Alerte: les équipes CBRN russes en Italie confirment une attaque biologique en cours qui n’est pas due au coronavirus

Ceci est une informations exclusive non encore publiée et inédite.
Les forces de défense CBRN (Chimique, biologique, radiologique et nucléaire) de la Fédération de Russie en Italie ont confirmé la thèse d’une attaque biologique qui n’est pas due au SRAS-nCov-2 mais à un autre vecteur. Le COVID-19 dont le vecteur existe est une diversion masquant l’usage d’une véritable bioarme.

 

Le COVID-19 n’est pas le vecteur d’une bioattaque mais un écran de camouflage cachant l’usage d’un autre vecteur inconnu, lequel ne serait pas chimique mais bien biologique.

 

Les thèses sur un usage éventuel du gaz Sarin sont totalement écartées par les équipes CBRN russes. Les premières conclusions de l’enquête des spécialistes russes à Bergame ont déclenché une alerte à la guerre biologique à Moscou.

 

La Stampa et les grands journaux italiens ont reçu l’ordre de mener une campagne extrêmement négative contre l’aide militaire russe à l’Italie. Les grands médias italiens tirent à boulets rouges contre l’aide russe, qualifiée d’intervention militaire ostentatoire dans un pays de l’Otan, et mettent fortement en doute son efficacité.
Nos sources soulignent qu’il faut absolument éviter de céder à la multiplication des fausses pistes dont une grande partie émane des grands médias dits dominants dont le battement médiatique sur le COVID-19 ainsi que l’action de certains gouvernements visent plus à brouiller les pistes. Ce qu’il faut retenir selon les mêmes sources est que le SRAS était au début des années 2000 bien plus létal (~10%) que le SRAS-nCov-2 et que les mesures prises par un nombre grandissant de gouvernements visent en priorité la création d’un climat favorable à l’injection d’immenses quantités de monnaies fiat (de 2 à 8 trillions de dollars USD) pour sauver le marché financier et boursier mondial et la mainmise du dollar sur fond d’une guerre de pétrole mené via l’Arabie Saoudite visant à terrasser économiquement des pays producteurs de brut comme l’Iran (cible prioritaire), le Venezuela, la Russie, la Chine, l’Algérie et le Nigeria.

 

 

source:https://strategika51.org/2020/03/28/alerte-les-equipes-cbrn-russes-en-italie-confirment-une-attaque-biologique-en-cours-qui-nest-pas-due-au-coronavirus/

Des convois militaires de lutte CBRN russes en Italie

 

 

 

Des scènes totalement inconcevables il y a deux mois: des convois militaires russes emportant des équipes et du matériel de lutte contre les menaces CBRN (Chimiques, Biologiques, Radiologiques et Nucléaires) sur les autoroutes italiennes en direction du Nord de la péninsule.

L’abandon de l’Italie par l’Union européenne et l’Otan a forcé le gouvernement italien à demander l’assistance de la Chine, Cuba et la Russie.

Selon SputnikNews les unités russes de défense chimique, biologique, radiologique et nucléaire (CBRN) ont apporté du matériel apte à combattre une attaque par armes biologiques, et pas seulement l’épidémie de coronavirus. Elles ont déjà commencé à l’utiliser dans les rues de Bergame, couvrant jusqu’à 1.000 voitures, 14 kilomètres de routes et 15.000 mètres carrés de surfaces de bâtiments par heure.

Les pièces mobiles de l’équipement des unités CBRN leur permettent de désinfecter de façon similaire à l’intérieur des bâtiments, y compris les hôpitaux et les morgues.

Outre l’envoi d’unités CBRN, l’armée russe a également amené des spécialistes des maladies virales, des épidémiologistes et des médecins généralistes, qui ont l’expérience de la lutte contre les épidémies dans différentes parties du monde, a déclaré le ministère de la Défense. Selon le ministère russe de la Défense, certains de ces spécialistes ont travaillé à stopper les épidémies d’anthrax et à développer un vaccin contre le virus Ebola.

 

 

 

Troisième Guerre mondiale en préparation active:La Russie ordonne tous ses fonctionnaires vivant à l’étranger de rentrer à la maison sur peur d’une guerre mondiale

La Russie ordonne tous ces fonctionnaires vivant à l’étranger de rentrer à la maison alors que les tensions accrues sur la perspective d’une guerre mondiale. Les politiciens et les personnalités de haut rang auraient reçu un avertissement du président Vladimir Poutine pour ramener leurs proches à la «mère patrie», selon les médias locaux.

Le président Poutine apparaît de plus en plus souvent le poing fermé,à la télévision russe...depuis l'échec des pourparlers.
Le président Poutine apparaît de plus en plus souvent le poing fermé,à la télévision russe…depuis l’échec des pourparlers.

Cela vient après que Poutine a annulé une visite prévue en France parce que la France était furieuse du rôle de Moscou dans le conflit syrien. L’ancien dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev a également averti que le monde se trouve à un «point dangereux» en raison de la montée des tensions entre la Russie et les Etats-Unis.

Selon le Daily Star, le personnel de l’administration, les administrateurs régionaux, les législateurs de tous les niveaux et les employés des entreprises publiques ont reçu l’ordre de retirer leurs enfants des écoles étrangères immédiatement.

