Au sommet d’une colline devant le musée d’art situé en plein cœur du plus grand parc de St Louis se dresse la statue de Saint Louis (Louis IX), roi de France. Le monument dédié à celui qui a donné son nom à cette ville de Missouri, le roi français Louis IX, représente le roi à cheval, portant une couronne, un long manteau et une épée dans sa main droite.
C’est la plus majestueuse statue des États-Unis,à mon avis!
Statue du roi Louis IX à St-Louis
Erigée il y a 116 ans à Forest Park, cette statue est l’un des monuments les plus connus de la ville.
Maintenant, un groupe d’activistes veut déboulonner la statue car Louis IX aurait persécuté les Juifs, supervisé le brûlage du Talmud [1], publié un ordre d’expulsion contre ses sujets juifs et mené deux armées de Croisade dans des offensives ratées en Afrique du Nord [Voir ANNEXE ci-dessous].
Alors que les statues des leaders confédérés et d’autres personnalités critiqués pour leurs actions racistes tombent à travers le pays, des activistes à St Louis veulent que la statue de Louis IX soit également retirée. Une pétition lancée la semaine dernière appelle la ville non seulement à retirer la statue, mais aussi à changer le nom de la ville.
De leur côté, un groupe de Catholiques locaux défend la statue et un groupe de manifestants a manifesté en soutien à la statue samedi.
“L’impossible devient possible” a déclaré Umar Lee, un activiste local qui a lancé la pétition et qui a également participé à une initiative pour faire retirer un monument confédéré situé juste à côté en 2017.
« Nous en sommes à un moment où nous réinventons les choses et aussi, nous avons un regard sévère sur l’histoire, a-t-il dit. Des monuments n’existent pas dans le passé. Ils existent dans le présent. Il n’est pas nécessaire d’avoir un monument glorifiant l’homme afin de reconnaître l’histoire. Le roi Louis IX restera dans les livres d’histoire quoi que nous fassions à St Louis ».
La pétition qualifie Louis d’ “antisémite enragé ” qui a inspiré l’Allemagne nazie, et l’appel pour le retrait de la statue a reçu des soutiens juifs.
La rabbin Susan Talve, qui a fondé la Central Reform Congregation de la ville, a déclaré que la retirer aiderait à faire avancer la question de la justice raciale aux États-Unis.
« Nous parlons de cette statue depuis longtemps, a-t-elle déclaré, ajoutant que le retrait de la statue serait « un élément très important pour reprendre possession de l’histoire, s’approprier les histoires qui ont créé le racisme institutionnalisé que nous essayons de déconstruire aujourd’hui. Si nous ne sommes pas honnêtes au sujet de notre histoire, nous ne serons jamais en mesure de démanteler les systèmes d’oppression sous lesquels nous vivons ».
Mais comme dans les autres villes où des activistes ont cherché à faire retirer des monuments, l’effort de retrait a entraîné une réaction de l’autre camp. Chaque soir, un groupe de Catholiques se rassemble à proximité de la statue et récite le rosaire. L’une d’entre eux, Anna Kalinowski, a parlé de la statue comme d’un « remarquable travail artistique ». Elle a souligné qu’elle vénérait Louis IX comme « un homme qui voulait vraiment suivre Dieu et voulait vraiment faire ce qui était juste ». Elle a le sentiment que sa persécution des Juifs devrait être perçue dans son contexte historique.
« Il voulait que les gens deviennent Catholiques parce que l’Église catholique pense que quand vous êtes catholique, c’est la façon de servir totalement Dieu, a-t-elle déclaré. Il croyait en cela de tout son cœur et de toute son âme et il voulait cela pour le peuple juif. Est-ce que nous pensons maintenant que sa manière de faire les choses est mal ? Bien sûr. Je veux dire, chacun a le droit d’avoir son opinion à ce sujet, mais en même temps, nous ne pouvons pas être aussi catégoriques, nous devons être prudents et regarder le contexte historique de ses actions ».
Mais Talva a déclaré que même à l’époque du règne de Louis IX au 13e siècle, il y avait des gens qui pensaient qu’ordonner l’expulsion des Juifs, brûler leurs textes sacrés et mener les Croisades était mal.
Le 24 juillet 1270, en l’an 668 de l’Hégire, le roi Louis IX prenait Carthage, alors modeste citadelle chargée de défendre la grande cité de « Thunes/Tunis ».
Par la seule conquête de Carthage, Saint Louis mériterait, comme Scipion son lointain prédécesseur, de porter le titre « d’Africain ». Mais le terme « Aufrique » évoque bien plus que Didon ou Hannibal : pour un chrétien d’Occident au xiii e siècle, il s’agit aussi et surtout de la terre de saint Augustin et des premiers conciles du christianisme . En posant à double reprise le pied sur la terre d’Afrique, en 1248 et en 1270, Saint Louis a lié son destin à celui du continent.
Saint Louis appartient en effet à l’histoire de l’Afrique autant par ses actes que par les fonctions et les usages de sa mémoire. Le caractère exceptionnel de sa captivité a créé une situation d’observation mutuelle et un espace d’échanges potentiels pour lesquels de nombreuses incertitudes factuelles subsistent cependant. Si le contact n’a pas suscité d’échanges d’objets ou de transferts culturels, il aura au moins été l’occasion d’un échange de récits : en abandonnant son corps en Afrique, Saint Louis y a aussi laissé une part de sa mémoire. Dans les environs de Carthage, on raconte, dans les années 1830 au plus tard, que le roi ne serait pas mort de la peste, mais, converti à l’Islam, aurait vécu comme un marabout, toujours vénéré jusqu’à aujourd’hui sous le nom de Sidi Bou Saïd.
Ibn Khaldûn (732/1332-808/1406) consacre à Saint Louis et sa croisade tunisienne un chapitre peu commenté de la deuxième partie du Kitab al-Ibâr[Ibn Khaldûn, op. cit. : p. 359-369., qui illustre cependant la connexion qui a pu s’établir dans la mémoire arabe du rîdâfrans (prononciation en arabe de Rois des Francs) entre les boghaz du Nil et les collines de Carthage, entre la prison d’Ibn Luqmân et la mort à Sidi Bou Saïd.
Mais si l’on s’approche à nouveau du tombeau de Sidi Bou Saïd, un détail risque d’attirer l’attention du passant trop curieux :
“Un détail intéressant à signaler ici, est la fleur de lys décorant la clef de voûte de la baie surbaissée de l’entrée [du tombeau du marabout]. L’origine des armoiries reste encore obscure et l’on ne sait si les croisés les ont empruntés aux Arabes, ou ces derniers aux croisés.”
Effectivement présente dans l’héraldique et la symbolique islamique dès le xii e siècle , la fleur de lys est une effigie en partage, sans qu’il soit véritablement possible d’en distinguer l’origine . Le petit signe suspendu ne serait-il pas en revanche la clef de notre investigation ? Une fleur de lys sur le tombeau d’un marabout n’est-elle pas une sorte de détonateur de légendes ? C’est en tout cas une pierre dans le jardin du Père Delattre, si fier de trouver des boucles en bronze en forme de fleur de lys au pied de la colline de Carthage. Le cadavre de Louis IX repose-t-il aujourd’hui dans le village de Sidi Bou Saïd ?
Source : Saint Louis l’Africain, Histoire d’une mémoire inversée, par Yann Potin
Le 25 mai 2020, à Minneapolis, Minnesota, un officier de police, Derek Chauvin, qui avait déjà déposé 18 plaintes contre lui, a tué un Noir, George Floyd, en s’agenouillant sur le cou pendant près de neuf minutes.
WASHINGTON, DC – JUNE 22: Protesters pull down a fence surrounding the statue of Andrew Jackson in an attempt to pull the statue down in Lafayette Square near the White House on June 22, 2020 in Washington, DC. Protests continue around the country over police brutality, racial injustice and the deaths of African Americans while in police custody. . La destruction ou la suppression de statues par la foule apparaît comme une tentative d’effacer l’histoire des États-Unis … Ce qu’ils font ressemble à une prise de pouvoir à l’ancienne. La première loi des accapareurs de pouvoir est que si personne ne les arrête, ils continuent – souvent avec des conséquences catastrophiques. Sur la photo: des manifestants abattent une clôture entourant la statue d’Andrew Jackson, dans une tentative de renverser la statue de Lafayette Square, près de Black Lives Matter Plaza à Washington, DC, le 22 juin 2020
Les manifestations de colère à Minneapolis se sont rapidement transformées en émeutes qui ont ravagé la ville. La police n’est pas intervenue; le maire leur avait ordonné de se retirer et de ne rien faire.
De nouvelles manifestations ont rapidement éclaté dans les grandes villes du pays et ont rapidement entraîné un désordre généralisé. Dans les villes jumelles de Minneapolis et de St. Paul, 1 500 bâtiments ont été vandalisés, pillés ou détruits. Encore une fois, la police n’a pas fait grand-chose pour intervenir: les maires de la plupart des villes ont demandé à la police d’agir avec retenue .
Les émeutiers ont attaqué des églises et des synagogues et pillé des magasins, appartenant souvent à des propriétaires minoritaires dans des quartiers en détresse.
Les émeutes ont pris fin, mais les dégâts ont été immenses. Une zone du centre-ville de Seattle qui a été prise, la zone “CHAZ” ou “CHOP”, a depuis été dissoute, mais un effort de copie pour reprendre une zone s’est installé à New York, près de l’hôtel de ville.
Des statues ont été attaquées dans tout le pays – d’abord des statues confédérées , puis des hommages à Abraham Lincoln , Thomas Jefferson et George Washington . D’éminents politiciens ont soutenu les émeutiers. Le maire de Boston a déclaré qu’il voulait retirer d’une place de la ville une statue de Lincoln debout devant un homme noir libéré. Les membres du Conseil de la ville de New York ont demandé qu’une statue de Thomas Jefferson soit retirée de l’hôtel de ville. À Portland, en Oregon, une statue de George Washington a été abattue et incendiée. Des statues de Christophe Colomb ont été renversées et certaines décapitées .
La destruction ou la suppression de statues par la foule apparaît comme une tentative d’ effacer l’histoire des États-Unis et de traiter de grands hommes comme Abraham Lincoln, qui a aboli l’esclavage, George Washington, premier président des États-Unis ou Thomas Jefferson , troisième président des États-Unis. États et auteur de la Déclaration d’indépendance, comme s’ils étaient irrémédiablement méprisables. Ce qu’ils font ressemble à une prise de pouvoir à l’ancienne. La première loi des accapareurs de pouvoir est que si personne ne les arrête, ils continuent – souvent avec des conséquences catastrophiques.
“Pourquoi est-ce que je m’inquiète même de voir de petites statues idiotes tomber ou de changer de noms de petites rues?” a demandé Elizabeth Rogliani, qui a vécu la transition du Venezuela vers le communisme.
“[Q] uand je vivais au Venezuela. Des statuts sont descendus – Chavez ne voulait pas que cette histoire soit affichée. Et puis il a changé les noms des rues. Puis est venu le [programme scolaire]. certaines chaînes de télévision, etc., etc.
“Nous ne pensions pas que cela pourrait nous arriver. La plupart des Vénézuéliens – les Cubains nous ont prévenus – et nous nous sommes dit:” C’est le Venezuela, nous connaissons la liberté. Cela ne se produira pas ici. ” Pourtant, c’est arrivé. Et il y a littéralement beaucoup de gens qui veulent détruire les États-Unis “
Deux mouvements ont été actifs dans la violence. L’un est Antifa , qui a été appelé “un mouvement de milice marxiste / anarchiste révolutionnaire qui cherche à renverser les États-Unis par la violence et l’intimidation”. Antifa, bien qu’il se prétende antifasciste, se comporte de manière fasciste .
L’autre mouvement, Black Lives Matter , a été fondé en 2013 par trois femmes noires , Alicia Garza , Opal Tometi et Patrisse Cullors . Cullors a déclaré qu’elle et Garza étaient des “marxistes de formation”. Le manifeste fondateur de Black Lives Matter, publié en 2016 (puis retiré du site BLM), décrit les États-Unis comme une “démocratie corrompue fondée à l’origine sur le génocide des autochtones et l’esclavage des biens mobiliers” qui “continue de prospérer grâce à l’exploitation brutale des personnes de couleur”. et cela perpétue “les vilaines traditions américaines du patriarcat, du classisme, du racisme et du militarisme”. En décembre 2014, un sloganlors d’une manifestation Black Lives Matter organisée par le National Action Network d’Al Sharpton, était: “Que voulons-nous? Des flics morts. Quand le voulons-nous? Maintenant.”
