Décret-loi du roi Georges V en 1931:Le Québec n’avait pas signé et peut se déclarer « unilatéralement » indépendant du Canada

Le Québec est un pays qui est souverain libre et indépendant depuis le 11 décembre 1931 .Dans toute circonstance ou l’on met son vote dans une urne électorale au Québec,on ne fait que nourrir le mensonge  et la corruption du système politique actuel,au Canada!

Donc,si vous doutez de ce que je viens de vous écrire , allez consulter çe que le ROI GEORGES 5 A FAIT LE 11 DÉCEMBRE 1931, çe document s’appelle le décret du statu de Westminster, et ensuite le Québec n’a jamais signé aucun documents l’engageant envers le Canada donc en bref le Québec est un pays souverain , libre et indépendant qui n’a rien à demander à personne en ce qui concerne son avenir .De plus,il est libre de couper le cordon quand bon lui semblera ,ça fait plus de 50 ans que nous perdons avec ce que M.Chrétien a mit dans la tête de M.Lévesques ,ça fait 88 ans que le Québec ,secrètement,est maintenu dans l’ignorance de la réalité de ses droits constitutionnels!

Comme nous sommes en droit de nous déclarer ouvertement souverain libre et indépendant ,il serait temps de passer a l’action si non  le petit Trudeau actuel  va nous noyer dans une pluralité d’indésirables de toutes acabits…choisis sur le volet,en  autant qu’ils parlent une autre langue que le français!


Statut de Westminster

Statut de Westminster
Première page (1931).

Sur demande et avec le consentement des dominions, le Parlement britannique a adopté le Statut de Westminster le 11 décembre 1931. Cette loi donne aux anciennes colonies du Canada, de Terre-Neuve, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, de l’Afrique du sud et de l’État libre d’Irlande pleins pouvoirs judiciaires, sauf dans les cas où les dominions choisiraient de demeurer subordonnés aux lois britanniques. En leur permettant de passer des lois qui prendront effet à l’extérieur de leur territoire, le statut de Westminster autorise les parlements des dominions à adopter et à appliquer leurs propres politiques étrangères, indépendamment de Londres. Cette clause inclut notamment le droit de déclarer la guerre à une autre nation.

Le Statut de Westminster est une loi britannique qui a été adoptée le 11 décembre 1931. Il s’agit de l’accession quasi définitive du Canada à l’indépendance vis-à-vis de la Grande-Bretagne. Il a promulgué les recommandations du rapport Balfour de 1926, qui avait déclaré que la Grande-Bretagne et ses dominions étaient constitutionnellement « égaux en statut ». Le Statut de Westminster a donné au Canada et aux autres dominions du Commonwealth l’égalité législative avec la Grande-Bretagne. Ils jouissaient ainsi désormais d’une liberté juridique totale, sauf dans les domaines de leur choix. Le statut précisait également les pouvoirs du Parlement canadien et ceux des autres dominions. 

 

Désir d’autonomie

Avant 1931, le gouvernement britannique a certains pouvoirs mal définis sur les lois adoptées par les dominions du Commonwealth (le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud, l’État libre d’Irlande et Terre-Neuve). Il a également une autorité prépondérante sur ces assemblées législatives.

 

Les choses commencent à changer après la Première Guerre mondiale. Les sacrifices du Canada et d’autres dominions sur les champs de bataille européens suscitent en effet un désir accru d’identité nationale et d’autonomie.

 

Le Canada commence à affirmer son indépendance en matière de politique étrangère au début des années 1920. En 1922, le premier ministre William Lyon Mackenzie King refuse d’aider les forces d’occupation britanniques en Turquie sans avoir obtenu au préalable l’approbation du Parlement. (Voir Affaire Chanak.) En 1923, le Canada signe un traité de pêche avec les États-Unis sans la participation des Britanniques. (Voir Traité du flétan.) En 1926, le Canada crée une ambassade à Washington. Vincent Massey en est le premier ministre canadien (ambassadeur). Il devient ainsi le tout premier envoyé diplomatique canadien en poste dans une capitale étrangère.

 

Conférences impériales

La Conférence impériale de 1926 est une étape plus formelle. Elle donne une substance juridique au rapport Balfour du début de cette année-là. Ce rapport déclare que la Grande-Bretagne et ses dominions sont constitutionnellement « égaux en statut ». Le travail de modification du système juridique complexe du Commonwealth se poursuit lors de la Conférence de 1929 sur le fonctionnement de la législation des dominions et de la Conférence impériale de 1930. (Voir aussi Conférences coloniale et impériale.)

 

Changement graduel

Le 11 décembre 1931, le Statut de Westminster est adopté par le Parlement britannique, à la demande et avec le consentement des dominions. Cela permet de clarifier et de cimenter davantage l’indépendance législative des dominions.

 

Cependant, certaines limites subsistent. Les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada n’arrivaient pas à s’entendre sur la manière dont ils allaient modifier l’Acte de l’Amérique du Nord britannique (aujourd’hui appelé Loi constitutionnelle de 1867). En conséquence, le Parlement britannique est invité à conserver le pouvoir de modifier la Constitution du Canada jusqu’à ce que les Canadiens puissent trouver leur propre façon de le faire. Le Parlement britannique conserve le pouvoir de modifier la Constitution jusqu’à l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982. (Voir Rapatriement de la Constitution.)


51 ans plus tard:

Le  Rapatriement de la Constitution

En 1982, le Canada s’émancipe complètement de son passé colonial et rapatrie sa Constitution. En effet, il transfère la loi suprême qui régit le pays, l’Acte de l’Amérique du Nord britannique (renommé Loi constitutionnelle de 1867), de la compétence du Parlement britannique aux gouvernements fédéral et provinciaux du Canada. La Constitution est alors ajustée pour y inclure un nouveau mode de révision et une Charte des droits et libertés. Ces derniers changements sont apportés après 18 mois de débats politiques et juridiques féroces qui ont monopolisé la une des journaux et le programme de tous les gouvernements au pays.


AUTRES ÉVIDENCES

« Les juges auraient dû appliquer une coutume constitutionnelle qui requerrait le consentement unanime des provinces, incluant l’accord du Québec »

 

En ce surlendemain de la commémoration du 40anniversaire du rapatriement de la Constitution du Canada et de l’entrée en vigueur de la Loi constitutionnelle de 1982 – et de sa Charte canadienne des droits et libertés -, il importe à nouveau de rappeler que la Constitution du Canada, rapatriée et modifiée, s’applique au Québec sans le consentement de son gouvernement, de son parlement et de son peuple.  

Ce geste a eu comme conséquence immédiate l’abrogation implicite de plusieurs dispositions de la Charte de la langue française et a autorisé les tribunaux, et en dernier ressort la Cour suprême du Canada, à déclarer nulles et inopérantes des lois adoptées par l’Assemblée nationale du Québec.  

Cette cour, dont la nomination des juges relève du seul gouvernement du Canada, ne s’est d’ailleurs gênée pour priver d’effet durant les 40 dernières années de nombreuses autres dispositions de la Charte de la langue française, ce qu’elle sera sans doute invitée à faire pour les règles de Loi sur la laïcité de l’État. Un juge de la Cour supérieure du Québec a d’ores et déjà invalidé des dispositions de cette loi en invoquant l’article 23 de la Loi constitutionnelle de 1982 relatif aux droits linguistiques de la communauté québécoise d’expression anglaise à l’application duquel le Québec n’a jamais consenti. Comme il n’a pas consenti à ce que toute interprétation de la Charte canadienne doive, en application de son article 27, « concorder avec l’objectif de promouvoir le maintien et la valorisation du patrimoine multiculturel des Canadiens » qui constitue la toile de fond de ce jugement. 

 

« Coup d’état constitutionnel »

 

Même si 40 ans nous séparent désormais coup de force – voire d’un véritable coup d’État – constitutionnel, il ne faut pas garder le silence et rester les bras croisés devant ce geste que les gouvernements et parlements successifs du Québec ont toujours répudié.  

 

C’est la raison pour laquelle j’ai initié avec Frédéric Bastien et Étienne-Alexis Boucher, l’Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples et les indépendances nationales (IRAI), Justice pour le Québec (JQ) et l’Association de défense des droits individuels et collectifs du Québec (ADDICQ), une demande de jugement déclaratoire visant à faire déclarer nuls, invalides et inapplicables, et en particulier à l’endroit du Québec, la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne adoptée par le Parlement du Canada les 2 et 3 décembre 1981, la Loi de 1982 sur le Canada, y compris la Loi constitutionnelle de 1982 ainsi que la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 signée à Ottawa le 17 avril 1982.  

Plusieurs arguments sont formulés pour justifier cette demande, et, à titre principal, celui qui veut que le consentement donné par le Parlement du Royaume-Uni à la suite de l’adresse du Parlement du Canada demandant de rapatriement a été vicié du fait d’une atteinte grave par plusieurs juges de la Cour suprême du Canada à l’indépendance judicaire et la séparation des pouvoirs. Il sera également plaidé que plutôt d’inventer de toutes pièces une convention constitutionnelle n’exigeant qu’un degré appréciable de consentement des provinces et récusant l’existence d’un droit de véto pour le Québec, les juges auraient dû appliquer une coutume constitutionnelle qui requerrait le consentement unanime des provinces, incluant l’accord du Québec. 

 

Violation de droit

 

Un dernier argument veut que le rapatriement et la modification de la Constitution du Canada, sans le consentement du Québec, constituent une violation de droit du peuple québécois à disposer de lui-même. Ainsi, la modification du statut politique, opérée en droit constitutionnel interne par le rapatriement sans le consentement du Québec constitue une violation du droit à l’autodétermination reconnu et garanti au peuple du Québec par la Charte des Nations Unies et les Pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme. 

 

Aux personnes qui, au Canada, ont célébré le rapatriement constitutionnel de 1982, nous répondons aujourd’hui que ce rapatriement était – et est encore et toujours aujourd’hui – inconstitutionnel.   

 

 


CONCLUSION TEMPORAIRE

Je ne saurais trop insister sur l’importance fondamentale de bien renseigner les jeunes générations sur la Vérité  sur le Silence des politiciens québécois actuels qui sont tous corrompus et qui mangent dans la main de François Legault,le petit potentat de la fraude sanitaire du COVID 19.

Il est incroyable de constater comment,en 2023,la démocratie est devenue fragilisée par la venue de cette classe de politiciens néo-libéraux qui osent de plus en plus se coucher dans le même lit que l’extrème-gauche bolchévique .En regardant le sens de la dernière élection qui a reporté François Legault et la CAQ au pouvoir…avec 40% de ceux qui se sont déplacés pour aller voter,la question  sur la légitimité du mode de scrutin hérité de l’ancien régime désuet (d’avant 1867) se pose totalement et remet en doute la validité morale et physique d’aller voter!

J’invite tous ceux et celles qui veulent vraiment changer le monde et qui m’appuient dans ma démarche,de se regrouper autour d’un vaste mouvement Québécois de Désobéissance Civile qui depuis sa naissance regroupe maintenant plus de 1400 membres!

Seule la désobéissance civile du peuple uni  autour d’une volonté génétique à récupérer sa Liberté quitte à mourir au combat s’il le faut,va permettre de réussir là ou toutes les élections manipulées par la pourriture pro-fédéraliste …a échouée!

Ce ne sont pas des mouvements néo-conservateurs qui vont permettre l’indépendance du Québec,mais une unité du peuple avec un objectif commun!

Il nous faut parler aux jeunes hommes et aux jeunes femmes qui sont né après l’infamie trudeauiste du 17 avril 1982 ,de la Vérité et de la Lâcheté des institutions actuelles tout en mentionnant le double-jeu du petit potentat de François Legault!

La Liberté implique la Vérité!

La lutte pour l’indépendance nationale du Québec implique le respect de soi et montrer l’exemple de nos leaders historiques!Aussi,en se battant pour la Justice avec courage contre le gangstérisme des politiciens corrompus au pouvoir: nous vaincrons!

Croire que la lutte pour la Liberté,la Vérité et la Justice puisse être réalisée par l’un ou l’autre des pseudo-partis politiques actuels au Québec,c’est croire encore au Père Noel!

Michel Duchaine,votre humble serviteur prêt à mourir pour la cause de la Liberté!

 

Jean Chrétien…passera à l’histoire comme le pire premier ministre de l’histoire canadienne.Il a à son négatif :le détournement de fortes sommes de l’assurance chômage,la nuit des longs couteaux,le rapatriement de la Constitution canadienne sans le Québec,l’affaire des commandites,etc
Il est le cauchemard de l’identité québécoise et le fossoyeur du droit légitime.

 

1981-los de la Nuit des Longs Couteaux,le premier-ministre René Levesque sera simplement ignoré par les 11 autres politiciens du Canada.Un acte de trahison!

 

 

 


Ici,il est démontré que le Québec a toujours possédé un droit de veto constitutionnel, tant juridique que conventionnel.

 

C A N A D A

COUR SUPÉRIEURE

___________________________

PROVINCE DE QUÉBEC

DISTRICT DE MONTRÉAL

No de dossier :

Justice pour le Québec, association créée en vertu du Code civil du Québec, RLRQ, ch. CCQ-1991 et domiciliée au 4522, avenue Jeanne-d’Arc, Montréal (Québec), H1X 2E3

Et

Frédéric Bastien, domicilié au 4522, avenue Jeanne-d’Arc, Montréal (Québec), H1X 2E3

Et

Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples et les indépendances nationales (IRAI), personne morale sans but lucratif créée en vertu de la Loi sur les compagnies, partie III, RLRQ, ch. C-38 et domiciliée au 612, rue Saint-Jacques, bureau 15 E, Montréal (Québec), H3C 4M8

Et

Daniel Turp, domicilié au 4530, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec), H3Z 1E3

Et

Association de défense des droits individuels et collectifs du Québec (ADDICQ), personne morale sans but lucratif créée en vertu de la Loi sur les compagnies, partie 3, RLRQ, ch. C-38 et domiciliée au 177 4e Rang Ouest, Stoke, (Québec), J0B 3G0

Et

Étienne-Alexis Boucher, domicilié au 177, 4e Rang Ouest, Stoke (Québec), J0B 3G0

Demandeurs

c.

Procureur général du Canada, agissant pour le ministère de la Justice du Canada, dont le domicile est situé au 200, boul. René-Lévesque Ouest, Complexe Guy-Favreau, Tour Est, Montréal, (Québec), H2Z 1X4

Défendeur

2

Et

Procureur général du Québec, agissant pour le ministère de la Justice du Québec, dont le domicile est situé au 1200, route de l’Église, 8e étage, Québec, (Québec), G1V 4M1

Mis-en-cause

DEMANDE EN JUGEMENT DÉCLARATOIRE

(Art. 142 et suiv. C.p.c.)

AU SOUTIEN DE LEUR DEMANDE, LES DEMANDEURS AFFIRMENT CE QUI SUIT :

Par la présente demande, les demandeurs requièrent un jugement déclaratoire visant à déclarer nulles, invalides et inapplicables en droit canadien la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne adoptée par le Parlement du Canada en décembre 1981, la Loi de 1982 sur le Canada y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.-U) et la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982.

I. LES PARTIES

A. LES DEMANDEURS

1. Le demandeur Justice pour Québec est une association, créée en vertu du Code civil du Québec, RLRQ, Ch. CCQ-1991, domiciliée au 4522, Avenue Jeanne-d’Arc, Montréal (Québec), H1X 2E3, tel qu’il appert de la pièce P-1 ;

2. Le demandeur, M. Frédéric Bastien, est un citoyen canadien domicilié au 4522, Avenue Jeanne-D’Arc, Montréal (Québec), H1X 2E3 ;

3. Le demandeur Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples et les indépendances nationales est une personne morale sans but lucratif (IRAI), créée en vertu de la Loi sur les compagnies, partie 3, RLRQ, Ch. C-38, domiciliée au 612, rue Saint-Jacques, Bureau 15 E, Montréal, (Québec), H3C 4M8, tel qu’il appert de la pièce P-2, en liasse ;

4. Le demandeur Daniel Turp, est un citoyen canadien domicilié au 4530, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec), H3Z 1E3 ;

5. Le demandeur Association pour la défense des droits collectifs et individuels du Québec (ADDICQ), est une personne morale sans but lucratif, créée en vertu de la Loi sur les compagnies, partie 3, RLRQ, Ch. C-38, domiciliée au au 177 4e Rang Ouest, Stoke, (Québec), J0B 3G0, tel qu’il appert de la pièce P-3 ;

6. Étienne-Alexis Boucher, domicilié au 177, 4e Rang Ouest, Stoke (Québec), J0B 3G0 ;

3

B. LE DÉFENDEUR

7. Le Procureur général du Canada, domicilié au 200, boul. René-Lévesque Ouest, Complexe Guy-Favreau, Tour Est, Montréal (Québec) H2Z 1X4, représente et agit pour le ministère de la Justice du Canada ;

C. LE MIS-EN-CAUSE

8. Le Procureur général du Québec, domicilié au 1200, route de l’Église, 8e étage, Québec (Québec), G1V 4M1, représente et agit pour le ministère de la Justice du Québec ;

II. LES FAITS

9. Au cours des années 1850 et 1860, des premiers pourparlers ont lieu entre le Parlement du Royaume-Uni et celui des provinces de l’Amérique du Nord britannique afin d’unir ces dernières en une seule et même puissance (Dominion) sous la couronne du Royaume-Uni ;

10. En septembre 1864, les délégués des provinces de l’Amérique du Nord britannique (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Île-du-Prince-Édouard et Canada-Uni) se rencontrent à Charlottetown à l’Île-du-Prince-Édouard afin d’établir les principes d’une éventuelle union entre elles ;

11. En octobre 1864, les délégués des provinces de l’Amérique du Nord britannique (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Île-du-Prince-Édouard, Canada-Uni), ainsi que ceux de Terre-Neuve à titre d’observateurs, se réunissent à Québec et adoptent 72 résolutions qui ont jeté les bases de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique qui sera adopté en 1867 ;

12. En 1865, le Parlement du Royaume-Uni adopte le Colonial Laws Validity Act, 28-29 Vict., ch. 63, (ci-après, le « Colonial Laws Validity Act ») ce qui a permis l’adoption du British America Act, 1867, 30-31 Victoria, ch. 3 (R.-U), (ci-après, la « Loi constitutionnelle de 18671 ») ;

13. Entre mars 1865 et juin 1866, les assemblées législatives du Canada-Uni, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse adoptent les 72 résolutions de la Conférence de Québec, tenue en octobre 1864 ;

14. Au cours de cette période, l’assemblée législative de l’Île-du-Prince-Édouard a, quant à elle, refusé d’adopter les 72 résolutions de la conférence de Québec, tenue en octobre 1864 ;

15. De décembre 1866 à mars 1867, les délégués du Canada-Uni, de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick se réunissent à Londres avec des représentants du gouvernement du Royaume-Uni afin de finaliser la rédaction de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique ;

16. Le 1er juillet 1867, Loi constitutionnelle de 1867 entre en vigueur, son préambule affirmant « que les provinces du Canada, de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick ont exprimé le désir de contracter une Union Fédérale pour ne former qu’une seule et même Puissance (Dominion) sous la couronne du Royaume-Uni de la Grande-Bretagne et d’Irlande, avec une constitution reposant sur les mêmes principes que celle du Royaume-Uni » ;

17. La Loi constitutionnelle de 1867 crée les provinces de l’Ontario et du Québec à partir de ce qui était auparavant la province du Canada-Uni ;

1 Pour des raisons pratiques, les lois constitutionnelles canadiennes sont citées selon leur titre présent à l’Annexe de la Loi constitutionnelle de 1982. Il ne s’agit toutefois pas d’un aveu ou d’une admission quant à la validité de cette dernière.

4

18. De plus, la Loi constitutionnelle de 1867 prévoit un partage des pouvoirs législatifs entre le Parlement du Canada et les législatures provinciales2 ;

19. En outre, la Loi constitutionnelle de 1867 ne contient pas de procédures de modification générale écrite, à l’exception de certaines dispositions précises, pour modifier la Constitution canadienne lorsque les pouvoirs du Parlement canadien et des législatures provinciales sont visés ;

20. Malgré l’absence de procédure générale de modification prévue dans la Loi constitutionnelle de 1867, la Constitution canadienne a tout de même été modifiée à quelques reprises, avant 1982, avec l’accord de l’unanimité des provinces et du Parlement fédéral lorsque les pouvoirs du Parlement canadien et des législatures provinciales étaient visés ;

21. En effet, la Loi constitutionnelle de 1867 a été modifiée avec l’accord unanime des provinces concernées dans les cas suivants (précédents positifs) :

 en 1930, par l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1930, par laquelle les provinces de l’Ouest ont reçu la propriété et le contrôle administratif de leurs ressources naturelles ;

 en 1931, par l’adoption du Statut de Westminster ;

 en 1940, par la création d’un régime national d’assurance-chômage ;

 en 1951, par la création d’un régime de pensions de vieillesse, et ;

 en 1964, par une modification relative au régime de pensions de vieillesse et prestations additionnelles ;

22. Au cours de la même période, huit (8) tentatives de modifications constitutionnelles (précédents négatifs) se sont soldées par un échec en l’absence de l’accord unanime des provinces à leur sujet3 ;

23. Jusqu’en 1982, la Loi constitutionnelle de 1867 prévoyait que le pouvoir de modifier la constitution de la province, à l’exception des dispositions relatives à la charge de lieutenant-gouverneur, est un pouvoir exclusif des législatures provinciales4 ;

24. En 1931, le Parlement du Royaume-Uni adopte le Statut de Westminster, 22 Geo V, ch. 4 (R.-U.), (ci-après, le « Statut de Westminster ») en vertu duquel les Dominions de l’empire britannique acquièrent leur pleine autonomie juridique ;

25. En vertu du Statut de Westminster de 1931, l’entité fédérale canadienne n’a toutefois pas acquis son autonomie juridique au regard du pouvoir de modifier sa constitution lorsque les pouvoirs du Parlement canadien et des législatures provinciales étaient visés5 ;

26. De plus, l’article 7 (3) du Statut de Westminster de 1931 prévoit que « Les pouvoirs conférés par la présente loi au Parlement du Canada et aux législatures des provinces se limitent à l’édiction de lois dont l’objet relève de leurs compétences respectives6 ».

2 À ce sujet, voir notamment pour les pouvoirs du Parlement canadien, l’article 91 de la Loi constitutionnelle de 1867 et pour les pouvoirs des législatures provinciales, l’article 92 de cette loi.

3 Sur la nécessité d’obtenir l’accord unanime des provinces, tant pour les précédents positifs que négatifs, voir le Renvoi de 1981, p. 891 et suiv.

4 À ce propos, voir la Loi constitutionnelle de 1867, art. 92 (1), (abrogé par la Loi constitutionnelle de 1982).

5 À ce sujet, voir le Statut de Westminster de 1931, art. 7.

6 Id., art. 7 (3).

5

27. En 1949, le Parlement du Royaume-Uni adopte l’Acte de l’Amérique du Nord britannique (no 2), 13 Geo VI, ch. 81 (R-U), (ci-après, l’ « Acte de l’Amérique du Nord britannique (no 2) » qui prévoit que le Parlement du Canada peut modifier la Constitution canadienne, sauf en ce qui concerne les matières attribuées exclusivement aux législatures des provinces7 ;

28. En octobre 1980, le gouvernement fédéral dépose au Parlement du Canada le Projet de résolution portant adresse commune à Sa Majesté la Reine concernant la Constitution du Canada afin que le Parlement fédéral puisse rapatrier et modifier unilatéralement la Constitution canadienne ;

29. En réaction, les provinces du Manitoba, de Terre-Neuve et du Québec saisirent leur cour d’appel respectives par procédures de renvoi afin qu’elles se prononcent notamment sur la légalité de la démarche du gouvernement canadien pour rapatrier et modifier la Constitution canadienne sans l’assentiment de toutes les provinces ;

30. La Cour d’appel du Manitoba et celle du Québec indiquèrent notamment, dans le cadre de renvois, que la démarche du gouvernement du Canada était légale tandis que pour la Cour d’appel de Terre-Neuve, qui se prononça également par renvoi, cette démarche était illégale8 ;

31. Le 28 septembre 1981, la Cour suprême du Canada s’est prononcée sur cette question, en appel des renvois des cours d’appel du Manitoba, du Québec et de Terre-Neuve, dans le Renvoi : Résolution pour modifier la Constitution, [1981] 1 R.C.S. 753 (ci-après, le « Renvoi de 1981 ») ;

32. De manière succincte, les juges majoritaires de la Cour suprême énoncent dans le Renvoi de 1981 que :

 le projet de résolution présenté par le gouvernement fédéral en octobre 1980 aurait des effets sur les relations fédérales-provinciales ou sur les pouvoirs et privilèges garantis aux provinces ;

 Que la Loi de 1982 sur le Canada et la Loi constitutionnelle de 1981 (devenue Loi constitutionnelle de 1982) porteront atteinte à l’autorité législative des législatures provinciales en vertu de la constitution canadienne et au statut ou rôle des législatures ou gouvernements provinciaux au sein de la fédération canadienne si elles entrent en vigueur ;

 qu’au point de vue juridique, le consentement des provinces n’est pas constitutionnellement nécessaire pour modifier la Constitution canadienne lorsque cette modification a un effet sur les relations fédérales-provinciales ou altère les pouvoirs, les droits ou les privilèges que la Constitution canadienne accorde ou garantit aux provinces, à leurs législatures ou à leurs gouvernements, et ;

 qu’au point de vue de la convention constitutionnelle, un degré appréciable de consentement provincial, que les politiciens et non les tribunaux doivent fixer, est conventionnellement nécessaire pour modifier la constitution canadienne9 ;

33. Le 5 novembre 1981, les premiers ministres de toutes les provinces, à l’exception du Québec, signent une entente constitutionnelle pour rapatrier et modifier la Constitution canadienne ;

34. En décembre 1981, le Parlement canadien a adopté une résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la Constitution canadienne ;

7 À ce propos, l’Acte de l’Amérique du Nord britannique (no 2) a ajouté l’article 91 (1) à la Loi constitutionnelle de 1867. L’Acte de l’Amérique du Nord britannique (no 2) et l’article 91 (1) de la Loi constitutionnelle de 1867 ont été abrogés par la Loi constitutionnelle de 1982.

8 Reference re Amendments of the Constitution of Canada, 1981 CanLII 3000 (MB CA) ; Reference re Amendments of the Constitution of Canada 1981 CanLII 2638 (NL CA) ; Renvoi : Résolution pour modifier la Constitution, [1981] C.A. 80.

