Un simple travailleur de Fukushima qui risque sa vie…chaque jour!
La Commission japonaise de réglementation de l’énergie nucléaire (NRA) va ouvrir une nouvelle enquête sur la catastrophe de Fukushima, a-t-elle annoncé mercredi.
Le séisme et le tsunami de mars 2011 ont entraîné l’explosion et la fusion des trois réacteurs de la centrale ainsi que l’évacuation de 160.000 personnes, dont beaucoup ne sont jamais revenues.
La nouvelle enquête permettra de déterminer où les cuves de confinement des réacteurs laissent échapper des radiations, précise la NRA. Les systèmes de refroidissement installés pour empêcher la surchauffe du combustible entré en fusion seront également examinés.
L’accident d’une gravité sans précédent depuis celui de Tchernobyl en 1986 a entraîné la mise à l’arrêt de tous les réacteurs japonais, qui fournissaient un tiers de l’électricité nationale.
Il a fait l’objet de plusieurs enquêtes, dont l’une a conclu qu’il s’agissait “d’une catastrophe d’origine humaine qui aurait pu et aurait dû être envisagée et évitée, et dont les conséquences auraient pu être atténuées par une réaction plus efficace”.
En 2016, le gouvernement a estimé que le coût total du démantèlement des installations, de la décontamination des zones touchées et des dédommagements s’élèverait à 21.500 milliards de yens (180 milliards d’euros), soit un cinquième du budget annuel du Japon.
Le Japon s’apprête à inonder le Pacifique avec 1 million de tonnes d’eau contaminée par la centrale de Fukushima.
Des millions de tonnes d’eau radioactive sont stocké près de la centrale.
Le gouvernement japonais est pressé par des experts de rejeter progressivement de l’eau radioactive dans l’océan Pacifique … L’eau est stockée sur le site dans environ 900 grands réservoirs complètement remplis et qui pourrait se déverser si une autre catastrophe majeure frappait le site.Le gouvernement a été supplié de donner l’autorisation de relâcher l’eau dans l’océan … Les pêcheurs locaux sont extrêmement hésitants sur cette solution … Fumio Haga, un pêcheur, a déclaré: “Les gens fuiraient le poisson de Fukushima dès que l’eau serait libérée”.
…à perte de vue!
Actuellement, la quantité d’eau radioactive à Fukushima continue de croître de 150 tonnes par jour. Les réacteurs sont irrémédiablement endommagés, et l’eau de refroidissement doit être constamment pompée pour éviter leur surchauffe. Cette eau capte la radioactivité avant de s’échapper des chambres de confinement endommagées et de se rassembler dans les sous-sols … «Notre effort de récupération jusqu’à maintenant s’effondrerait immédiatement si l’eau était libérée», a dit Yuichi Manome, fermier d’Iwaki.
Le vaste chantier de décontamination à Fukushima engendre une énorme quantité de déchets radioactifs. Les autorités en attendent 22 millions de mètres cubes après incinération des déchets organiques. D’ici 2021, 15,2 millions de mètres cubes devraient être entreposés « provisoirement » sur un site de 16 km2qui entoure la centrale accidentée, sur les communes d’Ôkuma et Futaba. En attendant, ces déchets s’entassent un peu partout, parfois à perte de vue.
L’Acronique de Fukushima a publié, il y a un peu plus d’un an, un reportage sur toute la chaîne de gestion de ces déchets, avec des photos et des vidéos. Greenpeace Japon vient de mettre en ligne des images de ces déchets vus du ciel : La première vidéo en japonais est visible sur Youtube, la seconde en allemand est visible ici.
Une note en anglais de Greenpeace fait aussi le point sur les déchets radioactifs.
La décontamination, presque terminée officiellement, sauf dans les zones dites de « retour difficile », ne concerne que les zones habitées qui deviennent des oasis au milieu des montagnes et des forêts qui couvrent 75% du territoire de la province de Fukushima. La décontamination de petites zones dans les territoires les plus contaminés est prévue pour ne pas rayer de la carte deux communes, même si les habitants ne rentreront pas. L’obstination de la reconquête, jusqu’à l’absurde.
Le 30 juin 2016, Tepco reconnaissaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits dans le réacteur 2.
La photo interne du réacteur no 2 qui dérange:la matière en fusion radioactive s’est répandu partout.
Depuis ce temps,Tepco a effectué une recherche en balayage aux muons avec le KEK (High Energy Accelerator Research Organization). Tepco décrit les résultats de cette recherche en disant qu’il est hautement probable que la majeure partie des combustibles nucléaires fondus soient restés au fond du réacteur, à l’intérieur de ses structures. Ils ont aussi détecté une partie des combustibles fondus contre un mur du réacteur. Ceci signifie que le magma a éclaté en plusieurs morceaux, restés en différents endroits.Les scientifiques de Tepco ne précisent pas le pourcentage de combustible fondu qu’ils ont pu détecter. Tepco n’identifie pas non plus les endroits, donc on ne peut être certain que le combustible fondu soit entièrement resté dans l’enceinte pressurisée du réacteur ou en dehors dans l’enceinte de confinement principale.
Donc,il est presqu’impossible de pouvoir dormir tranquille là-dessus car on ignore le développement réel de la situation interne du réacteur no 2 qui,comme on le sait,a atteint un niveau record de radio-activité.
Iori Mochizuri avec son seul compagnon.
*Une information de notre correspondant Iori Mochizuki,à Fukushima. Il était à Yokohama, qui se trouve environ 300 km de la centrale nucléaire de Fukushima lorsque l’événement du 311 a eu lieu. Il a commencé à écrire quand il a été obligé de recueillir des informations pour décider de partir ou non. En ce moment, c’est le seul correspondant de nouvelles au monde sur le sujet de Fukushima qui écrit en anglais en tant que citoyen japonais qui était là le 11/03/2011.
Plusieurs articles sont publiés tous les jours et tous les articles portent sur la situation actuelle du plan de Fukushima, les problèmes de santé en cours chez les Japonais, la situation des médias et les effets globaux, etc. La plupart ne sont pas couverts par les médias partout dans le monde.
