Fukushima. La vie arrêtée

Des voitures irradiées...
Des voitures irradiées…

 

Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d’un tsunami ravageait la côte est du Japon, provoquant la mort de milliers de personnes et l’accident nucléaire de Fukushima. L’arrêt de trois réacteurs du site provoqua une réaction en chaîne et le rejet d’une importante quantité de produits radioactifs. L’inertie des autorités japonaises et de l’opérateur du site, la Tepco, eut également de nombreuses conséquences sanitaires. Parmi celles-ci, l’évacuation forcée et parfois arbitraire de la population qui vivait à proximité de la centrale, dans un rayon de vingt kilomètres. Dans sa grande générosité, la Tepco a indemnisé les foyers concernés à hauteur de 8 000 euros…

Une moto abandonnée depuis 2011.
Une moto abandonnée depuis 2011.

Le 5 septembre dernier, la commune japonaise de Naraha, qui se trouvait à la limite de la zone des vingt kilomètres, est officiellement redevenue habitable. Les anciens habitants (2.694 foyers, 7.368 personnes) avaient jusqu’à présent le droit de revenir pour préparer leur retour, mais pas de se réinstaller totalement. Le cinéaste japonais Sono Sion a montré la vie de ces exilés forcés dans le très beau  documentaire «Land of Hope».

Des voitures ,des motos et  autres  items envahis par la végétation.
Des voitures ,des motos et autres items envahis par la végétation.

Le photographe et cinéaste Arkadiusz Podniesinski s’est rendu dans la zone interdite pour une série extraordinaire. Jeudi, une étude menée par le professeur Toshihide Tsuda démontrait que le nombre de cas de cancer de la thyroïde affectant la population soumise à la radioactivité était 50 fois supérieur à la normale.

 

Vue aérienne d'un vrai cimetière d'autos ... créé en 2011 par  le tsunami et l'accident nucléaire qui a suivi.
Vue aérienne d’un vrai cimetière d’autos … créé en 2011 par le tsunami et l’accident nucléaire qui a suivi.

 

 

...mêmes des karts.
…mêmes des karts.

 

 

...des vélos sous leurs abris rouillent lente
…des vélos sous leurs abris rouillent lente

 

...des étalages recouverts de poussière.
…des étalages recouverts de poussière.

 

...des magasins ébranlés  et laissés à l'abandon .
…des magasins ébranlés et laissés à l’abandon .

 

...comme l'intérieur de multiples épaves de vaisseaux échoués sur la Terre.
…comme l’intérieur de multiples épaves de vaisseaux échoués sur la Terre.

 

...des bureaux immobiles...
…des bureaux immobiles…

 

...des reliques récentes de notre technologie...
…des reliques récentes de notre technologie…

 

....des écoles sans élèves ni professeurs...
….des écoles sans élèves ni professeurs…

 

...même un dépôt  d'ordinateurs périmés attend  dans l'ombre du temps.
…même un dépôt d’ordinateurs périmés attend dans l’ombre du temps.

 

Comme vous le voyez,c’est à Fukushima qu’a vraiment commencé la Grande Mort du Monde…Mort de Civilisation et de Vie!

 

 

 

Alerte Fukushima :les retombées continuent pendant que les travailleurs employés au nettoyage réclament des salaires impayés

Le mois dernier, Tokyo Electric Power a été condamné à payer $ 500,000 compensation, maintenant les travailleurs poursuivent pour l’argent promis…en compensation pour le danger mortel de leur travail.

Travailleurs construisant un mur de glace à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi,
Travailleurs construisant un mur de glace à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi,

 

Le filet juridique a commencé à se  serrer autour du cou  de l’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi ,TEPCO, alors que des victimes de l’accident, et les responsables de l’effacer en place , déposent  leurs griefs devant les tribunaux.

La semaine dernière, Tokyo Electric Power (Tepco) a déclaré qu’il ne soutiendrait pas une décision de justice condamnant à payer près de 500.000 dollars en compensation à la famille d’une femme qui s’est suicidée deux mois après être forcée de fuir son domicile près de l’usine.

Cette demande, qui pourrait ouvrir la voie à des combinaisons similaires, a été suivie d’une tentative sans précédent de quatre travailleurs de  Fukushima Daiichi , de poursuivre TEPCO  pour les salaires impayés.

Les deux premiers et deux travailleurs actuels, âgés entre   30 à 60 ans , affirment que Tepco et ses sous-traitants n’ont pas réussi à s’assurer qu’ils ont payés les  indemnités de danger (obligatoires), en plus de leur salaire régulier.

Dans la première contestation judiciaire du genre contre Tepco, les quatre hommes, qui ne sont pas nommés et portaient des masques en cour de  justice par crainte de représailles de leurs employeurs, réclament plus de  $ 600,000 en salaires impayés de Tepco et plusieurs de ses entreprises partenaires.

L’avocat des hommes a dit qu’il croyait qu’il  pourrait poursuivre TEPCO au nom des 6.000 travailleurs – dont la plupart travaillent pour des entrepreneurs – impliqués dans la conduite dangereuse de la compagnie  depuis 40 ans  pour  éviter de faire  déclasser la centrale .

« Il y a un an, le premier ministre a dit au monde que Fukushima était sous contrôle. Mais ce n’est pas le cas », a déclaré Tsuguo Hirota  à Reuters. «Les travailleurs ne reçoivent pas,telle que  promise, la prime de risque et les travailleurs qualifiés quittent. C’est devenu un endroit pour que des amateurs, et qui doit inquiéter toute  personne qui vit près de l’usine. »

La nature dangereuse du travail pour contrôler le flux de l’eau radioactive , et de préparer les réacteurs endommagés pour l’élimination du combustible nucléaire fondu  a forcé  Tepco d’annoncer,à  la fin de l’année dernière qu’il doublerait les  paiements quotidiens de l’argent de danger à 200 $ par travailleur.