9 Renvoi : Résolution pour modifier la Constitution, [1981] 1 R.C.S. 753.

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35. À ce propos, le 9 décembre 1981, le gouvernement du Québec a saisi la Cour d’appel du Québec, par procédure de renvoi, afin de déterminer si le consentement du Québec était nécessaire, par convention, pour l’adoption par le Parlement du Canada d’une résolution visant à modifier la Constitution canadienne de manière à affecter l’autorité de la législature québécoise et du gouvernement québécois au sein de la Constitution canadienne ;

36. Dans un avis du 7 avril 1982, Cour d’appel du Québec statue que le consentement du Québec n’est pas nécessaire, au point de vue conventionnel, pour l’adoption par le Parlement du Canada d’une résolution visant à modifier la Constitution canadienne10 ;

37. Le 6 décembre 1982, la Cour suprême du Canada s’est prononcée sur cette question, en appel du renvoi de la Cour d’appel du Québec11 ;

38. À cette occasion, la Cour suprême a énoncé, par renvoi, que le Québec n’a pas de droit de veto conventionnel sur les modifications constitutionnelles qui ont un effet sur le pouvoir législatif de la province ;

39. Entretemps, le 29 mars 1982, le Parlement du Royaume-Uni a adopté la Loi de 1982 sur le Canada, 1982, ch. 11, qui contient à son annexe B la Loi constitutionnelle de 198212 ;

40. La Loi de 1982 sur le Canada indique, à son préambule, qu’elle a été adoptée à la demande et avec le consentement du Canada ;

41. De plus, la Loi constitutionnelle de 1982, qui constitue l’Annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada, a enchâssé la Charte canadienne et droits et libertés ainsi qu’une formule de modification de la Constitution canadienne ;

42. La Loi constitutionnelle de 1982 est entrée en vigueur par la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982, rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 ;

43. La Loi constitutionnelle de 1982 prévoit qu’elle est la loi suprême du Canada et qu’elle rend inopérante les dispositions incompatibles de toute autre règle de droit13 ;

44. La Loi constitutionnelle de 1982 s’applique tant au Parlement canadien qu’à toutes les législatures provinciales14 ;

45. À ce jour, la législature du Québec, connue sous le nom de l’Assemblée nationale du Québec, donné son accord à la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne, à la Loi de 1982 sur le Canada y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.-U.) et à la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 ;

10 Renvoi sur l’opposition du Québec à une résolution pour modifier la Constitution, [1982] C.A. 33.

11 Renvoi sur l’opposition du Québec à une résolution pour modifier la Constitution, [1982] 2 R.C.S. 793.

12 Loi constitutionnelle de 1982, constituant l’annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada, 1982, ch. 11 (R.-U.).

13 Loi constitutionnelle de 1982, art. 52 (1).

14 Id., art. 32, 36 et 38 et suiv.

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III. LA POSSIBILITÉ DE CONTESTER LA LOI CONSTITUTIONNELLE DE 1982

46. D’emblée, les tribunaux canadien ont le pouvoir d’exercer le contrôle de la constitutionnalité du droit applicable au Canada ainsi que des actes de la Couronne fédérale et des Couronnes provinciales15 ;

47. De plus, l’adoption d’une loi constitutionnelle doit respecter les procédures de modification en vigueur pour être valide ;

48. En outre, la contestation des lois constitutionnelles est imprescriptible16 ;

49. Qui plus est, tous les justiciables peuvent contester la constitutionnalité d’une loi17 ;

50. De même, la contestation des actes de la Couronne fédérale et des Couronnes provinciales est également imprescriptible18 ;

51. Au surplus, le Renvoi de 1981 et le Renvoi de 1982 n’ont pas l’autorité de la chose jugée puisque les renvois constituent des avis consultatifs par les tribunaux concernés, qui ne sont pas juridiquement contraignants, bien qu’ils soient suivis en pratique19 ;

52. D’ailleurs, la Cour suprême n’est pas liée par ses propres jugements, et ce, sans admission sur le caractère contraignant des renvois prononcés par ce tribunal20 ;

53. Dans le cadre de la présente requête, il n’y a pas non plus d’autorité de la chose jugée puisqu’il n’y a pas d’identité entre les parties par rapport au Renvoi de 1981 et au Renvoi de 1982 et que les questions posées dans la présente demande sont nouvelles ;

IV. LES MANQUEMENTS À LA SÉPARATION DES POUVOIRS ET À L’INDÉPENDANCE DES TRIBUNAUX LORS DU RENVOI DE 1981

54. D’emblée, le principe de l’indépendance judiciaire découlant du préambule de la Loi constitutionnelle de 1867 a la même autorité supralégislative, pour les tribunaux judiciaires, que le dispositif de la Constitution21 ;

55. Ainsi, le principe de la séparation entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire, ainsi que son corollaire, l’indépendance judiciaire, sont donc des principes enchâssés dans la Constitution canadienne ;

56. Or, au moment du Renvoi de 1981, ce principe n’a pas été respecté tel que nous le montrent des documents émanant du Foreign Office britannique ;

15 Voir notamment : Renvoi sur les droits linguistiques au Manitoba, [1985] 1 R.C.S. 721, 745 ; Manitoba Metis Federation Inc. c. Canada (Procureur général), 2013 CSC 14 (CanLII).

16 Renvoi sur les droits linguistiques au Manitoba, Id.

17 Voir notamment : Immeubles Port Louis Ltée c. Lafontaine (Village), [1991] 1 R.C.S. 326, p. 360 ; Canada (Procureur général) c. Borowski, [1981] 2 R.C.S. 575, p. 598 ; Henderson c. Québec (Procureur général), 2007 QCCA 1138 (CanLII), par. 64 et suiv.

18 Manitoba Metis Federation Inc. c. Canada (Procureur général), préc., note 13.

19 Loi sur la Cour suprême du Canada, L.R.C. (1985), art. 53 ; R. c. Bedford, 2013 CSC 72, par. 40.

20 Capital Cities Communications Inc. c. C.R.T.C., 2 R.C.S. 141, p. 161.

21 R. c. Beauregard, [1986] 2 R.C.S. 56 ; Renvoi relatif à la rémunération des juges de la Cour provinciale de l’Île-du-Prince-Édouard, [1997] 3 R.C.S. 3 ; Ocean Port Hotel Ltd. c. Colombie-Britannique (General Manager, Liquor Control and Licensing Branch), [2001] 2 R.C.S. 781 ; Bell Canada c. Association canadienne des employés de téléphone, [2003] 1 R.C.S. 884, p. 899-900.

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57. En effet, dans une dépêche diplomatique, le High Commissioner britannique au Canada, John Ford, précise, le 9 octobre 1980, qu’il a eu une discussion avec le juge de la Cour suprême du Canada, Willard Estey, dans laquelle ce dernier lui a mentionné que le projet de loi joint à l’adresse présentée à la Chambre des communes en octobre 1980 pose des problèmes au regard du droit impérial relatif à l’indépendance des anciennes colonies britanniques et que le juge Willard Estey a également informé du personnel du ministère de la Justice du Canada à ce sujet, tel qu’il appert de la pièce P-4 ;

58. Le 27 mars 1981, le High Commissioner britannique au Canada, John Ford, informe le Foreign Office, dans un télégramme classé confidentiel que le juge en chef de la Cour suprême du Canada a informé le gouvernement du Canada qu’il espère que le Renvoi de la Cour suprême du Canada (Renvoi de 1981) sera transmis avant que la session parlementaire soit terminée au Royaume-Uni, tel qu’il apert de la pièce P-5 ;

59. Dans un document de breffage d’une rencontre du cabinet (conseil exécutif) britannique du 21 mai 1981, il est écrit que les ministres ont des indications à l’effet que la majorité des juges de la Cour suprême sont en faveur de la position du gouvernement du Canada, et ce, alors que le Renvoi de 1981 ne sera rendu public que le 28 septembre suivant, tel qu’il appert de la pièce P-6 ;

60. Le 2 juillet 1981, Robert Armstrong, secrétaire du conseil exécutif britannique, précise dans une note confidentielle, que Michael Pitfield, secrétaire du conseil exécutif canadien, lui a dit qu’il a eu une discussion téléphonique avec le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Bora Laskin, selon laquelle ce dernier retourne au Canada pour aller discuter avec ses collègues de la décision que Cour doit rendre sur la question constitutionnelle et que cette décision pourrait être rendue le 7 juillet suivant, tel qu’il appert de la pièce P-7 ;

61. Le 2 juillet 1981, Lord Carrington, ministre des Affaires étrangères britannique, informe Robert Moran, High Commissioner britannique au Canada, dans un télégramme classé secret que le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Bora Laskin, a discuté la veille avec le Michael Havers, procureur-général britannique, pour l’informer qu’il y a une mésentente importante parmi ses collègues au sujet de la décision que la Cour doit rendre au sujet de la Constitution, qu’il ne faut pas attendre de décision avant la fin du mois d’août et que cette décision doit être rédigée avec soin et traduite dans les deux langues officielles du Canada, tel qu’il appert de la pièce P-8 ;

62. Le 13 juillet 1981, Robert Armstrong, secrétaire du conseil exécutif britannique, écrit, dans un message confidentiel, à Michael Alexander, conseiller politique de Margaret Thatcher, tel qu’il appert de la pièce P-9 ;

63. Dans ce message confidentiel, Robert Armstrong écrit que Bora Laskin, a informé Michael Pitfield, secrétaire du conseil privé canadien, qu’il était rentré à Ottawa pour faire entendre raison à ses collègues (to bang their heads together) dans le cadre de la décision à rendre dans le dossier constitutionnel canadien, tel qu’il appert de la pièce P-9 ;

64. Le 16 juillet 1981, Ian Sinclair, conseiller légal au Foreign Office britannique, informe Martin Berthoud, chef de la diplomatie britannique pour l’Amérique du Nord, dans une correspondance confidentielle, qu’il a discuté la veille avec le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Bora Laskin, du fait que ce dernier était rentré à Ottawa quelques jours auparavant pour faire entendre raison à ses collègues (to try to knock a few heads together) mais que ces derniers sont toujours divisés sur la décision à rendre dans le dossier constitutionnel canadien, tel qu’il appert de la pièce P-10 ;

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65. Le 10 septembre 1981, le High commissioner, Robert Moran, informe le Foreign Office qu’il a eu une discussion la veille avec le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Bora Laskin, et que celui-ci lui a indiqué qu’il allait les informer quelques jours à l’avance de la production du jugement sur la constitution, qu’il ne pouvait pas mettre de la pression sur ses collègues et que la Cour devait produire une traduction française précise du jugement de tout ce qui affecte les droits du Québec, tel qu’il appert de la pièce P-11 ;

66. Dans ce document, Robert Moran écrit que les juges de la Cour suprême du Canada sont toujours divisés en ce qui concerne le jugement sur la constitution, tel qu’il appert de la pièce P-11 ;

V. LE CARACTÈRE JURIDIQUE DE LA PROCÉDURE GÉNÉRALE DE MODIFICATION UTILISÉE ENTRE 1867 et 1982

67. Dans le Renvoi de 1981, les juges majoritaires de la Cour suprême précisent que la procédure générale de modification ainsi que le rapatriement constitutionnel contiennent des éléments juridiques mais également des aspects conventionnels ;

68. Au point de vue juridique, les juges majoritaires se prononcent sur la possibilité, pour le Parlement canadien, de modifier et rapatrier unilatéralement la Constitution canadienne ;

69. Au regard de la nécessité, pour le Parlement fédéral, d’obtenir l’accord de toutes les provinces pour modifier et rapatrier la Constitution canadienne, les juges majoritaires se prononcent au point de vue de la convention constitutionnelle ;

70. Pour les juges majoritaires dans le Renvoi de 1981, les conventions constitutionnelles sont de nature politique, ce qui fait en sorte que les tribunaux ne peuvent sanctionner leur violation22 ;

71. Or, pour les acteurs dans les précédents relatifs à la modification et au rapatriement de la Constitution canadienne, celle-ci ne revêt qu’un caractère juridique et relève des législateurs ;

72. En effet, le 30 septembre 1964, le ministre de la Justice, M. Guy Favreau, déclare à la Chambre des communes du Canada, en réponse à des questions sur la Conférence constitutionnelle de juillet 1964, tenue à Charlottetown, que la modification et le rapatriement de la Constitution canadienne sont une question d’ordre juridique qui intéresse le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux en tant que législateurs, tel qu’il appert de la pièce P-12 ;

73. De plus, dans le Livre blanc de 1965 portant sur la modification de la Constitution du Canada, il est indiqué que la méthode prévue pour modifier la constitution d’un pays est un aspect essentiel du droit qui régit un pays et que la formule de modification est une partie importante de l’acte constitutif d’États fédéraux, tel qu’il appert de la pièce P-13 ;

74. Dans le Renvoi de 1981, les juges majoritaires ont précisé que le Livre blanc de 1965 est l’exposé officiel d’une politique gouvernementale, sous l’autorité du ministre fédéral de la Justice en tant que membre d’un gouvernement responsable devant le Parlement qui n’a été contesté par aucune législature provinciale23 ;

22 Renvoi de 1981, p. 774 et suiv. et p. 882.

23 Renvoi de 1981, p. 900.

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75. Ainsi, les parties visées par la procédure de modification et de rapatriement de la Constitution mise en place avant l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982 convenaient que celle-ci était d’ordre juridique et non conventionnelle ;

76. Les tribunaux sont donc compétents pour se prononcer sur la validité de l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982 au regard de la nécessité, pour le Parlement fédéral, d’obtenir l’accord préalable de la législature de toutes les provinces pour modifier et rapatrier la Constitution canadienne à cette occasion ;

VI. L’ABSENCE DE COMPÉTENCE DU PARLEMENT FÉDÉRAL POUR MODIFIER ET RAPATRIER UNILATÉRALEMENT LA CONSTITUTION

77. Ainsi que nous l’avons mentionné, les juges majoritaires de la Cour suprême du Canada ont énoncé, dans le Renvoi de 1981, que d’un point de vue juridique, le Parlement fédéral pouvait modifier et rapatrier la Constitution canadienne puisque le consentement des provinces n’était pas nécessaire, ce qui est contesté par la présente requête ;

A. L’ATTEINTE AU DROIT À L’AUTONOMIE DU QUÉBEC ET DES PROVINCES

78. Dans le Renvoi de 1981, les juges majoritaires de la Cour suprême du Canada précisent que le projet de modification et de rapatriement constitutionnel porterait atteinte à l’autorité à l’autorité législative des législatures provinciales en vertu de la constitution canadienne et au statut ou rôle des législatures ou des gouvernements provinciaux au sein de la fédération canadienne ;

79. Or, la Loi constitutionnelle de 1867 ne permet pas au Parlement fédéral de porter atteinte aux pouvoirs législatifs exclusifs des législatures provinciales sans leur accord, lequel n’a jamais été donné par la législature du Québec ;

80. De ce fait, la Loi constitutionnelle de 1982 porte atteinte à l’autonomie des provinces, dont le Québec, protégée notamment par l’article 92 de la Loi constitutionnelle de 1867 ;

81. Par ailleurs, la Loi constitutionnelle de 1982 porte atteinte au pouvoir des provinces, dont le Québec, de modifier la constitution de la province prévus à l’article 91 (1) de la Loi constitutionnelle de 1867 ;

82. Au surplus, le Parlement fédéral et les législatures provinciales ne pouvaient modifier et rapatrier la Constitution de manière à porter atteinte à l’autonomie d’une province, protégée notamment par l’article 91 et 92 de la Loi constitutionnelle de 1867, sans son accord préalable ;

83. L’accord unanime préalable des provinces était donc nécessaire pour toute modification constitutionnelle et pour rapatrier la Constitution lorsque les pouvoirs exclusifs du Parlement et de toutes les législatures provinciales étaient concernés ;

B. L’ATTEINTE AU PARTAGE DES POUVOIRS EXCLUSIFS ENTRE LE PARLEMENT ET LES LÉGISLATURES PROVINCIALES

84. D’emblée, l’article 92 (1) de la Loi constitutionnelle de 1867 (abrogé par la Loi constitutionnelle de 1982) précise que le pouvoir de modifier la constitution d’une province est un pouvoir exclusif des législatures provinciales ;

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85. Par ailleurs, l’article 91 (1) de la Loi constitutionnelle de 1867, ajouté en 1949 et abrogé par la Loi constitutionnelle de 1982, précise, quant à lui que le gouvernement fédéral n’est autorisé à modifier la Constitution canadienne que dans les champs de compétence fédéraux ;

86. En 1931, l’article 7 (3) du Statut de Westminster précise que le Parlement canadien et les législatures provinciales ne peuvent édicter des lois que dans leurs compétences respectives ;

87. En 1937, le Comité judiciaire du Conseil privé statue qu’une loi adoptée par le Parlement fédéral, qui affecte les compétences en matière de droits civils dans chaque province, est invalide24 ;

C. L’ATTEINTE AUX POUVOIRS EXCLUSIFS DE LA LÉGISLATURE DU QUÉBEC EN MATIÈRE DE PROPRIÉTÉ ET DROITS CIVILS

88. L’article 94 de la Loi constitutionnelle de 1867 énonce que le gouvernement fédéral n’est autorisé à uniformiser que les lois relatives à la propriété et au droit civil et la procédure dans les tribunaux de l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick, avec leur accord, ce qui exclut les lois en cette matière pour le Québec ;

89. En effet, les pouvoirs de la province de Québec en matière de propriété et de droit civil sont protégés en vertu de l’Acte de Québec de 1774 et de la Loi constitutionnelle de 1867, ce qui fait en sorte que le Parlement canadien ne peut y porter atteinte, ni adopter des lois pour uniformiser les lois relatives à la propriété et au droit civil du Québec, ni passer outre au désaccord que celui-ci a exprimé à l’encontre de la modification et du rapatriement de la Constitution25 ;

90. Dans les faits, la Loi constitutionnelle de 1982 est contraire à l’article 94 de la Loi constitutionnelle de 1867 puisqu’elle porte atteinte, sans son consentement, aux pouvoirs exclusifs de la législature du Québec en matière de propriété et de droit civil en plus d’uniformiser les lois en matière de propriété et de droits civils du Québec avec celles des autres provinces, ce qui n’est pas permis pour le Québec ;

91. Ainsi, au contraire des conclusions énoncées dans le Renvoi de 1982, la législature du Québec possédait donc un droit de veto, au point de vue juridique, en vertu de l’article 94 de la Loi constitutionnelle de 1867 à l’égard de toute modification constitutionnelle qui pourrait affecter ses droits, intérêts et privilèges en matière de propriété et de droits civils ;

D. L’ACCORD UNANIME DES PROVINCES POUR ADHÉRER AU PACTE RELATIF AUX DROITS CIVILS ET POLITIQUES

92. En 1976, le Canada n’a adhéré au Pacte international sur les droits civils et politiques qu’après avoir reçu l’adhésion de toutes les provinces, lesquelles participent à sa mise en oeuvre ;

93. Or, le Pacte international sur les droits civils et politiques prévoit à son article 2 (2) que les États qui sont parties à ce Pacte doivent le faire en conformité avec leurs procédures constitutionnelles26 ;

24 The Attorney-General of Canada v. The Attorney-General of Ontario and Others, [1937] UKPC 7.

25 Acte de Québec de 1774, 14 Geo III, c. 31 (R.-U.) reproduit dans L.R.C. 1985 app. II, no 2 ; Loi constitutionnelle de 1867, art. 92 (13).

26 Nations Unies, Pacte international relatif aux droits civils et politiques, [En ligne] [https://www.ohchr.org/fr/instruments-mechanisms/instruments/international-covenant-civil-and-political-rights] (page consultée le 4 avril 2022).

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94. Ainsi, le fait que le Canada n’a adhéré à ce Pacte qu’après avoir reçu l’approbation de toutes les provinces, alors qu’il devait le faire en conformité avec ses procédures constitutionnelles, montre que l’accord préalable des provinces lorsque leurs compétences exclusives sont visées est nécessaire et fait partie des procédures constitutionnelles de l’entité fédérale canadienne ;

E. L’ABSENCE D’UNE DEMANDE ET DU CONSENTEMENT DU « CANADA »

95. Le sens du mot « Canada », est énoncé dans le préambule de la Loi constitutionnelle de 1867 de cette manière : « Whereas the Provinces of Canada, Nova Scotia, and New Brunswick have expressed the Desire to be federally united into One Dominion under the Crown of the United Kingdom of Great Britain and Ireland, with a constitution similar in Principle to that of United Kingdom » ;

96. L’article 4 de la Loi constitutionnelle de 1867 précise « Unless it is otherwise expressed or implied, the Name Canada shall be taken to mean Canada as constituted under this Act » ;

97. Or, l’article 3 de la même Loi indique que « […] the provinces of Canada, Nova Scotia, and New Brunswick shall form and be One Dominion under the Name of Canada ; and on and after that Day those Three Provinces shall form and be One Dominion under that Name accordingly » ;

98. De même, l’article 5 de cette Loi édicte que : « Canada shall be divided in Four Provinces, named Ontario, Quebec, Nova Scotia, and New Brunswick » ;

99. Au surplus, dès 1904, le Comité judiciaire du Conseil privé précise que le mot « Canada », dans la Constitution canadienne doit être interprété dans un sens large afin de comprendre les provinces et les territoires qui sont présents dans l’entité fédérale27 ;

100. Ainsi, la demande et le consentement nécessaire pour que le Parlement du Royaume-Uni adopte la Loi constitutionnelle de 1982, tel que prévu à l’article 4 du Statut de Westminster de 1931 et dans le préambule du Canada Act, 1982, (R-U), c. 11, devait être donné par le Canada en tant qu’entité fédérale, incluant toutes ses provinces ;

101. D’ailleurs, dans le Livre Blanc de 1965 portant sur la modification de la Constitution canadienne, il est précisé, au regard du troisième principe général qui y est énoncé, que le gouvernement britannique ne doit pas intervenir dans les affaires du Canada, sauf s’il en est requis par le gouvernement fédéral agissant au nom de tout le Canada, tel qu’il appert de la pièce P-13 ;

102. Pour toutes ces raisons, le Parlement fédéral n’a jamais eu, avant l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982, le pouvoir de modifier et rapatrier unilatéralement la Constitution canadienne au point de vue juridique ;

VI. LA NÉCESSITÉ D’OBTENIR L’ACCORD PRÉALABLE DE TOUTES LES PROVINCES POUR MODIFIER ET RAPATRIER LA CONSTITUTION

103. Dans le Renvoi de 1981, les juges majoritaires énoncent qu’au point de vue de la convention constitutionnelle, un degré appréciable de consentement provincial, que les politiciens et non les tribunaux doivent fixer, est nécessaire pour modifier la constitution canadienne ;

27 The Attorney General for the Province of New Brunswick et al. v. The Attorney General for the Dominion of Canada, [1904] UKPC 67.

