Selon des informations de la BBC, le Qatar (à la manière de Lafarge) est soupçonné d’avoir financé des groupes terroristes par l’intermédiaire de tractations financières à la suite de l’enlèvement de membres de la famille royale.
La famille royale du Qatar
Le 16 décembre 2015, la famille dirigeante du Qatar fait face à une terrible nouvelle. 28 personnes participant à une partie de chasse royale ont été enlevées en Irak.
Une liste des otages a été rapidement remise au cheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani. A l’époque, il était sur le point de devenir ministre des Affaires étrangères du Qatar.
Deux de ses propres parents ont été raptés (un de ses cousins et le mari de sa tante). Le cheikh al-Thani aurait alors contacté l’ambassadeur du Qatar en Irak, Zayed al-Khayareen, afin de résoudre cette crise au plus vite.
Selon une première version, ils auraient payé plus d’un milliard de dollars afin de libérer les hommes. L’argent aurait été versé à des groupes et des individus considérés comme des « terroristes » par les États-Unis : le Kataeb Hezbollah en Irak, au général Qasem Soleimani (chef de la Force Qods des Gardiens de la révolution iranienne) et Hayat Tahrir al-Sham, autrefois connu sous le nom de Front Al-Nosra, alors qu’il était affilié à al-Qaïda en Syrie.
Selon une seconde version, la version officielle défendue par le Qatar, aucune somme d’argent n’a été versé aux « terroristes », mais seulement à l’État irakien. L’argent se trouverait toujours dans le coffre de la banque centrale d’Irak à Bagdad.
Des échanges de messages entre le cheikh al-Thani et l’ambassadeur du Qatar ont été dévoilés par un gouvernement hostile au Qatar. Ces documents ont été transmis à la BBC.
Les personnes prises en otage ont été raptées alors qu’elles étaient parties en Irak afin de participer à une chasse aux faucons. La fauconnerie est une pratique adulée par les rois et les princes dans le Golfe. Le camp des chasseurs a été envahi par des pick-up montés avec des mitrailleuses lourdes dans les premières heures de la matinée. Un ancien otage a déclaré au New York Times qu’il pensait que c’était « Isis » (l’Etat islamique, Daech), le groupe djihadiste sunnite. L’un des ravisseurs a proféré une insulte chiite aux sunnites.
En mars 2016, les lignes ont commencé à bouger. Les autorités ont appris que les ravisseurs venaient du Kataeb Hezbollah (les Brigades du Parti de Dieu), une milice chiite irakienne soutenue par l’Iran. Le groupe voulait de l’argent. Au total, les otages ont passé 16 mois en captivité.
Les revendications des ravisseurs ont évolué peu à peu. En plus d’une importante somme d’argent, le Qatar devrait quitter la coalition menée par les Saoudiens contre les rebelles chiites au Yémen. Le Qatar devrait également assurer la libération des soldats iraniens détenus par les rebelles en Syrie.
À la fin d’une session de négociations, un représentant du Kataeb Hezbollah, Abu Mohammed, a apparemment pris l’ambassadeur à part et lui a demandé une rançon de 10 millions de dollars (7,6 millions de livres sterling). L’ambassadeur a utilisé deux médiateurs irakiens, tous deux sunnites. Ils ont rendu visite au ministre des Affaires étrangères du Qatar, demandant à l’avance des « cadeaux »: 150 000 dollars en argent liquide et cinq montres Rolex.
En avril 2016, la rançon avait atteint la somme d’un milliard de dollars. Les enchères et les revendications ont par la suite explosé avec des revendications exorbitantes pour financer des intermédiaires. En janvier 2017, une rançon d’un milliard de dollars était évoquée. 150 millions de dollars de paiements indirects ou de « pots-de-vin » auraient également été actés. Le Kataeb Hezbollah aurait été le plus grand bénéficiaire de ces sommes en échange des otages (près de 50 millions, selon des informations de la BBC). Le Qatar aurait donc financé indirectement une organisation terroriste via le versement de cette rançon.
