Instagram dit que «l’art» du génocide blanc est complètement casher

 

 

 

Tout d’abord, je tiens à m’excuser auprès de tout le monde de vous avoir tous soumis à cette hideuse «œuvre d’art» de deux «queenz» africaines obèses avec les têtes coupées de Blancs dans leurs mains.

C’est dégoûtant, mais c’est apparemment complètement casher sur Instagram.

Par exemple, «l’artiste» qui a peint le portrait officiel d’Obama adore peindre des femmes blanches décapitées par des femmes noires.

EN COMPLÉMENTAIRE

Le peintre que Barack Obama a choisi pour son portrait a vraiment peint une femme noire décapitant une blanche

Lundi 12 février 2018, l’ancien couple présidentiel Barack et Michelle Obama ont dévoilé leurs portraits officiels pour la National Portrait Gallery de Washington. Monsieur a choisi d’être peint par l’artiste Kehinde Wiley tandis que Madame a été représentée par Amy Sherald.

Today, @KehindeWiley and @ASherald became the first black artists to create official presidential portraits for the Smithsonian. To call this experience humbling would be an understatement. Thanks to Kehinde and Amy, generations of Americans — and young people from all around the world — will visit the National Portrait Gallery and see this country through a new lens. They’ll walk out of that museum with a better sense of the America we all love. Clear-eyed. Big-hearted. Inclusive and optimistic. And I hope they’ll walk out more empowered to go and change their worlds.

Une publication partagée par Barack Obama (@barackobama) le 

As a young girl, even in my wildest dreams, I never could have imagined this moment. Nobody in my family has ever had a portrait – there are no portraits of the Robinsons or the Shields from the South Side of Chicago. This is all a little bit overwhelming, especially when I think about all of the young people who will visit the National Portrait Gallery and see this, including so many young girls and young girls of color who don’t often see their images displayed in beautiful and iconic ways. I am so proud to help make that kind of history. But the fact is that none of this would be possible without the extraordinary artist and woman behind this portrait, @asherald. Thank you, Amy – it was a joy to work with you and get to know you.

Une publication partagée par Michelle Obama (@michelleobama) le 

Suite à cette présentation, plusieurs personnes et médias se sont plongés dans les oeuvres produites par les deux peintres.

Dans le cas de Kehinde Wiley, l’extrême-droite a créé une polémique en déterrant deux tableaux du peintre où l’on voit une femme noire décapitant une blanche. Il s’agit des peintures Judith and Holofernes achevées en 2012 et qui sont disponibles sur le compte Instagram de l’artiste : 

 

Il s’agit d’une réinterprétation d’une scène issue du Livre de Judith : la décapitation du général Holopherne par la veuve Judith. Cet épisode a souvent été peint durant la Renaissance, notamment par les peintres italiens Le Caravage et Giovanni Baglione (ci-dessous). 

On remarquera qu’à la différence de Baglione ou de l’épisode narré dans le Livre de Judith, le peintre américain a choisi de représenter Judith sous les traits d’une femme noire et Holopherne comme une femme blanche. 

Parti à la recherche d’explications sur ces peintures, le site américain, expert dans la vérification de rumeurs, Snopes.com a retrouvé des critiques publiées lors de leurs présentations. Selon le critique d’art Walter Robinson et selon une analyse du Musée d’Art de Caroline du Nord, il s’agirait pour l’artiste de dénoncer les idéaux de beauté des blancs et de mettre en avant les corps de femmes noires, pas assez mises en avant dans l’histoire de l’art. 

Cette restitution peut avoir plusieurs niveaux d’interprétations, y compris l’identité raciale et de genre et l’inégalité, la représentation des femmes dans l’histoire de l’art, et les idéaux de beauté de la société. Selon les mots de Wiley, «Je peins les femmes pour en finir avec les représentations du genre dans le contexte de l’histoire de l’art. Il faut élargir la conversation… Cette série d’oeuvres tente de réconcilier la présence de stéréotypes de femmes noires qui entoure leur présence et/ou leur absence dans l’histoire de l’art, et les notions de beauté, spectacle et du « grand » dans la peinture». 

Il faut remettre ces peintures en regard de l’art prôné par le peintre qui est, selon Le Monde, «réputé pour ses portraits d’Afro-Américains peints dans des postures triomphantes»«Kehinde élève ceux qui sont souvent hors champ et montre qu’ils méritent d’être au centre la société américaine», a d’ailleurs précisé Barack Obama. Dans une interview retrouvée par Snopeson entend d’ailleurs Kehinde Wiley expliquer que «au mieux, ce que fait l’art c’est de provoquer».