La raison exacte de l’ordre n’est pas encore claire.

Mais l’analyste politique russe Stanislav Belkovski est cité par le Daily Star en disant: «Cela fait partie du paquet de mesures visant à préparer les élites dans une certaine« grande guerre ».

Les relations entre la Russie et les États-Unis sont à leur plus bas depuis la guerre froide et se sont détériorées au cours des derniers jours après que Washington a tiré le bouchon sur les négociations en Syrie et a accusé la Russie d’attaques de piratage.


Selon la télévision russe, la 3ème Guerre mondiale a déjà commencé

La parade du jour de la Victoire,à Moscou cette année.
La parade du jour de la Victoire,à Moscou cette année.

A en croire les médias russes, il faut se préparer à l’imminence d’un nouveau conflit international, après la rupture le 3 octobre des négociations entre Washington et Moscou sur le conflit syrien.

La Troisième Guerre mondiale n’aura probablement pas lieu mais pour quiconque allume son téléviseur en Russie, elle a déjà commencé. Sur la première chaîne d’Etat, c’est le présentateur de l’émission phare du dimanche soir qui annonce que les batteries antiaériennes russes en Syrie vont «abattre» les avions américains. Sur la chaîne d’informations en continu Rossia 24, c’est un reportage sur la préparation des abris antinucléaires à Moscou.

A Saint-Pétersbourg, le site d’informations Fontanka croit savoir que le gouverneur veut rationner le pain pour une future guerre malgré les explications des autorités qui affirment vouloir simplement stabiliser le prix de la farine. Et à la radio, on discute des exercices de «défense civile» mobilisant, selon le ministère des Situations d’urgence, 40 millions de Russes pendant une semaine. Au programme : évacuations d’immeubles et exercices d’incendie.

Pour celui qui aurait éteint son téléviseur pour se promener dans les rues de Moscou, il est fort possible de tomber sur un des immenses graffitis «patriotiques» des artistes pro-Poutine de l’organisation «Set» qui tapissent désormais les immeubles comme cet ours, symbole de la Russie, distribuant des gilets pare-balles à des colombes de la paix.

La cause d’une telle fièvre, de cet emballement pour l’imminence d’une «Troisième guerre mondiale» ? La rupture le 3 octobre des négociations entre Washington et Moscou sur le conflit syrien après l’échec d’un cessez-le-feu que les deux puissances avaient âprement négocié à Genève en septembre. Dans la foulée, les bombes russes et syriennes ont transformé Alep en «enfer sur Terre» selon l’ONU et suscité les critiques des Occidentaux.

Sur le terrain, l’armée russe a continué la semaine à faire cavalier seul en déployant sur sa base navale, dans le port syrien de Tartous, des batteries antiaériennes S-300 aptes à détruire des avions de chasse, mais aussi en envoyant des corvettes équipées de missiles pouvant, en théorie, couler des navires de guerre. Autrement dit, une démonstration de force visant, non pas les jihadistes ou les rebelles syriens, mais bien la Marine et les avions américains.

Une menace à peine voilée contre les Etats-Unis

La base russe dans l'enclave de Kaliningrad.
La base russe dans l’enclave de Kaliningrad.

A Moscou, où les journalistes russes et occidentaux se lèvent et se couchent en recevant les communiqués du ministère russe de la Défense, le climat de confrontation est relayé, amplifié par les médias. Le porte-parole de l’armée russe, le général Igor Konachenkov, adresse ses mises en garde à la Maison Blanche, au Pentagone, au Département d’Etat. «Je rappelle aux « stratèges » américains que les missiles antiaériens S-300 et S-400 qui assurent la couverture aérienne des bases russes de Hmeimim et de Tartous ont un rayon d’action qui pourraient bien surprendre n’importe quel aéronef non identifié», a-t-il dit le 6 octobre en une menace à peine voilée contre les Etats-Unis.

Sur l’antenne de la chaîne d’Etat Rossia 1, le présentateur Dmitri Kissilev, également patron de l’agence de presse Ria Novosti, résume la pensée du général Igor Konachenkov pour «les simples gens comme vous et moi» : «nous abattrons» les avions américains. Puis il dévoile le «plan B» des Etats-Unis en Syrie. «Le plan B, c’est en gros que les Etats-Unis vont avoir un recours direct à la force contre les forces syriennes du président Bachar al-Assad et contre l’aviation russe», dit-il.

«Est-ce qu’il faut craindre des provocations ? C’est comme cela que les Etats-Unis ont engagé la guerre au Vietnam», conclut Dmitri Kissilev avant de mettre en garde les Occidentaux : les missiles déployés à Kaliningrad, l’enclave russe proche de la Pologne pourraient emporter des têtes nucléaires. «La Russie actuelle est plus que prête, mais avant tout psychologiquement, à la nouvelle spirale de confrontation avec l’Ouest», résume Gueorgui Bovt dans une tribune sur le site d’informations Gazeta.ru.