Mais les ouvriers employés par quelques-unes des 800 entreprises impliquées dans le démantèlement de Fukushima Daiichi disent que l’argent supplémentaire est retenu par les entrepreneurs et les sous-traitants, qui prétendent qu’ils ont besoin d’argent supplémentaire pour garder leurs entreprises à flot.

«Ma santé pourrait souffrir un jour … Je crois qu’il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas parler de ce genre de problème, » que l’un des travailleurs a dit au  radiodiffuseur public NHK. «Je peux me faire virer ou peut-être  qu’on ne me donnera  plus de travail. Mais j’espère que les gens vont prendre cela comme une occasion de s’exprimer et de se faire  payer. »

Les travailleurs et les citoyens  ont ouvert un nouveau front dans la bataille juridique contre Tepco, qui devrait payer plus de 48 milliards de dollars en compensation aux résidents touchés par la catastrophe Mars 2011, et des milliards de plus sur la décontamination et le démantèlement.

Le mois dernier, le pannel  judiciaire de citoyens a décidé que trois anciens dirigeants de Tepco doivent faire face à des accusations criminelles au cours de la catastrophe. Les procureurs doivent répondre à la commission par le mois prochain (octobre 2014).

Sources: the Guardian

Alerte fukushima: le plus haut record de tritium radioactif jamais enregistré sur Terre…4.700.000 Bq/m3

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Une densité extrêmement élevée de tritium a été détecté dans les eaux souterraines de la couche profonde sous le site de Fukushima.

Tepco a commencé à construire le mur d’eau souterraine gelée . Afin d’étudier la contamination des eaux souterraines à l’extérieur de la paroi, Tepco a prélevé échantillon de sol à  25m sous terre.

En conséquence, 3,1 millions Bq/m3 de tritium a été mesurée à partir de l’échantillon prélevé près du  réacteur No 2. La date de prélèvement était  le 28 mai .2014. De la recherche de Fukushima Diary, il s’agit de la valeur la plus élevée depuis qu’ils ont commencé à mesurer.

Ils ont mesuré le strontium-90 à partir de la même couche profonde à côté du  réacteur No 4  en Novembre 2013 .

Il est possible que l’eau contaminée se déplace sous le fond de la mer du port de Fukushima  et s’échappe  au large,polluant  de façon  presqu’irréversible les fonds marins et la biodiversité de l’océan Pacifique.

(La plus haute densité de tritium détectée à partir de 25m métro / 3100000 Bq/m3 [ URL ])

 

D’après le rapport du suivi par les autorités  de Tepco  émis le 13 juin 2014, la densité de tritium a encore augmenté et a atteint 4,7 millions Bq/m3 dans le même sol  d’un même prélèvement  (l’emplacement est sur la carte ci-dessus).

Tepco n’a pas donné  la moindre explication sur cette augmentation de la densité de tritium. À partir de la recherche de Fukushima Diary, c’est le plus haut niveau depuis que  Tepco a commencé à mesurer les eaux souterraines à 25m sous terre. Il existe une possibilité que la paroi de l’eau gelée se propage à  contamination souterraine,rendant inutile tous les travaux fort dispendieux entrepris depuis la fin de 2013.

Plus que jamais ,l’insouciance ,la négligence,la corruption politique et le manque de ressources professionnelles  menacent la sécurité de tous les écosystèmes de la Terre,et particulièrement la vie de tous les humains de la Terre,mais ce n’est pas la préoccupation sociale de nos Maîtres actuels du Monde qui complotent pour  dépeupler la Terre des humains.

 

Sources: TEPCO photos,    Fukushima diary

Alerte Majeure: catastrophe nucléaire en cours à 655 mètres sous terre au centre de stockage de déchets radioactifs du Nouveau Mexique

Depuis le 5 février 2014, une catastrophe nucléaire est en cours au centre de stockage profond de déchets radioactifs au Nouveau Mexique (USA). Un incendie dans la zone nord puis, 9 jours plus tard, un relâchement de radioactivité dans la zone sud se sont produits au WIPP (Waste Isolation Pilot Plant) qui est prévu pour entasser 176 000 m3 de déchets transuraniens contenant notamment de l’Américium et du Plutonium, issus d’activités nucléaires de défense (recherches militaires et production d’armes nucléaires). Un ou plusieurs containers se sont ouverts, à 655 mètres sous terre, suite à une explosion d’origine chimique. La radioactivité la plus terrible – Plutonium, Americium – s’est échappée et s’échappe encore.

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Le Centre états-unien de stockage de déchets radioactifs en profondeur (1) pourrait bientôt voir le jour aussi en France. C’est en tout cas ce que veulent à tout prix le lobby nucléaire et les gouvernements français successifs qui tentent d’imposer leur décision criminelle dans la région de Bure (Champagne). Objectif : cacher aux yeux de tous la merde mortelle engendrée par le secteur du nucléaire civil et militaire. Et taire aux générations futures leur forfait qui durera jusqu’à un million d’années.

Ce qui se passe aux Etats-Unis, dans le silence assourdissant des médias occidentaux, préfigure la terrible réalité hexagonale tricolore si on les laisse faire.

20140206__WPPnidnt-0206_p5.jpgDepuis le 5 février 2014

Depuis le 5 février 2014, une catastrophe nucléaire est en cours au centre de stockage profond de déchets radioactifs au Nouveau Mexique (USA). Un incendie dans la zone nord puis, 9 jours plus tard, un relâchement de radioactivité dans la zone sud se sont produits au WIPP. Le Waste Isolation Pilot Plant est prévu pour entasser 176 000 m3 de déchets transuraniens contenant notamment de l’Américium et du Plutonium, issus d’activités nucléaires de défense (recherches militaires et production d’armes nucléaires). Ces containers proviennent du LANL (Los Alamos National Laboratory) qui mit et met au point les bombes atomiques. Ils contiennent du Plutonium et de l’Americium. Un ou plusieurs containers se sont ouverts, à 655 mètres sous terre, suite à une explosion d’origine chimique. La radioactivité la plus terrible – Plutonium, Americium – s’est échappée et s’échappe encore. Pendant plus d’un mois, plus personne n’a pu entrer dans les galeries d’accès. 