Si Antifa est largement rejeté, Black Lives Matter ne l’est pas. Son nom est devenu un slogan sur les murs, les devantures de magasins et les restaurants. Les affiches disent: ” Pas de justice, pas de paix .”
Il y a de nombreux appels au financement ou à l’abolition de la police. Le conseil municipal de Minneapolis a en effet voté le 6 juin la dissolution de ses forces de police. Le maire de New York, Bill de Blasio, a coupé 1 milliard de dollars du budget de la police de New York à 6 milliards de dollars. Au moins six autres villes ont également réduit les budgets de la police.
Ce qui semble vouloir gagner en influence, c’est un souhait – né avant les émeutes – de réécrire l’histoire des États-Unis. Le New York Times, par exemple, a lancé le 14 août 2019 ” The 1619 Project “. Son auteur, Nikole Hannah Jones, a écrit que les États-Unis avaient été fondés sur l’esclavage et étaient donc – vraisemblablement toujours – coupables de “racisme structurel”.
D’éminents historiens, Gordon Stewart Wood , récipiendaire du prix Pulitzer pour l’histoire de 1993, et James M. McPherson , ancien président de l’American Historical Association, ont noté que le projet 1619 était fondé sur des “affirmations trompeuses et historiquement inexactes”. Le 17 juin, le sénateur Tim Kaine, démocrate de Virginie, a dit de façon ridicule que les États-Unis avaient “créé l’esclavage”.
“Les réparations”, a commenté l’ auteur et l’avocat Larry Elder sur le sujet, “sont l’extraction d’argent de ceux qui n’ont jamais été propriétaires d’esclaves à donner à ceux qui n’ont jamais été esclaves”.
“Chaque vie compte”, a déclaré l’ ancien président de la Chambre des représentants américaine Newt Gingrich. Si seulement.
L’idée qu’aux États-Unis il existe un “racisme structurel” ( défini par l’Institut Aspen comme “un système dans lequel les politiques publiques, les pratiques institutionnelles, les représentations culturelles et d’autres normes fonctionnent de diverses manières, renforçant souvent les moyens de perpétuer l’inégalité des groupes raciaux” ) a conduit, semble-t-il, à une forme d’expiation obsessionnelle. Les films ont été supprimés des services de streaming. Autant en emporte le vent sera désormais affiché avec un avertissement de cinq minutes . (Une minute n’aurait pas suffi?)
Le film n’est probablement que le premier sur une liste qui s’allonge. Un journaliste de Variety a récemment énuméré “10 films problématiques qui pourraient utiliser des étiquettes d’avertissement”. Ils incluent Forrest Gump: pendant un bref instant, le personnage principal est décrit, de façon ironique, comme ayant été nommé d’après un membre du Ku Klux Klan. Les marques de produits de consommation , telles que le riz d’oncle Ben et le sirop de tante Jemima, voient leurs noms et logos changer brusquement. Princeton a voté pour radier le nom de Woodrow Wilson de son école de politique publique. Des demandes ont été faites pour que les universités et les entreprises montrent qu’elles ne sont pas racistes en déclarant leur soutien à Black Lives Matter. Beaucoup se sont pliés à la demande.
Le 12 Juin, moins d’un mois après l’assassinat de George Floyd, un autre policier blanc, Garrett Rolfe, à Atlanta, en Géorgie, tiré et tué un homme noir, Rayshard Brooks. Les policiers arrêtaient Brooks pour conduite en état d’ivresse et après un échange cordial avec les policiers, il a résisté de façon inattendue à l’arrestation et a saisi un Taser à l’un des policiers. Il a commencé à courir, mais quand il s’est retourné et a tiré le Taser sur Rolfe, Rolfe a tiré et l’a tué. Rolfe a été renvoyé des forces de police sans procédure régulière et inculpé de meurtre pour crime, passible de la peine de mort. Bien que les enregistrements vidéo de l’événement ont été largement diffusés, procureur Paul Howard a tenté de réclamationque Brooks était calme et “gai”. Il a ajouté qu’un Taser n’est pas une arme mortelle – après avoir dit quelques semaines plus tôt qu’il l’était.
Entre-temps, à Chicago , entre le 12 et le 15 juin, un homme noir a été tué par balle par un autre homme noir et 32 autres ont été blessés par balles. Malheureusement, en ce qui concerne la violence noir sur noir , personne ne semble s’en soucier.
Ce qui semble fondamentalement être au travail n’a rien à voir avec les vies noires ou la police. C’est une volonté de renverser les États-Unis. Ce désir inclut les institutions américaines, tout ce sur quoi les États-Unis sont fondés et les États-Unis eux-mêmes.
La déclaration “Black Lives Matter” suppose dès le départ que, pour la police, le système judiciaire et tout le monde, les vies noires n’ont pas d’ importance. Ce qui est si remarquable et tragique, c’est que les vies noires ne semblent avoir d’importance que si elles ont été prises par une personne blanche … Malheureusement, en ce qui concerne la violence noir sur noir, personne ne semble s’en soucier.
Un fonctionnement démocratique normal signifie que les électeurs d’une ville paient des impôts et élisent un maire pour prendre soin de la ville, pour assurer la sécurité de ses habitants et de ses biens – pour ne pas laisser la ville sombrer dans l’anarchie et la destruction. Lorsque, face à la violence, un maire demande à un service de police de ne pas agir, permettant ainsi à la violence de se produire, il est non seulement complice de la dévastation, mais également délinquant dans l’exercice de la fonction pour laquelle il a été élu .
Bien que la plupart des policiers soient généralement décents et désireux de protéger la communauté, et mettent quotidiennement leur vie en danger, s’ils utilisent une violence inutile, le problème doit être résolu. Malheureusement, ce n’est parfois pas le cas. Les syndicats de police peuvent faire beaucoup de bien, mais en cas de litige, ils nécessitent un «arbitrage» – souvent malgré une mauvaise conduite . Dans certains services de police, il est presque impossible de licencier quiconque devrait être licencié; il peut, au contraire, être envoyé dans un autre quartier. (Un problème similaire existe avec les syndicats d’enseignants pour les enseignants inacceptables.)
La semaine dernière, une loi fédérale recommandant des réformes policières a été proposée par le sénateur Tim Scott, un républicain de Caroline du Sud. Les démocrates de la Chambre, refusant même d’en discuter, ont bloqué la mesure. Plus tard, les démocrates de la Chambre ont présenté leur propre projet de loi de réforme , mais il semblait viser davantage à éliminer les forces de police qu’à les réformer.
“Le projet de loi restreindrait les restrictions et interdirait aux agents fédéraux de mener des raids de drogue sans heurts. Il limiterait les transferts de matériel militaire à la police, créerait un registre d’inconduite des officiers, mettrait fin à l’immunité qualifiée contre les poursuites et abaisserait le seuil pour poursuivre les officiers fédéraux s’ils le montraient.” “mépris téméraire” de la vie de quelqu’un. “
Et si chaque fusillade impliquant un officier était suivie d’une poursuite? Pourquoi quelqu’un s’inscrirait-il un jour pour un emploi qui le mettrait en danger? « Porte tournante » des politiques doivent déjà se sentir si vaincre: un officier de police met sa vie en danger pour faire une arrestation, seulement pour trouver la personne arrêtée en arrière dans la rue peu après. Les démocrates de la maison semblaient seulement vouloir empêcher les républicains d’avoir une victoire et une question sur laquelle se plaindre au lieu d’une solution. (La même pensée politique semble également expliquer pourquoi tant d’enfants américains ne sont pas en mesure de recevoir une éducation scolaire de qualité.)
La question se pose alors: les politiciens qui prétendent vouloir aider les communautés en détresse sont-ils ceux-là mêmes qui maintiennent les communautés en détresse en détresse – et dans un état perpétuel de tendre la main à ces mêmes politiciens pour des promesses d’aide suspendues?
Malheureusement, toujours et partout, l’ absence de police – par exemple en les remplaçant par des travailleurs sociaux – entraînera une explosion de criminalité et de désordre, comme on l’a vu récemment à Seattle. De plus, utiliser un crime commis par un seul policier pour affirmer que tous les policiers sont racistes, c’est mentir pour paralyser les policiers, les empêcher de faire leur travail: aider la communauté et assurer la sécurité. Demander le remboursement de la police, c’est demander une explosion de violence et de pandémonium.
Les récents dégâts infligés à des milliers de personnes qui ont perdu leurs biens et leurs entreprises – ainsi que les nombreux meurtres et agressions – montrent ce qui arrive à une société avec moins de policiers ou pas de policiers.
L’ancien gouverneur de l’Arkansas, Mike Huckabee, avait suggéré très tôt, pour éviter une confrontation, de démanteler la zone saisie de Seattle. Cela pourrait être fait, a-t-il suggéré, en déconnectant l’eau, l’électricité et surtout la communication cellulaire – puis en voyant combien de temps les preneurs d’otages ont apprécié l’expérience.
Des graffitis peints lors des émeutes sur les murs des synagogues de Los Angeles ont également révélé la présence d’ antisémitisme : Melina Abdullah , “organisatrice principale de Black Lives Matter à Los Angeles et professeur d’études panafricaines à Cal State” , se révèle-t-il, un partisan de Louis Farrakhan, le chef antisémite de la Nation of Islam. Abdullah l’ appelle «l’honorable ministre Farrakhan». Il semble que Black Lives Matter ” soit structurellement antisémite “.
Protestors demonstrate outside of a burning Minneapolis 3rd Police Precinct, Thursday, May 28, 2020, in Minneapolis. Protests over the death of George Floyd, a black man who died in police custody Monday, broke out in Minneapolis for a third straight night.
Que le nom Black Lives Matter soit présent partout, et que tout le monde semble ignorer ou oublier ce qu’est réellement l’organisation Black Lives Matter , montre qu’une organisation violente et antidémocratique, qui appelle au meurtre de policiers et accepte l’antisémitisme et le racisme anti-blanc , peuvent utiliser des menaces, l’ intimidation et la destruction – et trouver l’acceptation du public.
Bien sûr, il y a encore du racisme parmi les individus, mais l’idée que les États-Unis sont aujourd’hui une société où le “racisme structurel” existe est contredite par des décennies de décisions politiques pour réparer les dommages et, comme, par exemple, dans les programmes d’action positive, favoriser l’égalité pour tous les Américains. Comme Ayaan Hirsi Ali, une écrivaine américaine qui a fui sa patrie, la Somalie, a écrit :
“Le problème est qu’il y a des gens parmi nous qui ne veulent pas comprendre et qui ont intérêt à éviter des solutions viables. Ils ont une incitation politique évidente à ne pas résoudre les problèmes sociaux, parce que les problèmes sociaux sont la base de leur pouvoir. C’est pourquoi, chaque fois qu’un chercheur comme Roland Fryer apporte de nouvelles données – montrant qu’il n’est tout simplement pas vrai que la police abat des Noirs de manière disproportionnée – la réponse n’est pas de lire le journal mais d’essayer de discréditer son auteur. “
Pendant de nombreuses années, les films américains traitant de questions raciales ont été explicitement hostiles à toute discrimination raciale, et il serait impossible de trouver un livre publié par une maison d’édition américaine soutenant la discrimination raciale, à moins qu’il ne date d’une époque révolue. Réécrire l’histoire en la falsifiant est simplement une tentative de remplacer l’histoire par de la propagande . Supprimer les films et autres informations qui ne correspondent pas à une vision prédéterminée de l’histoire est depuis longtemps la pratique des despotismes totalitaires . Dire que les universités et les entreprises font face à de graves conséquences si elles refusent de bowdleriser le passé est tout simplement un fascisme, un tyrannique des moyens de coercition. Pire encore, l’attitude soumise de tant d’universités et de sociétés est ce qui permet à l’intimidation de continuer.