«Si la bagarre ne peut pas être évitée, frapper le premier»

Le politologue envisage deux scénarios, compte tenu par ailleurs des difficultés économiques de la Russie. Le premier, optimiste, où les deux puissances vont «se mettre d’accord sur de nouvelles conditions de coexistence, en gros un Yalta-2», référence au partage des aires d’influence entre les Etats-Unis et l’Union soviétique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Et le scénario catastrophe : la Russie va réagir selon une loi de la rue bien connue : «si la bagarre ne peut pas être évitée, frapper le premier».

Dans une interview à Ria Novosti, le dernier président soviétique Mikhaïl Gorbatchev et initiateur il y a 30 ans à Reykjavik avec le président américain Ronald Reagan du début de la fin de la Guerre froide, prévenait récemment : le monde flirte «dangereusement avec la zone rouge».

Et mercredi, premier signe de détente après des jours d’invectives verbales, Moscou annonçait une réunion internationale sur la Syrie samedi à Lausanne qui a déjà des allures pour le secrétaire d’Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov de rencontre de la dernière chance.

 

Le bateau de guerre russe class Corvette 617 «Mirazh» traverse le Bosphore à Istanbul et se dirige vers la Syrie, le 7 octobre 2016. On place ses pions.
Le bateau de guerre russe class Corvette 617 «Mirazh» traverse le Bosphore à Istanbul et se dirige vers la Syrie, le 7 octobre 2016.
On place ses pions.

 

...en plus,les tireurs d'élite de l'armée russe s’entraînent depuis des années.
…en plus,les tireurs d’élite de l’armée russe s’entraînent depuis des années.

 

 


Sources : Africa24.info  et Libération.fr

 

Troisième Guerre Mondiale: l’armée russe déploie ses dangereux missiles Iskander face à l’OTAN

Le bouclier américain de missiles  déployé en Europe.
Le bouclier américain de missiles déployé en Europe.

 

De plus en plus, l’OTAN a positionné de nouvelles armes offensives aux frontières de la Russie, obligeant Moscou à répondre en déployant des armes défensives.

Le système de missiles russes sol-sol Iskander (Code OTAN SS-26 Stone), est produit par l’usine de missiles de Votkinsk (1000 km à l’est de Moscou). Il a été spécialement conçu pour percer le bouclier anti missiles balistiques américain. Le missile Iskander, d’une portée de 500 km, possède un seul étage Soyouz NPO, et fonctionne avec des combustibles solides. La 152ème brigade de missiles tactiques de Chernyakhovsk, dans l’enclave de Kaliningrad, est dotée de missiles Iskander disposés à 200 km de la base de Redzikowo qui aura pour rôle de neutraliser le bouclier antimissile américain en Pologne.

Proche du nord de l'Europe,une base de missiles Iskander a été déployée à Kaliningrad.
Proche du nord de l’Europe,une base de missiles Iskander a été déployée à Kaliningrad.

En réponse au bouclier antimissile américain mis en place en Roumanie, probablement qu’une batterie Iskander sera installée en Crimée, avec un régiment de bombardiers à long rayon d’action Tu-22M3. Le temps de préparation de lancement pour  une batterie de missiles Iskander est de 4 minutes, la tactique utilisée détermine le nombre de lancements simultanés de deux paires de missiles, avec un écart probable de 2-6 m. Les missiles Iskander peuvent avoir des ogives conventionnelles (thermobariques, bombes dans des boîtes ou des anti-bunkers) ou des ogives nucléaires. De la Crimée à la côte roumaine de la Mer Noire il y a 378 km et la portée du missile Iskander est de 500 km.

Test de missiles Iskander.
Test de missiles Iskander.

La trajectoire d’un missile Iskander n’est pas balistique, sinon, avec un poids de 3,8 à 4,2 t, il aurait eu une portée de 1500 km. Le vol de croisière du missile Iskander est réalisé à une vitesse de 7600 à 9300 km / h, en dessous de l’altitude de 60 000 m, une grande partie du trajet étant effectué au-dessus des couches denses de l’atmosphère, c’est à dire 40 000 m. Ce profil est basé sur le fait que les missiles AA de longue portée comme les MIM-104 Patriot PAC-3, qui ont également des capacités antibalistiques, ont un plafond maximum de 30 000 à 35000 m. Ce plafond a été ainsi établi car la plupart des avions de combat ne dépassent jamais 20 000 m. Or, la Roumanie n’a pas de missiles Patriot et les missiles antibalistiques SM-3 block 1b  qui équipent le bouclier à Deveselu ne peuvent rien intercepter en dessous d’une altitude de 80 000 m, altitude à partir de laquelle commencent à fonctionner les capteurs à bord.

 

Bases mobiles de lancement russes qui peuvent  déployer des missiles Iskander...partout!
Bases mobiles de lancement russes qui peuvent déployer des missiles Iskander…partout!

Dans la phase finale du vol, lorsqu’il entre dans les possibilités d’interception du système Patriot, le missile Iskander effectue des manœuvres d’évitement et lance 10 fausses cibles sous forme de réflecteurs métalliques polyédriques. La défense AA dispose d’un temps très court, et ne peut pas distinguer une ogive Iskander des fausses cibles. Pour abattre un missile Iskander, il faudrait lancer 11 missiles Patriot, et pour abattre un Iskander, il faudrait 22 Patriot. Donc, son profil de vol et son équipement de brouillage, confèrent à Iskander une grande capacité de survie, il est donc presque impossible à intercepter.