La crise des otages a pris fin fort heureusement en avril 2017. Les otages du Qatar ont été libérés. Un avion de Qatar Airways se serait rendu à Bagdad afin de livrer de l’argent et ramener les otages. Ces éléments ont également été dévoilés par le Washington Post en avril 2018.
Alors que la Syrie est en passe d’éradiquer la menace terroriste qui menaçait le pouvoir légal et l’intégrité territoriale du pays depuis plusieurs années, des changements évidents s’opèrent dans la région. Les succès des alliés de la Syrie, notamment de la Russie, replacent celle-ci au centre du jeu moyen-oriental, au plus grand bénéfice de la […]
Snowden ajoute que la CIA américaine et l’Intelligence Service britanique ont collaboré avec le MOSSAD israélien pour créer une organisation terroriste capable d’attirer tous les extrémistes du monde entier en un seul et même endroit, suivant en cela une stratégie nommée « Nid de frelons ».
La stratégie du « nid de frelons » vise à amener toutes les principales menaces en un seul endroit dans le but de les contrôler et, le plus souvent, d’en profiter pour déstabiliser les pays arabes. Les documents de la NSA que possède Edward Snowden révèlent que le calife de l’État islamique (Daech) a reçu une intense formation militaire auprès du MOSSAD israélien.
En plus de sa formation militaire, Al Baghdadi a étudié la communication et divers trucs pour parler en public de façon à attirer les « terroristes » de tous les coins du monde.
US Airstrikes in Syria Aimed at Backing ISIS-Daesh: Analyst by http://www.presstv.ir/ Recent US-led airstrikes in eastern Syria have killed over 100 civilians, mostly women and children, the so-called Syrian Observatory for Human Rights says. – A former US army psychological warfare officer says this report is “another indication of US hypocrisy,” adding that it proves Washington’s support […]
Il est clair et évident qu’aucune nation au monde (et spécialement les États-Unis) ne cèderait jamais une portion de son territoire ou de ses citoyens à une puissance étrangère gouvernée par des pro nazis, telle que l’Ukraine.
Cette nouvelle loi imposée au président élu Trump lui rend impossible toute coopération avec la Russie pour détruire ces terroristes islamistes.
Les terroristes islamistes ont déjà été à l’origine de plus de 4 900 incidents entre 2002 et 2015. Ils ont tué plus de 33.000 personnes, blessé plus de 41.000 personnes et enlevé plus de 11 000 personnes. Par contre, la Fédération de Russie n’a tué personne dans un acte terroriste d’aucune sorte.
Le sort du président élu Trump devient de plus en plus incertain par le fait que
(a) ces nouvelles lois promulguées par le mondialisme l’empêchent de mener sa politique,
Panique et incompréhension à la mairie de Nice. Mercredi à 11 heures, la sous-direction antiterroriste (SDAT) a envoyé aux agents qui gèrent la vidéosurveillance de la ville une réquisition citant les articles 53 et L706-24 du code de procédure pénale et de l’article R642-1 du Code pénal leur demandant l’effacement «complet» de 24 heures d’images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l’attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.
De quoi mettre en état de sidération les agents du centre de supervision urbain de Nice. «C’est la première fois que l’on nous demande de détruire des preuves, précise une source proche du dossier. Le centre de vidéosurveillance et la ville de Nice pourraient être poursuivis pour cela et d’ailleurs les agents en charge du dispositif n’ont pas compétence pour se livrer à de telles opérations».
La demande paraît d’autant plus étonnante que la SDAT a envoyé depuis vendredi dernier des serveurs afin de récupérer les 30.000 heures de vidéosurveillance liées aux événements. Une opération de sauvegarde qui va s’étendre encore sur plusieurs jours. «Nous ne savons pas si donner un ordre de destruction alors que nous sommes en pleine sauvegarde ne va pas mettre en rideau tout le système», s’inquiète-t-on dans l’entourage du dossier.