Ce qui se passe a des racines.
“Le succès de la récente révolution culturelle américaine peut être mesuré non pas par des gouvernements renversés mais par des valeurs brisées”, a écrit le commentateur américain Roger Kimball dans son livre, The Long March (2000), sur les bouleversements des années 1960 aux États-Unis. Des personnes radicales, a-t-il observé, ont pris le pouvoir dans les universités et leurs idées se sont répandues dans tout le système éducatif – dans la culture, la politique, la justice et l’économie. Les radicaux dominent encore la plupart des universités américaines – maintenant encore plus qu’alors, et leurs idées sont désormais plus répandues .
L’ancien président Barack Obama, le 30 octobre 2008, a déclaré : “Nous sommes à cinq jours de transformer fondamentalement les États-Unis d’Amérique.” Cinq jours plus tard, il a été élu président.
Douze ans plus tard, on se demande: en quoi espérait-il le transformer?
Il aurait été difficile d’imaginer en 2008 qu’un maire pourrait abandonner sa ville à des émeutiers, ou qu’ils accepteraient de démolir et de détruire des statues de Washington, Jefferson ou Lincoln. Quand seront – ils à venir à abattre les statues du Dr Martin Luther King Jr.?
Il aurait également été difficile d’imaginer qu’une organisation violente comme Black Lives Matter ne serait même pas remise en question, ou que des émeutes similaires à celles qui ont touché Ferguson , Missouri en 2014 ou Baltimore en 2015 éclateraient et se répandraient à travers le pays.
Il serait difficile d’imaginer, il y a à peine deux mois, qu’un conseil municipal voterait effectivement pour l’ abolition des forces de police.
Les États-Unis semblent à un moment charnière. Bruce Thornton, professeur de sciences humaines et classiques à la California State University et chercheur à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, a noté que:
“En effet, en dehors des voyous et des criminels opportunistes, la majeure partie des” troupes “qui constitueraient un côté d’une guerre civile sont à peu près des habitants des jeunes classes confortables. Leur comportement perturbateur et violent se produit parce que les gouverneurs, les maires et la police Au cours de la dernière décennie, les chefs ont envoyé le message qu’ils ne répondraient pas avec une force concentrant l’esprit afin de rétablir l’ordre et de tenir les émeutiers responsables … “
Les émeutiers aux États-Unis semblent avoir inspiré des manifestants en Europe occidentale . Les slogans en colère utilisés aux États-Unis sont utilisés à Londres et à Paris ; les mêmes accusations contre les démocraties sont portées, et des statues qui étaient des repères de l’histoire sont abattues .
Dans un discours prononcé le 6 juillet 2017, le président américain Donald J. Trump a déclaré :
“La question fondamentale de notre temps est de savoir si l’Occident a la volonté de survivre. Avons-nous confiance en nos valeurs pour les défendre à tout prix? … Avons-nous le désir et le courage de préserver notre civilisation en le visage de ceux qui voudraient le renverser et le détruire? “
Alors que les villes américaines brûlent et que les gens sont assassinés dans la rue en toute impunité par des groupes protestant contre la mort de George Floyd, très peu de rapports ont été publiés sur qui est exactement responsable, au-delà des tweets de Donald Trump, des foules dirigées par “Antifa” (Anti- Fasciste) – un terme générique que les organisations anarchistes utilisent comme propagande lorsqu’elles tentent d’obtenir un soutien libéral pour les attaques paramilitaires qu’elles mènent contre des manifestants nationalistes et des partisans de Trump.
Les médias grand public ont joué leur rôle en dissimulant intentionnellement qui sont exactement les groupes incitant à l’émeute et au meurtre en affirmant que “antifa” n’est pas un groupe, ce qui est une demi-vérité malveillante. Des sources policières, Andy Ngo et Fox News ont identifié deux organisations comme jouant un rôle actif dans le carnage: le Mouvement révolutionnaire abolitionniste et The Base.
Ces deux groupes sont liés et encouragent et organisent actuellement la violence dans la région de New York.
Mouvement révolutionnaire abolitionniste et la base
La Base, dont la page Facebook dit désormais explicitement aux gens de commettre des actes de violence, est un “espace organisationnel” hors-sol situé au 1286 Myrtle Ave à Bushwick, Brooklyn.
Selon un article paru dans une publication de Brooklyn de 2013, le “collectif anarchiste” est dirigé par Elysa Lozano, professeure adjointe au LaGuardia Community College qui porte ses vues extrémistes violentes sur sa manche, et Khalid Robinson, un homme qui, selon une interview accordée à un podcast anarchiste est l’organisateur du Mouvement révolutionnaire abolitionniste à New York.
Robinson, représenté ci-dessus avec Lozano, peut être vu portant un t-shirt “antifa” vendu dans le cadre d’une collecte de fonds pour le “Tinley Park 5”, un groupe d’anarchistes qui ont été arrêtés pour avoir brutalement blessé 10 personnes dans une attaque au marteau préméditée à la banlieue de Tinley Park en Illinois en 2012.
Selon l’interview de Robinson sur le “Solecast”, il a aidé à démarrer The Base comme “un lieu de rencontre pour les anarchistes”.
On ne sait pas combien d’activités criminelles sont prévues sur ce site, mais c’est une lumière de bogue pour les extrémistes de gauche de partout au pays et à l’étranger. Le groupe utilise des images d’explosions comme logo et a des liens étroits avec la milice terroriste kurde en Syrie, les YPG, qui a fourni à de nombreux anarchistes américains une formation militaire qui est sans aucun doute utilisée dans les émeutes au moment où nous parlons.
Le front est également un espace de travail pour des groupes comme la Croix-Noire anarchiste de New York, qui est composée de membres “antifa” et utilisée comme un moyen aérien pour lever des fonds et écrire des lettres de prisonniers.
Une photographie obtenue par des services de renseignement open source montre des membres “antifa” masqués qui, selon les médias, n’existent pas devant The Base.
Quant au Mouvement révolutionnaire abolitionniste de Khalid Robinson, il ne cache pas de quoi il s’agit. Comme l’a rapporté Lara Logan de Fox News, ils croient à la violence raciale contre les blancs et les policiers au hasard au nom du renversement de la «suprématie blanche».
Le groupe a deux drapeaux, l’un avec un AK-47 rouge sur une bannière noire, et un autre montrant une étoile rouge avec l’acronyme “RAM”.
La justice nationale a obtenu une image de membres masqués de la RAM posant avec des fusils de chasse, des AK-47, des machettes et un drapeau “antifa”.
Quant au Mouvement révolutionnaire abolitionniste de Khalid Robinson, il ne cache pas de quoi il s’agit. Comme l’a rapporté Lara Logan de Fox News, ils croient à la violence raciale contre les blancs et les policiers au hasard au nom du renversement de la «suprématie blanche».
Le groupe a deux drapeaux, l’un avec un AK-47 rouge sur une bannière noire, et un autre montrant une étoile rouge avec l’acronyme “RAM”.
La justice nationale a obtenu une image de membres masqués de la RAM posant avec des fusils de chasse, des AK-47, des machettes et un drapeau “antifa”.
Ce groupe opère depuis des années, diffusant une propagande violente avec l’aide de sociétés de médias sociaux, tandis que le FBI consacre toutes ses ressources à chasser les «terroristes suprémacistes blancs» imaginaires.
L’étendue de leurs activités terroristes est inconnue, mais ils ont été très actifs dans les émeutes de George Floyd – appelant cela une “révolte de libération noire” – et ont des sections à travers le pays.
Extrémistes “Antifa” à Brooklyn
Christian Erazo est une autre figure importante dans l’organisation de la violence anarchiste à New York.
Erazo, photographié ci-dessus à l’extrême droite dans le bandana rouge et vert filmant une vidéo annonçant des plans pour perturber les transports publics, a été profilé pour ses activités par National Justice en janvier dernier pour son rôle dans la planification des émeutes du métro J31. Malgré ces informations, le NYPD et le FBI n’ont pris aucune mesure ni contre les personnes qui ont planifié ce chaos, ni contre la Synagogue qui leur a permis d’accueillir leurs séances de planification.
Erazo, le chanteur du groupe punk (A) Truth illustré ci-dessus en tenant le drapeau “antifa”, aide à diriger plusieurs projets anarchistes violents, tels que Brigada 71 (un groupe de hooligan de football de gauche associé au New York Cosmos) et NYC Antifa . Brigada 71 passe beaucoup de temps au East River Bar, un lieu de rencontre populaire pour les hooligans de football de gauche, sur 97 South 6th Street à Brooklyn.
Les deux groupes encouragent actuellement la violence sur les réseaux sociaux et sont proches des propriétaires de The Base, qui leur ont permis d’utiliser le site pour leurs activités. Des lieux de rencontre comme The Base jouent un rôle important dans la fourniture de nouvelles recrues en raison de sa visibilité sur la devanture, qui invite les hipsters curieux et ennuyés et les radicalise dans le quartier rapidement embourgeoisé.
Pendant des années, Erazo a utilisé un entrepôt au 258 Johnson Ave à East Williamsburg surnommé “The Swamp” pour accueillir des spectacles de punk rock qui serviraient à recruter de nouveaux anarchistes. Alors qu’Erazo et ses amis ont fait de leur mieux pour garder l’endroit secret, une publication hipster de Brooklyn a répertorié “The Swamp” comme un endroit cool pour voir de la musique aussi récemment qu’en 2015. Erazo est spécifiquement nommé son “fondateur”.
Selon une source proche de la communauté anarchiste, lorsque la musique n’était pas jouée, le bâtiment avait une salle de gym et était utilisé pour mener une formation paramilitaire. Bien qu’il ne semble plus y avoir de concerts au Swamp, on ne sait pas si ces groupes anarchistes utilisent encore l’espace pour d’autres activités.
La vraie raison pour laquelle il est difficile de poursuivre “Antifa”
De nombreux Américains se sont plaints que ni la police ni le FBI ne semblent intéressés à enquêter ou à poursuivre les groupes paramilitaires anarchistes, même lorsqu’ils mènent les pires émeutes les plus meurtrières de l’histoire moderne.
Ce n’est pas parce qu’il est difficile de savoir qui sont ces personnes. Cela est dû à la corruption et aux privilèges de l’État. Un grand nombre d’anarchistes sont les fils et les filles de politiciens, de banquiers, de juges et d’autres élites connectées, immunisant ainsi contre les conséquences de leurs crimes.
Récemment, la propre fille du maire de New York, Bill De Blasio, a été arrêtée parmi les émeutiers de la ville qu’il dirige. Le candidat à la vice-présidence et le fils du sénateur de Virginie Tim Kaine en est un autre exemple. Un organisateur d ‘”antifa” a été dénoncé par National Justice comme le petit-fils d’un juge et le neveu d’un membre du Congrès qui est également maintenant juge.
Ken Klippenstein, un blogueur numérique qui est un fan des groupes anarchistes surnommé “antifa”, a été divulgué par des agents du FBI avec des détails sur une enquête en cours sur les activités de ces extrémistes violents.
Avec pratiquement toutes les institutions américaines exprimant leur soutien à ces groupes terroristes, ainsi que leurs liens avec de puissants responsables, Donald Trump se targue de les qualifier de groupe terroriste ne semble être rien d’autre qu’une rafale d’air chaud.
Voilà un message que tous les Black Lives Matter d’Amérique et d’Europe devraient écouter attentivement. Barbara Oteng-Gyasi, ministère ghanéen du Tourisme, a invité les Afro-Américains à s’installer au Ghana s’ils se sentent indésirables aux Etats-Unis.
Prenant la parole à l’occasion d’une commémoration en l’honneur de George Floyd, la ministre a déclaré :
«Profitez-en, rentrez chez vous, construisez une vie au Ghana, vous n’avez pas à rester là où vous n’êtes pas désirés pour toujours, vous avez le choix et l’Afrique vous attend»
« L’Afrique est votre maison »
Les déclarations de la ministre Barbara Oteng-Gyasi ont été relayées par The Independent Ghana.
«Nous continuons à ouvrir nos bras et à inviter tous nos frères et soeurs à rentrer chez eux», a-t-elle ajouté.