«Non seulement les Obama représentent le premier couple présidentiel afro-américain à être inscrit dans la collection, mais les peintres qu’ils ont choisi (…) sont eux aussi Afro-Américains», a expliqué le New York Times. Kehinde Wiley, 40 ans, a acquis une notoriété dans les années 2000 grâce à ses «portraits en taille réelle de jeunes afro-américains habillés en style hip-hop, mais dépeint à la maniète des grands maîtres des portraits royaux européens. Plus récemment, il a élargi son répertoire pour y inclure des sujets féminins, tout comme des modèles brésiliens, indiens, nigérians et sénégalais, créant ainsi une image collective d’une aristrocratie noire mondiale». 

En résumé, le peintre qui a réalisé le portrait de Barack Obama a bien produit deux réinterprétations de Judith décapitant Holopherne, où Judith est une femme noire et Holopherne une blanche. Cela s’inscrit dans le parcours artistique du peintre…qui banalise le meurtre des blancs et à plus long terme « Le Grand Remplacement »!

 

Artiste québécois:Il y a 30 ans maintenant Gerry Boulet nous quittait

Le 18 juillet 1990, le Québec apprenait la mort du chanteur rock Gerry Boulet. Nos archives témoignent de l’héritage de ce pilier de la chanson québécoise.

 

« C’était une voix unique dans la chanson francophone, une voix qui savait hurler le rock et pleurer le blues. C’était la voix de Gerry Boulet, le plus grand rocker du Québec. »

Paul Toutant

C’est ainsi que le journaliste Paul Toutant décrit le chanteur Gerry Boulet à l’annonce de sa mort au Téléjournal du 18 juillet 1990.

Gerry Boulet a rendu l’âme à 44 ans, après avoir lutté contre un cancer fulgurant.

 

 

Il faut y aller au boutte, comme il a été lui-même, exprime à son tour Plume Latraverse qui a partagé la scène avec Gerry Boulet en plus d’écrire pour lui.

À la tête du groupe Offenbach, Gerry Boulet est parvenu à faire sonner le rock en français en y mettant toute son âme.

Sur une musique percutante, il a chanté les plus grands paroliers et il l’a fait en québécois.

Le plus grand rocker du Québec n’est plus, affirme le journaliste Paul Toutant, mais il laisse en héritage un répertoire de chansons qui passeront l’épreuve du temps.

La voix et le rythme d’Offenbach

Offenbach a été d’une grande importance dans l’histoire de la chanson québécoise.

En 1980, il a notamment été le premier groupe francophone à monter sur la scène du Forum de Montréal, traditionnellement réservée aux artistes étrangers.

Gerry Boulet chante avec Offenbach durant seize ans.

Le multi-instrumentiste enregistre avec le groupe quatorze albums qui comprennent des succès tels que Câline de bluesAyoyePromenade sur Mars ou Seulement qu’une aventure.

Enregistré au moment du concert d’adieu du groupe, ce reportage diffusé à l’émission En tête du 1er novembre 1985 revient sur le phénomène Offenbach.

On est des gens de la rue. C’est une musique populaire. C’est des histoires qui peuvent arriver à n’importe qui, explique Gerry Boulet sur le succès du groupe. C’est pour ça qu’ils se collent à nous autres.

Le journaliste Mario Masson souligne pour sa part la qualité des textes qui accompagnent la musique haute en couleur d’Offenbach.

Des textes étonnants de paroliers qui ont choisi de travailler la langue québécoise.

Pierre Harel, Gilbert Langevin, Michel Rivard et Plume ont écrit pour Gerry Boulet qui a aussi chanté du Piaf et du Jean Genet.

On a été chanceux de rencontrer ces poètes-là, ces auteurs-là. Ça a toujours bien adonné, exprime Gerry Boulet dans le reportage.

Gerry Boulet joint à ces paroles en québécois son grand talent de mélodiste et, surtout, sa voix unique.

Il a une voix de rocker, mais il chante du blues. C’est très personnel, son style. Et il est beau comme un dieu!

Monique Mercure

Une voix brûlée par l’alcool et les cigarettes. Une voix prenante. C’est peut-être la plus belle corde sensible des Québécois, déclare l’animateur Gaston L’Heureux.

Il [le groupe Offenbach] aura aussi laissé, qu’on le veuille ou pas, une façon unique de faire valser la langue française, conclut le journaliste Mario Masson alors que le rideau se ferme pour le groupe.

L’album testament de Gerry Boulet

En 1988, Gerry Boulet offre l’album solo Rendez-vous doux.

Cet album sera aussi son dernier, car le chanteur rock se sait atteint d’un cancer.

Rendez-vous doux deviendra l’un des succès commerciaux les plus importants de l’industrie musicale au Québec.

Je me découvre sous un autre angle, confie Gerry Boulet au journaliste Claude Deschênes le 11 mars 1989, au moment de la tournée de spectacles qui suit la sortie de son album solo.

Diffusé dans le cadre du bulletin de nouvelles Ontario ce soir, cet extrait de Vidéo Club nous laisse aussi entrevoir des extraits de la chanson Toujours vivant.

Une chanson qui, avec Les yeux du cœur, permet à Gerry Boulet de rejoindre un large public.