Article de Valentin Vasilescu

 

Source: Réseau International

Troisième Guerre Mondiale en préparation:La Russie et la France bombardent l’EI en Syrie

Les raids ont détruit notamment des «équipements militaires» et des «stocks d’armes et de munitions» du groupe Etat islamique (EI).

Le président russe Vladimir Poutine.
Le président russe Vladimir Poutine.

«Conformément à la décision du commandant en chef des forces armées Vladimir Poutine, nos avions ont mené une opération aérienne et réalisé des frappes de précision sur des cibles au sol des terroristes du groupe Etat islamique en Syrie», a déclaré le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère de la Défense, cité par les agences russes.

Une source de sécurité syrienne a affirmé de son côté que l’aviation russe, en coopération avec l’armée syrienne, a mené ses premiers bombardements contre «des positions terroristes» situées dans trois provinces de Syrie.

«Les avions russes et syriens ont mené aujourd’hui plusieurs raids contre des positions terroristes à Hama, Homs et Lattaquié», dans le nord-ouest et le centre du pays, a précisé cette source.

Le président russe Vladimir Poutine a obtenu mercredi matin le feu vert de son Sénat pour des frappes aériennes. La présidence syrienne a confirmé mercredi que Bachar el-Assad avait demandé à la Russie une aide militaire «dans le cadre de l’initiative du président Poutine pour lutter contre le terrorisme».

«Avant qu’ils arrivent chez nous»

Vladimir Poutine a justifié les frappes aériennes russes en Syrie, affirmant qu’il fallait prendre de vitesse les djihadistes en les frappant sur les territoires déjà sous leur contrôle avant «qu’ils arrivent chez nous».

«Le seul moyen de lutter efficacement contre le terrorisme international – en Syrie comme sur les territoires voisins – (…) est de prendre de vitesse, de lutter et de détruire les combattants et les terroristes sur les territoires qu’ils contrôlent et ne pas attendre qu’ils arrivent chez nous», a déclaré M. Poutine, selon des propos retransmis à la télévision russe.

L’aviation russe, en coopération avec l’armée syrienne, a mené mercredi ses premiers bombardements contre «des positions terroristes» situées dans trois provinces de Syrie.

Des bâtiments en ruines,à Talbisse.
Des bâtiments en ruines,à Talbisse.

Une source de sécurité syrienne a assuré que les « avions russes et syriens ont mené plusieurs raids contre des positions terroristes à Hama et à Homs », dans le nord-ouest et le centre du pays. Or ces régions sont tenues par le Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaida, et par des rebelles islamistes, et non par des djihadistes de l’EI. Des raids russes auraient notamment touché les villes de Rastane et de Talbissé, dans la province de Homs. La télévision officielle syrienne a ensuite confirmé que les raids russes avaient eu lieu dans deux provinces, tout en précisant que leurs objectifs étaient des positions de l’EI.

« Les forces russes ont frappé en Syrie, c’est désormais public, et curieusement elles n’ont pas frappé Daech [acronyme arabe pour Etat islamique] », a pour sa part déclaré le ministre de la défense français, Jean-Yves Le Drian, lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Moins catégorique, le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a affirmé avoir« des indications selon lesquelles les frappes russes n’ont pas visé Daesh », ajoutant qu’il « faudrait vérifier quels étaient les objectifs » des avions russes.

Les Etats-Unis ont jugé alarmant que la Russie n’ait pas demandé l’ouverture de discussions militaires avant d’entamer ses raids aériens en Syrie. Le secrétaire adjoint à la défense Robert Work, a parlé d’un geste « agressif » tandis que le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a prévenu être opposé aux frappes russes en Syrie si elles ne visent pas l’EI et Al-Qaïda.

D'imposantes frappes aériennes.
D’imposantes frappes aériennes.
  • Une réponse à la demande de la Syrie

Plus tôt dans la journée, Vladimir Poutine avait été autorisé par le Conseil de la Fédération, la chambre haute du Parlement, à déployer des soldats à l’étranger, a rapporté le Kremlin. Les cent soixante-deux sénateurs présents au vote ont approuvé à l’unanimité la demande du Kremlin.

« Le président syrien [Bachar Al-Assad] s’est adressé au gouvernement de notre pays pour lui demander de lui fournir une aide militaire », a justifié le chef de l’administration présidentielle, Sergueï Ivanov, juste après le vote. Il a précisé que le dispositif militaire concernait la Syrie et ne comportait que des frappes aériennes, excluant – pour le moment – l’engagement de troupes au sol. L’objectif est selon lui de soutenir les « forces armées syriennes dans leur lutte contre l’Etat islamique ».

Selon de hauts responsables israéliens cités par le quotidien Haaretz, la Russie aurait informé préalablement Israël de son intention de procéder à des frappes en Syrie. Moscou aurait ainsi voulu éviter que ses avions ne soient pris en chasse par l’aviation israélienne au cours de ses premiers raids.