La catastrophe nucléaire s’est enclenchée suite à un « banal » incendie sur un camion utilisé, à proximité du puits, pour évacuer le sel excavé des alvéoles d’accueil des fûts de matières radioactives. Rapidement le dispositif d’extinction d’incendie, dont était équipé le camion, s’est déclenché, la ventilation des installations souterraines a été arrêtée.

20140206__WPPnidnt-0206_p3.jpgToutes les opérations de stockage ont dû être suspendues et l’évacuation en urgence de tout le personnel – plus de 650 personnes – a été décrétée. Mais six employés ont dû être transférés à l’hôpital en raison d’une possible inhalation de fumées toxiques et de gaz radioactifs.

Selon le Département Américain de l’Energie (DoE) il s’agit de l’incendie le plus sérieux qui se soit produit dans les installations souterraines du WIPP sous-entendant que d’autres incidents s’y sont déroulés antérieurement sans que cela n’ait été révélé.

Un autre incident le 14 février 2014

Le 14 février 2014 vers 23h30, une contamination radioactive élevée de l’air s’est également produite, confirmée par une alarme-balise située dans les installations souterraines à proximité d’une cavité en cours d’exploitation et de remplissage, depuis 2013, par des colis de déchets hautement radioactifs. L’air sortant des installations souterraines par le puits dédié a alors dû être dirigé, en urgence, vers un autre réseau d’évacuation à l’air libre équipé de filtres qualifiés de très haute efficacité (THE). Mais de la radioactivité d’américium et de plutonium s’est malgré tout échappée à l’extérieur de l’installation en contaminant la zone jusqu’à environ 800 mètres au nord-ouest du puits d’extraction d’air.

Un balise situé au niveau de la station d’échantillonnage située le long de la route d’accès au WIPP a enregistré la contamination radioactive de l’air. Mais ce n’est que 5 jour plus tard, le 19 février, que la contamination a été annoncée officiellement par le DoE et la presse. Pourtant, selon les documents actuellement disponibles, un pic de radioactivité avait eu lieu dès le 15 février jusqu’à atteindre un niveau total de 0,87 Bq sur le filtre de particules. Une autre station de mesure située sur le site détecte aussi la contamination radioactive sur un autre secteur (2)

Un niveau de radioactivité démentiel pendant au moins 15 heures

La simulation du panache radioactif relâché à l’extérieur de l’installation – simulation réalisée par le NARAC (3)- fondée sur les mesures effectuées à la sortie de l’émissaire de rejet d’air (après filtration) et sur les paramètres météorologiques au moment du rejet et durant 4 jours après celui-ci, montre que la radioactivité a pu atteindre 3,7 107 Bq (1 mCi) pendant 15 heures.

2014_USA_WIPPsurface.jpgLe nuage radioactif s’est dirigé vers le nord-ouest et a atteint la station située le long de la route d’accès au WIPP. Le NARAC a également estimé les doses liées à l’inhalation qui auraient pu être reçues par une personne se trouvant dans le trajet du panache. Ces doses seraient inférieures à 10 µSv à l’extérieur du site du WIPP et inférieures à 100 µSv sur le site. Autrement, bien que le « bruit de fond » (radioactivité permanente ambiante) dû aux transuraniens communément mesuré autour du centre soit de l’ordre de 0,004 Bq pour le Plutonium et 0,0005 Bq pour l’Américium, ces mesures seraient étonnamment dans les « normes états-uniennes ». Il y a là comme un mauvais remake du scénario TEPCO à Fukushima.

Même l’IRSN (l’Institut français de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), peu suspecte de complaisance à l’égard des antinucléaires, doute quelque peu des déclarations officielles états-uniennes : « …ce qui semble indiquer un relâchement de particules radioactives par le puits de sortie d’air du WIPP pendant le bref moment entre l’occurrence de l’évènement et le passage de la ventilation en mode filtration. Sur ce dernier point, il est à noter que le directeur de la sûreté des déchets du SwRI5, centre de recherche et d’expertise nucléaire, a émis des réserves sur les performances des systèmes de filtration, qui n’ont jamais été testés« . Et l’organisme tricolore de préciser dans sa phraséologie poétique sinistre : « Il subsiste donc une incertitude sur le fait qu’une part d’air non filtré ait conduit à un relâchement direct d’activité en surface.  » Autrement formulé : une contamination radioactive par les terrifiants plutonium et américium a pu avoir lieu.

Pas un mais deux accidents en cours : des victimes

2014_WIPP_USA_installations-souterraines.jpgLe 26 février 2014 , la contamination interne à l’Américium 241 de 13 membres du personnel a été reconnue du bout des lèvres par les autorités états-uniennes, s’empressant de sortir aussitôt l’éternelle phraséologie nucléariste stipulant comme règle d’or à servir au peuple et aux médias  » qu’il serait prématuré de spéculer sur la base de ces résultats préliminaires quant aux effets sur la santé de cette contamination interne, ou quant au traitement qui pourrait être nécessaire. » Presque de l’ex-ministre Besson, dans le texte, lors de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Pourtant la terrible et mortelle contamination détectée dans des prélèvements de selles concerne à présent 17 salariés. Aussi, suivant de près la catastrophe en cours, l’IRSN précise dans une note d’évaluation :  » (que les prélèvements tendent à montrer) soit que la contamination n’a pas pénétré dans les poumons, soit que la contamination inhalée n’a pas été suffisante pour être passée, à des niveaux détectables, dans le sang puis l’urine.  » Contaminé, oui, mais pas tout l’organisme. La mort en sera donc plus lente et plus discrète.