Le rocker se serait-il assagi? lui demande le journaliste.

Il y a des choses plus tendres qui sont sorties dans cet album-là, confirme Gerry Boulet. Le temps change tout.

À l’automne 1989, Gerry Boulet devra interrompre la tournée de Rendez-vous doux pour se concentrer sur ses traitements contre le cancer.

Au Gala de l’ADISQ, il monte sur scène pour récolter deux Félix : album rock et spectacle de l’année.

Gerry Boulet s’éteint à son domicile de Longueuil le matin du 18 juillet 1990.

Vous m’avez monté un beau grand bateau
Vous m’avez fait de bien grandes vagues

Refrain de la chanson « Un beau grand bateau »

Son dernier Félix pour la chanson la plus populaire de l’année, Un beau grand bateau, lui sera remis à titre posthume l’année suivante.

 

 

 

 

L’art et l’histoire:La beauté des oeuvres de Jean-Léon Gérôme

L’ARTISTE

Autoportrait,1886

 

Jean-Léon Gérôme, né à Vesoul en Haute-Saône le  et mort à Paris le , est un peintre et sculpteur français, membre de l’Académie des beaux-arts. Il composa des scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses. À partir de 1878, il réalise des sculptures, principalement réalisées en polychromie, ses sculptures représentent souvent des scènes de genre, des personnages ou des allégories.

Jean-Léon Gérôme dans son atelier ,vers1900.

 

Promu grand officier de la Légion d’honneur, Gérôme est distingué lors des différentes Expositions universelles auxquelles il participe et il fait figure de peintre officiel à la fin du xixe siècle. Il devient professeur à l’École des beaux-arts, durant près de quarante années, et forma plus de 2 000 élèves.

Autre photo de l’artiste.

Considéré comme l’un des artistes français les plus célèbres de son temps, Jean-Léon Gérôme est l’un des principaux représentants de la peinture académique du Second Empire. Après avoir connu un succès et une notoriété considérables de son vivant, son hostilité violente vis-à-vis des avant-gardes, et principalement des impressionnistes, le fait tomber dans l’oubli après sa mort. Son œuvre est redécouverte à la fin du xxe siècle et rencontre une postérité inattendue en devenant, entre autres, une source d’inspiration pour le cinéma.


Voici quelques unes de ses œuvres qui m’ont frappées

Napoléon et ses généraux en Egypte

 

Le charmeur de serpents

 

Le prisonnier

 

L’accueuil du Grand Condé à Versailles par Louis XIV
La piscine au Harem

 

Le Combat de coqs

 

Socrates rencontre Alcibiade

 

 

Le Grand Bain à Bursa
Phryné devant l’Aréopage

 

Sculpture en bronze-La fuite en Egypte.
Scènes de bains
Le bain au harem

 

Le Gynecée

 

Bonaparte devant le Sphynx,1865

Cette  dernière toile de l’empereur Napoléon I devant le Sphynx  demeure ma favorite,car elle  inspire la réflexion et l’introspection !

 

 

 

Chanson classique des années de guerre: »Lili Marlene  » interprétée en français par Suzy Solidor

Née le 18/12/1900 à Bretagne, Suzy Solidor est une artiste de grand talent. Elle est morte le 31 mars 1983 à l’âge de 82 ans.

Son interprétation de Lili Marlene en 1941 reste l’une de ses grandes représentation.

Suzy Solidor, la fille aux cheveux de lin Égérie du « tout-Paris » même occupé, celui des poètes et peintres à la mode de son temps, elle attire par sa voix grave et son air..particulier!

Elle est unique!


PHOTOS

Suzy Solidor à la fin d’une représentation.(« C’est à Hambourg »,1958)

 

À Deauville en 1925 habillée en matelot et accompagnée d’un chien.

 

En 1922,toujours sur la plage de Deauville.

 

1922 toujours.

 

En 1925 avec Vera Cooper et un magnifique chien sur cette même plage de Deauville qu’elle aimait.
Elle adorait les chiens et aimait s’amuser avec eux…tout comme votre serviteur.

 

À St-Moritz vers 1930 avec son chien.

 

En 1928 à Deauville.
En 1929 accompagnée de son chien.

 

De nombreux artistes l’ont représenté dans diverses formes artistiques.

 

Ici surprise en train de poser nue pour la peintre Tamara de Lempicka.

 

De nombreuses photos nues existent d’elle car elle aimait l’art.

 

Ses jambes faisaient rêver !

 

 

 

 

En 1939,elle chanta pour les fusiliers-marins.

 

Photo vers 1930 avec un chien extraordinaire.

UN CADEAU SURPRISE: UNE AUTRE CHANSON

 

Chansons d’Occident chrétien :Ave Maria

 

 

Un Ave Maria chanté dans la rue au coeur d’une ville d’Europe et des gens du peuple d’Europe qui écoutent. Un temps de ravissement et de recueillement. Une musique qui élève l’âme et qui témoigne de l’unicité de notre grande et belle civilisation occidentale.