Le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, doit présider plus tard dans la journée une session du Conseil de sécurité de l’ONU sur la lutte « contre la menace terroriste », en premier lieu contre celle que représente l’organisation Etat islamique en Irak et en Syrie. La Russie proposera un projet de résolution allant dans ce sens.

  • Renforcement de la présence militaire russe

La Russie, qui milite pour une large coalition contre l’Etat islamique, incluant Damas et Téhéran, est engagée, depuis plusieurs mois, dans un renforcement de sa présence militaire en Syrie, où elle soutient le régime de Bachar Al-Assad. Le nombre de bateaux arborant la croix de Saint-André et transitant par le détroit s’est considérablement accru avec la montée en puissance de la présence militaire russe en Syrie, comme l’indiquent les passages compilés par le site turc Bosphorus Naval News. Cette flotte a d’ailleurs été sarcastiquement baptisée « Syria Express » par des « spotters » (photographes passionnés), des blogueurs et des observateurs avertis.

Sa destination plus que probable est le port de Tartous, dans l’ouest de la Syrie, où la marine russe dispose de facilités de mouillage et d’installations de ravitaillement et de réparation depuis 1971. Une présence encore révélée dernièrement par des photos de marins russes publiées sur les réseaux sociaux.

Images satellites montrant le déploiement du matérie
Images satellites montrant le déploiement du matériel militaire russe.

Le premier raid aérien mené dimanche par la France contre le groupe État islamique (EI) en Syrie a causé la mort d’au moins 30 jihadistes, dont 12 «lionceaux du Califat», les enfants-soldats du groupe terroriste, a affirmé mercredi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). L’ONG, qui dispose d’un large réseau de militants en Syrie, a précisé que des combattants étrangers figuraient parmi les morts. Au moins 20 personnes ont également été blessé dans le bombardement, de même source.

Les  avions françcais...
Les avions français…

En vidéo : La France a frappé Daech

«La France a frappé un camp d’entraînement du groupe terroriste Daech (acronyme arabe de l’Etat islamique) qui menaçait la sécurité de notre pays», avait annoncé le président François Hollande en marge de l’Assemblée générale de l’ONU à New York. L’attaque française avait ciblé un camp situé dans la vallée de l’Euphrate, au Sud de Deir Ez Zor, près du poste frontière de Boukamal, utilisé par l’EI pour relier ses forces présente en Irak et en Syrie. Mené depuis les deux bases aériennes de l’opération Chammal situées en Jordanie et dans le Golfe Arabo-Persique, les frappes ont duré cinq heures.

7.200 frappes aériennes en un an

Cinq avions Rafale, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et un avion de ravitaillement C-135 ont été engagés dans l’opération. La cible avait été localisée grâce à des missions de reconnaissance menées depuis le 8 septembre dernier. Rappelons que l’opération Chammal a été lancée le 19 septembre 2014. Elle mobilise 700 militaires et vise, «à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un appui (aérien et formation) aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech», explique l’armée.

Paris participe aux frappes de la coalition anti-EI en Irak mais s’était jusqu’à présent refusé à intervenir en Syrie par crainte de conforter le président Bachar al-Assad, alors qu’elle souhaiterait son départ du pouvoir. Depuis plus d’un an, la coalition a réalisé plus de 7.200 frappes aériennes contre des positions de l’EI en Irak et en Syrie. En quatre ans et demi, le conflit syrien a fait plus de 240.000 morts et 2,5 millions de personnes déplacées.

Sources: Le Monde et diverses  nouvelles venant d’agences de presse.

Confirmation de l’installation de l’armée russe en Syrie…vaste déploiement!

Provenant  d’agences de nouvelles  moyen -orientales, j’ai reçu l’information confirmant que:

La RUSSIE construit une base aérienne en Syrie ,depuis quelques jours afin de pouvoir déployer  des  pilotes de chasse et des troupes dans la bataille contre l’ État islamique (Isis) dans une tentative désespérée pour soutenir le président Bachar al-Assad, qui est apparu souriant et heureux ,aujourd’hui.

Les troupes russes sont vraiment là.
Les troupes russes sont vraiment là.

Vladimir Poutine a ordonné la construction d’un énorme complexe militaire  pouvant acueuillir  1000  personnes  ,au centre du dispositif militaire   syrien assiégé dans un  signe  montrant la participation  croissante de son pays dans la région.

Le président russe a jeté son plein soutien derrière le seul président arabe  et laïque , qui est ul’n de ses principaux alliés, et que George Osborne cette semaine décrit comme le «mal».

Les responsables de la défense des États-Unis ont maintenant révélé que l’armée russe a transporté assez de bâtiments militaires préfabriqués  en Syrie,déchirée par la guerre , pour abriter 1000 soldats.

Les ingénieurs ont également construit une nouvelle tour de contrôle de circulation aérienne à un aérodrome près de la ville portuaire de Lattaquié, fournissant les derniers éléments de preuve que les pilotes russes se préparent à effectuer des sorties dans le pays.

Photos très récentes montrant des soldats russes travaillant avec leurs homologues syriens...à Lataquié.
Photos très récentes montrant des soldats russes travaillant avec leurs homologues syriens…à Lattaquié.

