Et le Canada devint un Etat pétrolier sans scrupules

Feuille d'érable dans l'eau

 

 

Vous voyez le Canada, dont la fête nationale est le 1er juillet, comme le voisin sympa des Etats-Unis? Vous allez peut-être changer d’avis.

Cela fait des dizaines d’années que le monde voit le Canada comme le gentil voisin nordique des Etats-Unis. Un pays responsable, fiable, à la limite de l’ennuyeux, connu pour ses fans de hockey et son régime d’assurance maladie à payeur unique. Il a longtemps joué un rôle de «boy scout» international dans son positionnement sur les questions les plus importantes, de la protection de la couche d’ozone à l’éradication des mines antipersonnel en passant par les droits des homosexuels. Le romancier Douglas Adams a même déclaré pour plaisanter que si on considère les Etats-Unis comme un adolescent qui cherche la bagarre, alors le Canada doit être une femme intelligente d’une trentaine d’années. En fait, le Canada, c’est les Etats-Unis, pas tels qu’ils sont, mais tels qu’ils devraient être.

Mais les grandes forêts du nord abritent un terrible secret. Au cours de la dernière décennie, le Canada est devenu non seulement un centre international d’exploitations minières, mais également un redoutable Etat pétrolier sans scrupules. Ce n’est plus l’exemple à suivre d’Amérique du nord, mais bien une vision dystopique du futur énergétique du continent.

Eh oui, le gentil voisin a basé son économie sur l’élixir maudit du dysfonctionnement politique: le pétrole. Le gouvernement canadien, motivé par l’envie de devenir une superpuissance énergétique internationale, s’est lié d’amitié avec des évangélistes de l’oléoduc, des brutes du pétrole, et des sceptiques du réchauffement climatique. Il faut croire que le boy scout n’est plus juste accro à la came brute, il est passé dealer. Et ce n’est même pas ça le pire dans l’histoire.

Des lois environnementales supprimées

Le Canada n’est plus aussi poli que la légende le voudrait: le pétrole et l’essence représentent aujourd’hui environ un quart de ses revenus d’exportation. Depuis que le Parti conservateur a remporté la majorité au Parlement en 2011, le gouvernement fédéral a éventré les défenseurs de l’environnement, les nations indigènes, les commissaires européens, et plus généralement, tous ceux qui s’opposent à une production illimitée de pétrole: tous ces antipatriotes aux idées radicales.

 

 

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Le Canada a aussi muselé les scientifiques qui s’intéressaient au réchauffement climatique et mis fin à tous les financements de projets de recherche environnementale. Plus récemment, il a aussi, à travers deux projets de lois englobant des mesures diverses, fait supprimer les lois environnementales les plus importantes du pays, qui étaient jusque-là très chères à celui-ci.

L’auteur de cette transformation est Stephen Harper, le Premier ministre de droite du Canada, un chrétien évangélique obsédé par le boulot. Sa base de pouvoir se trouve en Alberta, le ground zero du boum pétrolier du pays. Tout comme Margaret Thatcher qui a fondé la transformation politique de l’Angleterre sur les revenus du pétrole provenant de la mer du Nord, Harper a pour intention de refaire méthodiquement toute l’organisation du pays à l’aide des dollars qu’il extraira directement du sol canadien.

Ce faisant, il a accordé plus de pouvoir à son propre bureau et a réorienté les priorités de la politique étrangère du pays. Harper, qui est entré en fonctions en 2006, a augmenté les dépenses liées à la défense de presque 1 milliard de dollars par an durant les quatre premières années de son mandat, et il a dédié 2 milliards de dollars à l’expansion du système carcéral et à sa politique de «tolérance zéro» en ignorant la baisse du taux de criminalité du pays. Pendant ce temps-là, le Canada a amassé une dette fédérale colossale d’environ 600 milliards de dollars (la plus haute dans l’histoire du pays) qui ne cesse d’augmenter.