Iori Mochizuki doit constamment se méfier des autorités japonaises qui cherchent à le faire taire car il exporte les information à l’extérieur du Japon.
Bronwyn Delacruz, une étudiante de l’école secondaire de Grande Prairie, Alberta, Canada a découvert qu’une variété de fruits de mer, en particulier les algues, sont imprégnées de niveaux élevés de rayonnement. (1) (7) Après cela,elle est devenue préoccupé par le peu d’inspection des aliments sur les étalages canadiens qui devrait effectivement avoir lieu avec notre nourriture, et de découvrir que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a cessé ses tests d’ essai sur les aliments importés (cf: pour évaluer le rayonnement) en 2012.Depuis lors,elle a décidé de mener ses propres tests et ses propres enquêtes.
Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.
Elle a utilisé un compteur Geiger (que d’autres ont fait et ont également trouvé des niveaux élevés de rayonnement) dans le cadre d’un projet de science, qui se affiche à la Foire nationale canadienne .
Certains des échantillons de varech que je ai trouvé était plus élevé que ce que l’Agence internationale de l’énergie atomique établit que la contamination radioactive, qui est de 1450 compte sur une période de 10 minutes. Certains de mes échantillons ont atteint des niveaux comme 1700 ou 1800. (1)
Elle assiste le Composite High School, et elle a testé plus de 300 échantillons individuels d’algues, avec 15 marques exportées du Nouveau-Brunswick, la Colombie-Britannique, la Californie, Washington, la Chine et le Japon. Chaque produit a été acheté dans un magasin d’épicerie Alberta.
Je voulais juste pour voir s’ils ont été contaminé et j’ai trouvé des niveaux de contamination radioactive dans tous les échantillons », dit-elle. «Je suis un peu inquiète que tout cela atterrisse dans nos épiceries. Le niveau du varech était plus élevé que ce qui a été considéré comme dangereux, certains d’entre eux se rapprochait de 1700, 1800 (chiffres) » (7)
Comme la plupart d’entre vous, la lecture de tout cela,vous saurez, lorsqu’il s’agit de catastrophes environnementales, les retombées nucléaires de Fukushima sont parmi les pires qui se sont passé dans l’histoire. Nous parlons d’un incident qui continue de produire plus de 300 à plus de 450 tonnes d’eau contaminée qui contient de l’iode radioactif, le césium et le strontium-89-90 fuite dans l’océan Pacifique sur une base quotidienne, même des années après que l’événement a eu lieu .
Il n’y a pas longtemps, des poissons avec des niveaux mortels de césium radioactif ont été capturés au large de la côte de Fukushima. Plusieurs poissons ici ont montré des niveaux de radioactivité qui ne sont pas sans danger pour la consommation humaine. L’un des échantillons (une dorade noire) pris à 40 kilomètres au sud de la centrale,a été testé à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif, ce qui en fait 124 fois plus mortel que le seuil considéré comme sûr pour la consommation humaine. (3)
La fameuse dorade noie testée à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif.Ce poisson aurait une dose létale 124 fois plus puissance que l’être humain peut supporter.
Mais comme ce rayonnement a atteint l’Amérique du Nord,qu’en est-il des aliments importés? Selon des chercheurs de l’Australie, la France et l’Espagne:
Suite à la catastrophe de Fukushima de Mars 2011, de grandes quantités d’eau contaminés par des radionucléides, y compris du césium-137, ont été libérés dans l’océan Pacifique. Avec une demi-vie de 30,1 années, le Cs-137 a le potentiel de se déplacer sur de grandes distances à l’intérieur de l’océan. Notre recherche suggère que les courants d’eau près de Fukushima vont faire dériver le Cs-137 qui va pénétrer l’océan intérieur et s’étendre aux autres bassins océaniques au cours des deux prochaines décennies et au-delà. (2)
Les scientifiques ont estimé que à partir de 2014 , le panache radioactifs de la catastrophe de Fukushima ,s’échappant de la centrale nucléaire depuis 2011 ,a déjà atteint les côtes de l’Amérique du Nord, malgré que l’alarme au rayonnement atmosphérique avait été détecté sur la côte ouest américaine, quelques jours après l’incident. Les modèles par ordinateur ont tous également identifié que le rayonnement voyagerait à travers les océans du monde pour les années à venir . ( 4 ) ( 5 )
Bien que,”officiellement parlant”, les évaluations gouvernementales venant des ministères de la santé publique ont été faites illustrant que les particules radioactives qui font leur chemin jusqu’aux eaux d’Amérique du Nord auront un effet limité sur la santé humaine, beaucoup de gens ne le croient pas, et le projet de l’école secondaire de Bronwyn semble soulever de nombreuses questions.