Le mouvement va augmenter le malaise sur les politiques ouvertement déterminées  du président  Poutine et la Russie se met sur une trajectoire de collision avec la Grande-Bretagne et l’ Amérique une fois de plus. ..selon l’officier américain responsable de l’information.

David Cameron et Barack Obama ont tous deux insisté sur le fait que toute résolution de la guerre civile en cours en Syrie aurait finalement pour résultat :la fin du régime d’Assad.

John Kerry, secrétaire d’Etat, a téléphoné à son homologue russe  pour  exprimer ses préoccupations au sujet des derniers développements.

Un porte-parole du département d’Etat américain a déclaré: « Le secrétaire a précisé que si ces rapports étaient exacts, ces actions pourraient aggraver encore le conflit,et  conduire  à une plus grande perte de vies innocentes, augmenter les flux de réfugiés et de la confrontation des risques avec le fonctionnement de la coalition anti-Isil en Syrie. « 

Le président Assad,heureux et détendu,ce matin ,en compagnie de sa charmante épouse.
Le président Assad,heureux et détendu,ce matin ,en compagnie de sa charmante épouse.
Les révélations sont venus après Poutine a encore son admission plus forte que la Russie fournissait déjà un soutien militaire et logistique au régime d’Assad.Il a dit que l’armée de son pays donnait au gouvernement syrien son « aide très grave », mais a nié que que les soldats soient  impliqués sur le terrain. 

Cependant, les vidéos ont émergé qui semblent montrer les troupes russophones et les avions de combat russes pénètrent  au plus profond de la Syrie. 

Photo d'un jet russe déployé en Syrie,ce matin.
Photo d’un jet russe déployé en Syrie,ce matin.

La télévision d’Etat syrienne a aussi montré des images d’une avancée de construction russe véhicule blindé dans le combat.

Une source de la défense des États-Unis a déclaré: « Si ils se déplacent les gens pour aider le gouvernement syrien à combattre leur propre lutte, qui est une chose, mais si ils se déplacent dans les forces terrestres et de larguer des bombes sur des zones peuplées, qui est une question entièrement différente.. « 

Moscou justifie de plus en plus son soutien au peuple syrien, en soulignant les progrès qui Isis a faites en Syrie. 

Les combattants du groupe terroriste État Islamique,financés par  les alliés des  États-Unis,tels Israel,le Qatar,l’Arabie Saoudite et certains pays d’Europe, ont conquis de larges pans du pays et sont l’une des principales raisons pour lesquelles tant de réfugiés fuient désormais à l’Europe.

Les soldats russes bien équipés se déploient rapidement.
Les soldats russes bien équipés se déploient rapidement.

Cependant, l’ingérence russe est susceptible d’être rencontré avec une extrême méfiance par les gouvernements occidentaux après son annexion de la Crimée de l’année dernière. 

Les troupes de Poutine  déjà combattent aux côtés des rebelles séparatistes dans l’est de l’Ukraine, qui ont été blâmés pour une série d’atrocités, y compris la destruction en vol du Malaysian Airlines MH17. ..selon l’OTAN.

L’escalade actuelle vers la Troisième Guerre Mondiale

 

 

 

Le ministère russe de la Défense a récemment reçu un lot de complexes mobiles de guerre électronique Krassoukha-4, capables de brouiller les satellites occidentaux.
Le ministère russe de la Défense a récemment reçu un lot de complexes mobiles de guerre électronique Krassoukha-4, capables de brouiller les satellites occidentaux.
La Russie a créé une unité de drones sur la péninsule des Tchouktches, dans la région militaire de l'Est, pour garantir la sécurité en Arctique,
La Russie a créé une unité de drones sur la péninsule des Tchouktches, dans la région militaire de l’Est, pour garantir la sécurité en Arctique,

Le Royaume-Uni autorise le largage de la bombe atomique sur la Russie

 

Le Ministère de la Défense a rapporté aujourd’hui que la Fédération est désormais en « état de guerre », activant totalement ainsi l’ordre nucléaire de la « Main Morte » du président Poutine présenté le 29 Juillet 2014 aux forces des fusées stratégiques de la Fédération de Russie.

Vladirmir Poutne serrant la main  à des soldats.
Vladirmir Poutne serrant la main à des soldats.

Selon ce rapport, l’activation complète de l’option nucléaire tant redoutée « Main Morte » a été autorisée en vertu de l’ordre précédemment lancé par le président Poutine, en raison de la découverte que les forces nucléaires du Royaume-Uni (RU) prépareraient une première frappe contre des cibles militaires et civiles situées au sein de la Fédération.

L’intention des forces nucléaires du Royaume-Uni préparant une première attaque contre la Fédération, dit le rapport, a été révélée par les Services de sécurité fédérale (FSB) des experts du renseignement électroniques de travail en collaboration avec Kaspersky Lab qui ont découvert le mois dernier un gigantesque programme de cyber espionnage américain de la NSA, ciblant non seulement la Russie, mais l’ensemble de la Terre.