 

Martin Hurkens
Avant d’arpenter les plus grandes salles du monde, ce grand amateur d’opéra était un simple boulanger. Sa passion pour le chant n’était à l’origine qu’un plaisir et un passe-temps.
Quel talent pour un homme de 65 ans.

 

 

Trois morceaux d’un album posthume de Michael Jackson sont interprétés par un imposteur

Après quatre ans d’une procédure judiciaire initiée par une fan de l’artiste, Sony a reconnu ne posséder aucune preuve de l’authenticité des chansons.

Michael Jackson, lors d’un concert au stade de Wembley, à Londres, le 30 juillet 1992.

 

 

 

« Monster »« Breaking News »,« Keep Your Head Up » : ces trois morceaux sont attribués à Michael Jackson, sur la pochette d’un album posthume de l’artiste américain sorti en 2010 et intitulé Michael, un an après sa mort à Los Angeles.

« Attribués » seulement, car les trois chansons n’ont pas été interprétées par l’auteur de Thriller, mais par un imitateur, a concédé la maison de disque Sony, le 21 août, après quatre années de procédures judiciaires devant un tribunal de Los Angeles.

Les premiers doutes ont émergé dès 2010 par l’intermédiaire de Vera Serova, une fan de Michael Jackson persuadée de ne pas le reconnaître dans les mélodies des trois morceaux. Elle a donc lancé en 2014 une procédure judiciaire au civil contre Sony, Eddie Cascio – ami et producteur de Michael Jackson – et Angelikson, la boîte de production détenue par son frère. James Porte, qui aurait écrit plusieurs de ces chansons aux origines controversées, figure lui aussi dans la plainte déposée en Californie.

La famille Jackson sceptique

Vera Serova développe ses arguments en produisant un rapport d’expert de 41 pages, listant les incohérences entre le style de Michael Jackson et les trois morceaux concernés. Des témoignages de l’équipe de Michael Jackson, qui trouve suspect de ne pas y retrouver les célèbres claquements de doigts de l’artiste, et l’incapacité des mis en cause à apporter des preuves matérielles des enregistrements – comme des prises de voix alternatives – font douter Sony. D’autant que la famille de l’artiste exprime dès le départ, elle aussi, son scepticisme.

Après avoir mené une enquête en interne, la maison de disques a déclaré, le 21 août devant la justice, ne pas avoir de preuves établissant l’authenticité des morceaux – ses avocats l’avaient laissé entendre lors d’une précédente audience, en décembre 2016. Elle rejette la faute sur les deux producteurs, que le distributeur aurait crus de bonne foi au moment de la livraison de l’album.

Juridiquement, le changement de stratégie de Sony est déterminant pour la suite du procès : si le groupe arrive à démontrer qu’il ignorait les conditions d’enregistrement des morceaux, impossible de lui reprocher une diffusion et une publicité malhonnête du disque. Les charges pèseraient alors sur Eddie Cascio, son frère, ainsi que James Porte.

Les groupes de fans, très attentifs au déroulement du procès, demandent de leur côté que le nom de Michael Jackson ne soit plus associé aux morceaux, et que ceux-ci soient retirés de l’album.

 

 

 

Le Roi du Rock français,Johnny Hallyday est mort

Johnny Hallyday est mort mardi ,le 5 décembe 2017,à l’âge de 74 ans, a annoncé son épouse. Ce monstre sacré de la musique populaire française laisse derrière lui un héritage considérable et des milliers de fans.

« Johnny », comme on l’appelle affectueusement dans l’Hexagone, souffrait depuis plusieurs mois d’un cancer des poumons. Il avait été hospitalisé le 13 novembre pour insuffisance respiratoire mais son était s’était stabilisé par la suite.

La photo emblématique des années yéyé:Johnny Hallyday avec Sylvie Vartan.

Le président français Emmanuel Macron lui a rendu hommage en affirmant qu’on a « tous en nous quelque chose » du chanteur. « De Johnny Hallyday nous n’oublierons ni le nom, ni la gueule, ni la voix, ni surtout les interprétations, qui, avec ce lyrisme brut et sensible, appartiennent aujourd’hui pleinement à l’histoire de la chanson française. Il a fait entrer une part d’Amérique dans notre Panthéon national », ajoute le communiqué de l’Élysée.

Monstre sacré du rock français, champion des ventes de disques et des tournées triomphales, Johnny Hallyday, c’était d’abord un look, un son, et bien sûr une gueule.

Sa carrière prend son envol en 1960. Le jeune adolescent de 17 ans, originaire d’une famille d’artistes de cirque, rêve de gloire et de rock and roll.

Ses premiers succès misent sur son image de tombeur et s’inspirent de ses idoles américaines.

Dans les premières années de sa carrière, il présente des spectacles au Québec. Ici comme en France, les jeunes l’adorent.

