Quand les mastodontes habitaient le désert polaire…
Dans une région du Groenland qui n’est plus qu’un simple désert de glace (au-dessus du Pôle Nord), un groupe de chercheurs a recueilli des échantillons, tracé l’ADN et découvert une énorme surprise. Avant la neige, il y a deux millions d’années, c’était un paradis luxuriant peuplé de mastodontes aujourd’hui disparus.
C’était une forêt fabuleuse
Selon le ‘New York Times’, le Dr Willerslev et le Dr Kurt Kjaer de l’université de Copenhague ont commencé à prélever des échantillons de pergélisol (une couche végétale gelée) dans le nord du Groenland en 2006 et les ont étudiés en laboratoire.
Décrypter l’ADN congelé
Les premières tentatives pour déchiffrer l’ADN figé dans les échantillons ont échoué. Mais la technique a progressé, les scientifiques ont persévéré et, après plusieurs années de dur labeur, une équipe dirigée par Eske Willerslev, chercheur à l’université de Cambridge (Royaume-Uni) et directeur du centre de géogénétique de Copenhague (Danemark) a fait une grande découverte.
Plus de 100 espèces de plantes
Le ‘New York Times’ a déclaré que les chercheurs avaient découvert « 102 espèces de plantes différentes, dont 78 précédemment identifiées à partir de fossiles et 24 nouvelles variétés ». Ils ont réussi grâce à une technique novatrice de séquençage de l’ADN de la région du Groenland.
Des forêts de bouleaux mais pas uniquement
D’après ces recherches, des forêts de bouleaux, des peupliers et des pins se trouvaient autrefois là où il n’y a aujourd’hui que de la terre gelée.
Des roses datant de millions d’années
On a également trouvé de l’ADN de plantes dont la fleur serait un ancêtre des roses actuelles.
Les caribous vivaient là
Outre le mastodonte susmentionné, selon les traces d’ADN, il y avait également des caribous dans le désert polaire du Groenland. Un animal typiquement arctique, mais dont les restes n’ont jamais été retrouvés si loin au nord.
Il y avait aussi des lièvres
Les lièvres et les lemmings (des petits rongeurs) ont également élu domicile dans cette région polaire reculée.
Autre faune datant de millions d’années
On a également trouvé de l’ADN de fourmis, d’oies et de crabes qui vivaient autrefois dans ce qui est maintenant un désert peu habité.
Voyage dans le temps
La grande réussite de toutes ces découvertes (rendues publiques dans un article de la revue scientifique ‘Nature’) est d’avoir pu remonter aussi loin que possible dans le temps (soit deux millions d’années) en analysant l’ADN d’échantillons de pergélisol lorsque cet horizon blanc était encore vert.
Un ADN plus ancien que celui des mammouths
Ce qui a été analysé dans le nord du Groenland est le plus ancien ADN connu jusqu’à ce jour. Il est beaucoup plus vieux que le génome du mammouth (1 200 000 ans) qui avait été découvert par des scientifiques du Centre de paléogénétique de Stockholm en 2021.
Regarder au-delà
En réalité, après ce voyage dans le passé, le ‘New York Times’ a révélé qu’un autre projet était déjà en cours pour remonter encore plus loin : trouver de l’ADN d’il y a cinq millions d’années ! Mais, où les échantillons seront-ils cette fois collectés ?
Explorer la glace du Canada
Au Canada bien sûr ! Grâce à ces échantillons, les scientifiques espèrent trouver des traces de ce qu’était la vie sur terre il y a cinq millions d’années.
De l’ADN de dinosaure ?
Toutefois, pour obtenir de l’ADN de dinosaure, il faudrait trouver du ‘matériel’ datant de cinq millions d’années ou plus et, selon les chercheurs, c’est quasi impossible.
Des pistes pour résoudre la crise climatique
Des études comme celle-ci indiquent que d’autres changements climatiques radicaux ont eu lieu. Et ils peuvent nous aider à mieux comprendre notre planète et peut-être même résoudre la crise environnementale dans laquelle nous nous trouvons.
La vie nous réserve pleins de surprises
Des découvertes comme celle du Groenland confirment que l’histoire de la planète regorge de changements et de surprises. Andrew Christ, géoscientifique à l’université du Vermont, a tenu les propos suivants au ‘New York Times’ : « La vie va s’adapter, mais d’une manière inattendue ».
Sujet existentiel d’ une extrême gravité. Force est de constater que comme le bon sens, l’ éthique s’ en enfuie à tire d’ aile loin des effluves de ce marécage putride.
Les AUTOPROCLAMÉS » penseurs et philosophes » de pacotille sont étrangement silencieux sur un sujet dont ils ne mesurent pas la profondeur, et dont ils ne soupçonnent même pas l’ existence. Leur lâcheté n’ a d’ égal que leur mercantilisme, et leur haine de ce qui est beau, de ce qui est bon, de ce qui est amour et générosité.
Dans tous les cas de figure, toucher à l’ essence de la vie est l’ essence même du CRIME ! Des OGM aux Guidestones en passant par l’ AVORTEMENT on assiste au même CRIME contre L’ HUMANITÉ !
Qui leur a accordé le droit de s’ approprier ce qui relève du VIVANT ? A quel titre se permettent ils de MODIFIER des séquences de la vie ??? Quel fou les a autorisé à BREVETER et à s’ APPROPRIER des organismes vivants, tels que les VIRUS ou les SEMENCES ? Qui les a AUTORISÉ à en faire du commerce ?
La vie c’ est l’ ŒUVRE de Dieu dont est issue l’ Humanité !!! Ce n’ est pas celle des marchands du temple !!!
C’est toute la différence entre eux et nous. Nous, nous respectons la vie, nous vénérons le sacré, nous adorons les enfants. Eux brûlent des cathédrales, Eux tuent les enfants dans le ventre de leur mère et altèrent l’ ADN Humain ! Ils enfoncent leurs crocs venimeux au plus profond de la source de la vie.
Les extraterrestres cherchent-ils à améliorer notre patrimoine génétique ?
Selon les partisans de la théorie des anciens astronautes, les premiers hommes se seraient accouplés avec des êtres d’origine extraterrestre. L’ADN humain aurait été analysé sous toutes les coutures et il semble ou tout du moins, selon certains, qu’un changement de 7% aurait été observé. 7% ce n’est pas grand-chose, mais ça peut tout changer et cela prouverait que notre ADN aurait pendant une brève période, changé de façon significative. Voilà comment en venir à la conclusion suivante : nous serions la descendance d’accouplements entre extraterrestres et humains.
Ishtar…représentation plus récente pour une fête se situant à …Pâques!
Il est vrai que de nombreuses cultures et autres mythologies, des légendes s’approchant de cette théorie y sont inscrites à l’encre rouge. Mais cela est-il vraiment crédible ? Si cela s’avérait exact, quel aurait réellement été le but de ces extraterrestres ? En tant qu’humains, nous sommes relativement insignifiants, du moins à ce qu’il semble. Dans la bible, ce serait des anges déchus qui auraient copulé avec les filles des hommes, de nombreux écrits se rejoignent donc, à ça près.
Ishtar…venue des étoiles!
On peut se demander alors si ces soi-disant extraterrestres (et/ou intraterrestres) n’auraient pas voulu en s’unissant avec les terriens, manipuler leur ADN de façon à ce qu’il contienne un peu du leur. Mais pourquoi auraient-ils fait cela ? Toujours selon la bible, les enfants nés de ces unions auraient porté le doux nom de ‘’Nephilims’’. S’ils ont réellement existé, il est très clair que nous devrions être capables d’en apporter la preuve. Selon certains, des squelettes à la taille hors norme auraient été découverts, mais aujourd’hui, personne ne sait ce qu’ils sont devenus. Il semble d’ailleurs que des squelettes similaires aient été retrouvés partout à travers le monde. Certains vont plus loin en affirmant que les extraterrestres eux-mêmes auraient provoqué le déluge alors qu’ils se seraient aperçus que leur petite expérience prenait un bien mauvais chemin.
EN COMPLÉMENT:
LES NEPHILIMS
« Les Néphilim étaient sur la terre à cette époque et aussi après, quand les fils de Dieu allèrent vers les filles des hommes et eurent des enfants par elles. » – Genèse 6: 4
Qui étaient les « fils de Dieu »? C’étaient des anges et ils se sont alliés à des femelles humaines (« filles d’hommes ») pour créer une race hybride d’anges humains (les Nephilim), dont certains sont réputés être encore en vie de nos jours. A quoi ressemble le sexe avec des anges? On dit qu’une fois ange, on ne retourne jamais à l’homme. Avoir des relations sexuelles avec des anges est-il dangereux? Y a-t-il une vérité derrière la rumeur selon laquelle les anges sont obsédés par les cheveux des femmes, comme l’a suggéré saint Paul? Le sexe avec des anges est-il le sexe le plus pur ou le plus sale?
Aujourd’hui, de nombreux témoins affirment avoir été enlevés par des extraterrestres. Qu’en est-il vraiment ? Quel intérêt auraient-ils à faire cela ? Certains disent également avoir été approchés par des succubes, elles auraient toujours selon eux, eu des rapports sexuels avec eux. Tous les témoignages se regroupent d’une certaine façon puisque tous relatent avoir retrouvé un seul cheveu blonds sur leur drap. L’un d’entre eux aurait d’ailleurs été analysé en laboratoire, il aurait subi une analyse ADN et le résultat aurait été plutôt inhabituel car le cheveu était transparent. L’être dont il dépendait aurait été très clair et aurait sans aucun doute eu les yeux bleus, comme le stipulent tous les témoins. L’ADN en somme n’était absolument pas naturel.
Marduk
Que croire alors ? Les extraterrestres enlèvent-ils des humains pour accomplir sur eux de mystérieuses expériences ? Est-il vrai qu’ils volent également des fœtus à certaines femmes enceintes ? Que feraient-ils de ces fœtus ? Des expériences sur leur ADN ? Des clonages ? Un homme raconte avoir vu à deux reprises une extraterrestre. La première fois, il aurait couché avec un succube et la deuxième fois, il l’aurait de nouveaux aperçu mais cette fois-ci avec la créature, une enfant. Selon ses dires, il aurait tout de suite compris qu’un lien fort l’unissait à l’enfant et pour cause, puisque elle aurait été la sienne.
Nous allons répondre à ces questions qui originent de la Grande Prophétie et qui nous influencent davantage depuis le 21 décembre 2012!
DANS L’ANCIENNE MÉSOPOTAMIE …UNE ÉTUDE RATIONNELLE
La sexualité était au cœur de la vie dans l’ancienne Mésopotamie, une région du Proche-Orient ancien souvent décrite comme le berceau de la civilisation occidentale, correspondant à peu près à l’Irak moderne, au Koweït et à certaines parties de la Syrie, de l’Iran et de la Turquie. Ce n’était pas seulement ainsi pour les humains ordinaires mais pour les rois et même les divinités.
Les divinités mésopotamiennes ont partagé de nombreuses expériences humaines, avec des dieux se mariant, procréant et partageant des tâches domestiques et familiales. Cependant, lorsque l’amour échouait, les conséquences pourraient être terribles au ciel et sur la terre.
Les érudits ont observé les similitudes entre la «machine à mariage» divine trouvée dans les œuvres littéraires anciennes et la parade historique des mortels, bien qu’il soit difficile de les démêler, plus particulièrement dans les soi-disant «mariages sacrés», qui ont vu les rois mésopotamiens épouser des divinités. .
Sexe divin
Les dieux, étant immortels et généralement d’un statut supérieur à l’être humain, n’avaient pas strictement besoin de relations sexuelles pour maintenir leur population, mais les aspects pratiques de la question semblent avoir peu contribué à freiner leur enthousiasme.
Les relations sexuelles entre divinités mésopotamiennes ont inspiré une grande variété de récits. Ceux-ci incluent des mythes sumériens tels qu’Enlil et Ninlil et Enki et Ninhursag , où il a été démontré que les interactions sexuelles compliquées entre divinités impliquaient la duperie, la tromperie et le déguisement.
La déesse Ishtar telle que représentée dans Mythes et légendes de Babylone et d’Assyrie, 1916, de Lewis Spence.
Dans les deux mythes, une divinité masculine adopte un déguisement, puis tente d’obtenir un accès sexuel à la divinité féminine – ou d’éviter la poursuite de son amant. Dans la première, la déesse Ninlil suit son amoureux, Enlil, jusqu’aux Enfers, et cherche des faveurs sexuelles pour obtenir des informations sur l’endroit où se trouve Enlil. La présence d’une fausse identité dans ces mythes est utilisée pour faire le tour des attentes de la société en matière de sexe et de fidélité.
La trahison sexuelle pourrait être condamnée, non seulement pour les amants errants, mais pour l’ ensemble de la société . Lorsque la reine des enfers, Ereshkigal, est abandonnée par son amant, Nergal, elle menace de ressusciter le cadavre s’il ne lui est pas rendu, faisant ainsi allusion à son droit à la satiété sexuelle.
La déesse Ishtar fait la même menace face à un rejet romantique du roi d’Uruk dans l’épopée de Gilgamesh. Il est intéressant de noter qu’Ishtar et Ereshkigal, toutes deux soeurs, utilisent l’une des menaces les plus puissantes à leur disposition pour résoudre les problèmes du cœur.
Ancienne empreinte de sceau de cylindre sumérien montrant Dumuzid en train d’être torturé aux enfers par les galla…des démons.
Les intrigues de ces mythes mettent en évidence le potentiel de tromperie pour créer une aliénation entre les amoureux pendant les parades. Le parcours amoureux de ces mythes et son utilisation complexe de l’imagerie littéraire ont établi des comparaisons savantes avec les travaux de Shakespeare .
Poésie d’amour
Les auteurs anciens de la poésie d’amour sumérienne, décrivant les exploits de couples divins, montrent une richesse de connaissances pratiques sur les étapes de l’excitation sexuelle féminine. Certains chercheurs pensent que cette poésie a toujours eu un but éducatif: enseigner aux jeunes amants inexpérimentés de l’ancienne Mésopotamie les relations sexuelles. Il a également été suggéré que les textes avaient des objectifs religieux, voire une puissance magique .
Plusieurs textes parlent de la cour d’un couple divin, Inanna (l’équivalent sémitique d’Ishtar) et de son amant, la divinité des bergers Dumuzi. La proximité des amants est illustrée par une combinaison sophistiquée de poésie et d’images sensuelles, ce qui constitue peut-être un exemple édifiant pour les nominés de Bad Sex in Fiction de cette année .
*Représentation d’Ishtar retrouvée à Babylone.
Dans l’un des poèmes, des éléments de l’excitation sexuelle de l’amante sont répertoriés, de la lubrification accrue de sa vulve au «tremblement» de son point culminant. Le partenaire masculin est présenté se délectant de la forme physique de son partenaire et lui parlant gentiment. La perspective féminine sur l’amour est soulignée dans les textes à travers la description des fantasmes érotiques de la déesse. Ces fantasmes font partie des préparatifs de la déesse en vue de son union et contribuent peut-être à sa satisfaction sexuelle.
Dans l’un des poèmes, des éléments de l’excitation sexuelle de l’amante sont répertoriés, de la lubrification accrue de sa vulve au «tremblement» de son point culminant. Le partenaire masculin est présenté se délectant de la forme physique de son partenaire et lui parlant gentiment. La perspective féminine sur l’amour est soulignée dans les textes à travers la description des fantasmes érotiques de la déesse. Ces fantasmes font partie des préparatifs de la déesse en vue de son union et contribuent peut-être à sa satisfaction sexuelle.