Le pari du pétrole

Les critiques libéraux aiment bien dire que la révolution politique d’Harper a pris les Canadiens par surprise: il a tiré partie de l’aveuglement de ce peuple «généralement apathique et en surpoids», et l’a combiné à des stratégies politiques trompeuses. C’est peut-être vrai, mais même si les Canadiens vivent sous des latitudes élevées, cela ne veut pas dire qu’ils sont au-dessus des instincts humains de base, comme l’avidité.

Harper a placé de manière agressive un pari économique sur le pétrole, la ressource la plus volatile du monde, en promettant une nouvelle richesse nationale basée sur des ressources non exploitées, qui se trouvent loin de là où les Canadiens habitent. Cette richesse devrait remplir le porte-monnaie des Canadiens, ainsi que celui de leurs enfants, et ce pendant plusieurs générations. D’après un sondage récent, environ trois quarts de la population du Canada sont favorables au développement des sables bitumineux: Harper semble avoir réussi à leur vendre son idée.

La ressource cachée derrière bon nombre de ces changements de comportement discutables est le bitume: une substance lourde et brute que l’on extrait des sables bitumineux. Des dépôts de cette matière fortement dégradée et proche de l’asphalte gisent sous une forêt de la taille de la Floride qui se trouve dans le nord-est de la province de l’Alberta. Ces dépôts constituent la troisième plus grande réserve de pétrole du monde.

Au cours de ces dix dernières années, tandis que le prix du pétrole a été multiplié par cinq, les compagnies pétrolières ont investi près de 160 milliards de dollars pour développer le bitume en Alberta, et leur investissement vient de devenir rentable. Le Canada sort actuellement 1,7 million de barils par jour, et la production prévue devrait remplir les caisses fédérales et provinciales avec environ 120 milliards de dollars de rente et de redevance d’ici 2020. Plus de 40% du butin vont directement profiter au gouvernement fédéral, sous la forme d’impôts sur les sociétés. Mais le gouvernement en veut encore plus: il voudrait que la production atteigne les 5 millions de barils par jour d’ici 2030.

Un projet soi-disant «responsable» et «durable»

Et tant pis si tout ce processus représente un gaspillage douteux; qu’il consomme des quantités copieuses d’eau, d’argent et d’énergie pour déterrer ces sables riches en carbone, sans même compter les opérations de raffinage et d’extraction sur le matériau brut, qui ne peut même pas être transporté dans des oléoducs avant d’être dilué dans un condensé importé proche de l’essence.

Le gouvernement la joue au culot, et défend malgré tout le projet d’Alberta en disant qu’il est «responsable» et «durable», et le décrit comme «une entreprise aux proportions épiques, similaire à la construction des pyramides d’Egypte, ou de la muraille de Chine, mais en plus grand». En effet, en bien plus grand: les projets d’extraction du bitume qui ont été approuvés pourraient potentiellement détruire une forêt qui fait six fois la taille de la ville de New York. Le défrichement et la reforestation de cette zone sont pour l’instant un projet considéré incertain et coûteux. Jusqu’ici, les compagnies pétrolières ont déjà créé suffisamment de boue toxique (6 milliards de barils) pour recouvrir l’intégralité de la ville de Washington.

Sans surprise, le gouvernement canadien est passé maître dans l’art cynique du lavage de cerveau écologique. Quand les ministres d’Harper ne sont pas trop occupés à attaquer James Hansen, un ancien scientifique de la Nasa et tête d’affiche du réchauffement climatique, dans le New York Times, ils font du lobbying contre la directive européenne sur la qualité des carburants (qui considère le bitume comme bien plus polluant que le pétrole habituel). Le gouvernement de Harper a dépensé près de 100 millions de dollars depuis 2009 en différentes campagnes publicitaires pour convaincre les Canadiens que l’exportation de pétrole est «un développement responsable des ressources». En parallèle, le Canada s’est également mis en quatre pour attirer Pékin. Trois compagnies pétrolières publiques chinoises (qui ont pour point commun un passif lamentable en termes de transparence et de sensibilité environnementale) ont déjà dépensé plus de 20 milliards de dollars dans l’acquisition de droits d’exploitation des sables bitumineux en Alberta.