Les années 1960 et 1970 le verront trôner au sommet des palmarès en France. Pendant ses spectacles, on assiste à des émeutes, à des scènes d’hystérie : il devient une icône, il est sacré « idole des jeunes », puis « roi du rock ».

Amoureux du rock, il surfe tout de même sur tous les styles, s’adaptant aux modes et devenant, au fil du temps et des décennies, un incontournable de la culture populaire francophone.

Johnny Hallyday a enregistré plus de 1000 chansons, vendu 60 millions d’albums dans sa carrière, et fait une centaine de tournées.

Même s’il est une star dans la francophonie, son succès ne traversera pourtant jamais les frontières de l’Europe. Avec ses tics, son style et ses influences américaines, il reste une exception culturelle française.

Une nouvelle famille

Bien qu’il consacre sa vie à la musique, il mène en parallèle une discrète carrière d’acteur. Aussi débridé qu’il puisse être sur scène, il surprend au cinéma par un jeu retenu et tout en nuances.

Dans le film Jean-Philippe , en 2005, il interprète… Johnny Hallyday, devenu garagiste plutôt que rock star.

« Il est jamais trop tard pour accomplir son destin : le vôtre c’est d’être Johnny Hallyday, de chanter pour les gens, de leur donner du bonheur! »

Alors que dans les années 2000 il est en voie de devenir le papi du rock français, il fonde une nouvelle famille. Déjà père de deux enfants adultes, il adopte deux filles avec sa dernière épouse, Laeticia, de 32 ans sa cadette.

À la même époque, il multiplie les duos. Les chanteuses québécoises à voix font partie de ses partenaires favorites.

À 66 ans, en 2009, le rocker incandescent annonce qu’il ne veut pas devenir pathétique aux yeux de son public. Il entame une grande tournée d’adieu, « Tour 66 » et subit, parallèlement, plusieurs opérations pour un cancer du côlon et une hernie discale.

Mais la plus grande star de l’Hexagone n’allait pas s’arrêter là. En 2012, il repart en tournée, avec le spectacle Jamais seul qu’il viendra présenter sur les plaines d’Abraham, au Festival d’été de Québec.

Énergique, guitare au cou et vêtement moulé de cuir noir, il sera resté jusqu’à la fin le rocker qu’il a toujours rêvé d’être.

Personellement,je me souviens que dans les années ’70 et ’80,nous dansions sur sa musique dans les salles de danse de Jonquière,d’Alma et de Chicoutimi,au Lac St-Jean (au centre-nord du Québec).C’était Johnny Hallyday qui nous faisait lever et bouger.

Je l’ai toujours aimé et je l’aimerai toujours!

Avec sa mort,nous avons tous perdu un petit quelque chose en  nous qui ajoutait à la joie de vivre!

Johnny Hallyday et son musicien Yarol Poupaud ainsi que le choeur de l’armée française, chante sur la place de la République à Paris, lors de la cérémonie en souvenir des attaques contre le magazine Charlie Hebdo et un supermarché juif.

 

Johnny lors de la présentation du film «Salaud on t’aime» de Claude Lelouch.

 

Concert au Bell Center à Montréal au Québec dans une arrivée spectaculaire.

 

Concert monstre et gratuit au Champ de Mars à Paris pour la fête nationale française et les 120 ans de la Tour Eiffel. Quelque 800’000 personnes sont présentes.
Johnny et sa femme Laeticia pour la projection du film «Vengeance » en compétition à Cannes.

 

Johnny Hallyday (C) s’entretient à l’Elysée avec le ministre de l’intérieur, Jean-Louis Debré et le président Jacques Chirac, après la cérémonie au cours de laquelle le chef de l’état lui a remis les insignes de chevalier de la Légion d’Honneur.
Le chanteur et sa nouvelle épouse, Laeticia Boudou, saluent les nombreux fans venus assister à leur mariage célébré à la mairie de Neuilly-sur-Seine.
Johnny enlace son ex-épouse Sylvie Vartan avec qui il vient d’interpréter deux chansons sur la scène du Parc des Princes à Paris, à l’occasion du premier des trois concerts exceptionnels donnés pour son 50ème anniversaire.
Johnny embrasse à Ramatuelle son épouse Adeline Blondieau, après leur mariage à la mairie de la ville.
Le père de Johnny, Leon Smet meurt à Bruxelles à l’âge de 81 ans. jean-Philippe Smet est né le 15 juin 1943 d’un père absent et d’une mère aux maigres revenus. Il est élevé par sa cousine Desta Mar et son mari, Lee Hallyday, un artiste de music-hall qui l’initie à la musique.