Le «Burney Relief», censé représenter soit Ishtar, la déesse de l’amour et de la guerre mésopotamienne, ou sa sœur aînée Ereshkigal, reine des enfers (environ le XIXe ou le XVIIIe siècle av. J.-C.).
Bonne déesse, heureux royaume
Le sexe divin n’était pas l’apanage des dieux, mais pouvait aussi impliquer le roi humain. Peu de sujets de Mésopotamie ont autant captivé l’imagination que le concept de mariage sacré. Dans cette tradition, le roi historique mésopotamien serait marié à la déesse de l’amour, Ishtar. Il existe des preuves littéraires de tels mariages remontant à la Mésopotamie très tôt, avant 2300 av. J.-C., et le concept a perduré bien plus tard.
La relation entre les rois historiques et les divinités mésopotamiennes était considérée comme essentielle au maintien de l’ordre terrestre et cosmique. Pour le monarque mésopotamien, la relation sexuelle avec la déesse de l’amour impliquait donc probablement une certaine pression.
Statuette d’une femme nue, peut-être la Grande Déesse de Babylone (ou Ishtar). De la nécropole de Hillah, près de Babylone.
Certains érudits ont suggéré que ces mariages impliquaient une expression physique entre le roi et une autre personne (telle qu’une prêtresse) qui incarnait la déesse. L’opinion générale est à présent que s’il s’agissait d’un acte physique relatif à un rituel du mariage sacré, il aurait été conduit de manière symbolique plutôt que charnelle, le roi partageant peut-être son lit avec une statue de la divinité.
L’imagerie agricole était souvent utilisée pour décrire l’union de la déesse et du roi. Le miel, par exemple, est décrit comme doux comme la bouche et la vulve de la déesse.
«Dans la chambre à coucher dégouttant de miel, laissez-nous profiter encore et encore de votre charme, de la douceur. Lad, laisse-moi te faire les choses les plus douces. Mon précieux chéri, laisse-moi t’apporter du miel. »
Le sexe dans cette poésie d’amour est décrit comme une activité agréable qui renforce les sentiments amoureux d’intimité. Ce sentiment de proximité accrue a été considéré comme apportant de la joie au cœur de la déesse, résultant en une fortune et une abondance pour toute la communauté – illustrant peut-être une première version mésopotamienne de l’adage «épouse heureuse, vie heureuse».
La présentation diversifiée du sexe divin crée en quelque sorte un mystère autour des causes de l’accent culturel mis sur la copulation cosmique. Alors que la présentation du sexe divin et du mariage dans l’ancienne Mésopotamie servait probablement de nombreux objectifs, certains éléments des relations intimes entre dieux témoignent d’un report aux unions mortelles.
Alors que la malhonnêteté entre amants pouvait mener à l’aliénation, les interactions sexuelles positives comportaient de nombreux avantages, notamment une plus grande intimité et un bonheur durable.
Chaînon du règne animal ou créé spontanément, l’homme a dû forcément être édité à plusieurs exemplaires, en plusieurs prototypes fort différents et qui n’évoluèrent pas tous selon les mêmes normes.
De plus, notre globe, au cours de son existence, subit vraisemblablement des bombardements radioactifs naturels ou provoqués, générateurs de mutations accélérées ( Les nations dites « atomiques », pour se débarrasser de leurs déchets radioactifs,les jettent clandestinement au fond des océans. Il est à peu près inévitable que des monstres naissent dans les zones infestées. La radioactivité terrestre détermine elle aussi des mutations accélérées et les enfants monstrueux naissent en grand nombre, mais bien entendu, le fait est tenu secret. Des espèces disparurent dans certains points du globe — par exemple le cheval en Amérique – d’autres prirent un caractère anarchique, monstrueux. Une espèce irradiée put subir un développement soudain et extraordinaire de ses facultés intellectuelles : l’homme serait-il le produit d’une de ces heureuses mutations? Une raison milite en faveur de cette thèse : la procréation lente, hasardeuse de l’humanité, contrairement à ce qui se passa pour les autres animaux. Or, on sait qu’une des premières conséquences de l’irradiation est précisément de détériorer l’engendrement. S’il y eut un premier homme — Adam — ou une première femme – Eve – à exemplaire unique et spontané, l’un ou l’autre, pour assurer sa continuité , dut avoir des rapports sexuels, soit avec les animaux dont il était issu, soit avec des animaux d’une espèce différente. On peut admettre que le premier être humain fut hermaphrodite. Cette thèse est d’ailleurs presque classique. S’il y eut plusieurs prototypes humains, ce qui est très probable, ils furent tous obligatoirement dissemblables. De toute façon, de l’exemplaire unique ou des différents prototypes découlèrent naturellement des monstres, et il est intéressant d’étudier si, en cette conjecture, ces monstres eurent un rapport direct avec ceux de la mythologie et, par conséquent, avec les héros et demi-dieux qui jouèrent un rôle énigmatique dans la protohistoire de l’humanité. Pour les biologistes, l’accouplement entre animaux de différentes espèces, s’il est possible en fait, est obligatoirement stérile quant au résultat. Pourtant, certains mettent en doute cette théorie, d’autant qu’elle ne répond à aucun critère scientifique . En 1965, le Pr Henry Harris et le Dr J.F. Watkins d’Oxford ont localisée la fusion des cellules d’hommes et de souris, et obtenu des cellules hybrides. D’autres mariages ont réussi entre espèces et entre ordres différents. Ainsi, au niveau cellulaire, l’hybridation entre mammifères et poissons, et peut-être entre oiseaux et plantes est possible. Le ménage cellulaire a reçu le nom de « hétérokaryon ».
Il est certain que de nombreuses expériences ont été tentées entre des animaux inférieurs : souris, chats, cobayes, etc., mais jamais, semble-t-il, entre des animaux et des êtres humains. Il n’est pas du tout exclu qu’une femme puisse avoir des enfants à partir d’un animal mâle, et l’aventure de Thérèse X. à Vichy, semble en fournir la preuve. La jeune fille (seize ans) vivait avec son père et un petit singe dans une roulotte stationnant sur un terrain vague. Un jour, Thérèse se trouva enceinte, et les gendarmes, soupçonnant peut-être une affaire d’inceste, firent une enquête discrète. Le père de la jeune fille, homme fort ignorant mais d’esprit très chrétien, fut rapidement mis hors de cause, d’autant qu’il croyait très sincèrement que par l’opération du Saint-Esprit, exactement comme à Bethléem (et pourquoi pas?), son humble roulotte allait être honorée d’une naissance miraculeuse ! .Enfin, la fille accoucha normalement… mais ce fut un monstre à la fois singe et homme qu’elle mit au monde. L’être était non seulement vivant mais parfaitement viable. Thérèse avoua alors ses amours coupables avec le singe, si bien que le produit du couple fut supprimé par piqûre quelques jours après sa naissance. Le Dr T…, de Vichy, fit des études sur le monstre; son rapport scientifique et l’enquête judiciaire sont conservés aux archives de la ville. Le problème de l’hybridation animale serait donc remis en question; d’autre part, ce qui est vrai pour les animaux en général ne l’est peut-être pas pour l’homme en particulier, celui-ci jouissant, à n’en pas douter, d’un privilège exceptionnel qui s’exprime par son psychisme, son intelligence, et peut-être par ses facultés de reproduction. On pourrait aussi spéculer sur le fait que les hommes venus d’une autre planète, qui firent des enfants aux Terriennes, n’étaient peut-être pas exactement conditionnés comme nous? Il n’est pas impossible, par surcroît, que leurs connaissances scientifiques leur aient donné le pouvoir d’assurer des procréations entre humains et animaux, par exemple à titre expérimental.
Si nos modernes cosmonautes atterrissent un jour sur une planète où la vie humaine normale est soumise à des obstacles majeurs, il est permis de penser qu’ils essaieront par insémination artificielle de créer sur cette planète une espèce hybride, mi-terrestre, mi-autochtone? De toute façon, la science du futur vaincra fatalement ce qui est pour le moment une difficulté insurmontable, et le problème des monstres mythologiques eut peut-être une solution favorable en fonction de la science mystérieuse des cosmonautes d’Hyperborée. Les traditions andines assurent que notre humanité descend d’une cosmonaute vénusienne : Orejona, et d’un père qui était un tapir; le biologiste espagnol Garcia Beltran accueille cette assertion avec un certain préjugé favorable.
La Genèse selon le Livre d’Enoch
Dessin mural de Pompéi représentant Parsipaé et son taureau.
L’accouplement entre femmes et bêtes tient une place importante dans les traditions, surtout en Egypte et en Grèce.
L’accouplement de Pasipae avec le taureau fut repris dans toutes les traditions et inspira de grands artistes comme ici Osuna.
La très belle Pasiphaé, en proie à une irrésistible passion érotique, voulut connaître l’amour avec un taureau blanc qui la rendit mère du Minotaure. Les Propoétides se prostituaient à tout venant et ne craignaient pas de provoquer le rut des animaux, ce qui lut — dit-on aussi — le cas des belles Arméniennes et Lydiennes qui consacraient au culte très impudique de la déesse Anaïtis (l’Anahid des Orientaux).
Anaïtis (ou Anahit) Anahit, déesse de la fertilité et des naissances, était la fille (ou l’épouse) du grand dieu Aramazd; elle fut identifiée avec Artémis ou Aphrodite. Tête d’Anahit Timbre à l’effigie d’Anahit La « Grande Dame Anahit » était l’une des déesses les plus aimées et honorées du panthéon arménien; elle était souvent représentait avec un enfant dans ses bras, et la tête revêtue de la coiffe particulière aux femmes arméniennes; elle était aussi considérée comme une déesse guerrière et une déesse de l’eau. Les temples dédiés à Anahit étaient établis à Armavir, Artashat, Ashtishat. Strabon raconte que la prostitution sacrée avait lieu dans ces sanctuaires mais les écrivains chrétiens locaux n’en parlent pas. D’après Plutarque le temple d’Eriza était le plus riche et le plus réputé d’Arménie avec une magnifique statue en or de la déesse. Cette statue fut mise en pièces par les armées de Marc-Antoine mais elle fut remplacée par une nouvelle statue et vénérée jusqu’à l’investiture de Grégoire l’Illuminateur, le premier catholicos de l’Arménie en 314.
Dans la grotte magdalénienne de Lussac-les-Châteaux (Vienne), furent trouvés des galets à représentation humaine, où l’on voit des hommes dont la tête a un caractère canin nettement accusé. Sans doute aussi faut-il accorder une particulière attention au chapitre LXXXIV (section 17) du Livre d’Enoch, où l’auteur décrit, d’après une vision, de très ( (ranges scènes de procréation : 2. – Voici un taureau sortant de la terre, 3. – Et ce taureau était blanc. 4. – Ensuite sortit une génisse et avec elle deux jeunes veaux dont l’un était noir et l’autre rouge. Note : le taureau blanc (couleur de justice) désigne Adam; la génisse est Eve; le veau noir est Caïn; le veau rouge est Abel. Chapitre LXXXV. – Enoch enregistre la prolifération des taureaux, des génisses et poursuit : 6. – Je regardai et admirai ces choses et voici que les taureaux commencèrent à entrer en feu et à monter sur les génisses; celles-ci ayant conçu mirent au monde des éléphants, des chameaux et des ânes… Puis, on trouve la narration d’une bataille entre éléphants, taureaux et autres bêtes, puis l’érection de la tour de Babel, suivie d’une grande confusion terrestre avec aboutissement à Noé et au déluge. Cette genèse, très différente de la genèse biblique, tendrait à faire croire conjointement avec les mythologies qu’il y eut une mystérieuse interférence entre les taureaux et les hommes. Quel que soit le sens que l’on donne aux taureaux et aux génisses, (êtres humains ou animaux véritables), Enoch précise bien que les autres bêtes furent enfantées par eux, qu’ils eurent pour mère soit une génisse, soit, et c’est beaucoup plus probable : une femme. Une tradition des tribus indiennes de l’Amérique du Nord, rapportée par le père Charlevoix, prétend que tous les humains ayant été détruits par un grand cataclysme, Dieu, pour repeupler la terre, avait changé les animaux en nommes. Certes, nous n’accordons pas un grand crédit à ces relations, mais il est curieux de noter que les peuples anciens, à tort ou à raison, ne jugeaient pas impossibles les engendrements entre animaux d’espèces différentes.
Oannès ,le dieu venu de la mer qui enseignait.
Oannès l’initiateur-poisson On ne sait pas si les Chaldéens étaient de même race que les Hébreux — et c’est peu probable — toujours est-il que leurs traditions porteraient à croire qu’un étrange personnage, ni homme ni bête, est leur ancêtre supérieur : Oannès, à la fois dieu et civilisateur des peuples de Babylone (1). (1) Oannès, Oan = Ogen, Okean, Okéanos = Oceanos. C’est le Janus sagace et initié des Romains, et aussi le Prométhée des Grecs. On le représente sous la forme d’un monstre moitié homme, moitié poisson — on a dit aussi moitié grenouille – qui venait de la « mer Érythréenne » (golfe Persique et mer Rouge). Il avait deux têtes, l’une d’homme, l’autre de poisson, des jambes qui s’adaptaient à sa queue et il était doué de parole.
Chaque matin, il sortait de la mer pour venir parmi les humains enseigner les sciences, les arts, les lettres et l’agriculture. En syriaque, Oannès signifie étranger, ce qui renseigne bien imparfaitement sur l’origine de ce dieu grand initié. Était-ce les vêtements d’Oannès qui lui donnaient une ressemblance avec les poissons, ou bien était-il, par quelque miracle incroyable, le résultat d’un croisement monstrueux (1)? (1) Le 1er novembre 1964, une chienne de Courthezon (Vaucluse) a mis bas sept chiots, dont six ressemblent étrangement à des poissons : museau allongé, pas d’oreilles, pattes palmées, corps aminci en fuseau et se terminant en « queue de poisson ». La peau elle-même a l’apparence luisante des écailles. Serait-ce là une preuve de croisement monstrueux ou de mutation fantastique? De toute façon le fait existe, même s’il est inexplicable. Notre logique nous inclinerait plutôt à voir en cet être extraordinaire, s’il a existé, le représentant d’une race extraterrestre venu sur Terre dans un engin spatial, analogue à un sous-marin, ou pouvant se comporter après atterrissage comme une sorte d’habitation sousmarine. En tout cas, il reste que les hommes à constitution physique anormale n’étaient pas faits pour effrayer les peuples anciens, comme si la monstruosité avait été non pas l’exception, mais un phénomène assez commun. De si loin qu’elles surgissent, ces traditions, ces légendes, souvent, forment la substance essentielle à la compréhension de l’histoire inconnue des hommes, même si elles paraissent s’opposer aux lois scientifiques d’une évolution universelle beaucoup plus aventureuse qu’on le croit ! Car enfin, si le monde a été détruit plusieurs fois, si des déluges ont noyé l’humanité, comment l’évolution aurait-elle pu se poursuivre sans altérations profondes? Altérations que d’ailleurs on trouve à profusion dans tous les règnes ! Les monstres, les bêtes fantastiques, les hommes physiquement extraordinaires ne pourraient-ils trouver une place logique, rationnelle dans l’acheminement de la matière, de l’intellect et du psychisme vers le dernier maillon actuel de la chaîne : l’homme ! Est-il insensé de croire que lors de la création des premiers hommes, certains mutants doués d’intelligence et peut-être de perversion engagèrent avec l’homo sapiens une lutte implacable dont l’enjeu était la suprématie terrestre? La Bête Fantastique Les traditions de tous les pays rapportent que des géants ou que des bêtes monstrueuses, parfois semi-humaines, parfois entièrement animales, exigeaient des rançons de jeunes garçons ou de jeunes vierges, ou décimaient les populations. On peut se demander jusqu’à quel point ces monstres : Minotaure, Sphinx, Volta, géants, dragons ou créatures sataniques, pouvaient perpétuer le souvenir d’un très antique fléau. Dans le labyrinthe de la mort, les hommes normaux finirent par l’emporter sur la Bête Fantastique, l’évolution humaine put s’opérer librement et le peuplement du globe acquérir un rythme naturel. La Bête Fantastique des Anciens était-elle un symbole, un mutant redoutable, une véritable bête ou un pollen de mort?
