​Le 11 Septembre 20 ans plus tard – Aux États-Unis, le commerce de la guerre

Dans son discours de fin de mandat prononcé il y a 60 ans, le 17 janvier 1961, le président Dwight D. Eisenhower prévenait son pays contre le risque que faisait déjà peser l’industrie de la défense sur la démocratie américaine. La Deuxième Guerre mondiale, puis la guerre froide avaient survolté ce secteur.

Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l'Irak le 18 décembre 2011.
Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l’Irak le 18 décembre 2011.

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel, avait alors dit le commandant en chef, lui-même général cinq étoiles. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. »

Dire que la prophétie noire des cassandres en uniforme s’est réalisée relève de l’euphémisme : le budget militaire américain annuel frise les 700 milliards, soit environ 35 % du total mondial. Les États-Unis demeurent d’ailleurs les premiers exportateurs d’armes dans le monde grâce à des entreprises comme Lockheed Martin, Boeing ou Rayhteon Technologies — en fait, grâce à des milliers de compagnies, petites, grandes et gigantesques.

Les conflits en chaîne déclenchés après les attaques du 11 septembre 2001 ont fait s’affoler tous les indicateurs. Selon les dernières estimations rationnelles dévoilées au début du mois par le projet Costs of War, le pays a consacré 8000 milliards de ses dollars aux campagnes d’Afghanistan, d’Irak et d’ailleurs au Moyen-Orient.

 

La « guerre au terrorisme » a justifié des pratiques dérogatoires à certains droits fondamentaux. Une loi d’exception, le Patriot Act, a permis des détentions secrètes, a créé des statuts de combattants (dits ennemis ou illégaux) bafouant l’habeas corpus. La prison hors des frontières américaines (et donc hors Constitution) de Guantánamo est devenue le théâtre emblématique de cette guerre hors norme liberticide. Washington et ses alliés proches, dont le Canada, ont aussi instauré en secret une surveillance mondialisée de populations entières, comme l’a révélé le lanceur d’alerte Edward Snowden.

« Le terme “complexe militaro-industriel” est plus juste que jamais », indique Heidi Peltier, directrice du projet Costs of War et professeure au Département de science politique de la Pardee School of Global Studies de l’Université de Boston. « De plus en plus d’observateurs étendent d’ailleurs maintenant le concept pour parler du complexe militaro-industriel du Congrès. »

Cette référence supplémentaire aux élus s’appuie sur la réalité des « portes tournantes » établies entre les deux chambres de la branche législative et les industries militaires. Dans ce mouvement de va-et-vient profitable, des politiciens deviennent des administrateurs de compagnies militaires et vice versa.

Un exemple frappant : avant d’être le va-t-en-guerre en Afghanistan puis en Irak du président Bush fils, le vice-président Dick Cheney, ancien secrétaire à la Défense de Bush père, a été président du conglomérat Halliburton, qui a reçu des dizaines de milliards pour des contrats de l’armée depuis le début du siècle. En plus, beaucoup d’élus (représentants comme sénateurs) possèdent des actions de compagnies du secteur militaire.

Des comptes incomplets

Mme Peltier a été interviewée la veille du dévoilement des derniers comptes ahurissants parlant de ces 10 000 milliards de dollars canadiens et d’environ 900 000 morts. Le projet sur les coûts de la guerre a été lancé en 2010, à l’approche du dixième anniversaire des attaques terroristes qui ont servi de casus belli aux États-Unis et à leurs alliés de l’OTAN.

« Les données justes manquaient ou semblaient bien incomplètes, explique la directrice. Quand le département de la Défense publiait des chiffres sur les budgets militaires ou les dépenses liées aux conflits, ou sur le nombre de victimes, ceux-ci semblaient toujours sous-estimés. Il manquait des catégories. Le but principal du projet a donc été et demeure de fournir des comptes complets sur les coûts des guerres après le 11 Septembre. Nous avons examiné le sujet sous plusieurs angles dans une perspective multidisciplinaire. »

De même, l’approche du vingtième anniversaire, combinée à la fin de l’occupation de l’Afghanistan, a stimulé la production de nouvelles études. « Avec nos études, nous espérons informer les décideurs politiques pour leurs futures prises de décisions politico-stratégiques, dit la directrice Peltier. Malheureusement, on répète sans cesse les mêmes erreurs. Chaque fois, on nous promet une intervention militaire de courte durée, peu dispendieuse [cheap],sans beaucoup de pertes de vies. Chaque fois, c’est le contraire qui se produit, à l’exception de la première guerre du Golfe. Chaque fois, l’intervention se révèle longue, coûteuse et fait perdre de nombreuses vies. »