 

 

Mata Hari :la sensualité et l’érotisme ajoutés à l’espionnage durant la Grande Guerre

Un noter un détail intéressant dans cette correspondance, un aspect rarement évoqué, celui de l’espionnage, et des complications qui en découlent dans la vie de tous les jours.
La France semblait un peu retard dans ce domaine durant les premiers mois du conflit. C’est après la bataille de la Marne que le Grand Quartier général, sur ordre du général Joffre, créa le 2e bureau du service de renseignement, fonctionnement conjointement avec le 2e bureau de l’Etat Major des Armées, qui seront rejoints un peu plus tard par un 5e bureau. Ces services collaboraient avec la Sûreté générale, le Ministère de l’intérieur et la Préfecture de Police de Paris. Quand on voit la complexité de ce réseau, on comprend immédiatement la lourdeur de ce service secret « à la française ».
Tous les pays participants au conflit ont eu recours à l’espionnage… rappelons-nous la très célèbre Margaretha Geertruida « Margreet » Zelle MacLeod, alias Mata-Hari, néerlandaise, danseuse « exotique » au service de l’empire allemand ! fusillée le 15 octobre 1917 à Vincennes.
Mata Hari en spectacle vers 1915.
Mata Hari en spectacle vers 1915.

Mata Hari
(* 07. Août 1876; † 15. Octobre 1917)

Margaretha Geertruida ZELLE est l’unique fille de Adam Zelle et de Antje van der Meulen. Son père, riche fabricant de chapeaux et de capes, lui porte une attention toute particulière. La petite fille, souvent prise pour une eurasienne en raison de son teint mat, montre un penchant précoce pour l’affabulation et la mise en scène. Le « cocon » familial se trouve brisé en janvier 1889 lorsque l’entreprise Zelle fait faillite. La famille déménage, Adam Zelle délaisse ses enfants, le couple se sépare le 4 septembre 1890. Le décès de Mme Zelle huit mois plus tard disperse la fratrie.

 

 

 

 

 

 

 


Mata Hari vers1907.
Mata Hari vers1907.

Biographie

En novembre 1892, Margaretha entre à l’école normale de Leiden, dont elle est renvoyée en raison d’une liaison avec le directeur. Elle va alors vivre chez un oncle à La Hague. En mars 1895 elle répond à une annonce matrimoniale d’un capitaine de vaisseau de l’armée royale des Indes : « Officier de retour des Indes cherche jeune femme affectueuse pour mariage ». Ce dernier, de dix-neuf ans son aîné, se nomme Rodolphe Mac Leod, alias John. Il représente l’autorité paternelle qui lui a fait défaut. Le 11 juillet, leur union est officialisée. Le 30 janvier 1897, résidant alors à Amsterdam chez une s¿ur de Rodolphe, le couple a son premier enfant, Norman John.

Au début du mois de mai 1897, la famille s’embarque pour Toempong (à l’ouest de Java), aux Indes néerlandaises, où l’officier Mac Leod doit rejoindre son poste. Les époux y ont une fille, Jeanne Louise dite « Non ». La jeune femme s’intéresse aux danses balinaises et prend le pseudonyme de Mata Hari « ¿il du jour » (nom du Soleil en Indonésie). Cependant, la vie conjugale sur place devient difficile. Margareth, grisée par les colonies, délaisse sa famille. Le couple se dispute sur fond d’adultère. Leur fils meurt à la suite d’une intoxication. En 1900, après vingt-huit ans de service, Rodolphe Mac Leod quitte l’armée.

Mata Hari en 1904...photo prise après un spectacle.
Mata Hari en 1904…photo prise après un spectacle.

En mars 1902, les Mac Leod retournent aux Pays-Bas et divorcent cinq mois plus tard. En dépit du jugement rendu, Rodolphe refuse son droit de visite mensuel, et soustrait l’enfant à la garde de sa mère.

En 1903, âgée de 26 ans, la Hollandaise vient à Paris. Sans emploi, elle regagne les Pays-Bas pour quelques mois avant d’entamer dans la ville éternelle une carrière de danseuse de charme sous les apparences d’une princesse javanaise dénommée « Lady Mac Leod ». Elle débute au salon de Madame Kiréesky, puis, de salons privés en salons privés, sous son pseudonyme javanais de « Mata Hari », finit par se faire inviter par Monsieur Guimet, possesseur d’une salle de spectacle privée. Sa représentation le soir du 13 mai 1905 en princesse indienne totalement nue marque le début de sa vie mondaine.

Photo prise en 1905 lors de sa représentation totalement nue.Cette représentation lui apportera un succès fantastique...auprès de l'élite polotique et financière de l'époque.Seulement cette photo se vendra fort cher ...sous le manteau.En s'influenceant de la culture orientale,elle réinvente le streap tease .Avec elle,le corps de la femme devient une oeuvre d'art.
Photo prise en 1905 lors de sa représentation totalement nue.Cette représentation lui apportera un succès fantastique…auprès de l’élite polotique et financière de l’époque.Seulement cette photo se vendra fort cher …sous le manteau.En s’influenceant de la culture orientale,elle réinvente le streap tease .Avec elle,le corps de la femme devient une oeuvre d’art.