Contacté par Le Figaro, le parquet de Paris a confirmé l’information et précisé: «cela a été fait dans ce cas précis pour éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images». Du côté de la police nationale, on rappelle que «sur les mille caméras installées à Nice, 140 présentaient des éléments d’enquête intéressants. La police judiciaire a récupéré 100% des vidéos de ces dernières. La PJ et le parquet ont donc demandé d’effacer les images de ces 140 caméras afin d’éviter l’utilisation malveillante de ces dernières par souci de la dignité des victimes et pour éviter la reprise de ces images par les sites internet djihadistes à des fins de propagande».Enfin, à la chancellerie, on précise que la demande d’un effacement «complet» s’explique par l’impossibilité de procéder à des destructions partielles sur ce type de matériel.
Nice…il faut effacer les images…compromettantes!?
Attentat de Nice : une policière mise sous pression par le ministère de l’Intérieur qui lui demande de mentir
Sandra bertin,la policière chargée de la surveillance vidéo…est bien surveillée elle-même,car elle en sait trop!
La policière responsable de la vidéosurveillance à Nice, en place le soir sanglant du 14 juillet 2016, a confié au Journal du Dimanche (JDD) avoir subi des pressions de l’Intérieur lors de la rédaction de son rapport à la suite de l’attentat islamique (vidéo).
Selon Sandra Bertin, en poste le soir de l’attaque qui a fait 84 morts sur la promenade des Anglais, un représentant de la place Beauvau lui a ordonné de mentionner la présence de policiers nationaux sur les lieux le soir de l’attaque.
« J’ai eu affaire à une personne pressée qui m’a demandé un compte-rendu signalant les points de présence de la police municipale, les barrières, et de bien préciser que l’on voyait aussi la police nationale sur deux points dans le dispositif de sécurité »,
déclare-t-elle au JDD.
« Or la police nationale était peut-être là, mais elle ne m’est pas apparue sur les vidéos. Cette personne m’a alors demandé d’envoyer par email une version modifiable du rapport. […] J’ai été harcelée pendant une heure, on m’a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n’ai pas vu à l’écran »,
précise encore Sandra Bertin.
Bernard Cazeneuve, a annoncé son intention de porter plainte ce dimanche pour « diffamation » après ces « graves accusations ». Voici la réalité des écœurantes magouilles républicaines tentant de faire croire au peuple que les moyens policiers étaient mis en place, alors que rien n’a été fait pour éviter le massacre… !
Depuis quelques jours, la polémique enfle autour de la présence de la police nationale à Nice le soir du 14-Juillet. Dimanche, dans un entretien exclusif au JDD, Sandra Bertin, la cheffe du Centre de supervision urbain (CSU) de Nice, accuse le ministère de l’Intérieur de l’avoir mise sous pression.
Journaliste:Quand le camion de Mohamed Laouhaiej-Bouhlel entre sur la Promenade des Anglais, ce 14 juillet, que voyez-vous sur vos écrans? Sandra Bertin: Je me rappellerai toute ma vie de cette heure-là : 22h33. J’étais devant les écrans du CSU avec les équipes. Nous recevons alors des policiers municipaux positionnés sur la Promenade le signalement d’un camion fou. Nous récupérons tout de suite son image à l’écran et nous demandons son interception. Le camion était lancé à 90 km/h, sans phares, sans qu’on l’entende à cause du bruit. Il contourne le barrage de la police municipale. Les équipes n’ont pas pu l’arrêter. On ne crève pas les pneus d’un 19 tonnes avec un revolver! A ce moment-là, d’autres policiers municipaux sont en civil dans la foule, qui se retrouvent face à lui. S’ils avaient été armés comme nos collègues de la police nationale, une de nos revendications, ils auraient pu le stopper. Le poids-lourd se retrouve finalement face aux policiers nationaux, qui tirent et le neutralisent. Il est 22h34.