Les quantités de rayonnement de fuite sont nocives pour la planète et la santé de toutes les espèces, y compris les humains. Une version majeure de la radioactivité, comme celle de Fukushima, est une préoccupation majeure, avec les inconnues restant autour de nombreux risques pour la santé à long terme tels que le cancer,les mutations animales,etc. (4) (5)
Une étude publiée dans la revue par des pairs au Journal of Pediatrics a constaté que l’iode radioactif de Fukushima a provoqué une augmentation significative de l’hypothyroïdie chez les bébés en Californie. (6) Même si le Japon est de 5000 miles à travers l’océan Pacifique, l’étude a révélé que les niveaux très élevés de rayonnement bêta atmosphériques sur la côte ouest sont directement corrélés avec cette tendance courante chez les nouveau-nés après la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Au cours d’une étude scientifique réalisée au large des côtes australiennes, le chercheur Dave Riggs a fait une découverte surprenante. Après avoir posé une balise sur un requin adulte de 3 mètres, celui-ci a retrouvé quelques mois plus tard l’appareil échoué sur une plage sans plus aucune trace du squale. En examinant la balise de plus près, le chercheur a conclu que le requin avait certainement été avalé tout cru par un monstre marin encore inconnu. Qu’a-t-il bien pu arriver à cette femelle requin que Dave Riggs et son équipe étaient parvenus à étiqueter quelques mois plus tôt dans le cadre d’une expérience scientifique? Après l’avoir relâché dans la nature, ceux-ci ont réalisé avec stupeur que quelques temps plus tard, le grand squale avait disparu au fond même de l’estomac d’un autre prédateur… La disparition mystérieuse d’un requin blanc Au cours d’un grand projet d’étiquetage des requins blancs qui se déroulait en Australie, Dave Riggs et son équipe s’étaient employés à marquer un requin femelle de 3 mètres afin de pouvoir suivre ses pérégrinations au large des côtes. Mais 4 mois plus tard, les scientifiques sont tombés des nues lorsqu’ils ont découvert la balise échouée seule sur une plage, et plus de requin du tout! En examinant d’un peu plus près la pièce contenant des informations sur l’itinéraire du grand blanc, Dave Riggs et ses équipiers ont fait une découverte plutôt troublante. La veille de Noel, le requin se serait dirigé à grande vitesse vers le fond de l’océan à près de 600 mètres de profondeurs où les températures avoisinent les 7 °C. En quelques secondes, la balise aurait ensuite enregistré un brusque changement de température équivalent à 26 degrés Celsius. Pour les chercheurs, pas de doute: le requin avait certainement dû se retrouver avalé dans le ventre d’un animal encore bien plus imposant que lui. Sur la piste d’un squale cannibale ? Car selon Dave Riggs, il ne fait aucun doute qu’un tel écart de températures ne peux s’expliquer que par le fait que le requin de 3 mètres a certainement été avalé tout rond par un autre animal. Reste à savoir lequel? Super-prédateur, squale cannibale? Quel genre de monstre marin le requin marqué par l’équipe de Dave Riggs a-t-il pu rencontrer le jour de sa disparition? Selon les hypothèses avancées, celui-ci aurait pu croiser la route d’une créature capable de mesurer plus de 5 mètres de long et de peser près de 2 tonnes.
LE CANADA DANS TOUT CELA
Delacruz espère également attirer l’attention des législateurs à Ottawa une pétition exhortant le gouvernement fédéral à faire plus de tests de rayonnement sur la nourriture.
L’ACIA déclare en ligne qu’il « continue de surveiller les événements au Japon », mais n’a pas de plans immédiats pour reprendre les tests de rayonnement régulier, notant que « les contrôles japonais sur la vente de produits contaminés restent intacts. »
L’agence a fait des tests approfondis sur une variété d’aliments pour un an et demi après la catastrophe nucléaire au Japon, mais n’a trouvé aucune source de préoccupation à ce moment-là.
« Plus de 200 échantillons d’aliments ont été testés et tous ont été jugés en deçà des niveaux de radioactivité de une action de Santé Canada, » l’ACIA indique dans un affichage Février 2014 son site Web . « À ce titre, l’amélioration des contrôles à l’importation ont été levées et aucun test supplémentaire n’est prévu. »
Donc,nous ,les consommateurs québécois et canadiens,sommes abandonnés à nous-mêmes afin que la loi néolibérale du libre-marché puisse continuer à survivre…avec les profits capitalistes qui vont avec.
Triste société qui ose prétendre respecter le droit,la démocratie,le bonheur,le respect…!Youhou Justin Trudeau sort de tes prières islamiques!
Que pouvons-nous faire à ce propos?
Pour nous ignorer complètement cette situation et nier ce ne est pas la réponse, ce est pourquoi la sensibilisation continue est essentielle pour apporter des changements. Une chose que nous pouvons faire à ce sujet, comme un eefort collectif humain, est de changer la façon dont nous regardons les méthodes de production d’énergie. De toute évidence, nous ne avons pas besoin de réacteurs nucléaires pour bouillir l’eau pour produire de la vapeur afin de pousser une turbine qui produit de l’électricité, il y a de meilleures façons et il est temps de les mettre en œuvre.
Un autre aspect très important est la puissance de la conscience. Un certain nombre d’études scientifiques ont prouvé que la conscience seule a le pouvoir de modifier le monde matériel physique que nous percevons autour de nous (vous pouvez en lire plus à ce sujet ici ), ce qui inclut la guérison par intention. Par la sensibilisation, et vraiment réaliser combien dommageable ces retombées sont néfastes et négatives pour toutes les formes de vie. Il nous faudra une grande quantité d’amour, la prière et l’intention de cicatriser ces blessures dirigées vers nos eaux et la région environnante. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la puissance de la conscience joue un rôle important dans le nettoyage de ce gâchis.
Fukushima est juste une autre occasion pour la race humaine de se réveiller.Il ne nous sera pas donné des possibilités illimitées, mais ces événements nous serviront à ouvrir les yeux sur notre potentiel illimité pour créer quelque chose de nouveau,UNE ÈRE NOUVELLE, et d’exploiter d’une manière qui est plus en harmonie avec la planète et tous les êtres avec qui nous partageons notre petite planète bleue.
Il y a aussi des exemples de scientifiques offrant des solutions. Un de ces exemples proviennent de la Fondation Keshe, et vous pouvez en savoir plus à ce sujet ici .
l’exploitant de la centrale de Fukushima centrale nucléaire a détecté des niveaux de radiation extrêmement élevés à un réacteur endommagé à la centrale de Fukushima au Japon.
Les niveaux de rayonnement qui sont mortels après une brève exposition ont été trouvés à l’intérieur du deuxième réacteur jeudi,le 2 février 2017.
Tokyo Electric Power Company a également trouvé un trou qui a été probablement causé par le combustible nucléaire fondu qui a également été découvert dans le réacteur.
Des niveaux allant jusqu’à 530 Sieverts par heure de rayonnement ont été détectés à l’ intérieur du réacteur inactif 2 au complexe nucléaire de Fukushima Daiichi,la centrale endommagée pendant le tremblement de terre et le tsunami catastrophe de 2011, ce que les médias japonais ont rapporté jeudi citant l’exploitant de la centrale, Tokyo Electric Power Company (TEPCO).