Elle y interprète avec d’autres artistes une variation d’une « danse hindoue » en l’honneur de la déesse Shiva. Le spectacle est un succès et comédiens sont invités à se produire devant les grands de l’époque : le 18 août 1905 à l’Olympia de Paris, en janvier 1906 à Madrid ; à Monte Carlo elle joue dans Le Roi de Lahore de Jules Massenet (1842-1912) ; à Berlin, à La Haye, à Vienne et au Caire.

Dans son interprétation de la déessse Shiva,elle aurait commencer par se dévêtir par ...le bas,contrairement aux habitudfes ancrées des spectacles de strip-tease,.
Dans son interprétation de la déesse Shiva,elle aurait commencer par se dévêtir par …le bas,contrairement aux habitudes ancrées des spectacles de strip-tease,.
 
...sous des vêtements transparents,on devine son corps.
…sous des vêtements transparents,on devine son corps.

Ses talents artistiques sont toutefois à nuancer. Mata Hari a probablement inventé un type de chorégraphie appréciée dans les cabarets et les cercles pour qui l’exotisme est synonyme de lascivité, plus qu’elle n’a présenté de danses indiennes. Aux journalistes, l’interprète cède le pas à la comédienne : elle aime à présenter sa mère comme une princesse indienne, élève son père à la dignité de baron et ajoute : « je suis née à Java, au milieu de la végétation tropicale, et, depuis ma plus petite enfance, des prêtres m’ont initiée à la signification profonde de ces danses qui constituent un véritable culte. » Ceci ne l’empêche pas, dès 1907, d’être éclipsée par les autres danseuses de charme, comme Colette, remplacées par les ballets russes quelques temps après. Mata Hari, voyant sa notoriété diminuer, finit par mener une vie mondaine, collectionnant les bienfaiteurs, toujours en quête de nouveaux amants.

Lors de la déclaration de guerre, Margaretha Zelle vit à Berlin auprès d’un ancien galant, Alfred Kiepert, hussard, en attendant de se produire au Metropol.

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Ses compétences linguistiques lui permettent de regagner les Pays-Bas puis de s’établir à Paris où, installée au Grand Hôtel, elle continue à vivre de ses charmes. Au début de l’année 1916, lors d’un voyage en Allemagne (Cologne, Francfort), Mata Hari, endettée par son train de vie, est contactée par Cramer, consul allemand à La Haye. Celui-ci lui propose de régler ses dettes, de donner 20 000 couronnes en échange de renseignements sur la France. Elle devient ainsi l’agent H 21.

De retour à Paris en juillet, elle noue des contacts avec les officiers alliés, et s’éprend d’un jeune capitaine de l’armée russe. Ce dernier, blessé, est soigné à Vittel.

 

Mata Hari intrigue alors pour obtenir l’autorisation de se rendre à ses côtés. Elle entre alors en relation avec le capitaine Ladoux, officier du contre-espionnage français. En contre partie de cette faveur et d’un million de francs (jamais versés), il lui propose d’espionner le Kronprinz, un de ses anciens amants. Le Français se méfie d’elle : il la fait surveiller pendant toute la mission. Son travail achevé, Mata Hari est envoyée, au mois d’août, en Belgique puis au mois de novembre en Espagne, centre de la guerre secrète, sans argent ni directive précise. Les services secrets britanniques, croyant avoir affaire à l’espionne Klara Benedix, la mettent aux arrêts à l’escale de Falmouth et la soumettent à un interrogatoire serré alors qu’elle se rend aux Pays-Bas afin de gagner l’Allemagne. Le capitaine Ladoux télégraphie à son homologue, Sir Basil Thomson, afin de lever le doute.
L'espionne profiteuse et agente H21 pour l'empire allemand.
L’espionne profiteuse et agente H21 pour l’empire allemand.

Libérée, Mata Hari retourne à Madrid, le 11 décembre 1916, pour trois semaines. Elle noue des contacts avec l’attaché militaire de l’ambassade d’Allemagne, Arnold von Kalle, et communique aux services français une liste d’agents, un procédé d’encre sympathique et un lieu de débarquement au Maroc  cette « moisson » d’informations profite en réalité à Denvignes, en charge des communications, qui s’en attribue le travail. Entre-temps les services britanniques interceptent et déchiffrent les câbles de l’attaché allemand à Berlin. Ils confondent les identités de l’agent H 21 et de Mata Hari (en raison du manque de vigilance du lieutenant von Kroon), et obtiennent ainsi la preuve qu’elle est un agent double. Un des messages, consacré à la mise en place sur le trône de Grèce du prince héritier Georges mentionne que « l’agent H-21 s’était rendu utile ». Une autre lecture des faits veut que von Kalle, se méfiant de Mata Hari, ait provoqué lui-même l’enquête en envoyant ces messages radio à Berlin dans un code facilement déchiffrable par les alliés.