En s’aplatissant devant la Chine, qui est la plus grande consommatrice de pétrole au monde, le Canada fait ressortir son grand dilemme du bitume: comment amener un pétrole polluant et éloigné du littoral sur les marchés internationaux? Les Etats-Unis, premiers clients du Canada, ne semblent plus en avoir autant besoin que ça: leurs imports ont diminué de plus de 4 millions de barils par jour entre 2005 et 2011. En plus, avec des projets de construction d’oléoducs entre les deux pays qui n’avancent pas, comme celui de Keystone XL, la vision de Harper, qui voudrait voir le Canada devenir une «superpuissance émergente de l’énergie», semble menacée.

Un accord avec la Chine

Sans surprise, Harper a récemment abandonné son approche critique du non-respect des droits de l’homme en Chine. Comme l’indique un document secret de politique étrangère qui a été divulgué en automne dernier par la CBC (Canadian Broadcasting Corporation, le principal réseau de télévision canadien), le Canada a de nouvelles priorités:

«Pour réussir, nous devrons rechercher les relations politiques qui concordent avec nos intérêts économiques, même si celles-ci vont à l’encontre de nos intérêts politiques ou de nos valeurs.»

En 2012, le Canada a signé discrètement un accord commercial très controversé avec la République populaire et approuvé un rachat à 15 milliards de dollars de Nexen, une entreprise actrice dans les débats sur les sables bitumineux, par la China National Offshore Oil Corporation, une compagnie pétrolière publique chinoise. Et, sûrement pour encourager l’affection des Canadiens pour les Chinois, le gouvernement a réservé pour les dix prochaines années la location de deux pandas itinérants pour un coût total de 10 millions de dollars.

Maintenant que les sables bitumineux représentent presque 10% des émissions de gaz à effet de serre du Canada, Ottawa ne peut plus vraiment admettre de discussion sur une potentielle taxe carbone, même si une majorité de Canadiens y seraient favorables.

Harper a décrit le protocole de Kyoto comme «une manigance socialiste» et un traité «dévastateur pour l’économie et destructeur pour l’emploi» avant de se retirer complètement de l’accord en 2012. De nombreux ministres canadiens sont maintenant des sceptiques purs et durs à propos des données scientifiques qui concernent le réchauffement climatique. Il suffit de lire les récentes explications de Joe Oliver, le ministre des Ressources naturelles, au journal montréalais La Presse, pour s’en rendre compte:

«Je crois que les gens ne sont plus aussi inquiets qu’ils l’étaient auparavant à propos d’un réchauffement climatique mondial de deux degrés… les scientifiques ont récemment déclaré que nos craintes sont exagérées.»

Pour réduire au silence les potentiels exagérateurs, le gouvernement a tout simplement cessé de financer la Fondation canadienne pour les Sciences du climat et de l’atmosphère, dissout le Groupe de recherche pour l’adaptation au changement climatique d’Environnement Canada, et éliminé le siège de conseiller scientifique en chef. Et depuis 2008, les cerbères politiques ont surveillé de près toutes les demandes de couverture médiatique déposées par les quelque 23.000 scientifiques fédéraux du pays.

Une «gouvernance à la matraque»

Après que le gouvernement a interdit à un scientifique fédéral de parler de la découverte d’un vaste trou dans la couche d’ozone au dessus de l’Arctique, un éditorial de 2012 dans l’influent journal scientifique Nature a exigé que le gouvernement canadien «libère ses scientifiques».