L’année dernière, le Ghana a lancé l’initiative «l’année du retour». Celle-ci consiste à ouvrir le pays à l’accueil des Africains de la diaspora.
Que tous les Noirs qui se sentent victimes de racisme en Europe et en Amérique saisissent cette opportunité.
EN COMPLÉMENTAIRE
La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros
1-New-York, Paris, Londres, la guerre raciale des Black Lives Matter s’exporte
Les Black Lives Matter exportent leur guerre raciale partout en Occident, des Etats-Unis en passant par la France et la Grande-Bretagne.
Depuis des décennies, le bien-pensant « vivre-ensemble » est devenu la grande justification de la conscience morale universelle pour faire accepter à des peuples européens une immigration massive. Mais cette panacée de la vie en société n’a fait que favoriser de forts communautarismes religieux, civilisationnels, culturels venus d’ailleurs. Cette utopie multiculturelle se retrouve aujourd’hui confrontée au réel de minorités étrangères devenues puissantes.
Après New-York, Washington, et autres villes états-uniennes, après Paris et les cités de France, c’est au tour de Londres de connaître les débordements et violences fomentées par des « indigénistes », « décolonialistes » et autres Black Lives Matter, bras armé d’un socialisme mondialiste, semant chaos et destruction pour bâtir un homme nouveau sans frontière, sans racine, sans famille, nomade et errant.
En solidarité avec les manifestations organisées par les Black Lives Matter et les Antifa aux États-Unis à la suite du décès de l’Afro-Américain George Floyd, des milliers de personnes se sont rassemblées aujourd’hui dans le centre de Londres, et un bon nombre a attaqué la résidence du premier ministre britannique, Boris Johnson, au 10 Downing Street. Pourtant ce dernier leur avait donné des gages en déclarant mercredi à la Chambre des communes que la mort de Floyd était « inexcusable ». Un certain nombre d’affrontements ont eu lieu entre manifestants et policiers, ces derniers ont dû faire face à des coups de poing et à des lancés de projectiles. Treize personnes ont été arrêtées dans le cadre du mouvement Black Lives Matter.
— L’Étudiant Libre (@LEtudiant_Libre) June 3, 2020
2-Saviez-vous que Black Lives Matter soutient l’avortement, l’homosexualité et l’agenda anti-familial ?
Beaucoup sont surpris de découvrir le manifeste anti-famille de Black Lives Matter.
Alors que Black Lives Matter nous est présenté par les médias du système comme une organisation de justice sociale qui vise à promouvoir les droits des Afro-Américains – et maintenant des Afro-Européens -, beaucoup sont surpris de découvrir que cette nébuleuse a un programme pro-avortement, promeut l’homosexualité et l’idéologie du genre et tient un discours anti-famille.
Dans leur manifeste en ligne intitulé “What We Believe”, les organisateurs de Black Lives Matter Patrisse Khan-Cullors, Alicia Garza et Opal Tometi disent qu’eux et leurs partisans “perturbent” la famille “prescrite par l’Occident”. Ils disent également qu’ils se sont libérés de la «pensée hétéronormative» et exigent «la justice reproductive».
«Nous perturbons l’exigence de structure de la famille nucléaire prescrite par l’Occident en nous soutenant mutuellement les familles élargies et «villages» qui s’occupent collectivement les uns des autres, en particulier nos enfants, dans la mesure où les mères, les parents et les enfants sont à l’aise», ont- ils écrit .
«Nous favorisons un réseau d’affirmation queer. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise étroite de la pensée hétéronormative, ou plutôt, de la croyance que tous dans le monde sont hétérosexuels (à moins qu’ils ne divulguent le contraire) », ont-ils poursuivi.
«Nous méritons et donc nous exigeons une justice reproductive [ndlr : c’est-à-dire l’avortement] qui nous donne l’autonomie sur notre corps et notre identité tout en garantissant que nos enfants et nos familles sont soutenus, sûrs et capables de s’épanouir.»
Des fondatrices lesbiennes et/ou transgenres
Bien qu’ils aient perturbé la «famille nucléaire», les trois fondateurs de Black Lives Matter ont été élevés dans des familles intactes. Patrisse Khan-Cullors, 36 ans, est une militante LGBT qui a quitté la maison de ses parents mariés à l’âge de 16 ans après les avoir informés de son homosexualité. Alicia Garza, 39 ans, a également grandi avec ses deux parents à la maison et est maintenant «mariée» à une femme blanche qui s’identifie comme un «homme transgenre». Garza, elle aussi, se considère comme une militante LGBT. Opal Tometi, 35 ans, a grandi avec une mère et un père nigérians et deux frères en Arizona.
Dans une interview accordée à MSNBC en 2015 , Khan-Cullors a souligné «l’identité queer» des fondatrices de Black Lives Matter.
“Même le hashtag [#BlackLivesMatter] a été créé par deux femmes homosexuelles noires, moi-même et Alicia, et une femme nigéro-américaine, Opal Tometi“, a-t-elle déclaré.
Khan-Cullors a expliqué que «dès le début», il était important pour le mouvement de s’attaquer non seulement aux «meurtres de jeunes garçons noirs», mais à «toutes les vies noires», y compris celles des personnes transgenres. Khan-Cullors a laissé entendre que les dirigeants des droits civiques du passé n’étaient pas représentatifs de tous les Noirs.
“Le récit historique des Noirs se bat pour les hommes noirs cis-hétéro-chrétiens“, a-t-elle déclaré.
Black Lives Matter a été accusé par certains experts d’avoir détourné le meurtre de George Floyd à des fins politiques.
Ryan Bomberger, un activiste pro-vie métisse, a déclaré que la focalisation de l’organisation Black Lives Matter sur l’idéologie LGBT est l’une des dix raisons pour lesquelles il ne rejoindra jamais le mouvement.
«Ils promeuvent fortement l’homosexualité et le transgenre», a écrit Bomberger le 5 juin pour Townhall .
“Je n’embrasse pas la confusion“, a-t-il ajouté.
“Ils ignorent complètement la paternité“, écrit-il également. «Chaque «village» qui a des familles sans père est un village qui subit des taux de criminalité plus élevés, une consommation de drogues plus élevée, des taux d’avortement plus élevés, des taux d’abandon plus élevés, des taux de pauvreté plus élevés, et bien plus encore. #DadsMatter. “
Bomberger a également noté que les plus jeunes vies noires ne semblent pas avoir d’importance pour les auteurs du manifeste Black Lives Matter.
«Les enfants avortés ne prospèrent pas. Les groupes BLM ont annoncé leur « solidarité » avec les groupes de «justice reproductive» en février 2015. Vous ne pouvez pas combattre simultanément la violence tout en la célébrant », a-t-il déclaré.
Khan-Cullors et Garza ont commencé le mouvement «Black Lives Matter» après que l’hispanique George Zimmerman a été acquitté en 2013 du meurtre au deuxième degré et de l’homicide involontaire d’un garçon noir de 17 ans nommé Trayvon Martin. Le nom du mouvement est désormais synonyme des manifestations qui ont balayé les États-Unis et bien d’autres pays occidentaux, dont la France, depuis que le criminel condamné George Floyd a été filmé en train de mourir sous le genou d’un policier blanc.
EN CONCLUSION
Black Live Matter est une sorte de groupe d’action politique anti-blanc,haineuse et très active dont l’agenda à court terme …est la mort ou l’élimination de la race blanche.
Quelqu’un, dans ce groupe ,va finir par se retrouver dans mon chemin!
Qui aurait imaginé que les manifestations pour Floyd seraient le meilleur vaccin contre le Coronavirus? Les mêmes qui nous avaient averti que le virus serait un fléau mortel et que la seule solution était de rester à la maison, nous ordonnent maintenant de faire des marches, au coude à coude, tous contre la police! Ils ont donc sous leur commandement l’épouvantable pandémie, et le pouvoir de dire: la voilà qui arrive, ou bien non finalement. Toutes les manifs n’ont pas le même potentiel curatif: il est très dangereux de manifester contre le confinement, mais il est parfaitement hygiénique de manifester contre la police, disent-ils.
On aura rarement vu un tel retournement de veste tout en souplesse. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque!
Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires. Le Covid, c’est la nouvelle normalité; il est intégré au discours des “éveillés”. Les beaux visages blancs, à la manif, se protègent avec des masques; les beaux visages noirs n’ont pas besoin de masques, parce qu’il est évident qu’ils sont du côté du bien.
Les masques, ça sert à cacher la défaite. Le coronavirus, c’est un truc qui n’a pas marché. Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly Karlin avait promis que le corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oops! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts. Voyez par exemple le taux de mortalité de la Norvège. Avec le Corona (en 2020), on a eu moins de morts que sans, au cours des cinq années précédentes. Et il n’a gère contribué au total, le saloupiot!
La Norvège s’est infligée un confinement très douloureux pour arriver à ce chiffre record, si bas, et si inutile, qui casse les statistiques. La Suède n’a pas eu de confinement du tout. Les Suédois sont restés libres de se déplacer, d’aller au café, de travailler, de se détendre. Le virus n’a pas entravé le cours normal de leurs existences. Et le résultat n’est pas mal non plus; les Suédois sont morts avec leur Corona exactement autant que sans le fieffé virus, en 2018, par exemple :
Le Corona a tout juste ajouté 400 morts à la moisson de 2018, pas un petit million, pas le moindre millier. En en voyant le résultat, la première ministre norvégienne a dit: “on aurait dû faire comme la Suède“. C’était dur à assumer, pour une Norvégienne, parce qu’entre voisins, ils ont de vieux comptes à régler; mais elle l’a fait quand même.
Partout dans le monde, le “on s’est fait avoir” est un sentiment qui gagne dans la population.
Dans la sobre Allemagne, le Comité spécial des experts a établi que des millions de gens ont été livrés à leur triste sort, comme résultat des mesures gouvernementales. 125.000 patients sont déjà morts ou vont mourir, parce qu’on a remis à plus tard l’opération chirurgicale dont ils avaient besoin. Des milliers de gens se sont suicidés; l’espérance de vie a reculé; des millions de gens ont des problèmes psychiatriques sérieux, concluent les experts, comme résultat du confinement. Le gouvernement allemand a tenté de cacher le rapport, et les médias germaniques n’en ont pipé mot.
Le confinement n’a pas sauvé de vies, et il a probablement coûté beaucoup de vies, a estimé le professeur Michael Levitt, de l’université de Standford, et prix Nobel. Il avait prévu que le Royaume-Uni serait débarrassé du Covid en quelques semaines, et cela s’est vérifié dans la quinzaine suivante. Le virus est en train de disparaître tellement vite de Grande Bretagne que nous n’avons pas pu trouver assez de gens contagieux pour faire des essais de vaccins viables sur des volontaires en bonne santé, a dit un chercheur d’Oxford, et certains scientifiques envisagent d’infecter à dessein des volontaires avec le virus. On est très loin des rêves de Bill Gates et de l’OMS, du film Contagion qu’on nous avait annoncé, des milliards d’humains en attente du vaccin salvifique. Il n’y a même pas assez de gens malades pour tester leurs produits…
C’est fini, cette histoire de coronavirus. Il va partager nos existences comme tant d’autres virus, mais son puissant jumeau le virus de la panique va lui fausser compagnie. Certaines personnes sont outrées: le fantasme des millions de morts s’est effondré, mais la stratégie du confinement a creusé des cratères dans l’économie familiale, et a arrosé d’une manne exceptionnelle les Poches profondes. Au Royaume Uni, ce sont des milliers de locataires qui vont bientôt se retrouver à la rue. Aux US, ils y a 40 millions de chômeurs mais les Poches profondes ont ajouté une couche d’un demi billion de dollars à leur magot.
Il va falloir que ces gens-là justifient leurs agissements, car les peuples vont demander des comptes. Peut-être, à Dieu ne plaise, qu’ils pourraient demander une petite taxe spéciale pandémie, de 105% sur les bénéfices de certains? Et ce sont eux, avec leurs médias, qui se sont jetés sur le cadavre de George Floyd, comme sur une occasion unique de changer de trajectoire en plein vol.