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104. Pour ce faire, ils abordent le quatrième principe concernant la procédure de modification de la Constitution énoncé dans le Livre blanc de 1965, dans lequel il est énoncé qu’« [i]l n’a pas été facile […] de préciser la nature et l’étendue de la participation provinciale à la procédure de modification28 » ;

105. Ce faisant, ils omettent de discuter du paragraphe suivant portant sur ce principe dans le Livre blanc de 1965 dans lequel toutes les modifications constitutionnelles, qu’elles touchent ou non les pouvoirs exclusifs des législatures provinciales sont abordées sans distinction, ce qui explique pourquoi la nature et l’étendue de la participation provinciale à la procédure de modification ne sont pas faciles à préciser29 ;

106. Toutefois, il est précisé, dans ce paragraphe qu’« [e]n cinq occasions – en 1907, 1940, 1951, 1960 et 1964 – le gouvernement fédéral a consulté toutes les provinces sur des projets de modification intéressant chacune d’elles30 » ;

107. Or, ce sont ces modifications en particulier qu’il faut aborder pour savoir si l’accord unanime des provinces était requis pour modifier la Constitution lorsque leurs pouvoirs exclusifs sont concernés, tel que le prévoit le Renvoi de 198131 ;

108. De plus, comme nous l’avons vu, la procédure de modification constitutionnelle applicable avant l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982 doit être analysée du point de vue juridique et non conventionnel ;

109. À ce propos, la Loi constitutionnelle de 1867, ne permet ni au Parlement fédéral de légiférer dans les champs de compétences des provinces ni aux législatures provinciales de légiférer à l’égard des autres provinces32 ;

110. En conséquence, seule la législature provinciale concernée peut modifier la constitution de sa propre province, ce qui fait en sorte que l’accord préalable du Parlement fédéral et de toutes les législatures provinciales était nécessaire pour modifier et rapatrier la Constitution en 198233 ;

111. De surcroît, les délégués qui ont adopté les 72 résolutions lors de la Conférence de Québec de 1864 et qui se sont prononcés sur la question ainsi que les acteurs fédéraux et provinciaux impliqués dans les précédents pour modifier la Constitution, ont précisé que toutes les provinces devaient donner leur accord préalable avant de s’adresser au Parlement du Royaume-Uni ;

A. LES DÉLÉGUÉS QUI ONT ADOPTÉ LES 72 RÉSOLUTIONS LORS DE LA CONFÉRENCE DE QUÉBEC DE 1864

112. D’emblée, tel que précisé, les 72 résolutions adoptées lors de la conférence de Québec de 1864 ont jeté les bases de la Loi constitutionnelle de 1867 ;

113. Lors des débats parlementaires, dans chaque province (colonie) qui se sont réunies sous une même puissance (Dominion) dans le cadre de la Loi constitutionnelle de 1867, plusieurs délégués présents à la Conférence de Québec de 1864 ont précisé de quelle manière cette dernière loi pourrait être modifiée dans le futur ;

28 Renvoi de 1981, p. 899.

29 Livre blanc de 1965, p. 16.

30 Id.

31 Renvoi de 1981, p. 891 et suiv.

32 Loi constitutionnelle de 1867, art. 91 et 92.

33 Id, art. 92 (1)

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114. D’abord, la 70e résolution adoptée lors de la Conférence de Québec de 1867 prévoit que la sanction du parlement impérial (Royaume-Uni) et celui des parlements locaux (provinces) doit être obtenue pour que ces dernières soient assujetties aux 72 résolutions, ce qui montre la nécessité d’obtenir l’accord de toutes les provinces pour adhérer à la Loi constitutionnelle de 1867, tel qu’il appert de la pièce P-14 ;

115. Par ailleurs, le 3 et le 6 février 1865, John A. McDonald, procureur-général de la section ouest du Canada, mentionne à la législature du Canada-Uni que les 72 résolutions adoptées à la Conférence de Québec de 1864 constituent un traité entre les différentes colonies et qu’on ne peut les modifier à moins d’obtenir l’accord de toutes les autres colonies dont leurs représentants les ont adoptées à l’unanimité, tel qu’il appert de la pièce P-15 ;

116. Le 6 février 1865, John A. McDonald, précise également que les provinces ne peuvent modifier les 72 résolutions adoptées lors de la Conférence de Québec de 1864, tout comme le Royaume-Uni ne peut modifier, sans l’accord de l’Écosse, l’Acte d’Union qui l’unit à cette dernière, tel qu’il appert de la pièce P-15 ;

117. Le 8 février 1865, George Brown, président du Conseil, indique lui aussi à la législature du Canada-Uni que les 72 résolutions constituent un traité entre les différentes colonies et qu’on ne peut les modifier sans l’accord de toutes les autres colonies, tel qu’il appert de la pièce P-16 ;

118. Le 9 février 1865, Thomas d’Arcy McGee, ministre de l’Agriculture, mentionne devant cette même législature que le Parlement impérial a donné l’autorité aux colonies d’Amérique du Nord britannique de conclure un traité afin de s’unir et de se doter d’une loi constitutionnelle, que les 72 résolutions adoptées lors de la Conférence de Québec de 1864 ne peuvent être modifiées sans l’accord des autres colonies et que l’accord unanime de ces dernières et du Parlement impérial est nécessaire pour que ces résolutions soient adoptées, tel qu’il appert de la pièce P-17 ;

119. Le 16 février 1865, Sir Paschal-Étienne Taché, membre du conseil législatif, receveur-général et ministre de la Milice, déclare également devant l’assemblée législative du Canada-Uni que les 72 résolutions constituent un traité en vue de l’union fédérale des colonies de l’Amérique du Nord britannique, tel qu’il appert de la pièce P-18 ;

120. Le 17 février 1865, Alexander Campbell, membre du conseil législatif et ministre des Terres de la Couronne précise devant cette assemblée qu’ils ont le pouvoir de faire une adresse à Sa Majesté pour modifier la Constitution après avoir obtenu le consentement unanime de l’ensemble des colonies de l’Amérique du Nord britannique, tel qu’il appert de la pièce P-19 ;

121. Le 7 mars 1865, George Étienne Cartier, procureur-général de la section est du Canada-Uni, mentionne que le gouvernement du Canada-Uni ne sera lié par la Constitution qu’en autant que les autres parties contractantes l’accepteront, tel qu’il appert de la pièce P-20 ;

122. Le 18 mars 1866, une lettre de M. Edward Caldwell, secrétaire d’État aux colonies du gouvernement britannique, est portée à la connaissance de l’assemblée législative du Nouveau-Brunswick afin de les informer que Sa Majesté est en faveur des 72 résolutions adoptées à la Conférence de Québec de 1864 et que lorsque celles-ci seront adoptées par les législatures provinciales concernées, elles pourront être présentées au Parlement impérial, tel qu’il appert de la pièce P-21 ;

123. Le 6 avril 1866, Charles Tupper, provincial secretary, mentionne à l’assemblée de la Nouvelle-Écosse, que tous les délégués présents lors de la Conférence de Québec de 1864 sont liés par les

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résolutions qui y ont été adoptées et que celles-ci ne deviendront une loi que lorsque toutes les législatures provinciales et le Parlement impérial l’auront approuvées, tel qu’il appert de la pièce P-22 ;

124. Le 26 juin 1866, Albert James Smith, chef de l’opposition, informe l’assemblée législative du Nouveau-Brunswick que M. Edward Caldwell, secrétaire d’État aux colonies du gouvernement britannique, l’a informé qu’aucune modification ne pouvait être apportées aux 72 résolutions adoptées lors de la Conférence de Québec de 1864, tel qu’il appert de la pièce P-23 ;

125. Le 28 juin 1866, Samuel Leonard Tilley, provincial secretary, précise à l’assemblée législative de Nouveau-Brunswick qu’ils ont été élus sur le principe de l’union proposée dans les 72 résolutions adoptées lors de la Conférence de Québec, ce qui fait en sorte qu’elles doivent être adoptées sans délai, tel qu’il appert de la pièce P-24 ;

B. LES ACTEURS DANS LES PRÉCÉDENTS AVANT 1982

126. Par ailleurs, une coutume constitutionnelle, et non une convention constitutionnelle, nécessitant l’accord préalable de toutes les provinces pour modifier la Constitution lorsque leurs pouvoirs étaient touchés s’est mise en place avant 1982 ;

127. Cette coutume constitutionnelle s’applique au point de vue légal, est légalement contraignante et est constituée d’un aspect matériel, soit les précédents, et d’un aspect psychologique parmi les acteurs dans les précédents (l’opinio juris) ;

128. Au regard de l’aspect matériel, les juges majoritaires dans le Renvoi de 1981 conviennent que l’unanimité a toujours été requise pour les modifications constitutionnelles impliquant les pouvoirs législatifs fédéraux et provinciaux34 ;

129. Pour l’aspect psychologique, celui-ci nécessite une pratique et une acceptation générale, et non unanime, des acteurs visés par la coutume35 ;

130. Après l’entrée en vigueur de la Loi constitutionnelle de 1867, les déclarations des membres du gouvernement canadien devant la Chambre des communes montrent sans équivoque que les acteurs dans le précédent se sont crus liés par la règle de l’accord préalable unanime des provinces pour modifier et rapatrier la Constitution ;

131. Le 28 janvier 1907, le premier ministre Wilfrid Laurier déclare, le 28 janvier 1907 que la modification constitutionnelle pour l’adoption d’une nouvelle formule de répartition des subventions financières aux provinces n’a été possible qu’après une conférence avec les provinces au cours de laquelle tous les gouvernements se sont unis pour demander la même chose, tel qu’il appert de la pièce P-25 ;

132. Le 9 mars 1927, le ministre de la Justice, Ernest Lapointe, énonce, lors d’un débat portant sur une motion pour la nomination d’un comité chargé d’examiner l’opportunité de modifier la Constitution, que comme par le passé, on ne peut la modifier sans le consentement de ses signataires ou de leurs successeurs et que la Constitution ne peut être modifiée que par l’accord mutuel des parties au pacte manifesté par les provinces, tel qu’il appert de la pièce P-26 ;

34 Renvoi de 1981, p. 893.

35 À titre d’exemple, voir : Renvoi relatif au plateau continental de Terre-Neuve, [1984], 1 R.C.S. 86, p. 118.

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133. Lors de l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1930, qui modifie la Constitution exclusivement à l’égard des provinces de l’Ouest, le gouvernement fédéral a tout de même consulté les autres provinces et les a impliquées dans le processus de négociation, tel qu’il appert de la pièce P-27 ;

134. Le 31 avril 1931, le premier ministre, Richard Bennett précise que l’article 7 du Statut de Westminster, qui concerne exclusivement l’entité fédérale canadienne, est dans la forme dans laquelle il a été conçu et accepté par toutes les provinces, lors d’une conférence tenue le même mois, et qu’il n’est pas libre d’en changer un iota, avant de le soumettre au Parlement impérial, puisque les conclusions portant sur cet article ont été initialées par les représentants de toutes les provinces, tel qu’il appert de la pièce P-28 ;

135. À ce propos, le Livre blanc de 1965 énonce que lors du débat parlementaire à la Chambre des communes pour adopter le Statut de Westminster de 1931, plusieurs députés soulignèrent que toute méthode de modification qui serait éventuellement adoptée devrait être acceptable au gouvernement fédéral et aux provinces, tel qu’il appert de la pièce p-1436 ;

136. Le 28 janvier 1935, le ministre de la Justice, Hugh Guthrie, déclare, lors du débat sur la proposition de nomination d’un comité spécial pour modifier la Constitution afin de trouver une solution face aux problèmes économiques urgents, que le Parlement adopterait une modification de la Constitution à la demande du Parlement canadien mais que l’accord préalable des provinces est nécessaire puisqu’elles jouissent d’une autorité suprême dans les sujets qui leur ont été attribués par l’article 92 de la Loi constitutionnelle de 1867, tel qu’il appert de la pièce P-29 ;

137. Le 1er avril 1936, le ministre des Finances, Charles Avery Dunning, répond, malgré la situation économique préoccupante que l’accord unanime des provinces est requis pour modifier la Constitution, tel qu’il appert de la pièce P-30 ;

138. Le 31 janvier 1938, le premier ministre William Lyon McKenzie King, précise, lors du discours du trône de la Chambre des communes, que la seule méthode pour la mise en place d’un régime d’assurance-chômage requiert l’accord unanime des provinces, tel qu’il appert de la pièce P-31 ;

139. Le 6 juin 1938, le premier ministre William Lyon McKenzie King précise que l’adoption d’un régime national d’assurance-chômage est impossible faute de coopération des provinces et que le gouvernement fédéral ne peut les contraindre sur cette question, tel qu’il appert de la pièce P-32 ;

140. À ce propos, les juges majoritaires dans le Renvoi de 1981 retiennent plutôt une déclaration du ministre de la Justice, Ernest Lapointe, réalisée le 25 juin 1940, devant la Chambre des communes, selon laquelle ni le premier ministre ni lui n’ont dit que l’accord unanime des provinces était nécessaire mais plutôt qu’il est désirable37 ;

141. Ce faisant, les juges majoritaires dans le Renvoi de 1981 occultent un autre passage de la même allocution du ministre de la Justice, du même jour, à l’effet qu’une adresse n’a pu être envoyée par le Parlement fédéral au Parlement impérial avant ce moment puisque les provinces n’avaient pas donné leur consentement unanime à cette modification constitutionnelle, tel qu’il appert de la pièce P-33 ;

142. De plus, les juges majoritaires dans le Renvoi de 1981 s’attardent également sur un passage d’une déclaration du premier ministre, William Lyon McKenzie King, également réalisée le 25 juin 1940, lors

36 Livre blanc de 1965, p. 19.

37 Renvoi de 1981, page 901-902.

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du même débat devant la Chambre des communes, suivant laquelle la question de l’assentiment unanime des provinces a été évitée et qu’elle pourra se présenter plus tard38 ;

143. Une fois de plus, les juges majoritaires occultent ce que le premier ministre, William Lyon McKenzie King, précise, juste avant, à savoir que l’effet que l’accord unanime des provinces permet d’éviter que la modification constitutionnelle requise pour créer le régime national d’assurance-chômage ne soit contestée devant les tribunaux et ce qu’il mentionne, juste après, à savoir que l’absence d’accord unanime des provinces aurait créé une embûche pour la création du régime d’assurance-chômage, tel qu’il appert de la pièce P-34 ;

144. Le 16 décembre 1949, le premier ministre, Louis-Stephen Saint-Laurent, déclare que la Loi constitutionnelle de 1949 a pu être réalisée sans l’accord des provinces puisqu’elle n’empiète pas sur leurs droits et ceux de leurs assemblées législatifs, notamment au regard des écoles et de l’usage des deux langues officielles, que le Parlement a pris soin d’éviter de toucher aux modifications touchant conjointement les autorités fédérales et provinciales, que si le Parlement adopte une modification constitutionnelle qui touche des droits des provinces et de leurs assemblées législatives, celles-ci, ou tout autre intéressé, pourraient s’adresser aux tribunaux pour y remédier et que le Parlement a pris les seules démarches qu’il pouvait prendre sans l’assentiment des provinces, tel qu’il appert de la pièce P-35 ;

145. Le 28 février 1951, le ministre de la Justice, Stuart Garson, dans une lettre présentée à la Chambre des communes à l’occasion d’un débat concernant la modification de la Constitution au regard des pensions de vieillesse, mentionne aux premiers ministres des provinces qu’il sera peut-être nécessaire de se réunir à nouveau afin d’en venir à une entente générale sur cette question avant de modifier la Constitution, tel qu’il appert de la pièce P-36 ;

146. Le 22 mai 1951, le premier ministre, Louis-Stephen Saint-Laurent précise que le gouvernement fédéral ne s’opposerait pas à une modification constitutionnelle pour l’octroi de pouvoirs en matière de taxation indirecte aux provinces si les gouvernements provinciaux le demandent à l’unanimité, tel qu’il appert de la pièce P-37 ;

147. Le 30 janvier 1956, le premier ministre Louis-Stephen St-Laurent déclare que la modification de la Constitution pour y insérer une charte des droits pour garantir les libertés fondamentales est impossible sans l’accord unanime des provinces en raison du caractère fédératif de la Constitution, tel qu’il appert de la pièce P-38 ;

148. Entre cette déclaration du premier ministre Saint-Laurent et le rapatriement de 1982, aucune modification constitutionnelle n’a été adoptée pour permettre l’insertion d’une charte des droits et libertés dans la Constitution sans l’accord de l’unanimité des provinces ;

149. Le 14 juin 1960, le premier ministre John Diefenbaker mentionne, en lien avec la modification de l’article 99 de la Loi constitutionnelle de 1867 portant sur la durée des fonctions des juges des cours supérieures, que le recours au Parlement de Westminster pour modifier la Constitution, lorsque les pouvoirs des provinces sont impliqués, est nécessaire car leur assentiment et leur accord unanime sont nécessaires pour y parvenir, tel qu’il appert de la pièce P-39 ;

150. À cette même occasion, le chef de l’opposition à la Chambre des communes, Lester B. Pearson, précise qu’aucune procédure de modification constitutionnelle ne sera acceptable si elle ne respecte pas les droits de chaque province et qu’en cette matière, chacune d’entre elles a les mêmes droits que toutes les autres, tel qu’il appert de la pièce P-40 ;

38 Id.

18

151. Le 1er juillet 1960, le premier ministre John Diefenbaker précise que la Déclaration canadienne des droits ne s’appliquera aux domaines de compétence fédérale car il faudrait modifier la Constitution avec l’accord unanime des provinces, en raison de leurs pouvoirs exclusifs en matière de propriété et droits civils, tel qu’il appert de la pièce P-41 ;

152. Le 27 mai 1961, le ministre de la Justice, Edmund Davie Fulton déclare que la procédure de modification connue sous le nom de « formule Fulton » doit être acceptable à tous les gouvernements, les assemblées législatives et le Parlement et dès que ces derniers l’auront approuvée, elle sera mise en oeuvre, tel qu’il appert de la pièce P-42 ;

153. La « formule Fulton » n’a pas été adoptée en l’absence de l’accord unanime des provinces due au retrait du Québec ;

154. Le 20 février 1964, le premier ministre, Lester B. Pearson indique, dans le contexte qui précède immédiatement les négociations constitutionnelles avec les provinces sur l’adoption de la « formule Fulton-Favreau » et des pensions de vieillesse, que l’accord unanime des provinces est nécessaire pour leur adoption en raison de leurs droits, de leurs ressources et de leurs compétences, ce qui est particulièrement vrai pour le Québec, qui forme non seulement une province mais également la mère-patrie des Canadiens-Français, le gardien de leur langue, de leurs traditions et de leur mode de vie, tel qu’il appert de la pièce P-43 ;

155. Le 18 juin 1864, le ministre de Justice Guy Favreau informe la Chambre des communes que la modification constitutionnelle relative aux pensions de vieillesse et aux prestations additionnelles peut être effectuée car toutes les provinces, dont la législature du Québec, y ont donné leur accord, tel qu’il appert de la pièce P-44 ;

156. Le 15 octobre 1964, le ministre de la Justice Guy Favreau précise, au lendemain de la conférence fédérale-provinciale sur la modification de la Constitution, que la « Formule Fulton-Favreau » a été acceptée à l’unanimité par les provinces et qu’elle sera mise en oeuvre après que la requête conjointe du Parlement, qui doit être envoyée au Parlement du Royaume-Uni, sera acceptée par chaque province, tel qu’il appert de la pièce P-45 ;

157. Le 11 mars 1965, le premier ministre Lester B. Pearson dit que le Québec a le même droit de véto que les autres provinces au regard des modifications constitutionnelles qui touchent ses pouvoirs exclusifs, tel qu’il appert de la pièce P-46 ;

158. Le 6 avril 1965, le premier ministre Lester B. Pearson réitère que l’assentiment de toutes les provinces est nécessaire pour l’adoption de toute formule modificatrice de la Constitution, tel qu’il appert de la pièce P-47 ;

159. La « formule Fulton-Favreau » n’a pas été adoptée en l’absence de l’accord unanime des provinces due au retrait du Québec en janvier 1966 ;

160. Le 10 février 1971, le premier ministre Pierre Elliot Trudeau indique au lendemain d’une conférence fédérale-provinciale sur la modification constitutionnelle, tenue à Ottawa, que tous les premiers ministres provinciaux devront avoir l’approbation de leurs cabinets respectifs sur la « formule Turner-Trudeau » avant de se présenter à la Conférence de Victoria au cours du mois de juin suivant, tel qu’il appert de la pièce P-48 ;

19

161. Le 2 juin 1971, le ministre de la Justice, John Turner, informe la Chambre des communes qu’il s’est rendu au Royaume-Uni afin de préparer le rapatriement de la Constitution dont il sera discuté lors de la Conférence de Victoria et qu’il a pu parler avec tous les premiers ministres provinciaux en vue de l’obtention de leur accord unanime au sujet de la réforme de la Constitution envisagée, tel qu’il appert de la pièce P-49 ;

162. Le 23 juin 1971, le premier ministre suppléant et secrétaire d’État aux affaires extérieures, Mitchell Sharp, se prononce sur le retrait du Québec de l’entente intervenue à la conférence de Victoria et indique qu’une nouvelle entente devrait rallier toutes les parties intéressées, tel qu’il appert de la pièce P-50 ;

163. Le 5 février 1976, le premier ministre, Pierre Elliot Trudeau, déclare qu’il espère trouver une formule de modification qui sera acceptable à tous les premiers ministres d’ici la fin de la présente session, tel qu’il appert de la pièce P-51 ;

164. Le 18 mai 1976, le secrétaire d’État aux affaires extérieures, Allan J. MacEachen, indique qu’il peut déposer au siège social des Nations Unies les instruments relatifs au Pacte des droits civils et économiques puisque les provinces lui ont donné leur accord unanime, tel qu’il appert de la pièce P-52 ;

165. Le 12 juin 1978, lors de l’étude du projet de Loi C-60 visant à modifier la Constitution dans les champs de compétence fédéraux, le premier ministre Pierre Elliot Trudeau indique qu’il a l’intention de soumettre un projet charte des droits et libertés constituant un document constitutionnel qui ne pourrait lier que le Parlement fédéral car un tel projet de charte ne peut lier les provinces dans leurs compétences exclusives, tel qu’il appert de la pièce P-53 ;

166. Le 25 janvier 1979, le premier ministre Pierre Elliot Trudeau indique que seules les provinces désirant adhérer au projet de Loi C-60 y seraient liées, tel qu’il appert de la pièce P-54 ;

167. Au cours de l’année 1979, le gouvernement fédéral mentionne, dans le rapport de la Commission de l’unité canadienne, Se retrouver : Observations et recommandations, p. 27, qu’il serait possible de proclamer la nouvelle constitution canadienne si tous les gouvernements du pays abordent cette entreprise avec la volonté d’aboutir, tel qu’il appert de la pièce P-55 ;

168. Le 9 février 1979, le ministre d’État des relations fédérales-provinciales, John Reid, indique que les questions de modifications constitutionnelles abordées lors de la conférence fédérale-provinciale des premiers ministres, tenue à Ottawa, les 5 et 6 février précédents, ont achoppé en raison de la règle de l’unanimité adoptée par les provinces, tel qu’il appert de la pièce P-56 ;

169. Le 2 novembre 1979, le premier ministre Joe Clark, précise que l’accord de toutes les provinces est nécessaire pour modifier la Constitution en matière de compétences sur les ressources marines, tel qu’il appert de la pièce P-57 ;

170. Le 26 novembre 1979, le premier ministre Joe Clark affirme que l’enchâssement d’une charte des droits et libertés dans la Constitution pour protéger les minorités linguistiques ne peut être imposée aux provinces réfractaires en raison du partage des compétences prévu dans la Loi constitutionnelle de 1867, tel qu’il appert de la pièce P-58 ;

171. Le 2 juillet 1980, le premier ministre Pierre Elliot Trudeau précise qu’il a dit à la première ministre du Royaume-Uni, Margaret Thatcher, que le Parlement du Canada et tous les premiers ministres provinciaux s’étaient engagés à renouveler la fédération, tel qu’il appert de la pièce P-59 ;

20

172. Le 12 mai 1981, le secrétaire parlementaire du secrétaire d’État aux Affaires extérieures, Louis Duclos, mentionne, lors du débat sur la résolution du Parlement pour rapatrier et modifier la Constitution, que celle-ci est de légalité très douteuse car elle va à l’encontre de la coutume constitutionnelle de l’unanimité requise pour modifier la Constitution et qu’elle est contraire à l’article 91 (1) de la Loi constitutionnelle de 1867 qui ne permet pas au gouvernement fédéral de modifier les compétences exclusives du Parlement et des législatures provinciales, tel qu’il appert de la pièce P-60 ;

173. De fait, les acteurs dans les précédents ont tous indiqué, avant le rapatriement de 1982, que la nécessité d’obtenir l’accord unanime des provinces pour modifier et rapatrier la Constitution lorsque leurs pouvoirs étaient concernés ;

174. Une coutume constitutionnelle, légalement contraignante, existait donc pour modifier la Constitution canadienne avec l’accord préalable des provinces lorsque leurs pouvoirs étaient concernés puisque la pratique et l’acceptation générale, en non unanime, des acteurs dans les précédents étaient présentes ;

VII. LA VIOLATION DU SERMENT DE SA MAJESTÉ LA REINE DU CANADA

175. Au moment de son couronnement, Sa Majesté la Reine Elizabeth II a, en vertu du Coronation Oath Act, 1689, fait serment de gouverner les peuples du Royaume-Uni et du Canada selon leurs lois et coutumes respectives39 ;

176. Or, les lois et coutumes de l’entité fédérative canadienne existantes, avant l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1982, font en sorte que l’accord unanime des provinces préalable à la modification et au rapatriement de la Constitution était obligatoire ;

177. De ce fait, Sa Majesté la Reine ne pouvait sanctionner le Canada Act, 1982 et la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 car ils ne respectent pas les lois et coutumes en vigueur au Royaume-Uni et au Canada ;

178. Avec respect, la sanction du Canada Act, 1982 et la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 a été réalisée à l’encontre du serment de Sa Majesté la Reine II prononcé lors de son couronnement, ce qui rend ces derniers nuls, invalides et inapplicables ;

VIII. LA VIOLATION DU DROIT DU PEUPLE QUÉBÉCOIS À DISPOSER DE LUI-MÊME

179. Le peuple québécois existe, en fait et en droit ;

180. Qui plus est, le peuple québécois jouit, au Canada d’un statut constitutionnel ;

181. Le peuple québécois étant un peuple en droit, il est donc sujet de droit, titulaire du droit universellement reconnu des peuples à disposer d’eux-mêmes, consacré par la Charte des Nations Unies que le Canada a signée le 26 juin 1945 et ratifiée le 9 novembre 1945 ;

182. Ce droit est également garanti par les Pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme, auxquels le Canada a adhéré, avec l’assentiment du Québec, le 23 mars 1976 ;

39 Coronation Oath Act, 1689, 1688, 1 Will and Mar, Ch. 6.

21

183. Le paragraphe premier de l’article 1er commun aux Pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme dispose que « [t]ous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes » et qu’ « [e]n vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel » ;

184. Le paragraphe trois de ce même article ajoute que « [l]es États parties […] sont tenus de faciliter la réalisation du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et de respecter ce droit, conformément aux dispositions de la Charte des Nations Unies » ;

185. S’agissant des modalités de l’exercice par le peuple québécois de son droit à disposer de lui-même, la Déclaration relative aux principes de droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les États conformément à la charte des Nations Unies (ci-après « Déclaration sur les relations amicales ») prévoit que « [l]a création d’un État souverain et indépendant, la libre association ou l’intégration avec une État indépendant ou l’acquisition de tout autre statut politique librement décidé par un peuple constituent pour ce peuple des moyens d’exercer son droit à disposer de lui-même » (les italiques sont de nous) ;

186. À ce titre, la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne adoptée par le Parlement du Canada en décembre 1981, la Loi de 1982 sur le Canada y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.-U) et la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982, a violé le droit du peuple québécois à disposer de lui-même et a modifié illégalement son statut politique et constitutionnel en droit interne, sans son consentement ;

187. La présente demande est bien fondée en faits et en droit ;

POUR CETTE RAISON, PLAISE AU TRIBUNAL DE :

DÉCLARER nulles, invalides et inapplicables

1) la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne adoptée par le Parlement du Canada en décembre 1981 ;

2) la Loi de 1982 sur le Canada y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.-U) ;

3) la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 ;

SUBSIDIAIREMENT :

DÉCLARER nulle, invalide et inapplicable à l’endroit du Québec

1) la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne adoptée par le Parlement du Canada en décembre 1981 ;

2) nulle, invalide et inapplicable à l’endroit de la législature de la province de Québec la Loi de 1982 sur le Canada y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.-U) ;

3) nulle, invalide et inapplicable à l’endroit de la législature de la province de Québec la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 ;

22

DÉCLARER, AU SURPLUS, QUE

le rapatriement et la modification de la constitution canadienne sans le consentement du Québec, et l’adoption de la Résolution concernant un projet de rapatriement et de modification de la constitution canadienne, la Loi de 1982 sur le Canada, y compris la Loi constitutionnelle de 1982, ch. 11 (R.U.) et la Proclamation de la Loi constitutionnelle de 1982 rendue par lettres patentes signées à Ottawa le 17 avril 1982 constituent une violation de droit du peuple québécois à disposer de lui-même.

Le tout avec frais de justice.

Montréal, le 11 avril 2022

__________________________

Me François Boulianne

François Boulianne Avocat

4635, rue du Golf

Québec, Québec, G2A 3M7

francboul@hotmail.com

418-805-6201

23

AVIS D’ASSIGNATION

(Articles 145 et suivants C.p.c.)

Dépôt d’une demande en justice

Prenez avis que la partie demanderesse a déposé au greffe de la Cour supérieure du district judiciaire de Montréal la présente demande introductive d’instance.

Réponse à cette demande

Vous devez répondre par écrit, personnellement ou par avocat au palais de justice de Montréal situé au 1, rue Notre-Dame Est, Montréal, (Québec), H2Y 1B6 dans les 15 jours de la présente demande ou, si vous n’avez ni domicile, ni résidence, ni établissement au Québec, dans les 30 jours de celle-ci. Cette réponse doit être notifiée à l’avocat du Demandeur ou, si ce dernier n’est pas représenté, au Demandeur lui-même.