A la place, Harper s’est «libéré» de ses scientifiques: son gouvernement a fermé la station de recherche de la zone des lacs expérimentaux, célèbre dans le monde entier, et véritable joyaux de la science environnementale canadienne qui a contribué à établir des politiques mondiales sur les pluies acides, pour économiser la modique somme de 2 millions de dollars par an (même si le gouvernement de l’Ontario est en train d’essayer de la garder ouverte).

La poursuite unilatérale de ce projet pétrolier a abasourdi les analystes internationaux. The Economist, qui n’est pourtant pas de gauche, a décrit Harper, le fils d’un comptable d’Imperial Oil, comme une brute «qui ne tolère ni critiques ni contestations» avec une habitude résolue: briser les règles. Lawrence Martin, un des commentateurs politiques les plus influents au Canada, a déclaré que la «gouvernance à la matraque» d’Harper est «innovante dans son renversement du processus démocratique». Allan Gregg, un enquêteur conservateur, a décrit le pland’Harper comme un assaut idéologique contre les preuves, les faits et la raison.

Il faut dire que le gouvernement d’Harper a bel et bien prévu un plan pour le réchauffement climatique: pomper le problème vers les Etats-Unis ou la Chine. Les sables bitumineux bruts transportés vers les Etats-Unis grâce au potentiel oléoduc Keystone XL, par exemple, pourraient, sur une période de cinquante ans, augmenter les émissions de carbone de 935 millions de tonnes, en comparaison avec d’autres matériaux bruts. 5,5 milliards de dollars de dépense sont prévus pour l’oléoduc Northern Gateway qui devrait relier l’Alberta à l’océan Pacifique. Oléoduc qui conduirait pourrait causer jusqu’à 100 tonnes d’émissions de dioxyde de carbone par an, de l’extraction à la production au Canada, jusqu’à la combustion en Chine. C’est plus que le total des émissions en Colombie-Britannique en 2009. Le Rapport d’inventaire national de 2012 rendu par Environnement Canada, le département d’écologie du pays, a d’ailleurs annoncé avec fierté que le Canada a réduit en partie l’intensité globale de ses émissions dues aux sables bitumineux, «en exportant plus de bitume brut».

Tout cela souligne encore davantage la nouvelle réalité du Canada: toutes les preuves rationnelles sont attaquées par un gouvernement qui croit que les marchés internationaux, et uniquement les marchés internationaux, détiennent les réponses.

Tout acte que cette industrie perçoit comme un obstacle à l’extraction rapide de minéraux ou à la construction d’un oléoduc a été redéfini avec des fioritures à la saoudienne. Un seul projet de loi englobant des mesures diverses a suffi pour changer 70 textes de loi, en modifiant, par exemple, les actes régulant la pêche, qui interdisaient directement la destruction des habitats de la vie aquatique qui se trouvaient sur le chemin de l’oléoduc de Northern Gateway, qui traverse environ 1.000 voies navigables sur sa route vers l’océan Pacifique.

Esclave de sa propre avidité

En parallèle, les financements pour le système des parcs naturels du Canada, véritable symbole du pays, ont été réduits de 20% dans le cadre de ce que les critiques appellent une «lobotomie». La CBC, le réseau de télévision national très respecté, et longtemps considéré par Harper comme une forme de contrôle indépendant du pouvoir, a souffert d’une série de réductions budgétaires. Le Conseil canadien de la Santé, qui assurait autrefois les standards et innovations en termes de santé pour les treize provinces et territoires du pays, a également été frappé par les réductions. De plus, Harper, dans un élan digne d’un prince du pétrole du Moyen-Orient, a désigné le chef de sa sécurité rapprochée comme ambassadeur du Canada en Jordanie. Tout cela sans même se demander ce qu’en penserait le Canadien moyen.