Pas mieux qu’à Fukushima malgré la suprématie technologique

Fin mars 2014 le gestionnaire du site de stockage nucléaire espérait pouvoir envoyer une équipe dans les installations souterraines pour évaluer la situation et tenter de cerner ce qui s’est passé et ce qui se passe. Les scénarios envisagés seraient (selon la boule de cristal) soit un effondrement du plafond de la cavité de stockage (attention à Bure en Champagne, car les spéculateurs nucléocrates français affirment que ce n’est pas possible) ou bien l’écrasement et l’éventrement d’un fût de déchets radioactifs par un chariot à fourche. On voit que les super-ingénieurs voient large dans le champs des possibles incidents pouvant conduire à une catastrophe d’ampleur. Toujours est-il que ces rejets radioactifs sont considérés par l’exploitant comme sans lien avec l’incendie du 5 février. Compte tenu de la distance et du délai qui ont séparé les deux incidents, l’IRSN estime quant à elle  » que l’absence de lien entre eux est plausible mais que ceci doit être confirmé par les investigations à venir qui devraient permettre de faire la lumière sur l’origine exacte du « relâchement d’activité » (rejets radioactifs contaminants)« . 

Autrement dit : tout ce beau monde pseudo scientifiques et de hauts niveaux techniques patauge dans la mare de ses croyances criminelles et n’en sait pas plus que le balayeur de la chocolaterie de Pont-a-Mousson.

De la chair à canon pour masquer la gloire déchue des nucléocrates

WIPP_USA_container-baille-db9d7.jpgImbu de sa suprématie mégalomaniaque le lobby nucléaire états-uniens (comme celui des autres pays) impose sa loi d’airain aux salariés. A l’image de la mafia c’est l’omerta qui préside à ses agissements. Aussi les salariés et notamment les ouvriers de base doivent se taire et ne sont pas autorisés à parler à la presse. D’autant que si jusqu’à présent leurs conditions de travail les exposaient aux doses radioactives dites « faibles » mais récurrentes, à présent ils vont devoir aller au casse-pipe et travailler dans des conditions d’isolement implacables : port de combinaisons lourdes et pesantes à chaque instant puis décontamination systématique durant des heures car, comme le reconnait le représentant états-uniens de la commission « santé » de l’agence des Nations Unies de l’Energie atomique : “Médicalement parlant, c’est très, très difficile d’extraire et d’éjecter la radioactivité de votre corps.” 

Ce n’est qu’en avril que des investigations prudentes et dangereuses peuvent être tentées. A l’image des catastrophes nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima les pontes du nucléaire des Etats-Unis sont désarçonnés et dans le désarroi car jamais au grand jamais ils n’ont envisagé que leurs magnifiques plaquettes et scénarios de gestion de crises nucléaires puissent être inopérants et à mille lieux du réel. En tout les cas, ils avaient fini par croire à leurs propre propagande et mensonges.

Alors, à présent, il s’agit d’explorer pour tenter d’approcher la réalité. A plusieurs reprises des salariés sont expédiés en éclaireurs dans les couloirs souterrains à plusieurs centaines de mètres sous la surface du sol. Harnachés et prudents ils doivent avancer en milieu hostile et contaminé avec comme seule arme une caméra dont les images sont suivies et récupérées plus haut à l’air libre. Une tentative d’exploration se déroule le 30 avril 2014, puis le 10 mai, puis le 15 mai. A la lumière d’une torche électrique et par tâtonnements successifs.

Le 24 avril une prise de vue publiée dans la presse montrait l’intérieur d’une « alvéole » le jour précédent la catastrophe : des rivets apparaissent déjà mal en point, cassés et plusieurs fissures se sont créées au dessus des containers. Le sol bouge, la radioactivité détériore les installations et les sacs de magnésium soi-disant prévus pour une durée protectrice de plus de 10 000 ans. Mais comme les appareils de mesures de radioactivité indiquent des niveaux incompatibles avec les prévisions des « têtes d’œufs », bien trop supérieurs, ils ont jugé qu’il ne pouvait s’agir que de dysfonctionnements des appareils et à partir de là qu’il fallait les débrancher pour cause de malfonction. La réalité ne correspond pas aux prévisions alors la réalité se trompe. Simple n’est-ce pas ? Et certains parlent encore d’un secteur scientifique, rationnel et de haute technologie… Pourtant la vue des sacs éventrés et des rivets détériorés aurait dû les affoler. Mais non.

Écrans de fumée et enfumage de la population

Ce que vont révéler les jours suivants est une succession de scénarios et montages d’explications approximatives et floues visant à noyer le poisson et à diluer, comme toujours, les responsabilités. On va créer un mouvement de rideaux de fumées pour lancer la presse et la population états-unienne vaguement informée sur des pistes toutes aussi erronées les unes que les autres.

2014_USA_WIPP_entree.jpgSi le Département d’Etat à l’Energie nucléaire (DEO) reconnait du bout des lèvres qu’il pourrait y avoir eu une erreur de conception de certains containers, le DOE se garde bien de préciser lesquels et leur nombre. Et d’affirmer ainsi en substance qu’il n’y aurait pas eu délitement du plafond et de la structure des alvéoles mais quelque chose de magique, tel un feu spontané qui aurait provoqué des explosions et détérioré les fûts et containers de déchets radioactifs. Et tout ça à cause de nouveaux matériaux organiques utilisés comme absorbant à la place de matériaux inorganiques. Matériaux utilisés, comme il se doit un peu partout dans le monde opaque du nucléaire, pour solidifier les déchets liquides. Ah ces écolos qui arrivent maintenant même à s’infiltrer sous terre. Ça y est, voilà les responsables.