Une dose d’environ 8 Sieverts est considérée comme incurable et fatale.
Un trou de pas moins d’un mètre carré a également été découvert sous la cuve sous pression du réacteur, a expliqué TEPCO . Selon les chercheurs, l’ouverture apparente dans la grille métallique de l’un des trois réacteurs qui avaient fondues en 2011, est censé être avoir été causé par le combustible nucléaire fondu qui est tombé à travers le vaisseau.
L’échafaudage de fer a atteint un point de 1500 degrés de fusion, selon TEPCO , expliquant qu’il y a une possibilité que des débris de carburant soient tombé sur elle et ouvert le trou. De tels débris de carburant ont été découverts sur les équipements au fond de la cuve sous pression juste au-dessus du trou, a-t-on ajouté.
Les derniers résultats ont été libérés après une sonde récente de la caméra à l’intérieur du réacteur, explique TEPCO . À partir de l‘utilisation d’une caméra télécommandée montée sur un long tuyau, les scientifiques ont réussi à obtenir des images de lieux difficiles à atteindre où des matières nucléaires résiduelles sont restées. La substance, elle est tellement toxique que les robots, même fabriqués spécialement pour ce travail et aussi conçus pour sonder les profondeurs sous-marines sous la centrale sont déjà émietté et arrêté en cours de travail.
Cependant, TEPCO envisage toujours de lancer de nouvelles évaluations plus détaillées à la centrale nucléaire endommagée à l’aide de robots automoteurs.
Plus tôt cette semaine, les espoirs pour un nettoyage plus efficace à Fukushima étaient très élevés, tellement que l’exploitant a annoncé qu’une partie des débris responsables d’une grande partie de la contamination radioactive persistante depuis six ans (des combustibles nucléaires résiduels) peut avoir finalement été trouvé.
Hors,il semble que TEPCO soit obligé et forcé de donner l’heure juste et n’aurait plus le choix que de dire la vérité après 6 ans de mensonge de cachotteries et de …détournement de fonds publics.Plus le temps passe et plus la situation devient hors de contrôle.
Il y a plus de 1100 citernes de stockage d’eau radioactive sur le site de Fukushima Daiichi.Une catastrophe écologique majeure se prépare.
L’administration Abe a décidé d’utiliser l’argent des contribuables pour décontaminer les zones dans la préfecture de Fukushima interdite aux personnes en raison de retombées de substances radioactives des effondrements Mars 2011 à Fukushima n ° 1 de la centrale électrique de Tokyo Electric Power. La décision, qui dévie de la politique actuelle que Tepco doit payer pour les efforts de décontamination, reflète une proposition présentée en Août par la coalition au pouvoir du Parti libéral démocratique et du Komeito du Premier ministre Shinzo Abe, mais jamais discuté par le conseil d’experts ou du gouvernement,soit “Le régime politique corrompu du Japon”.
L’ensemble du Site
Le gouvernement peut vouloir justifier le mouvement comme un effort pour aider à accélérer le retour à leurs communautés ville natale de personnes évacuées. Pourtant, il sera difficile pour l’administration de se soustraire à la critique que la mesure est rien, mais un plan de sauvetage financé par les contribuables pour Tepco, qui est responsable de retombées nucléaires qui a touché tant de gens à Fukushima.
En procédant à des travaux de décontamination, l’administration espère lever les ordres d’évacuation dans certaines des ” zones de non-droit” dans environ cinq ans. On espère que ces zones serviront de bases pour les activités visant à promouvoir la reconstruction de la catastrophe nucléaire. Comme première étape, le gouvernement prévoit de mettre de côté 30 milliards ¥ dans le budget fiscal 2017. Jusqu’à présent, aucun travail de nettoyage à grande échelle a été réalisée à l’intérieur de ces zones, qui chevauchent sept municipalités autour de la centrale Tepco.
Il y avait plus de 1,100 réservoirs d’eau irradiée d’entreposés sur le site.
La position du gouvernement est qu’il est sécuritaire pour les personnes évacuées de retourner dans leurs communautés si la dose cumulative annuelle il y a 20 millisieverts (mSv) ou moins, bien que la limite légale autorisée pour les personnes dans des circonstances normales est de 1 mSv. Le millisievert est une mesure de l’absorption du rayonnement par l’organisme humain. En zones interdites, la dose annuelle tops 50 mSv et ne devrait pas tomber en dessous de 20 mSv au cours des cinq prochaines années.
Les retombées radioactives de Fukushima continuent de préoccuper.
Fidèle au principe du pollueur norme payeur, qui a également été appliquée à l’Minamata empoisonnement au mercure catastrophe dans les années 1950 et 60, la loi spéciale pour faire face aux dégâts de la catastrophe de Fukushima stipule que Tepco doit assumer le coût de nettoyage, ainsi que les travaux de décontamination est payé par l’argent des contribuables, l’utilitaire doit plus tard rembourser le gouvernement. Maintenant, le gouvernement prévoit de réviser la loi spéciale sur la décontamination et d’autres lois afin qu’il puisse payer les travaux de décontamination prévue à Fukushima. Pour contrer la critique possible que le régime ne vise qu’à aider Tepco, le gouvernement fait valoir que le travail prévu vise à améliorer l’infrastructure publique dans les zones de non-droit alors évacués peuvent retourner. Cependant, le travail comprendra gratter la terre végétale et l’abattage des arbres, ce qui en fait pas différent que les efforts de décontamination dans d’autres domaines.
On continue de ramasser nombre de déchets douteux.
Pour justifier l’utilisation de l’argent des contribuables, le gouvernement dit aussi que Tepco a versé une indemnité aux personnes évacuées des zones de non-droit sur l’hypothèse selon laquelle ils ne seraient pas en mesure de retourner dans leurs foyers pendant une période prolongée. Ainsi, dans une directive révisée pour la reconstruction de la préfecture de Fukushima, le gouvernement dit qu’il va payer pour la décontamination prévue sans demander le remboursement de Tepco.