« J’ai été harcelée pendant une heure, on m’a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n’ai pas vu à l’écran »
La sous-direction anti-terroriste vous a demandé, le 20 juillet « l’effacement complet des enregistrements de vidéosurveillance » sur la Promenade pour cette nuit du 14 juillet afin d’éviter les fuites. Ce à quoi s’oppose la ville de Nice…. Le lendemain des attentats, le cabinet du ministre de l’Intérieur a envoyé un représentant au CSU qui m’a mis en ligne avec la place Beauvau. J’ai alors eu affaire à une personne pressée qui m’a demandé un compte-rendu signalant les points de présence de la police municipale, les barrières, et de bien préciser que l’on voyait aussi la police nationale sur deux points dans le dispositif de sécurité. Je lui ai répondu que je n’écrirais que ce que j’avais vu. Or la police nationale était peut-être là, mais elle ne m’est pas apparue sur les vidéos. Cette personne m’a alors demandé d’envoyer par email une version modifiable du rapport, pour « ne pas tout retaper ». J’ai été harcelée pendant une heure, on m’a ordonné de taper des positions spécifiques de la police nationale que je n’ai pas vu à l’écran. A tel point que j’ai dû physiquement renvoyer du CSU l’émissaire du ministère! J’ai finalement envoyé par email une version PDF non modifiable et une autre modifiable (…)
Le lendemain du drame tragique de la promenade des Anglais, des officiers de police judiciaire étaient venus faire une première recension des caméras en prise directe avec l’événement. Cela a donné lieu à un premier rapport envoyé au ministère de l’Intérieur. Étrangement, ce serait ces mêmes caméras qui sont visées par la réquisition de la SDAT.
Dès samedi, l’Élysée avait demandé copie des images de l’attentat. Une autorisation accordée par le parquet de Paris. «Ce n’est pas choquant que le président de la République ait voulu visionner l’attentat. Faudra-t-il demander à l’Élysée de restituer le CD qui lui est parvenu?», s’interroge un bon connaisseur du dossier. En tout état de cause, ces vidéos sont partagées par plusieurs services concomitamment à savoir ceux de la Police et de la gendarmerie nationale, de la police judiciaire et des pompiers.
retour sur une polémique en cinq actes
Failles supposées dans le dispositif de sécurité, polémique autour de la suppression des images de vidéosurveillances à Nice, les accusations à l’encontre de Bernard Cazeneuve se multiplient depuis l’attentat de Nice. C’est la première fois depuis qu’il a pris ses fonctions en avril 2014, succédant à Manuel Valls, que le ministre de l’Intérieur doit faire face à une telle avalanche de critiques. Retour sur une semaine sous haute tension.
Acte I: L’opposition de droite fustige le manque de mesures prises pour lutter contre le terrorisme
Les premières accusations viennent du camp de la droite. Au lendemain de l’attaque de Nice, l’opposition reproche à l’exécutif de n’avoir pas pris les mesures nécessaires contre le terrorisme depuis les attentats de 2015. «Tout ce qui aurait dû être fait depuis dix-huit mois ne l’a pas été», déclarait trois jours après l’attentat l’ex-chef de l’Etat Nicolas Sarkozy. Le soir même, le premier ministre Manuel Valls et Bernard Cazeneuve dégainent un long communiqué en réponse aux accusations portées par la droite et énumèrent toutes les mesures prises par l’exécutif ces derniers mois. À la présidente du Front National qui avait demandé sa démission, Bernard Cazeneuve répond: «C’est précisément parce qu’elle me le demande que je ne le ferai pas et je le ferai d’autant moins que Marine Le Pen n’a voté aucune loi antiterroriste».