Défaut de répondre

Si vous ne répondez pas dans le délai prévu, de 15 ou 30 jours, selon le cas, un jugement par défaut pourra être rendu contre vous sans autre avis dès l’expiration de ce délai et vous pourriez, selon les circonstances, être tenu au paiement des frais de justice.

Contenu de la réponse

Dans votre réponse, vous devez indiquer votre intention, soit :

– de convenir du règlement de l’affaire ;

– de proposer une médiation pour régler le différend ;

– de contester cette demande et, dans le cas requis par le Code, de convenir à cette fin, en coopération avec le demandeur, le protocole qui régira le déroulement de l’instance. Ce protocole devra être déposé au greffe de la Cour du district mentionné plus haut dans les 45 jours de la signification du présent avis ou, en matière familiale, ou, si vous n’avez ni domicile, ni résidence, ni établissement au Québec, dans les trois mois de cette signification ;

– de proposer la tenue d’une conférence de règlement à l’amiable ;

Cette réponse doit inclure vos coordonnées et, si vous êtes représentés par un avocat, le nom de celui-ci et ses coordonnées.

Changement de district judiciaire

Vous pouvez demander au tribunal le renvoi de cette demande introductive d’instance dans le district où est situé votre domicile, ou à défaut, votre résidence ou, le domicile que vous avez élu ou convenu avec le demandeur.

Si la demande porte sur un contrat de travail, de consommation ou d’assurance ou sur l’exercice d’un droit hypothécaire vous servant de résidence principale ou que vous êtes le consommateur, le salarié, l’assuré, le bénéficiaire du contrat d’assurance ou le débiteur hypothécaire, vous pouvez demander ce renvoi dans le district où est situé votre domicile ou votre résidence ou cet immeuble ou encore le lieu du sinistre. Vous présentez cette demande au greffier spécial du district territorialement compétent après l’avoir notifiée aux autres parties et au greffe du tribunal qui en était déjà saisi.

24

Transfert de la demande à la Division des petites créances

Si vous avez la capacité d’agir comme demandeur suivant les règles relatives au recouvrement des petites créances, vous pouvez également communiquer avec le greffier du tribunal pour que cette demande soit traitée selon ces règles. Si vous faites cette demande, les frais de justice du demandeur ne pourront alors excéder le montant des frais prévus par le recouvrement des petites créances.

Convocation à une gestion

Dans les 20 jours suivants, le dépôt du protocole mentionné plus haut, le tribunal pourra vous convoquer à une conférence de gestion en vue d’assurer le bon déroulement de l’instance. À défaut, ce protocole sera présumé accepté.

Pièces au soutien de la demande

Pièce P-1

Déclaration d’immatriculation de Justice pour le Québec

Pièce P-2

Statuts et déclaration d’immatriculation de l’IRAI

Pièce P-3

Déclaration d’immatriculation de l’ADDICQ

Pièce P-4

Correspondance de John Ford, High Commissioner, au Foreign Office britannique, Documents du Foreign Office britannique, 9 octobre 1980

Pièce P-5

Correspondance de John Ford, High Commissioner, au Foreign Office britannique, Documents du Foreign Office britannique, 27 mars 1981

Pièce P-6

Document de breffage du cabinet (conseil exécutif) britannique, Documents du Foreign Office britannique, 21 mai 1981

Pièce P-7

Note confidentielle de Robert Armstrong au Foreign Office britannique, Documents du Foreign Office britannique, 2 juillet 1981

Pièce P-8

Télégramme de Lord Carrington à Robert Moran, Documents du Foreign Office britannique, 2 juillet 1981

Pièce P-9

Correspondance de Robert Armstrong à Michael Alexander, Documents du Foreign Office britannique, 13 juillet 1981

Pièce P-10

Correspondance d’Ian Sinclair à Martin Berthoud, Documents du Foreign Office britannique, 16 juillet 1981

Pièce P-11

Correspondance de Robert Moran au Foreign Office britannique, Documents du Foreign Office britannique, 10 septembre 1981

Pièce P-12

Déclaration de Guy Favreau à la Chambre des communes, 30 septembre 1964

Pièce P-13

Guy Favreau, Livre blanc sur la modification de la Constitution au Canada, février 1965

Pièce P-14

72 résolutions adoptées à la Conférence de Québec de 1864, reproduits dans les débats parlementaires de la législature du Canada, 13 mars 1865

Pièce P-15

Déclarations de John A. MacDonald à la législature du Canada, 3 et 6 février 1865

Pièce P-16

Déclaration de George Brown à la législature du Canada, 8 février 1865

Pièce P-17

Déclaration de Thomas d’Arcy McGee à la législature du Canada, 8 février 1865

Pièce P-18

Déclaration de Sir Paschal-Étienne Taché à la législature du Canada, 16 février 1865

Pièce P-19

Déclaration d’Alexander Campbell à la législature du Canada, 19 février 1865

Pièce P-20

Déclaration de George Étienne Cartier à la législature du Canada, 7 mars 1865

Pièce P-21

Correspondance de M. Edward Caldwell, datée du 18 mars 1866, déposée à la législature du Nouveau-Brunswick

Pièce P-22

Déclaration de Charles Tupper à la législature de Nouvelle-Écosse, 6 avril 1866

Pièce P-23

Déclaration d’Albert James Smith à la législature du Nouveau-Brunswick, 26 juin 1866

Pièce P-24

Déclaration de Samuel Leonard Tilley à la législature du Nouveau-Brunswick, 28 juin 1866

25

Pièce P-25

Déclaration de Wilfrid Laurier à la Chambre des communes, 28 janvier 1907

Pièce P-26

Déclaration d’Ernest Lapointe à la Chambre des communes, 9 mars 1927

Pièce P-27

Extrait des débats de la Chambre des communes lors de l’adoption de la Loi constitutionnelle de 1930

Pièce P-28

Déclaration de Richard Bennett à la Chambre des communes, 31 avril 1931

Pièce P-29

Déclaration de Hugh Guthrie à la Chambre des communes, 28 janvier 1935

Pièce P-30

Déclaration de Charles Avery Dunning à la Chambre des communes, 1er avril 1936

Pièce P-31

Déclaration de William Lyon McKenzie King à la Chambre des communes, 31 janvier 1938

Pièce P-32

Déclaration de William Lyon McKenzie King à la Chambre des communes, 6 juin 1938

Pièce P-33

Déclaration d’Ernest Lapointe à la Chambre des communes, 25 juin 1940

Pièce P-34

Déclaration de William Lyon McKenzie King à la Chambre des communes, 25 juin 1940

Pièce P-35

Déclaration de Louis-Stephen Saint-Laurent à la Chambre des communes, 16 décembre 1949

Pièce P-36

Déclaration de Stuart Garson à la Chambre des communes, 28 février 1951

Pièce P-37

Déclaration de Louis-Stephen Saint-Laurent à la Chambre des communes, 22 mai 1951

Pièce P-38

Déclaration de Louis-Stephen Saint-Laurent à la Chambre des communes, 30 janvier 1956

Pièce P-39

Déclaration de John Diefenbaker à la Chambre des communes, 14 juin 1960

Pièce P-40

Déclaration de Lester B. Pearson à la Chambre des communes, 14 juin 1960

Pièce P-41

Déclaration de John Diefenbaker à la Chambre des communes, 1er juillet 1960

Pièce P-42

Déclaration d’Edmund Davie Fulton à la Chambre des communes, 27 mai 1960

Pièce P-43

Déclaration de Lester B. Pearson à la Chambre des communes, 20 février 1964

Pièce P-44

Déclaration de Guy Favreau à la Chambre des communes, 18 juin 1964

Pièce P-45

Déclaration de Guy Favreau à la Chambre des communes, 15 octobre 1864

Pièce P-46

Déclaration de Lester B. Pearson à la Chambre des communes, 11 mars 1965

Pièce P-47

Déclaration de Lester B. Pearson à la Chambre des communes, 6 avril 1965

Pièce P-48

Déclaration de Pierre Elliot Trudeau à la Chambre des communes, 10 février 1971

Pièce P-49

Déclaration de John Turner à la Chambre des communes, 2 juin 1971

Pièce P-50

Déclaration de Mitchell Sharp à la Chambre des communes, 23 juin 1971

Pièce P-51

Déclaration de Pierre Elliot Trudeau à la Chambre des communes, 5 février 1976

Pièce P-52

Déclaration d’Allan J. MacEachern à la Chambre des communes, 18 mai 1976

Pièce P-53

Déclaration de Pierre Elliot Trudeau à la Chambre des communes, 12 juin 1978

Pièce P-54

Déclaration de Pierre Elliot Trudeau à la Chambre des communes, 25 janvier 1979

Pièce P-55

Commission de l’unité canadienne, Se retrouver : observations et recommandations, 1979

Pièce P-56

Déclaration de John Reid à la Chambre des communes, 9 février 1979

Pièce P-57

Déclaration de Joe Clark à la Chambre des communes, 2 novembre 1979

Pièce P-58

Déclaration de Joe Clark à la Chambre des communes, 26 novembre 1979

Pièce P-59

Déclaration de Pierre Elliot Trudeau à la Chambre des communes, 2 juillet 1980

Pièce P-60

Déclaration de Louis Duclos à la Chambre des communes, 12 mai 1981

Ces pièces sont disponibles sur demande.

Demande accompagnée d’un avis de présentation

S’il s’agit d’une demande présentée en cours d’instance ou d’une demande visée par les Livres III, IV, à l’exception de celles portant sur les matières familiales mentionnées à l’article 409, ou VI du Code, la

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préparation d’un protocole de l’instance n’est pas requise ; toutefois, une telle demande doit être accompagnée d’un avis indiquant la date et l’heure de sa présentation.

 

 

 

 

Intervention militaire en Haïti : La stratégie Canada/US des petits pas

Intervention militaire en Haïti : La stratégie Canada/US des petits pas

ECOUTEZ ICI: https://soundcloud.com/le-pied-a-papineau/interventio..

Avec l’annonce récente du Canada de l’envoi d’un avion militaire de surveillance dans l’espace aérien d’Haïti suivie de l’annonce le 16 février dernier de Justin Trudeau de l’envoi de deux navires militaires avec 90 marins pour patrouiller les eaux haïtiennes, le Canada met en œuvre la stratégie de petits pas vers une vraie intervention militaire déjà proposée par Washington, selon Kim Ives, rédacteur de la version anglaise de Haïti Liberté.

Lors de son intervention devant le Conseil de sécurité de l’ONU le 21 décembre 2022, Kim Ives avait déjà cité l’ancienne ambassadrice des États-Unis en Haïti, Pamela White. Cette dernière a proposé que l’administration Biden déploie « 2000 forces de l’ordre armées » en Haïti, mais « en envoie quelques centaines à la fois, sur six mois, SANS FANFARE. »

Et voilà que le Canada, fidèle serviteur, exécute.

Kim Ives note aussi que, contrairement à l’attitude belliqueuse qui, à la fin de 2022, a caractérisé le comportement en particulier de Bob Rae, ambassadeur canadien à l’ONU, les pays du Core Group, surtout le Canada et les États-Unis, y vont d’un pas feutré. Notamment parce qu’ils n’arrivent pas à rallier d’autres pays à leur projet d’intervenir militairement en Haïti. Mais cela ne change rien à l’objectif principal : empêcher les Haïtiens de décider librement de leur avenir.

Kim Ives parle également d’autre méthodes utilisées pour fabriquer un consensus en faveur d’une intervention militaire.

Parmi celles-ci la visite en Haïti du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk, et la créations d’une bande de trolls sur Internet favorable à une telle intervention par l’entreprise torontoise INKAS.

INKAS est un fournisseur militaire, notamment de véhicules blindés, dont les clients comprennent l’OTAN, le Pentagon et le ministère de la Défense canadien.

Kim Ives déplore aussi à quel point le Canada est devenu une marionnette des États-Unis.

source : Le Pied à Papineau

Le peuple haItien a vécu trop d’interventions politiques étrangéres depuis 1985.

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:Neuvième anniversaire de la guerre en Ukraine : Bombes, mensonges, propagande et dissonance

Les malhonnêtes marquent cette semaine le premier anniversaire de la guerre en Ukraine. Les honnêtes marqueront le 9ème anniversaire de cette guerre. Et l’autorité vient de très haut : Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’ONU.

« La guerre n’a pas commencé en février 2022, a-t-il déclaré récemment. Elle a commencé en 2014. Depuis 2014, L’OTAN et les alliés de l’Alliance ont fourni les armes et la formation pour que les Forces armées ukrainiennes soient beaucoup plus fortes en 2022 qu’en 2014. »

Malgré le spectacle « d’unité » que Biden a voulu montrer lors de sa visite surprise à Kiev, laquelle a récolté des applaudissements nourris des grands médias médiocres comme Radio-Canada, l’assourdissante dissonance venant des soi-disant alliés démontre que tout va bien dans le meilleur des mondes sur le front ukrainien.

Macron qui brille par ses contradictions : Il veut « la défaite de Moscou, mais sans l’écraser… Je ne pense pas, comme certains, qu’il faut défaire la Russie totalement, l’attaquer sur son sol. Ces observateurs veulent avant tout écraser la Russie. Cela n’a jamais été la position de la France et cela ne le sera jamais ». Une chance que la porte-parole russe lui a rappelé que la France n’est pas née avec Macron et qu’il y a eu la débâcle de Napoléon.

L’ineffable Josep Borrell, chef des affaires étrangères de l’Union européenne, celui qui prétend que l’Europe est un jardin tandis que le reste du monde est une jungle qui menace d’envahir le jardin. Pour lui, la guerre est finie si on ne résoudra le problème de fourniture d’armements et de munitions à l’Ukraine. Nous sommes en mode urgence guerre, a-t-il dit à Munich (19 fév.). Alors que la Russie produit beaucoup d’armes et de munitions 24 sur 24, ça nous prend dix mois, ajoute-t-il, pour se faire livrer une simple balle de calibre 155 mm.

Dans cette chronique, Robin Philpot revient sur les neuf ans de guerre depuis le coup d’État du 22 février 2014 : interdiction de la langue et de la culture russe, bombardements constants du Donbass, massacre de la Maison des syndicats, les accords de paix de Minsk et les fourberies de Merkel et de Hollande.

L’animateur termine sur la propagande : quand tout est propagande, les journalistes deviennent paresseux car ils savent que, quoi qu’ils écrivent, s’ils vont dans le bon sens, la direction va les féliciter.

L’exemple parfait est celui de Isabelle Hachez du journal La Presse de Montréal. Cette simple journaliste, qui vient de passer deux semaines en Ukraine sous la bienveillante protection de l’armée ukrainienne, a décider de s’en prendre au professeur d’histoire de l’Université de Montréal, Michael J. Carley, qui, lui, a consacré une bonne partie de sa vie à étudier l’URSS et la Russie et surtout la politique étrangère de l’URSS dans les années 1930 et 1940. Il sait de quoi il parle quand il s’agit de la Russie et de l’Ukraine.

Alors que Isabelle Hachez nous a habitués à des « job de bras » étoffées, bien fouillées – pensons au cas de François Bugingo – cette fois elle a tout bâclée.

Ses sources se limitent d’abord au Département d’État américain et ministère des Affaires globales du Canada, qui sont, comme on le sait, toujours neutres, objectifs et sans reproche.

Ensuite elle cite une simple « étudiante » de l’Université de Montréal, Katia Sviderskaya. Ce qu’elle n’a pas dit, c’est que Mme Sviderskaya, qui est à l’origine de l’attaque contre le professeur Carley, a reçu une subvention de $6,488.78 du ministère de la Défense du Canada pour étudier la propagande russe.

Isabelle Hachez ne pouvait pas ne pas être au courant grâce à des articles de Arnold August à ce sujet.

La conclusion : Mentez, mentez, mentez, il restera toujours quelque chose.


EN COMPLÉMENTAIRE

Dissonance

 

“DISSONANCE” dans le monde occidental et son “jardin” : Stoltenberg a OSE asséner une VERITE … la GUERRE a commencé en 2014 et non, comme le … “jardin” … entend le faire accroire, en 2022 … On peut même dire qu’elle a commencé bien plus tôt … en fait, dès 1945 … ainsi que l’espérait … Adolf HITLER soi-même dans ses propos parus aux Editions Arthème Fayard sous le titre fallacieux “Testament politique d’Adolf Hitler :

“En cas de défaite du Reich, et en attendant la montée des nationalismes asiatiques, africains et peut-être sud-américains, il ne restera dans le monde que deux puissances capables de s’affronter valablement : les Etats-Unis et al Russie soviétique. Les lois de l’histoire et de la géographie condamnent ces deux puissances à se mesurer, soit sur le plan militaire, soit simplement sur le plan économique et idéologique. Ces mêmes lois les condamnent à être les adversaires de l’Europe. L’une et l’autre de ces puissances auront nécessairement le désir, à plus ou moins courte échéance, de s’assurer l’appui du seul grand peuple européen qui subsistera après la guerre – le peuple allemand. Je le proclame avec force, il ne faut à aucun prix que les Allemands acceptent de jouer le rôle; d’un pion dans le jeu des Américains et des Russes.” (“Propos XVIII” – 2 avril 1945)

Propos saisissant de LUCIDITE !!! Qui niera que Hitler, en l’occurrence, avait raison sur quasi TOUTES les prévisions … ?!!! C’est bien pourquoi cette guerre a commencé dès le mois de mai1945, quand Américains (et les DEJA LARBINS européens) et Russes se sont trouvés face à face !!! D’où, la “guerre froide” … que les Etatsuniens ont cru avoir “gagnée” en 1991 avec l’effondrement de l’URSS MAIS qu’ils ont prolongée … conformément à l’INFÂME “doctrine Brzezinski entendait DEPECER la Russie … Ce qui détermine le fait que cette guerre d’Ukraine représente, pour les Etats-*Unsi, une guerre TOTALE d’ANEANTISSEMENT et, pour la Russie, une guerre pour sa SURVIE !!!

Poutine a déclaré dans son allocution aujourd’hui “Nous allons atteindre les objectifs que nous avons définis, pas à pas, progressivement et prudemment”, a-t-il insisté.
Il n’y a donc aucune annonce d’un changement de format sur le plan militaire. Dans la déclaration ci-dessus, il est même sous-entendu que le conflit pourrait se prolonger sur une longue durée.
L’hypothèse d’un renforcement progressif de l’offensive reste cependant d’actualité.

Donc,il n’y a aucune annonce de changement, sauf si des événements extérieurs survenaient !
Avec toutes les troupes qui ont été mobilisées, ce serait bizarre que ce soit pour attendre les prochaines calendes grecques …

 Poutine a été incendiaire dès l’entrée de jeu de son allocution ! Désignant le responsable des attaques Nord .Stream II trainant l’occident dans la poussière. Après avoir développé les autres questions, il est revenu à la fin pour confirmer la suspension du traité. C’est œil pour œil et dent pour dent…

La Russie s’est retirée momentanément du traité START.
“La Russie suspend sa participation au traité de réduction des armements stratégiques (START), mais ne s’en retire pas”.
Poutine a également déclaré que la déclaration de l’OTAN début février appelant la Russie à revenir à la mise en œuvre du START, y compris l’admission d’inspections dans les installations de défense nucléaire, est un non-sens.

Donc la Russie pourrait transmettre la technologie nucléaire à l’Iran? après tout la France l’a bien transmise à Israel (en fait:Israel l’ a VOLÉ à la France , avant de VOLER le matos fissile aux USA .

La suite l’a montré : les Israéliens , en dépit de leur frime intello ne sont pas des pointures en physique, nucléaire ou pas .

Poutine parle de la vraie guerre : celle des milliardaires juifs contre l’ humanité et la Russie .Celle qui fait ses premières dents de lait et ne dit pas encore’ son vrais nom.
L’ Ukraine n’est déjà plus qu’un charnier ; l’ image d’un passé sordide représentant le programme juif prévu pour les peuples racialement inférieurs . Un plan déjà vieux ! (Programme Raciste de Ariel Sharon  )

DIRE LA VÉRITÉ

L’imminence de la partie brûlante et irréversible de ce clash exige de commencer à parler en très clair et en très gros de qui fait quoi , et qui sont les assassins !
La pub ou le mensonge quotidien doivent être démontés et dénoncés au mot à mot et au même quotidien !
Alors commençons par QUI EST LE PETIT GROUPE DES FANATIQUES TOTALITAIRES QUI RECHERCHE ” PAR TOUS LES MOYENS” L’ EXPLOSION SUR TOUTE LA PLANÈTE DE LA CHARGE EXPLOSIVE DONT LE CONFLIT UKRAINIEN N’EST QUE LE DÉTONATEUR . ?
Le peuple Américain ? Celui de GB , d’ Allemagne ou de France ? Pour ce premier groupe , des quatre plus OTAN ,on peut statuer clair et vite : CES PEUPLES très concernés SONT OPPOSÉS a une telle guerre !, tout simplement parce qu’ils ne sont pas suicidaires … D’ailleurs vous avez remarqué qu’aucun des pouvoirs de ces États n’a consulté sa population sur ce grave sujet, bien au contraire tous les moyens d’ expression des populations leurs sont vite devenus inaccessibles !

 

Pourtant ces trois pays qui drivent l’ OTAN vers le clash TOTALITAIRE contre la Russie continuent – gaz à fond – vers le mur !

Il y a quelque chose qui ne va pas dans ce qu’on voit du problème sur nos écrans!
Ça ne tient la route QUE si on place sur le schéma UNE entité unique qui par folie ou fanatisme (leur raison – si il y en a une – est secondaire ), pousse ENSEMBLE ces 4 pays + OTAN vers le crime/suicide final , violant ainsi la volonté des peuples qui tous y sont opposés. Celà pour l’ objectif bidon & disproportionné des 3 arpents du Donetz !

Cette entité existe , elle est très simplement visible & remarquable par le simple fait que ce complot des milliardaires juifs qui forment ce groupe , a grossièrement disparu de tous nos médias d’information dès Decembre 2021 ! De plus leur influence ” pro conflit ” qu’on peut suivre par LEURS propres médias les a révélé chaque jour dans leurs œuvres de désinfo..pro guerre (En France = LCI, France 24 RFM ..etc..)
Parallèlement , toute cette population issue de Géorgie , et qui agit sous la fausse couverture de ” peuple juif ” s’est constituée en une véritable mafia multinationale cohérente – pour le pouvoir – en une sorte de Reich de bazar dont le führer demeure la famille Rothschild !
Et par le stratagème du faux État d’Israel , ce bazar de services secrets a réussit depuis 1948 à prendre le contrôle des pouvoirs politiques , puis s’y substituer pour piloter l’ ensemble de ces 4 pays plus l’ OTAN vers la guerre à outrance contre la Russie .
Le terrible plan de cette conspiration des faux juifs de Géorgie , organisés en dictature occidentale par le Reich Rothschild ,ne nous laisse qu’une mince porte de secours vers la paix : NOUS ENGAGER TOUS AVEC LA RUSSIE DE POUTINE !
Car le glacis des pièges bancaires montés jusqu’en Chine contre l’humanité et la Grande Russie et ceux d’une information scientifiquement falsifiée ne nous laissent que peu de chances! Le conflit est si nouveau , tordu et piégé , que Seule une puissance militaire active très majeure et dotée d’une large compréhension de cette attaque si atypique contre l’ espèce humaine peut nous sauver du pire .
Vu depuis les populations citées , déjà piégées de l’ intérieur de la tête ( falsif info) , il s’agit d’une ultime issue de secours !

 

 

La photo du jour: 25 juillet 1917

25 juillet 1917

Instauration de l’impôt sur le revenu au Canada

 

 Malgré l’entrée en guerre des États-Unis au printemps 1917, les forces alliées doivent débourser des sommes considérables pour continuer la guerre qui fait rage depuis 1914. Cette situation draine les ressources financières canadiennes. La Grande-Bretagne et les États-Unis disposent déjà de lois permettant de taxer les revenus à cette fin. Le gouvernement conservateur de Robert Borden va s’en inspirer pour taxer les revenus au Canada.

William Thomas White est alors le ministre des Finances canadien. Le 25 juillet 1917, White présente au Parlement un projet de loi pour taxer les revenus des entreprises et des particuliers. Les revenus des célibataires et des veufs sans enfants sont taxés à 4 % s’ils dépassent 2 000 $. L’exemption monte à 3 000 $ dans les autres cas. De plus, les revenus annuels dépassant 6 000 $ sont taxés à 25 %.

La Loi de l’impôt de guerre sur le revenu entre en vigueur le 28 février 1918. Cette mesure doit être temporaire et disparaître après la guerre! Qu’importe : l’impôt sur le revenu des particuliers est perçu depuis cette époque au Canada.

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial vs les Triades:Une volonté de renverser les États-Unis

Le 25 mai 2020, à Minneapolis, Minnesota, un officier de police, Derek Chauvin, qui avait déjà déposé 18 plaintes contre lui, a tué un Noir, George Floyd, en s’agenouillant sur le cou pendant près de neuf minutes.

WASHINGTON, DC – JUNE 22: Protesters pull down a fence surrounding the statue of Andrew Jackson in an attempt to pull the statue down in Lafayette Square near the White House on June 22, 2020 in Washington, DC. Protests continue around the country over police brutality, racial injustice and the deaths of African Americans while in police custody. .
La destruction ou la suppression de statues par la foule apparaît comme une tentative d’effacer l’histoire des États-Unis … Ce qu’ils font ressemble à une prise de pouvoir à l’ancienne. La première loi des accapareurs de pouvoir est que si personne ne les arrête, ils continuent – souvent avec des conséquences catastrophiques. Sur la photo: des manifestants abattent une clôture entourant la statue d’Andrew Jackson, dans une tentative de renverser la statue de Lafayette Square, près de Black Lives Matter Plaza à Washington, DC, le 22 juin 2020

Les manifestations de colère à Minneapolis se sont rapidement transformées en émeutes qui ont ravagé la ville. La police n’est pas intervenue; le maire leur avait ordonné de se retirer et de ne rien faire.

De nouvelles manifestations ont rapidement éclaté dans les grandes villes du pays et ont rapidement entraîné un désordre généralisé. Dans les villes jumelles de Minneapolis et de St. Paul, 1 500 bâtiments ont été vandalisés, pillés ou détruits. Encore une fois, la police n’a pas fait grand-chose pour intervenir: les maires de la plupart des villes ont demandé à la police d’agir avec retenue .

Les émeutiers ont attaqué des églises et des synagogues et pillé des magasins, appartenant souvent à des propriétaires minoritaires dans des quartiers en détresse.

Les émeutes ont pris fin, mais les dégâts ont été immenses. Une zone du centre-ville de Seattle qui a été prise, la zone « CHAZ » ou « CHOP », a depuis été dissoute, mais un effort de copie pour reprendre une zone s’est installé à New York, près de l’hôtel de ville.