Les experts FSB et Kaspersky Lab, rapporte le ministère de la Défense, ont tous deux été en mesure de décoder le(s) code(s) informatique(s) impliqué(s) dans cette opération d’espionnage massive de la NSA qui leur a ensuite permis d’obtenir électroniquement les codes de lancement et les coordonnées de toutes les armes nucléaires du Royaume-Uni, démontrant ainsi leur plan de lancer une première frappe contre la Fédération au cours de la semaine du 15 Mars.

Bien que l’information récupérée par cette opération de renseignements du FSB et de Kaspersky a été supprimée en occident, quelques sites de contre-information l’ont rapportée, dont The verge qui a publié un article intitulé « Une erreur de réseau a redirigé du trafic pour l’agence d’armes nucléaires du RU via les Télécoms Russes », où l’on peut en parti lire:

« Depuis la semaine dernière, quelque chose d’étrange s’est passé sur l’Internet européen. Pendant cinq jours, le trafic Web reliant le Texas à certaines adresses au Royaume-Uni a été acheminé dans les réseaux de télécommunications ukrainiens et russes, faisant ainsi un grand détour de plusieurs milliers de kilomètres. Le trafic prend souvent un détour en raison de congestions dans le réseau ou de difficultés de connexion, mais ni l’une ni l’autre n’a été nécessaire pour prendre en considération ces nouveaux itinéraires. C’était plutôt le résultat d’un mauvais itinéraire informatique annoncé par Vega Telecom en Ukraine, qui s’est inséré entre les deux.

C’est particulièrement déconcertant en raison de la nature sensible de la plupart des sites concernés. Parmi les dizaines de sites concernés se trouvaient l’Atomic Weapons Establishment du Royaume-Uni, qui est chargé de la gestion des ogives nucléaires du Royaume-Uni, ainsi que le service de courrier officiel du Royaume-Uni, le Royal Mail. L’entrepreneur de défense américain Lockheed Martin a également effectué une connexion via un VPN qui a été prise dans la redirection ».(1)

La Russie montre sa puissance militaire

Plus de 80 000 soldats russes sont désormais engagés aux quatre coins de la Russie dans des exercices militaires à grande échelle, une démonstration de force mettant en oeuvre navires de guerre, défense anti-aérienne, blindés et bombardiers stratégiques, a annoncé jeudi l’état-major de l’armée russe. Ces manoeuvres surviennent alors que les tensions sont vives entre Moscou et les pays occidentaux. 

« Le nombre de soldats impliqués est désormais de 80 000 et le nombre d’avions est passé à 220 », a indiqué le chef d’état-major russe, Valeri Guerassimov, cité par l’agence de presse russe Ria Novosti.

 

L’armée russe avait commencé la semaine dernière par déployer 8000 artilleurs dans la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée en mars 2014 par la Russie, et dans le sud-ouest, près de la frontière avec l’Ukraine.

 

Au même moment, environ 200 tankistes s’entraînaient à assiéger une ville dans le centre de la Russie. Et en Bouriatie (Sibérie), des unités aériennes s’entraînaient « à répondre de façon pratique à une guerre électronique », selon un porte-parole militaire.

 

Des bombardiers

Bombardiers russes

Dès lundi, la démonstration de force a pris de l’ampleur avec l’ordre donné par Vladimir Poutine d’organiser immédiatement des exercices militaires surprise impliquant le déploiement de bombardiers stratégiques en Crimée ou de 38 000 soldats dans la région stratégique de l’Arctique.

 

Des bombardiers stratégiques Tupolev 22-M3 ont atterri mercredi dans la péninsule annexée. Moscou a plusieurs fois répété sa volonté de voir ces bombardiers à long rayon d’action être basés en Crimée à partir de 2016. Dans la foulée, les soldats des régions centre et ouest du pays ont à leur tour été mis en état d’alerte.

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Et plus de 3000 soldats ont par ailleurs été envoyés sur l’île Sakhaline, proche du Japon dans l’Extrême-Orient russe, selon le ministère de la Défense. Des batteries de missiles anti-aérien y ont été installées.

 

Toujours dans le cadre de ces manoeuvres, une vingtaine de bâtiments de guerre, vedettes, navires et sous-marins sont en route pour la mer de Baltique. Ils acheminent des batteries de missiles Iskander-M dans l’enclave occidentale de Kaliningrad, frontalière de la Pologne et de la Lituanie.

 

Cette série d’exercices militaires, qui durera jusqu’à la fin du mois de mars, implique aussi le déploiement de soldats en Arménie et dans les deux républiques séparatistes géorgiennes d’Abkhazie et d’Ossétie du sud.

 

La Norvège procède par ailleurs depuis le 9 mars, et jusqu’à mardi, à des grandes manoeuvres dans la province du Finmark, près de sa frontière avec la Russie. Baptisées Joint Viking, elles sont, en faisant intervenir plus de 5000 soldats, les plus importantes de l’armée de ce pays scandinave depuis 1967.

 

L’OTAN a annoncé il y a quelques semaines la création de six centres de commandement dans l’est de l’Europe pour rassurer les pays voisins de la Russie dans le contexte du conflit en Ukraine et alors que Washington a débuté le déploiement de 3000 soldats en Lituanie.(2)

 

Les États-Unis et la Grande-Bretagne arment les bataillons néo-nazis de la Garde Nationale ukrainienne

Néo-nazis ukrainiens

Les accords de Minsk 2 ont été signés il y a deux mois à peine, mais les USA et la Grande-Bretagne continuent à promouvoir un processus d’escalade militaire en Ukraine.