Derrière la décision du gouvernement pour l’utilisation de l’argent des contribuables est la dépense exponentielle de décontamination, avec la dernière estimation passant de l’original ¥ 2,500,000,000,000 pour ¥ 4,000,000,000,000, qui ne comprend pas le coût du nettoyage des zones de non-droit. Le gouvernement attend les travaux prévus dans ces zones à coûté environ 300 milliards ¥ sur cinq ans, mais le prix pourrait augmenter si le travail devient prolongée. Et le fardeau des contribuables peut encore augmenter si la portée de la décontamination payé par le gouvernement dans ces domaines est élargi.
À cause de plus de 450 tonnes d’eau irradiée rejetée à la mer,ce sont des millions de poissons morts que nous retrouvons,maintenant,face à la baie de Fukushima et sur les plages japonaises.
Dans un mouvement connexe, le Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie est venu avec une idée de passer une partie du coût de la rémunération de Tepco pour les victimes de la catastrophe de Fukushima sur les consommateurs sous la forme de la hausse des factures d’électricité, le coût total estimé pour le démantèlement la centrale de Fukushima n ° 1 plante, la compensation et la décontamination a gonflé de l’original ¥ 11000000000000 pour ¥ 21500000000000. Ces mouvements non seulement augmenter le fardeau financier des personnes, mais brouillent également la responsabilité de la compagnie d’électricité pour les ravages qu’il a causé. Le gouvernement peut dire que les mesures sont nécessaires pour aider à promouvoir la reconstruction de Fukushima. Mais ils pourraient détourner l’attention du public à partir du principe qu’il est Tepco qui doit payer pour le démantèlement de ses réacteurs, l’indemnisation des victimes et de nettoyage des zones contaminées.
Selon un de mes correspondants…en liberté surveillée au Japon:
Le ministère de l’Environnement du Japon a officiellement décidé,le 30 Juin 2016,de permettre une utilisation limitée des sols contaminés par la radioactivité dans des projets de travaux publics, mais a évité de dévoiler que les estimations (lors d’une réunion à huis clos ) que le sol radioactif doit être surveillé jusqu’à 170 ans.
Le ministère a décidé que le sol pourrait être réutilisé pour des remblais aussi longtemps que la radioactivité du césium qu’il contenait ne dépassait pas 8.000 becquerels par kilogramme. En vertu de la Loi sur la réglementation des matières nucléaires Source, matières nucléaires combustible et des réacteurs, le sol contaminé peut être utilisé librement si le niveau de radioactivité est de 100 becquerels par kilogramme ou moins.
Il est apparu plus tôt que le ministère avait calculé dans une réunion à huis clos que certains sols devraient être surveillé pendant 170 ans – bien au-delà de la durée de vie des remblais.Toutefois, dans la politique de base du ministère,on a simplement déclaré, «La sécurité et les méthodes d’administration seront examinés au cours des processus de vérification à l’avenir.”
Il est prévu que jusqu’à environ 22 millions de mètres cubes de déchets contaminés par des matières radioactives venant de la catastrophe nucléaire de Fukushima vont finir entassés dans une installation de stockage provisoire à cheval sur la frontière entre les villes de Fukushima ,la Prefecture Okuma et Futaba. Le gouvernement central prévoit d’éliminer les déchets pour le bien en dehors de la préfecture par Mars 2045, mais espère réutiliser autant que possible pour réduire la masse énorme des déchets radioactifs.
En vertu de la politique de base du ministère, la réutilisation du sol sera limitée aux travaux publics où l’organisme chargé de l’administration.Donc, il est clairement établi, que la dose de rayonnement à une distance de 1 mètre ne soit pas plus de 0,01 millisieverts par an. Lors de l’utilisation des sols contaminés par un niveau de radioactivité de 8.000 becquerels par kilogramme, il serait placé sous au moins 50 centimètres du sol de couverture, qui seraient alors couverts par du sable et de l’asphalte.
Au cours de la réunion à huis clos, il a été calculé qu’il faudrait 170 ans pour que la radioactivité du sol contaminé puisse diminuer naturellement de 5.000 à 100 becquerels par kilogramme – une durée de vie beaucoup plus longue que la durabilité des monticules de terre, établie à 70 ans.
Des feuilles radioactives
Greenpeace nuclear campaigner Nikki Westwwod samples soil to test for contamination on the outskirts of Fukushima City, 60 km from the stricken Fukushima Daiichi nuclear plant. Greenpeace is working in the area to monitor radioactive contamination of food and soil to estimate the health and safety risks for the local population.
Cinq ansaprès la catastrophenucléaire de Fukushima, au Japon, ettrente ans aprèsla catastrophe deTchernobyl, en Ukraine, unexamen approfondidesétudes scientifiques menéespar Greenpeaceont conclu queles impactsdévastateursde l’environnement, de santé et sociaux continuentet sonttenus de continuerpour les générationsà venir.Pendant ce temps, l’industrie nucléaire etles gouvernements continuent deminimiserles conséquences descatastrophesetlesrisques mortelsassociés auliennucléaire en général.
Plus de 1,100 réservoirs ont été érigé autour de la centrale de Fukushima Daiichi…afin de stocker les énormes quantités d’eau irradiée.
Les militants et lesexpertsde Greenpeace ont égalementeffectué des travauxdechamp de rayonnementpour exposerla criseincessanteau Japon, en plus de la Russie, la Biélorussie et l’Ukraine, tout en soulignant que de grandes masses de populations humainessont encoreetcontinuent d’être exposéesà la contamination radioactive et seseffets néfastes surune base quotidienne.
L’ONGsouligne que lescatastrophesqui ont commencéà lacentrale nucléaire de Tchernobyl(NPP) en 1986 etàla centrale de FukushimaDaiichien 2011ont démontrénon seulement lesterriblesconséquencesinitialesdes accidents nucléaires; ilsnous ont aussilaisséavec des conséquencesà long terme pourla santé humaineet l’environnementqui sont encoreavec nous aujourd’hui etserontavec nouslongtemps aprèsdemain.
Les enfants de la communauté autour de Fukushima sont tous irradiés. Une nouvelle génération de mutants est née.