Des statues ont été attaquées dans tout le pays – d’abord des statues confédérées , puis des hommages à Abraham Lincoln , Thomas Jefferson et George Washington . D’éminents politiciens ont soutenu les émeutiers. Le maire de Boston a déclaré qu’il voulait retirer d’une place de la ville une statue de Lincoln debout devant un homme noir libéré. Les membres du Conseil de la ville de New York ont demandé qu’une statue de Thomas Jefferson soit retirée de l’hôtel de ville. À Portland, en Oregon, une statue de George Washington a été abattue et incendiée. Des statues de Christophe Colomb ont été renversées et certaines décapitées .

La destruction ou la suppression de statues par la foule apparaît comme une tentative d’ effacer l’histoire des États-Unis et de traiter de grands hommes comme Abraham Lincoln, qui a aboli l’esclavage, George Washington, premier président des États-Unis ou Thomas Jefferson , troisième président des États-Unis. États et auteur de la Déclaration d’indépendance, comme s’ils étaient irrémédiablement méprisables. Ce qu’ils font ressemble à une prise de pouvoir à l’ancienne. La première loi des accapareurs de pouvoir est que si personne ne les arrête, ils continuent – souvent avec des conséquences catastrophiques.

« Pourquoi est-ce que je m’inquiète même de voir de petites statues idiotes tomber ou de changer de noms de petites rues? » a demandé Elizabeth Rogliani, qui a vécu la transition du Venezuela vers le communisme.

« [Q] uand je vivais au Venezuela. Des statuts sont descendus – Chavez ne voulait pas que cette histoire soit affichée. Et puis il a changé les noms des rues. Puis est venu le [programme scolaire]. certaines chaînes de télévision, etc., etc.

« Nous ne pensions pas que cela pourrait nous arriver. La plupart des Vénézuéliens – les Cubains nous ont prévenus – et nous nous sommes dit: » C’est le Venezuela, nous connaissons la liberté. Cela ne se produira pas ici.  » Pourtant, c’est arrivé. Et il y a littéralement beaucoup de gens qui veulent détruire les États-Unis « 

Deux mouvements ont été actifs dans la violence. L’un est Antifa , qui a été appelé « un mouvement de milice marxiste / anarchiste révolutionnaire qui cherche à renverser les États-Unis par la violence et l’intimidation ». Antifa, bien qu’il se prétende antifasciste, se comporte de manière fasciste .

L’autre mouvement, Black Lives Matter , a été fondé en 2013 par trois femmes noires , Alicia Garza , Opal Tometi et Patrisse Cullors . Cullors a déclaré qu’elle et Garza étaient des « marxistes de formation ». Le manifeste fondateur de Black Lives Matter, publié en 2016 (puis retiré du site BLM), décrit les États-Unis comme une « démocratie corrompue fondée à l’origine sur le génocide des autochtones et l’esclavage des biens mobiliers » qui « continue de prospérer grâce à l’exploitation brutale des personnes de couleur ». et cela perpétue « les vilaines traditions américaines du patriarcat, du classisme, du racisme et du militarisme ». En décembre 2014, un sloganlors d’une manifestation Black Lives Matter organisée par le National Action Network d’Al Sharpton, était: « Que voulons-nous? Des flics morts. Quand le voulons-nous? Maintenant. »

Si Antifa est largement rejeté, Black Lives Matter ne l’est pas. Son nom est devenu un slogan sur les murs, les devantures de magasins et les restaurants. Les affiches disent:  » Pas de justice, pas de paix . »

Il y a de nombreux appels au financement ou à l’abolition de la police. Le conseil municipal de Minneapolis a en effet voté le 6 juin la dissolution de ses forces de police. Le maire de New York, Bill de Blasio, a coupé 1 milliard de dollars du budget de la police de New York à 6 milliards de dollars. Au moins six autres villes ont également réduit les budgets de la police.

Ce qui semble vouloir gagner en influence, c’est un souhait – né avant les émeutes – de réécrire l’histoire des États-Unis. Le New York Times, par exemple, a lancé le 14 août 2019  » The 1619 Project « . Son auteur, Nikole Hannah Jones, a écrit que les États-Unis avaient été fondés sur l’esclavage et étaient donc – vraisemblablement toujours – coupables de « racisme structurel ».

D’éminents historiens, Gordon Stewart Wood , récipiendaire du prix Pulitzer pour l’histoire de 1993, et James M. McPherson , ancien président de l’American Historical Association, ont noté que le projet 1619 était fondé sur des « affirmations trompeuses et historiquement inexactes ». Le 17 juin, le sénateur Tim Kaine, démocrate de Virginie, a dit de façon ridicule que les États-Unis avaient « créé l’esclavage ».

« Les réparations », a commenté l’ auteur et l’avocat Larry Elder sur le sujet, « sont l’extraction d’argent de ceux qui n’ont jamais été propriétaires d’esclaves à donner à ceux qui n’ont jamais été esclaves ».

« Chaque vie compte », a déclaré l’ ancien président de la Chambre des représentants américaine Newt Gingrich. Si seulement.

L’idée qu’aux États-Unis il existe un « racisme structurel » ( défini par l’Institut Aspen comme « un système dans lequel les politiques publiques, les pratiques institutionnelles, les représentations culturelles et d’autres normes fonctionnent de diverses manières, renforçant souvent les moyens de perpétuer l’inégalité des groupes raciaux » ) a conduit, semble-t-il, à une forme d’expiation obsessionnelle. Les films ont été supprimés des services de streaming. Autant en emporte le vent sera désormais affiché avec un avertissement de cinq minutes . (Une minute n’aurait pas suffi?)

Le film n’est probablement que le premier sur une liste qui s’allonge. Un journaliste de Variety a récemment énuméré « 10 films problématiques qui pourraient utiliser des étiquettes d’avertissement ». Ils incluent Forrest Gump: pendant un bref instant, le personnage principal est décrit, de façon ironique, comme ayant été nommé d’après un membre du Ku Klux Klan. Les marques de produits de consommation , telles que le riz d’oncle Ben et le sirop de tante Jemima, voient leurs noms et logos changer brusquement. Princeton a voté pour radier le nom de Woodrow Wilson de son école de politique publique. Des demandes ont été faites pour que les universités et les entreprises montrent qu’elles ne sont pas racistes en déclarant leur soutien à Black Lives Matter. Beaucoup se sont pliés à la demande.

Le 12 Juin, moins d’un mois après l’assassinat de George Floyd, un autre policier blanc, Garrett Rolfe, à Atlanta, en Géorgie, tiré et tué un homme noir, Rayshard Brooks. Les policiers arrêtaient Brooks pour conduite en état d’ivresse et après un échange cordial avec les policiers, il a résisté de façon inattendue à l’arrestation et a saisi un Taser à l’un des policiers. Il a commencé à courir, mais quand il s’est retourné et a tiré le Taser sur Rolfe, Rolfe a tiré et l’a tué. Rolfe a été renvoyé des forces de police sans procédure régulière et inculpé de meurtre pour crime, passible de la peine de mort. Bien que les enregistrements vidéo de l’événement ont été largement diffusés, procureur Paul Howard a tenté de réclamationque Brooks était calme et « gai ». Il a ajouté qu’un Taser n’est pas une arme mortelle – après avoir dit quelques semaines plus tôt qu’il l’était.

Entre-temps, à Chicago , entre le 12 et le 15 juin, un homme noir a été tué par balle par un autre homme noir et 32 ​​autres ont été blessés par balles. Malheureusement, en ce qui concerne la violence noir sur noir , personne ne semble s’en soucier.

Ce qui semble fondamentalement être au travail n’a rien à voir avec les vies noires ou la police. C’est une volonté de renverser les États-Unis. Ce désir inclut les institutions américaines, tout ce sur quoi les États-Unis sont fondés et les États-Unis eux-mêmes.

La déclaration « Black Lives Matter » suppose dès le départ que, pour la police, le système judiciaire et tout le monde, les vies noires n’ont pas d’ importance. Ce qui est si remarquable et tragique, c’est que les vies noires ne semblent avoir d’importance que si elles ont été prises par une personne blanche … Malheureusement, en ce qui concerne la violence noir sur noir, personne ne semble s’en soucier.

Un fonctionnement démocratique normal signifie que les électeurs d’une ville paient des impôts et élisent un maire pour prendre soin de la ville, pour assurer la sécurité de ses habitants et de ses biens – pour ne pas laisser la ville sombrer dans l’anarchie et la destruction. Lorsque, face à la violence, un maire demande à un service de police de ne pas agir, permettant ainsi à la violence de se produire, il est non seulement complice de la dévastation, mais également délinquant dans l’exercice de la fonction pour laquelle il a été élu .

Bien que la plupart des policiers soient généralement décents et désireux de protéger la communauté, et mettent quotidiennement leur vie en danger, s’ils utilisent une violence inutile, le problème doit être résolu. Malheureusement, ce n’est parfois pas le cas. Les syndicats de police peuvent faire beaucoup de bien, mais en cas de litige, ils nécessitent un «arbitrage» – souvent malgré une mauvaise conduite . Dans certains services de police, il est presque impossible de licencier quiconque devrait être licencié; il peut, au contraire, être envoyé dans un autre quartier. (Un problème similaire existe avec les syndicats d’enseignants pour les enseignants inacceptables.)

La semaine dernière, une loi fédérale recommandant des réformes policières a été proposée par le sénateur Tim Scott, un républicain de Caroline du Sud. Les démocrates de la Chambre, refusant même d’en discuter, ont bloqué la mesure. Plus tard, les démocrates de la Chambre ont présenté leur propre projet de loi de réforme , mais il semblait viser davantage à éliminer les forces de police qu’à les réformer.

« Le projet de loi restreindrait les restrictions et interdirait aux agents fédéraux de mener des raids de drogue sans heurts. Il limiterait les transferts de matériel militaire à la police, créerait un registre d’inconduite des officiers, mettrait fin à l’immunité qualifiée contre les poursuites et abaisserait le seuil pour poursuivre les officiers fédéraux s’ils le montraient. » « mépris téméraire » de la vie de quelqu’un. « 

Et si chaque fusillade impliquant un officier était suivie d’une poursuite? Pourquoi quelqu’un s’inscrirait-il un jour pour un emploi qui le mettrait en danger? « Porte tournante » des politiques doivent déjà se sentir si vaincre: un officier de police met sa vie en danger pour faire une arrestation, seulement pour trouver la personne arrêtée en arrière dans la rue peu après. Les démocrates de la maison semblaient seulement vouloir empêcher les républicains d’avoir une victoire et une question sur laquelle se plaindre au lieu d’une solution. (La même pensée politique semble également expliquer pourquoi tant d’enfants américains ne sont pas en mesure de recevoir une éducation scolaire de qualité.)

La question se pose alors: les politiciens qui prétendent vouloir aider les communautés en détresse sont-ils ceux-là mêmes qui maintiennent les communautés en détresse en détresse – et dans un état perpétuel de tendre la main à ces mêmes politiciens pour des promesses d’aide suspendues?

Malheureusement, toujours et partout, l’ absence de police – par exemple en les remplaçant par des travailleurs sociaux – entraînera une explosion de criminalité et de désordre, comme on l’a vu récemment à Seattle. De plus, utiliser un crime commis par un seul policier pour affirmer que tous les policiers sont racistes, c’est mentir pour paralyser les policiers, les empêcher de faire leur travail: aider la communauté et assurer la sécurité. Demander le remboursement de la police, c’est demander une explosion de violence et de pandémonium.

Les récents dégâts infligés à des milliers de personnes qui ont perdu leurs biens et leurs entreprises – ainsi que les nombreux meurtres et agressions – montrent ce qui arrive à une société avec moins de policiers ou pas de policiers.

L’ancien gouverneur de l’Arkansas, Mike Huckabee, avait suggéré très tôt, pour éviter une confrontation, de démanteler la zone saisie de Seattle. Cela pourrait être fait, a-t-il suggéré, en déconnectant l’eau, l’électricité et surtout la communication cellulaire – puis en voyant combien de temps les preneurs d’otages ont apprécié l’expérience.

Des graffitis peints lors des émeutes sur les murs des synagogues de Los Angeles ont également révélé la présence d’ antisémitisme : Melina Abdullah , « organisatrice principale de Black Lives Matter à Los Angeles et professeur d’études panafricaines à Cal State » , se révèle-t-il, un partisan de Louis Farrakhan, le chef antisémite de la Nation of Islam. Abdullah l’ appelle «l’honorable ministre Farrakhan». Il semble que Black Lives Matter  » soit structurellement antisémite « .

Protestors demonstrate outside of a burning Minneapolis 3rd Police Precinct, Thursday, May 28, 2020, in Minneapolis. Protests over the death of George Floyd, a black man who died in police custody Monday, broke out in Minneapolis for a third straight night. 

Que le nom Black Lives Matter soit présent partout, et que tout le monde semble ignorer ou oublier ce qu’est réellement l’organisation Black Lives Matter , montre qu’une organisation violente et antidémocratique, qui appelle au meurtre de policiers et accepte l’antisémitisme et le racisme anti-blanc , peuvent utiliser des menaces, l’ intimidation et la destruction – et trouver l’acceptation du public.

Bien sûr, il y a encore du racisme parmi les individus, mais l’idée que les États-Unis sont aujourd’hui une société où le « racisme structurel » existe est contredite par des décennies de décisions politiques pour réparer les dommages et, comme, par exemple, dans les programmes d’action positive, favoriser l’égalité pour tous les Américains. Comme Ayaan Hirsi Ali, une écrivaine américaine qui a fui sa patrie, la Somalie, a écrit :

« Le problème est qu’il y a des gens parmi nous qui ne veulent pas comprendre et qui ont intérêt à éviter des solutions viables. Ils ont une incitation politique évidente à ne pas résoudre les problèmes sociaux, parce que les problèmes sociaux sont la base de leur pouvoir. C’est pourquoi, chaque fois qu’un chercheur comme Roland Fryer apporte de nouvelles données – montrant qu’il n’est tout simplement pas vrai que la police abat des Noirs de manière disproportionnée – la réponse n’est pas de lire le journal mais d’essayer de discréditer son auteur. « 

Pendant de nombreuses années, les films américains traitant de questions raciales ont été explicitement hostiles à toute discrimination raciale, et il serait impossible de trouver un livre publié par une maison d’édition américaine soutenant la discrimination raciale, à moins qu’il ne date d’une époque révolue. Réécrire l’histoire en la falsifiant est simplement une tentative de remplacer l’histoire par de la propagande . Supprimer les films et autres informations qui ne correspondent pas à une vision prédéterminée de l’histoire est depuis longtemps la pratique des despotismes totalitaires . Dire que les universités et les entreprises font face à de graves conséquences si elles refusent de bowdleriser le passé est tout simplement un fascisme, un tyrannique des moyens de coercition. Pire encore, l’attitude soumise de tant d’universités et de sociétés est ce qui permet à l’intimidation de continuer.

Ce qui se passe a des racines.

« Le succès de la récente révolution culturelle américaine peut être mesuré non pas par des gouvernements renversés mais par des valeurs brisées », a écrit le commentateur américain Roger Kimball dans son livre, The Long March (2000), sur les bouleversements des années 1960 aux États-Unis. Des personnes radicales, a-t-il observé, ont pris le pouvoir dans les universités et leurs idées se sont répandues dans tout le système éducatif – dans la culture, la politique, la justice et l’économie. Les radicaux dominent encore la plupart des universités américaines – maintenant encore plus qu’alors, et leurs idées sont désormais plus répandues .

L’ancien président Barack Obama, le 30 octobre 2008, a déclaré : « Nous sommes à cinq jours de transformer fondamentalement les États-Unis d’Amérique. » Cinq jours plus tard, il a été élu président.

Douze ans plus tard, on se demande: en quoi espérait-il le transformer?

Il aurait été difficile d’imaginer en 2008 qu’un maire pourrait abandonner sa ville à des émeutiers, ou qu’ils accepteraient de démolir et de détruire des statues de Washington, Jefferson ou Lincoln. Quand seront – ils à venir à abattre les statues du Dr Martin Luther King Jr.?

Il aurait également été difficile d’imaginer qu’une organisation violente comme Black Lives Matter ne serait même pas remise en question, ou que des émeutes similaires à celles qui ont touché Ferguson , Missouri en 2014 ou Baltimore en 2015 éclateraient et se répandraient à travers le pays.

Il serait difficile d’imaginer, il y a à peine deux mois, qu’un conseil municipal voterait effectivement pour l’ abolition des forces de police.

Les États-Unis semblent à un moment charnière. Bruce Thornton, professeur de sciences humaines et classiques à la California State University et chercheur à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, a noté que:

« En effet, en dehors des voyous et des criminels opportunistes, la majeure partie des » troupes « qui constitueraient un côté d’une guerre civile sont à peu près des habitants des jeunes classes confortables. Leur comportement perturbateur et violent se produit parce que les gouverneurs, les maires et la police Au cours de la dernière décennie, les chefs ont envoyé le message qu’ils ne répondraient pas avec une force concentrant l’esprit afin de rétablir l’ordre et de tenir les émeutiers responsables … « 

Les émeutiers aux États-Unis semblent avoir inspiré des manifestants en Europe occidentale . Les slogans en colère utilisés aux États-Unis sont utilisés à Londres et à Paris ; les mêmes accusations contre les démocraties sont portées, et des statues qui étaient des repères de l’histoire sont abattues .

Dans un discours prononcé le 6 juillet 2017, le président américain Donald J. Trump a déclaré :

« La question fondamentale de notre temps est de savoir si l’Occident a la volonté de survivre. Avons-nous confiance en nos valeurs pour les défendre à tout prix? … Avons-nous le désir et le courage de préserver notre civilisation en le visage de ceux qui voudraient le renverser et le détruire? « 

Bonne question.

 

 

 

La Grande Arnaque du COVID 19: Un simple éternuement peut vous envoyer au goulag

Ils ont militarisé la grippe commune pour nous contrôler : Vous voulez voler ou manger? Montrez patte blanche. Voulez-vous un travail? Idem. Voulez-vous jouer ou vous promener ? kif kif bourricot.

Alors que nous débarquions de notre vol, un passager a déclaré que j’étais la seule personne à avoir toussé, et qui ne portait pas de marque de façon constante.

«J’ai un reflux reflux gastro-œsophagien», ai-je expliqué. « Je tousse toujours après avoir mangé« 

« C’est toujours une courtoisie courante« , répondit-il.

Il ne s’agit plus de savoir si vous êtes vraiment malade ou non, il s’agit d’obéir aux règles. En fin de compte, la personne qui n’obéit pas aux règles sera considérée comme malade.

Éternuer ou avoir le nez qui coule, des choses qui étaient monnaie courante, font maintenant de vous un ennemi public.

À l’aéroport de Mexico, ma température a été vérifiée quatre fois. Mais pas une seule fois au Canada.

Sur notre vol pour Toronto, il y avait une douzaine de travailleurs mexicains. Apparemment, même dans les moments difficiles, aucun Canadien n’est prêt à faire le sale boulot.

Quelles sont les chances de ces travailleurs de s’auto-imposer une quarantaine pendant 14 jours? Quelles sont les chances qu’ils soient condamnés à une amende et à une peine d’emprisonnement?

L’auto-mise en quarantaine et la distanciation sociale sont réservées aux goyim. Ils ne s’appliquent pas aux personnes qui servent l’agenda du Nouvel Ordre Mondial.

Mexique / Canada

J’ai passé l’hiver au Mexique pour le vérifier.

Je m’attends à une guerre nucléaire pendant le deuxième mandat de Trump. Mais je ne m’attend pas à une nouvelle calamité cet hiver.

Revenir au Canada, c’est comme retourner dans une zone de guerre.

L’establishment contrôlé par les banquiers attaque la population en général.

Le remède est 100 fois pire que la maladie. La sécurité financière de millions de personnes s’est évaporée. Plus de gens se sont probablement suicidés que sont morts du virus. Cette cascade est impardonnable!

La plupart des victimes sont décédées d’autres causes. Les statistiques ont été faussées.

Ils nous ont transformés en marionnettes. Distanciation sociale. Port de masque. Bonnes gens, c’est juste une grippe. Seuls les déjà mourants en meurent.

Je reviens au pays pour trouver la plupart des succursales bancaires fermées; restaurants et cafés faisant à emporter uniquement derrière les fenêtres en plexiglas. Chaque client est une menace mortelle.

Les employés doivent donc être protégés. La CAA ne fournira pas de manèges aux membres bloqués. Contactez le service client et vous devez écouter une diatribe sur le virus et la façon dont ils veulent vous aider.

Les gens font des émeutes pour la justice sociale tout en acceptant complètement la perte de leurs libertés fondamentales. Ils sacrifient tant sur un prétexte sommaire et ne le remettent même pas en question. Telle est notre foi en nos dirigeants. Tel est le contrôle exercé par les médias.

L’industrie pharmaceutique est un gang de criminels. Ils contrôlent la profession médicale. Bill Gates, qui espère gagner des milliards grâce au vaccin, a l’oreille des présidents et des premiers ministres.

Ils auraient dû mettre les malades en quarantaine. Au lieu de cela, ils ont mis en quarantaine les gens qui sont sains.

Lorsque vous contrôlez les malades, cela s’appelle une quarantaine.

Lorsque vous contrôlez les gens sains, cela s’appelle la tyrannie.

Comment osent-ils obliger les citoyens à rentrer au Canada en quarantaine pendant 14 jours même s’ils ne sont pas malades et ne présentent aucun symptôme?

Cela sous la menace de sanctions pouvant aller jusqu’à 750.000 $ et de six mois de prison … quand on ne sait pas si les cas asymptomatiques sont même contagieux.

Comment osent-ils utiliser cette mince excuse pour une pandémie comme prétexte pour saccager le monde entier?

Les médias suppriment les histoires des vies ruinées. Walmart est bondé mais la petite boutique qui fait vivre une famille est obligée de fermer.

J’emmerde les médias, les politiciens, les banquiers, la profession médicale.

Nous ne reviendrons jamais à la normale parce que nous ne ferons plus jamais confiance à ces enculés

Les funérailles de FLOYD démentent la distanciation sociale

 

 

« Tout le monde a vu les funérailles télévisées de George Floyd avec des centaines de spectateurs, après qu’on vous ait dit que vous ne pouvez pas aller aux funérailles de quelqu’un dans votre propre famille , vous ne pouvez pas aller à l’église, vous ne pouvez pas aller à la remise des diplômes de vos enfants, etc. Imaginez le regarder et ne réalisant toujours pas que vous jouez.

« La loi interdisait plus de 10 personnes aux funérailles de mes frères. Les funérailles de George Floyd étaient pour moi une gifle en pleine tronche. Ils ont fait de moi une marionnette. »

par Anon

Source- Reddit Conspiracy 

Il y a quelques semaines, j’ai perdu de façon inattendue mon frère aîné à la suite d’une crise cardiaque brutale non diagnostiquée. C’était un bel homme de 38 ans qui prenait   bien soin de lui. Il avait une femme aimante et deux adorables enfants de moins de six ans. Tant de gens l’aimaient et nous étions tous absolument dévastés par la nouvelle.

Lorsque les médias ont fait comprendre que Covid-19 était dangereux, j’ai pris toutes les précautions. Je suis resté seul dans mon petit appartement pendant des mois sans aucun contact.

Il est vite devenu évident que les chiffres de Covid-19 n’étaient pas aussi mauvais qu’ils le prétendaient. Ce qui était autrefois un acte justifiable d’aplatir la courbe et de maintenir nos hôpitaux gérables, s’est transformé en « vous êtes une personne mauvaise et égoïste si vous ne portez pas de masque et ne vous éloignez pas de la société jusqu’à ce que nous trouvions un remède« . La pression sociétale m’a fait avaler ces conneries.

Même si je ne craignais plus pour ma propre vie, je ne voulais pas tuer par inadvertance une vieille dame quelque part. C’était mon devoir en tant qu’humain de me mettre en quarantaine.

Après la mort de mon frère aîné, ma famille avait plus que jamais besoin les uns des autres. L’éloignement social de chacun n’était plus une option. Ma famille immédiate a pleuré ensemble, mais tous les autres ont dû rendre hommage à distance de façon maladroite. C’était pénible à regarder. Nous étions tous si isolés.

N’importe quelle autre année, j’aurais attendu des centaines d’amis et de familles à ses funérailles. Il était la personne la plus charismatique et véritablement aimante de ma vie. Mais il est décédé en l’an 2020, et la loi interdit à quiconque de dépasser la limite de 10 personnes lors des funérailles en plein air. Sur les 10 personnes autorisées à participer, une était prêtre et deux ont été nommées directeurs de funérailles. Peu importe combien nous avons supplié et plaidé, leur politique était inébranlable. Ils ne voulaient pas laisser tomber un directeur de funérailles pour que la belle-mère de ma belle-sœur soit à ses côtés pendant qu’elle enterrait les cendres de son mari.

Comme nous étions encore en train de pleurer mon frère, un flic a assassiné de manière dégoûtante George Floyd au Minnesota. Et des milliers de personnes ont assisté aux funérailles en salle dirigées par Al Sharpton. Des milliers de personnes qui n’ont jamais rencontré George Floyd se tenant par la main et beaucoup d’entre elles ne portaient même pas de masque. C’était une gifle au visage.

À partir de ce moment, des millions de personnes se sont rassemblées dans les rues pour protester contre des politiciens. Covid-19 était soudainement devenu une réflexion après coup. Les médias de masse avaient un nouvel ordre du jour « les émeutes sont hors de contrôle! Les flics battent la merde de tout le monde!« 

Ils ont trouvé une nouvelle façon de mettre en œuvre des couvre-feux et se sont réveillés avec un nouveau message: « Si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous. »

Un message qui représentait tout le contraire de ce qu’ils avaient condamné il y a à peine une semaine. « 

Source :  https://www.henrymakow.com/


Annexe (N. Bonnal)

Extermination des blancs (on n’oublie pas les dix millions musulmans liquidés et déplacés depuis le 11/9) : on s’en rapproche à grands pas, en Europe et en Amérique, et on commence à en parler en haut lieu. Le Donald en vieux sagouin surendetté et abonné à Epstein Island, aura prodigieusement servi ses maîtres et facilité cette extinction des espèces. Paul Craig roberts cite la vieille démente Hillary Clinton et souligne que les magnats d’entreprise veulent aussi nous liquider. Il y a de l’autre côté une hébétude absolue, une soumission, une collaboration parfois et ce sentiment, que j’ai toujours souligné, et qui me vient de Soljenitsyne (conférence de Harvard), que nous ne savons plus si nous sommes vivants. La race et la culture qui ont produit Shakespeare, Racine ou Mozart ne peuvent pas être les mêmes que celles qui produisent Macron, Castaner ou Merkel. Craig Roberts vous invite à relire le camp des saints de mon ami Raspail, moi à filer dans un pays… musulman.