Acte II: la polémique autour du dispositif de sécurité enfle
Parallèlement, les questions autour du dispositif de sécurité en place sur la Promenade des Anglais le soir du drame surgissent dans le débat politique. Le premier à les soulever n’est autre que Christian Estrosi, adjoint Les Républicains au maire de Nice. 36 heures après l’attentat, l’élu a évoqué un «mensonge d’État» à propos des effectifs de la police nationale présents le soir du drame. Selon lui, les policiers nationaux étaient en nombre insuffisant et les chiffres avancés par le ministère de l’Intérieur sont faux. Il réitère ses accusations quelques jours plus tard dans Nice Matin. S’ensuit une bataille de chiffres entre l’Intérieur et l’adjoint au maire de Nice, le premier maintenant qu’il y avait bien 64 policiers nationaux sur place. Le gouvernement se défend aussi en affirmant que les services municipaux étaient parfaitement au courant du dispositif de sécurité puisqu’ils avaient participé aux réunions préparatoires avec la préfecture. D’autres interrogations viennent alimenter le débat : Le «barriérage» du public était-il insuffisant? Pourquoi ce camion circulait-il malgré l’interdiction de circuler un jour férié? Y avait-il trop d’événements organisés le même jour? Pourquoi n’y avait-il pas de chicanes en béton sur la promenade?
Acte III: Libération évoque «des failles et un «mensonge»
Mais c’est surtout une enquête du journal Libération, publiée le jeudi 21 juillet, qui va déstabiliser le locataire de la place Beauvau. Photos et témoignages à l’appui, le quotidien révèle qu’une seule voiture de la police municipale barrait l’entrée de la zone piétonne de la Promenade des Anglais, où est arrivé le camion utilisé pour l’attentat de Nice. L’information est d’autant plus embarrassante qu’elle contredit les déclarations du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, et de la préfecture des Alpes-Maritimes. En réalité, les policiers nationaux sont postés à plus de 370 mètres plus bas, là où ont lieu des concerts. Leurs voitures, stationnées le long de la chaussée, ne pouvaient en rien empêcher le passage du camion du terroriste. Bernard Cazeneuve publie de nouveau un communiqué pour «s’indigner des contre-vérités» de Libération. Mais la polémique ne désemplit pas. Dans le camp de la droite, le président du Sénat Gérard Larcher réclame «une enquête indépendante» et Christian Estrosi une enquête de l’Inspection générale de l’administration. Pour calmer l’orage, le ministre de l’Intérieur finit par saisir la police des polices (IGPN) à qui il demande une enquête administrative sur le dispositif de sécurité. «À aucun moment il n’y a eu mensonge des autorités», assène de son côté le préfet de la région tandis que le président François Hollande promet «vérité et transparence» sur le fameux dispositif et rappelle que Bernard Cazeneuve «a toute sa confiance».
Acte IV: La justice demande de supprimer 24 heures de vidéosurveillance, la ville refuse
L’information est révélée par Le Figaro: mercredi 20 juillet, la sous-direction antiterroriste (SDAT) a demandé aux agents qui gèrent la vidéosurveillance de la ville de Nice d’effacer 24 heures d’images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l’attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais. Ces vidéos sont bien entendu sauvegardées dans le cadre de l’enquête. Cette requête vise en fait à empêcher la diffusion sauvage d’images extraites de ces bandes, par respect pour les victimes. Sauf que la demande passe mal au niveau local. Vendredi, l’avocat de la ville de Nice a indiqué que la municipalité refuserait de répondre à cette demande. Pendant ce temps-là, les médias décrivent un ministre de l’Intérieur «dans la tourmente», «en pleine tempête» et «sur la sellette».