Il y a plus de dix ans, le scientifique politique américain Terry Lynn Karl a résumé de manière crue le dysfonctionnement des Etats pétroliers: les pays qui deviennent trop dépendants du pétrole ou du gaz adoptent des économies de plantations qui reposent sur «une trajectoire de développement peu durable entretenue par une ressource limitée» dont les sources de revenus forment une «barrière implacable au changement». Et c’est ce qui est arrivé au Canada pendant qu’on ne regardait pas. Enchaîné à l’hybris d’un dirigeant qui rêve de bâtir une nouvelle superpuissance énergétique mondiale, le boy scout est maintenant esclave de sa propre avidité.

Andrew Nikiforuk
Travaille pour Tyee, un journal canadien en ligne et auteur de Tar Sands: Dirty Oil and the Future of a Continent (Les sables bitumineux: le pétrole sale et le futur d’un continent).

Traduit par Hélène Oscar Kempeneers

 

The Neoliberalism of New World Order and the price of an human being

Le désastre de Lac-Mégantic vient de nous faire résonner une alarme que nous ne pouvons ignorer!
The disaster of Lac-Megantic just make us sound the alarm that we can not ignore!

« With our thoughts we make the world, » said the Buddha.

I fundamentally believe in the truth of this thought Bouddha.Commençons to understand that the artist would draw no, it does not take the time to think about before starting to draw his esquisse.How  a philosopher, a sociologist, an economist, a politician, an entrepreneur, a military strategist or even a farmer or fisherman could succeed in their endeavors without thinking before?

Our company is working very hard right now, is the result of our thoughts and our schedules are  previous.There are  our ancestors who designed and built the base and the development of our cities, themselves, are the basis of the birth and the expansion of capitalism and neoliberalism worldwide.

The continuity of the expansion of cities and of neoliberal capitalism on the whole ecosystem of the entire Earth, became, in spite of ourselves, a hereditary factor practically fixed in our génétique.Aussi the Catholic church itself echoed this political vision by calling the faithful to grow and multiply.This  message sent, there are more than two thousand years, proves completely false, provocative and suicidal for humanity faces its own extermination.

Thus Canada has built, and through the consequences Quebec.He was a joint project to unite the British colonies to the north of the United States of America, and that is why those known to us as until today, the pompous title of « Fathers of Confederation », then decided to take the « iron horse », the train as a means of unification politique.On then sought to bury the French culture in the weight amount of new technology to make money, to get rich by creating from scratch a petty-bourgeois elite affairiste.Nous back on the train, at the end of the article.

Neoliberalism and the price of a human being

Capitalism continues to increase well-being of a number of increasingly high people say with one voice the architects of  actual neoliberalism .It  is why we can say (while crossing fingers) that overall, people live « relatively » longer « , but less than before. The main reason is that these people are in the so-called » Third World « and are less visible to us in the centers of World Western capitalism, while workers in the imperialist centers have their own well-being decrease, as factories are closed and the financial capital exported Furthermore, we see the emergence of phenomena such as the conditions of workers, wages and welfare state that are emptied of their current dollars or diverted. In other words, the reproduction of the working class is made on the basis of the decline in living standards in the imperialist centers when it is carried out increasing levels in the country « so-called emerging Third World, » which shows workers earn higher wages, fetching a rudimentary education, and improving their field of public and private health. This is because different capital requirements. In Western capitalist centers, workers are too expensive to maintain, and since the production can be done elsewhere for much cheaper, why not pay for the maintenance of the working class educated and alert, the home?

The « final crisis » of capitalism

The capital is certainly suffering from a crisis of profitability, and even though I am convinced that in the long term, the current crisis is the « final crisis of capitalism, » it is important to note the role played by the financial system by operate at full capacity and the fictional virtual capital (claim ownership of capital beyond what is actually happening on a national market) in the real capital, by circulating through the financial institutions and the import-export system. The goal is to obtain loans from foreign institutions and use the interest on the national debt fraudulent fictitious capital to develop pays for the foreign economy.

The beauty of the scam in question is the use of the loan on the national debt (and individual) inflated to stimulate demand in the national domestic market to buy the products of this development « artificial and discount « from abroad.