Elle revient à Paris en janvier 1917 afin de retrouver son amant, avec l’espoir de d’une récompense et d’une nouvelle mission. Elle est arrêtée le 13 février à l’hôtel élysée Palace par le capitaine Bouchardon, le magistrat instructeur, « prévenue d’espionnage et de complicité d’intelligence avec l’ennemi, dans le but de favoriser ses entreprises ».

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Photo prise quelques minutes après son arrestation.

 

Photos prises lors de son arrestation pour espionnage.
Photos prises,en 1917, lors de son arrestation pour espionnage.

Elle est enfermée à la prison pour femmes de Saint-Lazarre. Pendant quatre mois, au gré de quatorze interrogatoires (du 23 février au 21 juin), Bouchardon finit par la confonde comme étant l’agent H 21 – cette dernière nie cependant avoir entretenu des relations avec le chef du renseignement allemand à Madrid, même si elle admet avoir reçu de l’argent du consul allemand Cramer dans le cadre de sa vie mondaine. Entraîné par le chauvinisme ambiant, Bouchardon ne prend pas en compte les services rendus par l’accusée . Aussi,il n’y croit pas d’ailleurs : « féline, souple, artificieuse, sans scrupules, sans pitié, elle était une espionne-née », écrit-il dans ses mémoires.

Le procès, à huis clos, commence le 24 juillet 1917, devant le 3e conseil militaire au Palais de justice de Paris. La Cour est présidée par le lieutenant-colonel Somprou et le commissaire du gouvernement, le lieutenant Mornet – lequel déclare plusieurs années après le procès : « il n’y avait pas de quoi fouetter un chat. » Son avocat, Maître Clunet, un ancien amant, est un expert réputé du droit international.

Hormis Jules Cambon, Vadim Maslov, et le diplomate Henri de Marguérie qui déclare n’avoir jamais abordé de sujet militaire en sa présence et pouvoir se porter garant de sa parfaite probité, aucun de ses anciens amants n’accepte de témoigner en sa faveur. Le procès, comme l’interrogatoire d’ailleurs, ne font pas la départie entre sa vie mondaine jugée immorale, son cosmopolitisme suspect, et ses activités de renseignement.

Ils ne sont que le reflet d’une opinion publique française et alliée qui réclame des coupables pour les morts, les mutineries et autres maux de la guerre.

A l’arrière, les ligues relayées par la presse entretiennent l’idée du complot ennemi, attisent la traque aux collaborateurs de tous bords. Margueritte Francillard est la première française fusillée pour espionnage le 10 janvier 1917. Mlle Dufays connaît le même sort au mois de mars. L’affaire Mata Hari, personnage au comportement pour le moins ambigu, est une occasion de plus pour renforcer la cohésion nationale. Les archives britanniques montrent par ailleurs qu’elle n’a pas livré aux Allemands d’informations capitales (Léon Schirmann).

Au terme du procès, le tribunal la reconnaît coupable d’intelligence avec l’ennemi et la condamne à être passée par les armes – d’autres femmes sont jugées et condamnées pour espionnage pendant les derniers mois de guerre : Augustine Josèphe, Susy Depsy, Régina Diano, etc.

 

 

 

 

 

L'exécution, 15. Octobre 1917 Au matin du 15 octobre 1917, à 6h15, sa grâce ayant été rejetée par le Président de la République Raymond Poincaré, Margaretha Zelle, ralliée au protestantisme depuis peu, est transférée en voiture cellulaire au polygone de Vincennes où l'attendent soldats et badauds. Mata Hari refuse qu'on lui bande les yeux. Onze balles et le coup de grâce asséné par un officier de cavalerie rassasient la vindicte populaire : "sa disparition réaffirmait l'autorité d'un pays rendu exsangue par une guerre meurtrière dont l'inutilité commençait à poindre" (J.-M. Loubier). Son corps, non réclamé, est mis à la disposition de l'institut médico-légal.
L’exécution, 15. Octobre 1917
Au matin du 15 octobre 1917, à 6h15, sa grâce ayant été rejetée par le Président de la République Raymond Poincaré, Margaretha Zelle, ralliée au protestantisme depuis peu, est transférée en voiture cellulaire au polygone de Vincennes où l’attendent soldats et badauds. Mata Hari refuse qu’on lui bande les yeux. Onze balles et le coup de grâce asséné par un officier de cavalerie rassasient la vindicte populaire : « sa disparition réaffirmait l’autorité d’un pays rendu exsangue par une guerre meurtrière dont l’inutilité commençait à poindre » (J.-M. Loubier). Son corps, non réclamé, est mis à la disposition de l’institut médico-légal.

PHOTOS ET CARTES POSTALES  DE L’ÉPOQUE

Mata Hari en 1910...photo colorisée.
Mata Hari en 1910…photo colorisée.
Photo colorisée de 1911.
Photo colorisée de 1911.
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Parfois devant le succès,les thèmes revenaient.
Parfois devant le succès,les thèmes revenaient.
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Une belle carte postale de l'époque.
Une belle carte postale de l’époque.
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vers 1910.
vers 1910.
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