Greenpeacesouligne quel’industrie nucléaireaimeencadrercesaccidentsen termes de nombreminimisédela mort, maisque la réalité estbeaucoup plus insidieuse. Lesimpactsvont bienau-delà desdizaines de milliersde morts etdes centaines de milliersqui souffrentdes conséquencesde la détérioration de la santé publique, souligneGreenpeace. L’ONGnote que:
1.À la suite d’une catastrophe nucléaire, les gens sont mis sous pression écrasante. Ils doivent évacuer leurs communautés pour éviter les risques de rayonnement. Ils sont déplacés de leurs amis, leurs familles et les communautés pour les années.
2.Malgré toutes les preuves du contraire, l’industrie nucléaire et ses partisans du gouvernement continuent de cacher les menaces de l’énergie nucléaire au public. Le risque réel de l’énergie nucléaire, cependant, est incontournable pour des centaines de milliers de gens de Tchernobyl et des survivants de Fukushima . Malgré l’immense souffrance qui accompagne la perte de votre maison ou de vivre dans un environnement contaminé, l’ampleur et la gravité de ces effets continuent d’être minimisé ou déformé.
3.Ce rapport vise à clarifier la façon dont les gouvernements, les exploitants de réacteurs et les régulateurs nucléaires étaient préparés à faire face non seulement avec les évacuations d’urgence immédiatement après les accidents, mais avec la gestion à long terme des centaines de milliers de personnes déplacées, ainsi qu’avec les communautés contaminées et le danger persistant sur les terres agricoles.
Alors queGreenpeaceutiliseun tonciviliséde transmettrelesconclusionsde sesétudes etenquêtes sur le terrain, l’industrie nucléaireetlesgouvernementscoopèrentavec ellesontloin de cettecivilité.
En 2015 des scientifiques japonais associés à l’Université d’Okayama ont conclu que ils ont détecté un excès de cancer de la thyroïde par échographie chez les enfants et les adolescents dans la préfecture de Fukushima dans les quatre ans de la libération des isotopes radioactifs, il est peu probable d’être expliqué par une poussée de dépistage. Considérant que cancer de la thyroïde est causée par l’iode radioactif et que des centaines d’autres isotopes cancérigènes avec une demi-vie beaucoup plus ont été libérés, il est probable que le cancer de la thyroïde est que la pointe d’un iceberg des augmentations à long terme des cancers. La conclusion des chercheurs Toshihide Tsuda, Akiko Tokinobu, Eiji Yamamoto et Etsuji Suzuki a été publié dans un article du journal Epidemiology. L’article est intitulé “le dépistage du cancer de la thyroïde par échographie chez les résidents âgés de 18 ans et moins à Fukushima, Japon: 2011-2014”. Le gouvernement japonais, cependant, continue de sévir sur les hôpitaux et les médecins qui diagnostiquent des symptômes clairs de la maladie de rayonnement chez les enfants, comme un grand nombre d’enfants d’âge scolaire souffrant de saignements de nez pour ce qu’ils sont – la politique dictée par le gouvernement: “Nosebleeds sont la période normale! “. Les communautés qui ont été évacués pendant l’évacuation boged en 2011 sont contraints de retourner dans les zones fortement contaminées qui auraient été décontaminés. À moins que les familles reviennent à des “zones décontaminées” ils perdent le soutien financier du gouvernement et risque de se retrouver sans emploi, sans-abri, déracinés et sans le sou.
Une rapide évaluation en 2014 avait démontré un risque extrêmement élevé d’un tremblement de terre majeur pour les 30 années à venir.
Alors à quoi peut ressembler une décontamination nucléaire orchestrée par le gouvernement japonais et l’industrie privée du nucléaire? Retirez quelques centimètres de terre végétale dans les villages, dans les rizières, et à partir d’un sujet de 50 – 100 couloir d’un mètre de large le long des routes qui relient les villages. Peu importe que le vent va souffler certaines des substances les plus dangereuses connues de l’humanité vont être de retour. Désolé, mais le plutonium n’a pas appris à lire les écriteaux “Off Limits” . L’eau des collines et des forêts fortement contaminées continue à couler à ces communautés décontaminés. À la fin de 2013, une étude a révélé un taux alarmant de bioaccumulation des isotopes radioactifs dans les forêts dans un rayon de 120 km autour de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi estropiée. Les scientifiques ont mesuré seulement dans le rayon de 120 km, il est donc prudent de conclure que la bioaccumulation a également lieu en dehors de ce rayon. – Désolé, mais les isotopes ne peuvent pas faire la lecture des pancartes “Arrêtez-vous ici». Une autre étude à partir de 2015 a montré que les sapins et autres plantes autour de la centrale nucléaire estropiée ont été frappés par une vague de mutations. La conclusion inévitable est que ces mutations vont faire leur chemin jusqu’à la chaîne alimentaire, et l’Homo sapiens sapiens est au-dessus de celle-ci. En Novembre 2015, l’ancien ambassadeur du Japon en Suisse, Mitshei Murata, a appelé le président du Comité international olympique pour déplacer les Jeux Olympiques 2020 de Tokyo ou d’annuler les jeux sur la situation à la centrale cléaire Fukushima Daiichi paralysée.
La carte japonaise des lieux à risque pour des tremblements de terre majeurs.
Les scientifiquesont mesuréseulementdans un rayonde 120km, il est donc prudent de conclureque labioaccumulationa également lieuen dehors de cerayon. –Désolé,mais les isotopes ne peuvent pas faire la lecture et respecter les panneaux où il est écrit “Arrêtez-vous ici». Une autre étudeà partir de 2015a montré queles sapinset autres plantesautour dela centrale nucléaireestropiéeont été frappés parune vague demutations. La conclusioninévitable est quecesmutationsvontfaire leur chemin jusqu’àla chaîne alimentaire, etl’Homo sapienssapiensestau-dessusde celui-ci. En Novembre2015, l’ancien ambassadeur du Japon enSuisse,MitsuheiMurata, aappelé le présidentdu Comitéinternational olympiquepour déplacer lesJeux Olympiques2020de Tokyooud’annuler lesjeux à cause de la situation à la centrale nucléaire Fukushima Daiichi .