Sous le voile de la fable et de la légende, se cache une vérité que nous craignons d’identifier. La mémoire des hommes n’a le pouvoir de conserver exact un souvenir que durant une quarantaine d’années; plus loin dans le temps, les faits commencent à se déformer et entrent peu à peu dans la légende. Les guerres napoléoniennes seraient depuis longtemps devenues des chansons de geste, si les chroniqueurs ne les avaient consignées par écrit. Le souvenir des monstres semi-humains est donc entré dans un merveilleux où il sied de discerner la parcelle de vérité initiale. La formidable Bête de Gévaudan n’était même pas un loup ordinaire, mais un gros chat ou loup-cervier ! La bataille titanesque qui opposa Roland aux Sarrasins dans le défilé de Roncevaux fut tout au plus une escarmouche ! En général, les petits faits anciens sont démesurément grossis, mais s’ils ont été démesurément importants, il arrive, au contraire, qu’ils soient relativement minimisés. Par exemple, la guerre des Titans contre Zeus, qui ébranla l’Olympe et fit trembler les dieux, fut vraisemblablement un cataclysme universel où sombra une grande partie de l’humanité ! Entre ces extrêmes, quelle valeur doit-on donner aux monstres antiques? Et notamment aux Cyclopes, Minotaures, Titans, Gorgones, Faunes, Anges, Ogres, Hydres, au Léviathan et au Béhémoth des mythologies et des traditions? Le docteur américain I. Velikovsky a prouvé – et personne ne songerait à le contredire – que le déluge date approximativement de l’an 1500 av. J.-C. et qu’un cataclysme universel, un passage de comète pense-t-il, troubla profondément la Terre 1 500 ans avant notre ère. Dans la pensée d’Aristote, notre système solaire était régulièrement perturbé et remis en place au cours de « l’Année suprême », laquelle comportait un grand hiver dit Kataklusmos (déluge, catastrophe) et un grand été appelé ekpyrosis (incendie), ce qui rejoint l’explication de I. Velikovsky = déluge universel et incendie du monde. Les monstres mythologiques datant du dernier déluge auraient-ils été engendrés à la suite des irradiations produites par le passage d’une comète? La Bible ne faisant pas état de cette prolifération de bêtes extraordinaires, nous pensons devoir reporter leur apparition avant le déluge, c’est-à-dire à l’époque indéterminée (on a avancé le chiffre de 9 000 années) où, selon nos hypothèses, le globe aurait été atomisé en Amérique et dans le désert de Gobi. Ensuite, les quelques rescapés de la catastrophe, irradiés, auraient pu engendrer des monstres et leur disputer le droit de survivre. Peut-être même, s’ils furent très peu nombreux, durent-ils, pour perpétuer leur race, avoir des relations sexuelles avec des animaux? Les monstres sont-ils plus anciens encore? Datent-ils des temps primhistoriques où l’homme fut créé par mutations exceptionnelles? Il est difficile de le croire, car le souvenir en serait tellement lointain que la mémoire n’eût pu en garder la moindre trace. Si nous ne sombrons pas à la façon des exégètes classiques qui font de la Terre le centre du monde, nous pouvons essayer une meilleure explication ! Les géants Pourquoi ne pas continuer à envisager que la Terre a été une sorte de parc zoologique et de jardin des plantes d’une humanité extraplanétaire? Comme tout alors s’enchaîne, s’éclaire et devient logique : des commandos d’hommes venus d’une autre planète atterrissent sur notre globe, apportent une civilisation, des semences de plantes inconnues, des spécimens d’animaux qu’ils espèrent acclimater. 104 Certes, ils trouvent des Terriens et essaient, soit de les coloniser, soit de s’intégrer à eux, mais non sans risques, sans payer la dîme du sang, car ces cosmonautes ne sont pas biologiquement identiques à nous. Leur union avec les femmes des hommes produira donc des enfants plus grands que la normale terrestre, soit, avec le grossissement du temps : des géants. L’existence de ces géants avant le déluge dit universel est attestée par tous les peuples anciens (1). (1) On a trouvé dans une grotte d’Alguetca, près de Mangliss (II.R.S.S.) des squelettes d’hommes mesurant 2,80 m à 3 mètres (l’ouilles du Caucase – 1964). D’après une tradition des Indiens Cholula, consignée dans un manuscrit du Vatican, « avant la grande inondation qui eut lieu 4 008 ans après la création du monde, le pays d’Anahuac était habité par des géants; tous ceux qui ne périrent pas furent transformés en poissons… ». En Egypte, « les géants étaient en guerre contre les hommes et émigrèrent en revêtant des formes d’animaux ». Les rabbins juifs ont essayé d’établir, d’après des souvenirs trop lointains pour être précis, que la taille du premier homme atteignait plusieurs centaines de pieds. La Bible parle longuement des géants et notamment du dernier d’entre eux, le roi de Basan, Og, qui périt dans sa lutte contre Moïse. Cet Og, semi-légendaire, dut avoir des descendants puisque les Hébreux eurent encore de longues guerres à soutenir contre eux. Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une taille colossale, et les Nordiques, se référant à des traditions hyperboréennes, disent que les premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes. Toutefois, compte tenu de « l’agrandissement » qui est un fait habituel à la légende, à l’imagination et au temps, on doit penser que ces géants antiques ne mesuraient guère plus de deux mètres. Les fantastiques géants de Nicolas Henrion ! Un numismate et historien du XVIIe siècle, Nicolas Henrion, fit à ce sujet une étude curieuse mais dénuée de fondements sérieux, que nous rapportons pour son pittoresque. D’après une certaine loi de décroissance, Henrion déterminait, disait-il, avec une exactitude rigoureuse, les variations de la taille des hommes depuis leur création originelle. Il en résulterait qu’Adam « avait dû avoir » 123 pieds 9 pouces (soit environ 49 mètres!), Noé 103 pieds, Abraham 27, Moïse 13, Hercule 10, Alexandre 6, César 5, etc.
Les géants d’Hyperborée
La mythologie grecque donne une indication, qui tendrait à accréditer la thèse d’hommes extraplanétaires plus grands et plus intelligents que les hommes de la Terre. En effet, les géants étaient invincibles et les dieux mêmes ne pouvaient les vaincre qu’avec le secours des mortels, ce qui, en tenant compte de l’exagération, pourrait fort bien se rapporter à des êtres beaucoup plus civilisés que les Terriens et paraissant de ce fait invulnérables. A l’appui de cette thèse, nous rappelons que les Nordiques situent la patrie des géants vers cette Thulé où, pense-t-on, durent atterrir les premiers êtres venus d’une planète, car les
Hyperboréens selon les traditions celtiques et Scandinaves fournirent la race des hommes supérieurs qui sombra avec leur continent, quand se produisit le cataclysme atomique américain et asiatique. Les géants hyperboréens auraient actuellement une descendance avec les « sumotori » (lutteurs de sumo) qui, au Japon, sont des personnages de haute popularité se situant, dans la hiérarchie, immédiatement après les dieux et l’empereur. Leur force est prodigieux, leur poids peut atteindre 200 kg et leur taille 2,40 m. Au début, écrit l’historien Pierre Darcourt, les sumotori se recrutaient chez les géants Aïnous à la peau claire (1). (1) Le Monde et la Vie, N° 141, février 1965. Les Aïnous sont des Blancs, des proto-Caucasiens, qui auraient émigré à travers la Sibérie. Leur dieu « Kamu » englobait le soleil, le vent, l’océan et l’ours. Ces montagnards de l’Hokkaïdo, velus, lourds et puissants, buveurs d’alcool chaud, étaient de formidables lutteurs… Les autres Japonais, de teinte cuivrée, seraient originaires des îles polynésiennes, de la Malaisie et de la Chine. Ils avaient, grâce à leur science et à leurs armes perfectionnées, vaincu les géants. Les vainqueurs, poursuit Pierre Darcourt, avaient emporté en croupe, vers le sud, les belles femmes blanches (de leurs adversaires) et de leurs accouplements étaient nés des géants asiates qui devinrent les premiers gardes du corps de l’empereur. Selon cette thèse, le Japon du Nord pourrait donc être considéré comme étant l’Extrême-Occident du globe avec ses autochtones hyperboréens, ou peut-être encore comme un îlot préservé de l’antique terre de Mû dont les habitants étaient de même race extraterrestre que ceux d’Hyperborée. Il ne s’agit là que d’un indice, mais qui s’ajoute à une foule d’autres et milite dans le sens de notre hypothèse d’ancêtres supérieurs venus de Vénus ou d’une étoile. De ces Hyperboréens extraplanétaires, auraient découlé en premier lieu les « hommes géants et fameux » cités par la Bible et enfin, par altération, accouplements monstrueux (les fils du Ciel dévoyés de la Genèse) ou irradiation, les monstres semi-humains de la légende et les géants à forme animale qui « émigrèrent en Egypte ». A moins de nier purement et simplement l’existence des géants et des monstres antiques, et alors il faut réfuter la Bible, les Apocryphes et toutes les traditions, nous ne concevons aucune autre explication rationnelle à opposer à cette interprétation. mes-taureaux (le Minotaure), ces faunes à jambes de bouc, ces sphinx à tête de femme, ces gorgones, ces sirènes, etc. Les géants de la Bible Les géants, d’après la Bible, étaient bien des êtres supérieurs puisqu’ils engendrèrent l’élite des peuples : rois, héros, initiés. C’est ce que relate la Genèse, chapitre VI, verset 4 : Or, il y avait des géants sur la terre en ce temps-là. Car depuis que les enfants de Dieu eurent épousé les filles des hommes, il en sortit des enfants qui furent des hommes puissants et fameux dans le siècle. Nous voilà donc avec une explication sur les géants qu’il suffit d’appliquer au règne animal pour avoir la clef de l’énigme.
En premier lieu, ces « enfants de Dieu » venus sur Terre pour voler les filles des hommes ou violer leurs épouses ne forniquèrent-ils pas avec certaines bêtes? De nos jours encore, ces pratiques anormales sont courantes chez les obsédés sexuels et à plus forte raison le furent-elles chez des êtres sans doute sevrés d’amour depuis fort longtemps ! Les cosmonautes purent fort bien engendrer des enfants monstrueux, mi-hommes mi-chevaux ou mi-hommes mi-vaches… Par ailleurs, le cheptel animal qu’ils lâchèrent dans la nature terrestre dut avant de disparaître ou de s’acclimater, et à la suite de croisements naturels perturbés ou d’accouplements extraordinaires, passer par des stades d’où la monstruosité physique découlait obligatoirement. Et voilà peut-être expliqué à la fois ces humains géants, ces hommes-chevaux (les centaures), ces hommes-taureaux (le minotaure), ces faunes à jambes de bouc, ces sphinx à tête de femme, ces gorgones, ces sirènes, etc…
Les monstres contre les hommes A corps monstrueux, esprit tortueux, dit la sagesse populaire ! Ces êtres déformés par la légende, car le Minotaure, par exemple, n’était sans doute qu’un géant à mufle de taureau, ou bien ces mutants, pour reprendre aussi la thèse de l’irradiation, voulurent-ils jouer un rôle dans la société? C’est probable, et ils trouvèrent alors, dans les êtres normaux,- des adversaires décidés à préserver leurs prérogatives et leur race. D’où une guerre quasi fratricide qui, durant de longues années, endeuilla l’humanité. Les monstres avaient pour eux la force, la brutalité, au service d’une intelligence bornée… Les hommes avaient moins de force physique, mais une intelligence plus subtile, et ils étaient le nombre. Les « Bêtes mythologiques » firent de la jeunesse humaine un carnage rappelé par les sacrifices, les tributs de sang frais, mais finalement, les héros, entendez par là les « Géants », fils des extraplanétaires et des filles des hommes, eurent raison de la tyrannie des êtres anormaux. Peut-être aussi pouvons-nous penser qu’en souvenir impérissable de la grande bataille des temps antiques, les hommes vainqueurs érigèrent les seize cents monstres énigmatiques du Temple de Karnak, et à l’ouest des Pyramides de leurs connaissances, la statue colossale de l’ennemi héréditaire vaincu : le Sphinx . Quelle magnifique épopée pour les bardes antiques et comme on comprend l’enthousiaste métamorphose qu’ils firent des événements ! Les héros victorieux furent certainement promus demi-dieux, mais la vérité nichait au fond de l’affabulation ! Exhortation du Dieu jaloux La Bible nous apporte à ce sujet des précisions du plus haut intérêt. Dans Exode (chap. XXXIV) le Seigneur, qui se nomme lui-même le Dieu jaloux, fait ses recommandations aux Hébreux. 15. — Ne faites point alliance avec les habitants de ce pays-là… 16. – Vous ne ferez point épouser leurs filles à vos fils…
24. – Car lorsque j’aurai chassé les nations de devant votre face, et que j’aurai étendu les limites de votre pays… Il s’agit, bien entendu, de montrer l’alliance du Seigneur avec les tribus d’Israël, mais un peu plus loin, dans Lévitique (chap. XVIII) Dieu donne une étrange raison qui fait des Hébreux le « Peuple élu » : 22. – Vous ne commettrez point cette abomination où l’on se sert d’un homme comme si c’était une femme. 23. – Vous ne vous approcherez d’aucune bête, et vous ne vous souillerez point avec elle. La femme ne se prostituera point aussi en cette manière à une bête, parce que c’est un crime abominable. 24. – Vous ne vous souillerez point par toutes ces infamies dont se sont souillés tous les peuples que je chasserai devant vous. Voilà qui est nettement formulé et d’une importance primordiale pour l’évolution humaine : il fut un temps, après le déluge, où il était de pratique générale, pour les hommes et pour les femmes, de se prostituer avec des animaux. En résulta-t-il quelque engendrement monstrueux? La Bible semble muette à ce sujet, mais la mythologie grecque accréditerait le fait.
EN CONCLUSION
LAISSONS PARLER ZECHARIA SITCHIN
Un des récits les plus énigmatiques (et théologiquement difficiles) de la Bible est raconté dans les premiers versets du chapitre 6 de la Genèse – le récit des Néfilim, fils des dieux qui (dans les jours précédant le Déluge «et par la suite aussi») ont pris «des filles de l’homme» comme épouses et ont eu des enfants héroïques par elles.