 

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Covid 19 ou Covid 1984 est une Psyop

 

Si nous comparons les chiffres du Covid-19 à ceux d’une véritable pandémie comme les 50 millions de morts  de la grippe espagnole, nous devons nous demander C’EST QUOI, TOUT CE TAPAGE? Cette agitation n’a de sens qu’en tant que PSYOP.

« Vu dans sa totalité, ce CV-1984 PSYOP [1] est une DÉSINFORMATION militarisée ciblant principalement l’alliance sino-russe-iranienne à l’étranger et les Américains de la classe moyenne à l’intérieur. »

 

Depuis le début de l’épidémie de coronavirus en Chine en décembre 2019, c’est devenu une opération de guerre psychologique (PSYOP) avec des médias diffusant une panique sensationnelle au lieu de rapporter objectivement et avec précision les faits.

Les opérations psychologiques sont des opérations MILITAIRES visant à transmettre au public des informations sélectionnées afin d’influencer leurs émotions, leurs motivations et leur raisonnement objectif, et finalement leur comportement et celui des gouvernements.

N’oubliez pas que ce coronavirus est un virus du rhume et NON un virus de la grippe à potentiel pandémique comme la grippe espagnole de 1919 qui a tué 50 millions de personnes dans le monde.

Soi-disant ce COVID-19 (alias CV 1984) est le premier du genre KILLER RHUME. C’est selon le Dr Anthony Fauci qui annonce quotidiennement des prophéties PANDÉMIQUES concernant ce RHUME TUEUR.

 

 

À l’heure actuelle, ce RHUME TUEUR a supposément infecté seulement 1.088.000 personnes dans le monde et tué environ 58.000 personnes. Bien que ces chiffres ne soient pas particulièrement alarmants par rapport à la grippe espagnole de 1919 (une véritable pandémie), ils sont présentés chaque jour comme une prophétie apocalyptique par des organes de presse plus que disposés qui font peur plutôt que de rapporter objectivement.

Au samedi 4 avril 2020, l’Italie signalait le plus de décès par CV-19 avec près de 15.000 suivis par l’Espagne avec 11.000, les États-Unis avec 7.000, la France avec 6.500, la Chine avec 3.400, l’Iran avec 3.300, etc. Si nous comparons ces chiffres à une véritable pandémie comme les 50 millions de morts dans le monde de la grippe espagnole, nous devons nous demander QU’EST-CE QUE TOUT CE TOHU-BOHU? L’agitation n’a de sens qu’en tant que PSYOP. En fait, ce nombre de morts par ce KILLER RHUME (coronavirus) n’est relativement élevé qu’en Italie, en Espagne, aux États-Unis, en France, en Chine et en Iran MAIS pas dans des pays comme la Syrie (2), la Russie (34), le Mexique (50), l’Inde (72), Brésil (359), Suède (373), etc.

Scott Bennett, un ancien spécialiste des opérations psychologiques de l’armée américaine, a déclaré: « il s’agit d’une opération psychologique fabriquée qui a été coordonnée avec une véritable maladie physique (KILLER RHUME du Dr Anthony Fauci) pour répandre la peur, la panique et l’intimidation dans l’économie chinoise dans le but d’isoler la Chine et de perturber l’alliance économique et militaire sino-russe-iranienne … « 

«Il s’agit d’une opération psychologique exploitée conçue pour semer la panique, l’intimidation et aussi ouvrir des portes pour« le développement de l’aide et de la vaccination immunitaire », qui peuvent en fait entraîner plus de mal que de bien. N’oubliez pas que l’Occident et son État profond (américain) sont inondés avec ces grandes sociétés pharmaceutiques qui génèrent des vaccins qui ne font que faire plus de mal … « , a-t-il ajouté.

« Donc, je pense que le coronavirus se transforme en beaucoup de fumée sans feu et le nombre de personnes qui meurent de la grippe et des maladies traditionnelles dépasse en fait les explications du coronavirus« , a-t-il noté.

 

Banditisme de grand chemin

Bennett a raison sur les objectifs externes de ce PSYOP CV-1984, mais il n’a pas vu ni mentionné les objectifs à l’intérieur de l’Amérique comme le peuple américain de la classe moyenne, leurs comptes de retraite et l’économie américaine.

 

En convainquant le public américain qu’un rhume commun était la terrible PANDEMIE CV-19, les Américains ne voient pas que leurs comptes de retraite épuisés par la FED travaillant de concert avec des banquiers d’investissement à Wall Street comme Goldman Sachs.

Pour s’assurer que les Américains ne relient pas les points entre le drainage de leurs comptes de retraite par la FED et les banquiers d’investissement, le gouvernement impose une quarantaine nationale pour détruire simultanément l’économie américaine.

Les médias contrôlés convaincront tout le monde que c’est la quarantaine du RHUME TUEUR qui les appauvrit et non la FED et le marché boursier manipulé par les banquiers d’investissement …

Vu dans sa totalité, ce CV-1984 PSYOP est une DÉSINFORMATION militarisée ciblant principalement l’alliance sino-russe-iranienne à l’étranger et les Américains de la classe moyenne à l’intérieur.

À cet égard, nous devons voir les décès du CV-19 en Italie avec près de 15000 décès supposés dans le contexte des événements de mars 2019, lorsque l’Italie est devenue la première économie développée de l’UE à signer le programme d’investissement mondial de la Route de la Soie en Chine, ce qui a déclenché l’ALARME parmi les Américains d’Italie  et alliés de l’UE.

« La société chinoise de communications et de construction aura accès au port de Trieste pour permettre des liaisons avec l’Europe centrale et orientale. Les Chinois seront également impliqués dans le développement du port de Gênes. » Avec ses ports italiens, la Chine bénéficiera d’une logistique parfaite pour distribuer ses produits MADE IN CHINA dans toute l’UE.

https://www.bbc.com/news/world-europe-47679760

Nous devons donc mettre fin aux quarantaines, retourner au travail et à l’école pour revitaliser les économies américaine et mondiale.

Ensuite, nous devons METTRE FIN À LA FED et poursuivre les banquiers et les banquiers d’investissement pour la restitution et leur RESPONSABILITÉ PÉNALE EN VERTU DE RICO pour leur complot financier frauduleux. Nous devons récupérer notre argent des escrocs de Wall Street et de la FED qui doivent rejoindre Bernie Madoff à la prison fédérale. Et quelques autres choses ….

Premier commentaire de Scott-

Le fameux concert des Rolling Stones

 

Cela a au moins un précédent. Un virus a été utilisé comme psy-op. Aux États-Unis, le SRAS a été traité comme ceci : « si vous respirez l’air au Canada, vous allez MOURIR!« 

À l’époque, cela ressemblait à une guerre économique contre le Canada. Cela était dû au refus de Jean Chrétien d’envoyer des troupes en Irak en 2003. La tactique a fonctionné. Le tourisme était en baisse.

Qu’est-ce qui y a mis fin? Le concert des Rolling Stones, à l’extérieur de Toronto. Même les plus craintifs pouvaient voir que tout était en sécurité!

Source : Covid 1984 — Psyop

 


Note 1

 

Dès que l’on parle de surveillance, on voit tout de suite Big Brother. Or, 1984 de Georges Orwell est un grand livre politique sur le totalitarisme, mais pas sur la surveillance. Nous ne sommes pas dans un monde d’imposition autoritaire de la technologie : nous participons activement à la pérennisation de tous ces dispositifs de surveillance technologique. Notre présent ressemble davantage au Meilleur des mondes de Huxley ou à Minority Report, de Philip K. Dick, avec les gouvernements d’un côté et les entreprises privées de l’autre qui partagent la même obsession de la prédiction et le contrôle de nos comportements.
Il est beaucoup plus difficile de s’opposer à la dystopie de Huxley, dans laquelle on est un peu anesthésié, mais participant. Or, nous avons cruellement besoin de mobiliser des imaginaires pour les transformer en outils effectifs de libération, de lutte ou de résistance face à ces orientations de la société.

 

Joignons la Résistance!Arrêtons le Nouvel Ordre Mondial!

 

COVID-19 : « Le Canada est au bord du précipice », avancent des médecins

La carte de l’expansion du coronavirus au-début de la pandémie.

Des médecins demandent des mesures draconiennes à l’échelle du pays pour tenter de limiter la propagation de la COVID-19. Selon eux, il est déjà trop tard pour préparer les hôpitaux à cette maladie.

 

 

Le Canada est au bord d’un précipice potentiel de santé publique, selon l’Association canadienne des médecins d’urgence.

Le groupe, qui représente 2500 membres, croit que les mesures mises en place par les autorités gouvernementales ne sont pas assez strictes pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus.

«Les hôpitaux canadiens pourraient ne pas être en mesure de recevoir et de traiter la vague prévue de patients nécessitant une admission dans des unités d’hospitalisation ou des soins intensifs», peut-on lire dans un communiqué de l’association.

«Étant donné que la transmission communautaire est maintenant établie, le risque de transmission communautaire […] doit être une préoccupation primordiale», ajoute l’Association canadienne des médecins d’urgence dans son communiqué.

Sur le site web change.org, plus de 230 pétitions incluant le terme «coronavirus» circulent.

Une pétition, qui a amassé plus de 37 000 signatures en une journée, a été lancée par la médecin de famille à Ottawa Brittany Harrison et deux autres médecins.

Elle exhorte les deux ordres de gouvernement à mettre en place des mesures strictes pour lutter contre la propagation de la COVID-19 et mieux informer le public.

La Dre Brittany Harrison demande, par exemple, la fermeture immédiate de toutes les entreprises non essentielles à l’échelle nationale, la mise en quarantaine obligatoire pour l’ensemble de la population (à l’exception de ceux travaillant dans les services essentiels ou des patients malades nécessitant des services médicaux) et de limiter les voyages domestiques, entre autres.

Selon le Dr Drummond, cette pétition concorde avec leurs demandes.

La Dre Harrison se dit rassurée par les mesures introduites par le premier ministre Justin Trudeau concernant les frontières, mais le Dr Drummond ne comprend pas pourquoi l’accès aux Américains est encore permis ni pourquoi ces mesures n’ont pas été introduites avant.

«On ne sait pas ce que l’avenir nous réserve, mais on doit tout faire [pour mettre les chances de notre côté]», conclut-il.

 

 

La propagation au Canada est inévitable, disent des experts

Le nombre de contaminations au coronavirus augmente au Canada, avec de nouveaux cas en Ontario et un troisième à l’étude au Québec, portant à 54 le nombre de cas confirmés et présumés au pays. Des experts s’entendent pour dire que l’éventuelle propagation de la pneumonie virale est inévitable.

À ce jour, la COVID-19 a fait près de 3500 morts et plus de 100 000 personnes dans le monde ont été contaminées dans 92 pays et territoires.

« L’infection va se faire. On est déjà dans une situation de pandémie », prédit Tatiana Scorza, professeure au département des sciences biologiques à l’Université du Québec à Montréal.

 

« Si on continue à prendre des mesures appropriées, on pourrait se limiter à des cas importés », nuance pour sa part la Dre Anne Gatignol, professeure de microbiologie à l’Université McGill.

 

En Ontario, l’un des derniers cas recensés est un voyageur revenu récemment de Las Vegas, ont annoncé les responsables de la santé de la province, qui compte dorénavant 28 cas. Toutefois, au moins quatre de ces malades ont depuis été guéris. Tous les patients ayant été déclarés positifs au nouveau coronavirus avaient récemment voyagé à l’extérieur du Canada ou avaient eu des contacts étroits avec un autre patient qui l’avait fait. L’Alberta a également fait état d’un premier cas jeudi soir.

La Colombie-Britannique a quant à elle annoncé 8 nouveaux cas de la pneumonie virale, pour un total de 21, dont le premier cas apparent de transmission dans la communauté au pays, jeudi soir. Il s’agit d’une femme de la région de Vancouver déclarée positive au coronavirus malgré l’absence de voyage à l’extérieur du pays et aucun contact connu avec un autre malade.

 

D’après la Dre Gatignol, cette contamination a « peut-être deux ou trois intermédiaires ». Si ce type de contamination venait à se reproduire au pays, il faudrait selon elle prendre des mesures plus draconiennes pour limiter la propagation, comme le fait d’éviter les rassemblements.

Des mesures à prendre

 

Si elle estime qu’il est trop tôt pour prendre la décision de fermer des établissements scolaires, la chercheuse croit néanmoins que, pour l’instant, les gens qui rentrent au Canada en provenance de foyers épidémiques comme l’Iran, la Corée du Sud et le nord de l’Italie devraient être mis en quarantaine. « La quarantaine peut être comme ils ont fait avec les gens de Wuhan ou du Diamond Princess, mais ça peut aussi être à la maison s’ils ne contaminent pas la famille », suggère-t-elle.

Au Québec, deux cas ont été confirmés et un troisième est en attente de l’être par le Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg.

 

Néanmoins, les responsables de la santé de partout au pays ont déclaré que le risque posé par la COVID-19 demeure faible.

 

« Les gens vont, à un moment donné, en fonction de l’évolution de la situation, devoir adopter des mesures pour prévenir la transmission », prévient toutefois Mme Scorza, rappelant que le nouveau coronavirus est hautement transmissible.

 

Les autorités se préparent depuis des semaines à une éventuelle épidémie comme celles qui sévissent en Iran, en Corée du Sud, en Italie et en Chine, berceau de la maladie. Plus de 100 000 personnes dans le monde ont été contaminées dans 92 pays et territoires. À ce jour, la COVID-19 a fait tout près de 3500 morts.

 

« On n’est pas encore dans une situation d’alerte, mais c’est inquiétant parce qu’on voit que ça progresse partout dans le monde », constate Mme Scorza.

 

Vendredi, des premiers cas ont été répertoriés au Togo, au Cameroun, au Vatican, en Slovaquie, au Pérou, en Colombie, au Bhoutan et dans les Territoires palestiniens.

 

Aux États-Unis, où près de 300 cas ont été recensés et 15 personnes sont mortes, le festival culturel South by Southwest a été annulé dans l’État du Texas.

 

En raison d’un manque d’infrastructures et de ressources de base, le Conseil circumpolaire inuit s’est dit inquiet d’une éventuelle propagation de la pneumonie virale dans l’Arctique.

 

Selon l’organisme, la maladie à coronavirus COVID-19 représente un risque accru pour les communautés inuites, qui souffrent déjà du manque d’égouts et d’eau courante. Il réclame au gouvernement de combler ces lacunes dans le but de se protéger contre d’éventuelles menaces à la santé publique.

 

Canadiens en quarantaine

 

Le gouvernement fédéral a annoncé vendredi qu’il s’apprête à prendre des mesures en vue de protéger la santé des Canadiens et de l’économie du pays contre les conséquences engendrées par la COVID-19.

 

Le ministre des Finances, Bill Morneau, a déclaré qu’Ottawa annoncera bientôt un soutien aux Canadiens en quarantaine en raison du coronavirus.

 

Il a également déclaré que le gouvernement va augmenter sa provision pour éventualités dans son prochain budget au printemps pour s’assurer d’être en mesure de faire face à la COVID-19, qui a entraîné la chute du marché boursier.

 

« Il est important de garder à l’esprit que ce que cela signifiera pour l’économie canadienne dépendra en fin de compte de l’ampleur et de la propagation géographique du virus, et que ces éléments ne peuvent être connus tant qu’ils ne sont pas connus, a-t-il déclaré lors d’un discours devant le Canadian Club de Toronto. Notre gouvernement prévoit toute éventualité. »

 

Par ailleurs, la ministre de la Santé, Patty Hajdu, a annoncé l’octroi de 27 millions de dollars sur deux ans pour travailler sur la COVID-19. « Les fonds investis soutiendront 47 équipes de recherche de partout au Canada qui s’emploieront à accélérer l’élaboration, la mise à l’essai et l’application de mesures visant à gérer l’éclosion de COVID-19 », écrit le ministère, dans un communiqué.

 

« Et s’il faut davantage de ressources, on va en donner », a ajouté le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, Navdeep Bains, qui se trouvait aux côtés de Mme Hajdu.

Avec La Presse canadienne et l’Agence France-Presse

Chroniques des Illuminati. Une brève histoire du nouvel ordre mondial

PARTIE 1

Sans commentaire

En 1770, Mayer Amschel Rothschild établit les plans pour la création de Illuminatenorden (Ordre des Illuminati). Il confie l’organisation et le développement à un juif Ashkénaze, Adam Weishaupt, un crypto-juif en apparence catholique romain. C’est une religion basée sur les enseignements du Talmud, enseignements de juifs rabbiniques. Ce devait être appelé illuminati car il s’agit d’un terme luciférien qui signifie les gardiens de la lumière.

Adam Weishaupt

Lucifer est bel et bien vivant, Il est notre dieu, et nous sommes son peuple élu. -Mayer Amschel Rothschild, banquier.

Le terme novo ordo seclorum (nouvel ordre séculaire) est le slogan de la société secrète des Illuminati. « Personne n’entrera dans Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle prête serment d’adorer Lucifer. Personne n’entrera dans le Nouvel Age à moins qu’il prenne une initiation luciférienne » -David Spangler Directeur de l’Initiative Planétaire Nations unie.

Mayer Amschel Rothschild

1773 – Mayer Amschel Rothschild rassemble douze de ses amis les plus influents et les convainc que s’ils mettent tous leurs ressources en commun, ils peuvent gouverner le monde. Cette réunion a lieu à Francfort, en Allemagne. Rothschild informe également ses amis qu’il a trouvé le candidat parfait, un individu d’une intelligence et d’une ingéniosité incroyables, pour diriger l’organisation qu’il a planifiée – Adam Weishaupt[1]

 

1er mai 1776 – Adam Weishaupt (nom de code Spartacus) établit une société secrète appelée l’Ordre des Illuminati. Weishaupt est professeur de droit canonique à l’Université d’Ingolstadt en Bavière, en Allemagne. [Cette date, le 1er mai, doit devenir très importante pour les communistes soviétiques. Ils ont organisé des défilés militaires festifs ce jour-là.] Les Illuminati cherchent à établir un nouvel ordre mondial. Leurs objectifs sont les suivants:

1) Abolition de tous les gouvernements ordonnés

2) Abolition de la propriété privée

3) Abolition de l’héritage

4) Abolition du patriotisme

5) Abolition de la famille

6) Abolition de la religion

7) Création d’un gouvernement mondial

Juillet 1782 – L’Ordre des Illuminati s’associe à la franc-maçonnerie au Congrès de Wilhelmsbad. Le comte de Virieu, présent à la conférence, s’en va visiblement secoué. Interrogé sur les «tragiques secrets» qu’il a rapportés avec lui, il répond: «Je ne vous les confierai pas. Je peux seulement vous dire que tout cela est beaucoup plus grave que vous ne le pensez. » A partir de ce moment, selon son biographe,« le comte de Virieu ne pouvait que parler de la franc-maçonnerie avec horreur. »

1785 – Un courrier Illuminati nommé Lanze est frappé par la foudre et tué en voyageant à cheval à travers la ville de Ratisbonne. Lorsque les responsables bavarois examinent le contenu de ses sacoches, ils découvrent l’existence de l’Ordre des Illuminati et trouvent des plans détaillant la prochaine Révolution française. Le gouvernement bavarois tente d’alerter le gouvernement français d’une catastrophe imminente, mais le gouvernement français ne tient pas compte de cet avertissement. Les autorités bavaroises arrêtent tous les membres des Illuminati qu’ils peuvent trouver, mais Weishaupt et d’autres sont entrés dans la clandestinité et sont introuvables.

11 octobre 1785 – Les autorités bavaroises font une descente au domicile d’un membre des Illuminati nommé Von Zwack. Ils découvrent des documents Illuminati qui montrent très clairement qu’ils prévoient de provoquer une «révolution universelle qui devrait porter le coup fatal à la société… cette révolution sera l’œuvre des sociétés secrètes, et c’est l’un de nos grands mystères».

1789 – La violence éclate en France. La Révolution française non seulement renverse le gouvernement, mais tente également d’éliminer le christianisme de la nation. Une prostituée à moitié nue est placée sur l’autel de la cathédrale Notre-Dame et vantée comme la «déesse de la raison». Les fonctionnaires révolutionnaires suppriment même la semaine de sept jours [2] et la remplacent par une semaine de dix jours.

John Adams

1796 – La franc-maçonnerie devient un enjeu majeur de l’élection présidentielle aux États-Unis. John Adams remporte l’élection en s’opposant à la maçonnerie, et son fils John Quincy Adams met en garde contre la terrible menace pour la nation que représentent les loges maçonniques: «Je crois sincèrement que l’Ordre de la franc-maçonnerie, sinon le plus grand, est l’un des les plus grands maux moraux et politiques… »

1797 – John Robison, professeur d’histoire naturelle à l’Université d’Édimbourg en Écosse, publie un livre intitulé «Preuves d’une conspiration» dans lequel il révèle qu’Adam Weishaupt avait tenté de le recruter. Il expose les objectifs diaboliques et mondiaux des Illuminati .

George Washington était un franc maçon

1798 – George Washington reconnaît que l’activité des Illuminati est arrivée en Amérique: «Je n’ai pas l’intention de douter que la doctrine des Illuminati et les principes du jacobinisme ne se soient pas répandus aux États-Unis. Au contraire, personne n’est plus satisfait de ce fait que moi. »

1816 – Le Congrès accorde une charte de 20 ans à la Banque des États-Unis, une banque centrale privée pour l’Amérique. [La Constitution avait accordé au Congrès le «pouvoir de fabriquer de l’argent et d’en réglementer la valeur». Thomas Jefferson avait spécifiquement mis en garde le peuple américain contre le transfert de ce pouvoir pour créer de l’argent à un groupe privé non élu et non responsable devant le public: «Si le peuple américain autorise un jour les banques privées à contrôler l’émission de leur monnaie, d’abord par l’inflation puis par la déflation, les banques et les sociétés qui grandiront autour d’eux priveront le peuple de toute propriété jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri sur la continent que leurs pères ont conquis. »]

1821 – Georg W. F. Hegel formule ce que l’on appelle la dialectique hégélienne – le processus par lequel les objectifs des Illuminati sont atteints. Selon la dialectique hégélienne, thèse plus antithèse est synonyme de synthèse. En d’autres termes, vous fomenter d’abord une crise. Ensuite, il y a un énorme tollé public que quelque chose doit être fait pour résoudre le problème. Vous proposez donc une solution qui apporte les changements que vous vouliez vraiment depuis le début, mais que les gens n’auraient pas voulu accepter au départ. (Un bon exemple de cela sont les « révolutions de couleur » , « le Printemps Arabe » et le Printemps Érable ,au Québec ).

William_Morgan

1826 – William Morgan tente de publier un livre exposant les méfaits des loges maçonniques. Alors qu’il est en train d’imprimer son livre, il disparaît mystérieusement. [Son corps a été retrouvé dans le lac Ontario un an plus tard.]

1828 – Mayer Amschel Rothschild, qui finance les Illuminati, exprime son mépris total pour les gouvernements nationaux qui tentent de réglementer les banquiers internationaux tels que lui: «Permettez-moi d’émettre et de contrôler l’argent d’une nation, et je me fiche de qui rédige les lois. » [Comme le disait Sir Josiah Stamp, président de la Banque d’Angleterre dans les années 1920,« des opérations bancaires ont été conçues dans l’iniquité et sont nées dans le péché. Les banquiers possèdent la Terre entière; vous pouvez la leur enlever mais leur laisser le pouvoir de créer des dépôts, et avec un coup de stylo, ils créeront suffisamment de dépôts pour la racheter. »]

Frances Wright

1829 – L’illuministe britannique Frances «Fanny» Wright donne une série de conférences aux États-Unis. Elle annonce que divers subversifs et révolutionnaires doivent être unis dans un mouvement qui sera appelé «communisme». Elle explique que le mouvement doit être rendu plus acceptable pour le public en professant de soutenir «l’égalité des chances» et «l’égalité des droits».

Andrew Jackson

1829-1837 – Pendant que le président Andrew Jackson est en fonction, il y a des tentatives de poursuivre et de renforcer l’emprise d’une banque centrale sur les États-Unis. Le président Jackson s’oppose vigoureusement à ces efforts. Jackson dit à ses adversaires: «Vous êtes un repaire de vipères! J’ai l’intention de vous mettre en déroute, et par le Dieu éternel je vous mettrai en déroute. Si le peuple ne comprenait que l’injustice flagrante de notre argent et de notre système bancaire, il y aurait une révolution avant le matin. »  En 1832, Jackson met son veto à un projet de loi pour renouveler la charte de la Banque des États-Unis. En 1833, il retire les fonds publics de la Banque des États-Unis.

1848 – Moses Mordecai Marx Levy, alias Karl Marx, écrit «Le Manifeste communiste». Marx est membre d’une organisation du front Illuminati appelée la Ligue des Justes.

Karl Marx



Il ne préconise pas seulement des changements économiques et politiques; il prône également des changements moraux et spirituels. Il pense que la famille devrait être abolie et que tous les enfants devraient être élevés par une autorité centrale. Il exprime son attitude envers Dieu en disant: « Nous devons lutter contre toutes les idées dominantes de religion, d’État, de patrie, de patriotisme. L’idée de Dieu est la clé d’une civilisation pervertie. Elle doit être détruite. « 

1870 – John Ruskin est nommé professeur de beaux-arts à l’Université d’Oxford en Angleterre. Il enseigne à ses élèves que le gouvernement devrait prendre le contrôle de tous les moyens de production et de distribution, et il est prêt à placer le contrôle du gouvernement entre les mains d’un seul homme: «Mon objectif continu a été de montrer la supériorité éternelle de certains hommes sur les autres, parfois même d’un homme sur tous les autres. »

Albert Pike

1871 – Albert Pike, fondateur du Klu Klux Klan, publie son livre de 861 pages «Morals and Dogma», destiné uniquement aux lecteurs maçonniques. Il indique que ceux des rangs inférieurs de la maçonnerie sont délibérément trompés par leurs supérieurs: «Les degrés bleus [les trois premiers degrés des 32] ne sont que la cour extérieure ou le portique du Temple. Une partie des symboles y est exposée à l’Initié, mais il est intentionnellement induit en erreur par de fausses interprétations. Il n’est pas prévu qu’il les comprenne; mais il est prévu qu’il s’imaginera qu’il les comprendra. Leur véritable explication est réservée aux Adeptes, les Princes de la Maçonnerie. » [C’est pourquoi environ 95% des hommes impliqués dans la Maçonnerie n’ont pas la moindre idée de ce que sont réellement les objectifs de l’organisation. Ils ont l’illusion que c’est juste une bonne organisation communautaire qui fait du bon travail.]