Et de lancer leurs chiens de garde idéologiques dans la presse pour mettre en scène le nouvel écran de fumée. Le magazine « Forbes » avec son article « Nuclear Waste Leak Traced To Kitty Litter » (les fuites sont dues à de la litière pour chat) est chargé de donner le ton. Pourtant tout scientifique spécialiste des effets chimiques sait pertinemment que cette fameuse « litière pour chat » (qui n’est pas de la litière pour chat évidemment) n’est autre que l’indispensable absorbant (4) évitant que les sels de nitrate s’assèchent, prennent feu et enclenchent la catastrophe. Sauf que si un incendie s’est déclaré dans ces conditions, d’autres vont suivre inéluctablement.

wipp-workersL’éternelle stratégie de manipulation et de propagande des nucléocrates est donc activée : « dormez en paix braves gens nous veillons sur vous, faites-nous confiance et habituez-vous à vous relaxer et ne pas stresser car cela augmente votre fragilité à la radioactivité, et puis habituez-vous aussi peu à peu à la destruction atomique de vos organes et ainsi vous pourrez vivre en zone contaminée radioactive plus longtemps. Et ainsi nous pourrons continuer avec le stockage en profondeur de la merde radioactive que nous générons« .

Un remake américain du scénario allemand

Mais ce qui se passe aux Etats-Unis dans la mine de sel du WIPP ressemble trop à ce qui se passe dans la mine de sel allemande de Asse pour qu’une simple attitude objective n’établisse pas le lien cruel pour les nucléocrates : il n’est pas possible techniquement d’enfouir les déchets radioactifs en profondeur sous la surface de la terre. La terre vit et bouge, la radioactivité (destruction de l’atome) attaque tout ce qui existe : matériau et vivant. Sans évoquer aussi la déliquescence éthique et la monstruosité morale de telles options d’enfouissement.

2014_USA_Wipp_stockage-dechets-radioactifs.jpgDans la salle 7 du panel 7 au WIPP il y aurait 54 containers identiques à celui qui est éventré, dans le panel 6 il y en aurait 238. Au total il y a 369 fûts au fond du WIPP et 57 à Los Alamos. Quelque part ailleurs, dans le WCS (Waste Control Specialists) il y en aurait 116. Le WCS ? : une décharge privée cotée en bourse, propriété du milliardaire texan Harold Simmons, qui a obtenu une licence unique pour l’élimination des déchets radioactifs depuis 2009 et dont le ministère américain de l’Énergie (DOE) se servit comme installation de stockage temporaire de déchets radioactifs. Le privé a été autorisé à faire venir ces déchets lucratifs par la route en traversant 36 états américains. Le fun !

L’état du Nouveau Mexique à l’ouest du Texas : le Tricastin-Cadarache-Marcoule américain

2014_USA_Los-alamos_Nouveau-Mexique.jpgLe Nouveau-Mexique est l’état nucléaire par excellence. Il correspond à ce que les français subissent en vallée Rhône-Durance. Une multitude d’installations nucléaires civiles et militaires disséminées sur des milliers d’hectares. En premier le Marcoule/Cadarache états-uniens  : le Los Alamos National Laboratory (LANL), l’usine de fabrication des bombes atomiques qui seront testées sur le Trinity site et le White Sands Missile Range. Un espace de 8300 km² dédiés à l’explosion de bombes atomiques. Puis vient le trio infernal états-uniens correspondant au Marcoule/Cadarache/Tricastin du CEA : la « Sandia Base ». Une base de développement, de test des armes atomiques américaines, devenu le Sandia National Laboratory (à l’image en France du Commissariat à l’Energie Atomique devenu le CEA-EN . EN pour « Énergie Nouvelle » sous-entendues « renouvelables »). Suit aussitôt ce qui devait s’implanter possiblement en Provence mais que les nucléocrates ont finalement décidé de tenter d’imposer à Bure en Champagne: le « Waste Isolation Pilot Plant (WIPP) » : site d’enfouissement profond dont il est question dans cet article. Et en début de chaîne, l’Eurodif/Georges Besse de Tricatin version américaine : « URENCO enrichment plant » , usine d’enrichissement d’uranium et « International Isotopes », une entreprise privée détenant un brevet de traitement de l’uranium. Auxquelles s’ajoutent aussi le « Waste Control Specialists (WCS) » : entreprise privée gérant des sites d’entreposage et de stockage de déchets radioactifs et de nombreuses mines d’uranium. Ici, en vallée du Rhône s’ajoutent la centrale nucléaire électrique de Tricastin (sous licence états-uniennes « Westinghouse ») et d’autres installations de traitement de l’uranium et des déchets radioactifs, et à Cadarache les installations nucléaires militaires spécialisées notamment dans les sous-marins nucléaires.

Ce que vont tenter les nucléocrates états-uniens
2014_WIPP_USA_puits.jpgA quelques jours de la fin du mois de mai 2014 plus de 500 fûts de déchets radioactifs sont possiblement en situation d’exploser. Pris de panique et n’ayant pas de solution face à la catastrophe en cours, et qui peu empirer encore, le gestionnaire du WIPP envisage de boucher dans l’urgence les salles souterraines qui contiennent les fûts radioactifs. Sera-ce assez pour éviter l’apocalypse ? nul ne peu l’affirmer. Le sarcophage de Tchernobyl, construit en toute hâte pour recouvrir le réacteur ukrainien en perdition, fuit depuis plusieurs années. Un second sarcophage est en cours de construction par dessus (« Bouygues » en est l’un des bénéficiaires). Mais déjà les spécialistes et les autorités annoncent qu’il ne pourra pas tenir éternellement et que des fissures sur le béton laisseront s’échapper d’autres fuites radioactives… L’internationale du crime nucléaire est à l’œuvre.