Mme Peltier elle-même s’est intéressée récemment aux compagnies ayant signé des contrats avec l’armée pour fournir du matériel ou du personnel. Elle parle d’une « camo economy », utilisant donc le diminutif des soldats pour désigner le camouflage dont bénéficient les nouveaux profiteurs de la guerre. « Cette économie camoufle beaucoup de coûts financiers et humains réels des conflits, résume-t-elle. L’emploi de mercenaires illustre bien ce problème. Le recours aux armées privées permet de réduire le nombre annoncé de soldats de l’armée régulière déployés sur les terrains d’opération et le nombre de morts. »

Rien qu’en 2019, le Pentagone adépensé 370 milliards de dollars américains pour des services, du matériel et des « ressources humaines » fournis par des « contractors », soit plus de la moitié du budget du département de la Défense. C’est aussi 164 % de plus que pour les dépenses semblables engagées en 2001. Depuis l’invasion de l’Afghanistan en 2001, on estime que 8000 personnes au service des « contractors » ont perdu la vie par rapport à environ 7000 soldats des troupes régulières.

L’enquête de Mme Peltier, économiste de formation, déboulonne aussi la croyance que le recours au secteur privé permet finalement de faire des économies. On connaît la rengaine. Au contraire, les contrats se donnent souvent sans la concurrence qui permettrait de faire baisser les prix. Rien qu’en 2008 et en 2019, le département américain de la Défense a dépensé 1200 milliards de cette manière, créant dans les faits de très profitables situations de monopole.

Vingt ans après, le 11-Septembre reste synonyme d’héroïsme des New-Yorkais. Les dirigeants new-yorkais répètent que c’est grâce à leur « résilience » que la ville a, depuis un mois, ramené sous les 1 % le taux de contamination d’un virus qui a tué plus de 23 000 New-Yorkais.

La professeure ne parle d’ailleurs pas (ou pas seulement) d’une privatisation de la guerre (comme dans la formule de la socialisation des risques et de la privatisation des profits), mais carrément de sa commercialisation.

« Le modèle de la privatisation s’applique quand des services normalement offerts par le gouvernement sont transférés au secteur privé, explique-t-elle. Je n’aime pas ce terme ici. Ce qui arrive n’a pas vraiment à voir avec l’habituel recours au privé avec des fonds provenant des impôts servant à acheter des services au meilleur coût dans l’intérêt du public. Quand l’argent commun est dépensé pour des raisons de sécurité en employant une compagnie qui ne fait pas face à la pression de la concurrence du marché, on doit parler de commercialisation de la guerre. »

Il y a 5 ans ,j’avais fait une vidéo qui comportait cette image.Bien sur c’était sur You Tube qui l’a censuré!

 

 

 

 

 

 

 

 


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Troisième guerre Mondiale en préparation:L’armée américaine pourrait perdre un conflit potentiel contre la Russie et la Chine

Les États-Unis ont perdu leur avantage militaire à un point tel qu’ils pourraient perdre une future guerre avec la Russie ou la Chine, a annoncé mercredi un nouveau rapport au Congrès américain.

« L’armée américaine pourrait subir des pertes inacceptables et d’importantes immobilisations lors de son prochain conflit. Elle pourrait avoir du mal à gagner, voire à perdre, une guerre contre la Chine ou la Russie », a déclaré le rapport préparé par la Commission de la stratégie de défense nationale, groupe d’experts bipartite créé par le Congrès.

La commission a averti que si les États-Unis n’agissaient pas rapidement pour remédier à la situation, les conséquences seraient « graves et durables ».

Le rapport a mis en garde contre la menace croissante non seulement des grandes puissances telles que la Russie et la Chine, mais également d’autres pays tels que l’Iran et la Corée du Nord.

« Ces pays ont développé des armes plus sophistiquées et des tactiques asymétriques employées de manière créative », a-t-il déclaré.

De plus, les États-Unis font face à une menace grandissante d’organisations terroristes transnationales, en particulier de groupes djihadistes radicaux.

« Dans le monde entier, la prolifération de technologies de pointe permet à davantage d’acteurs de contester le pouvoir militaire américain de manière plus menaçante », indique le rapport.

La commission a approuvé la stratégie de défense nationale (SND) présentée par l’administration du président Donald Trump en janvier 2018, qui visait à réorganiser l’armée américaine pour contrer les menaces croissantes de la Russie et de la Chine. Mais le rapport a également averti que les États-Unis n’avaient pas agi assez vite ni investi suffisamment d’argent pour mettre en pratique la stratégie de Trump.

Wing Loon un drone chinois pour longue distance.