Helena Petrovna Blavatsky

1875 – L’occultiste russe Helena Petrovna Blavatsky fonde la Société théosophique. Madame Blavatsky prétend que des saints tibétains de l’Himalaya, qu’elle appelle les Maîtres de la Sagesse, ont communiqué avec elle à Londres par télépathie. Elle insiste sur le fait que les chrétiens ont tout compris de travers, et  que Satan est bon et Dieu est mauvais. Elle écrit: «Les chrétiens et les scientifiques doivent être obligés de respecter leurs meilleurs maîtres indiens. La sagesse de l’Inde, sa philosophie et ses réalisations doivent être diffusées en Europe et en Amérique. »

1884 – La Fabian Society est fondée pour promouvoir le socialisme. La Fabian Society tire son nom du général romain Fabius Maximus, qui a combattu l’armée d’Hannibal dans de petites escarmouches débilitantes, plutôt que de tenter une bataille décisive.

14 juillet 1889 – Albert Pike donne des instructions aux 23 conseils suprêmes du monde. Il révèle qui est le véritable objet du culte maçonnique: «À vous, Souverains Grands Instructeurs Généraux, nous disons ceci, afin que vous puissiez le répéter aux Frères des 32e, 31e et 30e degrés: La religion maçonnique devrait être, pour nous tous, initiés des degrés élevés, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. »

1890-1896 – Cecil Rhodes, un étudiant enthousiaste de John Ruskin, est le premier ministre de l’Afrique du Sud, une colonie britannique à l’époque. Il est capable d’exploiter et de contrôler la richesse en or et en diamant de l’Afrique du Sud. Il travaille à mettre toutes les parties habitables du monde sous la domination d’une élite dirigeante. À cette fin, il utilise une partie de sa vaste richesse pour établir les célèbres bourses Rhodes pour étudiants.

5 février 1891 – Rhodes rejoint son groupe d’Oxford avec un groupe similaire de Cambridge dirigé par un ardent réformateur social William Stead. Rhodes et Stead sont membres du «Cercle des Initiés» intérieur de la société secrète qu’ils ont trouvée. Il existe également un cercle extérieur appelé «Association of Helpers» c’est-à-dire «Association de ceux qui  aident».

Annie Besant

1891 – Madame Blavatsky décède. La responsabilité du leadership du mouvement théosophique mondial revient à Annie Besant, militante féministe et membre de la Fabian Socialist Society of England. Elle se joint avec enthousiasme aux émeutes révolutionnaires de la rue et écrit de nombreux volumes  occultes à ajouter à ceux de Blavatsky.

1909-1913 – Lord Alfred Milner organise l ‘«Association of Helpers» en divers groupes de tables rondes dans les dépendances britanniques et aux États-Unis.

1912 – Le colonel Edward M. House, proche conseiller du président Woodrow Wilson, publie Phillip Dru: administrateur, dans lequel il promeut «le socialisme comme rêvé par Karl Marx».

1913 – Le président Woodrow Wilson publie «La nouvelle liberté» dans laquelle il révèle: «Depuis que je suis entré en politique, les opinions des hommes me sont principalement confiées en privé. Certains des plus grands hommes des États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelqu’un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il y a un pouvoir quelque part si organisé, si subtil, si vigilant, si imbriqué, si complet, si omniprésent, qu’ils feraient mieux de ne pas parler au-dessus de leur souffle lorsqu’ils le condamnent. »

23 décembre 1913 – Création de la Réserve fédérale [ni fédérale ni réserve – c’est une institution privée]. Elle a été planifiée lors d’une réunion secrète en 1910 sur l’île de Jekyl, en Géorgie, par un groupe de banquiers et de politiciens, dont le colonel House [3]. Cette décision transfère le pouvoir de créer de l’argent du gouvernement américain à un groupe privé de banquiers. Le Federal Reserve Act est adopté à la hâte juste avant les vacances de Noël. La planche n°5 du «Manifeste communiste» avait appelé à une telle banque centrale. [C’est probablement le plus grand générateur de dettes au monde.] Le membre du Congrès Charles A. Lindbergh Sr. (père du célèbre aviateur) prévient: «Cet acte établit le trust la plus gigantesque sur terre. Lorsque le président signera cet acte, le gouvernement invisible par le pouvoir de l’argent, prouvé par l’enquête Money Trust, sera légalisé… »

1916 – Trois ans après avoir promulgué la loi sur la Réserve fédérale, le président Woodrow Wilson observe: «Je suis un homme très malheureux. J’ai involontairement ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La croissance de la nation, donc, et toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. Nous sommes devenus l’un des gouvernements les moins gouvernés, l’un des gouvernements les plus contrôlés et dominés du monde civilisé. Ce n’est plus un gouvernement d’opinion libre, ni un gouvernement de conviction et de vote de la majorité, mais un gouvernement d’opinion et de contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants. »

1917 – Avec l’aide de financiers à New York et à Londres, V. I. Lénine est en mesure de renverser le gouvernement de la Russie. Lénine commente plus tard la contradiction apparente des liens entre les capitalistes éminents et le communisme: «Il existe également une autre alliance – à première vue étrange, surprenante – mais si vous y réfléchissez, en fait, une qui est bien fondée et facile à comprendre. C’est l’alliance entre nos dirigeants communistes et vos capitalistes. » [Vous vous souvenez de la dialectique hégélienne?] [4]

30 mai 1919 – D’éminentes personnalités britanniques et américaines fondent le Royal Institute of International Affairs en Angleterre et l’Institut of International Affairs aux États-Unis lors d’une réunion organisée par le colonel House; en présence de divers socialistes fabiens, dont le célèbre économiste John Maynard Keynes.

1920 – Le britannique Winston Churchill reconnaît le lien entre les Illuminati et la révolution bolchevique en Russie. Il observe: «Des jours de Spartacus-Weishaupt à ceux de Karl Marx, à ceux de Trotsky, Bela Kun, Rosa Luxembourg et Emma Goldman, cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et la reconstitution de la société sur la base de développement arrêté, de malveillance envieuse et d’égalité impossible, n’a cessé de croître. Il a joué un rôle clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Il a été le moteur de tous les mouvements subversifs au cours du XIXe siècle, et maintenant cette bande de personnalités extraordinaires du monde souterrain des grandes villes d’Europe et d’Amérique a saisi le peuple russe par les cheveux de sa tête et est devenue pratiquement les maîtres incontestés de cet immense empire. « 

1920-1931 – Louis T. McFadden est président du comité de la Chambre des banques et des devises. Concernant la Réserve fédérale, le membre du Congrès McFadden note: «Lorsque la Federal Reserve Act a été adoptée, le peuple de ces États-Unis ne se rendait pas compte qu’un système bancaire mondial était en train de se mettre en place ici. Un super-État contrôlé par des banquiers internationaux et des industriels internationaux agissant ensemble pour asservir le monde pour leur propre plaisir. La Fed a tout fait pour dissimuler ses pouvoirs, mais la vérité est que la Fed a usurpé le gouvernement. Elle contrôle tout ici et elle contrôle toutes nos relations extérieures. Ce fait brise les gouvernements à volonté. C’était un événement soigneusement conçu. Les banquiers internationaux ont cherché à provoquer une situation de désespoir ici afin qu’ils puissent émerger en tant que dirigeants de nous tous. »

1921 – Le colonel House réorganise la branche américaine de l’Institut des affaires internationales en le Council on Foreign Relations (CFR). [Au cours des 60 dernières années, 80% des postes les plus élevés dans chaque administration – qu’elle soit démocrate ou républicaine – ont été occupés par des membres de cette organisation. Pendant cette période, seuls deux présidents n’ont pas été directement affiliés au CFR – John Kennedy et Ronald Reagan. Kennedy a été assassiné et une tentative a été faite sur la vie de Reagan!]

 

15 décembre 1922 – Le CFR approuve le gouvernement mondial dans son magazine «Foreign Affairs». L’auteur Philip Kerr déclare: «De toute évidence, il n’y aura pas de paix ni de prospérité pour l’humanité tant que la terre restera divisée en 50 ou 60 États indépendants, jusqu’à ce qu’une sorte de système international soit créé. Le vrai problème aujourd’hui est celui du gouvernement mondial. »

1932 – Publication du «Plan for Peace» de la fondatrice de l’American Birth Control League, Margaret Sanger. Elle appelle à la stérilisation coercitive, à l’isolement obligatoire et à des camps de concentration de réadaptation pour tous les «stocks dysgéniques», y compris les Noirs, les Hispaniques, les Indiens d’Amérique et les catholiques. [L’American Birth Control League devient finalement Planned Parenthood – le principal promoteur et fournisseur de services d’avortement du pays. Beaucoup aujourd’hui ne sont pas conscients des origines racistes de la planification familiale.]

1933 Publication de «La forme des choses à venir» de H. G. Wells. Wells prédit une seconde guerre mondiale autour de 1940, issue d’un différend germano-polonais. Après 1945, il y aurait un manque croissant de sécurité publique dans les zones «infectées criminellement». Le plan de l ‘«État du monde moderne» réussirait à sa troisième tentative et résulterait d’un événement survenu à Bassorah, en Irak. Le livre déclare également: « Bien que le gouvernement mondial vienne manifestement depuis quelques années, bien qu’il ait été sans cesse redouté et murmuré, il n’a trouvé aucune opposition nulle part. »

Franklin Roosevelt

21 novembre 1933 – Dans une lettre adressée au colonel Edward M. House, le président Franklin Roosevelt écrit: «La vérité est que, comme vous et moi le savons, c’est le pouvoir financier des grands centres qui a possédé  le gouvernement depuis les jours d’Andrew Jackson. « 

1934 – «L’externalisation de la hiérarchie» d’Alice Bailey est publiée. Bailey est une occultiste, succédant à Annie Besant à la tête de la Theosophical Society. Les œuvres de Bailey sont canalisées par un guide spirituel, le maître tibétain [esprit démon] Djwahl Kuhl. [Ses enseignements forment la base du mouvement New Age actuel.] Elle écrit: «L’heure des anciens mystères est arrivée. Ces Mystères Anciens étaient cachés en nombre, en rituel, en mots et en symbologie; ceux-ci voilent le secret. Il ne fait donc aucun doute que le travail à faire pour familiariser le grand public avec la nature des Mystères est d’une importance capitale à l’heure actuelle. Ces mystères seront restitués à l’expression extérieure par l’intermédiaire de l’Église et de la Fraternité maçonnique. »

Elle déclare en outre:« , le nouvel ordre mondial doit être construit à partir de la spoliation de toutes les cultures et civilisations existantes. »[Le livre est publié par le Lucis Trust, constitué à l’origine à New York sous le nom de Lucifer Publishing Company. Lucis Trust est une ONG des Nations Unies (organisation non gouvernementale) et a été un acteur majeur lors des récents sommets des Nations Unies. Plus tard, le secrétaire général adjoint de l’ONU, Robert Muller, attribuerait la création de son programme de base mondial pour l’éducation aux enseignements sous-jacents de Djwahl Kuhl, via les écrits d’Alice Bailey sur le sujet.]

1937 – Les élèves de l’École Lénine de lutte politique à Moscou apprennent: «Aujourd’hui, bien sûr, nous ne sommes pas assez forts pour attaquer. Pour gagner, nous aurons besoin de l’élément de surprise. Le monde occidental devra être endormi. Nous allons donc commencer par lancer le mouvement de paix le plus spectaculaire jamais enregistré. Il y aura des ouvertures électrisantes et des concessions inouïes. Les pays capitalistes, stupides et décadents, se réjouiront de coopérer à leur propre destruction. Ils sauteront sur une autre chance d’être amis. Dès que leur garde sera baissée, nous les briserons avec notre poing fermé. »

28 octobre 1939 – Dans une allocution de John Foster Dulles [futur secrétaire d’État américain], il propose que l’Amérique mène la transition vers un nouvel ordre d’États semi-souverains moins indépendants liés par une ligue ou une union fédérale.

Le grand écrivain de science fiction a aussi écrit un livre annonçant le Nouvel Ordre mondial.

1939 «New World Order» de HG Wells propose un «État mondial collectiviste» ou «nouvel ordre mondial» composé de «démocraties socialistes». Il prône la «conscription universelle pour le service» et déclare que «l’individualisme nationaliste est la maladie du monde» Il poursuit: «La nécessité manifeste d’un contrôle mondial collectif pour éliminer la guerre et la nécessité moins généralement admise d’un contrôle collectif de la vie économique et biologique de l’humanité sont des aspects d’un seul et même processus.» Il propose que cela pourrait être accompli par la «loi universelle» et la «propagande» (ou l’éducation).

1940 – “The New World Order” (Le Nouvel Ordre Mondial) est publié par le Carnegie Endowment for Peace et contient une liste sélective de références sur la fédération régionale et mondiale, ainsi que des plans spéciaux pour l’ordre mondial après la guerre.

28 juin 1945 – Le président Truman approuve le gouvernement mondial dans un discours: « Il sera tout aussi facile pour les nations de s’entendre dans une république du monde que pour nous de nous entendre dans une république des États-Unis. »

24 octobre 1945 – La Charte des Nations Unies entre en vigueur.

Juillet 1948 – Sir Harold Butler, dans les «Affaires étrangères» du CFR, voit «un nouvel ordre mondial» se dessiner: «Dans quelle mesure la vie des nations, qui pendant des siècles se considéraient comme distinctes et uniques, peut-elle être la vie des autres nations? Jusqu’où sont-ils prêts à sacrifier une partie de leur souveraineté sans laquelle il ne peut y avoir d’une union économique ou politique efficace? »

 

Citation de James Warburg

7 février 1950 – Le financier international et membre du CFR, James Warburg, dit à un sous-comité sénatorial des relations étrangères: «Nous aurons un gouvernement mondial, que vous l’aimiez ou non – par la conquête ou le consentement

1953 – Rowan Gaither, président de la Fondation Ford, déclare à une commission du Congrès enquêtant sur les fondations exonérées d’impôt: «Nous, au niveau exécutif, étions actifs au sein de l’OSS [précurseur de la CIA], du Département d’État ou de l’Administration économique européenne . Pendant ces périodes, et sans exception, nous fonctionnions selon les directives émises par la Maison Blanche. Nous continuons d’être guidés par de telles directives, dont la substance était que nous devrions faire tout notre possible pour modifier la vie aux États-Unis de manière à permettre une fusion confortable avec l’Union soviétique. »

23 février 1954 – Le sénateur William Jenner de l’Indiana déclare devant le Sénat américain: «Aujourd’hui, la voie vers une dictature totale aux États-Unis peut être tracée par des moyens strictement légaux, invisibles et inconnus du Congrès, du président ou du peuple. Nous avons un groupe d’action politique bien organisé dans ce pays, déterminé à détruire notre Constitution et à créer un État à parti unique. Il a un pied au sein de notre gouvernement et son propre appareil de propagande. On peut appeler ce groupe par plusieurs noms. Certains l’appellent le socialisme, certains le collectivisme. Je préfère l’appeler «centralisme démocratique». Le point important à retenir à propos de ce groupe n’est pas son idéologie mais son organisation. C’est un corps d’élite dynamique et agressif, se frayant un chemin à chaque ouverture, pour faire une brèche pour un État collectiviste à parti unique. Il opère secrètement, silencieusement, en continu pour transformer notre gouvernement sans soupçonner que le changement est en cours. Ce corps révolutionnaire secret comprend bien le pouvoir d’influencer le peuple par une élégante forme de lavage de cerveau. Nous le voyons, par exemple, dans l’utilisation innocente de mots comme «démocratie» à la place de «gouvernement représentatif». »

1954 – Le Prince Bernhard des Pays-Bas établit les Bilderbergers, politiciens et banquiers internationaux qui se réunissent secrètement chaque année.

25 novembre 1959 – L’étude n ° 7 du Council on Foreign Relations appelle à un «… nouvel ordre international qui doit répondre aux aspirations mondiales à la paix, au changement social et économique… un ordre international… incluant des États se qualifiant de« socialistes » [ communiste]. »

1959 – Publication du «Mid-Century Challenge to U.S. Foreign Policy», parrainé par le Rockefeller Brothers’s Fund. Il explique que les États-Unis «ne peuvent pas s’échapper, et devraient en effet saluer… la tâche que l’histoire nous a imposée. C’est la tâche d’aider à façonner un nouvel ordre mondial dans toutes ses dimensions – spirituelle, économique, politique, sociale. »

1962 – “The Future of Federalism” (L’avenir du fédéralisme) de Nelson Rockefeller affirme que les événements actuels exigent de manière impérieuse un «nouvel ordre mondial». Il dit qu’il y a: «Une fièvre de nationalisme… mais l’État-nation devient de moins en moins compétent pour accomplir ses tâches politiques internationales … Ce sont quelques-unes des raisons qui nous poussent à nous diriger vigoureusement vers la véritable construction d’un nouvel ordre mondial… Plus tôt peut-être que nous nous en rendrons compte… les bases d’une structure fédérale du monde libre évolueront. »

13 novembre 1963 – Il est allégué que seulement dix jours avant son assassinat, le président John F. Kennedy dit à un auditoire de l’Université de Columbia: «La haute fonction du président a été utilisée pour fomenter un complot visant à détruire la liberté des Américains, et avant de quitter mes fonctions, je dois informer les citoyens de cette situation difficile. »

1966 – Le professeur Carroll Quigley, mentor de Bill Clinton à l’Université de Georgetown, rédige un énorme volume intitulé «Tragedy and Hope» dans lequel il déclare: «Il existe et il a existé depuis une génération, un réseau international qui fonctionne, dans une certaine mesure, dans la façon dont la droite radicale croit que les communistes agissent. En fait, ce réseau, que nous pouvons identifier comme les groupes de tables rondes, n’a aucune aversion à coopérer avec les communistes, ou tout autre groupe, et le fait fréquemment. Je connais le fonctionnement de ce réseau car je l’ai étudié pendant vingt ans et j’ai été autorisé pendant deux ans, au début des années 1960, à examiner ses papiers et ses archives secrètes. Je n’ai aucune aversion pour lui ou pour la plupart de ses objectifs et, pendant une grande partie de ma vie, j’ai été proche de lui et de beaucoup de ses instruments. Je me suis opposé, dans le passé et récemment, à quelques-unes de ses politiques, mais en général ma principale divergence d’opinion est qu’il souhaite rester inconnu, et je crois que son rôle dans l’histoire est suffisamment important pour être connu. »

26 juillet 1968 – Nelson Rockefeller promet que «en tant que président, il œuvrerait à la création internationale d’un nouvel ordre mondial».

1969 – Un document intitulé «Mariage et famille» est publié par la British Humanist Association, déclarant que «certains opposants à l’humanisme nous ont accusés de vouloir renverser la famille chrétienne traditionnelle. Ils ont raison. C’est exactement ce que nous avons l’intention de faire. »

1970 – Le département américain de la Défense alloue des fonds [2 millions de dollars par an pendant cinq ans] au «développement d’agents destructeurs du système immunitaire pour la guerre biologique». [Source du virus VIH qui cause le SIDA. Le virus a ensuite été introduit dans la communauté homosexuelle via le vaccin contre l’hépatite et en Afrique centrale via le vaccin contre la variole.] 

1970 – Zbigniew Brzezinski [qui deviendra plus tard le conseiller à la sécurité nationale du président Jimmy Carter] écrit un livre intitulé «Entre deux âges» qui ne tarit pas d’éloges pour le marxisme : “ Le marxisme est à la fois une victoire de l’homme actif extérieur sur l’homme intérieur et passif et une victoire de la raison sur la croyance… Le marxisme, diffusé au niveau populaire sous forme de communisme, représente une avancée majeure dans la capacité de l’homme à conceptualiser sa relation avec le monde.  » Il décrit également comment une guerre peut être menée contre une nation sans que ses citoyens ne se rendent même compte qu’ils sont attaqués:  » La technologie mettra à la disposition des dirigeants des principales nations une variété de techniques pour mener une guerre secrète, dont seule une un minimum de forces de sécurité doit être utilité. Une nation peut attaquer un concurrent secrètement… des techniques de modification du temps pourraient être utilisées pour produire des périodes prolongées de sécheresse ou de tempête, affaiblissant ainsi la capacité d’une nation et l’obligeant à accepter les demandes de l’adversaire. ”

1972 – Le président Nixon visite la Chine et porte un toast au Premier ministre chinois Chou En-lai en parlant de «l’espoir que chacun de nous doit construire un nouvel ordre mondial».

1973 – Banquier international et membre fidèle du subversif Council on Foreign Relations (Conseil des relations étrangères), David Rockefeller fonde une nouvelle organisation appelée la Commission Trilatérale[6]  Il invite le futur président Jimmy Carter à devenir l’un des membres fondateurs. Zbigniew Brzezinski est le premier directeur de l’organisation.

1973 – Le Club de Rome, une agence de l’ONU, publie un rapport intitulé «Modèle régionalisé et adaptatif du système mondial». Ce rapport divise le monde entier en dix régions.


PARTIE 2

 

En 1770, Mayer Amschel Rothschild établit les plans pour la création de Illuminatenorden (Ordre des Illuminati). Il confie l’organisation et le développement à un juif Ashkénaze, Adam Weishaupt, un crypto-juif en apparence catholique romain. C’est une religion basée sur les enseignements du Talmud, enseignements de juifs rabbiniques. Ce devait être appelé illuminati car il s’agit d’un terme luciférien qui signifie les gardiens de la lumière.

Lucifer est bel et bien vivant, Il est notre dieu, et nous sommes son peuple élu. -Mayer Amschel Rothschild, banquier.

Le terme novo ordo seclorum (nouvel ordre séculaire) est le slogan de la société secrète des Illuminati. « Personne n’entrera dans Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle prête serment d’adorer Lucifer. Personne n’entrera dans le Nouvel Age à moins qu’il prenne une initiation luciférienne » -David Spangler Directeur de l’Initiative Planétaire Nations unie.

10 août 1973 – David Rockefeller écrit un article pour le «New York Times» décrivant sa récente visite en Chine rouge: «Quel que soit le prix de la révolution chinoise, elle a évidemment réussi non seulement à produire une administration plus efficace et plus dévouée, mais aussi pour favoriser un moral élevé et un objectif communautaire. »

Avril 1974 – L’article de Richard Gardner, ancien sous-secrétaire d’État adjoint américain, trilatéraliste et membre du CFR, «The Hard Road to World Order», est publié dans le CFR «Foreign Affairs», où il déclare: «la maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas… mettant fin à toute souveraineté nationale, l’érodant morceau par morceau, cela s’accomplira beaucoup plus facilement qu’un assaut frontal à l’ancienne. »

Automne 1976 – Les opérateurs de radio du monde entier commencent à recevoir des impulsions électroniques particulières qu’ils surnomment le “woodpecker.” «pivert». [On apprend que la source du pivert est l’Union soviétique. Les ingénieurs météorologiques soviétiques envoient les faisceaux radioélectriques artificiels les plus puissants jamais créés – beaucoup plus puissants que tout ce qui était prévu auparavant – dans le but de modifier le climat terrestre.]

1977 – La Commission trilatérale publie le document officiel n ° 13 intitulé «Collaboration avec les pays communistes dans les problèmes mondiaux de l’humanité. » Le rapport recommande « une coopération trilatérale / communiste dans neuf domaines de préoccupation mondiale », y compris « la modification des conditions météorologiques ».

Juillet 1977 – L’article de Jeremiah Novak « The Trilateral Connection » paraît dans le « Atlantic Monthly »: « Pour la troisième fois en ce siècle, un groupe d’écoles américaines, d’hommes d’affaires et de représentants du gouvernement prévoit de façonner un nouvel ordre mondial … »

Avril 1978 – Le Département américain de l’armée ajoute dans son «Chaplain’s Handbook of Religious Requirements» de nouvelles religions reconnues par le gouvernement fédéral et qui peuvent être légalement pratiquées sur toutes les bases militaires du monde. Ces «nouvelles» religions sont le satanisme, la sorcellerie et d’autres religions occultes.

1979 – Barry Goldwater, sénateur républicain à la retraite de l’Arizona, publie son autobiographie «Sans excuses». Il écrit: «À mon avis, la Commission trilatérale représente un effort habile et coordonné pour prendre le contrôle et consolider les quatre centres de pouvoir – politique, monétaire , intellectuel et ecclésiastique. Tout cela doit être fait dans l’intérêt de créer une communauté mondiale plus pacifique et plus productive. »

1980 – Derek Shearer, membre de longue date de l’Institute for Policy Studies, publie un livre intitulé «Economic Democracy» dans lequel il prévoit qu’un président d’extrême gauche sera élu dans les années 1990. [Un seul président a été élu dans les années 90 – Bill Clinton. Et il était colocataire de l’université de Derek Shearer en 1969!] L’Institute for Policy Studies est « attaché au socialisme en Amérique et aux côtés de l’Union soviétique sur presque toutes les questions importantes de politique étrangère« .

1981-lors de la Nuit des Longs Couteaux,le premier-ministre René Levesque sera simplement ignoré par les 11 autres politiciens du Canada.Un acte de trahison!

1982-Lors du rapatriement unilatéral de la Constitution Canadienne,le Québec est écarté de la table et forcé de subir  les lois fédéraliste du premier-ministre canadien et franc maçon:Pierre-Eliott Trudeau.

 

25 avril 1982 – Une annonce pleine page apparaît dans les principaux journaux du monde entier proclamant: «LE CHRIST EST MAINTENANT ICI». La campagne de publicité coïncide avec le début d’une tournée de conférences d’un Benjamin Creme, un théosophiste britannique. Dans diverses interviews et discours, Creme explique qu’en parlant du «Christ», il ne signifie pas Jésus-Christ mais Lord Maitreya, le Maître du Monde. Selon Creme, Jésus, Bouddha, Krishna et d’autres ne sont que des disciples de Maitreya. Ces Maîtres Ascensionnés comprennent une Hiérarchie Spirituelle éclairée qui a guidé l’évolution de l’humanité à travers l’histoire. Il soutient que le Seigneur Maitreya répond aux attentes de tous les peuples. Maitreya est le Christ attendu par les chrétiens; et les Juifs, il est le Messie, pour les musulmans, il est l’Imam Mahdi, pour les bouddhistes, il est le cinquième Bouddha, pour les hindous, il est Krishna. Dans le passé, nous dit Creme, ces Maîtres Ascensionnés ont généralement travaillé par l’intermédiaire de disciples, mais maintenant ils sont parmi nous et prêts à aider notre monde à franchir la prochaine étape. [La publication de Benjamin Creme «Share International» est maintenant produite en association avec le Département de l’information des Nations Unies.]