Les Maîtres du Discours ont bricolé un agenda pour les masses depuis des années; il y a des gens formatés par cet agenda. Ils pensent et agissent comme on leur dit de le faire. Ils font des marches quand on leur dit “en marche”. Ils restent à la maison quand on leur dit de ne pas sortir. Ce sont des braves gens, ils veulent faire le bien, ils aiment la vertu et le font savoir, il est facile de les flatter en invoquant leur supériorité morale. Ils prennent leurs ordres de marche dans les journaux libéraux dominants. Ils n’ont pas beaucoup de capacités critiques; il suffit de leur dire ce qui est bon et bien, ils embrayent. Ostensiblement, ils font savoir qu’ils sont des humains meilleurs que ces égotistes qui ne pensent qu’à eux, qui méprisent la vertu et qui embrassent n’importe quel préjugé.
Malheureusement, leur supériorité morale est basée sur un mensonge.
Ce sont des membres dévots de l’église alternative juive pour les gentils “en éveil” de l’Occident.
Certains sont des croyants fanatiques; d’autres sont des hypocrites ou simplement des fidèles par habitude. Gardons à l’esprit la qualité quasi religieuse de ce mouvement; il serait vain d’y rechercher le moindre bon sens, la moindre logique. Dans la mesure où ils constituent une église, ils dénient toute légitimité à toute autre ligne de pensée et de conduite. S’ils étaient dirigés par de bons bergers avisés, ils pourraient constituer une force morale de poids, dans le monde, mais ils n’ont pas cette chance. (1)
La création de ce troupeau “éveillé” et obéissant est la plus grande réussite des Maîtres du discours.
La coronapanique a amplifié le phénomène. Les gens sont devenus psychotiques, mentalement affaiblis, malléables.
Les Maîtres ont fourni le discours sur la supériorité morale: ils prétendent que leurs adeptes ne s’enferment pas, eux, pour sauver leur peau, mais pour sauver les vieux et les êtres fragiles d’une mort certaine. Quiconque n’est pas d’accord veut donc que les êtres fragiles succombent “pour le PIB”. Tous ceux qui ne portent pas de masque sont des gens qui veulent la mort des vieux, comme dans ce dialogue:
Paul Williams, @thepaulwilliams
Moi – J’ai hâte que le rugby et le tennis reprennent.
Twitter – Vous voulez que tout le monde meure de Covid et vous êtes heureux de tousser à la figure des retraités, autant dire aller lécher les bords de leurs tasses de thé, Paul ?
C’est forcément un mensonge. Ce n’est pas seulement le PIB qui a souffert, comme l’a affirmé notre collègue Karlin en intitulant Dulce et Decorum Est Pro PIB Mori ! sa tentative pour rester dans la tonalité morale élevée ; “vous savez, nous on prend soin des vieux, mais vous, tout ce qui vous intéresse, c’est le salut du PIB sans âme“, s’écrie-t-il. Non, nous parlons de ces milliers de trépassés à cause du confinement, et d’une perte incommensurable de liberté.
Non pas que je méprise le PIB. L’économie, c’est important, surtout pour les pauvres et la classe moyenne. Les Poches profondes se remplissent encore plus vite avec le confinement. Donc, si vous voulez jouer au petit jeu de la surenchère morale, vous pouvez riposter: “restez chez vous pour Wall Street“!, ou “restez chez vous pour les Poches profondes“!
Après avoir encouragé les manifestations pour Floyd, ils ont oublié leur bluff sur la terrible contagion du coronavirus. Mais leur nouvelle cause est également basée sur un mensonge. On a pu lire sur des banderoles: “Celui qui ne marche pas en mémoire de George Floyd, est un sale con. Celui qui ne s’agenouille pas est un tueur.” C’est péremptoire et stupide.
Les chrétiens ont de meilleures réponses. Nous n’avons pas à nous repentir des péchés des autres. Nous n’avons pas à nous repentir de l’esclavage ou du meurtre de Floyd parce que nous n’avons mis personne en esclavage, et ce n’est pas nous qui avons tué ce gars-là. L’idée même de culpabilité collective est étrangère aux chrétiens. C’est une idée juive, mais les juifs ne sont pas assez bêtes pour accepter de porter sur eux-mêmes la moindre faute collective. Ils aiment attribuer une culpabilité collective aux goyim, rendant même les Américains coupables de l’holocauste, mais jamais à eux-mêmes. Si vous mentionnez le rôle important que les Juifs ont joué dans la traite des esclaves , vous serez traité d’antisémite, expulsé de la société bien élevée et houspillé : “Est-ce que TOUS les Juifs faisaient le commerce d’esclaves noirs ? Sûrement pas !”
Seulement voilà, ça marche parce que l’Église du Réveil fournit un très important sentiment d’unité, comme le fait toute église. Aujourd’hui, nous sommes unis, assis à la maison, et nous sauvons des vies en portant des masques. Maintenant, nous marchons ensemble en portant des masques et en sauvant des vies. Les êtres humains ont besoin de conseils moraux et d’unité, ainsi que de privations volontaires et de frustration sexuelle: c’est l’Église du Réveil qui pourvoit à tout ça.
C’est une Nouvelle Internationale, ce Wokintern [après le Komintern]. Il y a des manifestations dans le monde entier pour soutenir cette Révolution américaine, et cela rappelle le soutien universel à la Révolution russe de 1917. Il y a pourtant une différence importante : en 1917, les travailleurs industriels du monde entier ont soutenu la Révolution soviétique ; en 2020, ce sont les hipsters du monde entier qui soutiennent la Révolution du masque [2].
La Révolution du masque suit à la lettre le manuel du Dr Gene Sharp. On y parle de construire la base révolutionnaire, d’avoir un symbole, d’exploiter au maximum le meurtre d’un citoyen par la police. C’est ce qui a été mis sur les rails lors des printemps arabes, et en Europe de l’Est aussi. Il faut avoir une victime, c’est une condition sine qua non. En Égypte, c’est la mort du jeune Khaled Mohamed Saeed qui avait déclenché le Printemps arabe ; en Tunisie, le jeune Bouazizi qui s’était immolé par le feu après avoir été maltraité par la police ; en Algérie, son exploit avait été suivi par celui de Bouterfif. En Russie, en août 1991, trois jeunes hommes avaient été accidentellement écrasés par un char d’assaut, et leur sang a servi de carburant au coup d’État d’Eltsine . George Floyd n’est que le dernier de cette longue liste de noms de victimes traînées sur l’autel de la révolution.
Suite à une nouvelle admonestation de Gene Sharp, les maîtres délégitiment le régime actuel de Trump et sabotent son soutien au sein de la police et des forces armées. En l’espace d’une journée, trois juges (nommés par Clinton et Obama) ont interdit à la Maison Blanche de bannir de ses propres conférences de presse un journaliste qui s’était mal conduit. Des lanceurs de cocktails Molotov ont été condamnés à une simple assignation à résidence par un juge de Brooklyn. Vendredi, le maire de Washington a demandé au président Trump de retirer tous les agents de la police fédérale qui font respecter la loi, et les troupes de la Garde nationale ; plus tôt, elle avait exigé le retrait des troupes et elle avait eu gain de cause. Le président Trump veut déployer 10.000 soldats à Washington, mais son secrétaire à la Défense, Mark Esper, n’est pas d’accord. “Mad Dog” Mathis, le chien enragé, attaque Trump. Les hauts républicains Bush, Romney et Powell retirent leur soutien à Trump.
Le contrôle des médias est la chose la plus importante dans la liste des choses à faire selon Gene Sharp. Les révolutionnaires ont le contrôle total des journaux, et luttent maintenant pour la domination des réseaux sociaux. Les employés de Facebook organisent des débrayages virtuels pour protester contre les posts de Trump. Les messages de M. Trump ont été qualifiés de “fake news” sur Twitter. C’est un tournant. Twitter a déclenché l’avalanche, en s’attaquant au Président et en montrant qu’on pouvait le faire impunément. Les grandes multinationales ont suivi. Ce sont les principales bénéficiaires de la révolution du masque qui va achever le démantèlement de l’État tel que nous le connaissons.
On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Le contrôle des médias, c’est tout bon ; la police démoralisée, excellent ; les juges de votre côté, parfait ; l’armée neutralisée, quelle merveille ; mais vous aurez toujours besoin de jeunes prêts à se salir les mains et à en découdre, physiquement, dans le monde réel.
Le peuple de l’éveil, ce sont des gens toujours plus forts pour brailler que pour faire le coup de poing. C’est cette carence qui a fait échouer l’excellent mouvement Occupy Wall Street. Il semble que ce qu’on appelle Antifa soit un petit mouvement comptant quelques dizaines de militants pour l’ensemble des États-Unis. Mais c’est un attrait pour la classe marginale noire : ils sont assez pugnaces et peuvent être cornaqués chaque fois que cela est nécessaire. Et si certains d’entre eux suivent George Floyd au royaume des ombres, encore mieux : la révolution a besoin de martyrs.
Notre collègue Le Saker estime qu’il ne peut s’agir d’une révolution : “pour qu’une révolution ait lieu, il faut une force capable de changer non pas la ou les personnes au pouvoir, mais de changer fondamentalement le régime, la politique elle-même, et de la remplacer par autre chose“. C’est un romantique à l’ancienne. Les révolutions de couleur font bel et bien changer de régime à une nation donnée, qui passe d’un pouvoir présidentiel fort à un pouvoir direct des multinationales, comme cela s’est produit dans tant de pays [3].
Nous en avons la confirmation directement de la bouche des intéressés. Sur The Atlantic, l’un des principaux à avoir alimenté le RussiaGate, Franklin Foer, le confirme : “Ce qui se passe dans les rues – avec des fonctionnaires qui refusent de coopérer – ressemble beaucoup aux révolutions qui ont renversé les dictateurs en Serbie, en Ukraine et en Tunisie… Ce à quoi les États-Unis assistent ressemble moins au chaos de 1968, qui avait divisé une nation, et plus aux mouvements non-violents [et entièrement financés par George Soros et al] qui ont gagné un large soutien de la société dans des endroits comme la Serbie, l’Ukraine et la Tunisie, et ont balayé les dictatures comme celles de Milošević, Ianoukovitch et Ben Ali. Et cela, même si le mandat de Trump va se terminer par une élection” [si l’élection ne parvient pas à évincer Trump, il y aura une nouvelle élection, selon les nouvelles règles améliorées, jusqu’à ce qu’il soit battu, comme ce fut le cas en Serbie et en Ukraine].“
Naturellement, aux États-Unis, ce sera différent de la Serbie ou de la Géorgie. Cela se passera en mode atlantique, ou mondialiste. Les États-Unis redeviendront le leader de l’OTAN ; les troupes américaines resteront partout à l’étranger ; le port du masque sera inscrit dans un amendement constitutionnel ; les écoles passeront à l’enseignement à distance à perpétuité ; les vaccinations seront obligatoires, sauf si vous êtes prêt à rester enfermé chez vous pour le restant de vos jours.
La foi chrétienne sera marginalisée . C’est déjà le cas dans les faits, puisque la chrétienté (tant occidentale qu’orientale) n’a plus eu de communion, plus de liturgie pendant des mois. Les évêques anglicans ont demandé à ce que l’ouverture des églises soit reportée, parce que, nul ne l’ignore, assister à un service divin, c’est beaucoup plus dangereux qu’une manifestation anti-police. L’évêque (femme) de Washington DC s’est rangée du côté des émeutiers qui ont brûlé l’église du président, contre le président qui s’y était rendu. “[Trump] n’a pas prié”, a déclaré Mariann E. Budde, l’évêque épiscopalienne de Washington. “Il n’a pas mentionné George Floyd, il n’a pas mentionné l’agonie des personnes qui ont été soumises à ce genre d’expression horrible du racisme et de la suprématie blanche pendant des centaines d’années.” Il est clair que cette dame appartient à l’Église crypto-juive du Réveil, et l’Église épiscopalienne est morte, en pratique.