All this means that there is no « true own economic crisis » in capitalism since the Great Depression, when the capital was eliminated unproductive and crashed to the ground, removed the fictitious capital market and real capital truly distributed among surviving financially capitals. This is what usually happens when the demands of capital are produced faster than real capital (ie: falling rate of profit), but it is impossible in the current financial system.

I want to reiterate that I think the current crisis (and this crisis has been ongoing since the 1970s) is the « final crisis of capitalism, » because we have reached a huge level of productivity, I do not see what kind of Great Depression, even correction can actually intervene to get rid of this problem. Rather than restore production to a level where further increases in productivity produce more capital that claims to capital (the banksters and thieves real estate), I expect that any correction will only lead to a purge of existing stocks of fictitious capital, but never « reset » the production of fictitious capital. However, it is important to note that it is always possible that the impossible happens.

The reproduction of the working class

In any case, both the lower levels of reproduction of the working class in the basic capitalist countries and the financial system itself, which allows a general crisis of capitalism to solve remain blocked for several reasons,

Capitalism therefore needs a large number of workers and unemployed workers to keep wages at the bas.Il is therefore, as a mere commodity, adjust the law of supply and demand .

This social and political context, these ways and this philosophy to exploit his neighbor, as a commodity, form what we call the « neo-liberalism », and as long as the causes remain, liberal ideas that the Great Recession and the global financial crisis of 2008 to today, brought the end of neo-liberalism are simply absurd and out of context related to réalité.Il is an invention marketing experts of high finance internationale.On seeks to make friendly, businessman playing with public money.

Bankers in the pay of the Rothschilds, the high priests of Wall Street and all those who claim the title of « developers » to hide their maneuvers of crooks and thieves, all have an interest in standardizing a « value » market for all who lives and dies on land.The goal is to identify the most « economically viable » to move (that is to say, steal) the money available in any country place to inject in another country, preferably « poor victim of any war they can buy political leaders. »

This system has no soul or conscience: it merely react, like a predator to prey movements he has on hand, and in this case we are talking about workers’ moyenne.En class of standardizing the value of life, it also seeks to find a solution to the diversity of environments and cultures humaines.Ainsi neoliberalism did not hesitate to condemn to death the workers of Detroit.

The neo-liberal austerity, increasing its power since the global financial crisis has had a disproportionate impact on women, particularly along the boundary lines of social class. In other words, it reduces the social and economic power of a multitude of women, but the most wealthy. Far from uniting the philosophical and social idea of ​​feminism, oppression neoliberal hypocritical and insidious was divided according to social classes. Women constitute the majority of the working class itself, now in 2013 in Quebec and in several western countries. In the foreground of the rich and famous class, this way is not related to the principle of denying the specific experience of being sexual as « late » capitalism. Moreover, to understand sexism as part of the reproduction of capitalism, as I do, it is to open possibilities of emancipation throughout the world or the need would arise.

Therefore, advocates of this type of neoliberalism Western, they looking for a way to assess and standardize the « value » of a woman and that of a man in the obvious interest in reach a utopian egalitarian value, because it is clear that in countries such as Quebec or feminism tends to crush everything around him long ago that the value of women exceeded those of white males, speaking French and having more than forty ans.On sometimes wonder Quebec, when you’re a man, if we have a future here, because it seems to live in a world of revenge or even corrupt judicial system seems to preference to women in this society in moral decline.

A young man to be comfortable and feel to enhance, in Quebec in 2013, it must be either a macho wearing his hat backwards, chewing gum or be gay, in giving a feminine style, consistent with stereotypes our consumer society, stereotypes borrowed from American society.

To change the system or were well integrated stereotypes of social evolution, preaching overproduction and overconsumption, it takes both down machismo and feminism by proposing a better system based on respect, the love, sharing and discipline.