1983 – «L’Humaniste» publie un essai qui proclame que «la bataille pour l’avenir de l’humanité doit être menée dans la classe de l’école publique… entre le cadavre pourri du christianisme et la nouvelle foi de l’humanisme… et l’humanisme sortira triomphant».

1985 – Norman Cousins, président de la World Future Society et président honoraire de Planetary Citizens, déclare: «Le gouvernement mondial arrive. En fait, c’est inévitable. Aucun argument pour ou contre ne peut changer ce fait. »

13 août 1986 – Associated Press rapporte: «Des personnes éparpillées sur une grande partie de l’est des États-Unis ont signalé une lumière mystérieuse dans le ciel nocturne, et des habitants du Kentucky ont déclaré avoir entendu un boom et senti leurs maisons trembler. Il y a eu des rapports similaires dans d’autres parties de l’Est. La lumière mystérieuse a été observée par des Américains du Michigan, du Maine, de la Louisiane et du Kentucky. Certaines personnes ont dit avoir vu «une très grosse boule de feu», a déclaré le shérif du comté de Clark, Larry Lawson, dans le Kentucky. Les gens ont dit que leurs maisons tremblaient et que les fenêtres vibraient comme s’il y avait eu une explosion ou un tremblement de terre, mais ce n’était que pour quelques secondes. Ils ont dit que tout le ciel s’est éclairé. »

14 août 1986 – USA Today décrit les événements qui se sont produits dans la nuit du 12 août: «Un spectacle de lumière spectaculaire qui a traversé le ciel nocturne à l’est du Mississippi a dérouté les astronomes

3 juillet 1987 – La «République de l’Arizona» rapporte: «Une explosion forte et surprenante a secoué le nord du comté de San Diego pendant la nuit, mais les autorités ont déclaré qu’elles ne savaient pas ce qui avait provoqué l’explosion mystérieuse.» Le Météorologue Wilbur Shigehara du National Weather Service est cité comme disant: «Cela sonnait comme une explosion d’un canon. Ce fut une grande secousse momentanée. C’est un mystère. L’année dernière, nous avons eu plusieurs secousses comme celle-ci. Cela arrivait trois ou quatre fois par jour pendant une semaine. Nous n’avons jamais découvert ce que c’était. »

8 juillet 1987 –  Arizona Republic rapporte: «Pour des raisons inconnues même des experts en météorologie, la température à Greensberg, au Kansas, a bondi de 20 degrés en dix minutes.» Bill Ellis, observateur du National Weather Service, a déclaré: « Je n’ai jamais rien vu de tel, et je ne connais personne qui l’ait jamais vu. » [Une expérience secrète de modification du temps?]

11 août 1987 – Le Bureau des brevets des États-Unis accorde le brevet numéro 4686605 au Dr Bernard Eastlund, un physicien qui est consultant pour la Atlantic Richfield Company. Le Dr Eastlund travaille également pour l’ARPA (Advanced Research Projects Agency) du Département de la défense. Le brevet porte sur une technologie permettant de «changer le climat en redirigeant les régimes de vent très élevé». En bombardant le courant-jet avec des ondes électromagnétiques de haute intensité, le Dr Eastlund est en mesure de le détourner et de modifier les conditions météorologiques dans une zone particulière.

2 novembre 1987 – Mikhaïl Gorbatchev s’adresse au Politburo soviétique: «En octobre 1917, nous nous sommes séparés du vieux monde, le rejetant une fois pour toutes. Nous nous dirigeons vers un nouveau monde, le monde du communisme. Nous ne fermerons jamais cette voie! » Il rassure en outre ses collègues communistes: « Camarades, ne vous inquiétez pas de tout ce que vous entendez sur la glasnost, la perestroïka et la démocratie dans les années à venir. Ce sont principalement pour la consommation extérieure. Il n’y aura pas de changement interne significatif au sein de l’Union soviétique, sauf à des fins esthétiques. Notre objectif est de désarmer les Américains et de les laisser s’endormir. » [On a vu plus tard que Gorbatchev mentait effrontément et qu’il a œuvré à la destruction de l’Union Soviétique. Il n’a pas endormi les Américains comme il prétend, mais les Russes]

 

Lord Maitreya

Juin 1988 – Lord Maitreya apparaît mystérieusement devant un public à Nairobi, au Kenya. [Maitreya est apparu à plusieurs groupes dans différentes parties du monde depuis ce temps. Lorsque Maitreya apparaît, on prétend que l’eau dans la zone est «chargée» – qu’elle acquiert des pouvoirs de guérison miraculeux. L’attitude de Benjamin Creme envers ceux qui refusent d’accepter cette figure comme le Messie du monde se voit dans cette déclaration: «Lorsque les hommes verront Maitreya, ils sauront que le moment est venu de choisir; aller de l’avant avec lui dans un avenir éblouissant dans sa promesse – ou cesser de l’être. »]

Selon une grande autorité du Mouvement Rosecroix que je connais et sur l’avis de 2 loges maçonniques indépendantes du Rite Écossais:Lord Maitreya serait  une  entité envoyée par Lucifer lui-même dans notre Univers!Au mieux,il s’agirait d’un imposteur se proposant comme le Nouveau Messie.

7 décembre 1988 – Dans un discours à l’ONU, Mikhaïl Gorbatchev dit: « Le progrès mondial n’est possible que par la recherche d’un consensus humain universel alors que nous progressons vers un nouvel ordre mondial. »

12 mai 1989 – À la Texas A&M University, George Bush déclare que les États-Unis sont prêts à accueillir l’Union soviétique «dans l’ordre mondial».

1990 – Dans son livre «Les clés de ce sang», le prêtre catholique Malachi Martin cite le pape Jean-Paul II: «À la fin de cette décennie, nous vivrons sous le premier gouvernement mondial unique qui ait jamais existé dans la société des nations. … Un gouvernement doté d’une autorité absolue pour décider des questions fondamentales de survie. Un gouvernement mondial est inévitable. »

1990 – Peter Kawaja, responsable de la sécurité d’une entreprise appelée Product Ingredient Technology à Boca Raton, en Floride, apprend à sa grande consternation que l’usine qu’il a été amené à croire qu’il fabriquait un arôme de cerise produit en fait des agents chimiques / biologiques à expédier en Irak. Il découvre également que cela se fait avec la pleine connaissance et le consentement du FBI, de la CIA et de l’administration Bush. Lorsqu’il tente d’alerter les autorités, des agents du gouvernement saisissent les documents qu’il a recueillis et sa femme est tuée. [D’où la mystérieuse maladie de la guerre du Golfe que le gouvernement fédéral refuse de reconnaître.]

11 septembre 1990 – Dans une allocution au Congrès intitulée «Vers un nouvel ordre mondial», George Bush déclare: «La crise dans le golfe Persique offre une rare opportunité d’évoluer vers une période historique de coopération. De ces temps troublés, un nouvel ordre mondial peut émerger. Nous sommes maintenant en vue d’une Organisation des Nations Unies qui fonctionne comme prévu par ses fondateurs. »[Mais qui étaient les fondateurs de l’ONU et quelles étaient exactement leurs intentions? Au moins 43 membres de la délégation américaine à la conférence de fondation à San Francisco étaient également membres du CFR. Le secrétaire général à la conférence de fondation des Nations Unies en 1945 était un fonctionnaire du département d’État américain nommé Alger Hiss. Il a été déterminé plus tard qu’Alger Hiss était un espion soviétique. Il a été reconnu coupable de parjure pour avoir menti sur ses activités pro-soviétiques. Et Hiss n’était pas seulement une aberration. L’ONU a toujours choisi des mondes mondains socialistes pour les dirigeants.]

Alger Hiss était un espion soviétique…dans la cours des USA.

1er octobre 1990 – Dans une allocution aux Nations Unies, le président Bush parle de «… la force collective de la communauté mondiale exprimée par les Nations Unies… un mouvement historique vers un nouvel ordre mondial».

1991 – Le président Bush fait l’éloge du Nouvel Ordre Mondial dans un Message sur l’ état de l’Union : «Ce qui est en jeu, c’est plus d’un petit pays, c’est une grande idée – un nouvel ordre mondial… pour réaliser les aspirations universelles de l’humanité… basées sur principes partagés et primauté du droit… L’illumination de mille points de lumière… Le vent du changement est avec nous maintenant. »[La théosophiste Alice Bailey a utilisé cette même expression -« points de lumière »- pour décrire le processus de l’illumination occulte .]

le général Brent Scowcrof reçoit une médaille de George W Bush pour service rendu…

 

1991 – À la veille de la guerre du Golfe, le général Brent Scowcroft, conseiller à la sécurité nationale du président Bush, proclame: « Un événement colossal est à nos portes, la naissance d’un nouvel ordre mondial ».

Juillet 1991 – Lors d’un programme CNN, l’ancien directeur de la CIA, Stansfield Turner (CFR), interrogé sur l’Irak, répond: «Nous avons un objectif beaucoup plus grand. Nous devons regarder le long terme ici. Ceci est un exemple – la situation entre les Nations Unies et l’Iraq – où les Nations Unies empiètent délibérément sur la souveraineté d’une nation souveraine… Maintenant, c’est un merveilleux précédent à utiliser dans tous les pays du monde… »

Mikhaïl Gorbatchev et George H W Bush scellant une entente à Washington

Août 1991 – On nous dit que les extrémistes de l’Union soviétique ont monté un coup d’État et que Mikhaïl Gorbatchev a été arrêté. La tentative de coup d’État échoue, ce qui entraîne la disparition apparente du système soviétique et l’installation de Boris Eltsine. [On a appris depuis que le «coup d’État» était une imposture conçue pour convaincre l’Occident que le communisme était tombé alors qu’en réalité il ne l’avait pas fait. Mikhaïl Gorbatchev avait en fait planifié le coup d’État organisé trois semaines avant qu’il ne se produise. Tous les dirigeants du coup d’État ont été graciés et libérés.]

29 octobre 1991 – David Funderburk, ancien ambassadeur des États-Unis en Roumanie, déclare à un public de Caroline du Nord: «George Bush s’entoure de gens qui croient en un gouvernement mondial. Ils croient que le système soviétique et le système américain convergent. »

Walter Wriston

1992 – Publication du «Crépuscule de la souveraineté» de l’ancien président de Citicorp, Walter Wriston (CFR), dans lequel il affirme: «Une économie véritablement mondiale exigera des compromis sur la souveraineté nationale. Il n’y a pas d’échappatoire au système. »

Strobe Talbott et son amie Hillary Clinton

20 juillet 1992 – Le magazine «TIME» publie «The Birth of the Global Nation», par Strobe Talbott, Rhodes Scholar, colocataire de Bill Clinton à l’Université d’Oxford, CFR Director and Trilateralist, dans lequel il écrit: «La nation, comme nous la connaissons , sera obsolète; tous les États reconnaîtront une seule autorité mondiale. «Citoyen du monde» aura pris un sens réel. »

21 août 1992 – Près de Ruby Ridge, en Idaho, la maison de Randy et Vicki Weaver et de leurs quatre enfants est surveillée par le US Marshals Service depuis 17 mois. Lorsque le chien de la famille commence à aboyer, un ami de la famille, Kevin Harris, et le fils de Weavers, Sammy, âgé de 13 ans, le suivent, pensant que c’est l’odeur d’un cerf. Des hommes en tenue de camouflage (les maréchaux) tirent sur le chien, et Harris et Sammy ripostent. Le maréchal adjoint William Degan et Sammy sont tués dans l’échange. Sammy est abattu dans le dos alors qu’il court vers la maison. Le service des maréchaux demande l’aide du FBI, qui envoie son équipe de sauvetage des otages (HRT) sur les lieux.

22 août 1992 – Un tireur d’élite de HRT, Lon Horiuchi, tire deux coups: les premières blessures de Randy Weaver (mais pas sérieusement); la seconde tue Vicki Weaver alors qu’elle tient son bébé dans ses bras et blesse sérieusement Kevin Harris. [La «violation» de Randy Weaver? Il aurait scié un canon de fusil de chasse d’un quart de pouce trop court. Pour cela, sa maison a été encerclée par des agents fédéraux et sa femme et son fils ont été tués.]

31 août 1992 – Le siège de 11 jours prend fin lorsque Randy Weaver se rend aux autorités. [Un jury a jugé Weaver innocent de la violation initiale des armes à feu dont il était accusé.]

1993 – Un deuxième Parlement des religions du monde se tient à Chicago à l’occasion du 100e anniversaire du premier. Comme la première convention, celle-ci cherche à réunir toutes les religions du monde en «un tout harmonieux», mais elle veut les faire «fusionner de nouveau dans leur élément d’origine». Les croyances traditionnelles des religions monothéistes comme le christianisme sont considérées comme incompatibles avec «illumination» individuelle et doit être radicalement modifiée.

28 février 1993 – Une force de 76 agents de l’ATF se retrouve mêlée à un échange de coups de feu mortel avec la branche Davidians alors qu’il tentait de présenter un mandat d’arrêt contre le chef de la secte David Koresh pour des violations présumées d’armes à feu et d’explosifs fédéraux. Quatre agents de l’ATF sont tués [Steve Willis, Robert William, Conway Lebleu et Tod McKeehan transférés des services secrets, où ils étaient des gardes de  Bill Clinton – au BATF avant l’assaut – tués par des tirs amis. Tous sont morts par balle dans la tempe gauche. -Ed., De la liste de Slick’s Skeleton] et 16 blessés lors de la fusillade, tandis qu’environ six Davidiens sont tués et un nombre inconnu (y compris Koresh) blessé. [La loi fédérale interdit strictement l’utilisation de personnel et d’équipements militaires contre les citoyens américains. Une exception est autorisée s’il s’agit de drogues. Les agents de l’ATF ont simplement menti pour obtenir l’utilisation d’hélicoptères de la Garde nationale lors de leur assaut. Ils ont affirmé qu’il y avait un laboratoire de méthamphétamine dans le complexe de Branch Davidian. Il n’y avait aucune preuve que ce soit de l’existence d’un laboratoire de méthamphétamine dans le complexe Branch Davidian. Rien n’indique que l’ATF ait jamais tenté de signifier son mandat ou même d’annoncer qui elle était. Ils viennent de sortir de remorques de stock avec des fusils flamboyants. Au moment où l’attaque au sol a commencé, des hélicoptères de combat ont commencé à tirer sur le complexe de la branche Davidian par le haut. Les Branch Davidians n’ont commencé à riposter que neuf minutes après le début de l’attaque de l’ATF. L’ATF avait également placé des tireurs d’élite dans un bâtiment à une certaine distance du complexe de la branche Davidian. Ils ne pouvaient pas tirer sur la branche Davidian sans tirer au-dessus de la tête des agents ATF attaquants. Il est tout à fait possible que certaines des victimes de l’ATF aient été touchées par leurs propres hommes. Deux des agents de l’ATF tués lors du raid étaient entrés dans une fenêtre du deuxième étage de la maison de la branche Davidian. Un troisième agent de l’ATF a alors tiré directement dans la fenêtre que ses camarades venaient d’entrer.]

David_Koresh et l’incendie provoquée à Waco par le FBI

19 avril 1993 – Après un siège de 51 jours, des chars militaires conduits par le personnel du FBI commencent à percer des trous dans le complexe de la branche Davidian pour insérer un agent déchirant et mettre fin à l’impasse. Peu après midi, un incendie se déclare à l’intérieur du bâtiment et il est rapidement englouti dans les flammes. Les restes d’au moins 74 personnes, dont 21 enfants de moins de 16 ans, ont été retrouvés dans les ruines, dont certains sont morts des suites de blessures par balle. [Le gaz CS introduit par le FBI dans le complexe de la branche Davidian avait auparavant été interdit de guerre internationale. Les États-Unis n’auraient pas pu l’utiliser contre Saddam Hussein, mais ils l’ont été sur des femmes et des enfants à Waco. Le fabricant du gaz avait cessé de le vendre à Israël parce qu’il l’avait utilisé contre des Palestiniens chez eux, et plusieurs enfants en avaient été tués. Le fabricant avait averti que le gaz ne devrait pas être utilisé dans un espace clos en raison de ses conséquences potentiellement mortelles. Le gaz est également hautement inflammable. Paul Gray, l’enquêteur d’incendie criminel «indépendant» qui a déterminé que la branche Davidian était responsable de l’incendie, était un ancien employé de l’ATF, et sa femme était un employé actuel de l’ATF – à peine un tiers impartial. Lors des audiences du Congrès, la procureure générale Janet Reno a affirmé que le gouvernement devait agir parce que des enfants étaient maltraités. Cela soulève une question intéressante: pourquoi l’ATF a-t-elle été impliquée? Les cas de maltraitance d’enfants ne relèvent pas de la compétence du Bureau de l’alcool, du tabac et des armes à feu. Kiri Jewell, la jeune fille de 14 ans dont le témoignage déchirant a convaincu beaucoup de personnes que le raid était justifié, n’était même pas avec les Branch Davidians au moment où elle allègue que David Koresh l’a maltraitée. Elle vivait avec sa mère et sa grand-mère en Californie.]

18 juillet 1993 – Le membre du CFR et trilatéraliste Henry Kissinger écrit dans le «Los Angeles Times» concernant l’ALENA: «Ce que le Congrès aura devant lui n’est pas un accord commercial conventionnel mais l’architecture d’un nouveau système international… un premier pas vers un nouveau ordre mondial. »

Vincent Foster(coin droit) était l’ami de coeur d’Hillary Clinton.

20 juillet 1993 – L’avocat de la Maison Blanche Vincent Foster est retrouvé mort à Fort. Marcy Park dans des circonstances mystérieuses. Il avait reçu une balle dans la tête. La décision officielle est le suicide. Le directeur du FBI, William Sessions, est limogé par le président Clinton quelques heures seulement avant que Foster ne soit retrouvé mort. [Pour se rendre à l’endroit où son corps a été retrouvé, Foster aurait dû marcher 700 pieds dans un parc très boisé. Pourtant, aucun sol n’a été trouvé sur ses chaussures. Les agents du FBI ont été empêchés d’enquêter sur le bureau de Foster par des fonctionnaires de l’administration jusqu’à ce qu’ils aient supprimé plusieurs fichiers. Vincent Scalice, un témoin expert qui a enquêté sur des milliers d’homicides au cours de ses 35 années en tant qu’enquêteur sur les homicides au service de police de la ville de New York, observe: «D’après mon expérience, je n’ai jamais vu un cas aussi mal géré et enquêté, surtout depuis qu’il y est autant de preuves d’un acte criminel. »Vince Foster avait été associé avec Hillary Clinton au sein du cabinet d’avocats Rose.]

30 octobre 1993 – Le médiateur du «Washington Post», Richard Harwood, publie un article sur le rôle des membres des médias du CFR: «Leur appartenance est une reconnaissance de leur ascension dans la classe dirigeante américaine où ils ne se contentent pas d’analyser et d’interpréter politique étrangère pour les États-Unis; ils aident à le faire. « 

Février 1994 – Un jury de la Cour de district des États-Unis à San Antonio, au Texas, trouve 11 membres de la secte Branch Davidian innocents de meurtre et de complot à Waco.

David Rockefeller

23 septembre 1994 – Les mondialistes réalisent qu’au fur et à mesure que de plus en plus de gens commencent à se réveiller, ils n’ont que peu de temps pour mettre en œuvre leurs politiques. S’exprimant lors du dîner des ambassadeurs des Nations Unies, David Rockefeller a déclaré: «Cette fenêtre d’opportunité actuelle, au cours de laquelle un ordre mondial véritablement pacifique et interdépendant pourrait être construit, ne sera pas ouverte trop longtemps.» [Notez qu’il ne s’est pas demandé si l’ordre mondial viendrait – seulement s’il arriverait pacifiquement.] Il croit: «Nous sommes au bord d’une transformation mondiale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une crise majeure et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »

Mars 1995 – Les délégués des Nations Unies se réunissent à Copenhague, au Danemark, pour discuter de diverses méthodes d’imposition des taxes mondiales sur les peuples du monde.

19 avril 1995 – Une explosion dévaste le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City, entraînant la mort de 168 personnes. [L’ancien agent du FBI Ted Gunderson et l’expert en explosifs de l’Air Force, le général Benton Partin, ont déclaré qu’une bombe au nitrate d’ammonium / fioul dans un camion stationné devant le bâtiment ne pouvait pas avoir causé les dommages structurels considérables qui en ont résulté. Il devait y avoir des explosifs attachés aux colonnes à l’intérieur du bâtiment. Certains débris du bâtiment Murrah ont été projetés vers le camion. Le Dr Raymon Brown, géophysicien pour l’Oklahoma Geological Survey, rapporte des données sismiques pour cette date qui indiquent qu’il y a eu en fait deux explosions à environ 12 secondes d’intervalle. Une vidéo télévisée prise peu de temps après l’attentat à la bombe montre des engins non explosés du bâtiment transportés par l’équipe de bombardement. Edye Smith, dont les deux enfants ont été tués à la garderie de Murrah, a posé la question à la télévision nationale: «Où était l’ATF?» Tous leurs employés ont survécu parce qu’on leur avait dit de ne pas aller travailler ce jour-là. Après avoir posé cette question, elle dit que les agents du gouvernement lui ont dit: «Gardez la bouche fermée, n’en parlez pas.» Lester Martz, responsable du bureau de l’ATF de Dallas, affirme qu’un agent de l’ATF et un agent de la DEA circulaient dans un ascenseur dans le bâtiment, que, après l’explosion, leur ascenseur est tombé à 50 pieds et qu’ils se sont échappés de l’ascenseur et ont sauvé plusieurs personnes. Pourtant, le personnel du service des ascenseurs a déclaré que personne n’était dans les ascenseurs, qu’aucun des ascenseurs n’est tombé librement et que les portes de tous les ascenseurs ont été bloquées par l’explosion. Ils disent que si quelqu’un avait eu une chute libre de 50 pieds, il se serait au moins cassé les chevilles. Lorsqu’on lui a demandé s’il soupçonnait que quelque chose pourrait se produire le 19 avril, John Magaw, directeur du Bureau du tabac, de l’alcool et des armes à feu, a répondu par l’affirmative et a déclaré que toutes les installations BATF du pays avaient été avisées d’être en état d’alerte. . Lorsqu’on a posé la même question aux agents du BATF à Oklahoma City, ils ont répondu qu’ils n’avaient aucune idée que quelque chose se passerait à cette date. De toute évidence, quelqu’un ne dit pas la vérité. Immédiatement après l’attentat à la bombe, le FBI a lancé une chasse à l’homme massive pour «John Doe n ° 2». Maintenant, nous sommes censés croire qu’il n’a jamais existé. Les témoins qui disent avoir vu John Doe n ° 2 n’ont pas été autorisés à témoigner devant le grand jury qui a inculpé Timothy McVeigh.]

Mai 1995 – Incroyablement, Larry Potts, l’homme du FBI responsable des opérations de Ruby Ridge et de Waco, est promu pour devenir l’homme numéro deux du Bureau.

Septembre 1995 – Le magazine «Popular Science» décrit une installation top secrète de la marine américaine appelée HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Program) dans l’état de l’Alaska. Ce projet envoie une puissante énergie radio dans la haute atmosphère terrestre. L’un des objectifs du programme est de développer la capacité de «manipuler la météo locale» en utilisant les techniques développées par Bernard Eastlund. [Le programme est en cours depuis 1990.]

27 septembre-oct. 1, 1995 – Le «State of the World Forum» a lieu, parrainé par la Fondation Gorbachev, située au Presidio à San Francisco. [Il est important de réaliser que Mikhaïl Gorbatchev a créé sa fondation en 1991, avant la tentative de coup d’État qui a finalement conduit à sa «chute» du pouvoir et à l’éclatement de l’Union soviétique.] Le président de la Fondation, Jim Garrison, préside la réunion, qui comprend Mikhaïl Gorbatchev , George Bush, la Britannique Margaret Thatcher, l’occultiste canadien Maurice Strong, le magnat des médias Ted Turner, l’assistant Microsoft Bill Gates et d’autres. La conversation est centrée sur l’unité de l’humanité et le futur gouvernement mondial. Cependant, le terme «gouvernance mondiale» est utilisé à la place du «nouvel ordre mondial» car ce dernier est devenu un paratonnerre pour les opposants au gouvernement mondial. L’énoncé de mission émis par les organisateurs de la conférence est direct et révélateur: «Le Forum sur l’état du monde se concentrera sur les défis et opportunités fondamentaux à l’aube de la prochaine phase du développement humain. Il se tient dans la conviction qu’en ce moment crucial de l’histoire, nous donnons naissance à la première civilisation mondiale. »

 

Le 30 octobre 1995, le Québec a tenu un deuxième référendum sur son indépendance. La date demeure un souvenir indélébile de notre mémoire collective.Le camp fédéraliste du non a fraudé l’élection,une fois de plus ,en permettant à plus de 20,000 immigrés pakistanais et unilingues anglophone de pouvoir voter…en leur donnant leur citoyenneté canadienne.

En ne prenant pas la rue pour montrer son désaveu,le peuple québécois a cautionné la manigance libérale fédéraliste.

 

 

 

 

11 septembre 2001-Des avions détournées de leur vol (ou des hologrammes…ou des missiles) percutent les deux tours du World Trade Center ,le Pentagone …et un champ isolé.De nombreuses études prouveront qu’il s’agit d’un complot intérieur de « l’état profond » afin de détourner l’attention des peuples vers une fausse guerre contre le terrorisme.

De nombreux liens ont été fait vers le Mossad israélien

[911] 11 Septembre 2001, le flash spécial de la RTBF – RTBF 06.09.2011 – 1h32m8s

 

Alors que George W Bush est dans une école au moment de l’attentat,un conseiller lui chuchote quelque chose au moment précis ou le premier avion frappe une tour!

Mai-juin 2014,Abou  Bakr al Bagdady agent du Mossad,conduit les troupes de L’état Islamique sur une importante capture de territoire en Irak et en Syrie.Les USA,Israel,la France et le Royaume-Uni auraient financé ces mercenaires psychopathes pour s’emparer des richesses et organiser un remplacement de population en Europe,entre autres.

 

Juillet 2017-France,pour éviter l’élection de la droite nationaliste,soit Marine Le Pen,les banques Rotschild financent Emmanuel Macron pour endormir le peuple français…à suivre!

Emmanuel-Macron

 

 

 

 


Source :The Illuminati Chronicles Part 1

A Short History of the New World Order Part 1

Source : The Illuminati Chronicles Part II

 A Short History of the New World Order Part II

Autres Sources:recherches personnelles et histoire récente.

 

 

 

 

 

 

 

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