Peut-être que la police va disparaître. Certaines villes très “éveillées” ont déjà cherché à éliminer la police. “Les villes se demandent s’il n’est pas temps de désengager la police et de “re-imaginer” la sécurité publique, dit le New York Times. – Au lendemain du meurtre de George Floyd, certaines villes se demandent si l’on ne demande pas à la police de faire des tâches qu’elle n’a jamais été censée faire. Les budgets sont en cours de réévaluation”. Les multinationales à l’origine de la révolution n’ont pas besoin de la police – elles ont leur propre sécurité d’entreprise, parfaitement capable de faire face à leurs problèmes. Et elles ne se soucient pas de savoir si votre quartier sera protégé par la police, ou si vous serez obligé de faire garder vos rues la nuit par votre fidèle Colt. Ils ne se soucient pas que vous restiez enfermé, que vous soyez agressé ou que vous soyez pillé, c’est le prix de la soi-disant liberté, l’autre nom du nouveau féodalisme numérique.
La révolution du masque en est à ses débuts : elle garde ses troupes de choc l’arme au pied et enthousiastes. L’étape suivante viendra après les élections, lorsqu’une victoire de Trump ne sera pas reconnue par la concurrence. “Si le vote servait à quelque chose, on ne nous laisserait pas voter“, a déclaré un petit Américain futé. Et cette fois, ce n’est pas un vote qui tranchera, à moins que les Américains ne votent pour le candidat démocrate. Après quatre années de préparation passées à diaboliser et à disqualifier Donald Trump, après une demi-année passée à enfiévrer leurs adeptes, les Démocrates, menés par l’Église du Réveil, ont bien l’intention de prendre le pouvoir même s’ils ne gagnent pas par le vote.
Peut-être que Donald Trump et ses partisans feraient bien de frapper avant qu’il ne soit trop tard. Il y a beaucoup de bons gros trésors qui appellent au pillage légitime, tout d’abord Wall Street. La sous-classe noire ne s’intéresse pas à ces banques ; mais l’État peut très bien les piller, sans faire de casse. L’État peut s’emparer des réseaux sociaux et d’autres choses très utiles. La décision de Trump de faire revenir d’Allemagne 10.000 GI est judicieuse. Le retour rapide des vétérans d’Afghanistan et d’Irak, des Philippines et du Japon devrait suivre. Ils profiteront de Washington DC et de la Silicon Valley. Trump ferait mieux d’oublier la Chine, l’Iran et la Russie et de se concentrer sur sa survie. Il doit absolument se préparer pour le 4 novembre et être prêt pour la rupture de l’Union si le pire devait arriver.
EN COMPLÉMENTAIRE
les Antifa passent à l’attaque
Les protestations violentes contre la mort de George Floyd, l’Afro-américain tué à Minneapolis par un policier, durent maintenant depuis trop longtemps.
Casier judiciaire de #GeorgesFloyd : – 2007, 5 ans de Prison : à cambriolé une femme et pointé une arme sur son ventre – Condamné pour consommation de cocaine en 2005 et 2002 – Prison pour intrusion criminelle en 2002 – Prison pour vol en 1998 Source : https://t.co/6EgIc62L2U
Après Minneapolis, des émeutes ont éclaté à travers tout le pays. Deux autres personnes sont décédées à Chicago. Plusieurs blessés ont été signalés par la police, 60 arrêtés. À Saint Louis, la police a signalé que 4 policiers avaient été blessés avec des armes à feu lors des manifestations. New York connait des scènes de vandalisme et de pillages, comme à Dallas, Atlanta, Los Angeles… Guerre civile, ethnique, religieuse, voilà le résultat de la mondialisation et du multiculturalisme. Les cultures se dissolvent puis s’affrontent pour retrouver une identité.
Je n'ai pas connaissance d'images datant de moins de 50 ans d'hommes noirs ainsi lynchés par des foules haineuses de blancs… Par contre en sens inverse, elles se comptent par centaines. pic.twitter.com/WaJsGqnj6M"
Derrière ces violences, ces émeutes raciales qui ont pour véritable fondement la haine du blanc, se profilent la mouvance Antifa, violents extrémistes de gauche. N’acceptant pas le résultat démocratique des élections américaines, ils sont polarisés contre Trump et la droite et profitent de la mort de ce multirécidiviste Floyd pour mettre les Etats-Unis à feu et à sang.En pointant du doigt les auteurs présumés des manifestations qui ont enflammé le pays, le président américain Donald Trump a annoncé que les États-Unis incluront des militants d’extrême gauche Antifa parmi les organisations terroristes.
Les Antifa contestent les actions qu’ils considèrent comme autoritaires, homophobes, racistes ou xénophobes. Le mouvement n’est pas affilié à d’autres groupes de gauche. Mais ses militants collaborent parfois avec d’autres réseaux locaux qui protestent contre les mêmes problèmes, comme Occupy ou Black Lives Matter.
Les objectifs sont généralement de contrer l’action des groupes considérés comme fascistes, racistes et de droite pour se doter d’une plateforme leur permettant de promouvoir leur point de vue. Ils pensent que le recours à la violence est justifié par le fait que si des groupes fascistes ou racistes sont autorisés à s’organiser librement, cela conduira inévitablement à la violence contre les marginalisés.
En ce qui concerne les origines du mouvement, de nombreuses personnes l’auraient rejoint aux États-Unis après l’élection de Trump en 2016. Le mouvement a gagné en visibilité en 2017. Après une série d’actions. Y compris les affrontements avec les nationalistes blancs à Charlottesville.
Tandis que la gauche américaine, et des membres du staff de Joe Biden, soutiennent les émeutiers, les conservateurs ont condamné à plusieurs reprises leurs actions en affirmant que les militants du mouvement tentent d’empêcher la libre expression de leur pensée politique.
Comportement typique de gauchistes
Au moins 13 militants du staff de campagne de Joe Biden ont affiché sur Twitter qu’ils finançaient le Minnesota Freedom Fund, qui paye les cautions pour libérer les émeutiers et pillards qui ravagent #Minneapolishttps://t.co/cnqIU5GnGFpic.twitter.com/JM9keTgO69
— Guy du Faur 🇫🇷 ⚜️✝️ن 🇬🇷 (@GuyduFaur) May 31, 2020
Les émeutes en cours n’ont plus rien à voir avec la mort de George Floyd, elles sont fomentées pour tenter d’empêcher la réélection de Trump en novembre. Comme pour prendre au mot Soros qui parlait de “situation révolutionnaire” en janvier 2020…
Face à ces véritables scènes de guerre civile et ethnique à travers tout le pays, Trump s’est prononcé pour le retour de l’ordre et de la loi.
Dans un discours télévisé, le président des États-Unis avait menacé de faire appel à l’armée si les États ne pouvaient pas rapidement maîtriser les violentes manifestations qui secouent l’Amérique après la mort de George Floyd. Dans son discours à la Maison Blanche, il a déclaré que les gouverneurs doivent établir une « présence policière écrasante ». Et déployer la garde nationale en « nombre suffisant pour dominer les rues » :
« Si une ville ou un État refuse de prendre les mesures nécessaires pour défendre la vie et les biens de leurs résidents, je déploierai l’armée américaine et résoudrai rapidement le problème pour eux. »
Trump a également expliqué que la mort de « George Floyd ne devait pas être arrivée en vain et que ceux qui avaient commis des erreurs devaient payer », mais « je suis le président de la loi et de l’ordre » et « le président – a-t-il souligné à nouveau – a le droit pour défendre son pays et protéger sa nation. Nous ne pouvons pas permettre que des manifestations pacifiques soient manipulées par des anarchistes professionnels et des groupes antifa. »
(2)Hipster désigne une personne ou une sous-culture définie par le stéréotype de jeunes adultes résidant principalement dans des quartiers gentrifiés. La gentrification, mot issu de l’anglais gentrification — en français québécoisembourgeoisement ou, dans la presse, boboïsation (du terme bobo) — désigne « les transformations de quartiers populaires dues à l’arrivée de catégories sociales plus favorisées qui réhabilitent certains logements et importent des modes de vie et de consommation différents ».
(3) En Tunisie, Libye, Égypte, le Printemps arabe a été le moyen de détruire des états et d’installer au pouvoir la Confrérie des Frères Musulmans, dont le Chef (pour le moment) est Erdogan, et dont l’objectif annoncé est la création du Califat Islamique (dont l’État Islamique / ISIS a été la première tentative). La haine d’Erdogan envers Poutine vient du fait que ce dernier a été le principal destructeur d’ISIS. Cet islamisme sunnite est l’allié-esclave des sionistes et de l’Empire, et l’ennemi déclaré des états séculiers. Erdogan s’imagine en Grand Turc (Sultan, ou Calife) rêvant de l’Empire ottoman allant du Maghreb aux Balkans, à l’Asie Centrale jusqu’aux confins de la Chine.
Avez-vous remarqué le fait particulier que, malgré le verrouillage, la crise économique, des dizaines de millions de chômeurs et de multiples sociétés en faillite, Wall Street est en train de faire les choses? Jim Cramer de CNBC a examiné cette anomalie il y a quelques jours, le verdict: “Nous envisageons une reprise en V de la bourse (une reprise rapide ; courbe en V) , et cela n’a presque rien à voir avec une reprise en V de l’économie. Ce qui se passe est l’un des plus grands transferts de richesse de l’histoire. “
Montréal,la ville néolibérale par exellence au Québec,acclamait Hillary Clinton au Palais des Congrès ,en 2017. Toutes les places furent réservées en un clin d’oeil. Montréal est profondément une ville gauchiste pro-bolchévique et pro-néolibérale avec sa mairesse mondialiste souriante.
Comment le marché peut-il rebondir quand l’économie ne le fait pas? La réponse de Kramer est tellement simple. “Parce que le marché ne représente pas l’économie; il représente l’avenir du grand business. “
Kramer souligne que si les petites entreprises tombent comme des mouches, les grandes entreprises, bien sûr, avec une plus grande richesse, traversent la crise pratiquement indemnes.
Kramer prévoit que le transfert aura un “effet horrible” sur les États-Unis. Nous assistons déjà à un tsunami de faillites. Les retombées économiques sont inévitables. Les données fédérales montrent que la nation fait face à un taux de chômage de 13,3%. La fortune des milliardaires aux États-Unis ont augmenté de 565 milliards de dollars entre le 18 mars et le 4 juin, tandis que la même période de 11 semaines a également vu 42,6 millions d’Américains déposer des demandes de chômage. Les résultats sont dévastateurs, et ce n’est guère une nouvelle : pendant que le peuple américain s’appauvrit, les plus riches s’enrichissent.
On aurait pu penser que la gauche américaine et les institutions politiques progressistes seraient les premières à s’alarmer de ces développements. Nous avons tendance à croire que tempérer les riches et leur cupidité, prendre soin des travailleurs et lutter pour l’égalité des chances et la justice en général sont les principales préoccupations de la gauche.
Barack Hussein Obama aura été l’exemple parfait du “gros parleur,petit faiseur” avec ses gros slogans à l’emporte pièce et ses discours fabriqués par des professionnels du make up politique. Il restera pour de nombreux travailleurs américains,leur plus grand désappointement…surtout après avoir financé des multinationales et des banques milliardaires avec l’argent public,en 2008.
La réalité américaine suggère cependant le contraire. Au lieu de nous unir dans une bataille acharnée contre Wall Street et ses spoliations en plein jour de ce qui reste de la richesse américaine, la gauche américaine investit sa dernière goutte d’énergie politique dans une «guerre raciale». Au lieu de s’engager sur la téléologie de la valeur de la gauche, à savoir, la lutte des classes qui nous unissent dans un poing de résistance en colère contre cette spoliation et cette discrimination, et sans égard à notre race, ou notre sexe, la gauche américaine nous amène à nous battre les uns contre les autres.
Des meurtres attribués aux Antifa allemands ou américains sont resté impunis et inconnus du public.
Le silence de la gauche sur les “transferts de richesses” actuels de Wall Street n’est pas un hasard. La gauche américaine et les institutions progressistes sont soutenues financièrement et par Wall Street et des financiers globalistes . Ce financement signifie que, dans la pratique, la gauche américaine fonctionne comme une opposition contrôlée.
La meilleure manière de contrôler l’opposition est de la conduire nous-mêmes
Elle maintient sa pertinence en entretenant des tensions sociales et raciales qui détournent l’attention de Wall Street et de ses crimes. La soi-disant «gauche» est également réticente à pointer Wall Street et son hold-up actuel , car de telles critiques, même légitimes, seraient immédiatement censurées comme «antisémites» par les institutions juives qui se sont désignées pour contrôler le discours public occidental.