Il y a quelque quatre-vingts ans, un écolier, heureux d’étudier la Bible dans son hébreu original, a été réprimandé pour avoir demandé pourquoi, alors que Néfilim voulait dire «Ceux qui étaient descendus» (du ciel à la terre), les traducteurs traduisaient le mot en «géants». L’écolier, c’était moi et la réprimande injuste m’a amené à étudier les mythes anciens, à remonter à la première civilisation connue de l’homme à Sumer et à écrire The 12th Planet.et des livres ultérieurs comprenant le scénario «Anciens astronautes»: Les Néfilim, également appelés Anakim dans la Bible, étaient les Anunnaki sumériens – «Ceux qui sont venus sur Terre sont venus du ciel» – et plus précisément de Nibiru, une planète lointaine dans notre propre système solaire.
C’étaient les anciens dieux dont les exploits, détaillés dans des textes sumériens inscrits sur des tablettes d’argile, étaient rappelés dans les récits de la Genèse d’Adam et Eve, du Jardin d’Éden et des mariages ultérieurs. Cela avait du sens (du moins pour moi); il expliquait des énigmes allant de la biologie à l’astronomie; elle était appuyée par d’innombrables représentations picturales sur des objets appelés sceaux de cylindre. Mais pourrait-on le prouver?
À la même époque, il y a quelque quatre-vingts ans, le célèbre archéologue britannique Leonard Woolley, lors d’une fouille en Irak dans l’enceinte sacrée d’Ur – la ville sumérienne où le voyage d’Abraham à Canaan et le monothéisme – découvrit un groupe de tombes inhabituelles. Ils étaient et restent extraordinaires par leur construction et leur tracé, étonnant par la richesse incroyable et la fabrication artisanale des artefacts trouvés dans cet endroit (même les ustensiles les plus courants étaient en or) et surtout par l’inhumation de nombreux assistants ( soixante-treize dans une seule tombe!) qui ont été enterrés vivants aux côtés des personnalités décédées – une pratique inconnue à tout moment, avant ou après.
Qui étaient les personnalités si enterrées – au troisième millénaire avant notre ère – dans ce qui a été connu depuis comme les tombes royales d’Ur? Diverses inscriptions les reliaient à la première dynastie d’Ur. Deux des personnalités ont été identifiées par leurs scellés cylindriques comme étant une femelle appelée Nin.Puabi et un mâle Mes.kalam.dug. Leurs restes squelettiques ont été emportés à Londres, passés aux rayons X et examinés pour leurs particularités anthropologiques. Ils ont été répertoriés comme étant les restes d’une « reine » et d’un « prince » de Su-mer – et oubliés.
Mais maintenant, quatre-vingts ans plus tard, les deux événements ont bouclé la boucle et, combinés, constituent la preuve insaisissable d’une présence extraterrestre sur Terre dans le passé antique.
Qu’après trente-cinq ans écoulés depuis La 12ème planètele cycle des données bibliques et le cycle de la découverte scientifique, comme deux roues combinées dans un coffre-fort, entrent en jeu dans l’ouverture du chapitre 6 de Genesis, ce qui n’était ni prévu ni prémédité par moi; mais c’était peut-être prédéterminé et inévitable par la nature même du sujet: les origines humaines.
En regardant en arrière, on s’aperçoit maintenant que les récits de notre création (brève dans la Bible, assez détaillée dans les textes sumériens) sont des récits d’ADN, de génomique et de génie génétique: la «graine de vie» (ADN) est transmise de Nibiru à la Terre lors d’une collision céleste; L’homme est façonné par les Elohim / Anunnaki en ajoutant certains de leurs gènes à ceux d’un hominidé primitif pour atteindre un Homo sapiens; l’hybride stérile a la capacité de procréer par une autre manipulation génétique (l’épisode du «jardin d’Éden»); et puis le cycle est complété par l’accouplement des dieux et des terriens, amenant la réalisation précieuse, les demi-dieux.
C’est avec les demi-dieux que cette chaîne de mélange génétique revêt un intérêt personnel pour nous tous. Les indices sont mis en lumière dans le récit épique de Gilgamesh, le plus célèbre de tous les demi-dieux connus, qui fut roi dans la ville d’Uruk vers 2650 av. J.-C. Son père était le demi-dieu Lugalbanda; mais parce que sa mère était la déesse Ninsun, il était plus qu’un demi-dieu – il était «les deux tiers de lui divin». Cela, croyait-il, lui donnait droit à la longévité (alias «immortalité») des dieux. Mais sa recherche, lui avait-il été prévenu, serait vaine parce que, comme le dit l’épopée de Gilgamesh:
« Quand les dieux ont créé la compréhension de l’homme, ils se sont perfectionnés pour lui;La sagesse qu’ils lui avaient donnée; À lui ils avaient donné la connaissance – la vie éternelle qu’ils ne lui avaient pas donnée. »
À bien y penser, c’est exactement la leçon du conte biblique du jardin d’Éden: après avoir pris part à l’arbre de la connaissance, les terriens sont expulsés et n’ont pas accès à l’arbre de vie.
Qu’est-ce que c’est génétiquement que les dieux nous ont délibérément retenu? Quels gènes qui garantissent la longévité, repoussent le cancer?
Avec les avancées scientifiques révolutionnaires de la génomique, de telles différences génétiques pourraient être vérifiées si nous pouvions mettre la main sur un dieu Anunnaki, ou un demi-dieu, pour effectuer le séquençage du génome de comparaison.
Et cela, je le révèle dans mon dernier livre Il y avait des géants sur la Terre, pourrait maintenant être possible – parce que Mes.kalem.dug était un demi-dieu et que Nin.Puabi n’était pas une « reine » – elle était une NIN, une déesse. Étant une femme, son ADN mitochondrial qui traverse la lignée féminine était 100% nibourien.
Une fois sa lignée établie, j’ai approché le Natural History Museum de Londres. Ils ont confirmé l’existence des restes squelettiques, mais ont rejeté ma suggestion de procéder au séquençage du génome de comparaison. Après deux ans d’incitation, la publication deThere Were Giants a conduit le Musée à atténuer son «non» absolu à «nous pourrions le considérer» si un institut de génomique qualifié entreprend le projet.
J’ai approché certains des scientifiques les plus en vue dans ce domaine, en leur proposant de financer un «projet Goddess of Ur Genome». Il reste donc à voir si la science pourra relever le défi qui consiste à prouver que Il y avait des extraterrestres sur la Terre .
Z. Sitchin, juin 2010
Les géants de Patagonie,aperçus en Amérique du Sud,ne sont pas une illusion.La science officielle ne s’y interresse pas…parce qu’ils dérangent!
Le chercheur en génétique américain Brian Hanley, 60 ans, teste une méthode assez étrange pour tenter de rajeunir. Véritable pirate de la biologie, il a modifié son propre ADN et commandé des copies, qu’il s’injecte depuis dans la jambe. Puis subit un protocole qui consiste à électrocuter la zone de l’injection afin de permettre aux brins d’ADN de pénétrer les cellules de son corps. Reste que cette auto-expérimentation soulève de nombreuses questions éthiques.
Brian Hanley, 60 ans, est un généticien un peu particulier. Il souhaite être le premier être humain à parvenir à rajeunir en s’injectant de l’ADN modifié par ses soins. Il utilise pour cela une méthode expérimentale, dite d’électroporation. Son ADN, qu’il a en quelque sorte piraté, est répliqué selon MIT Technology Review grâce à une entreprise tierce qui propose ce service pour la somme de 10.000 dollars. Son espoir ? Rajeunir !
Un chercheur en génétique s’injecte de l’ADN modifié dans l’espoir de rajeunir
Normalement les recherches actuelles sur les thérapies géniques se concentrent sur l’utilisation d’un vaisseau, généralement un virus, pour insérer voire remplacer les nouveaux gènes directement dans la cellule. Cette méthode, plutôt couteuse, est encore à un stade hautement expérimental. Alors il a opté pour un autre protocole, à la fois plus simple et surtout beaucoup plus douloureux.
Un médecin lui injecte son ADN, une substance visqueuse, directement dans la cuisse. Ensuite, on lui plante deux électrodes tout autour de la zone de l’injection et un courant électrique est appliqué. Cela a pour effet d’ouvrir brièvement la membrane cellulaire, permettant en théorie aux brins d’ADN de pénétrer. Toujours en théorie, cet ADN ne va pas remplacer celui de la cellule.
Mais à l’intérieur, il peut néanmoins commencer à produire des protéines. Celle qu’il recherche, c’est le régulateur de l’hormone de croissance, GHRH qui est normalement sécrété par le cerveau. Sa sécrétion diminue avec l’âge et elle est impliquée dans le système immunitaire, et régule comme son nom l’indique la production d’hormone de croissance. On lui prête aussi des effets sur le vieillissement.
L’effet de cet ADN est temporaire – il finit par être éliminé. Pour vérifier si ça fonctionne son sang est ensuite étudié par des chercheurs de l’université de Harvard. Pour son expérience Brian Hanley a brulé quelques étapes : il est directement passé à l’expérimentation sur lui même, sans même tester la chose sur des cobayes animaux.
La Food And Drugs Administration ne lui a pour cela pas donné d’autorisation. Et s’il a obtenu le soutien de l’Insitute of Regenerative and Cellular Médecine, une institution qui fournit un encadrement éthique aux expérimentations sur l’Homme. Le problème, c’est qu’il précise lui-même avoir menti, en ne précisant pas qu’il allait s’auto-administrer son propre traitement.
Evidemment l’un des risques c’est que l’objectivité de l’étude en soit affectée. Renforcé par un conflit d’intérêt : Brian Hanley est désormais financièrement dépendant des conclusions de son expérience – il n’a pas droit à l’échec, même si celui-ci s’avérait inéluctable. Pour l’instant, les résultats montrent effectivement des niveaux de GHRH élevés suggérant que le traitement a bien eu un effet.
Mais les résultats restent partiels, selon MIT Technology Review. En outre, en l’absence d’une étude scientifique détaillée, il reste difficile d’apprécier l’authenticité des résultats. Nous vous proposons néanmoins de lire l’intégralité de l’article du MIT Technology Review sur le sujet (en Anglais) si vous souhaitez en savoir plus.
D’ici 2020, entre 21 et 26 milliards d’appareils seront connectés à Internet. Pour réussir à entreposer cette énorme quantité de données, des chercheurs en génomique tentent d’utiliser le meilleur outil offert par la nature : l’ADN.
Des relevés effectués par des chercheurs ou des compagnies, comme IBM ou Google, montrent que, chaque année, de nouveaux records sont établis quant à la quantité de données produites.
La technologie actuelle ne permet pas de régler le problème du stockage d’information, compte tenu de l’explosion des réseaux sociaux et de la vitesse à laquelle du nouveau contenu est mis en ligne.
Comme solution, des scientifiques américains se sont tournés vers l’ADN, l’une des façons les plus compactes de stocker de l’information sur Terre. L’ADN est composé de quatre nucléotides, quatre molécules identifiées à l’aide des lettres A, T, G et C, qui s’agencent entre elles pour encoder toute l’information biologique. Leurs travaux ont été publiés dans la revue Science.
Des chiffres et des lettres
La méthode employée pour passer du virtuel au biologique a déjà été testée dans d’autres études : on associe arbitrairement une lettre de l’ADN à une combinaison de 0 et de 1 qui forment les données informatiques, transformant ainsi le biologique en binaire.
Avec cette façon de procéder, les 6 milliards de lettres formant l’ADN humain donnent environ 1,5 gigaoctet de données (un disque Blu-ray contient entre 25 et 50 gigaoctets).
Cela peut paraître peu, mais chaque cellule contient une copie de ce code en son noyau (un noyau cellulaire mesure environ 10 microns). Si on multiplie ce chiffre par les 37 trillions de cellules qui forment un corps humain (37 milliards de milliards), on obtient une quantité de données insensée! Il est donc facile d’envisager que maîtriser l’ADN pour l’informatique réglerait tout problème de stockage actuel.
Un encodage unique, mais coûteux
La méthode employée par les chercheurs s’appelle « encodage par fontaine d’ADN ». Avec cet algorithme, il est possible d’entreposer 215 millions de gigaoctets dans 1 gramme d’ADN.
Ceci est la valeur maximale proposée par leur méthode. L’équipe a toutefois commencé avec un projet plus petit, en encodant plusieurs fichiers pour une valeur de 2,15 mégaoctets.
Ces chercheurs ont d’abord traduit la séquence binaire en séquence d’ADN grâce à leur algorithme. Ils ont ensuite fait synthétiser les brins d’ADN par une compagnie de biotechnologie, qui leur a envoyé le tout par la poste.
Ils ont ensuite reconverti l’ADN en fichiers informatiques, sans qu’aucune erreur ne s’y glisse, ce qui est une première. Rares sont ceux qui ont eu l’occasion de regarder une vidéo sur leur écran d’ordinateur à partir d’un fichier qui, peu de temps auparavant, était stocké dans un agencement de molécules organiques!
Il y a toutefois deux problèmes qui pourraient porter ombrage à cette méthode : son coût et sa vitesse. Il aura fallu 2 minutes 30 et 7000 $ pour encoder un fichier et 9 minutes ainsi que 2000 $ supplémentaires pour le décoder. Il n’est donc pas envisageable que cette technique soit commercialisable sous sa forme actuelle.
Les nouvelles technologies faisant souvent face à des problèmes de coûts, seul le temps nous dira si nous enregistrerons un jour nos fichiers sur des clefs USB à base d’ADN.
Sublimer les seniors, la photographe Jade Beall excelle à ce bel exercice. Sa dernière série est consacrée à un couple de 64 ans chacun, marié depuis 43 ans.
Avec des clichés où les tétons féminins sont cachés pour Facebook, mais pas sur son site, elle publie aussi la lettre de ces deux nouveaux modèles, Lanette et Jim.
La présentation de Jade Beall,sur Facebook:
« We are Lanette and Jim and we are both 64 years old. We’ve been married for more than 43 years. From the beginning of our relationship we have been best friends and lovers, and still enjoy a juicy, active passionate life.
Many young people in our culture (including us when we were young!) think elders are too old for sex, and that elder relationships are dull and boring, devoid of love. Our culture portrays great sex and love and passion as the domain of the young. Only you…
« Depuis le début de notre relation nous sommes à la fois meilleurs amis et amants, et nous profitons encore d’une vie passionnante, active et succulente.
Beaucoup de jeunes dans notre culture (et nous aussi quand nous l’étions!) pensent que les vieux sont trop vieux pour le sexe et que les relations chez les seniors sont ternes et ennuyeuses, dépourvues d’amour. Notre culture dépeint le sexe, l’amour et la passion comme appartenant aux jeunes. Seuls les corps des jeunes seraient beaux.
Maintenant que nous arrivons à l’étape des « vieux », nous savons que cela n’est pas vrai! Même après 43 ans ensemble, nous sommes toujours meilleurs amis et amants. Nous nous trouvons toujours attirants l’un et l’autre. Nous aimons toujours la passion!
Quand Jade (la photographe, ndlr) fit des sessions photo séparées de Lanette, je me suis mis sur le côté et j’ai regardé. J’étais ébloui pendant que j’observai la sensualité, la sexualité et le corps de magnifique de Lanette. Elle est exceptionnelle, la personnification du pouvoir des femmes, son esprit, sa beauté. Et elle a 64 ans! Pendant ces shootings, elle s’est sentie sexy, belle et désirable et ne faisant qu’une avec son corps.
Nous sommes si reconnaissants envers Jade d’avoir créé cette opportunité pour nous. Nous nous sommes sentis tous deux comme connectés à elle et avons apprécié ses encouragements, sa direction artistique, ses qualités de photographe et le degré de confort qu’elle a créé. Pour nous, ce shooting nous a donné de la force, de la liberté, de l’énergie et une expérience complètement géniale. (…) nous espérons que notre engagement dans ce projet offrira aux gens d’autres perspectives sur l’amour, la sexualité et la sensualité chez les seniors. »
De nombreuses années de bonheur les attendent encore.
Selon cette conspiration,l’ histoire de la manipulation génétique de l’espèce humaine par des êtres extraterrestres et extra-dimensionnels a commencé autour de 5000 av.
Ces êtres avancés qui à travers l’histoire ont visité la Terre, ont été pris pour les deux antagonistes: Anges et Démons… par ceux qui les ont vus . Selon les textes anciens non frelatés du monde entier leur première apparition aurait eu lieu là où l’Euphrate entre dans le golfe Persique . La raison étant que dans ce domaine caché dans l’eau de mer se trouve de vastes concentrations de ce qu’on appelle l’or monoatomique .
Les crânes allongés découverts depuis plusieurs années,seraient d’origine Annunaki (extraterrestre).
Les visiteurs ont été appelés » les Annunaki « qui, selon tablettes cunéiformes sumériens , un peuple qui vivait dans la partie sud-est de ce qui est maintenant connu comme l’Irak , où le fleuve Euphrate se jette dans le golfe Persique,signifie littéralement ceux qui descendus du ciel sur la terre . Les visiteurs sont venus sur la Terre afin d’exploiter l’or monotomique (ou monoatomique) afin de reconstituer les réserves épuisées sur leur propre planète . La substance nommée « Le Pain de la Présence Divine « par les pharaons de l’Egypte antique aurait été élaborée pour améliorer et réparer toutes les fonctions corporelles , faire avancer l’intelligence et arrêter le vieillissement du corps humain. Loin d’être un mythe archaïque en termes scientifiques modernes ,l’or monoatomique est connu comme un métal supraconducteur.
LA SUPRACONDUCTIVITÉ ET SON INFLUENCE
La supraconductivité permet à l’ efficacité optimale de la retransmission de l’énergie . Signifie l’apport d’énergie maximal devient la sortie d’énergie maximum , il n’y a aucune perte d’énergie due à la dissipation de la chaleur . En appliquant ce principe à la machine molle électro- magnétique ,le cerveau humain qui est une énorme machine électrique ,l’ or monoatomique augmente la productivité intellectuelle par super- charge des voies nerveuses afin qu’elles agissent comme une autoroute d’entraînement quantique . Cela signifie que tous vos sens reçoivent des intrants de manière optimale et les entrées peuvent être traitées de façon optimale , en activant les parties dormantes de votre cerveau,donnant une amélioration de la mémoire , la résolution de problèmes , la capacité psychique et l’augmentation de la perception cognitive . De la même manière que nous venons de le décrire,l’uranium 235 est aussi produite . Les éléments monoatomiques sont séparés de leurs contre- parties multi- atomiques , en les traitant de la même manière que l’or , le plus souvent en paires de 8 atomes de carbone par molécule , qui peuvent être divisé en particules libres.
L’arbre de vie Selon les Sumériens
Comme décrit sur les tablettes d’argile des Sumériens :
Pour l’utilisation comme esclaves intelligents ( les Annunaki auraient enlevé une côte d’un humain qui contient la moelle osseuse et une source idéale pour l’extraction d’ADN) .
Ainsi,dans la Bible ,Dieu (Yahvé) extrait une côte d’Adam ,le premier homme afin de créer Ève,sa future compagne.
Tout est écrit.
La conception moderne de l’hélice de l’ADN : Les éléments constitutifs de la vie
Les Annunaki ont modifié l’ ADN des Humains de la Terre ,pour une meilleure manipulation des humains et ont inséré un implant dans une femme qui a donné naissance à des enfants qui ont été génétiquement modifiés par procuration . Ces humains sont devenus les ouvriers des Annunaki et traités l’or monoatomique pour eux,les dieux . Un échange d’informations a eu lieu entre les deux races dans laquelle une élite de la science et de la connaissance a été mise en place pour établir la construction de la civilisation ,le développement de la culture et de l’astronomie terrienne . Mais tout cela ne fut donnée qu’à une élite afin que les masses puissent être mieux contrôlées . Ensuite, les Annunaki disparurent de l’histoire humaine .
Par conséquent, le symbole universel de l’ADN humain ressemble au mot YAH qui en hébreu se traduit par DIEU .
Arbre de vie Kabbalistique
Pourtant ,certains des êtres humains ont reçu des instructions sur la construction d’ une partie de la technologie de pointe des Annunaki . Ceci est même très clairement écrit: selon certains chercheurs ,c’était le peuple juif qui aurait construit un super- conducteur portable ,plus communément appelé par les historiens et les théologiens ,comme étant l’Arche d’alliance ( Traduction libre du sumérien :arc en arc – lumière ) .Il s’agirait d’une technologie venant de l’Egypte . Avant de les imiter, l’arche venait des terres des Sumériens , des Babyloniens et des Tibétains . Cet arche a été construit pour contenir des pouvoirs immenses tels que la lévitation et la capacité de produire et de livrer le feu des étoiles, attribué à la stabilisation de des éléments monotomiques (…ou monoatomiques) qui y sont contenus . Ceux qui étaient au courant de cette science et de son fonctionnement, se sont vu accorder une longue et prospère vie, comme Mathusalem qui aurait vécu jusqu’à 950 ans. La science derrière les éléments de l’Arche , techniquement connu comme ORMES (Orbitale Rearranged Monoatomiques) sont des éléments détenus par le public et sont exonérés de la « Freedom of Information Act » américaine comme une question de sécurité nationale US. Connaître les secrets réels de ORMEs ,se prête à la manipulation de ces éléments et à un grand pouvoir à la nation qui l’exerce . Ces pouvoirs sont censés inclure le contrôle de l’ anti- gravité , l’énergie libre , le calcul quantique , la télépathie , la télé- portation , la visualisation à distance et de voir à la fois l’avenir et le passé. La technologie ne peut être utilisée par l’accès direct et la manipulation de la conscience , donc la force de l’objet et la clarté d’esprit sont nécessaires de peur que la technologie reste inerte et sans effet . Le mot ORME est le même que le mot hébreu qui signifie : «l’Arbre de Vie » . ORMEs se compose de huit métaux connus comme la famille du platine qui comprend : le ruthénium, le rhodium , le palladium et l’argent, ainsi que de l’osmium , de l’iridium , du platine et de l’or ou du groupe du platine lourd . La gestation de ces métaux sous forme monoatomique devrait prolonger la vie et d’améliorer et de réparer les fonctions corporelles . En suivant ce qui est appelé un régime à large spectre , vous pouvez fournir à votre corps des éléments monoatomiques supra conducteurs, en insérant dans votre alimentation des aliments tels que les raisins, les carottes , les fruits rouges et bleu-foncé et les légumes et les poissons .
Ce que nous mangeons fait aussi parti d’un héritage génétique ancien.
Sources: les innombrables travaux menés par Zecharia Sitchin
Ce que vous voyez ci-contre existe réellement. Il s’appelle Ata, l’humanoïde d’Atacama. Il a tout de l’extraterrestre de SF : il a un gros crâne surmonté d’une crête et ne mesure que… 15 cm. Il a été découvert il y a une dizaine d’année dans le désert d’Atacama au Chili. Et son ADN vient d’être analysé. Et voici ce qu’il en est ressorti :
Tout est parti d’un projet Kickstarter, où un scientifique et un réalisateur souhaitaient produire un documentaire révélant la vérité sur la présence ou non d’extraterrestre. Intitulé Sirius, ce documentaire a pour point d’orgue l’analyse ADN d’Ata, le squelette le plus troublant jamais découvert sur Terre.
L’ADN d’Ata a été analysé par des chercheurs de l’Université de Stanford en Californie. Et leurs résultats sont formels. Ata n’est pas un extraterrestre. Il est humain. Son ADN est composé de 23 chromosomes et ils ont toutes les spécificités normales de l’homme. Son ADN est plus proche de nous que de celui des chimpanzés. Et les chercheurs vont plus loin, Ata est de sexe masculin, et il avait pour mère une indigène du Chili.
Contrairement à ce qui avait été dit, Ata n’est pas un fœtus fossilisé. Et c’est là que ça devient dingue : quand il est mort, Ata devait avoir entre 6 et 9 ans ! Pour les chercheurs, Ata est né, a respiré, a mangé et s’est développé. Ça ne fait aucun doute. Plus intrigant encore, si Ata mesure 15 cm après 6 ans de vie, quelle taille faisait-il à la naissance ?
Les recherches doivent être approfondies pour tenter de comprendre quel type de mutation a subi Ata. Il va falloir encore attendre plusieurs mois avant de pouvoir réellement lever le mystère sur l’humanoïde d’Atacama. En attendant, vous pouvez regarder le documentaire Sirius qui devrait sortir un jour au cinéma .
Si vous êtes noir et masculin et au Royaume-Uni, il y a une bonne chance que la police ne va pas seulement vous arrêter et vous fouiller, ils vont aussi vouloir un échantillon d’ADN.
À ce jour, 75% de tous les hommes noirs au Royaume-Uni ont été ajoutés à « l’application de la loi» de la base de données du pays.
L’autre pays appartenant à la Reine a statué, la « colonie » du Canada, est en train de faire quelque chose de similaire à Toronto.
Alors bien sûr, il y a Michael « Petit Napoléon » Bloomberg qui a ordonné que les jeunes hommes noirs soient arrêtés et fouillés pour le «crime» d’être un homme de race noire.
Ils ciblant les personnes à qui ils pensent ,ils peuvent ainsi s’en sortir devant l’opinion publique « divisée » avec leur agenda « raciste » dont le but avoué est la dépopulation de la race humaine …Cette dépopulation se fera-t-elle sur le dos de la race noire au profit d’une race blanche à nouveau redevenue « L’Élite »?
Mais n’en doutez pas, vous et vos enfants ,vous êtes les prochains sur la liste…peu importe la couleur de votre peau. – Voyez plus à:
TÉMOIGNAGE D’UNE FEMME QUÉBÉCOISE SUR CE SUJET (Mars 2012):
L’État veut votre ADN: des « enquêtes de santé » sont effectuées par Statistiques Canada à des citoyens « pigés au hasard »…
* Témoignage d’une maman du Québec qui fait état d’enquêtes et de prélèvements d’ADN douteux qui sont effectués sur des personnes âgées entre 6 et 79 ans qui acceptent de répondre à un long questionnaire et de faire un bilan de santé global dans des « cliniques mobiles » de Statistiques Canada. En plus des paramètres observés et analysés lors de ces enquêtes, il est proposé de faire des prélèvements d’ADN sur les volontaires, lesquels reçoivent une compensation de 100$ en échange de leur « implication citoyenne », pour les « avançées de la science »… VOICI LES DOCUMENTS ET L’INFORMATION FOURNIE SUR LE SITE DE STATISTIQUES CANADA À L’ADRESSE SUIVANTE:
Notre adresse a été pigée au hasard et j’ai donc dû répondre à des questions assez générales. À la suite du questionnaire, les deux enfants du «ménage» ont été sélectionnés, toujours au hasard, pour répondre à un questionnaire plus pointu et pour aller faire des examens de santé. Ces examens de santé sont faits sur une base volontaire, quand même.
Ma fille de 17 ans était bien intéressée par la démarche, curieuse surtout de faire un bilan de santé complet, et de recevoir 100$ en bout de ligne à titre de dédommagement.
Après qu’elle ait rencontré les intervieweuses, elle est revenue à la maison avec un dépliant expliquant en détail les examens qu’elle allait devoir passer, à St-Sauveur, dans une clinique mobile.
C’est à la toute fin de ce dépliant que j’ai lu qu’on allait lui faire signer un formulaire de consentement à donner son ADN. Sans explication. Juste comme ça, pour «la recherche en génétique».
J’ai évidemment refusé que ma fille donne son ADN et j’ai effectivement pu constater qu’il y a une case particulière à cocher concernant l’ADN. Or, dans le cadre de cette étude, les ados de 14 ans et plus peuvent consentir à tout, sans l’accord de leurs parents, y compris au don d’ADN.[1]Ma fille est allée faire ses examens à la clinique mobile. Elle y a réitéré son intention ne pas donner son ADN et l’infirmière semble avoir respecté ce choix.Sauf que je me questionne encore. Que veut faire notre gouvernement avec notre ADN?
Donner son ADN, c’est pire que d’afficher sur le toit de sa voiture son numéro d’assurance sociale et sa date de naissance. C’est pire que d’ouvrir un site web pour y inscrire ses numéros de cartes de crédit, incluant le petit nombre à 3 chiffres qui est derrière.
On ne donne pas son ADN, sauf pour des recherches précises, encadrées par des chercheurs sérieux, qui vous expliquent clairement en quoi consiste leur travail, à quoi vous engage votre consentement et à quel moment les échantillons serons détruits.
Mon amie Isabelle Iltis, PH.D., chercheuse à l’Université du Minnesota, m’écrivait ceci :
«Si l’explication qu’on donne aux gens pour prélever leur ADN, c’est la photo que tu as montrées au-dessus, Il y a quelqu’un chez-vous qui n’a pas fait son boulot correctement :
Nous devons dire, par exemple «nous cherchons le gène responsable de la maladie de «Trucmuche», et votre ADN va servir puisque cette maladie est présente dans votre famille», ou bien «puisque vous n’avez pas la maladie de Trucmuche dans votre famille, votre ADN va servir de «référence saine» pour identifier les mutations». Bref, il faut expliquer. Et expliquer aussi comment sera préservé l’anonymat de ce précieux ADN, et dans combien de temps, et comment,l’échantillon sera détruit à l’issue de l’étude». On ne peut pas dire «donnez –nous votre ADN, ca va servir.» Il faut dire à quoi ça va servir. On n’est pas des boeufs.
Elle a terminé en m’invitant à lire La Vie Immortelle d’Henrietta Lacks, roman qui explique semble-t-il tellement bien pourquoi les comités d’éthique scientifique sont si indispendables.
Mon ami David Hughes, philosophe et doctorant en bioéthique à l’Université de Montréal, en tenu sensiblement les mêmes propos.
Évidemment, en droit criminel, la découverte de l’ADN a permis de résoudre de fausses condamnations, et d’éviter des erreurs judiciaires.
Mais d’un autre côté, on laisse son ADN partout. À la banque, si on prend un numéro, qu’on le tient entre ses lèvres parce qu’on a les mains pleines, et qu’arrivé au comptoir on le laisse tomber dans la corbeille, on vient d’y laisser son ADN. Si plus tard un vol est commis à cette banque, qu’on récupère l’ADN dans la corbeille, et qu’un recoupement est fait avec notre ADN déjà donné pour «la recherche», il y a un problème. On risque de vivre quelques soucis inutiles.
C’est un exemple grossier, à dessein.
C’est que je ne suis pas scientifique.
Je souhaiterais vivement que des chercheurs, philosophes, éthiciens, généticiens, prennent l’espace commentaires sous ce billet pour bien expliquer en quoi l’ADN est intime, et en quoi les chercheurs doivent être prudents lorsque vient le temps d’en récolter des échantillons. Qu’on nous explique aussi quels pourraient être les résultats fâcheux d’une mauvaise procédure.
Mais la règle générale, c’est qu’on ne donne pas son ADN. Même pas au gouvernement.
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LA BASE D’UN BON ADN…:C’EST UNE BONNE ALIMENTATION
Monsanto…le monstre qui nous détruit de l’intérieur.
MONSANTO ET LE GÉNOCIDE PLANIFIÉ EN SILENCE
Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez les nations,
mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation.
Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir.
Henry Kissinger, protégé des Rockefeller
Depuis des années déjà, je constatais combien notre qualité alimentaire se dégradait. Les aliments perdaient de leur saveur mais gagnaient en goût et arrière-goût médicamenteux. Ils devenaient aussi plus difficiles à cuisiner.
Au fur et à mesure que je me formais à toutes ces nouvelles techniques, je pris de plus en plus conscience de l’impact de l’alimentation sur notre santé et de l’importance de sa qualité.
Aussi, j’arrêtai de consommer certains aliments mais il restait une difficulté avec le sucre. Je ne pouvais me passer de sucre et de chocolat.
Pourtant, je constatais bien dans quel état de fatigue me plongeait le sucre dès que j’en mangeais. J’étais instantanément épuisée, vidée.
Il y a une bonne dizaine d’années maintenant que ma base alimentaire a changé pour devenir de type méditerranéen, à base d’huile d’olive, de légumes et de fruits…avec toujours un peu de sucreries mais surtout du chocolat.
Je consomme beaucoup de produits bio que je n’achète que dans les magasins dédiés.
Je suis contre les OGM et en général, contre tout ce qui est n’est pas naturel.
Je savais déjà beaucoup de choses mais ce que j’ai découvert est tout simplement monstrueux.
Dans cette nouvelle vie qui est la mienne aujourd’hui, j’ai un regard fondamentalement différent sur tous les domaines qui la composent. Si je peux vous donner une image, c’est comme si j’avais traversé un pont qui relie deux rivages qui n’ont rien en commun l’un avec l’autre (les juifs d’un côté, les non juifs de l’autre) et que cette traversée m’avait donné une acuité particulière ayant vécu d’un côté pour rejoindre maintenant l’autre. Les Juifs sont, pour moi, responsables de la situation globale actuelle, responsabilité qui se dévoile et se dévoilera chaque jour davantage mais la pire des découvertes est encore à venir. Je viens d’une secte extrêmement fermée dont l’essence même est d’exercer un pouvoir absolu sur ses membres qui à leur tour sont des relais de ce pouvoir sur la société.
Quand vous vivez dans le judaïsme, vous fonctionnez selon les principes, les lois, les idées de cette soi-disant religion. Peu importe que vous soyez pratiquant ou non, peu importe que vous soyez de droite ou de gauche, que vous ayez des points de vue totalement opposés (en apparence) sur telle ou telle question, toutes ces pseudo-différences ne sont là que pour masquer la réalité, elles ne sont qu’illusions pour démontrer aux goys une variété de points de vues, de comportements, de choix, une grande liberté de pensée qui, en réalité, n’existe pas dans le judaisme. Le but des juifs est de semer la confusion à tout va afin que les gens passent leur temps et dépensent leur énergie à se battre sur des idées et des concepts qui ne sont que des diversions, des mirages. Plus il y a de confusion, moins il y a de lisibilité sur les comportements et la stratégie des juifs. Ainsi ils se protègent jusqu’à que le piège se referme définitivement sur l’humanité.
Ou vous êtes Juif ou vous ne l’êtes pas. Si vous appartenez à la communauté, il vous est demandé d’agir en tant que tel. Si vous n’obtempérez pas, vous n’êtes plus juif, plus rien ne vous y rattache et là de sérieux problèmes vous attendent.
L’évolution alimentaire catastrophique à laquelle nous sommes confrontés actuellement n’est pas fortuite loin s’en faut, elle suit une logique que je connais bien, la leur !
S’éduquer est la clé de notre survie sur cette planète.
Tant que l’humanité est maintenue dans l’ignorance, elle laisse le pouvoir à ceux qui décident pour elle de sa vie ou de sa mort, de son exploitation, de son asservissement, de son oppression.
Dès que la connaissance se diffuse, la chappe commence à prendre l’eau à partir du moment bien sûr où l’on accepte de voir les choses telles qu’elles sont, aussi difficile que cela puisse être et que l’on agit en conséquence.
Mon grand-père, franc-maçon, répondit finalement un jour à mon éternelle et récurrente question:
– « Dis moi papi, pourquoi nous sommes le peuple élu ? »
– « Parce que nous avons la connaissance que les autres n’ont pas ».
Cette réponse qui me marqua à jamais allait m’amener à découvrir l’horrible vérité.
MONSANTO ET SA CLIQUE
Si, désormais, nous savons qu’il ne tient qu’à nous de faire le choix de développer nos pouvoirs psychiques, il est par contre un domaine où l’on a besoin d’aller chercher à l’extérieur, l’énergie qui sert de carburant à notre corps.
Nous avons besoin de nous nourrir !
Voilà à portée de main de gens malintentionnés, un moyen facile pour instiller dans nos corps les poisons qui amènent maladies et mort via la souffrance et la dégénérescence puisqu’il n’est pas question pour ces individus de ne pas nous torturer.
Le nouveau programme alimentaire mondial dont le processus est déjà bien enclenché a pour but, via l’introduction massive des OGM, de nous contraindre à nous approvisionner en aliments dénués de toutes vitamines, oligo-éléments et contenant des substances qui modifieront notablement la génétique humaine afin de façonner une nouvelle race homogène et sans d’identité d’esclaves.
C’est une véritable déchéance physique qui nous attend puisque la nourriture ne nous apportera plus les nutriments nécessaires. Notre système immunitaire s’effondrera, ouvrant grand la porte à toutes les maladies jusqu’à que nous ne puissions plus résister au moindre microbe.
Vous n’avez encore pour l’instant qu’une très vague idée de ce que ces êtres peuvent faire mais vous allez découvrir au fur et à mesure pourquoi je dis et j’affirme que ce sont les ennemis de l’humanité.
Les informations et documents que j’ai recueillis et vous transmets sont à lire avec attention.
Je le dis à nouveau clairement, c’est la mise à mort d’une grande partie de l’humanité qui est programmée avec une cruauté inconcevable pour un esprit «humain» normal.
Dans son livre OGM, semences de destruction l’arme de la faim, paru aux Editions Jean-Cyrille Godefroy, William Engdahl écrit : «Trois des quatre géants des OGM, Monsanto, Dow et DuPont sont issus de multinationales de la chimie engagées depuis des décennies avec le Pentagone dans des projets militaires chimiques et biologiques secrets. Les cauchemars des contaminations par l’Agent orange, la dioxine, le PCB et le maquillage des responsabilités qui s’ensuivit proviennent de ces mêmes compagnies qui réclament à présent que nous leur confions le patrimoine semencier de l’humanité.» 1
Ça commence fort. Voilà que ceux qui sont en train de verrouiller le système pour avoir le total contrôle de la production alimentaire mondiale, sont les mêmes qui ont fabriqué des produits chimiques hautement toxiques.
Vous avez bien lu, ce sont au départ des entreprises de chimie !
Monsanto, par exemple, s’est transformé en une entreprise agricole alimentaire utilisant son savoir faire pour asseoir une position hégémonique.
orMONSANTO est une ENTREPRISE JUIVE
L’entreprise Monsanto fut fondée en 1901 à Saint-Louis dans le Missouri par John Francis Queeny, un vétéran de l’industrie pharmaceutique.
Il donna à son entreprise le nom de jeune fille de sa femme, Olga Mendès Monsanto.
Olga Mendès Monsanto était la fille de Don Emmanuel Mendès de Monsanto, descendant d’une famille juive espagnole et portugaise anoblie. Comme de nombreux Juifs, il modifia son nom et devint un très riche financier d’une compagnie sucrière de Vieques, Porto Rico dont le siège était basé à St-Thomas dans les anciennes Antilles danoises (Indes occidentales danoises) aujourd’hui connues sous le nom des Iles vierges américaines. Il finança l’entreprise de son gendre.
Elio Emmanuel MENDÈS MONSANTO est répertorié dans le très sélectif site AMERICANJEWISH ARCHIVESdédié comme son nom l’indique à la préservation de tout ce qui compose la vie juive américaine et dont l’immense travail du Rabin Malcolm H. Stern est devenu la référence en matière de généalogie.
En effet, le Rabin Malcolm Stern s’est très jeune passionné pour la généalogie des juifs américains qu’il a compilé das un premier livre AMERICAN OFJEWISH DESCENT publié en 1960.
Dans un second temps, continuant à accumuler des informations, un second ouvrage leFIRST AMERICAN JEWISH FAMILIES : 600 GENEALOGIES 1654-1977 parut en 1978.
Le site http://americanjewisharchives.org/ a ainsi regroupé le travail complet du Rabin Stern sous forme d’un moteur de recherches que vous pouvez consulter comme je l’ai fait moi-même et où j’ai trouvé le nom de MENDÈS MONSANTO.
American Jewish Archives page 61
Or il est bien connu que dans le judaïsme, c’est la femme qui transmet la religion, autrement dit le gène juif !
Ainsi, l’ARGENT qui servit à créer MONSANTO est JUIF.Et l’ARGENT est le SANG d’une ENTREPRISE.
Le NOM donné à la nouvelle société est un NOM JUIF.
Donc, MONSANTO EST DOUBLEMENT JUIF.
Peu importe qui gère l’entreprise actuellement, SON EMPREINTE DE NAISSANCE EST JUIVE.
Avoir choisi le nom de MONSANTO ne fut pas anodin. Tout NOM JUIF est porteur de la vibration religieuse ou plutôt MAGIQUE HÉBRAÏQUE QUI GARANTIT PROTECTION, EXPANSION, SUCCÈS….et bien sûr, RICHESSE !
Parce que les JUIFS sont bénis par DIEU (LE DIEU DES JUIFS) et par les prières quotidiennes des rabbins dont le but ultime est l’EXTERMINATION des GENTILS, comme annoncé dans tous les textes juifs.
En fait, le but des Juifs via les OGMs est de modifier définitivement l’ADN gentil, autrement dit humain.
Je demande à mes lecteurs intéressés par leur devenir, celui de leurs bien-aimés et plus largement de leur race, de lire la totalité des chapitres pour comprendre l’ampleur et la gravité de la situation.
En effet, les Gentils sont des dieux en devenir. Ce qui veut dire qu’ils possèdent un potentiel divin dans leur ADN qui peut leur donner la possibilité de développer non seulement leurs pouvoirs psychiques et occultes mais d’accéder à l’immortalité.
C’est la raison pour laquelle ils sont à abattre à tout prix par ceux qui ne veulent pas de concurrence.
LES OGM ont été conçus pour détruire de manière irréversible cet ADN.
L’individualité Gentille, la force de combattre, que ce soit physique ou psychologique, est codée dans votre ADN qui est celui d’un des plus grands Dieux, si ce n’est le plus grand.
C’est pour cette raison que nous en sommes là sur cette planète.
Les Juifs ne possèdent pas du tout le même ADN que les Gentils, nous verrons cela en détail, ils ne sont donc pas concernés par les OGM.
Les Juifs sont simplement des hommes de main en mission sur Terre pour vous détruire.
Continuons.
Ces entreprises n’ont pas vocation à nourrir les populations. Leur passé démontre clairement leur penchant à nuire, et à détruire et ce n’est pas parce qu’elles se sont travesties en entreprise «agricole alimentaire» qu’on doit croire à leur changement et leur faire confiance. Il n’y a qu’à regarder de plus près leur stratégie commerciale qui est triple : empocher le maximum d’argent en asservissant fermiers et producteurs, tout en générant un génocide à l’échelle mondiale qui détruira la grande partie de l’humanité, soumettra les populations qui survivront et rendra les terres stériles !
C’est un plan politique hautement diabolique.
Et ces gens sans conscience sont prêts à tout pour arriver à leurs fins.
Aujourd’hui si nous en sommes là, c’est encore et toujours à cause des Américains. Après avoir dominé le monde pendant tout le 20ème prônant l’image du «rêve américain», ils sont en train de retourner totalement la situation en devenant les leaders mondiaux du nouvel esclavage mondial via l’instauration d’un régime totalitaire.
Les dirigeants Américains sont les rois du cinéma mais surtout de la mise en scène. Ils savent parfaitement créer et mettre en scène une situation pour que des actions s’imposent d’elles-mêmes, de manière naturelle et cohérente sous le prétexte fallacieux de protéger le peuple alors qu’il n’en est rien. Leur véritable motivation et leur but final sont la mise sous contrôle de l’être humain (pour ceux qui survivront) durant «la phase de transformation de son ADN» en vue de devenir un être domestiqué, un esclave.
Il est nécessaire pour ces gens d’opérer cette transformation en douceur via la fabrication des conditions socio-politiques qui favorisent ensuite la propagande pour l’instauration de ces mesures.
Pourquoi ?
Parce que l’être humain a un potentiel de pouvoir immense dont il n’a pas idée et que s’il en était, ne serait-ce que, conscient, il écraserait son ennemi en un rien de temps.
Ces monstres le savent, c’est la raison pour laquelle ils mettent tous les moyens en oeuvre pour éviter le maximum de vagues en attendant que ce potentiel soit complètement détruit et que l’être humain soit reprogrammé comme robot-esclave.
C’est un revirement total qui est train de s’opérer aux États-Unis à l’opposé de l’intention de départ des Pères Fondateurs lorsqu’ils créèrent la Constitution de 1776. Nous aborderons ce sujet au chapitre Histoire.
Il est important de suivre de très près l’évolution des évènements outre Atlantique via des informations non politiquement correctes qui ne sont ni filtrées ni manipulées.
Il n’est pas question de paranaoia ou d’affabulation, il est question d’ouvrir les yeux, de regarder, d’écouter et d’étudier sérieusement la question en s’informant via différentes sources (je vous donne de nombreuses références et sites que je vous encourage à consulter pour vérifier par vous-mêmes). Ce ne sont ni les grands médiats, ni la télévision bien sûr qui nous servent un discours policé n’ayant plus rien à voir avec la réalité qui vous informeront. Leur rôle est au contraire de renforcer toute forme de divertissement et de diversion.
Voici ici quelques phrases du discours qu’a donné Hillary Clinton, Secrétaire d’Etat américaine le 8/09/2010 au CFR (Council of Foreign Relations) : « Le monde compte sur nous maintenant comme il a compté sur nous dans le passé. Les USA peuvent, doivent et mèneront ce nouveau siècle. Même si les moyens de leadership sont différents de ceux utilisés dans le passé. Mais nous devons être audacieux. Nous n’avons aucun rival. Nous sommes en train de travailler sur la nouvelle architecture mondiale, comment sera organisé le monde selon notre vision et aujourd’hui, nous pouvons dire avec confiance que ce modèle de leadership américain qui met tous les moyens à notre disposition afin d’être utilisés au nom de notre intérêt national fonctionne.» 2
Tout au long de sa présentation, elle affiche un comportement déterminé, arrogant, sûre d’elle, du droit et du devoir des Etats-Unis à imposer au monde entier «la nouvelle architecture» qui n’est autre qu’un régime totalitaire qui contrôlera les faits, gestes et pensées de chacun.
Voilà l’ambiance !
Les Etats-Unis sont aujourd’hui en train de se transformer en état totalitaire. Toutes les mesures sont prises au nom de la SÉCURITÉ intérieure (comprenez terrorisme) ou de la PROTECTION en tout genre comme la protection alimentaire avec le Codex Alimentarius. Et comme l’a dit Hillary Clinton, «Ils doivent et continueront à mener le monde.»
Henry Kissinger a déclaré en 1970 que le premier moyen d’asservissement se fait par le contrôle de l’alimentation.
Il est évident que cette stratégie alimentaire hautement politique est l’étape fondamentale pour asseoir le nouveau pouvoir politique mondial.
En fait, il est totalement impossible aujourd’hui de séparer le moindre domaine de notre vie de la politique, que ce soit l’alimentation, la gestion de la santé, la médecine, l’histoire… pour la simple raison que cette stratégie étend ses tentacules partout pour prendre possession de la planète et surtout de nos vies.
Dans le domaine alimentaire qui nous occupe pour l’instant, c’est l’entreprise Monsantoqui a ouvert la voie pour elle et sa clique.
Monsanto a créé et commercialisé l’hormone laitière rBGH, l’herbicide Roundup et de nombreuses plantes OGM avec des conséquences désastreuses dénoncées par de très nombreux scientifiques indépendants. Mais elle créa aussi la saccharine (ce sucre artificiel) vendu à Coca-Cola et dont elle devint un des principaux fournisseurs.
Lorsque le moment fut venu pour l’entreprise Monsanto de mettre ses produits OGM sur le marché, elle ne voulait pas perdre de temps avec les «tracasseries administratives», arguant de ses énormes investissements en R&D aussi elle infiltra la FDA (Food and Drug Administration qui est l’agence gouvernementale américaine en charge de la santé publique concernant les denrées alimentaires et les médicaments) et se débrouilla très habilement pour leur «suggérer» le texte à rédiger concernant la réglementation des substances qu’elle avait l’intention de vendre.
Cette infiltration fut grandement facilitée par George H.W Bush père, partisan de l’agroalimentaire biotechnologique et de la déréglementation, qui était à ce moment-là vice-président du gouvernement Reagan.
William Engdahl toujours dans son livre OGM, semences de destruction l’arme dela faim nous dit : «En 1986, le vice-président Bush invita une délégation de l’équipe dirigeante de la gigantesque firme chimique Monsanto, de Saint Louis, Missouri pour une rencontre stratégique à la Maison Blanche. Selon Claire Hope Cummings, l’objet de cette rencontre officieuse était la «dérégulation» de l’industrie biotechnologique en plein essor. Monsanto avait un copieux passé de collaboration avec le gouvernement américain et même avec la CIA dirigée par George Bush. La firme avait développé l’Agent orange, un herbicide mortel utilisé au Vietnam pour la déforestation de la jungle dans les années soixante. Elle avait une longue liste d’arnaques, de corruption et de coups tordus à son actif.»
Il s’ensuivit que études et tests ne furent pas suffisamment menés puisque les administrations concernées furent infiltrées par ceux qu’elles étaient censées contrôler.
Le résultat fut que leur mission de base qui est de «protéger la santé des consommateurs» fut totalement éclipsée au profit de Monsanto. Les quelques scientifiques de la FDA qui émirent des réserves sur les conséquences des OGM sur la santé humaine ne furent pas écoutés.
Il se mit en place une manière de faire extrêmement malsaine dont les peuples allaient payer les conséquences, sous couvert et bénédiction des gouvernements.
Monsanto une fois validé par la FDA pouvait alors s’attaquer aux autres pays avec le ticket d’entrée FDA du genre «La FDA américaine dit que c’est sans danger, alors c’est sans danger pour tout le monde et vous devez suivre le doigt sur la couture» puisque les Etats-Unis décident comment nous devons vivre chez nous en France comme partout ailleurs.
Tout ce qui arrive aux États-Unis arrive chez nous, ce n’est qu’une question de temps, et un espace de temps qui se raccourcit de plus en plus.
« Le cadre que Georges Bush avait institué était simple. Conformément aux souhaits exprimés par l’industrie biotechonologique, le gouvernement américain devait considérer l’ingénierie génétique des produits alimentaires végétaux ou animaux comme une simple extension des techniques de sélection conventionnelle des plantes ou des animaux.» 3
Les entreprises expriment leurs souhaits qui sont ensuite exécutés par les gouvernements qui sont donc à leur service!
Effectivement, le gouvernement américain fit ce qu’on attendait de lui et les nouvelles plantes OGM furent traitées par l’administration américaine comme les plantes conventionnelles grâce au principe fallacieux d’équivalence en substance (apparence, goût et composition chimique identiques, la seule différence étant une minuscule protéine, le prion!!!).
Tellement fallacieux que ces substances OGM soi-disant identiques ont été brevetées parce que substantiellement transformées.
Le cadre légal de la brevetabilité de ces plantes fait partie des règles de l’OMC sur les droits de la propriété intellectuelle en rapport avec le commerce (Agreement on Trade Related Aspects of Intellectual Property Rights, TRIPS). 4
Ce qui démontre la malhônneteté des gouvernants et gouvernements, des institutions nationales et mondiales qui n’ont aucun problème à utiliser la contradiction au gré de leurs intérêts.
À l’intention du consommateur, il déclarent la semence OGM identique à celle conventionnelle donc sans aucun risque pour la santé tandis que concernant les lois commerciales, la semence n’est plus identique, elle devient originale et doit donc être protégée via notamment le paiement de royalties.
Bref le fait est qu’il n’y eut donc pas de nouveau texte, ni de nouvelle loi mise en place par la FDA. Grâce au vide juridique, les semences OGM purent être intégrées aux cultures.
« Tout le monde dans les milieux du pouvoir à Washington savait que c’était une arnaque mais Bush père militait depuis longtemps pour une déréglementation afin de favoriser l’industrie notamment en réduisant les entraves administratives. » 5
La santé des consommateurs devint ainsi une question subalterne, pire encore, ils allaient servir de cobayes !
Les conséquences furent que les terres américaines se retrouvèrent envahies par ces nouvelles cultures OGM.
Et nous n’allions pas tarder à voir le problème arriver en Europe et en France.
A ce jour, c’est grâce aux actions de certains comme José Bové, la Confédération paysanne, Marie-Monique Robin et bien d’autres que l’invasion des cultures OGM a été ralentie en France où il y a, en plus, une obligation légale d’étiqueter un aliment qui contiendrait au delà du seuil de 0,9% d’OGM. Même si ce n’est pas parfait, c’est quand même beaucoup mieux qu’ailleurs.
Nos avons donc la possibilité lorsque nous faisons nos courses de vérifier la présence ou non d’OGM dans les produits que achetons, ce qui n’est pas le cas des Britanniques ni des Américains.
En effet, chez eux, il est illégal d’informer le consommateur !!! (sic) de la présence ou non d’OGM par l’étiquetage du produit, grâce encore à la FDA.
Une FDA, désormais infestée de personnes travaillant pour Monsanto qui établit la réglementation en faveur de ce dernier, supprimant ou aménageant tout ce qui peut poser problème.
Il y eut d’abord Michael Taylor, juriste, qui fut placé par Monsanto pour «éviter les tracasseries administratives» et faire en sorte que les OGM passent pour ce qu’ils ne sont pas (c’est vraiment une constante que nous retrouverons partout et dans tout ) avec le principe d’équivalence en substance et ensuite nous apprenons : «Au début des années quatre vingt-dix, le directeur scientifique de Monsanto, Margaret Miller, occupait également un poste de haut niveau à la FDA en tant que directrice adjointe pour la Sécurité Alimentaire humaine. A ce poste, le Dr Miller avait augmenté sans explication d’un facteur supérieur à 100 la dose d’antibiotiques dans le lait admissible par la FDA. Par cette initiative, elle permit d’un trait de plume une explosion du marché de l’hormone rBGH de Monsanto. Un club confortable était en train d’émerger où se retrouvaient les firmes de biotechnologie privées et les agences gouvernementales qui auraient du les contrôler.» 6
Il faut savoir que la FDA a désormais ses bureaux au Royaume-Uni. Il est impossible d’identifier si un produit (non biologique) contient des OGM ou non. Par exemple, prenons le maïs de la marque Géant Vert. Le produit français est noté «sans OGM » et si vous allez sur leur site, vous pouvez lire qu’il est produit «en partenariat avec une importante coopérative agricole et 450 agriculteurs producteurs des Landes et Pyrénées Atlantiques» tandis qu’aucune inscription ne figure sur les boites de maïs Green Giant, l’équivalent anglais et si vous allez sur leur site, il n’y aucune inscription concernant d’ éventuels OGM.
Après avoir regardé de plus près, les produits que proposent les supermarchés britanniques, il parait clair qu’ils sont d’ores et déjà envahis de denrées génétiquement modifiées.
La cuisine ayant toujours été une part importante de notre patrimoine culturel, nous sommes, en France, plus imperméables qu’ailleurs à avaler n’importe quoi ! (c’est le cas de le dire )
Même si la situation alimentaire s’est considérablement dégradée, notre alimentation reste l’une des moins pires et nous avons aussi moins de personnes obèses que dans d’autres pays. Le problème est que simultanément les frontières tendent à s’effacer alors qu’adviendra-t-il des cultures liées à ces frontières ?
La seule chose qui peut faire la différence, retarder voire stopper le processus, à condition bien sûr d’avoir l’information et de prendre conscience des enjeux, est la résistance des citoyens grâce à leurs actions.
Au Royaune-Uni, les Britanniques sont en grande majorité inconscients et consomment les produits alimentaires sans se poser la moindre question aidés en cela par la propagande que font les agences gouvernementales d’ores et déjà asservies à l’industrie OGM.
Dernièrement, la Soil Association, organisation de certification, de promotion et de défense de produits biologiques (organic en anglais) nous apprend l’annulation par la FSA (Food Standards Agency britannique – soeur jumelle de la FDA américaine) d’une campagne visant à informer le public via des soi-disant débats entre des experts indépendants appointés par la FSA pour cette mission et les consommateurs concernant la présence croissante d’OGM dans les denrées alimentaires. En effet, deux scientifiques réputés qui étaient à la direction du groupe de travail ont démissionné, dénonçant un faux débat dont le seul but était la promotion des OGM via la FSA.
Je vous livre quelques extraits de la lettre de démission du Dr Helen Wallace, une des scientifiques du groupe de travail qui a tenu à rendre public les raisons de sa démission.
« ….Il est devenu évident pour moi maintenant que le processus que la FSA a en tête est un exercice de relations publiques («PR exercise») pour le compte de l’industrie OGM.»
Elle continue: «L’industrie suggère même les éditoriaux pour le rapport que doit faire la FSA stipulant que le manque de demande et l’augmentation des prix des produits non OGM va les éliminer du marché et que bientôt on ne pourra plus différencier les produits OGM des produits non OGM».
Pire encore Madame Wallace parle de tolérance zéro pour les produits non OGM et ce pour toutes les cultures européennes et que cette ligne politique est d’ores et déjà soutenue par la FDA et la DEFRA (Department for Environment, Food and Rural Affairs du Royaume-Uni).
Le Dr Wallace nous précise que les demandes de l’industrie sont reflétées par les documents remis au groupe de travail par la FSA, et notamment sur le fait que d’ici à 12 mois, les producteurs et les revendeurs de soja non-OGM devront revoir leur position car il n’y aura plus d’approvisionnement disponible. Le gouvernement (britannique) a recommandé l’ouverture des discussions dans un contexte élargi d’approvisionnement mondial en prenant en compte la production alimentaire mondiale sur le long terme et sur la modification de prix.
Madame Wallace nous apprend que la même stratégie de PR (pour relations publiques) est mise en place par Ipsos-Mori alors qu’en réalité, il n’y a pas aucune pénurie d’approvisionnements non OGM, bien qu’il ait été rapporté que la compagnie américaine Monsanto tentait de restreindre l’accès des semences non OGM aux fermiers brésiliens. 7
On peut également s’informer sur le site du Dr Helen Wallace de son travail et des dernières nouvelles britanniques dans les domaines de santé et sécurité (à lire notamment tout ce qui concerne la base de données des ADN humains en UK). 8
Le lien historique entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni, principalement l’Angleterre, en fait actuellement une passerelle pour l’Europe. L’Angletrerre est le point d’entrée des Etats -Unis en Europe.
Monsanto contrôle 95% des semences OGM dont les principaux produits sont le maïs et le soja OGM créés pour être résistants au Roundup. Les autres sociétés Dow, DuPont, BASF, Syngeta et Bayer ont adopté la même stratégie.
Loin de régler le problème de la faim, les semences brevetées vendues en package avec les herbicides enfermeraient les fermiers dans un cycle de pauvreté dépendant de plus en plus de ces multinationales.
En plus Monsanto et d’autres compagnies ont mené un lobbying très actif pour recevoir des subventions de la part du gouvernement américain pour des carburants !
Bref Madame Wallace termine son courrier en disant « Je reste convaincue que ce processus a été mis en place pour soutenir et fournir des preuves de la bonne foi de l’industrie OGM sur le dos des contribuables. La FSA apparaît activement engagée à utiliser le soi-disant dialogue pour mener à bien la stratégie de l’industrie OGM : focalisant le débat sur un futur inexistant où les cultures OGM nourriraient le monde ;faisant pendant ce temps pression pour mettre un terme à la possibilité d’identification entre les semences OGM et non OGM entrant au Royaume Uni et en Europe et s’opposant à l’étiquetage des viandes et produits laitiers fabriqués avec des semences OGM». (Le passage en gras est de mon fait)
Cette lettre édifiante est une preuve supplémentaire de la corruption au plus haut niveau au détriment de la santé et de la volonté des consommateurs.
Monsanto et sa clique veulent supprimer toute possibilité d’ identification pour le consommateur entre les denrées OGM et non OGM, ce qui est dans la droite ligne du programme d’harmonisation Codex Alimentarius qui concerne le monde entier.
Le but est de supprimer toute alimentation non OGM afin d’une part de réduire considérablement la population mondiale, voeu très cher à Bill Gates et de reprogrammer l’ADN des survivants à ce génocide.
Pour information Bill Gates, de son vrai nom, William Gatinsky soutient l’industrie OGM à coup de milliards !
Ce qui se passe là est extrêmement grave puisque, je répète, c’est la démonstration que de puissantes entreprises directement ou via leur fondation ont le pouvoir d’imposer leurs volontés aux gouvernements qui répercutent les ordres sur les institutions et organisations gouvernementales contre les intérêts des citoyens, contribuables et consommateurs. Nous sommes arrivés au point où le pouvoir de l’argent règne en maître incontesté à des années-lumière des valeurs humaines ou du moindre état d’âme.
Ce qui est sans aucun doute la marque du fonctionnement juif !
La FSA se présente sur son site comme «protecteur de la santé publique et de l’intérêt du consommateur en relation avec l’alimentation». Curieusement cette institution a été créée il y a peu de temps, en l’an 2000 !
Monsanto et sa clique ont investi avec leurs OGM tous les secteurs de l’alimentation : céréales, fruits, légumes, produits laitiers, viandes, volailles, et poissons … leur attribuant mille et une qualités qui ne sont que d’odieux mensonges.
Il n’y a qu’à regarder autour de soi pour constater dans quel état de santé sont les êtres humains et ce n’est rien en rapport de ce qui nous attend !
Ce type d’entité agit en s’infiltrant partout, soit en achetant les gens, soit en se débarrassant de ceux qui ne se laissent pas acheter d’une manière ou d’une autre. Ces sociétés qui démontrent une extrême malveillance vis-à-vis de la vie humaine sont prêtes à tout pour arriver à leurs fins. Et même si on peut lire sur certains articles que Monsanto bat en retraite, je n’y crois pas une seconde, ce n’est qu’une tactique ou un incident de parcours pour mieux resurgir plus fort là où on s’y attend le moins.