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(1) WIPP: centre de stockage de déchets radioactifs situé au Nouveau-Mexique (Etats-Unis)

(2) Rapport IRSN mars 2014

(3) http://www.currentargus.com/carlsbad-news/ci_25066853/breaking-emergency-reported-at-waste-isolation-pilot-plant

(4) absorbants organiques : http://www.epa.gov/radiation/docs/w…

 

 

 

 

 

Alerte sécurité nucléaire:des réacteurs nucléaires américains ne peuvent plus être entretenus

Fukushima n’est pas seul:jugez par vous-mêmes:

Traduction:

 

Les points  importants à comprendre dans cette entrevue,sur le vidéo:

1 Indian Point : Moins de 50 miles au nord de Manhattan , les réacteurs à Indian Center Point Energy Entergy…font  face à un combat politique difficile pour  une question de renouvellement de l’autorisation . Une licence a expiré, et ce réacteur est opérant sous une indemnité de la Commission de la réglementation nucléaire . Un autre licence arrive à échéance en 2015 . Le Gouverneur de New York Andrew Cuomo s’oppose au  renouvellement de l’autorisation . Le  maire sortant  de New York Michael Bloomberg a défendu l’usine , sur la base de la fermeture et de l’impact  que cela pourrait avoir sur les factures d’électricité des  New-Yorkais .Le  Maire élu Bill DeBlasio, a appelé à un démantèlement progressif des sources d’énergie alternatives qui sont en ligne , ce qui n’est pas la façon dont le processus fonctionne . En fin de compte , la décision revient pas aux   autorités locales , mais avec le CNRC .

2 Ginna( centrale nucléaire) : . Sur la rive sud du lac Ontario, près de Rochester , NY , Ginna est une centrale  unique ,un réacteur  nucléaire qui fait face à une nouvelle concurrence des éoliennes , la baisse des prix de l’énergie , et , comme Indian Point, un climat politique hostile à l’énergie nucléaire venant des  réacteurs . Pour  L’état de New York,le  prix de l’électricité hors pointe a  chuté à 32 $ par mégawatt-heure à la mi- 2013 à partir de 55/MWh de dollars en 2008 », selon Morningstar . Ginna est détenue conjointement par Exelon et Électricité de France .

3 James A. Fitzpatrick (centrale nucléaire) : . Autre centrale  sur la rive sud du lac Ontario , à New York , FitzPatrick fait face aux mêmes défis que Ginna , mais c’est aussi un réacteur à eau bouillante plus susceptible d’ avoir besoin des mises à niveau . «Le Permis d’exploitation de Fitzpatrick expire en 2034 , mais son accord de partage des revenus avec la New York Power Authority expire en Décembre 2014, et les négociations de renouvellement de contrat défavorable pourrait entraîner Entergy de fermer l’usine . « 
4 Three Mile Island : . Plus de l’essor du gaz de schiste en Amérique qui se passe dans la région de Marcellus de la Pennsylvanie occidentale , selon l’Energy Information Agency , ce qui signifie que l’ infâme centrale de Three Mile Island Exelon doit maintenant rivaliser avec une abondance de gaz jamais vu dans sa vie. Plusieurs grandes centrales à gaz , à haute efficacité sont prévus pour la région .

5. Davis Besse (Centrale nucléaire) : l’usine de FirstEnergy près de Tolède n’est pas loin de la formation de schiste de Marcellus et tout ce qui touche au gaz naturel pas cher . Après Indian Point, c’est la prochaine centrale à échéance en licence,en  2017.  » Nous nous attendons à une forte opposition de certains partis « , dit Morningstar .  » Il a une réputation ternie après une coupure de courant prolongée en 2002-04 en raison de la corrosion dans le couvercle de la cuve du réacteur et plusieurs petites questions depuis lors . « 

6 Pilgrim (centrale nucléaire) : . L’usine Pilgrim Entergy à Plymouth , dans le Massachusetts ,a  juste survécu à un processus de renouvellement de licence controversée et a obtenu un nouveau bail sur la vie ,jusqu’en  2032 Mais elle  ne peut pas survivre à l’ économie d’énergie dans lequel elle  doit désormais rivaliser . . « Entergy n’est pas obligé de la faire fonctionner pendant si longtemps et pourrait l’abandonner si le prix de l’énergie coulent beaucoup plus bas », dit Morningstar . Le vieux réacteur à eau bouillante est plus coûteux à exploiter que les modèles plus récents.

Réacteurs récemment fermés ou prévus pour la fermeture :

Vermont Yankee, Vermont
San Onofre, California
Kewaunee, Wisconsin
Crystal River, Florida
Oyster Creek, New Jersey

 

Un marin paralysé par la radiation de Fukushima dénonce les mensonges du gouvernement américain

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Une base navale américaine a été durement touchés par le rayonnement de Fukushima et voici son histoire, illustrant en outre pourquoi le gouvernement des États-Unis ne peut pas faire confiance en  informant  le peuple sur le danger de Fukushima.

Impliqué dans les efforts de secours de l’USS Ronald Reagan, après la crise de Fukushima sur  la centrale nucléaire en  2011, Steve Simmons a commencé à éprouver des symptômes dévastateurs plusieurs mois après son retour.

« Vous commencez à avoir des fièvres, les ganglions lymphatiques commencent à enfler, vous avez des sueurs nocturnes , vous avez  des spasmes  musculaires  et vous perdez la sensation dans les jambes, et vous ne pouvez pas sentir vos jambes quand vous  vous brûlez au  2ème degré , et comment expliquez-vous ces choses? « , a déclaré Simmons ,à WUSA 9 News

Simmons a été  rejoint par plus de   70 autres marins américains  souffrant de maladies similaires, y compris le cancer de la thyroïde , les tumeurs cérébrales et de la leucémie. Malgré  une décontamination et divers traitements ,sur l’officier Michael Sebourn on a  détecté des niveaux   » incroyablement dangereux de rayonnement », tandis que sur le USS  Reagan, le ministère de la Défense a continué à affirmer que  les niveaux de radioactivité sont sécuritaires .