Il y a beaucoup d’histoires d’une telle politique de division de la gauche et de la façon dont elle finit souvent par trahir la classe ouvrière. L’effondrement de la gauche allemande au début des années 1930 en est probablement l’étude de cas la plus intéressante.
Avant l’effondrement économique de 1929, le mouvement fasciste allemand était un phénomène relativement marginal composé de diverses factions concurrentes. Lors des élections de 1928, le parti nazi a obtenu 2,8% (810.000 voix) du vote général. Mais ensuite, le krach de 1929 a entraîné une augmentation rapide et brutale du chômage; de 1,2 million en juin 1929 à 6 millions en janvier 1932. Au milieu de la crise, la production a chuté de 41,4% de 1929 à la fin de 1931, entraînant une montée en flèche de la pauvreté. Comme des millions d’Américains en ce moment, au début des années 1930, des millions d’Allemands ont passé de nombreux jours et nuits dans les files d’attente.
Durant la crise économique allemande qui s’étend de 1918 à 1933,nombreux furent les berlinois à faire les ligne d’attente comme les américains et les québécois en 2020.
On supposerait que l’effondrement du capitalisme aurait été politiquement célébré par les communistes allemands et les marxistes alors que les Allemands perdaient tout espoir dans la “démocratie bourgeoise” et le capitalisme. Le Parti communiste allemand (KPD), comme le parti nazi, a augmenté son pouvoir de façon exponentielle après la crise économique. Pourtant, la gauche allemande a raté cette occasion en or. Malgré la pauvreté et les mesures d’austérité, c’est Hitler qui a fini par gagner le cœur et l’âme de la classe ouvrière allemande. Aux élections de septembre 1930, Hitler avait remporté 18,3% puis 37,4% en juillet 1932. En seulement quatre ans, les nazis ont accru leur soutien de 13 millions de voix.
Beaucoup a été écrit sur l’échec de la gauche allemande, marxiste et communiste, à lutter contre Hitler et le fascisme. Certains marxistes sont assez honnêtes pour admettre que c’est en fait le KPD, sa politique autoritaire et de division qui a ouvert la voie à Hitler et au nazisme.
Timbre commémoratif de l’assassinat de Rosa Luxembourg et de Karl Liebnicht survenu le 15 janvier 1919. Cet assassinat annonce la fin des spartakistes en Allemagne et la montée des nationalistes.
Comme Staline, le KPD allemand a rapidement employé le terme «fasciste» pour décrire tous les opposants politiques. Dans un acte d’auto-marginalisation progressive, la gauche allemande s’est réduite à un bruit politique irrationnel qui a finalement perdu le contact avec la réalité. Le KPD était tellement éloigné de la minimisation de la transition politique en Allemagne que le 30 janvier 1933, le jour où Hitler fut nommé chancelier d’Allemagne, le KPD déclara bêtement: “Après Hitler, nous prendrons le relais!”
Photos d’époque montrant les spartakistes menés par Rosa Luxembourg et Carl Liebnitz. En bas,vous avez un set de 2 photos montrant les Corps francs allemands qui étaient des volontaires nationalistes dont plusieurs étaient issus de l’armée impériale.Aidés par de nombreux donateurs venant des sociétés secrètes allemandes,ils barrèrent la route aux communistes bolchéviques…dont les spartakistes.
Comme la gauche radicale américaine aujourd’hui, le KPD a mené des batailles de rue contre les nazis de 1929 à 1933. Ces batailles ont coûté la vie à des centaines de nazis et de membres du KPD. Mais en 1933, aucun groupe politique n’a payé le prix du sang aussi élevé que le KPD. Près d’un tiers des membres du KPD se sont retrouvés en prison.
Une projection du Dow Jones en avril 2020:reprise en V
Durant la République de Weimar,l’argent allemande ne valait pas le papier sur lequel elle était imprimée.
Il est à noter que l’un des aspects les plus préoccupants de la politique de gauche est le fait particulier que les agitateurs qui prétendent s’inspirer de la «dialectique» semblent aveugles à leur propre passé idéologique. Par conséquent, ils sont détachés du présent et totalement éloignés d’un concept de «futur».
Je dis depuis un certain temps que Trump prend souvent, sinon toujours, la bonne décision pour les mauvaises raisons. Par exemple, il a déclaré «une guerre» à l’autoritarisme des médias sociaux au nom du 1er amendement. Bien que ce soit clairement vrai, Trump n’est pas motivé par un véritable souci de «liberté d’expression» ou de «droits de l’homme», il est simplement bouleversé que ses tweets soient soumis à des « vérifications de faits ». La gauche, de façon assez particulière, a tendance à prendre la mauvaise décision, généralement pour de bonnes raisons. La lutte contre le racisme est sans aucun doute un objectif important; de même, la lutte contre la brutalité policière ou la discrimination raciale en Amérique sont des batailles cruciales majeures. Cependant, alimenter un conflit racial est la pire voie possible pour éliminer à la fois le racisme et la discrimination. Une telle tactique ne fera qu’aggraver le fossé qui divise déjà la classe ouvrière américaine. Je me demande si c’est exactement ce que la gauche américaine essaie de réaliser, c’est peut-être ce pour quoi elle est payée?
Aujourd’hui, alors que les progressistes et les gauchistes américains se préparent pour une longue bataille sans relâche, j’ai un petit conseil à offrir. L’histoire nous enseigne que le fascisme gagne toujours lorsque les conditions sont parfaites pour une révolution marxiste. Lorsque vous faites pression pour un conflit racial et une nouvelle fragmentation de la société américaine, gardez à l’esprit que vous pourriez vous retrouver face à un vrai personnage de Trump (par opposition à Donald) qui pourrait être en mesure d’unir l’Amérique et de le rendre grand pour de vrai, mais vous n’y trouverez pas votre place.
Gilad Atzmon est un artiste de jazz et de musique du monde, un romancier et un auteur ID se concentrant sur la politique. Gilad Atzmon est un militant antisioniste britannique, né en Israël et résidant actuellement à Londres. Musicalement, il a collaboré avec Shane McGowan, Robbie Williams, Sinéad O’Connor, Robert Wyatt, Paul McCartney et le groupe Pink Floyd.
“La criminalisation du discours politique et de l’activisme contre Israël est devenue l’une des menaces les plus graves pour la liberté d’expression en Occident.” Glenn Greenwald 19.7.2017
À l’heure actuelle, la ville de Minneapolis est assiégée et attaquée, mais pas par des terroristes musulmans ou un autre groupe étranger.
Non, Minneapolis est attaquée par la gauche radicale, avec des bus dans des agitateurs de groupes comme Black Lives Matter , et tout l’enfer se déchaîne littéralement.
George Soros et sa femme
George Soros finance l’anarchie aux États-Unis depuis de nombreuses années maintenant , mais cette fois, il a peut-être finalement trouvé la combinaison gagnante qu’il recherchait.
Alors que les troubles se propageaient dans des dizaines de villes américaines vendredi, le Pentagone a pris la rare mesure d’ordonner à l’armée de mettre plusieurs unités de police militaire américaine en service prêt à se déployer à Minneapolis, où le meurtre de George Floyd par la police a déclenché une vague de protestations. .
La situation étant déjà extrêmement grave, les choses ont pris une tournure décisive tard hier, alors que le président Trump a demandé au Pentagone d’intervenir avec un plan pour réprimer la violence, les attentats à la bombe et les pillages qui ravageaient Minneapolis ces derniers jours.
Le Pentagone a alors ordonné à l’armée de préparer des unités de police militaire à entrer dans la ville si et quand l’ordre est donné. Voilà où en sont les choses en ce moment alors que le soleil se lève ce samedi matin.
Comme nous vous l’avons déjà montré hier soir, ces flambées de violence et d’attentats terroristes dans plusieurs villes sont alimentées et financées par George Soros et ses fondations Open Society qui donnent de l’argent pour la mobilisation à Black Lives Matter et à ANTIFA .
À l’heure actuelle, alors que les États-Unis sont déjà sous le coup de COVID-19, nous sommes maintenant également dans un état de guerre civile opposant les patriotes américains à la gauche radicale qui a l’intention de nous détruire.
Soros et ses serviteurs l’ont fait plusieurs fois au cours des 8 dernières années, mais quelque chose me dit que ce pourrait être le «grand». Restez à l’écoute ainsi vous apportera des mises à jour en direct au fur et à mesure qu’elles se produisent.
Le Pentagone Met La Police Militaire En Alerte Pour Se Rendre À Minneapolis
D’après YAHOO NEWS: Des soldats de Fort Bragg en Caroline du Nord et de Fort Drum à New York ont reçu l’ordre d’être prêts à se déployer dans les quatre heures s’ils sont appelés, selon trois personnes ayant une connaissance directe des ordres.
On a dit aux soldats de Fort Carson, au Colorado et de Fort Riley au Kansas, d’être prêts dans les 24 heures.
Les gens ne voulaient pas que leur nom soit utilisé parce qu’ils n’étaient pas autorisés à discuter des préparatifs.
Les ordres de préparation ont été envoyés verbalement vendredi, après que le président Donald Trump a demandé au secrétaire à la Défense, Mark Esper, des options militaires pour aider à apaiser les troubles à Minneapolis après que les manifestations se soient transformées en pillages et incendies criminels dans certaines parties de la ville.
George Soros A Déjà Commencé À Envoyer À ANTIFA
Here we have a protester telling an white antifa bro to stop destroying property.
What a lot of people don’t realize is that these antifa bros are the source of a lot of these issues. They infiltrate these protests and cause chaos. pic.twitter.com/AiSPqBmaj6
Trump a fait la demande lors d’un appel téléphonique du bureau ovale jeudi soir qui comprenait Esper, le conseiller à la sécurité nationale Robert O ‘Brien et plusieurs autres.
Le président a demandé à Esper des options de déploiement rapide si les manifestations de Minneapolis continuaient de dégénérer, selon l’une des personnes, un haut responsable du Pentagone qui était de garde.
“Lorsque la Maison Blanche demande des options, quelqu’un ouvre le tiroir et les sort pour ainsi dire.” dit le fonctionnaire.
La personne a déclaré que les unités militaires seraient déployées en vertu de l’Insurrection Act de 1807, qui a été utilisée pour la dernière fois en 1992 lors des émeutes de Los Angeles qui ont suivi le procès de Rodney King.
“Si c’est là que le président se dirige en termes de réponse, cela représenterait une escalade importante et une détermination que les diverses autorités étatiques et locales ne sont pas à la hauteur pour répondre aux troubles grandissants”, a déclaré Brad Moss, un Washington DC. -avocat basé, qui se spécialise dans la sécurité nationale.
Des Émeutiers Volent Des Milliers De Dollars À Des Entreprises De Minneapolis
Les membres des unités de police étaient en alerte de rappel de 30 minutes tôt samedi, ce qui signifie qu’ils devraient retourner dans leurs bases dans ce délai pour se préparer à un déploiement à Minneapolis dans un délai de quatre heures.
Les unités de Fort Drum devraient d’abord se rendre à Minneapolis, selon les trois personnes, dont deux fonctionnaires du ministère de la Défense.
Environ 800 soldats américains se déploieraient dans la ville s’ils étaient appelés.
N’arrêtez Pas Votre Véhicule Si Vous Rencontrez Des Manifestants, Voici Pourquoi
BREAKING: rioters pull a black man out of his car and begin beating him on the streets In Dallas pic.twitter.com/a6cu5ePgQJ
Des manifestations ont éclaté à Minneapolis cette semaine après la sortie d’une vidéo montrant un policier agenouillé sur le cou de Floyd.
Floyd est décédé plus tard de ses blessures et l’officier, Derek Chauvin, a été arrêté et accusé de meurtre au troisième degré et d’homicide involontaire coupable vendredi.
Les manifestations sont devenues violentes et jeudi les émeutiers ont incendié le troisième commissariat de police de Minneapolis près de l’endroit où Floyd a été arrêté. Le maire Jacob Frey a ordonné un couvre-feu dans toute la ville à 20 h, heure locale, à partir de vendredi.