Acte V: Une policière niçoise dénonce des «pressions» de l’Intérieur, Cazeneuve porte plainte
Ce dimanche, le locataire de la place Beauvau s’est à nouveau retrouvé dans la tourmente. Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, la responsable du centre de supervision urbain (CSU) a mis en cause le ministère de l’Intérieur. Sandra Bertin a affirmé qu’elle aurait subi des pressions de la part d’un représentant de la place Beauvau dans la rédaction de son rapport sur la soirée meurtrière du 14-juillet. Bernard Cazeneuve s’est empressé de démentir ces «graves accusations» et a annoncé qu’il portait plainte pour diffamation. «Contrairement à ce que Mme Bertin affirme, ce n’est en aucun cas ‘le cabinet du ministre de l’Intérieur qui a envoyé un commissaire au CSU’ ou qui aurait eu des échanges avec elle», a déclaré la place Beauvau dans un communiqué.
Un peu avant, le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, allait dans le même sens et rappelait que l’enquête relevait «exclusivement» de l’autorité judiciaire. Autrement dit, qu’aucun responsable du ministère de l’Intérieur ne pouvait intervenir dans la procédure. Même le procureur de Paris François Molins, en charge de l’enquête, est venu à la rescousse du ministère: pourtant taiseux en dehors de ses conférences de presse, il a assuré que l’Intérieur n’était pas intervenu au CSU. «C’est sous la seule autorité et pour les besoins de l’enquête en cours que le 15 juillet, deux brigadiers chefs ont été envoyés au CSU de Nice», dans le seul but «de parvenir à la manifestation de la vérité dans le cadre d’une enquête judiciaire», a-t-il affirmé à l’AFP.
Nice: « Monsieur sécurité » n’était pas aux réunions préparatoires du 14 juillet
Christian Estrosi, premier adjoint au maire en charge notamment de la sécurité, était représenté par ses collaborateurs « les plus compétents » aux réunions de préparation de la fête nationale à Nice.
Christian Estrosi ou …Mr.Sécurité,en France!
C’est une absence qui ne passe pas inaperçue. Alors qu’il est engagé dans une vive polémique avec le gouvernement sur le dispositif de sécurité déployé le 14 juillet à Nice, Christian Estrosi, premier adjoint au maire (Les Républicains), chargé notamment de la sécurité, n’a assisté à aucune des réunions préparatoires à l’événement, a-t-on appris dimanche auprès de la municipalité.
Le président de la région Paca et ex-maire de Nice –Il acédé en juin son siège à son ex-premier adjoint Philippe Pradal pour se conformer à la loi sur le cumul des mandats- était représenté à ces réunions par ses collaborateurs « les plus compétents », ajouté cette même source, confirmant une information du journal Le Monde.
« Un écran de fumée grossier »
Une information gênante? Peu de temps après cette annonce, l’intéressé, toujours prompt à réagir, s’est fendu d’un tweet pour assurer que ces rencontres étaient des « réunions d’experts » et que « le préfet [des Alpes-Maritimes] n’était pas présent non plus ». « ‘Il s’agit d’une attaque, d’un écran de fumée grossier face aux graves questions qui se posent à l’exécutif », a renchéri la Ville.
La préfecture s’est de son côté « refusé à tout commentaire en raison de l’enquête en cours » de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), saisie par Bernard Cazeneuve. Un ministre de l’Intérieur qui a annoncé, ce dimanche, porter plainte pour diffamation après les « graves accusations » d’une policière municipale niçoise dans les colonnes du JDD. Sandra Bertin, à la tête du Centre de supervision urbain de Nice, affirme avoir reçu des pressions de la place Beauvau pour modifier son rapport sur le dispositif policier du 14 juillet.
Depuis l’attentat qui a fait 84 morts sur la Promenade des Anglais, Christian Estrosi entretient des rapports houleux avec le pouvoir exécutif. Multipliant les attaques, l’élu a notamment critiqué à maintes reprises la gestion des attentats par le gouvernement. « Tout n’a pas été fait pour garantir la sécurité de nos concitoyens. Les Français doivent savoir pourquoi », a-t-il notamment déclaré à Paris Match.
Mise à jour du 24 juillet 2016 (16h47)
Estrosi rejette « les accusations scandaleuses d’instrumentalisation » de Cazeneuve
Le maire de Nice n’a pas apprécié la réponse de Bernard Cazeneuve après les propos d’une conseillère municipale sur l’enquête de l’attentat de Nice.