Le congrès US avait approuvé en décembre 2014 l’augmentation de l’aide militaire à l’Ukraine, comprenant pour la première fois la fourniture d’armes létales. Des livraisons de matériel militaire ont déjà eu lieu, comme des radars anti-mortier ou des lunettes de vision nocturne, et les USA ont prévu d’acheminer dans le courant du mois de mars des drones Raven, 30 véhicules blindés ainsi que 200 Jeep Humvees à destination de l’armée ukrainienne.

Début mars, la Grande-Bretagne annonçait également l’envoi de matériel militaire « non létal », pour un montant d’1,3 millions de dollars, afin d’aider le pays à se défendre contre « l’agression de la Russie » selon le ministre anglais de la défense Michael Falon. 75 militaires britanniques sont également arrivés en Ukraine afin de commencer une mission d’entraînement de leurs homologues ukrainiens, sans qu’on sache plus précisément quelles unités de l’armée de Kiev vont bénéficier de la formation britannique. Les États-Unis ont également envoyé 300 instructeurs militaires pour une mission de formation dans la région de Lvov, qui durera jusqu’au 31 octobre prochain.

Les déclarations faites par le président ukrainien Piotr Porochenko sur son site Internet, rapportées par Sputnik News, permettent d’en savoir un peu plus sur les unités ukrainiennes qui vont bénéficier de la formation des instructeurs US : il s’agira dans un premier temps de 780 membres de la Garde Nationale ukrainienne, sans toutefois que leur bataillon d’appartenance soit précisé. Il faut souligner à ce sujet que la Garde Nationale est composée en grande partie d’extrémistes néo-nazis et que certains bataillons, comme le tristement célèbre bataillon Azov, accusé de crimes de guerres, arborent ouvertement des symboles nazis et se réclament de l’idéologie raciste suprématiste, comme cela a été rapporté notamment par The Telegraph. Washington semble donc avoir fait le choix de former des combattants néo-nazis dans le cadre de son programme de soutien militaire à l’Ukraine.

Plus généralement, l’importance des bataillons de la Garde Nationale dans le déroulement des opérations militaires pose la question du financement des groupes néo-nazis dans le cadre des programmes d’assistance financiers de l’Ukraine.

Ainsi, le nouveau prêt du FMI d’un montant de plus de 17 milliards de dollars, sera utilisé par le gouvernement ukrainien principalement pour acheter des armes, selon le quotidien allemandDeutsche Wirtschafts Nachrichten, qui prévoit de porter le budget militaire à 5,2 % du PIB soit 3,8 milliards d’euros. La majeure partie du matériel sera fournie par le groupe américain Network Technologies Corporation. Selon le quotidien allemand, la nationalité américaine de la nouvelle ministre des finances ukrainienne, qui est également une ancienne fonctionnaire du département d’état US, Madame Natalie Jaresko, serait à l’origine du choix de ce fournisseur… Il faut noter que les crédits octroyés par l’Union Européenne sont également susceptibles de servir à l’achat d’armement à destination des bataillons de la Garde Nationale. La commission doit notamment soumettre au parlement européen le 25 mars le déblocage d’un nouveau prêt à l’Ukraine pour un montant de 1,8 milliards d’euros.

Dans le même temps, les chefs d’état de l’Union Européenne ont approuvé jeudi le prolongement des sanctions contre la Russie jusqu’au 31 décembre 2015 et conditionné leur levée à « la mise en œuvre complète des accords de Minsk » alors que la Russie n’a pourtant pas de prise directe sur leur application, et encore moins pour ce qui concerne la partie ukrainienne.

Le président de la RPD Alexandre Zakhartchenko, dans une lettre ouverte adressée à François Hollande et Angela Merkel, a dénoncé la mauvaise volonté évidente des autorités ukrainiennes de respecter le calendrier définit dans les accords de Minsk. Il pointe notamment le retard pris par le parlement ukrainien dans l’adoption du décret d’application sur le statut spécifique du Donbass, et dénonce également la persistance du blocus économique et financier, en violation des accords.

Sur le plan militaire, l’armée ukrainienne ne semble pas respecter non plus le calendrier de retrait des armements lourds et entretien l’opacité sur leurs emplacements.

Le renforcement de la formation militaire et de l’armement des forces ukrainiennes par l’axe Londres-Washington, conjugué à la mauvaise volonté évidente du gouvernement Porochenko de mettre en œuvre les accords de Minsk laisse donc craindre une reprise du conflit à la fin du printemps ou au début de l’été, dont la Russie et les indépendantistes seront évidemment tenus pour responsables, la trêve n’ayant servi qu’à la préparation opérationnelle d’une nouvelle offensive…(3)

 

 

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Conclusion

 

Nous sommes rendu à vivre dans un monde ou parler de Paix fera de nous des …ennemis des gouvernements militaristes corrompus.

 

 

 

 


Légende:

1- Source: EU Times

2-Source:Le Devoir

3-Source:Arretsurinfo