L’avertissement de l’ancien ambassadeur a été largement ignoré. Aussi largement ignoré est le fait que le Siège du gouvernement japonais pour la promotion de la recherche Tremblement de terre a publié une prévision géographique pour les grands tremblements de terre. Le rapport révèle que la probabilité de l’apparition de grands tremblements de terre dévastateurs dans certaines des régions les plus densément peuplées du Japon au cours des 30 prochaines années est de 26% ou plus. Certaines des centrales nucléaires du Japon sont situées dans les zones de plus forte probabilité de tremblements de terre et de risque de tsunami. La terre végétale et d’autres substances contaminées sont transportées par camion vers les dépôts et les incinérateurs à travers le Japon. La pratique a efficacement distribuée la contamination dans tout le pays. Le résultat inévitable sera une augmentation de la prévalence des cancers et d’autres maladies liées à travers le Japon. Il est sûr de suggérer que cette prévalence accrue dans tout le pays fera qu’une augmentation dans les zones «contaminées» semblera plus «normale». Les chiffres ne mentent pas, les gouvernements et l’industrie nucléaire le font continuellement.
La répression des journalistes et des Chercheurs et Diseurs de Vérité au Japon
Donc qu’arrive-t-il aux journalistes fouineurs?
Le parlement japonais a adopté une loi qui rend la publication ou la révélation de l’information «non autorisée» ou à propos de la centrale ,comme une infraction criminelle qui est passible de prison allant jusqu’à dix ans. Mais les curieux (lire les honnêtes) journalistes étaient déjà une espèce menacée avant l’adoption de la législation qui a neutralisé la presse.
La journaliste Mako Oshidori a été mise en garde.
En 2014, le journaliste et comédienne Mako Oshidori était présent lors d’une conférence en Allemagne et la conférence de presse subséquente (enregistrement vidéo). Mako a rapporté qu’elle a découvert un mémo de TEPCO, dans lequel l’opérateur de Fukushima Daiichi (de TEPCO ) ordonne aux fonctionnaires de «couper court aux questions de Mako-chan , de manière appropriée”. Mako Oshidori a été inscrit à l’École des sciences de la vie à Tottori Université Faculté de médecine pendant trois ans. Mako Oshidori a souligné que TEPCO et le gouvernement japonais font un cover-up de la mort des travailleurs de Fukushima et que les agents du gouvernement ont commencé à la suivre autour après qu’elle a commencé à étudier le cover-up.
Le mémo adressé par TEPCO à Mako Oshidori est une preuve des activités criminelles du gouvernement japonais.
Mako a déclaré:
“Je l’ai appris par des chercheurs qui étaient mes amis, ainsi que des représentants du gouvernement. Je vais vous montrer une photo que je secrètement pris de l’agent, de sorte que vous savez quel genre de surveillance que je veux dire. Quand je parlais à quelqu’un, un agent de surveillance de la force publique du gouvernement central sont très proches, en essayant d’espionner la conversation ….
«Je voudrais parler de mon entrevue d’une infirmière qui travaillait à (la) Fukushima Daiichi centrale nucléaire (NPP) après l’accident. .. Elle était infirmière à Fukushima Daiichi en 2012. Elle a quitté son emploi avec TEPCO en 2013, après que je l’ai eu interviewé. …
“A partir de ce moment-là, il y a plusieurs travailleurs de la centrale qui sont morts, mais seulement ceux qui sont morts au travail sont rendus publics. Certains d’entre eux sont morts soudainement tout arrêt de travail, par exemple, au cours du week-end ou dans leur sommeil, mais aucun de leurs décès sont signalés. …
“Non seulement cela, ils ne sont pas inclus dans le nombre de décès des travailleurs. Par exemple, il y a quelques travailleurs qui quittent le travail après beaucoup d’exposition aux rayonnements, tels que 50, 60 à 70 mili Sieverts, et finissent par mourir un mois plus tard, mais aucun de ces décès ne sont signalés, ou inclus dans l’étude sur les décès au travail. Telle est la réalité des travailleurs des centrales nucléaires ».
LA CATASTROPHE DE TCHERNOBYL ABANDONNÉE DEPUIS 2015?
Le feu qui dispersait les isotopes radioactifs dans l’air,près de Tchernobyl,en avril 2015.
Vraiment?Eh bienoui, l’année 2015 était le3o«anniversaire»dela catastrophe de lacentrale nucléaire de Tchernobylen Ukraine, mais en Avril2015, ledragon,crachant toujours le feunucléaire a distribué ses isotopeshautementcancérigèneset toxiquesen Ukraine, la Russie, la Biélorussie, et au-delà,dans l’atmosphère , encore une fois. La libération des isotopes dans l’atmosphère est arrivé quandun feu de forêta éclaté,en 2015,au sein dela zone d’exclusionet despompiers ont luttépendant des semainespour tenter de contenirle feuautant qu’ilspouvaient pour empêcherque le feu ne puisse atteindre une installation de stockagedes déchets nucléaires. Rappelez-vous lesétudes surlabioaccumulationdans les forêtsjaponaises? Le feupropagelesisotopesnouvellement libéréssous le vent. Est-ce queles autoritésukrainiennesmettent en gardeles résidents ,de ne pas rester sous le vent à l’intérieur, au moinspendant ouaprès la pluie? Bien sûr que non, et quand il vientà l’industrie nucléaire, le recordde l’Ukrainedes droits humainsne sont pasincomparablesavec ceux duBelarusvoisinqui,en passant,a commencé à construirede nouveauxréacteurs nucléaires avec “garantie de sécurité”.