Cazeneuve avait taclé les « accusations indignes » de « certains élus de Nice »… Dans un entretien au Journal du Dimanche, Sandra Bertin, qui était en charge de la vidéosurveillance le soir du 14 juillet, affirme avoir été « harcelée pendant une heure », le lendemain de l’attentat, par un commissaire envoyé, selon elle, par le cabinet du ministre de l’Intérieur. Mais Bernard Cazeneuve a assuré par la suite que c’est le parquet, et non son cabinet, qui a envoyé un émissaire. Une version corroborée par le procureur général de Paris et le ministère de la Justice.« Les accusations indignes de ce jour s’inscrivent dans la suite des polémiques virulentes que certains élus de Nice ont souhaité entretenir puis alimenter chaque jour depuis le terrible attentat du 14 juillet », a dénoncé le ministre de l’Intérieur en appelant « chacun à reprendre ses esprits ».… Et ça ne plait pas à Estrosi. Une réponse qui n’a pas du tout plu à Christian Estrosi, ce dernier y voyant là une accusation « d’instrumentalisation » de la part du ministre à l’encontre de la mairie de Nice. « Avec @p_pradal (le maire Philippe Pradal, LR, ndlr), nous rejetons les accusations scandaleuses du ministre d’instrumentalisation des propos d’un agent dans un contexte aussi terrible », déclare Christian Estrosi sur Twitter, où il assure également que la municipalité a découvert dans le Journal du dimanche les propos de la policière municipale Sandra Bertin. Vous l’aurez deviné:on nous cache beaucoup de choses!UN FALSE FLAG DE GRAND ART!Comme cette affaire évolue vite,nous allons continuer de mettre à jour cet article,suivant l’évolution de l’affaire.Nous sommes en face d’une opération « False Flag » (faux drapeau),comme l’auraient imaginé les experts de la CIA et les « petits amis » de Georges W. Bush…un certain 11 septembre 2001!
Ces photos sont la preuve que la Troisième Guerre Mondiale est déjà commencé.
Partagez cette histoire sur facebook, twitter, envoyez-là par mail et qu’elle soit partagée comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux ! Obama a même admis que les USA formaient les forces de l’état islamique en Irak et en Syrie ! C’est dans la vidéo. Scott Bennet a même dénoncé les compagnies qui financent l’EI ! Il a donné les preuves à tous les membres du Congrès et personne n’a bougé le petit doigt ! Il n’y a que Rand Paul (candidat à la présidentielle américaine, ndlr) qui a envoyé une lettre dénonçant l’information mais il n’a rien fait lui aussi ! Montrez cette information VIRALE à tout le monde et exposez la vérité sur l’EI que le Veterans Truth Network s’efforce de partager.
La Russie a finalement démontré le bluff du gouvernement criminel des États -Unis d’Amérique.
« The Fake News » nous dit depuis plus d’un an que nous avons besoin de bombarder ISIS et d’envoyer des troupes sur le terrain. Eh bien,la Russie a simplement décidé de nous aider! Cela est vrai, elle a bien décerné notre bluff et elle a mis des bottes sur le terrain contre ISIS et jets volent autour du ciel syrien! On pourrait penser que les États depuis qu’ils ont mis en place ISIS et qu’ils l’utilisent comme une armée de proxy, maintenant la direction criminelle des États en place , nos fonctionnaires criminels disent que la présence russe serait inacceptable.Quelle blague!
Apparemment, certains équipements russes et quelques soldats ont déjà été capturés dans la lutte que vous entendrez parler dans cet article à partir de Hedge Zero.
Oh, et si vous venez juste de vous réveiller et que vous ne pouvez croire ce que ce votre téléviseur donne comme nouvelles est aussi faux que le certificat de naissance d’Obama, soyez assuré qu’on détruit les mensonges des fausses nouvelles lancées par le système et qu’Alex Jones dénonce ce que dit la journaliste Virginie est réel!