« Comment pouvez-vous  prendre  un navire et le placer  dans le champs d’exposition  de la radioactivité d’une centrale nucléaire  pendant cinq heures et plus, comment voulez-vous aspirez les  déchets contaminés nucléaire dans le système de filtration de l’eau et pensez ,ensuite, pendant une minute qu’il n’y a pas risque de santé à tout le monde à bord? « , a déclaré Simmons .

Plusieurs marins américains malades ont  déposé une plainte  contre Tokyo Electric Power Company (TEPCO), affirmant que  la compagnie d’électricité a caché des informations de rayonnement à  la Marine des États-Unis après l’effondrement initial de Fukushima.

«TEPCO a poursuivi une politique qui a causé des préjudices graves  aux  sauveteurs, y compris les plaignants, de se précipiter dans une zone dangereuse qui était trop proche de  Fukushima (la centrale nucléaire] qui avait été endommagé, » selon les avocats des plaignants ,au  procès.

Tout en niant tout danger pour le public, le gouvernement fédéral a  tranquillement stocké  des millions de doses d’iodure de potassium sur les préoccupations des médias  sur la situation de Fukushima.

Les récentes remarques faites par l’ancien hôte ,MSNBC Chenk,  ont également révélé les tentatives du gouvernement de minimiser la gravité de la situation à  Fukushima. Essayer d’informer ses téléspectateurs en 2011,  odes avertissements  ont  été dit de ne pas avertir  du danger de rayonnement « parce que la position officielle du gouvernement est que tout est sous contrôle. »

Malgré la déception évidente et continu du gouvernement, peu de médias ont remis en question les points de discussion officielles. Suite à la découverte récente d’une  augmentation de rayonnement de l’ordre de 500% pour cent sur ​​une plage de Californie, les journalistes de Infowars rendus dans la région pour  enquêter sur  l’apparition alarmante, et trouver des niveaux plus proches de 1.000 pour cent plus élevé que la normale.

Des découvertes bizarres et inquiétants à West Coast sur la  vie marine, y compris  » la fonte des étoiles de mer ,  »  mortalité massive  et du  « jamais vu »  baleineaux gris uni , n’ont fait qu’ajouter à l’inquiétude du public.

Avec le grand rayonnement de Fukushima qui  atteint maintenant la côte ouest de l’Amérique  , selon les experts de la physique ,  le silence du gouvernement japonais et…américain  est à prévoir.

 Source:

http://www.storyleak.com

Fukushima: 3 faits troublants qu’on vous cache

Des  employés de la centrale Dai-Chi,en costume de travail.
Des employés de la centrale Dai-Chi,en costumes de travail.

La  méga crise de Fukushima  continue à hanter  la planète  Terre sur une base quotidienne avec des barrages de retombées radioactives qui ont totalement infiltré  notre approvisionnement alimentaire international dans  l’océan Pacifique . Mais au lieu de nous alerter sur cette réalité et nous aider à nous préparer à ce qui s’en vient ,  les gouvernements japonais et des États-Unis d’Amérique ont choisi d’ignorer et de minimiser les effets dévastateurs de Fukushima afin de faire semblant que tout va bien .

Les fonctionnaires du CNRC visitent le complexe de  Fukushima Dai -ichi .
Les fonctionnaires du CNRC visitent le complexe de Fukushima Dai -ichi .

Et en retour , bien sûr , le résultat est la contamination nucléaire continue et incontrôlée de la planète – et c’est de pire en pire. Examinons un certain nombre de faits troublants concernant la profondeur de l’ émission croissante de radiations ,provenant de  Fukushima  , les étapes d’avancement de la  crise , la gestion qui se  fout carrément de la catastrophe, et bien sûr comment cela  nous affecte  sur une base quotidienne.

1 . Les relevés d’augmentation du rayonnement radioactif  continuent  de briser des records àFukushima :

L’un des mensonges les plus absurdes formulées par TEPCO ( Tokyo Electric Power Co. ) et soutenu par le gouvernement est la notion que Fukushima a vraiment rien à craindre. En fait, l’incident a été classé comme une « anomalie de niveau 1 » avant il a été révélé que les niveaux de radiation ont été vertigineuse vers de nouveaux sommets comme récemment le 4ème  jour de Septembre 2013. Et c’est cette même révélation  ,en Septembre dernier qui a forcé l’ Autorité de régulation nucléaire ( NRA) de reconnaître cette réalité et changer la classification de la catastrophe de Fukushima au niveau 3   »  incident grave  » .

Les niveaux de rayonnement étaient assez élevées pour tuer un homme sans défense en quelques heures.

2 . Les Exploitants d’installations  ont falsifiés les  relevés de rayonnement

Le cœur même de la chronologie de catastrophe de Fukushima qui a été régurgité par les médias et les organismes gouvernementaux semblables reposait presque exclusivement sur ​​les informations fournies par les exploitants d’installations TEPCO – une entreprise qui est maintenant sur ​​le disque pour  avoir menti à la population du monde de  manière importante. Et il n’y avait aucun signe qu’ils  finiraient par  dire la vérité à moins de  contrainte. Il a fallu attendre une enquête indépendante  qui a révélé les niveaux réels de rayonnement libéré de l’usine (environ 2 1/2 fois plus que TEPCO pourrait même admettre ) que TEPCO a dû aller sur le dossier et indiquer que les niveaux de radiation qu’ils  ils sortaient étaient en effet beaucoup plus faible que la réalité.

Nous pouvons seulement imaginer quoi d’autre ils ont falsifiés là-dessus.