 

 

 

 

Un marin paralysé par la radiation de Fukushima dénonce les mensonges du gouvernement américain

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Une base navale américaine a été durement touchés par le rayonnement de Fukushima et voici son histoire, illustrant en outre pourquoi le gouvernement des États-Unis ne peut pas faire confiance en  informant  le peuple sur le danger de Fukushima.

Impliqué dans les efforts de secours de l’USS Ronald Reagan, après la crise de Fukushima sur  la centrale nucléaire en  2011, Steve Simmons a commencé à éprouver des symptômes dévastateurs plusieurs mois après son retour.

« Vous commencez à avoir des fièvres, les ganglions lymphatiques commencent à enfler, vous avez des sueurs nocturnes , vous avez  des spasmes  musculaires  et vous perdez la sensation dans les jambes, et vous ne pouvez pas sentir vos jambes quand vous  vous brûlez au  2ème degré , et comment expliquez-vous ces choses? « , a déclaré Simmons ,à WUSA 9 News

Simmons a été  rejoint par plus de   70 autres marins américains  souffrant de maladies similaires, y compris le cancer de la thyroïde , les tumeurs cérébrales et de la leucémie. Malgré  une décontamination et divers traitements ,sur l’officier Michael Sebourn on a  détecté des niveaux   » incroyablement dangereux de rayonnement », tandis que sur le USS  Reagan, le ministère de la Défense a continué à affirmer que  les niveaux de radioactivité sont sécuritaires .

« Comment pouvez-vous  prendre  un navire et le placer  dans le champs d’exposition  de la radioactivité d’une centrale nucléaire  pendant cinq heures et plus, comment voulez-vous aspirez les  déchets contaminés nucléaire dans le système de filtration de l’eau et pensez ,ensuite, pendant une minute qu’il n’y a pas risque de santé à tout le monde à bord? « , a déclaré Simmons .

Plusieurs marins américains malades ont  déposé une plainte  contre Tokyo Electric Power Company (TEPCO), affirmant que  la compagnie d’électricité a caché des informations de rayonnement à  la Marine des États-Unis après l’effondrement initial de Fukushima.

«TEPCO a poursuivi une politique qui a causé des préjudices graves  aux  sauveteurs, y compris les plaignants, de se précipiter dans une zone dangereuse qui était trop proche de  Fukushima (la centrale nucléaire] qui avait été endommagé, » selon les avocats des plaignants ,au  procès.

Tout en niant tout danger pour le public, le gouvernement fédéral a  tranquillement stocké  des millions de doses d’iodure de potassium sur les préoccupations des médias  sur la situation de Fukushima.

Les récentes remarques faites par l’ancien hôte ,MSNBC Chenk,  ont également révélé les tentatives du gouvernement de minimiser la gravité de la situation à  Fukushima. Essayer d’informer ses téléspectateurs en 2011,  odes avertissements  ont  été dit de ne pas avertir  du danger de rayonnement « parce que la position officielle du gouvernement est que tout est sous contrôle. »

Malgré la déception évidente et continu du gouvernement, peu de médias ont remis en question les points de discussion officielles. Suite à la découverte récente d’une  augmentation de rayonnement de l’ordre de 500% pour cent sur ​​une plage de Californie, les journalistes de Infowars rendus dans la région pour  enquêter sur  l’apparition alarmante, et trouver des niveaux plus proches de 1.000 pour cent plus élevé que la normale.

Des découvertes bizarres et inquiétants à West Coast sur la  vie marine, y compris  » la fonte des étoiles de mer ,  »  mortalité massive  et du  « jamais vu »  baleineaux gris uni , n’ont fait qu’ajouter à l’inquiétude du public.

Avec le grand rayonnement de Fukushima qui  atteint maintenant la côte ouest de l’Amérique  , selon les experts de la physique ,  le silence du gouvernement japonais et…américain  est à prévoir.

 Source:

http://www.storyleak.com

Les armes du Nouvel Ordre Mondial:les robots remplacent les humains sur les champs de bataille

De nouveaux types de robots-soldats seraient mis au point pour remplacer surtout...les fantassins,sur les champs de bataille.
De nouveaux types de robots-soldats seraient mis au point pour remplacer surtout…les fantassins,sur les champs de bataille.La Zone 51 serait mise à contribution.

 

WASHINGTON  – L’expérience de la guerre et de la séquestration  aurait amené une  nouvelle ère dans  l’Armée américaine qui  travaille à devenir « une force plus petite, plus meurtrière, facilement déployable et très agile», selon le général Robert Cone, lpenseur et le chef responsable  de la doctrine de commandement du service.

Mais combien plus petit peut devenir  une surprise.