Il est tout à fait averti de prendre vos armes et de vous préparer!
Malgré les démentis formels de Moscou, les troupes aéroportées russes se préparent à débarquer en Syrie pour combattre les forces de l’Etat islamique. L’attaque surprise des forces ISIS sur le quartier Al-Qadam au sud de Damas le 31 août où ils ont pris des positions clefs, a fait d’ISIS le groupe anti-Assad le plus proche qui n’ait jamais été de la capitale syrienne. C’est pourquoi cet évènement a accéléré l’intervention militaire russe.
L’armée russe débarque.
La Russie court-circuite l’ US Central Command
Les sources militaires de Debkafile rapportent que les discussions de la Commission militaire russo-syrienne ont accéléré au cours des derniers jours car Moscou veut coordonner son intervention. Nos sources de renseignement indiquent que les plans stratégiques russes sont avancés alors que la centrale de commande de l’avant-poste américain en Jordanie (CCFJ) est en pleine paralysie suite aux attaques des rebelles syriens dans le sud, y compris sur les positions du Golan tenu par Israël.
La plupart des opérations de la CCFJ ont été interrompues en raison d’un débat qui a éclaté entre les rebelles syriens et l’US Central Command, la CENTCOM. L’armée américaine est opposée à tous rebelles qui coopèrent avec des groupes d’Al-Qaeda, comme le Front Al-Nusra, alors que les rebelles affirment que cela ne peut pas être évitée si l’on veut vaincre les forces de Bachar al-Assad et du Hezbollah. La paralysie de la CCFJ a ainsi stimulé les Russes a établir leur «commandement central» sans aucune difficulté.
Les avions russes de dernière génération y seront aussi.
Les quatre étapes militaires russes en Syrie:
1. Le 18 août dernier, six Mikoyan-Gourevitch MiG-31 Foxhound qui sont des avions d’interception russe dernière version ont atterri sur la base aérienne de Mezze tenue par les Forces aériennes syriennes, c’est la section militaire de l’aéroport international de Damas. Après que les avions d’attaque aient débarqué, ils ont été immédiatement suivis par les avions-cargos géants Antonov AN-124 Condor qui les ont ravitaillés avec 1 000 missiles antichars 9M133 Kornet.
Intérêt statégique: Ces jets de combat avancés sont destinés à servir de support aérien pour les unités terrestres russes qui arrivent sur le sol syrien.
2. Moscou a conclu un accord avec Washington pour qu’elle enlève ses batteries de missiles MIM-104 Patriot postées en Turquie par l’OTAN. Cette suppression a été réalisée progressivement durant tout le mois d’août.
Intérêt statégique: empêcher la possibilité que des missiles Patriot frappent les chasseurs russes effectuant des opérations dans l’espace aérien syrien.
3. Au cours de la dernière semaine d’août, un grand nombre de troupes russes, pour la plupart des équipes logistiques sont arrivées en Syrie. Ces troupes ont été vues à Damas et dans le district de la province de Lattaquié, leur travailest depréparer le terrain pourl’arrivée desunités de combat.
Intérêt statégique: Les forces russes sont en train de construire une base militaire.
4. Nos sources de renseignement indiquent aussi que Moscou a commencé à fournir à Damas toutes leurs compétences en matière d’imagerie satellite.
Intérêt statégique: visualiser la situation sur le terrain sur les différents fronts syriens, une étapespréparatoire pour l’introduction des forces terrestres.
Moscou n’est certainement pas prêt à mettre en danger le fief du président Bachar al-Assad à Damas car il le considère comme une ligne rouge qui ne peut être franchie. Si la Russie intervient militairement de cette façon, la Russie sera le premier pays extérieur au Moyen-Orient qui enverra des forces terrestres dans la guerre civile syrienne.
Le président Vladimir Poutine et ses soldats.
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