Dans cette ville, les manifestations pacifiques ont pris de l’ampleur à mesure que la nuit tombait, des milliers de personnes ignorant le couvre-feu pour marcher dans les rues du sud de la ville.
Certaines voitures ont été incendiées dans des quartiers dispersés, des cambriolages ont commencé et, finalement, il y a eu des incendies plus importants.
Les troubles se sont depuis répandus à travers le pays, avec des manifestations, dont certaines violentes, ont éclaté dans des villes comme Washington DC, Atlanta, Phoenix, Denver et Los Angelas.
Le gouverneur du Minnesota, Tim Walz, a commandé 500 de ses troupes de la Garde nationale à Minneapolis, St. Paul et dans les communautés environnantes.
Mais un porte-parole du Pentagone a déclaré que Walz n’avait pas demandé le déploiement de l’armée dans son état.
“Le département a été en contact avec le gouverneur et il n’y a aucune demande pour que les forces du titre 10 soutiennent la garde nationale du Minnesota ou les forces de l’ordre”, a déclaré le porte-parole. Le titre 10 est la loi américaine qui régit les forces armées et autoriserait militaire en service actif pour opérer aux États-Unis
Alyssa Farah, directrice des communications stratégiques de la Maison Blanche, a déclaré que le déploiement de la police militaire en service actif était faux.
“Faux: hors du record – le titre 10 n’est pas en discussion”, a déclaré Farah dans une réponse par courrier électronique.
Aucun accord officieux n’a été négocié avec l’Associated Press. La 16e brigade de police militaire a transmis les questions de l’AP au ministère de la Défense.
Les trois responsables ayant une connaissance directe du déploiement potentiel affirment que les commandes sont sur un système classifié, connu sous le nom de Secret Internet Protocol Router ou SIPR.
Il est normalement interdit aux forces en service actif d’agir en tant qu’organisme d’application des lois nationales. Mais l’Insurrection Act offre une exception.
La loi permettrait aux militaires d’exercer une autorité policière qu’ils n’auraient pas été autorisés à faire autrement, faisant respecter les lois étatiques et fédérales, a déclaré Stephen Vladeck, professeur à la faculté de droit de l’Université du Texas, spécialisé en droit constitutionnel et de sécurité nationale.
Le statut “est délibérément vague” en ce qui concerne les cas dans lesquels la loi sur l’insurrection pourrait être utilisée, a-t-il déclaré.
Le gouverneur de l’État pourrait demander au président Donald Trump de prendre des mesures ou Trump pourrait agir de sa propre autorité s’il est déterminé que les autorités locales sont tellement dépassées qu’elles ne peuvent pas appliquer correctement la loi, a déclaré Vladeck.
“C’est une très, très large concession d’autorité pour le président”, a-t-il ajouté. ( Source )
Le Pentagone Met La Police Militaire Américaine En Disponibilité Pour Entrer À Minneapolis
Les manifestants de Minneapolis ont défié un couvre-feu à 20 heures au cours d’une quatrième nuit d’affilée de manifestations contre la mort de George Floyd, un homme noir de Minneapolis qui est décédé aux mains d’un policier blanc.
La police militaire a été alertée par le Pentagone.
La Garde nationale est déjà dans la ville, assurant la sécurité des pompiers qui travaillent samedi matin pour éteindre les incendies des manifestations nocturnes.
Donald Trump a averti que le mouvement antifasciste Antifa pourrait être qualifié d’organisation terroriste.
Le président a déclaré qu’il était «envisagé» de déclarer le mouvement, composé de groupes de gauche autonomes et d’individus aux Etats-Unis, une organisation majeure du terrorisme.
Cette annonce faisait suite à une résolution proposée par les sénateurs Ted Cruz et Bill Cassidy plus tôt ce mois-ci, qui condamnait le mouvement et demandait qu’il soit qualifié d’organisation terroriste nationale.
Bien que le sérieux avec lequel M. Trump envisage l’idée ne soit pas clair, il a semblé appuyer le mouvement et a déclaré que cela «faciliterait la tâche de la police pour la police».
“Il est envisagé de déclarer ANTIFA, le gauchiste sans gauche de Wack Jobs qui frappe sans relâche des battes de baseball (uniquement des non-combattants)”, a-t-il écrit sur Twitter samedi.
Antifa est connue pour son recours à l’action directe, qui peut inclure des dommages matériels, la violence physique et le harcèlement à l’encontre de ceux qu’ils considèrent fascistes, et les membres du mouvement se sont souvent affrontés aux partisans de Trump.
M. Trump a ajouté que la bande criminelle internationale MS-13, à laquelle font souvent référence les républicains dans les débats sur l’immigration, pourrait également être qualifiée de groupe terroriste.
M. Cruz a déclaré qu’Antifa est une organisation “composée de radicaux haineux et intolérants qui poursuivent leur programme extrême par la violence agressive”.
Il a ajouté: «À maintes reprises, leurs actions ont démontré que leur objectif central est d’infliger du tort à ceux qui s’opposent à leurs points de vue.”
Antifa a attiré l’attention en juin lorsque Andy Ngo, un écrivain conservateur, a été attaqué par des antifascistes lors de manifestations à Portland, en Oregon.
M. Ngo a été battu par des manifestants qui s’opposaient à une marche organisée par les Proud Boys, un groupe d’extrême droite patriote.
La photo de ses blessures a été affichée sur tous les médias sociaux. De nombreux médias ont choisi de censurer ses blessures, qui sont des conneries pour eux. C’est des nouvelles. Les gens ont le droit de savoir ce qui a été fait à cet homme.
Tout récemment, un politicien de l’AfD a été brutalement attaqué par une petite foule armée de bâtons de bois. Ses blessures sont graves et il pourrait ne pas survivre.
Frank Magnitz, président de Brême, président du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), se bat pour sa vie après s’être blessé à la tête à la suite d’une attaque de trois assaillants inconnus.
Magnitz a été transporté à l’hôpital lundi soir après avoir subi une grave blessure à la tête à la suite d’une “tentative d’assassinat à motivation politique”, a déclaré Bremen AfD dans un communiqué, affichant une image graphique du président blessé.
Armés de bâtons de bois, les trois hommes ont frappé à plusieurs reprises l’homme politique à la tête et lui ont donné des coups de pied alors qu’il était déjà à terre jusqu’à ce qu’un ouvrier du bâtiment ait vu l’assaut et tenté d’intervenir. Selon le communiqué, l’attaque a eu lieu immédiatement après le départ de Magnitz de la réception du nouvel an près de la Goetheplatz à Brême.
“Aujourd’hui est un jour noir pour la démocratie en Allemagne”, a déclaré l’AfD, soulignant que Magnitz restait dans un état critique. “Il a été battu à moitié mort”, a écrit sur Twitter le porte-parole de l’AfD Jörg Meuthen, qualifiant l’assaut de “complot lâche et dégoûtant”.
Apparemment, battre les gens avec des bâtons de bois pour régler des désaccords politiques fait partie de la gauche tolérante de nos jours. L’AfD n’est pas un parti d’extrême droite, même si les médias en parlent constamment. Il s’agit essentiellement d’un parti de niveau Alt-Lite qui souhaite simplement que l’Allemagne maintienne sa souveraineté et ne soit pas inondée d’un nombre illimité de singes du tiers monde.
Bien sûr, sachant ce qui se passe en Allemagne, il est douteux que quiconque soit arrêté pour ce crime. C’est un pays qui permet aux singes du tiers monde de violer et d’attaquer des personnes alors qu’elles mettaient des femmes âgées en prison pour avoir interrogé l’Holocauste. La liberté d’expression n’existe pas en Allemagne.
Un jury a recommandé la peine à perpétuité plus 419 ans pour James Fields, reconnu coupable d’avoir tué Heather Heyer et d’avoir blessé des dizaines d’antifascistes lorsqu’il avait conduit sa voiture à travers les contre-manifestants antifa lors du rassemblement nationaliste blanc en Virginie l’année dernière.
James Alex Fields Jr. se tenait stoïquement les mains croisées devant lui tandis qu’un greffier lisait le verdict, qui doit maintenant être pris en considération par le juge, qui prononcera la sentence finale. Le juge Richard Moore a programmé une audience de détermination de la peine pour le 29 mars 2019.
Le jury a rendu son verdict après avoir délibéré pendant environ quatre heures sur deux jours. Les juges en Virginie imposent souvent la peine recommandée par les jurys. En vertu de la législation des États, ils peuvent imposer des peines plus basses que celles recommandées par le jury, mais ne peuvent les augmenter.
Avant d’émettre sa recommandation, le jury a demandé à Moore si les peines seraient exécutées de manière consécutive ou concurrente. Il a répondu que les peines étaient généralement consécutives, mais que les jurés pouvaient recommander des peines concurrentes s’ils le souhaitaient.
Le jury a délibéré pendant près de deux heures après avoir entendu le témoignage de la mère de Heather Heyer, une militante pour la diversité âgée de 32 ans qui a été tuée lorsque Fields a percuté sa voiture dans la foule antifasciste lors d’un rassemblement nationaliste blanc “Unite the Right” à Charlottesville le 12 août 2017.
Les jurés ont également entendu plusieurs antifa blessés gravement. Un psychologue qui a témoigné pour la défense a déclaré que Fields avait “une longue histoire de problèmes de santé mentale, y compris de troubles bipolaires”.
La voiture de Field vient de frapper la masse des gens.
Susan Bro, la mère de Heyer, a déclaré au jury que la mort de sa fille avait été “une explosion dans notre famille. Nous sommes à jamais marqués par la douleur”, a-t-elle déclaré.
Jeanne “Star” Peterson a déclaré que sa vie était “un cauchemar vivant” depuis qu’elle avait été touchée par la voiture de Fields. Sa jambe droite a été brisée et elle a subi cinq interventions chirurgicales pour tenter de la réparer. Elle a également eu une fracture à la colonne vertébrale et n’a toujours pas pu retourner au travail.
“Je traiterai des conséquences des choix de Fields pour le reste de ma vie”, a déclaré Peterson.
James Alex Fields
Fields, 21 ans, s’est rendu en Virginie de sa maison de Maumee, dans l’Ohio, pour soutenir la cause nationaliste blanche. Après le rassemblement, alors qu’un groupe important de contre-protestants antifa défilaient dans Charlottesville en criant et en riant, il a arrêté sa voiture, a fait marche arrière, puis a filé dans la foule des contre-protesteurs, selon les témoignages et la surveillance vidéo présentés aux jurés.
Mercredi, Bowie, un antifa noir qui s’est fait prendre dans le coffre de la voiture de Fields quand il a fait marche arrière, a été projeté dans un camion garé et jeté au sol. Il a déclaré au jury qu’en plus d’un bassin cassé et d’autres blessures physiques, elle a été hospitalisée trois fois pour un trouble de stress post-traumatique au cours de la dernière année.
Elle a dit au jury: “S’il vous plaît, sachez que le monde n’est pas un endroit sûr où M. Fields se trouve.”
La fameuse voiture qui a foncé dans la masse des gens.
Dans son témoignage pour la défense, le professeur et psychologue Daniel Murrie de la faculté de médecine de l’Université de Virginie, a déclaré au jury que, même si Fields n’était pas “légalement fou à l’époque, il souffre depuis longtemps de problèmes de santé mentale”.
L’avocate de Fields, Denise Lunsford, l’a qualifié de “personne atteinte de troubles mentaux” et a exhorté le jury à tenir compte de sa longue histoire de problèmes de santé mentale lors de l’examen d’une peine.
Le rassemblement Unite the Right avait été organisé en partie pour protester contre le projet de retrait de la statue du général confédéré Robert E. Lee. Des centaines de membres du Ku Klux Klan, de nationaux-socialistes et d’autres nationalistes blancs se sont rassemblés dans la ville universitaire pour assister à l’un des plus grands rassemblements de militants blancs de la décennie.
Fields est éligible à la peine de mort s’il est reconnu coupable de “crimes de haine” par le gouvernement fédéral. Aucun procès n’a encore été programmé.
Le 9 août 2018,une autre manifestation eut lieu au même endroit avec les mêmes opposants.
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