3 .L’eau  radioactive (bourrée de césium -137) a été principalement drainée dans l’océan Pacifique

L’enquête indépendante sur les niveaux de radiation de Fukushima  a non seulement été exposé aux mensonges de TEPCO concernant l’ explosion de rayonnement à l’usine, mais que près de 78% de la teneur en césium 137 libéré par la centrale  a été rejetée  dans l’océan Pacifique . L’usine dispose désormais que les trois effondrements des réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi  ont libérés environ 900.000 terabecquerels de substances radioactives . Environ 20% est tombé en  terre japonaise , 2% quelque part sur ​​la terre à l’extérieur du pays, et un énorme 78% restant est soupçonné d’avoir  rejoint  l’océan Pacifique.

Pendant ce temps , la pêche continue d’opérer et les gouvernements continuent de prétendre que rien n’a mal tourné. Et dans le même temps , les grands médias ( les médias mourants qui continue à perdre des cotes de confiance selon les principaux sondages Gallup ) poussent la propagande que Fukushima n’est rien du tout pour  s’inquiéter – il suffit de garder les fruits de mer manger du Japon et ne me dérange pas le fait que les niveaux de rayonnement sont toujours des attaques massives . Et certainement  que cela ne dérange pas qu’on note   » limites acceptables «  au niveau d’irradiation   dans votre alimentation.

La réponse est claire : exposer cette information et l’incitation à une vérification de la réalité à travers la planète est essentielle pour forcer effectivement la mise en place pour répondre à Fukushima. Malheureusement, il semble encore une fois que nous sommes tenus de nous  débrouiller par nous-mêmes, à un niveau de survie jusqu’à ce que nous puissions atteindre le point où le public en  aura  vraiment eu assez.

Anthony Gucciardi, après avoir parlé avec les meilleurs médecins et la création de ce qui est maintenant un site de santé naturel supérieur à travers le monde , a fait équipe avec l’expert,le  Dr. Edward  reconnu internationalement pour créer ce qui est aujourd’hui la seule forme d’iode  acceptable et utilisable . Une forme d’iode que les médecins ont été en  mesure d’utiliser pendant  des années puisque nous avons vu l’élimination progressive et volontaire de l’iode à partir de l’approvisionnement alimentaire au sens large du terme.

Il est essentiel de passer le mot sur ​​la profondeur  de la dévastation  liée à Fukushima avant que nous voyons encore des niveaux élevés de radiations pénétrer  dans la biosphère par la mauvaise gestion et des  « blackout médiatiques » autour de l’événement,tout cela  au nom du gouvernement .

(Source: Infowars)

Petit conseil de la fin: achetez-vous un compteur Geiger avant d’aller à la poissonnerie!

Alerte nucléaire: un réacteur nucléaire au bord de la catastrophe

Corée du Nord  réacteur nucléaire

La centrale nucléaire en question...vue  de l'espace.
La centrale nucléaire en question…vue de l’espace.

La Corée du Nord  mène des travaux sur le réacteur nucléaire de Yongbyon, qui est dans un « état épouvantable », une situation risquant d’entraîner « une catastrophe » dans la péninsule coréenne, a indiqué une source russe citée par les agences de presse. « Il est évident que des travaux sont menés là-bas depuis longtemps. Certains signes montrent que cela va vers le redémarrage », a indiqué cette source diplomatique. « Le réacteur, qui est une construction des années 1950, est dans un état épouvantable », a souligné cette source. La Russie s’est dite inquiète des conséquences de cet éventuel redémarrage pour la région. « Cela pourrait avoir des conséquences terribles pour la péninsule coréenne, entraîner une catastrophe », a ajouté la source russe. « Nous n’avons pas de données prouvant que le réacteur est redémarré », a toutefois souligné la source russe.

Un groupe de réflexion américain a affirmé mercredi que la Corée du Nord semblait avoir redémarré un réacteur nucléaire de la centrale de Yongbyon qui produit du plutonium, ce qui devrait permettre au régime d’accélérer son programme d’armement. Une photo prise par satellite le 31 août montre de la vapeur s’échappant d’un bâtiment adjacent au réacteur d’une puissance de cinq mégawatts sur le complexe nucléaire de Yongbyon, a indiqué l’Institut américano-coréen de l’université Johns Hopkins.

« Viol des résolutions de l’ONU« 

Le cliché montre que la Corée du Nord « semble avoir fait redémarrer le réacteur », ont précisé les chercheurs Nick Hansen et Jeffrey Lewis sur le blog de l’institut. Le réacteur « est capable de produire 6 kilos de plutonium par an que Pyongyang pourrait utiliser pour lentement accroître la taille de son arsenal nucléaire », ont-ils poursuivi. La Corée du Nord avait annoncé en avril dernier le redémarrage prochain de ce réacteur nucléaire, arrêté en 2007 dans le cadre d’un accord international soutenu par les États-Unis. Les révélations concernant le réacteur nord-coréen interviennent au moment où les houleuses relations internationales avec la dictature nord-coréenne connaissent une légère accalmie, après un troisième essai nucléaire en février suivi de menace d’attaque des États-Unis.

« S’il s’avère que ces informations sont exactes et que la Corée du Nord a relancé son réacteur au plutonium d’une puissance de 5 mégawatts, il s’agirait d’un problème très grave », a déclaré à la presse l’émissaire américain pour la Corée du Nord, Glyn Davies, après avoir rencontré des responsables du ministère nippon des Affaires étrangères. Il s’agirait « d’une erreur de la part de la Corée du Nord, parce que cela viole évidemment les résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies », a-t-il souligné. « Cela contredit les propres engagements et promesses donnés par la Corée du Nord pendant des années », a noté le diplomate américain, ajoutant que les États-Unis suivaient cela « de très près ».

(Sources: AFP )