En 2001, le citoyen du Belarus,le Dr Yury Bandajevski, pédiatre, a été condamné à huit ans de prison sur le motif qu’il «avait reçu des pots de vin des parents d’élèves”. Toute personne ayant au moins “certains” aperçus de la culture du Belarus et de la culture russe sait que la manière de donner des «cadeaux» est un art très institutionnalisé et sophistiqué qui fait partie du tissu politique et social russe .Particulièrement depuis la prise du pouvoir par le dictateur communiste Staline. Amnesty International, son avocat, (et non moins le Dr Christopher Busby et le Dr Helen Caldicott) ont souligné que son arrestation et l’emprisonnement étaient liés à des rapports et la recherche scientifique qui était critique de la recherche officielle sur les effets de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Bandazhevsky a été libéré sur parole le 5 Août 2005, après une pression internationale considérable d’organisations de défense des droits. Des études menées par Bandazhevsky ont révélé que le nombre de morts résultant de la catastrophe de Tchernobyl doit être mesurée dans les centaines de milliers, et non en quelques milliers, tels que proclamés par les gouvernements de l’Ukraine et de la Biélorussie et approuvé par l’AIEA. Il est à noter que l’AIEA est chargée de “promouvoir l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire» et que toutes les questions de santé liées au nucléaire sont étudiés et évalués par l’AIEA, et non par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Un couple de Perspectives au-delà de l’ Arrogance humaine?
Une partie des déchets nucléaires de faible puissance doit être stocké en toute sécurité pendant des décennies, voire des siècles ,tandis que les déchets de haut niveau, y compris le plutonium et une cohorte d’autres isotopes produits artificiellement parmi les plus meurtrièrs du monde doivent être stockés en toute sécurité loin des dizaines de milliers à des centaines de milliers d’années.
L’industrie nucléaire et les gouvernements qui ont endossé cela , nous prennent pour une bande d’abrutis,NOUS,le peuple. Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul pays dans le monde qui a résolu la question de savoir comment et où stocker les déchets les plus toxiques de la planète:les déchets nucléaires. D’une manière générale, les déchets nucléaires , et les soi-disantes «barres de combustible irradiées” sont stockées dans les centrales nucléaires, transportés par camion autour, conservés dans des réservoirs qui continuent à fuir, balayées sous le tapis, etc … Un spectacle de propagande récente sur Russia Today (RT) a tenter de faire croire aux gens “combien il était amusant de nager dans un lac qui a été créé par une explosion nucléaire souterraine” .. voyez-vous la dérive du système?
Pour vous donner une idée de l’arrogance et / ou de l’ignorance / négligeance criminelle impliquée, posez-vous les questions suivantes:
Jusqu’où peut on remonter le cours de l’histoire dans nos annales? De 5000 – 6000 années? Depuis combien d’années est-ce que des célébrités comme Lao Tseu, Bouddha, Jésus de Nazareth ou le prophète Mohamed sont nés? Quand était-ce la dernière fois que l’hémisphère nord a été couvert par des centaines de mètres de glace? Combien de temps cela va prendre avant que les grandes dunes du désert du Sahara se transforment en lacs et un océan à nouveau – comme cela se produit à intervalles réguliers? Aller le chercher. Et puis demandez-vous où voulez-vous stocker quoi que ce soit en toute sécurité pour quelques centaines de milliers d’années. En tant que membre de la famille de l’Homo sapiens sapiens, la couronne de la création / ou l’évolution, je suis sûr que vous pouvez le comprendre, non? Si ces questions vous faire au courant de ce que nous partageons environ 99% de nos gènes avec l’homme de Neandertal, peut-être qu’il est temps de se lever ,de mettre son pied par terre et d’arrêter de cautionner l’idiotie dans laquelle le Nouvel Ordre Mondial veut nous faire dormir.
Le temps de se réveiller et de se mettre en marche est arrivé,et rien,absolument rien ne pourra arrêter la révolution mondiale des peuples et des nations quand elle sera enclenchée!La désobéissance civile viendra à bout des gouvernements corrompus et l’Ère Nouvelle s’étendra sur la Terre!
Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d’un tsunami ravageait la côte est du Japon, provoquant la mort de milliers de personnes et l’accident nucléaire de Fukushima. L’arrêt de trois réacteurs du site provoqua une réaction en chaîne et le rejet d’une importante quantité de produits radioactifs. L’inertie des autorités japonaises et de l’opérateur du site, la Tepco, eut également de nombreuses conséquences sanitaires. Parmi celles-ci, l’évacuation forcée et parfois arbitraire de la population qui vivait à proximité de la centrale, dans un rayon de vingt kilomètres. Dans sa grande générosité, la Tepco a indemnisé les foyers concernés à hauteur de 8 000 euros…
Une moto abandonnée depuis 2011.
Le 5 septembre dernier, la commune japonaise de Naraha, qui se trouvait à la limite de la zone des vingt kilomètres, est officiellement redevenue habitable. Les anciens habitants (2.694 foyers, 7.368 personnes) avaient jusqu’à présent le droit de revenir pour préparer leur retour, mais pas de se réinstaller totalement. Le cinéaste japonais Sono Sion a montré la vie de ces exilés forcés dans le très beau documentaire «Land of Hope».
Des voitures ,des motos et autres items envahis par la végétation.
Le photographe et cinéaste Arkadiusz Podniesinski s’est rendu dans la zone interdite pour une série extraordinaire. Jeudi, une étude menée par le professeur Toshihide Tsuda démontrait que le nombre de cas de cancer de la thyroïde affectant la population soumise à la radioactivité était 50 fois supérieur à la normale.
Vue aérienne d’un vrai cimetière d’autos … créé en 2011 par le tsunami et l’accident nucléaire qui a suivi.
…mêmes des karts.
…des vélos sous leurs abris rouillent lente
…des étalages recouverts de poussière.
…des magasins ébranlés et laissés à l’abandon .
…comme l’intérieur de multiples épaves de vaisseaux échoués sur la Terre.
…des bureaux immobiles…
…des reliques récentes de notre technologie…
….des écoles sans élèves ni professeurs…
…même un dépôt d’ordinateurs périmés attend dans l’ombre du temps.
Comme vous le voyez,c’est à Fukushima qu’a vraiment commencé la Grande Mort du Monde…Mort de Civilisation et de Vie!
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