Pendant que les  remarques  tombaient lors du Symposium de l’aviation de l’armée à Arlington, en Virginie, le 15 janvier 2014, Cone a  tranquillement largué une bombe. L’armée, dit-il, étudie la possibilité de réduire   la taille de l’équipe de combat d’une brigade d’environ 4000 soldats à 3000 au cours des années à venir, et de remplacer les soldats perdus avec des robots et des plates-formes sans pilote.

«J’ai des directives claires à  suivre :si vous pouviez  penser que les robots  peuvent  effectuer certaines tâches en termes de maniabilité, en fonction de l’avenir de la force, » a-t-il dit, ajoutant qu’il a aussi « des directives claires à repenser » la taille du nombre de neuf hommes…pour le  peloton d’infanterie.

Il a mentionné l’utilisation de véhicules terrestres sans pilote qui suivraient les  plates-formes pilotées, ce qui nécessiterait moins d’armure et de protection, réduisant ainsi le poids d’une équipe de combat de brigade.

Au cours des 12 dernières années de  guerre, « en fonction de la protection de la force , nous avons sacrifié beaucoup de choses», dit-il. « Je pense que nous avons également perdu beaucoup de létalité. » Et l’armée veut  plus  de  maniabilité, de puissance de feu et  de déploiement.

L’armée est déjà sur la voie de réduire de 540 000 soldats à environ 490 000 d’ici la fin de 2015, et verrra probablement glisser ses forces  en dessous des  420 000 en 2019, selon les rapports.

Cone a déclaré que son personnel est en train de mettre sur pied un comité consultatif pour examiner ces questions, y compris aligner  une brigade plus  petite en nombre de soldats.

« Vous ne pensez pas  que 3000 personnes  sont  probablement probablement  suffisantes pour se débrouiller» avec les capacités technologiques accrues actuellement , a-t-il  demandé.

Il est difficile de voir un tel changement radical de la composition de l’équipe de combat de brigage comme autre chose qu’un mouvement du budget, porté sur la nécessité de réduire les coûts de personnel qui se nourrissent de  près de la moitié du budget total du service militaire.

Cône a  utilisé la Marine comme un exemple de ce que l’armée essaie de faire.

« Quand vous voyez le succès, franchement, que la marine a eu en termes de réduction du nombre de personnes à bord des navires, y a-t-il des fonctions de la brigade que nous pourrions automatiser – robots seuls  ou en association habité / sans pilote – et réduire le nombre de personnes qui sont impliqués compte tenu du fait que les individus sont notre principal coût « , a-t-il dit.

Certaines des « idées Lumineuses »  de la pensée de Cône ont  été reprises  par le lieutenant-général Keith Walker dans une interview le 6 janvier 2014   ,dans le magazine   Défense News.

Dans ce que  Walker a appelé «l’avenir profond » – sur le cadre de la période de 2030-2040  – il a dit que « nous devons changer fondamentalement la nature de la force, et cela  exigerait une percée dans la science et de la technologie. »

Bien que Walker, commandant des capacités de l’Armée US au « Integration Center », qui surveille les changements  de la modernisation de l’armée ainsi que les applications  de la  doctrine de Cône, n’a pas parlé de remplacer les soldats avec des robots, il a dit l’armée veut revoir son  ratio « dent-queue  » (dans le langage de l’état-major US : le ratio « Toot-tail »), ou le  ratio du nombre de soldats qui remplissent des fonctions de soutient  par rapport à ceux qui tirent réellement les ficelles.

«En ce moment notre équipe est à peu près deux tiers « dent » et un tiers « queue », de sorte que nous réduisons la taille de l’armée, vous pouvez finir par réduire d’un tiers la dent et deux tiers queue, mais demandez-vous  si vous pouvez tenir sur un solide  point d’appui,un équilibre? C’est peut-être la moitié . Le point est que vous obtenez de garder plus dent, plus de gens qui conduisent en fait des opérations sur le terrain et diminuer la structure de support « .

L’armée est déjà dirige dans cette voie dans la structure de ses équipes de combat de brigade, annonçant l’an dernier qu’il a été l’ajout d’un troisième bataillon de manœuvre à chaque brigade, avec l’ingénierie et les  capacités nouvelles de luttes aux incendies. Il ajoute plus de punch à ses équipes de combat de brigade, tout en réduisant le nombre d’équipes qu’il a sur les  champs  de 45 à 33 d’ici la fin de l’exercice 2017, tandis que le transfert se fera  de certains de ces soldats pour les brigades existantes. 

La querre du futur est déjà commencée,car elle est déjà planifiée.

Issu de la technologie spatiale,un véhicule sans pilote est mis en service et développé à White Sands.
Issu de la technologie spatiale,un véhicule sans pilote est mis en service et développé à White Sands.

 

Sources:Military Times