agit d’un problème répandu. Un professeur de la faculté de droit de Loyola, à Los Angeles, n’a trouvé que 31 cas d’usurpation d’identité sur un milliard de bulletins de vote remplis entre 2000 et 2014 à travers le pays.

Par ailleurs, 40 pour cent des partisans de M. Trump disent avoir peu ou aucune confiance en l’exactitude du décompte des voix. Du côté des sympathisants de Mme Clinton, 79 pour cent des électeurs sondés ont déclaré avoir beaucoup ou assez confiance en la justesse des résultats. Plusieurs d’entre estiment que le magnat de l’immobilier devrait exprimer son soutien au système électoral même s’il est défait.

Le sondage Associated Press-GfK a été mené en ligne auprès de 1546 adultes, dont 1212 électeurs probables, du 20 au 24 octobre. L’échantillon a été tiré d’un panel de GfK, qui est conçu pour être représentatif de la population américaine. La marge d’erreur pour tous les répondants est de plus ou moins 2,75 points de pourcentage et celle concernant les électeurs probables, de plus ou moins 3,1 points de pourcentage.

LA GUERRE CIVILE MENACE L’EMPIRE AMÉRICAIN

Pourrait-on voir la violence éclater aux Etats-Unis et ce indépendamment de la personne qui gagnera les élections le 8 novembre prochain ?

Espérons que cela ne se produise pas, mais comme vous le verrez ci-dessous, la violence anti-Trump ravage toute l’Amérique. Si Trump venait à remporter les élections, cela pourrait engendrer une forte colère du côté de la gauche radicale et ce à un niveau que nous n’avons jamais vu auparavant. D’un autre côté, il y a d’énorme doutes quant à la bonne tenue du scrutin puisque certains pensent que cette élection pourrait être volée par Hillary Clinton. Et comme je l’ai montré hier, il semble que les machines électroniques permettant de voter au Texas soient déjà prêtes à transférer les votes pour Donald Trump à Hillary Clinton. Si Hillary Clinton venait à remporter cette élection dans des circonstances suspectes, cette situation pourrait déclencher des troubles civils généralisés dans tout le pays.

Actuellement, il reste moins de deux semaines avant les élections du 08 Novembre prochain, et une nouvelle enquête vient de révéler que la majorité des Américains craignent « des actes de violence » le jour du scrutin…

 

51% des électeurs américains expriment une certaine inquiétude quant à des possibles actes de violence le jour du scrutin; 20% se disent «très inquiets». 75% des américains disent avoir confiance dans le fait que la passation du pouvoir se déroule de manière pacifique comme cela s’est toujours passé depuis plus de 200 ans dans ce pays démocratique, mais seulement 40% se sont dits «très confiants».

Plus de 40% des partisans de Trump disent qu’ils ne reconnaîtraient pas la légitimité d’Hillary Clinton en tant que présidente des Etats-Unis si elle venait à remporter ces élections car pour eux, elle ne se sera pas imposée d’une manière loyale.

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Mais beaucoup d’américains à gauche n’attendront pas le résultat des élections afin de commettre des actes de violence. A Hollywood, Hier, le mercredi 26 Octobre 2016, un homme a brisé en morceaux l’étoile de Donald Trump sur le Walk of Fame à l’aide d’un marteau et d’une pioche…

Donald Trump a pris beaucoup de coups aujourd’hui, et pas seulement dans la course à la présidentielle. A moins de deux semaines avant que l’Amérique ne se décide si l’ancienne vedette de l’émission The apprentice arrachera une victoire surprise face à Hillary Clinton, l’étoile de Donald Trump a été vandalisée sur le Walk of Fame à Hollywood, puisqu’elle a été détruite tôt le mercredi en matinée par un homme portant un uniforme d’ouvrier et brandissant un marteau et une pioche.

…ET SI HILLARY CLINTON QUITTAIT L’ÉLECTION?

 

Si Hillary Clinton venait à quitter la course à la présidentielle américaine, les membres du Comité national du parti démocrate se réuniront pour élire un remplaçant. Les membres du comité national démocrate avait massivement soutenu Clinton même si la situation tendait à basculer vers le sénateur socialiste du Vermont Bernie Sanders.

Mark Paustenbach, le porte-parole du comité démocrate national indique qu’il y a actuellement 445 membres au comité démocrate – un nombre qui change au fil du temps et qui est régi par les propres statuts du groupe, qui accordent le statut de membre et des chefs de partis et attribuent 200 points pour la sélection au sein de chaque état, avec une option de 75 points que les membres du comité du parti démocrate peuvent choisir d’utiliser.

Mais les règles du parti pour le remplacement d’un candidat à la présidence précisent simplement que la majorité des membres doivent être présents à une assemblée extraordinaire convoquée par le président du comité. La réunion suivra les procédures établies par le Comité du parti démocrate et le vote par procuration ne serait pas autorisé.

Il serait extrêmement difficile de dégager une majorité de l’ensemble des membres du Comité national démocrate dans un délai aussi bref. Si Hillary Clinton devait abandonner la course à la présidentielle américaine la semaine prochaine, il serait pratiquement impossible de trouver un candidat démocrate de substitution avant le jour de l’élection.

Bref,ce serait l’anarchie.

Sans Hillary aux portes du pouvoir, les chances de voir Trump l’emporter seraient très importantes.

Donc, si Hillary était contrainte de quitter la course à la présidentielle du fait de l’enquête du FBI, Barack Obama et les démocrates voudront retarder ou suspendre l’élection aussi longtemps qu’ils le pourront s’ils le peuvent.

Pour l’instant, un tel scénario n’est que peu probable, mais étant donné la folle compagne à laquelle nous assistons depuis un an maintenant, tout peut arriver.

 

…ET QUE DIT L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE?

Incroyable,mais vrai!
Incroyable,mais vrai!

A défaut d’avoir la faveur des sondages américains, Donald Trump pourrait se réjouir puisque le système d’intelligence artificielle a prédit qu’il remportera les prochaines élections face à Hillary Clinton.

Si vous pensez que c’est un autre sondage bidon, sachez le système d’intelligence artificielle a réussi à prédire le résultat des trois dernières élections américaines, ainsi que les primaires démocrate et républicaine.

Développé en 2004 par Sanjiv Rai, MogIA analyse 20 millions de points de données en provenance des plates-formes sociales telles que Google, Facebook, Twitter et YouTube. Puis, il est en mesure de faire des prédictions.

«Si Trump perd, cela va défier la tendance de données pour la première fois au cours des 12 dernières années », a écrit M. Rai, à CNBC.

L’empire est au bord du gouffre!

Vive la Seconde Révolution Américaine!

À bas,la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial!