Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l’Allier à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.
Les fouilles débutèrent il y a presque 100 ans.
Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon ( rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de 17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l’une des plus violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l’on savait sur les origines de l’écriture.
En défrichant un morceau de terrain, l’une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l’intérieur duquel Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l’avoine est semée.
Au cours de l’été, la Société d’Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au Dr Capitan des Beaux-Arts. A l’époque, le Dr Capitan, l’abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire.
Émile Fradin nous présente une formidable tablette gravée en 1976.
Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d’archéologie, entend parler de la découverte et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu’il trouve, il obtient le droit de publication sur les objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin.
13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. “Vous avez là un gisement merveilleux..“, il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.
Mais au lieu d’envoyer son rapport, le Dr Morlet le publie le 23 septembre 1925 sous le titre “Nouvelle station néolithique“. Morlet est convoqué par Capitan, furieux, “…mettez mon nom à la place de celui d’Emile Fradin..“, ( fait rapporté et publié par le chanoine Cote, “Glozel, 30 ans après“, 1959 ; toutes les personnes “baignant” dans le milieu scientifique savent l’importance d’avoir son nom au sein d’une publication ) ; Morlet refuse. Puis l’abbé Breuil écrit un article en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à son tour s’insurge et accuse l’abbé de vouloir s’approprier la découverte. L’abbé se retournera alors lui aussi contre Glozel. On est bien loin des argumentations scientifiques !
Les grands pontes de la préhistoire, tout d’abord très favorables à Glozel, pris de court par cette fabuleuse découverte, se retrouvant “hors jeu“, prennent alors position contre Glozel. D’autant plus qu’à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement que l’écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d’inscriptions ). Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..
Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de science. Les glozeliens et les anti-glozeliens s’affrontent, Glozel devient l’affaire Dreyfus de l’archéologie.
L’artéfact le plus médiatisé depuis les années 1960.
Et dans cette guerre, tous les coups ( bas ) sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet surprend même miss Garrod, secrétaire de l’abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d’une enquête sur place de la Commission des fouilles ( nommée par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ). Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer, “calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose“.
Le Président de la Société Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée ( mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir ces fantastiques objets si controversés ), puis il prétend qu’on lui montre des choses fausses. Il porte plainte contre X pour “entreprise pécuniaire pour montrer les produits d’une mystification“.
Le 25 février 1928, la police de Clermond-Ferrand fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ; leur but, trouver l’atelier où Emile fabrique ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater mais à l’époque il n’y a aucun moyen pour faire cela.
Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d’escroquerie, le juge d’instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l’interrogatoire. On veut qu’il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, a sa conscience pour lui, il n’a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.
Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de fabrication et vérifier s’il enterre lui-même les objets.
Finalement, deux ans plus tard, l’inculpation finit par un non-lieu. Emile Fradin peut enfin profiter de la vie, il se marie et a des enfants. Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets, jusqu’en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans l’autorisation de l’Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel. Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas la reconnaissance de Glozel.
En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite. Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien ! Henri François écrira à Emile Fradin : “…Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et indiscutables…“
Les résultats sont les suivants :
les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
les céramiques ont 5 000 ans,
les tablettes gravées ont 2 500 ans.
En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant qu’il existerait encore des objets enfouis.
En 1975, après un congrès d’archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l’authenticité du site. L’Etat reconnaît l’authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.
De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des morts, ensuite, aucun résultat n’est publié (?).
Alors pourquoi ? Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, “père spirituel des hérétiques en France” : “…S’ils ne publient pas c’est qu’ils ont probablement trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
De quoi a-t-on peur ?
On a peur de contrarier quelques vieux professeurs, on a peur de démolir les théories en cours ?
Mais, est-ce que les théories scientifiques sont des monuments religieux ?
Qu’y a-t-il donc à Glozel qui soit responsable d’une telle levée de boucliers ?
Faisons donc des fouilles méthodiques et raisonnées à l’endroit où Emile Fradin les fit ! …“
M. Emile Fradin s’est vu proposé des sommes fabuleuses pour ses découvertes mais il n’a cédé aucun objet. Le 16 juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.
En 1995, suite à la diffusion d’une émission télévisée, le résumé provisoire des recherches précédentes est enfin publié mais ne révèle rien, si ce n’est ce que l’on savait déjà, qu’il y a une grande disparité dans l’âge des objets de Glozel.
Plus de 3000 objets ont été retrouvés, des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des bijoux en os, des têtes de flèches, des aiguilles, et il ne semble pas que les signes écrits aient été superposés à des gravures animalières antérieures.
Tous les ossements, humains ( n’appartenant pas à des squelettes d’homme moderne ), et d’animaux ( ayant été transformés en outils, bijoux, certains portant des signes d’écriture ), tous, présentent une fossilisation avancée.
Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.
Les galets, gravés notamment de splendides rennes, ont soulevé l’admiration des spécialistes en art préhistorique.
Les objets en céramique, idoles, vases mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les fameuses tablettes couvertes d’inscriptions toujours inconnues, ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout d’abord pris pour une tombe.
Même s’il n’y a plus de doute sur l’authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.
En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu, d’objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge !
Reste également l’énigme de l’écriture que l’on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non déchiffrée… Elle présente de grandes ressemblances avec :
des formes très anciennes de l’écriture phénicienne.
Mais aussi avec un certain nombre d’inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des sites magdaléniens, au Portugal, en Roumanie et en France.
Glozel serait peut-être un ancien lieu de culte, magique, où auraient été regroupés des objets de diverses provenances ? …
On ne pourra lever le voile du mystère que si l’on étudie sérieusement et systématiquement ce site exceptionnel.
Un nouvel objet découvert récemment de la civilisation Sindhu-Sarasvati,en Inde, représente un “bateau céleste” qui a été longuement décrit par l’archéologue italien Massimo Vidale dans une monographie.
Des suggestions sur ce que cela pourrait représenter? Vidale l’appelait la “Dame du trône à pointes”.
La Barque Céleste
Une image claire de la dame (la déesse des étoiles sur son trône à pointes) dans le bateau, avec ses mains sur deux figures (petits taureaux) qui la flanquent. Le bateau a 8 personnes, 4 femmes et 4 hommes (qui sont montrés un peu plus petits)
Selon la théorie d’un jeune étudiant et écrivain de l’Inde:”Dame sur le trône à pointes” a 5 mèches dans les cheveux (Vidale: p26). Seule Apsaras porte 5 mèches (Mb 3-134) Elle est dans un bateau et non sur un char. Les caractéristiques ressemblent à Mehgarh – Matrikavat (Maa ghar> Mehgarh) Représente le style de vie. Apsara abandonne son enfant, pas à Mehrgarh
La Barque Céleste …photo du livre de l’archéologue Vidale.
Autre découverte récente:la déesse de Kaushambi…2000 ans avant Jésus-Christ.
Cette idole en bronze de Daimabad est similaire à l’idole ci-dessus. Mais la personne qui conduit le char est un homme, contrairement au Devi ci-dessus. Fait intéressant, cela aussi a été trouvé dans une période après la civilisation Sindhu saraswati
Voici ce qu’un réalisateur indien a fait sur le thème de la Déesse des Étoiles:
EN COMPLÉMENTAIRE
La mémoire d’une civilisation perdue
Il est non seulement possible de dissiper l’obscurité et le silence qui enveloppent l’histoire védique / harappéenne, mais cela nous donnera des idées merveilleuses et une clarté de compréhension dans la civilisation ancienne la plus énigmatique et la moins appréciée. Tout ce qui doit être fait est d’abandonner les tas de biais et de spéculations sans fondement.
Le Docteur David Frawley est disciple de Ramana Maharshi, grand Sage de l’Inde du Sud, depuis 1970. Il poursuit les travaux de Ganapati Muni, qui fut aussi l’un des principaux disciples de Ramana Maharshi, sur les Védas, le Tantra, l’Ayurvéda et le Jyotish. Par ses années de collaboration avec M. P. Pandit, il a eu accès aux enseignements de Sri Aurobindo qui ont influencé ses travaux journalistiques et sociaux sur l’Inde antique et contemporaine.
Sri David Frawley a noté un jour un paradoxe très anormal dans l’histoire indienne. D’une part, nous avions la plus grande civilisation de l’âge du bronze du monde. La civilisation Sindhu-Sarasvati (SSC). Elle était beaucoup plus grande dans son étendue géographique que la Mésopotamie contemporaine et l’Égypte réunies. Il avait une population estimée à environ cinq millions d’habitants. Ce nombre a oscillé autour de 20% de l’humanité en 2000 avant JC.
Pourtant, malgré cette massivité de ses praja et samrajya , les ruines du Sindhu et du Sarasvati semblent muettes et sans voix, leurs aksharas non fissurés semblent creux et silencieux. Ils n’ont rien à nous dire, qui ils étaient ou ce qui leur est arrivé, malgré leur grandeur.
D’autre part, nous avons également la littérature la plus grande et la plus sophistiquée de l’âge du bronze. Le corpus védique. Son échelle massive, son évolution littéraire, son contenu philosophique, mathématique et astronomique et leur progression sont sans égal dans le monde antique. Il décrit les grands royaumes, le commerce, les chevaux, les chars, les autels de feu élaborés, les innovations technologiques, l’astronomie, les unités de mesure normalisées, la navigation maritime, l’agriculture, etc. Pourtant, il n’y a rien dans les archives archéologiques pour expliquer une civilisation aussi avancée . Certainement pas en 1500 avant JC, lorsque Max Mueller nous dit avec un commandement colonial que tous les textes védiques commencent seulement à être composés.Pas un seul texte sanscrit en Inde ne peut être plus ancien que cette date, assure M. Mueller. Mais ce n’est pas une discussion pour l’instant.
C’est ce qu’on appelle le «paradoxe de Frawley». Le SSC crie silencieusement pitoyablement pour qu’un seul mot appelle le sien, pour un seul son prononcé dans sa mémoire. Et les textes védiques crient désespérément qu’une seule brique repose et se valide.
Mais pour une fois, si nous abandonnons le bagage irrationnel dont nous avons hérité de l’ère coloniale, si nous jetons un regard neuf sur les faits et réévaluons toutes les preuves recueillies au cours de ces cent ans, des conclusions remarquables et magnifiquement naturelles émergeront. Sans aucun doute, ils renverseront de nombreux dogmes transmis comme faits historiques, mais la joie de la réalisation sera vraie et immense. L’une d’elles fait référence à une grande migration enregistrée dans le Shatapatha Brahmana, dans le quatrième adhyāya de son premier kāṇḍa :
Mâthava, le Videgha, était à cette époque sur la (rivière) Sarasvatî.
Il (Agni) partit alors brûler le long de cette terre vers l’est; et Gotama Râhûgana et le Videgha Mâthava le suivirent alors qu’il brûlait. Il a brûlé (séché) toutes ces rivières.
Maintenant cette (rivière), qui s’appelle ‘Sadânîrâ’, coule de la montagne nord (Himâlaya): celle qu’il n’a pas brûlée. Celui que les Brâhmanes n’ont pas croisé autrefois, pensant: «il n’a pas été brûlé par Agni Vaisvânara».
De nos jours, cependant, il y a beaucoup de Brâhmans à l’est de celui-ci. A cette époque, elle (la terre à l’est du Sadânîrâ) était très inculte, très marécageuse, car elle n’avait pas été goûtée par Agni Vaisvânara.
De nos jours, cependant, il est très cultivé, car les Brâhmans l’ont fait goûter (Agni) par des sacrifices. Même à la fin de l’été, cette rivière, pour ainsi dire, fait rage: elle est si froide qu’elle n’a pas été brûlée par Agni Vaisvânara.
Mâthava, le Videgha, a alors dit (à Agni): «Où dois-je demeurer? «À l’est de cette rivière, ta demeure! a-t-il dit. Aujourd’hui encore, cette (rivière) forme la frontière des Kosalas et des Videhas; car ce sont les Mâthavas (ou descendants de Mâthava).
Maintenant, cela peut sembler n’être que quelques lignes d’un texte obscur. Mais la qualité et la quantité des inférences que ces mots assez explicites nous permettent de tirer est sans précédent dans la littérature védique. Tirons ces inférences ligne par ligne, nom par nom.
Mais d’abord il est impératif de comprendre la position historique du SB vis-à-vis des autres textes védiques. Il est considéré comme le plus jeune brahmana. Et les brahmanes, en gros, sont antérieurs aux Aranyakas et Upanishads. Il est également important de noter que la description historique ci-dessus semble être un souvenir d’un événement passé, plutôt qu’une référence contemporaine. Donc, cet événement peut en fait se dérouler à une couche plus profonde de l’âge des brahmanes.
1. Mâthava, le Videgha – Nous ne savons pas plus sur ce très ancien maharaja que ce que nous dit le SB. Mais le mot Videgha / Videha sonne beaucoup de cloches familières. C’était un royaume de la région de Mithila pendant le mahajanapada Et le roi philosophe le plus célèbre de cette janapada était Janaka. Il était si célèbre que la dynastie elle-même était englobée sous ce nom et que presque tous les rois de Videha furent appelés «Janaka». De nombreux Janakas distincts sont mentionnés dans les Upanishads, Puranas, Ramayana, etc. Ils ne peuvent pas tous être une seule personne. Et le SB déclare clairement que la dynastie à l’époque de sa composition était connue du patronyme de Mathava. Jusqu’à ce que, bien sûr, l’un de ses descendants, Janaka, atteigne une renommée encore plus grande que la sienne. À tel point que Mathava a été complètement oublié dans les textes suivants.
Conclusions
-Mathava Videgha fut l’un des premiers rois de l’âge du fer historiquement bien attesté Videha janapada.
– À un moment de l’ère upanishadique, succédant ou concourant à l’âge tardif de Brahmana dont le SB est représentatif, Janaka a remplacé Mathava comme patronyme.
2. « était à ce moment-là sur le (fleuve) Sarasvatî» – Il n’y a vraiment pas de double sens ou de nuances mythiques à cela, à moins que l’on ne soit poussé par des biais pour défendre les dogmes coloniaux. Il est énergique et simple, ne nécessitant aucune élaboration. L’existence de la rivière Sarasvati, son identité avec le lit séché du Ghaggar-Hakra et son histoire hydrologique approximative ont toutes été bien étudiées par plusieurs disciplines et sont connues au-delà de tout doute raisonnable. Elle n’est plus ouverte au débat.
Conclusions
-Mathava et son peuple vivaient autrefois dans un royaume appelé Videgha situé quelque part le long des rives de la rivière Sarasvati.
– Sarasvati était encore probablement une rivière qui coule, vivace ou non, à l’époque de Mathava. Cela a des implications pour la datation de l’événement, comme beaucoup le savent. Cela place carrément l’exode de Mathava au moins ~ 2000 avant JC ou des périodes antérieures.
– Bref, la très bien attestée Videha janapada a une préhistoire sérieuse, non enregistrée ou oubliée.
Dans l’image ci-dessous, il est évident que les Videhans ont dû migrer très loin pour arriver à leur habitat historique de Mithila. Ils occupaient l’un des janapadas les plus à l’est.
3. ‘.. de là est allé brûler le long de cette terre vers l’est’ – Là où des métaphores apparaissent, il y a aussi place à l’interprétation et à l’incertitude. Même ainsi, Agni brûlant la terre et les rivières vers l’est est, par l’explication la plus simple, un témoignage des conditions de sécheresse qui prévalent, ce qui aide également à expliquer pourquoi un roi doit faire un voyage aussi radical, conduisant son peuple dans un exode épique vers l’est, abandonnant même les rives sacrées du Sarasvati.
Conclusions
-Il y a eu un exode et c’était probablement une conséquence de la sécheresse, de l’échec de l’agriculture ou d’une autre condition drastique qui a mis à l’épreuve la subsistance même du peuple Videha.
-La direction de la migration est d’ ouest en est . Ceci est d’une importance vitale dans la recherche de la validation archéologique d’un tel événement. Et parce que beaucoup d’historiens muellerian-marxistes ont interprété à la hâte ce passage pour illustrer la célèbre “ invasion aryenne ” – n’ayant complètement trouvé aucun support pour lui à partir d’un texte védique, surtout dans le plus ancien Rig Veda.
-L’archéologie ne connaît et n’admet qu’une seule de ces migrations vers l’est. La migration des Harappans. Un moment unique et rare dans l’étude de l’histoire partout, où la littérature et les faits sur le terrain s’accordent et se complètent si parfaitement.
La représentation ci-dessous illustre le déplacement indubitable de la densité de peuplement vers l’est pendant et après la fin de la période Harappan.
La mémoire d’une civilisation perdue 2
4. ‘.. et Gotama Râhûgana ..’ – Ce sont les deux mots les plus importants du passage. Plus instructif et rempli d’importations que le reste du passage réuni. Qu’est-ce qui pourrait être si génial dans le nom d’un purohita inconnu d’un raja inconnu? -Tu pourrais demander.
Tout! Son nom apparaît dans les anukramani du Rig Veda (RV)! Pour ceux qui sont conscients de ce que cela signifie, cela apportera des larmes de joie. Pour ceux qui ne le savent pas, les anukramani ou indices du RV nous donnent des informations fondamentales sur les rishis qui ont écrit les suktas, les chhanda utilisés dans chacune de leur composition et les devata ou divinités de chaque hymne. Gotama Rahugana est l’auteur des hymnes 74-93 du livre 1 et de l’hymne 31 du livre 9. Cela signifie, pour abréger une très longue histoire, que Gotama Rahugana et son patron Mathava Videgha vivaient au Moyen Âge védique.
Ci-dessous un verset composé par lui conservé dans le livre 1 du Rig Veda.
« O Jatavedas (Agni), vif et rapide, Gotama avec le chant sacré t’exalte pour l’amour de ta gloire.
Une chanson agréable à Agni, fils de Rahūgaṅa, a chanté:
Nous te louons pour ta gloire . »
-Gautama Rahugana, Rig Veda 1.78.1,5
Il est au-delà de la portée de cet article d’expliquer comment les dix livres sont classés par leur chronologie et leur antiquité. Le lecteur peut se référer à “Rig Veda – Une analyse historique” par Shrikant Talageri pour cela. Pour l’instant, il suffit de savoir que le livre 6 est le plus ancien et le livre 10 le plus jeune. Il s’agit d’un schéma généralement accepté et approuvé par un consensus de chercheurs. Les livres Rig Vedic vont dans cet ordre-
VI -> III -> VII -> IV -> II -> V -> VIII -> IX -> X
Sur cette base, et une analyse comparative rigoureuse du contenu historique du VR, son histoire a été divisée en: –
Première période – Livres VI, III et VII.
Période intermédiaire – Livres IV et II.
Période tardive – Livres V, VIII et IX.
Dernière période – le livre X qui se démarque des autres à bien des égards, y compris sa langue.
Le livre I contient des hymnes composés de descendants de rishis des trois plus anciens ainsi que de ceux contemporains aux trois suivants . Sa position historique est juste après les trois premiers, légèrement antérieure et contemporaine aux trois suivantes . C’est un livre chronologiquement «étiré». Le livre IX est un livre encore plus étiré. Il a des hymnes par les rishis des derniers suktas des livres I, V et VIII (y compris le Gotama de notre fascination actuelle) ainsi que des rishis entièrement nouveaux qui n’apparaissent que dans les livres IX et X. On peut dire que les livres I et IX partagent plus que juste Gotama Rahugana.
Conclusions
Gotama Rahugana et son patron Mathava Videgha ont vécu pendant la période intermédiaire du VR, peut-être vers la fin de cette période, alors que le RV n’était encore qu’à moitié terminé.
L’âge Brahmana n’est pas un successeur chronologique du Rig Veda samhita, mais les débuts de la première et de la moyenne, la fin et la dernière période de cette dernière sont probablement contemporains.
Ce n’est PAS une invasion / migration aryenne d’aucune sorte. Si c’était le cas, nous nous attendrions à ce que Gotama soit un rishi des livres les plus anciens (VI, III et VII), à une époque où les envahisseurs / migrants aryens venaient d’entrer dans le nord de l’Inde pour la première fois (selon cette théorie qui s’effondre) . Les livres les plus anciens ont en fait des hymnes composés par les ancêtres de Gotama!
Il s’agissait d’une migration au sein de la culture védique profondément ancrée dans la vallée de Sindhu-Sarasvati. Et c’est arrivé avant la période du SB. Des preuves supplémentaires sont nécessaires pour conclure si elles étaient contemporaines d’un brahmana plus ancien comme Aitareya.
Le SB est contemporain de la période tardive, dernière ou post-Rig Vedic. Des preuves supplémentaires sont nécessaires pour conclure.
Les Brahmanes plus anciens comme Aitareya sont donc un développement très parallèle à la RV samhita au moins depuis la période intermédiaire. Leurs positions chronologiques exactes vis-à-vis du RV, également entre elles ainsi que par rapport au dossier archéologique Harappan doivent être étudiées.
5. “Celui-là (Sadânîrâ) que les Brâhmanes n’ont pas traversé dans le passé …” – Cela impliquerait qu’il y a eu des tentatives de migrations plus profondes en Inde du Nord depuis la vallée de Sindhu-Sarasvati avant même l’époque de Mathava et Gotama et ce petit Védique des colonies existaient déjà dans les territoires vers lesquels les Videhans migraient. Vouloir plus de détails, pousser plus loin ne serait qu’un effort spéculatif. Quoi qu’il en soit, le passage atteste que des colonies védiques contemporaines existaient déjà dans les terres à l’est de Sadânîrâ à cette époque. Le Sadânîrâ est identifié au fleuve moderne Gandak, un affluent du Gange.
Mais plus intéressant encore, nous constatons que certaines des découvertes archéologiques les plus surprenantes de ces dernières années sont en parfait accord avec cela. Varanasi a une antiquité approchant Harappan et la civilisation Harappan mature et sa technologie de brique cuite au four s’est étendue aussi loin à l’est que Raghopur Diara près de Patna! Qui sait quoi d’autre reste à découvrir et où. Les frontières doivent être redessinées, c’est le moins qu’on puisse dire.
Et la région de Mithila, où les Videhans se sont installés, est si proche de toutes ces découvertes palpables. La découverte de la couche la plus ancienne ou des preuves de nouvelles colonies à Mithila nous aiderait sans aucun doute à trouver des dates matérielles appropriées pour Mathava, Ragugana, les Brahmanas et même le Rig Veda.
Conclusion
La migration de Videha n’était qu’une des nombreuses vagues d’expansions harappaises vers l’est commençant peut-être à la période mature.
Lequel des autres janapadas historiques a fait des voyages similaires? Lesquels de ces anciens royaumes et républiques indiens étaient autrefois situés sur les rives de l’Indus et du Sarasvati? Des questions fascinantes en effet. À l’exception de quelques-uns d’entre eux, il est très difficile de répondre sans entrer dans le spéculatif.
6. «À cette époque, il (la terre à l’est du Sadânîrâ) était très inculte, très marécageux», – Une autre phrase importante . Un témoignage ferme de certains des détails subtils cruciaux pour notre compréhension de cet âge insaisissable ainsi que des questions existentielles sur le caractère culturel, les réalisations sociétales des Indo-Européens qui ont propagé la culture védique et aussi les mécanismes de ce processus. Deux faits très significatifs sont révélés par cette phrase.
Premièrement, il condamne à la poubelle le modèle traditionnel qui soutient depuis un siècle que les personnes qui ont amené le sanscrit en Inde du Nord étaient des pasteurs d’Asie centrale . C’étaient des nomades qui faisaient paître le bétail et montaient à cheval. Un peu plus. Mais Mathava et son peuple n’étaient pas de simples éleveurs de vaches. Et ce n’étaient certainement pas des nomades. Ils étaient un lot établi, pendant une longue période indéterminée avant cet exode. Ils avaient un royaume. Ils pratiquaient l’agriculture comme leur occupation principale. Et avait des rituels avec des autels de feu élaborés. Les textes brahmana connaissent la technologie de la brique, les unités de mesure normalisées et bien plus encore. Même le Rig Veda connaît la navigation maritime.
À tel point que leur premier souci de devoir migrer vers de nouvelles terres est que tout était marécageux et non cultivé! Et sans compromis. Et pas le moins du monde, il n’y avait pas d’herbe pour leurs chevaux. Ils étaient un rajya avant de migrer, et ils étaient un rajya quand et longtemps après avoir traversé le Sadânîrâ; ils étaient déjà devenus un État . Plus tard, ils évolueront encore et fusionneront dans la puissante République Vrijji, l’un des seize mahajanapadas! Videha a achevé une évolution politique complète et précoce en une république!Dont il y a si peu d’exemples dans le monde antique. Il n’y avait ni Grèce, ni Rome, ni aucun État en Europe lorsque les ancêtres de Mathava dirigeaient Videgha quelque part dans la vallée SS. Quel était le scénario occidental à l’époque de Mathava? Il était rempli de petites communautés agricoles, de pasteurs agressifs des steppes et même de chasseurs-cueilleurs.
L’identité tribale que les éleveurs des steppes et la plupart des autres tribus IE de cette époque ont sans doute été définie par, avait depuis longtemps été dépassée par le peuple védique. Un tel passé tribal nomade est déjà une préhistoire non enregistrée en ce qui concerne le VR. Il faudrait torturer les premiers versets du RV pour les faire admettre. L’enquête sur la véritable antiquité des Indo-Européens dans la vallée de Sindhu-Sarasvati est d’une importance cruciale.
Ce n’est pas seulement une invasion de Kurgans d’Asie centrale, les Videhans ne leur ressemblent en rien. Cela jette de nombreuses hypothèses cavalières sur la culture védique à douter. Plus révolutionnaire, cela oblige l’honnête enquêteur à affronter à nouveau ce paradoxe de Frawley .
Le deuxième fait étonnant que la phrase ramène chez elle et oblige ainsi une autre hypothèse d’invasion aryenne fondamentale à mordre la poussière, c’est que ces Aryens migrateurs étaient alors assez seuls en Inde du Nord. L’AIT / AMT nous oblige à croire que des millions de Harappéens défunts vivaient encore dans les vallées de l’Indus et du Gangetic tandis que les Indo-Aryens les envahissaient ou les «ruisselaient» . En fait, l’archéologue chevronné nous assurera qu’à aucun moment il n’y a eu de rupture notable dans l’habitation humaine dans le large âge du bronze au nord de l’Inde, ni aucun signe de contact entre deux cultures matérielles différentes, indigène et étrangère. Pourtant, les preuves littéraires montrent que les Aryens védiques étaient tout à fait seuls dans les vallées de l’Indus et du Gangetic. Les Videhans ne sont pas tombés sur unseule tribu étrangère ou linguistiquement différente à tout moment de leur grand exode des Sarasvati à Sadanira. Au mieux, le SB laisse entendre qu’il y avait des colonies védiques antérieures ici et là. A part cela, tout était une terre plaine, inculte et marécageuse. Personne n’occupait les plaines gangétiques. Il n’y a aucune preuve d’une transformation linguistique impliquée et encore moins d’une invasion dramatique. Les Videhans se développaient contre un vide démographique, tout comme les Harappéens dans les archives archéologiques.
Alors, sur quelle base a-t-on prétendu au cours des cent dernières années que les Harappéens et les Aryens védiques étaient deux personnes différentes? Vœux pieux et spéculation pure. Une théorie scandaleuse inventée pour soutenir une autre théorie scandaleuse. Il n’y a pas de place pour les faits, les inférences ou les preuves dans leur orthodoxie rigide. Ou ils devraient essayer de répondre à cette question. Où des millions de Harappéens ont-ils disparu? L’éléphant dans la pièce que l’école Muellerian des érudits a réussi à ignorer avec tact et a réussi à échapper.
Conclusions
– Les Rig Vedic Aryans, dont les Videhans sont un, sont des agriculteurs et un lot civilisé, pas des pasteurs.
– Ils étaient très évolués politiquement et non nomades ou tribaux.
– Ils n’étaient pas des envahisseurs. Ils s’étendent dans des terres vierges inoccupées.
-Il n’y avait aucune autre tribu occupant la vallée de Gangetic et aucune preuve d’aucune sorte de conflit impliqué dans le processus.
– L’indo-européen est la plus ancienne couche linguistique détectable en Inde du Nord – malgré des millions de Harappans qui parlaient autre chose (selon l’école d’histoire de Mueller) censément vivre partout.
– Aryens védiques = Harappans . En résolvant le paradoxe de Frawley, nous nous rendons compte que cette expansion de Videhans n’est rien d’autre qu’une vague de la dispersion Harappan qui est bien attestée archéologiquement.
7. « Aujourd’hui encore, ce (fleuve) forme la frontière des Kosalas et des Videhas.» – Le passage arrive enfin sur la scène contemporaine. Le scénario politique du nord de l’Inde est désormais bien connu de la plupart d’entre nous après nos années de scolarité. Il y avait des mahajanapadas. Au moment du Bouddha, il y en avait seize ou plus . Il est également explicitement implicite et probable que les habitants de Kosala ont également fait un voyage similaire à Videha et qu’ils se sont installés juste à côté des Videhans. Lesquels des autres mahajanapadas ont également effectué des migrations similaires (et étaient autrefois les royaumes de la SSC) est un sujet fascinant nécessitant des recherches supplémentaires et qui est encore sans réponse de manière concluante.
Conclusions
-Les constituants de la civilisation Sindhu-Sarasvati étaient sans doute très similaires aux mahajanapadas des derniers jours. Ou étaient au moins leurs ancêtres directs dans un continuum ethno-politique.
– Videha était l’un des royaumes de la civilisation Sindhu-Sarasvati. Kosala en était probablement un aussi. La localisation exacte de l’origine de la SSC nécessite des recherches supplémentaires. Probablement, il peut ne jamais être trouvé. Le cours reconstruit du Sarasvati dans l’image ci-dessous montre le nombre écrasant de sites situés sur ses rives. Il n’est pas exagéré de suggérer que l’une de ces ruines le long de la rivière perdue pourrait bien avoir été la ville des Videhas, où Mathava a régné.
– Les autres janapadas candidats qui ont peut-être aussi été autrefois des États de la SSC sont ceux qui figurent dans les textes védiques plus anciens que SB et qui ont survécu jusqu’à la période historique. Il s’agit notamment des Kuru, Pancala, Matsyas etc. Les deux premiers descendent des dynasties Paurava-Bharata du RV.
Comme nous l’avons vu, l’obscurité et le silence qui entourent l’histoire védique / harappéenne ne sont pas seulement possibles à dissiper, cela nous fournira des idées merveilleuses et une clarté de compréhension dans la civilisation ancienne la plus énigmatique et sous-estimée. Tout ce qui doit être fait est d’abandonner les tas de biais et de spéculations sans fondement. Pour nettoyer l’ardoise de craie coloniale et regarder à nouveau toutes les preuves qui existent. Pour ne pas surcharger les études en Asie du Sud avec des bagages de la steppe ou toute autre théorie extraterritoriale – ou du moins pas avant de lui donner un traitement indépendant et équitable de la bourse. Pour suivre la méthode scientifique et se déclarer: «voici les preuves, quelles conclusions peut-on en tirer?
Des informations géographiques et cartographiques précises concernant le continent antarctique n’ont été réellement découvertes qu’en 1822. Cependant, en contradiction directe, les anciennes cartes révèlent que l’Antarctique est totalement exempt de glaciation des milliers d’années auparavant.
Selon les experts en cartographie et océanographie anciennes, seule une culture maritime très avancée explorant l’Antarctique après la fin de la dernière période glaciaire, il y a 11 000 ans, aurait pu créer de telles cartes. Alors, qui était cette civilisation soudainement incroyablement avancée?
Le magnifique mais formidable paysage de l’Antarctique.
L’incapacité de trouver une réponse acceptable à ce mystère cartographique a conduit à penser que les anciennes cartes étaient produites par des extraterrestres extrêmement avancés, car pour produire des cartes d’énormes masses continentales, elles ne pouvaient être tracées avec précision que d’un point de vue aérien, à l’aide d’appareils d’arpentage spécialement conçus pour le but!
Prenons une position rationaliste ,comme les professeurs d’universités actuels qui ne veulent pas toucher au paranormal et au réalisme fantastique.
Ainsi, à l’exclusion des extraterrestres (soyons frileux), quels cartographes très avancés sur le plan technique pourraient parcourir notre planète plusieurs milliers d’années avant Columbus, et autres? D’où viennent-ils et comment ont-ils acquis l’expertise et la capacité de navigation nécessaires pour naviguer dans de vastes océans et, surtout, pour enregistrer leurs découvertes sur des cartes qui auraient été la source d’informations transmises à des explorateurs «modernes» comme Columbus, Cook, Magellan ou Vasco da Gama, par exemple.
Une photographie satellite surprenante révèle le passé lointain de l’Antarctique
Pour citer un exemple, il y a la carte “Buache” du XVIe siècle qu’il prétend avoir été réalisée par une très ancienne civilisation, qui cartographiait avec précision le continent de l’Antarctique, dépourvu de sa calotte glaciaire d’un mile de profondeur. Cependant, sans aucune preuve concrète pour étayer ses affirmations, les experts soupçonnent que la carte de Buache était probablement le produit d’une imagination vive. Mais était-ce? Nous verrons plus tard.
“Carte des terres du sud comprise entre le tropique du Capricorne et le pôle Antarctique, où les nouvelles découvertes faites en 1739 au sud du cap de Bonne-Espérance peuvent être vues”, de Philippe Buache.
Auteur, archéologue de l’espace et chercheur indépendant, William James Veall a tiré parti de l’étroite extension actuelle de la déglaciation côtière en Antarctique et a utilisé la photographie satellite à télédétection pour exposer un grand nombre de têtes humaines et de portraits d’animaux absolument étonnants, ainsi qu’un matériel inscriptif démontrant clairement que quelqu’un avait touché dans au moins trois zones distinctes du littoral antarctique dans un passé lointain.
FIGURE 1: Carte moderne de l’Antarctique indiquant la partie du littoral de la mer de Ross, l’objet de l’archéologue de l’espace, William James Veall, sondé par satellite de télédétection (en rouge) et le segment sans glace prolongé du littoral de la mer de Ross, comme indiqué dans l’annonce 1512 cartes d’Oronteus Finaeus (indiquées en vert).
William Veall poursuit: Beaucoup de lecteurs d’Antiquités Anciennes savent déjà que j’utilise la technique de la photographie satellite à télédétection pour exposer des images au sol: sculptures rupestres, intaglios, pictogrammes, pétroglyphes et symboles d’épigraphie. Actuellement, je suis également impliqué dans l’utilisation de la technologie par satellite pour le service extrêmement important de détection, de préservation et de protection des sites archéologiques du monde entier contre le vol et les actes de vandalisme. (GlobalXplorer)
En utilisant cette même technique, j’ai très bien réussi à tracer le littoral «houblon» de voyageurs transocéaniques en Amérique du Sud, le littoral nord-américain, Terre-Neuve, la côte ouest de l’Afrique, l’Uruguay et même le long de la côte est de l’Australie ( voir tableau 1) avec quelques révélations incroyables.
FIGURE 2: Tableau 1. Anciens symboles découverts le long de la côte est de l’Australie par William James Veall, mars 2017.
L’Antarctique était-il une fois sans glace?
Après une incursion assez fructueuse le long de la côte est de l’Australie, j’ai décidé de tenter ma chance et de mettre à l’épreuve la déclaration faite par le géographe, cartographe et mathématicien grec, Marinus de Tyr, qui, en 400 av. J.-C., avait eu connaissance d’une ancienne carte illustrant Antarctique sans glace.
Logiquement, le point le plus proche de tout contact transocéanique avec l’Antarctique utilisant comme guide la côte est de l’Australie serait de traverser l’Atlantique Sud, de pénétrer dans le cercle antarctique et de débarquer à un point situé à peu près dans la région de Wilkes Land; la même région que celle choisie par Ross en 1840-1843.
Il n’est pas déraisonnable de supposer sur le principe que le littoral extrême oriental de l’Australie se dirige vers le sud, suivant à peu près tout le méridien de 153 ° selon lequel les anciens explorateurs auraient «sauté la côte» de ce méridien par paliers faciles à mesurer, connus dans l’ancien langage de navigation les latitudes »en conjonction avec certaines constellations aériennes, leur permettant ainsi de traverser les océans jusqu’à atteindre le continent antarctique.
Après un balayage préliminaire de la plus grande partie du périmètre antarctique, une partie déglacée de la région de la mer de Ross semblait être la seule zone susceptible de fournir suffisamment de données factuelles et factuelles pour que ce «coup dans le noir» ait une réelle signification pour répondre à la question. : Existe-t-il des signes d’activité autochtone ou externe pouvant expliquer le fait que diverses cartes marines anciennes prétendent montrer que tout ou partie du littoral de l’Antarctique est exempt de glace?
Ainsi, premièrement, comment Marinus de Tyr a-t-il appris l’existence de «l’Antarctique» en 400 av. J.-C. et deuxièmement, Buache at-il réellement accès à des cartes anciennes lui permettant de construire ce qu’il prétend être une représentation fidèle du continent antarctique? moins sa couverture de glace et de neige gelées?
Apparemment, c’est Aristote qui a informé Marinus de l’existence d’un continent nommé «Terra Australis» entourant le pôle Sud. Marinus a ensuite marqué la carte du monde qu’il compilait à partir d’autres cartes anciennes portant le même titre. Mais, ce qui est le plus fascinant, sa carte montre Terra Australis (Antarctique) sans le bouclier de glace traditionnel. Cependant, les cartes anciennes que Marinus aurait utilisées mystérieusement “ont disparu”, nous n’avons donc aucun moyen de vérifier son histoire.
Par la même occasion; Cela n’explique pas comment d’autres anciens cartographes, comme Oronteus Finaeus et Hadji Ahmed, pourraient également prétendre avoir accès à des cartes datant de 6 000 ans (4000 ans av. J.-C.) représentant le continent de l’Antarctique complètement dépourvu de glace. D’où viennent leurs cartes et qui les a compilées? Je crois que j’ai peut-être eu une réponse par hasard.
Oronteus Finaeus (ou Oronce Finé),
À la recherche de la route des explorateurs
Je dois avouer qu’avant mon coup de feu antarctique – à part le fait de savoir que l’Antarctique abritait le pôle Sud … et quelques pingouins – je n’avais aucune idée préconçue sur cette région recouverte de glace, à l’extrémité sud de la planète Terre. . Imaginez ma surprise de découvrir par hasard que j’avais suivi la voie maritime désormais connue des explorateurs «modernes» vers l’Antarctique et que, par mégarde, ma sonde de télédétection avait atterri pratiquement au même ancrage choisi par Amundsen (1911-1912) et Scott (1910-1913) ).
En contournant le cap Adare et dans la mer de Ross, j’ai balayé la côte est le long d’un tronçon où la mer de Ross borde la terre Victoria. C’est tout à fait par hasard qu’une partie du rivage déglacié s’est retirée un peu à l’intérieur des terres, laissant à découvert un tronçon de deux kilomètres environ, bien que certains endroits soient encore recouverts de traces de glaciation. Selon les études scientifiques les plus récentes, le bouclier de glace de l’Antarctique oriental a même commencé à fondre au cours des vingt dernières années à un rythme alarmant, probablement à cause du réchauffement de la planète.
J’avais à peine franchi la moitié du terrain sur le littoral de la mer de Ross lorsque j’ai eu le choc de ma vie!
Têtes humaines
Le satellite avait capturé très clairement une image de tête humaine (portrait) en regardant depuis le terrain rocheux. (Figures 7 et 7a) Cela n’était pas censé se produire: la présence de l’humanité sous quelque forme que ce soit, préhistorique ou autre, n’a jamais été détectée en Antarctique. logiquement, soyez un territoire vierge exempt de tout peuple autochtone préhistorique jusqu’à bien après la fin du grand âge glaciaire, il y a 12 000 ans.
FIGURES 7 et 7a: Le tout premier portrait que j’ai découvert sur l’Antarctique; Cette étonnante figure coiffée d’un chapeau tricorne est sculptée dans une surface rocheuse déglacée de 25 mètres de hauteur sur 32 mètres de largeur. Elle présente une tête humaine, d’apparence caucasienne, avec des traits faciaux gentils et des yeux légèrement épicanthic et expressifs. La joue gauche (face) est piquée avec une «étoile» de style crétois; le front avec une pointe de diamant SIG. Sous l’œil droit (en regard) se trouve un petit triangle piqué. Juste en face, deux personnages de Linear A ont été picorés.
Les recherches effectuées par l’Université de Reading au Royaume-Uni suggèrent fortement qu’une civilisation avancée existait déjà plusieurs milliers d’années avant les Egyptiens, les Sumériens ou les Babyloniens; cette culture des peuples noirs (époque Kiffian) due aux changements climatiques a été chassée vers le sud de leurs terres du “Sahara Vert” (9000 – 4000 av. J.-C.) pour finalement fusionner leur technologie prétendument assez avancée avec les peuples moins développés des régions méridionales, Egypte, par exemple. (Voir les références: ‘ Momie noire du Sahara Vert’ – une excellente vidéo).
Le balayage des côtes rocheuses de la mer de Ross a permis de dégager une quarantaine de portraits de têtes humaines, notamment des têtes d’animaux et, parmi ceux du tableau 2, près de cent symboles picorés. Ma méthode d’analyse a été développée au cours de nombreuses années, en étudiant littéralement des centaines de situations d’imagerie satellitaire dans les montagnes et les déserts du monde, ce qui a permis de créer des règles extrêmement critiques pour une interprétation précise des images.
FIGURE 3: Tableau 2: Tableau illustrant les anciens symboles découverts le long du littoral antarctique de la mer de Ross par l’archéologue de l’espace, William James Veall, en avril 2017.
FIGURE 4: Tableau 3: Comparaison des scripts Linéaire A et Linéaire B des Tableaux 1 et 2.
[Note de l’auteur: Les fonds des figures 5 à 12 ont été légèrement diffusés pour améliorer la clarté de l’image, mais cette image satellite originale n’a jamais été retouchée. La silhouette ajoutée ne doit pas être un «portrait» mais simplement une aide pour identifier la pose de l’image satellite. Les figures 5 à 12 sont publiées sous «Autorisations d’utilisation équitable» de Google Earth .]
FIGURES 5 et 5a: Un pétroglyphe, situé sur l’île Marambio, dans le coin nord-ouest de l’Antarctique, présente un profil de visage de singe très inhabituel sous la tête d’un aigle. La tête est marquée d’un symbole SIG en boucle ouverte sur la joue gauche. Trois cercles (pierres) sont joints à l’arrière de la tête de l’aigle. Une date peut-être?
Quelle culture particulière a utilisé ce motif comme icône de signature pour annoncer sa présence en Antarctique? La tête mesure 34 mètres de haut sur 50 mètres de large (Eagle), l’Aigle 18 mètres de haut sur 39 mètres de long (59 pieds sur 128 pieds). Les deux «dieux» réunis semblent représenter Hanuman, le tout-puissant dieu hindou des singes et l’aigle, le dieu hindou Garuda … mais dans l’ANTARCTIQUE?
FIGURE 6: À l’origine, j’avais ignoré ces débris jonchés de roches, mais une manipulation minutieuse de la prise de vue avec une caméra de télédétection a révélé un motif de roches qui ressemblait à une ancienne légende ancrée dans le littoral. Malheureusement, la partie du texte qui fait face à la mer est maintenant submergée sous l’eau (de fusion). Taille exposée de 50 mètres de long sur 25 mètres de large.
Ce message était-il une dédicace pour célébrer un rêve de longue date de débarquer sur la masse terrestre la plus emblématique de la planète Terre? agissant comme un contrepoids pour équilibrer la planète avec une autre grande masse terrestre dans le nord: l’Arctique? Je le crois.
Les caractères paraissent très similaires au script de comptabilité ‘Minoan Linear A’, circa 1800 – 1400 av. c’est extrêmement intéressant car les “points et tirets” pourraient bien se traduire en données chronologiques, en d’autres termes – annonçant l’arrivée et la date du premier passage de l’homme européen sur le continent antarctique?
Il est intéressant de noter que le tableau 3 montre très clairement que les caractères sont à la fois linéaires A et B, alors que pratiquement tout le matériel inscriptif ultérieur (voir tableau 2) le long du littoral de la mer de Ross est «picoré» dans un alphabet plus avancé du genre phénicien. Ainsi, par inférence, le débarquement doit avoir eu lieu bien avant 1200 avant JC car, à partir de ce moment-là, le genre phénicien (1100 av. J.-C.) commença à dominer «l’écriture».
Un autre fait qui pourrait confirmer que le message était une “dédicace de l’arrivée” ; le symbole en triangle donne une latitude exacte de 72 21 04 00 S et une longitude de 170 15 37 00E. D’après mon expérience, un triangle suivi d’un «A» majuscule signifiait presque toujours une géodésie d’importance.
De plus, pourquoi placer cette coordonnée sur un rivage fragile alors que tous les autres sont gravés dans la falaise? Réponse: de nombreuses années auparavant, le littoral avait été considérablement étendu, comme le prouvent les anciennes cartes Oronteus Finaeus et Buache (voir la carte de la figure 1, extension verte).
FIGURES 7 et 7a: Le tout premier portrait découvert par Veal sur l’Antarctique; cette étonnante figure coiffée d’un chapeau tricorne est sculptée dans une surface rocheuse déglacée.
FIGURES 8 et 8a: Ce chiffre de 23 mètres de haut sur 20 mètres de large est clairement d’ascendance «autochtone». La tête semble avoir une mâchoire saillante inhabituelle. Un gnomon enregistre la coordonnée de longitude 170.16.26.00 de cette image particulière.
En lisant l’histoire de l’Antarctique, les références indiquent clairement qu’il n’y a jamais eu de flore ni de faune indigènes sur le continent, car la masse terrestre était entièrement recouverte de glace depuis au moins neuf millions d’années … avant même la préhistoire.
Un message sur le rivage
En lisant l’histoire de l’Antarctique, les références indiquent clairement qu’il n’y a jamais eu de flore ni de faune indigènes d’aucune sorte sur le continent parce que la masse terrestre était complètement recouverte de glace depuis au moins neuf millions d’années … avant même l’homme préhistorique
Selon les experts en cartographie et océanographie anciennes, seule une culture maritime très avancée explorant l’Antarctique après la fin de la dernière période glaciaire, il y a 11 000 ans, aurait pu créer des informations géographiques et cartographiques précises sur des cartes. Pourtant, de telles cartes existent apparemment. Alors, qui était cette civilisation soudainement incroyablement avancée?
Les images satellites révèlent des surprises
Maintenant, cette découverte de William James Veall pose la question suivante: qui a sculpté avec une telle finesse deux têtes de cerfs massives, qui, de par leur conformation, suggèrent qu’elles pourraient appartenir à l’espèce Huemul? La taille des sculptures (chacune) est en moyenne de 18 mètres de long sur six mètres de large (59 x 20 pieds).
FIGURES 9 et 9a: Parmi la pléthore d’images de l’Antarctique, j’ai enregistré chaque pièce d’imagerie qui a suscité sa propre surprise. Les deux animaux représentés dans cette figure passionnante ne font pas exception.
Les deux sculptures étaient-elles des icônes de la patrie ou des vagues successives d’immigrants ont-ils importé des cerfs en tant que source d’aliments vivants ou de fourniture de lait? cela pose une autre question: d’où? L’habitat le plus proche pour l’espèce de cerf Huemul serait probablement la Patagonie, en Amérique du Sud.
Un Heumul, un cerf du sud des Andes (Hippocamelus bisulcus) dans la réserve nationale de Cerro Castillo, dans la région d’Aysén, au Chili.
Il y a une solution possible. Pendant une période de climat tempéré, une route maritime a-t-elle été ouverte entre le cap Horn (Patagonie) et les îles Shetland? Je suis assez confiant pour avancer cette suggestion car des traces distinctes d’activités d’art rupestre sont visibles sur les parois rocheuses de certaines îles du groupe des Shetland. (à publier plus tard)
De plus, l’île Nelson fait directement face à la péninsule Antarctique où j’ai enregistré davantage de portraits de têtes humaines, dont l’un est le MS 3815 représenté à la figure 5, située sur l’île Marambio. Certains peuples ont-ils mis le pied sur l’Antarctique avant ou après ceux qui ont atterri à la mer de Ross? En outre, les mêmes personnes ont-elles, au cours d’une grande période de changement climatique, fait le tour du monde ou emprunté une route terrestre déglacée de l’Antarctique pour atteindre la communauté de la mer de Ross? Par conséquent, expliquer pourquoi différentes races sont immortalisées dans son portrait à la tête humaine.
La réponse à de telles questions est un projet énorme et distinct en soi, probablement même supérieur à celui de l’enquête sur la mer de Ross, car il doit prendre en compte les mouvements transitoires d’humains et d’animaux entre la pointe de l’Amérique du Sud et la péninsule Antarctique, des intervalles probables de glaciation et de déglaciation. pendant les périodes de changement climatique.
Si la fonte des glaciers se poursuit, on découvrira inévitablement davantage de portraits de têtes humaines, avec peut-être un matériel très important d’inscriptibilité; Tout cela fera des comparaisons fascinantes avec le mouillage de la mer de Ross et résoudra la question de savoir qui ont vraiment été les premiers à fouler le sol de l’Antarctique.
FIGURE 10 et 10a Quelle découverte incroyable! Entièrement sculptée dans la roche blanche, cette tête humaine de forme ovale est ornée d’un regard effrayant aux yeux ronds, marqué par des symboles anciens. Les points dans un cercle autour d’un motif central sont typiques de la fin du 13ème siècle av. Mycénien. (Taille 44 mètres de haut x 33 mètres de large).
FIGURES 11 et 11a: Une tête humaine superbement sculptée dans un casque de style «roman / greco» avec une marque GIS en boucle ouverte sur le panneau avant. Le portrait, d’une hauteur de près de 800 mètres sur une largeur de 400 mètres, est gravé dans la face abrupte d’une crête de montagne. Immédiatement à droite (en regard) se trouve un symbole SIG très distinct qui donne une lecture en latitude de 82º 25 15 00S. A six cents mètres à l’est se trouve un piquet, un SIG à pointe en diamant indiquant la longitude du site.
Les photographies satellite montrent que la sculpture se trouve sur un flanc de montagne dans la chaîne Holyoake. Le fait même que ce buste colossal ait été sculpté dans un endroit si isolé et couvert de neige m’a beaucoup intrigué, même si j’accepte que le buste ait été sculpté si cette région de l’Antarctique était devenue jadis libre de glace et accessible. Quand, par qui et dans quel but cette figure massive at-elle été fixée à cet endroit particulier?
La navigation par satellite révèle d’anciens records
Et puis, je me suis souvenu de la lecture d’un excellent livre du regretté professeur Charles Hapgood, (FRGS) ” Maps of the Sea Sea Ancient ” qu’Oronteus Finaeus avait tracé la position du pôle Sud à partir d’anciennes cartes qu’il avait acquises. Hapgood a pu calculer que le pôle Sud d’Oronteus Finaeus était en fait à 7,5 degrés (800 km) du véritable pôle Sud que nous connaissons aujourd’hui.
Maintenant vint le moment de vérité! Le 9 mai 2017, mon navigateur satellite avait enregistré une lecture latitudinale de 82 ° 25 ‘pour la statue, presque à 7,5 ° du vrai pôle Sud. J’ai ensuite vérifié les coordonnées longitudinales, 160º 32 ‘.
Chaque coordonnée confirmait presque exactement la position du pôle Sud, exactement comme Oronteus Finaeus l’avait indiquée sur sa carte de 1531 après JC.
Je crois fermement que la gigantesque sculpture de 800 mètres de haut a été sculptée, non seulement pour marquer de manière permanente ce que l’on croyait être, à l’époque, le véritable pôle Sud, mais aussi pour honorer et enregistrer à Memoriam les premiers peuples à avoir jamais existé. atteindre sciemment le «pôle Sud».
Messages sur le bord de la mer
La dernière chose que je m’attendais à faire était d’écrire un article en profondeur, d’analyser et de créer des illustrations pour de nombreux portraits, de dessiner des cartes, ainsi que des tables d’épigraphie, le tout résultant d’une intuition amusante de faire le tour du vaste continent antarctique par Remote. satellite de détection – tout par curiosité.
Trouver toute une série de portraits de têtes humaines, apparemment composés d’au moins cinq cultures différentes, plus des têtes d’animaux, le tout entremêlé d’une masse de textes inscriptifs et, romantiquement, ” un message au bord de la mer”, était pour le moins époustouflant .
Il ne fait absolument aucun doute dans mon esprit, contrairement à ce que l’on sait, que l’Antarctique a été visité dans le passé avec probablement une habitation de longue durée le long, du moins, des régions côtières dans des périodes de climat plus tempéré; cette preuve réfute complètement la croyance de longue date selon laquelle “l’Antarctique n’a JAMAIS vécu de peuple autochtone dans ce pays. En fait, jusqu’en 1822, personne n’avait jamais vu l’Antarctique”.
Mais la cerise sur le gâteau était certainement lorsque j’ai découvert l’importance de la figure massive sculptée dans la chaîne de montagnes de Holyoake pour commémorer la découverte et l’enregistrement de l’emplacement exact du pôle Sud, tel qu’extrapolé des anciennes cartes d’Oronteus Finaeus.
J’ai une légère réserve sur ce point, après avoir enregistré par télédétection des centaines de marqueurs SIG (géodésique et d’identification). J’ai toujours été étonné de l’incroyable précision obtenue par les anciens cartographes – et je ne parle pas en degrés, mais en minutes -, évoquant discrètement une civilisation ancienne possédant des connaissances en astronomie, en navigation et en cartographie de superlatifs équipement scientifique non égal à l’homme «moderne» jusqu’au 19ème siècle au moins.
La datation de matériel artificiel est, au mieux, très aléatoire. Le code vestimentaire de toute statue ou portrait ancien est presque toujours un indice sonore de la provenance. Ici, un indice est dans le style de casque plutôt «roman / greco», comme on le voit ci-dessus. En fait, le long de la section de la mer de Ross, il semble y avoir au moins quatre bustes portant le même casque, suggérant qu’une force expéditionnaire de la Méditerranée avait effectivement réussi à atteindre l’Antarctique.
En tant qu’archéologue de l’espace, je ne prétends pas avoir d’expertise en épigraphie; Cela n’empêche pas de faire des observations sur les documents que j’ai découverts au cours de mes recherches. Par conséquent, est-il possible de dériver un laps de temps simplement à partir du matériel inscriptif que j’ai présenté dans les tableaux 1 à 3)? La réponse est oui. Premièrement, en observant les extrémités historiques des tableaux.
Le tout premier stade de la chaîne d’épigraphie antarctique aurait besoin de hiéroglyphes égyptiens: il n’y en a AUCUN. Un point final de ma chaîne tabulée devrait inclure l’alphabet grec “modernisé”, l’hébreu et peut-être même le lettrage romain. Il n’y en a pas. Ainsi, nous avons établi les limites du matériel inscriptif répertorié.
Tableau 1 “Symboles découverts le long de la côte est de l’Australie”.
Tableau 1 “Symboles découverts le long de la côte est de l’Australie” . MS 3755, Col 5, dépeint un personnage proto-sinaïtique (un homme agitant joyeusement des bras) vers 1850 av. Est-ce le premier lien dans l’hypothèse? En examinant les autres caractères des tableaux 1 et 2, nous constatons un biais en faveur de l’écriture minoenne, Linear A. Maintenant, Linear A a été développé, entre 1800 et 1400 av. D’où «points et tirets» qui signifient un script en base 10. (voir tableau 3 et le “message sur les sables” )
Tableau 2. Graphique illustrant les anciens symboles découverts le long du littoral antarctique de la mer de Ross par l’archéologue de l’espace, William James Veall, en avril 2017.Tableau 3. «Message sur les sables»
Cependant, on remarquera dans le «mélange» (tableaux 1, 2 et 3) que des caractères du script mycénien Linéaire B, développé vers 1500 avant JC – 1200 avant JC, sont principalement utilisés pour la communication.
Ainsi, nous avons une date de début dans notre chronologie composée de Proto-Sinaiatic (1850 av. J.-C.) parallèle à Linéaire A (1800 av. J.-C. – 1400 av. J.-C.), suivi de Linear B (1500 av. La Linéaire B était suivie de l’alphabet phénicien (1100 av. J.-C.) qui continuait jusqu’à l’âge du fer (1050 av. J.-C.) avant d’être repris par des variantes de l’alphabet grec (800 – 750 av. J.-C.).
Selon le matériel inscriptif, la région de la mer de Ross en Antarctique était sujette à des visites et à un éventuel habitat semi-permanent au cours d’une période de déglaciation de 1850 av. J.-C. à au moins 1050 av. hors 1000 ans.
De plus, je pense que sur une période de 1 000 ans, l’Antarctique a finalement été circumnavigée, la carte de l’Antarctique a donc été cartographiée au format bitmap, produisant ainsi la série de cartes locales légèrement disjointes et historiquement rapportées.
Une évaluation approfondie de la glaciation et de la déglaciation de l’Antarctique, même pour seulement 10 000 ans, est extrêmement complexe et sort du cadre de cet article. Qu’il suffise de dire que si le «message dans les sables» était peut-être un message d’adieu, pourquoi était-il «écrit» en Linéaire A / Linéaire B et non pas le même alphabet que la masse de textes inscriptifs présentée dans le Tableau 2? Y a-t-il eu des visites successives au cours de la période de 1000 ans? Peut-être avec ces dernières vagues utilisant une forme de communication écrite plus «moderne».
Qui aurait pu créer de telles œuvres?
Nous avons déjà discuté était Aristote qui a informé Marinus de Tyr en 400 avant JC de l’existence d’un continent appelé Terra Australis (Antarctique) qu’il avait glanées (local) des cartes des centaines d’années.
Maintenant, si nous acceptons les anciennes cartes mentionnées par Aristote, qui remontent à des centaines d’années, 1450 av. J.-C. se situe bien dans un laps de temps acceptable. Une période qui englobe la période où les Minoens étaient des négociants maritimes extrêmement actifs, de superbes artisans produisant d’étonnantes figurines humaines en or et en bronze, ainsi que des formes naturelles outils de fer et de bronze pour la construction navale aux beaux-arts.
Un détail de la fresque du dauphin, le palais minoen de Knossos, Crète, (1700-1450 av. J.-C.)
Les sculptures de la mer de Ross ne pouvaient avoir été sculptées que par des artistes hautement qualifiés travaillant avec peut-être certaines des roches les plus dures connues de l’homme; ces artisans auraient sûrement besoin de «mauls et ciseaux» en bronze ou en fer résistant. Ce fait est très important car les dates de l’âge du bronze minoen (1500 – 1200 av. J.-C.) et le léger chevauchement qui s’ensuit dans le premier âge du fer (1050 av. J.-C.) maintiennent fermement les Minoens dans notre calendrier postulé.
Beaucoup de cultures différentes?
Un point très intéressant se pose lorsque l’on considère que, sur un aussi court littoral, il existe au moins cinq cultures complètement différentes décrites par la physionomie des bustes; Je ne crois pas que ce soit une génération issue d’un développement linéaire, parce que tout simplement, nous nous pencherions sur des dizaines de milliers d’années, pas seulement sur 10 000 ans d’histoire déglaciée.
De plus, les artistes antiques ont soigneusement sélectionné leurs pièces de façades en pierre pour refléter les tons de couleurs des visages qu’ils désiraient représenter, nous présentant ainsi des portraits inédits d’habitants “en chair” exactement tels qu’ils étaient il ya plusieurs siècles. .
Étrangement, même les portraits des peuples les plus primitifs sont marqués du même SIG «international» en boucle ou en forme de diamant, indiquant clairement que les statues sont contemporaines aux côtés des quantités copiques de matériel inscriptif; comme nous l’avons déjà dit, il est facile de le dater entre les limites de 1850 et de 800 av.
Je ne peux pas affirmer catégoriquement que les Minoens ont été les premiers à voir ou à mettre les pieds sur les côtes de l’Antarctique; c’est quelque chose que nous ne saurons jamais avec certitude. Le fait même que des bustes «primitifs» soient évidents parmi les sculptures suggère que les «Fisherfolk» originaires de Patagonie, de Nouvelle-Guinée ou d’Australie-Méridionale, par exemple, auraient également pu tirer parti d’un climat tempéré et étaient déjà en résidence avant les Minoens. arrivée.
De toute évidence, sans un examen médico-légal approfondi, je ne saurais dire si les Minoens, passionnés par la reconstitution de tous les êtres vivants sous forme de peintures ou de sculptures, ont conçu le littoral de la mer de Ross comme un chef-d’œuvre et des outils permettant de façonner des images à leur image avant l’arrivée des Minoens… et l’utilisation d’un insigne SIG. (Je ne pense pas?)
Et pour finir, quelques HOT NEWS:
FIGURE 12 et 12a: La figure 12 est la photographie satellite originale non modifiée. La figure 12a a été légèrement retouchée au crayon.
Cette dernière capture satellite montre ici encore une fois l’étrange juxtaposition entre la forme primitive et le matériel symbolique. Où se situe ce spécimen d’humanité «préhistorique» dans la chaîne d’humanité exposée de l’Antarctique?
Notez le front bas orné d’un bandeau à fleurs, de petits yeux fixés sous une crête (front) crânienne. Observez le nez large et trapu au-dessus d’une grande bouche montrant très clairement un ensemble de canines saillantes et saillantes. Remarquez la fleur, en bas à droite, parmi le matériel inscriptif.
Gardant à l’esprit le précédent contact Australie / Antarctique mentionné ci-dessus, je soupçonne que l’image représente une arrivée autochtone précoce sur le continent, mais associée à un matériel inscriptif… c’est un mystère persistant!
Enfin, la question fascinante que tout le monde se posera: croyez-vous que, maintenant que l’Antarctique a été partiellement exposé, ce continent deviendra la véritable “île” et la mystérieuse île de “Atlantis”?
EN CONCLUSION
Il est impossible qu’un peuple préhistorique ait pu faire cela…seule une civilisation très avancée sur le plan technologique le pourrait.
Une civilisation qui connaissait le déplacement dans l’espace et la technologie aérospatiale…par exemple!
Cette étude basée sur les recherches de Veal,nous montre bien les raisons de l’expédition allemande de 1938-39:retrouver l’ancienne civilisation …venue des Cieux!
Le rêve de chaque archéologue est de faire une découverte qui change notre façon de penser l’histoire. Quelque chose d’ancien, d’inattendu et de merveilleux. Bien que la plupart de l’archéologie ne soit pas aussi passionnante que dans les films, elle l’est en partie. Ces découvertes archéologiques étaient vraiment incroyables. Beaucoup d’entre eux posent des mystères qui restent non résolus.
1-LA GRIFFE GÉANTE
Cette griffe, trouvée en 1986 dans une grotte du mont Owen en Nouvelle-Zélande, était déconcertante pour les gens. Était-ce la griffe d’un monstre inconnu? Non, il s’est avéré être une griffe de Ua Le Moa des hautes terres qui était un énorme oiseau préhistorique.
2-LE HOBBIT
L’année 2003 a été l’une des années les plus marquantes de l’histoire de l’anthropologie et de l’archéologie. C’était l’année où les scientifiques ont découvert les restes d’une petite espèce d’hominidés, communément appelée «Hobbit» sur l’île de Flores en Indonésie. Le nom propre du Hobbit est Homo floresiensis. Ils mesuraient environ trois pieds et demi de hauteur et, peut-être le plus remarquable, s’étaient éteints il y a 12 000 ans. Certains spéculent que les observations de la région «Orang Pendek», la version sud-asiatique de Bigfoot, pourraient indiquer que des populations de Hobbits vivent encore aujourd’hui.
3-CHICHEN ITZA
Chichen Itza était une grande ville maya qui a été construite bien avant l’arrivée de Columbus. La ville a été construite dans l’actuel État du Yucatán au Mexique. Elle possède une magnifique pyramide et est l’un des sites touristiques les plus visités du Mexique. Son architecture est étonnamment diversifiée, probablement à l’image de la ville qui abrite la population la plus hétérogène du monde pré-colombien.
4-LA CARTE DE PIRI REIS MONTRANT L’EUROPE
La carte Piri Reis est une carte remarquablement précise de l’Europe et de l’Afrique du Nord qui porte le nom du cartographe qui l’a assemblé. Reis a dessiné la carte en utilisant des fragments de nombreuses autres cartes comme référence.Il aurait eu accès aux cartes provenant de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie. Il a été dessiné au début du 16ème siècle.
5-LES ROULEAUX DE LA MER MORTE
Les manuscrits de la mer Morte sont la découverte religieuse la plus importante du XXe siècle. Les rouleaux ont été écrits entre 408 et 318 avant JC. Il y en a 981, qui ajoutent beaucoup d’apocryphes au canon biblique.On y découvre entre autre que le mot elohim y est écrit au pluriel…donc les dieux!
6-LES BAINS ROMAINS
Les archéologues ont fait une découverte choquante sous les bains de l’antiquité romaine. Ils ont trouvé des collections d’os de bébés dans les égouts construits sous eux. Tuer des bébés jugés inaptes était une pratique courante à Sparte, mais pas à Rome. La découverte suggère que les Romains ont subi une mauvaise influence de leurs voisins spartiates.
7-SACSAYHUAMAN
Le Sacsayhuaman est un complexe fortifié qui a été construit par la communauté inca de Cusco, au Pérou. Les murs sont une merveille d’ingénierie. Ils sont construits à partir de dalles de pierre si précisément coupées qu’il n’y a aucun écart entre elles.Cette découverte nous suggère qu’une technologie très en avance sur son temps était utilisée ce peuple.Des chercheurs ont aussi avancé la théorie d’une civilisation extraterrestre.
8-LA BATTERIE DE BAGDAD
Comme dans un épisode de X-Files, les archéologues ont découvert un artefact de ce qu’ils pensent être une batterie ancienne. La «batterie de Bagdad» a probablement fonctionné. Les navires ont pu produire une charge électrique de faible niveau. Si suffisamment d’entre eux étaient utilisés ensemble, ils auraient pu alimenter quelque chose. Mais quoi et d’ou vient l’idée de base?
9-LES RUINES DE POMPÉI
La ville romaine de Pompéi a été détruite en 79 après JC par l’éruption du mont Vésuve. Les cendres du volcan ont recouvert la ville, piégeant et préservant ses habitants dans les postures qu’ils ont eues à leur mort. Un ingénieur militaire espagnol nommé Rocque Joaquin de Alcubierre a trouvé les vestiges de la ville voisine d’Herculanum. Dix ans plus tard, Giuseppe Fiorelli a trouvé Pompéi.
10- LES DESSINS DE LA GROTTE D’ALTAMIRA
Lorsque vous pensez aux peintures rupestres, vous imaginez probablement des pictogrammes grossiers de personnages en bâtons jetant des lances sur des animaux qui semblent avoir été dessinés par une personne de la maternelle. Mais les peintures rupestres trouvées à Altamira par Marcelino Sanz de Sautuola prouvent que les anciens humains étaient capables de grandes œuvres d’art. Les chiffres étaient si sophistiqués que de nombreux scientifiques ont refusé de croire qu’ils dataient du paléolithique. La datation au carbone leur a prouvé le contraire.
11-LE PALAIS DE KNOSSOS
Knossos est surtout connu comme le lieu du Labyrinthe du Minotaure. La ville a été découverte en 1878 par Arthur Evans et Minos Kalokairinos. Les bâtiments à l’entrée de la ville portaient des images d’un taureau, faisant croire aux chercheurs que Knossos était le lieu d’origine de la légende du Minotaure.
12-LA PIERRE DE PILATE
Cette découverte semble corroborer l’histoire de Pontius Pilate en tant que personne vivante. La pierre de Pilate a été découverte en Judée, dans la région de Césarée. La pierre, probablement utilisée comme escalier dans un ancien théâtre romain, porte une inscription qui se traduit approximativement par «Au divin Augusti [ce] Tiberieum… Pontius Pilate… préfet de Judée… a consacré ceci.»
13-LA GORGE D’OLDUVAI
La gorge d’Olduvai en Tanzanie est l’un des plus grands sites archéologiques de la planète. La gorge s’étend sur une trentaine de kilomètres à travers de profonds ravins, qui portent les marques et les artefacts d’anciens occupants d’hominidés. La gorge a produit plusieurs os d’animaux avec des marques de dents hominidés, ainsi que de multiples échantillons d’art rupestre.
14-HAGAR QIM
Le Hagar Qim est un groupe de structures autoportantes construit environ mille ans avant les pyramides égyptiennes. Ils sont également antérieurs à Stonehenge. Hagar Qim a été trouvé au début des années 1800.
15-L’OBÉLISQUE INACHEVÉ
Dans la région nord des carrières de pierre de l’Égypte ancienne se trouve le plus grand obélisque connu au monde. La rumeur veut que l’obélisque inachevé était destiné à compléter l’obélisque du Latran. La structure est presque trois fois plus grande que tout obélisque égyptien ancien jamais construit, ce qui est étonnant compte tenu du fait qu’une version finale aurait atteint environ 137 pieds.
16-LES DODÉCAÈDRES ROMAINS
Les Romains étaient friands de sculptures en métal «dodécaèdre» et personne ne sait pourquoi. Les sculptures, toutes à douze côtés et hexagonales, se retrouvent dans tout l’ancien empire romain. On ne sait pas exactement quel était leur but. Certains pensent qu’ils étaient utilisés pour mesurer la distance, d’autres pensent qu’ils étaient des bougeoirs ou simplement décoratifs.
17-LES FERS DE LANCE AFRICAINS ANCIENS
Trouver des fers de lance n’est pas particulièrement remarquable dans le monde de l’archéologie. Mais ces fers de lance, trouvés en Afrique du Sud, l’étaient. Ils datent d’il y a environ 200 000 ans et prouvent que les humains ont utilisé des outils beaucoup plus tôt que prévu dans notre histoire.
18-LE BATEAU DE GALLILÉE
Ce bateau a été trouvé dans la mer de Galilée par deux frères, Moshe et Yuval Lufan, pendant une sécheresse qui a fait baisser les niveaux d’eau. Le bateau date du premier siècle de notre ère et aurait été typique du type de bateau utilisé à l’époque de Jésus. Le bateau avait 27 pieds de long et 7,5 pieds de long. Les chercheurs l’ont gardé dans un bain chimique pendant sept ans pour atténuer toute nouvelle décomposition. Il est maintenant affiché au musée Yigal Allon dans le kibboutz Ginosar.
19-MARCAHUASI
Marcahuasi est une découverte archéologique controversée. Selon qui vous demandez, c’est soit une série de gravures sur pierre destinées à ressembler à des visages humains, soit une série de roches qui se sont érodées naturellement et que notre cerveau interprète incorrectement comme un artifice. Les figures ont été découvertes en 1952 par Daniel Ruzo, qui a fait diverses affirmations spécieuses sur la manière dont le site avait été choisi par les anciens peuples comme lieu de préservation des connaissances humaines à travers des cycles d’extinction.
20-ANDREWSARCHUS
Lors d’une excursion archéologique en Mongolie en 1923 et 1924, le naturaliste Roy Chapman Andrews a découvert un énorme crâne d’un animal auparavant inconnu. L’animal serait plus tard nommé Adrewsarchus, en son honneur. C’était un grand mammifère préhistorique, qui pesait probablement entre deux et quatre mille livres. On croit qu’il a eu les mâchoires les plus fortes de tous les mammifères de l’histoire, mais on en sait peu sur ses habitudes.
21-LES VIKINGS DU DORSET
Les ouvriers d’une voie ferrée du Dorset ont découvert cette fosse commune d’anciens guerriers vikings. Les Vikings ont tous été décapités. Les chercheurs ont d’abord pensé que la tombe était le résultat d’un raid, mais les décapitations étaient trop propres pour avoir été altérées au combat et ont été effectuées de face, ce qui était atypique. Nous ne savons toujours pas ce qui s’est passé.
22-LES SPHÈRES DE PIERRE DU COSTA RICA
Isla del Caño au Costa Rica est le site d’un mystère architectural apparemment étranger. Dans le delta du Diquí, il y a une collection de grosses pierres volcaniques parfaitement sphériques. Personne n’a aucune idée de comment et pourquoi ils ont été fabriqués. Certains spéculent que le peuple Chibchan pourrait les avoir utilisés pour orner les maisons des chefs. Les pierres ont été désignées site du patrimoine mondial en 2014.
23-LE MÉCANISME D’ANTICYTHÈRE
Cet artefact déroutant a été découvert en 1901 par une équipe d’archéologues qui l’a récupéré dans un naufrage grec. Le mécanisme a environ deux mille ans et comporte des rouages élaborés portant des inscriptions étranges. Les chercheurs pensent qu’il pourrait avoir été utilisé comme une montre astrologique. C’était une pièce d’ingénierie extrêmement sophistiquée pour la période où elle a été fabriquée.
24-L’ARMÉE EN TERRE CUITE DE CHINE
L’armée de terre cuite de Chine a été complètement découverte par accident. Les agriculteurs de la province du Shaanxi sont tombés sur la merveille archéologique. Les soldats de l’armée sont grandeur nature, destinés à protéger l’empereur après sa mort.
25-STONEHENGE
Stonehenge est l’un des sites archéologiques les plus célèbres de la planète. Aidé peut-être par son association avec Spinal Tap. Le henge a été construit par des druides sur une lande du Wiltshire, en Angleterre. La datation au radiocarbone a déterminé que le bâtiment avait été construit vers 3000 av.
26-PIÈGES D’ANIMAUX EN PIERRE
Si vous avez vu cela de l’air, il serait facile de sauter à la conclusion qu’il a été fabriqué par des extraterrestres. Eh bien, peut-être pas facile , mais la pensée vous traverserait certainement l’esprit. Des formations rocheuses comme celle-ci se trouvent dans les déserts du Moyen-Orient, en particulier en Jordanie, en Égypte et en Israël. Ils ont été construits par des peuples anciens pour piéger de gros gibiers.
27-LES LIGNES DE NAZCA
Ils se trouvent dans le sud du Pérou et représentent des animaux, des personnes et des plantes. La terre arable rouge de la région, une fois enlevée, révèle un sédiment plus léger en dessous. Leur objectif est inconnu, mais peut avoir quelque chose à voir avec la communication entre tribus terrestres et …peuples extraterrestres.Les lignes ne sont visibles que dans le ciel.
28-Les pyramides
Alors que les pyramides ont été construites par des peuples anciens dans de nombreuses parties du monde, les pyramides égyptiennes sont de loin les plus célèbres. Il y a 138 pyramides en Egypte, mais celles qui nous sont les plus familières sont au Caire. Les pyramides étaient déjà construites avant l’arrivée des premiers égyptiens.Elles comprennent un nombre élevé de mesures astronomiques et arithmétiques.Elles sont alignés sur les étoiles de la constellation d’Orion.
29-LE LINCEUIL DE TURIN
Le Linceul de Turin est un morceau de tissu qui semble ressembler à Jésus-Christ. Beaucoup de gens croient que cela a été le vêtement funéraire du Christ. La datation au radiocarbone menée sur le linceul dans les années 1980 a donné lieu à sa création au cours du Moyen Age, bien après qu’un Christ historique aurait vécu. Le Saint Suaire continue d’être controversé – l’Église catholique ne l’a ni approuvé ni condamné comme un véritable artefact religieux. Bien qu’il existe des preuves que le Linceul a été créé au Moyen Âge, il existe également des preuves suggérant que les sections de tissu testées provenaient d’une réparation effectuée à cette époque et que le Linceul originel date de l’époque de Christ.
30-Gobekli Tepe
Gobekli Tepe est un temple situé dans la région de l’Anatolie méridionale en Turquie. En 1996, il a été trouvé par une équipe d’archéologues allemands. Ils pensaient à l’origine qu’il s’agissait d’une collection de sanctuaires néolithiques, mais personne n’a proposé de théorie concluante sur son objectif initial. Le site a 11 000 ans, ce qui rend l’architecture remarquablement avancée.
31-Le rouleau de cuivre
Parmi tous les rouleaux de la mer Morte découverts, le rouleau de cuivre est peut-être le plus impressionnant. Le rouleau décrit un énorme stock d’or et d’argent, mais ne donne aucune indication quant à l’endroit où il peut être trouvé. Les archéologues s’accordent généralement pour dire que le parchemin a été réalisé vers 70 après JC.
32-LE TOMBEAU DU ROI TUT
La tombe du roi Tut a été découverte par un archéologue britannique en 1922. C’était une histoire énorme à l’époque, qui a captivé l’attention des gens du monde entier. Le tombeau était plein de richesses, tout comme Tut lui-même, scellé dans un sarcophage orné. Étonnamment, l’examen médico-légal des restes de Tut montre qu’à un moment donné, son corps était en feu. Les chercheurs spéculent que son embaumement pourrait ne pas avoir été entièrement conforme au plan.
33-Le manuscrit de Voynich
Le manuscrit de Voynich est l’un des livres les plus bizarres jamais écrits. Il a été écrit au début du 15ème siècle, probablement dans le nord de l’Italie à la Renaissance. Il porte le nom de Wilfrid Voynich, un vendeur de livres polonais qui l’a acheté en 1912. Les 240 pages du Manuscrit présentent des illustrations fantastiques et des textes écrits dans une langue totalement inconnue, totalement indéchiffrable. Les cryptographes se cognent la tête depuis plus de cent ans et personne ne l’a jamais décodé.
34-La pierre de Rosette
La pierre de Rosette était l’une des découvertes archéologiques les plus importantes jamais réalisées. Un soldat et savant français l’a découvert en Egypte en 1799:Champollion. La tablette de pierre présentait trois blocs de texte, un décret du roi Ptolmey V publié vers 200 avant JC, traduit en hiéroglyphes égyptiens, grec ancien et démotique. C’était la clé qui nous permettait de déchiffrer les hiéroglyphes.
35-Sanxingdui
Partout dans le monde, certains sites archéologiques produisent une quantité disproportionnée de trouvailles par rapport à leur taille. L’ancienne ville de Sanxingdui dans le Sichuan, en Chine, en est un. La ville a été occupée vers le 12ème siècle avant JC, et contient une grande quantité d’artefacts de l’âge du bronze. Elle a été découverte pour la première fois en 1929. Elle avait la forme d’un trapèze et était entourée de larges canaux doublés d’irrigation et de défense.
36-LES MOAI DE L’Île de Pâques
Les îles de Pâques sont surtout connues pour les énormes figures de pierre humaine qui les ornent. On ignore encore comment les habitants de l’île auraient pu construire de si grandes statues ou pourquoi. De nombreux chercheurs pensent a une visite extraterrestre dans le passé!
37-LE MUR DE Khatt Shebib
Khatt Shebib est un ancien mur construit en Jordanie. Lors de sa première construction, le mur ne faisait que 3 pieds et changeait de hauteur. Les gens spéculent toujours sur le but que le mur aurait pu servir. Il est maintenant en très mauvais état. La poterie trouvée au mur remonte à 312 avant JC.
38-LES MYTÉRIEUX CERCLES DE PIERRE
Contrairement aux arrangements en pierre qui ont été construits pour piéger les gibiers, les chercheurs sont encore dans l’obscurité à propos de ce à quoi ces cercles de pierres en Jordanie et en Syrie étaient destinés. Il y a onze cercles au total, en moyenne qui ont environ 1 300 pieds de diamètre chacun.
39-La pierre de Cochno
Glasgow, en Écosse, abrite une curiosité archéologique appelée la pierre de Cochno. La pierre mesure 43 pieds sur 26 et a environ 5 000 ans. Sa surface était marquée de tourbillons, appelés «coupes et marques de bagues», qui ont été découverts dans divers sites archéologiques du monde entier. La pierre de Cochno a été découverte en 1887.
40-LES FOSSES DE PIERRE DE STONEHENGE
En 2015, lors d’un balayage radar des environs de Stonehenge, les scientifiques ont fait une découverte remarquable. Ils ont trouvé des fosses profondes qui ont probablement jadis brandi d’énormes poteaux de bois. Les poteaux ont peut-être formé une arène.
41-Montagnes sous-marines dans la mer de Galilée
En 2003, les chercheurs ont découvert une énorme structure de pierre sous la mer de Galilée. La structure, haute de 32 pieds et large de 230 pieds, est très probablement composée de roches empilées.
42-Le pot romain
Ce pot d’aspect peu commun, trouvé dans un entrepôt du Musée de l’Ontario, est en fait assez remarquable. La jarre, qui remonte à l’époque romaine, était probablement utilisée comme lampe ou comme cage pour une petite anima. Il est totalement unique dans les archives archéologiques – il n’y a pas d’autres jarres de la Rome antique.
43-Lingots d’orichalque
Les anciens Grecs ont prétendu que les Atlantes utilisaient un métal rare appelé orichalcum. Ce qui a rendu passionnante une découverte de lingots d’orichalcum en 1988,venant d’une épave de navire. Les lingots ont été trouvés au large de la Sicile. L’Orichalcum est un alliage de laiton.
44-L’ÉPÉE MYSTÉRIEUSE
Cette épée médiévale a été pêchée dans la rivière Witham en 1825. Elle porte une inscription mystérieuse qui, à ce jour, défie le déchiffrement. La British Library a lancé un appel au public pour aider à résoudre le mystère. L’épée aurait été utilisée par un chevalier et aurait été fabriquée en Allemagne.
45-LA BOUGIE DANS LA GÉODE
En février 1961, les habitants de la montagne de Coso à Olancha en Californie, ont découvert une pièce de quartz extrêmement dure (géode) à une altitude de plus de 122 mètres, 12 mètres plus haut que le lit de la rivière Owens. Cette pièce a révélé contenir quelque chose de très étrange. Lorsque cette géode fut coupée en deux, on s’aperçut qu’elle renfermait une bougie d’allumage en porcelaine, avec une pièce de métal au centre, comme celle utilisées sur les petits moteurs à essence ou sur les premières voitures automobiles. Fait encore plus étrange, l’âge de la géode serait de 500 000 ans!
46-LA MEILLEURE POUR LA FIN:LE MARTEAU FOSSILISÉ
En juin 1934, M. Max Hahn a trouvé une roche contenant un morceau de métal près de London au Texas. Après avoir dégagé l’objet il a réalisé qu’il s’agissait d’un marteau à double têtes en métal de 15.24 cm, avec une partie de son manche de bois. Un outil semblable à ce qui est utilisé de non jour en métallurgie. La pierre dans laquelle le marteau fut trouvé est évaluée à 110 millions d’année. Ce London Artefact peut être observé dans le musée Creation Evidence Museum à Glen Rose au Texas.
Waffle Rock est un rock particulier situé en Virginie-Occidentale, États-Unis. La science officielle ,déjouée, est encore sur les origines du motif inhabituel marquant le rocher. D’énormes lézards, l’érosion, des œuvres d’art amérindiennes et des extraterrestres ont tous été proposés.
Le rocher étrange est situé à Jennings Randolph Lake, dans le comté de Mineral, en Virginie occidentale. Alors que la roche actuelle est un rocher, elle faisait autrefois partie d’un plus gros rocher (qui à son tour pourrait provenir d’un affleurement parental). Il a été déplacé à son emplacement actuel à la suite de la construction d’un barrage dans la région.
Waffle Rock a été nommé d’après le motif emblématique trouvé sur l’un de ses côtés. C’est un motif géométrique régulier qui court en lignes presque droites à travers la roche, donnant ainsi à la surface une apparence de gaufre. Ce motif est composé d’une roche de couleur plus foncée, ce qui le distingue de l’arrière-plan plus clair.
Qu’est-ce que le Waffle Rock?
On ne sait pas quand les résidents locaux ont pris connaissance de Waffle Rock, bien que son existence était déjà connue dans les années 1930. À cette époque, il y avait une petite ville appelée Shaw. La ville, ou plutôt ce qui en reste, est aujourd’hui submergée sous les eaux du lac Jennings Randolph.
C’est aussi au cours des années 1930 que le Corps des ingénieurs de l’armée américaine (USACE) est arrivé à la ville et a dit à ses habitants de faire leurs bagages et de partir. Le gouvernement avait décidé de construire un barrage sur la rivière Potomac, qui traversait la ville. Le barrage de la rivière entraînerait l’immersion de la ville.
Alors que les résidents étaient, sans aucun doute, mécontents d’être forcés de déménager, certains d’entre eux étaient également préoccupés par Waffle Rock, que certains d’entre eux ont appelé «Indian Rock». Une partie de la roche a été déplacée par l’USACE pour la sauver du projet de barrage, peut-être grâce à la pression exercée par les résidents de Shaw. Aujourd’hui, Waffle Rock se trouve juste à l’extérieur du centre des visiteurs à West Virginia Overlook, une installation récréative au lac Jennings Randolph. Un autre morceau plus petit de la roche est exposé à l’Institut Smithsonian d’Histoire Naturelle à Washington DC
Qui ou quoi a fait les marques sur le rocher?
En raison de la particularité de la roche, diverses spéculations ont été faites concernant sa formation. Plus tôt, il a été mentionné que Waffle Rock était également connu sous le nom de «Indian Rock». Certains croient que les motifs sur le rocher ont été sculptés par des Amérindiens qui vivaient autrefois dans cette région, soit comme une forme d’art ou d’écriture primitive. Une autre théorie intéressante est que Waffle Rock est en fait l’impression de la peau d’un lézard géant préhistorique qui a autrefois parcouru la région. D’autres ont suggéré que Waffle Rock était le travail d’extraterrestres qui ont visité la terre autrefois dans le passé.
La théorie la plus conventionnelle et rationaliste, cependant, est que Waffle Rock a été formé à la suite de processus géologiques. Selon les géologues, l’histoire de Waffle Rock a commencé il y a environ 250 et 300 millions d’années. Au cours de cette période (connue sous le nom d’orogénèse des Appalaches), les Appalaches étaient en train de se former et le grès qui faisait partie de la roche était comprimé, entraînant des joints ou des fractures.
Au cours des 100 millions d’années qui ont suivi, ces fractures ont commencé à être remplies d’oxyde de fer provenant de la roche environnante et filtré par l’eau de percolation. À la suite de cela, un ciment fort a été formé. Comme cela résistait mieux aux éléments que le grès qui l’entourait, le motif en forme de gaufres fut abandonné lorsque le grès environnant fut enlevé à cause de l’érosion et des intempéries sur une longue période de temps.
MON HYPOTHÈSE PERSONNELLE
Waffle Rock est l’un des derniers vestiges d’une civilisation fort ancienne qui s’est développée a l’époque préhistorique (même avant: dans la primhistoire).
De nombreuses preuves existent a l’effet que les humains auraient côtoyés les dinosaures. ..Mais ces preuves “dérangent” la science officielle et les chercheurs éveillés de la science officieuse sont pourchassés et bannis comme de vulgaires criminels par le pouvoir néolibéral qui ne veut pas être dérangé pendant qu’il vous vide les poches.
Le Nouvel Ordre Mondial a besoin d’esclaves obéissants qui ignorent la vérité! Un peuple idiot qui se dit satisfait de son gouvernement corrompu et mafieux est nécessaire pour un bon contrôle de populations!
Une équipe d’archéologues de l’Université de Shandong annonce la découverte remarquable de restes d’hommes « géants » ayant vécu en Chine il y a près de 5 000 ans.
Les ossements découverts lors de fouilles menées dans le village de Jiaojia, situé dans la province du Shandong dans le sud-est de la Chine, révèlent au moins un individu masculin qui aurait atteint 1,90 m de hauteur, ainsi que d’autres mesurant environ 1,80 m. Si ces tailles pourraient paraître « banales » aujourd’hui, elles sont en revanche exceptionnelles pour l’époque : “Nous avons fait cette conclusion après avoir examiné les ossements”, explique Fang Hui, chef de l’école et d’histoire de l’Université Shandong. “De leur vivant, ces hommes étaient sans aucun doute encore plus grands”.
Pour vous situer, la taille moyenne d’un jeune homme de 18 ans en Chine est d’environ 1,72 m. En Europe il y a 5 000 ans, les hommes mesuraient environ 1,65 m. Selon les chercheurs, de telles tailles pour s’expliquer par l’accès à des sources alimentaires riches dont disposait ce peuple à l’époque. “Les hommes de l’époque cultivaient le millet et élevaient des cochons”, explique M. Fang. “Des os et des dents de cochons ont été retrouvés dans certaines tombes. L’agriculture sans doute était alors sans doute bien développée. Ils disposaient de ressources alimentaires variées et riches et donc forcément, leur physique a changé”. Les ruines où furent exhumés les ossements indiquent également que ce peuple vivait “une vie confortable”, se permettant “des chambres et des cuisines séparées”, selon les archéologues.
La zone des fouilles est censée avoir été le centre politique, économique et culturel du Shandong septentrional d’il y a 5 000 ans. Au total, des ruines de plus de 100 bâtiments, plus de 200 tombes et une vingtaine de fosses sacrificielles y ont déjà été trouvées. Gardons à l’esprit que ces premières découvertes ne sont pour l’heure que préliminaires et n’ont pas encore été examinées par des pairs. Seuls 2 000 mètres carrés ont pour le moment été creusés — soit environ la moitié du terrain destiné à être déterré.
Avec l’utilisation du sonar, l’océanographe Dr. Meyer Verlag a découvert des pyramides sous-marines cristallines géantes à une profondeur de deux mille mètres. L’utilisation d’autres dispositifs a permis aux scientifiques de déterminer que ces géants de verre sont tous deux constitués d’une substance semblable à du cristal, et sont presque trois fois plus gros que la pyramide de Khéops en Egypte.
Le Dr Verlag croit qu’une enquête plus poussée sur les secrets du centre des pyramides de cristal pourrait révéler plus d’informations sur les cas de disparitions mystérieuses associées au Triangle des Bermudes. Dans une conférence de presse tenue aux Bahamas, le scientifique a présenté un rapport avec les coordonnées exactes des pyramides de cristal et a fait remarquer que la technologie utilisée est inconnue de la science moderne. Une étude plus détaillée peut apporter des résultats difficiles à imaginer. Qui sait ce qui sera découvert sur ces anomalies architecturales sous-marines – peut-être quelque chose d’une signification choquante.
Construit sur terre – Perdu pendant le dernier changement de pôle?
Plusieurs érudits occidentaux affirment que la pyramide sur le fond marin peut avoir été initialement faite sur le continent, après quoi un tremblement de terre dévastateur a frappé et changé complètement le paysage. D’autres scientifiques affirment qu’il y a quelques centaines d’années, les eaux de la région du Triangle des Bermudes pourraient constituer l’une des pierres angulaires de la population de l’Atlantide et que les pyramides au fond de la mer pourraient constituer un entrepôt d’approvisionnement.
Une étude plus détaillée au fil du temps donnera des résultats difficiles à imaginer. Les scientifiques ont traité toutes les données et ont conclu que la surface est parfaitement lisse pour ressembler à du verre ou de la glace. La taille des pyramides de cristal est près de trois fois la taille des pyramides de Khéops. Cette nouvelle était sensationnelle et a été discutée lors d’une conférence en Floride et a même été rapportée aux journaux locaux de la Floride. Les journalistes qui y sont présents ont beaucoup d’images et de données informatisées à haute résolution, qui montrent des pyramides tridimensionnelles parfaitement lisses, sans être recouvertes d’une surface exempte de débris ou d’algues ou de fissures.
La découverte de la pyramide met au défi la théorie archéologique actuelle
Une structure gigantesque, initialement identifiée par un médecin dans les années 1960, a récemment été vérifiée de manière indépendante par des équipes de plongée de France et des Etats-Unis.
La découverte a secoué les scientifiques du monde entier. Vont-ils se précipiter pour enquêter? Non, ils sont plus susceptibles de l’ignorer studieusement. Si pressé, ils se positionneront officiellement comme très sceptiques, surtout à la lumière des ramifications potentielles.
La pyramide pourrait confirmer les affirmations de certains ingénieurs selon lesquelles ces pyramides de cristal ont été créées comme sources d’énergie massives , soutenir l’affirmation que l’ancienne cité-état d’Atlantis a existé, ou même fournir des réponses aux événements mystérieux qui ont été enregistrés depuis le 19 Siècle dans la région de l’Atlantique surnommé le Triangle des Bermudes.
Première découverte en 1968
Selon l’histoire, la pyramide a été accidentellement découverte en 1968 par un docteur en naturopathie, Ray Brown de Mesa, en Arizona.
Brown était dans les Caraïbes en vacances et faisait des plongées avec des amis dans une région des Bahamas connue comme “la langue de l’océan”. La région a acquis ce nom parce qu’une partie en forme de langue du fond marin s’étend de l’île avant de chuter dans de plus grandes profondeurs.
En racontant sa découverte, le médecin a expliqué qu’il s’est séparé de ses amis plongeurs sous l’eau. Tout en essayant de les rejoindre, il tomba sur une structure massive émergeant du fond de l’océan: un objet noir et massif se découpant sur l’eau filtrée par le soleil. L’objet avait la forme d’une pyramide.
Parce qu’il était faible sur l’air, il n’a pas passé beaucoup de temps à enquêter sur la pyramide, mais a trouvé une étrange sphère de cristal.
Il l’a amené à la surface avec lui et plus tard, lorsque l’ancien cristal a été étudié, les chercheurs ont été étonnés par ses propriétés.
Propriétés des pyramides de cristal
Certaines théories de l’Atlantide proposent que les pyramides puissantes de la ville de l’île étaient faites de cristal, ou que leurs sommets étaient coiffés d’une substance cristalline.
Une telle chose pourrait-elle générer, stocker et distribuer de l’énergie à la demande? Oui.
Les expérimentateurs ont découvert il y a des décennies que les pyramides de cristal ont tendance à agir d’une certaine manière comme un condensateur électrique naturel et à stocker de l’énergie autour d’elles. Plus la pyramide est grande, plus la capacité de rassembler et de stocker l’énergie est grande. La composition d’une pyramide est également importante. Avoir un en cristal, ou un sommet en cristal pourrait augmenter considérablement sa puissance.
Le cristal a longtemps été connu pour avoir des applications énergétiques et présente des propriétés piézoélectriques naturelles.
La première radio utilisait des cristaux de germanium pour capturer les ondes radio et les convertir en signaux électriques qui pouvaient être traités et diffusés par le biais d’écouteurs en ondes sonores reproduisant la voix humaine, la musique et d’autres sons.
La pyramide, disons les chercheurs, est intrinsèque à la forme de la pyramide. C’est une architecture qui a fait ses preuves en tant qu’accumulateur d’énergie et amplificateur de force énergétique.
Comme pour prouver la véracité des affirmations des enquêteurs, certaines pyramides du monde ont récemment commencé à décharger des faisceaux d’énergie brute dans l’espace.
La ligne de fond? Les pyramides sont des générateurs de puissance intrinsèquement naturels.
Les pyramides et l’effet structurel de la cavité
Barry Carter attire l’attention sur une autre propriété que les pyramides exposent appelée «Cavity Structural Effect» (CSE) par son découvreur, le Dr Viktor S. Grebennikov. Le scientifique a employé le CSE pour construire une plate-forme anti-gravitique rudimentaire.
Viktor S. Grebennikov démontre la plate-forme anti-gravité
Carter explique que “Grebennikov a également affirmé qu’il pouvait sentir les énergies émanant du sommet d’une pyramide:” Vous allez bientôt ramasser une zone active, un “caillot”, où les Egyptiens avaient leurs tombes. Une autre zone active (une “flamme”) au-dessus du sommet de la pyramide est également bien perçue par l’indicateur si vous faites glisser sa fin par-dessus. Le “caillot” et la “flamme” sont bien sentis par le doigt inséré dans la pyramide, ou votre paume s’est déplacée au-dessus après un peu de pratique. L’effet pyramidal, qui a généré de nombreuses histoires effrayantes et mystérieuses au cours des siècles, est l’une des manifestations du CSE. “
Un triangle des Bermudes ‘Death Vortex’
Un autre phénomène mortel Pyramides peut créer: un vortex d’énergie
Outre les anomalies temporelles et spatiales signalées dans le Triangle, certains survivants d’incidents terrifiants ont rapporté que d’énormes vortex tourbillonnants apparaissaient soudainement et disparaissaient.
Il existe des preuves que certains navires disparus ont peut-être disparu à cause de ce phénomène.
Les observations de certaines des pyramides submergées révèlent qu’elles génèrent sporadiquement des tourbillons intenses dans les eaux océaniques qui les entourent. Ces vortex peuvent être causés par une décharge d’énergie interne.
Si ces pyramides submergées déchargent aussi de l’énergie massive à travers leurs sommets, cela pourrait expliquer la formation de vortex mortels à la surface de la mer qui engloutissent des navires entiers avec leurs équipages condamnés.
Les futures expéditions vers ces pyramides mystérieuses peuvent enfin révéler la vérité et révéler une technologie ancienne étonnante.
Malheureusement, l’archéologie en haute mer est très chère et pas bien financée. La plupart des plongées sont des épaves anciennes qui promettent des richesses aux chasseurs de trésors prenant des risques.
Et, bien sûr, les universités du monde ne sont pas particulièrement désireuses d’explorer l’idée que des ruines très anciennes contenant de la haute technologie peuvent exister qui défient pratiquement tous les fondements de leurs théories d’animaux de compagnie.
“Les archéologues et chercheurs sont parvenus à identifier les ruines de plus de 60 000 maisons, palaces, chaussées et même des pyramides”, a rapporté “National Geographic”, jeudi.
La jungle du Guatemala cachait un secret. Des scientifiques ont découvert une vaste cité maya de quelque 2 000 km², a rapporté National Geographic, jeudi 1er février. Ils ont trouvé plus de 60 000 maisons, des palais, des chaussées et des pyramides qui étaient ensevelies depuis des siècles sous la jungle de la région de Petén.
Cette “percée majeure” a été réalisée grâce à une technologie appelée LiDAR (Light detection and ranging, soit détection et télémétrie par ondes lumineuses). Concrètement, pour découvrir ces ruines, les chercheurs ont utilisé des images aériennes et virtuellement effacé la forêt.
“Ces recherches représentent l’aboutissement le plus important de l’archéologie Maya en l’espace d’un siècle”, déclare Thomas Garrison dans un documentaire qui sera diffusé en France, en mars, rapporte Le Parisien / Aujourd’hui en France. De son côté, l’archéologue Francisco Estrada-Belli souligne que ces travaux ont “permis la découverte de villes entières dont nous ignorions jusqu’ici l’existence”.
Sur une colline désert du sud du Pérou, des archéologues allemands et péruviens ont redécouvert un immense géoglyphe en forme d’orque. Vieux d’au moins 2.000 ans, il pourrait être encore plus vieux que les symboles découverts dans la région de Nazca.
Les lignes de Nazca figurent parmi les plus grands mystères archéologiques connus à ce jour. Près de 100 ans après leur découverte au Pérou, l’existence de ces géoglyphes reste l’objet de nombreuses interrogations qui reviennent régulièrement sur le devant de la scène. C’est le cas aujourd’hui avec l’annonce par des scientifiques de la découverte d’un tracé très particulier.
Le géoglyphe en question se trouve sur une colline déserte de la région reculée de Palpa, voisine de la désormais célèbre province de Nazca, dans le sud du Pérou. Long de 70 mètres et large de 25 mètres, le symbole représente un cétacé, plus précisément une orque, selon les conclusions des archéologues. Une représentation qui ne manque pas d’intriguer.
Pourquoi un mammifère marin a-t-il été dessiné en plein désert ? Les spécialistes l’ignorent mais l’orque était semble-t-il considérée comme une créature semi-mythique puissante dans les antiques traditions péruviennes. L’énigme est renforcée par les mystérieux symboles et le trophée représenté aux côtés de l’animal.
Un géoglyphe redécouvert
En réalité, la découverte du géoglyphe ne date pas d’hier. C’est en consultant un catalogue de géoglyphes imprimé dans les années 1970 après une expédition menée au Pérou que les archéologues sont tombés sur la photographie de l’orque. Toutefois, la localisation et sa taille n’étaient pas clairement décrites et le motif semblait avoir été oublié de tous.
L’équipe allemande et péruvienne a alors décidé de retrouver sa trace, d’abord en utilisant Google Earth puis en se rendant directement sur place. “Le trouver n’a pas été facile, parce que [la localisation et la description] étaient incorrectes, j’avais presque perdu espoir“, a confié à LiveScience, Johny Isla, à la tête du ministère de la Culture dans la région d’Ica.
“Mais j’ai étendu la zone de recherche et j’ai fini par le trouver quelques mois plus tard” en 2015, a-t-il poursuivi. Après avoir documenté la découverte, une équipe de spécialistes a été dépêchée sur place pour nettoyer et restaurer le géoglyphe ancien victime de l’érosion et du temps qui passe.
L’un des plus vieux jamais identifiés
Après des mois d’analyses, les archéologues ont confirmé qu’il s’agissait bien d’une orque. Mieux, ils ont pu estimer son âge. Le géoglyphe remonterait à au moins 2.000 ans, ce qui fait de lui l’un des plus vieux découverts dans la province de Palpa où plus de 1.000 tracés ont été identifiés. Il serait même plus ancien que les tracés mis au jour à Nazca.
La manière dont il a été confectionné fournit également de nombreuses informations aux spécialistes. Les contours de l’orque ont été tracés sur le flanc de la colline selon un relief négatif, en retirant une fine couche de pierres. Cette technique est similaire à celle utilisée par le peuple de la culture Nazca pour façonner des géoglyphes.
Néanmoins, les créateurs de l’orque ont également utilisé le relief positif, par exemple pour les yeux, en ajoutant des piles de pierres. D’après les spécialistes, cette technique correspondrait à celle employée par le peuple de la culture Paracas qui a occupé la région de 800 à 200 avant notre ère, soit bien avant la culture Nazca apparue autour de -200.
“C’est peut-être le géoglyphe le plus ancien Nazca“, a expliqué au journal allemand Welt, Markus Reindel, archéologue de la Commission pour l’archéologie des cultures non-européennes (KAAK) et en charge du projet Nazca Palpa. Au total, les géoglyphes de Palpa et Nazca couvrent une surface de 450 kilomètres carrés mais leur but exact demeure un mystère.
Des symboles religieux ?
Les archéologues pensent que ces tracés figuraient essentiellement des symboles religieux et étaient utilisés par de multiples cultures. D’où la variété observée dans les très nombreux géoglyphes découverts, mesurant parfois plusieurs centaines de mètres de long et représentant aussi bien des silhouettes zoomorphiques, anthropomorphiques que des formes géométriques.
Pour en savoir plus, les spécialistes espèrent poursuivre leurs études tout en préservant ces témoignages du passé. Outre l’érosion, les géoglyphes sont en effet sous la menace d’autres facteurs qui pourraient les endommager voire les faire disparaitre. “A Nazca comme à Palpa, l’héritage archéologique et en particulier les géoglyphes, sont menacés par l’urbanisation et le développement de l’agriculture“, a conclu Johny Isla.
Un icosahédron à 20 faces en verre teinté, les caractères sont phéniciens !
Une oeuvre fantastique qui remet tout en question!
Nous sommes devant une grosse énigme, lorsque Platon décrit les cinq éléments solides (380 ACN ) les phéniciens sont sur la fin de leur rayonnement… Or ils mettent en évidence l’élément vital du noyau de la création physique à un époque antérieure qui peut parfaitement se situer jusqu’à 3000 ACN comme les sphères de Towie qui ont été datées sur des éléments connexes permettant la datation… Comme il est impensable qu’à l’âge du bronze récent il puisse y avoir connaissance de cela, il y a nécessairement TRANSMISSION de survivant d’une civilisation disparue…. C’est fabuleux !
Photo de Louis de Jonghe d’Adoye que je remercie et salue pour son oeuvre de recherche!
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