Sooner or later, he will have to make a decision against our avenir.Ceux which, as the current elected politicians. Sitting in the National Assembly of Quebec, continue to play the ostrich trying to ridicule those who like me and many citizens exhausted by over fifty years of neoliberal governance, seeking a real solution to the moral problem of our society, will find themselves in an awkward situation, the day they finally decide to head out of the sand .

If we do nothing, and this is the easiest way to send the problems, we will be guilty of abandoning many generations of Quebec and Quebec to come to meet the needs of a small shameful bourgeois elite « baby boomers », determined to keep her big privileges intacts.Cette small elite has the greatest need to transmit and perpetuate the welfare state that has so cleverly kept at arm’s length, too long already.

Recent events in the accident « Train of Death » of Lac-Megantic, July 6, 2013, we show how well our human life is fragile and how it fails to address the « big responsibility » oligarchic capitalism . Pauline Marois would never have taken the decision to seize the assets of the Company and Montreal Maine Atlantic.Nous see very well reading the news this morning that we did not wait for the process of bankruptcy the company owned by a multibillion shameless!

The capitalist system in place in Quebec since the Quiet Revolution false and enabled the construction of the current welfare state, knows that his heart is sick and going to die, but it seeks to project the picture « that we keep control of the situation. » must be totally stupid to believe that no matter who was Prime Minister at the moment (Couillard, Marois and Legault) someone to take care of our interests on top the pyramide.On could have the Great Lord Illuminati Sagard the control of the state that would have the same result as we see.

None of them would dare to send this capitalist gangster behind bars after entering all of the property he owns in Quebec.

In Quebec, we have more than twenty years in arrears, at the judicial level, compared to countries such as France, Spain and Germany as these countries did not hesitate to bring the perpetrators to arrest, as to ensure their safety and to ensure the investigation of the facts.

We are administered by cowards services Crime organisé.Pas wonder they are afraid of the People’s Justice and  Civilian Disobedience .They  only trying to gain time in the hope that all citizens will continue to sleep comfortably under the effects of chloroform addiction and stupidity related to stressful work.

To World Revolution

The New Era in which we have just begun to live, will slowly open the door to a vast world revolution, as it has now become a matter of life and death for all mankind, including Quebec in too!

The New Era bring the concept of capitalism or free there and then, neoliberalism have introduced legislation to pay for survival is the fittest, changing the diversification of the Jungle in which man seeks to s’ adapter.Des thousands of men and women lived in misery to allow a small caste die obese and satisfy his vices and sometimes criminal perversions.

The New Era abolish philosophy of capitalist competition by developing the challenge of working for survival, the public interest and the protection of ecosystems and species diversity. Protection of genetic integrity of all life forms entering the Vision of Change Humanity, Interior by Compassion and Love!

The New Era, to settle, should promote justice to overcome injustice, because the World needs a big shot balais.Nous not have to be afraid to physically get rid of mafia criminals, responsible for wars, those who commit crimes against all humanity and all life forms on Earth, by making the wrong life to control the life of Futur.Je therefore condemns those responsible for Monsanto this World, to undergo Justice of the People Human Earth and sentence should be the death penalty … nothing less!

The New Era will begin by establishing a huge global court, whose sentences will be executive immediately, without appeal, because time is against humanity and as we see, extreme weather events are increasing in number and intensity. The flexibility that we have to ensure a continuity of the human adventure on Earth, will taper off. Continual disasters we apercevont recent years in our newsletters (floods , forest fires, the sinkholes, the tsunamies, pollution, etc.) are the result of decisions made in closed offices powerful controlled by our current Masters World and our neglect to let them control our lives multinationals.

The New Era will promote the truth to achieve freedom, even in the establishment of its overall plan to propose an alternative to the management of the World, the New Order Mondial.Nous have to judge and condemn the death penalty while àè member of secret society that contributed to the enslavement of humanity and the destruction of the environment humain. All officials related to the New World Order, will be tried and convicted of high treason against the whole humanity full and all forms of life on the planet, their punishment will include the elimination of all their families and their descendants to make room and avoid a resurrection of their satanic system.

The Illuminati wanted to eliminate the world’s population to restrict it to 500 million people, for it is the number scientifically established that the Earth could sustain if we abolish fossil energy to perpetuate the current capitalist civilization of endless economic growth.

Without being vengeful New Era begin the great cleaning, even those who we want to develop: it is to get rid of dangerous criminals, which we can do without, changing system.

We have to choose between Liberty or Death! … Between Truth or Lie! … Between Love and Hate! … Between Justice or Injustice! … Between the Past and the Future! … Between Dark control the New World Order or Light Stewardship New Era!

Long Live the Revolution Quebec Patriotic People!

Long live the world revolution!

Long live the New Era!

Michel Duchaine

A Truthseeker and a Truthteller

La logique de la priorité du profit sur la vie humaine :le système carcéral

prison us

La logique suit un principe tout simple et indéniable.

1- Les entreprises cherchent les profits.

2- Elles sont prêtes à tout pour les garder ou les augmenter.

Si on instaure un système de maladie où la maladie est payante comme dans notre système actuel (et que la santé ne rapporte rien $) et bien je  vous assure que  vous verrez  de plus en plus de maladies. C’est logique et incontournable.

C’est la même chose pour le crime. Si on privatise des prisons, comme aux USA, tu verras de plus en plus de crimes, criminels et incarcérations. Et comme de fait, le nombre de prisonniers a décuplé (10 fois) en dix ans aux USA alors que tous les endroits dans le monde où le système carcéral est déficitaire, le nombre baisse.

Résultat: 23% de tous les prisonniers dans le monde se retrouve aux USA, au grand plaisir des actionnaires. (Il sont la moitié de 1% de la population mondiale aux USA mais 23% de la population carcérale mondiale.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_population_carc%C3%A9rale

La méthode que les lobbies ont employés pour y arriver fut la fameuse campagne « Tolerance Zero ». Sachant que les PDG des cies cotées en bourse sont obligés par la loi à toujours mettre les intérêts des actionnaires en premier, les profits deviennent une loi!

C’est la même chose avec le système de maladie. On pouvait prédire, juste par des connaissances de base en économie, ce qu’il confirme ici:

https://www.youtube.com/watch?v=nnZMUa8d0Vs

Et c’est facile de constater le résultat de ce système de maladie qui est tout aussi indéniable en comparant les nations en relation avec leurs moyens financiers. Par exemple, le Canada et les USA sont pratiquement le même pays en terme de bassin génétique. Tous les 2 des descendants européens puis forte immigration. Mais la santé des gens du pays où la maladie égale profit est dans bien pire condition que celle du Canada où le gouvernement ne veut pas de malade. Ça lui coûte cher!

J’adore l’exemple de Cuba qui avec des moyens financiers très modestes réussi très bien. Il est plus que facile, même pour un enfant, de constater qu’avec les moyens financiers par habitant équivalent au Canada, le système de santé cubain serait NETTEMENT supérieur.

Et c’est facile de comprendre pourquoi,il s’agit d’écouter cette vidéo:

https://www.youtube.com/watch?v=nnZMUa8d0Vs

Saviez-vous que de plus en plus de canadiens vont se faire soigner à Cuba? Un pays du « tiers-monde » !!!

Saviez-vous  que le système d’éducation à Cuba était noté supérieur à celui du Canada par les organismes mondiaux? C’est normal qu’un système d’éducation gouvernemental surpasse un privé. L’un tient l’éducation à coeur et l’autre les profits. C’est la vie sous le soleil du capitalisme sauvage…

Je vous laisse la parole:

fr.wikipedia.org

Ce tableau a été renseigné d’après l’étude[1] réalisée en 2011 par Roy Walmsley, pour le Centre international d’études pénitentiaires.