Ces gens ne lâchent jamais ! Il faut que nous fassions pareil et soyons extrêmement vigilants.
A l’heure où des lois cruciales relatives au Codex Alimentarius sont en passe d’être votées par le Congrès des Etats-Unis (d’autres ont déjà été adoptées), sites et blogs fleurissent sur la toile américaine pour prendre le relais de ses sociétés criminelles en désinformant à tout va.
Je navigue beaucoup sur le net et suis inscrite à de nombreuses newsletters.
L’autre jour, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que l’une d’elles éditée parhttp://www.foodsafetynews.com annonçait fièrement l’arrivée de Mary Rotschild désignée d’emblée managing editor et associate publisher.
Voilà un exemple d’infiltration afin de récupérer la gestion et la manipulation d’informations en direct. Maintenant que Mary Rotschild a pris les rênes, on peut être tranquille sur la nature des informations transmises. Malheureusement, ce n’est pas toujours aussi visible et le plus souvent ce sont des goys qui sont utilisés!
Heureusement, il y en a beaucoup qui luttent pied à pied contre la désinformation, preuves à l’appui. Des preuves qui démontrent que les tests et études scientifiques sur lesquelles s’appuient ces entreprises sont manipulés afin d’obtenir les résultats désirés.
Pour la simple et bonne raison que nombre d’instituts scientifiques ont été financés par l’industrie OGM pour rendre le verdict qu’on attendait d’eux.
Peu nombreux sont ceux qui osent s’opposer à la toute puissance de ces gens car ils savent qu’ils seront virés avec perte et fracas et traînés dans la boue.
LE CAS DU DR ARPAD PUSZTAI 9
C’est au docteur Pusztai du Rowett Research Institute d’Aberdeen en Ecosse que fut confié la première étude scientifique indépendante pour évaluer les risques des semences OGM. Ce scientifique, reconnu comme le spécialiste mondial de la lectine et des OGM, mena ses travaux sur des rats de laboratoire nourris avec des pommes de terre OGM. Ces rats démontrèrent au bout de quelques mois une fragilisation de leurs organes vitaux ainsi qu’une baisse du système immunitaire et une modification structurelle de leurs globules blancs les rendant plus vulnérables aux infections et maladies. Leur cervelle, leur foie, leur coeur, leurs testicules s’étaient réduits.
Pire encore !
Une détérioration du thymus et de la rate apparurent avec également des tissus élargis pour le pancréas et les intestins. Et il y eut des cas d’atrophies du foie ainsi qu’une prolifération importante des cellules du foie et de l’estomac qui pouvaient être un signe avant-coureur de cancer.
Tout aussi alarmant : ces changements étaient toujours présents après 110 jours, l’équivalent humain de 10 ans.
Lors d’une émission télévisée où il était censé présenter ses résultats, il n’en fit pas état de peur d’affoler la population mais sa déclaration exempte de détails eut tout de même un effet cataclysmique:
«Nous savons que c’est absolument sûr. Nous pouvons en manger à satiété. Nous devons en manger tout le temps. Il n’y a aucun danger qui puisse nous arriver. Mais en tant que scientifique qui s’est penché sur cette question et y travaille activement, je tiens pour excessivement déloyal d’utiliser nos concitoyens comme des cobayes. C’est au laboratoire que nous devons utiliser des cobayes.»
Il rajouta une remarque personnelle : « Si j’avais le choix, je n’en mangerais certainement pas avant de voir au moins des preuves scientifiques comparables à celles que nous sommes en train de produire pour notre pomme de terre OGM.»
La réaction de l’industrie OGM ne se fit pas attendre : Monsanto appela Clinton qui téléphona à son tour à Blair qui s’empressa de passer un coup de fil au Rowett Institut et le Dr Putsztai se retrouva «remercié». Cela se passait en 1998. 10
C’est aussi simple et sordide que cela !
Il reçut des menaces de perdre sa retraite s’il parlait à la presse, sa documentation lui fut confisquée, des poursuites judiciaires l’attendaient s’il essayait de communiquer avec son ancienne équipe, plus bien sûr l’habituel cortège de diffamation et de calomnie qui va avec ce genre de descente aux enfers. Et il perdit son poste à l’université d’Aberdeen !
LE DR. MAE-WAN HO
En fait, il apparaît qu’il y ait eu très peu de données scientifiques dès le départ en proportion de l’énorme enjeu pour la santé humaine que représentait l’introduction massive d’OGM dans la chaîne alimentaire.
Progressivement, de nombreux scientifiques dénoncèrent la dangerosité des OGM comme le Dr Mae-Wan Ho qui déclara en 2003 : « Contrairement à ce que vous disent les représentants pro-OGM, le procédé n’est pas du tout précis. Il est incontrôlable et non fiable, et bien souvent se termine par des écrasements du génome de l’organisme hôte avec des conséquences complètement imprévisibles.»
C’était plus que nécessaire pour que le lobby OGM lui impose une retraite anticipée. 11
Le docteur Mae-Wan Ho continue néanmoins très activement sa croisade contre les OGM. Scientifique ayant à son actif un nombre conséquent de recherches, de brevets, de publications, d’articles, de livres, de récompenses, on peut consulter son travail et se procurer ses publications sur son site.12
LE PROFESSEUR BELLÉ
En France, le professeur Bellé de la station biologique de Roscoff, qui dépend du CNRS et de l’Institut Pierre et Marie Curie déclare après des études portant sur le Roundup de Monsanto : «Très vite nous nous sommes rendus compte que le Roundup affectait un point clé de la division des cellules, non pas les mécanismes de la division elle-même, mais ceux qui la contrôlent……Et c’est pour ça que nous disons que le Roundup induit les premières étapes qui conduisent au cancer.»
Il continue disant : « Un peu naïvement, nous nous sommes dit que Monsanto ne devait pas être au courant…»
Il répond ensuite aux questions de Marie-Monique Robin sur la réaction de ses organismes de tutelle suite à la révélation de sa découverte : « A dire vrai, leur réaction fut encore plus surprenante. Certains représentants se sont déplacés jusqu’à Roscoff pour nous demander instamment de ne pas communiquer avec les médias grand public, sous prétexte que cela allait créer une psychose…..Aujourd’hui je pense qu’on ne voulait pas faire de vagues pour ne porter préjudice au développement des OGM, qui comme vous le savez, ont été manipulés pour résister au Roundup…… » 13
LE PROFESSEUR SÉRALINI
«Ne pas gêner le développement des OGM» c’est aussi le seul argument qu’a trouvé Gilles-Eric Séralini pour expliquer l’inertie des pouvoirs publics face à la toxicité du Roundup.» 14
C’est un travail de tous les instants puisque les promoteurs de cette politique criminelle avancent sur tous les fronts simultanément.
Lorsque vous allez, par exemple, sur le site de la FDA, ils ont l’audace de parler de transparence avec toute une panoplie de services et de mesures dédiée à cetteTransparency Initiative.
Au cours de la rentrée 2010, une levée de boucliers s’est levée pour dénoncer la Safety Food Bill S.510 qui devait être votée en novembre 2010. Cette bill dont le nom est destiné à tromper la population fait partie du Codex Alimentarius.
Curieusement, elle est proposée par le « Homeland» la sécurité intérieure américaine et non pas par la FDA.
Elle a pour BUT D’ELIMINER TOUTE ALIMENTATION BIOLOGIQUE, TOUTE LA PRODUCTION DES PETITS FERMIERS ET DES PETITS PRODUCTEURS EN LA RENDANT ILLÉGALE ET VA JUSQU’À INTERDIRE QUE VOUS ET MOI FASSIONS POUSSER NOS PROPRES FRUITS ET LÉGUMES DANS NOTRE JARDIN SOUS PEINE D’EMPRISONNEMENT. (voir Codex Alimentarius)
LES PRODUITS BIO
Des études récentes viennent démontrer ce que déjà beaucoup d’entre nous pensent, à savoir, que les produits biologiques sont bien meilleurs pour notre santé que les produits conventionnels.
Comme le soutient le Dr Ho, « un changement radical dans la pratique agricole est urgent, avant que le cataclysme agricole s’étende davantage…. »15
Le simple fait qu’ils veuillent les éliminer prouvent deux choses:
1- les produits bio sont effectivement meilleurs pour la santé humaine que les produits conventionnels
2 – il y a là une intention de nuire à la santé humaine caractérisée de plus en plus visible et lisible.
Il est important de prendre conscience que presque TOUT CE QUI EST INTERDIT, DIFFAMÉ, CALOMNIÉ, DISCRÉDITÉ, EN PASSE DE DEVENIR ILLÉGAL L’EST PARCE QUE JUSTEMENT C’EST BON ET POSITIF POUR LA SANTÉ HUMAINE.
Plus aucune denrée, plus aucun complément alimentaire qui apporte les nutriments essentiels à l’organisme ne sera autorisé. Ils deviendront illégaux!
Tout est écrit et documenté. Il suffit de commencer à faire ses propres recherches.
En fait, TOUT ce qui est mis en place l’est sous le prétexte fallacieux de NOTRE SÉCURITÉ.
Ce ne sont que des mensonges et de la propagande, ces gens ne veulent pas notre sécurité, ils veulent notre mort, nous détruire en nous faisant payer le prix fort pour s’en mettre plein les poches au passage.
Depuis le 11 septembre 2001, la SÉCURITÉ est l’alibi parfait pour faire passer toutes les procédures et les lois qui nous retirent petit à petit nos libertés et qui permettront aux autorités de nous traiter de plus en plus de manière inhumaine, comme du vulgaire bétail.
LA FDA
Actuellement, la FDA a mis en place un système de «recall» (rappel) pour des produits soi-disant à problèmes, donc dangereux pour la santé.
Ce qui est choquant au fil de l’étude que j’ai faite et des informations trouvées est de décrypter la stratégie vicieuse qui a été engagée depuis des décennies et qui s’étale donc sur plusieurs générations de populations. Si l’élite qui promeut cette politique se passe le témoin d’une génération à l’autre, ce n’est pas le cas des peuples qui, à moins d’étudier en profondeur et au delà des apparences, ne réalisent pas ce qui se passe.
La tactique est de générer le problème pour ensuite lancer une propagande pour remédier au problème qu’ils ont eux-mêmes créé en glissant au passage un poison dans le remède.
Nous verrons que cette «recette» est reprise dans tous les domaines notamment politique et dans tous les pays du monde.
La FDA qui a été créée en 1906 par le Food and Drug Act sous la présidence de Roosevelt avait pour mission de créer des standards de qualité minimum requis pour les produits alimentaires et médicaments. Elle a donc admis dans ses «standards» un pourcentage de natural contaminants, autrement dit de «défauts» ou substances que l’on peut trouver dans son assiette et qui ne peuvent pas être soi-disant totalement évitées dans le processus de production (cheveu, poil de rat, insecte, matières fécales…)
Dans un article du 29 juin 2005, le site http://www.sixwise.com a édité une newsletter qui traite de ces «substances». On y lit que le Dr Philip Nixon, entomologist à l’Université d’Illinois a même été jusqu’à déclarer « Ils sont en fait plutôt bons pour la santé». La FDA a renchéri expliquant que pour éliminer toutes ces substances, il faudrait utiliser davantage de produits chimiques.Cette alternative n’était pas satisfaisante, selon elle, car cela représentait un vrai danger d’exposer les consommateurs à un potentiel de résidus chimiques alors que l’aspect désagréable esthétiquement de ces natural contaminants était inoffensif !
Tout le processus en cours s’est mis en place progressivement depuis la fin du 19ème siècle afin de s’étaler dans le temps, d’être moins lisible par la succession de générations de populations tout en paraîssant le plus cohérent possible.
Il est en effet difficile pour la majorité des gens de décoder une stratégie s’étalant sur des dizaines voire des centaines d’années de leur point de vue d’une vie. Ils n’assistent qu’à un petit bout de la stratégie qui correspond à leur durée de vie. Si la stratégie est bien montée, ils ne voient rien de toute leur existence.
Maintenant, les Américains sont dans la phase «recall» (une partie du site de la FDA lui est dédié) ou régulièrement des produits sont rappelés car ils représentent un danger pour les consommateurs.
C’est une stratégie pour paniquer les gens sur un problème de santé publique et faire passer le plus naturellement du monde sous le prétexte fallacieux de protection de la population, des procédures obligatoires d’irradiation (officiellement appelée « ionisation »), de stérilisation de tous les produits alimentaires.
Le but est que toute la nourriture absorbée soit morte, ne contenant plus une seule substance nutritive dont notre corps a un besoin vital pour être en bonne santé ou tout simplement pour rester en vie.
Si nous acceptons cette alimentation sans plus aucune substance vivante, nous acceptons de fait par voie de conséquence que notre santé se détériore et que nous soyons de plus en plus dépendants des médicaments. C’est un cercle vicieux qui finalement amène la mort.
Ma priorité est d’exposer ceux qui sont responsables de l’état du monde, de mettre à nu leur tactique puisqu’ils sont assez vicieux et retors pour avoir pensé une stratégie où ils n’apparaissent jamais ou presque sur le devant de la scène, préférant manipuler leurs pions.
Ils sont passés maîtres dans l’art de la manipulation et de l’imposture !
LE CODEX ALIMENTARIUS
Le programme qui régit ces nouvelles règles alimentaires porte le nom de CODEX ALIMENTARIUS.
Il a été établi par l’OMS, Organisation Mondiale de la Santé mais au départ pensé par le World Trade Organization.
Le texte qui suit est un extrait du livre La révolution par l’alimentation de Danielle Toussaint publié par le CIRIS (Centre d’Innovation, de Recherches, d’Informations Scientifiques) qui vous donne une idée de la situation.
Le texte mis en gras est de mon fait.
Le Codex Alimentarius
Des dangers bien réels
L’aguicheuse présentation officielle
La commission de Codex Alimentarius a été crée en 1963 par l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’élaborer des normes alimentaires, et des Codes d’usages.
Les buts principaux de ce programme sont la protection de la santé des consommateurs, la promotion de pratiques loyales dans le commerce des aliments, et la coordination de tous les travaux de normalisation ayant trait aux aliments entrepris par des organisations aussi bien gouvernementales que non gouvernementales.
Les responsables et les experts qui ont jeté les bases et défini les orientations des activités de la Commission du Codex Alimentarius étaient d’avis que si tous les pays harmonisaient leurs législations alimentaires et adoptaient des normes approuvées à l’échelle internationale, ces questions trouveraient une solution naturelle. Grâce à l’harmonisation, ils prévoyaient une réduction des obstacles au commerce et la libération des échanges entre les pays, dont tireraient profit les agriculteurs et leurs familles et qui aideraient à atténuer la faim et la pauvreté (voir le résultat 40 ans après !).Ils concluaient que le Codex Alimentarius serait la panacée pour certaines des difficultés qui entravaient la liberté d’échange.
Le volume du commerce mondial des denrées alimentaires est considérable et sa valeur est de 300 à 400 milliards de dollars. Les gouvernements nationaux se préoccupent surtout de l’innocuité des aliments importés d’autres pays, afin qu’ils ne menacent ni la santé des consommateurs, ni la santé et la sécurité de leurs populations animales et végétales. En conséquence, les gouvernements des pays importateurs ont institué des lois et des réglementations contraignantes pour éliminer ou réduire au minimum ces périls. Mais dans le domaine du contrôle des denrées alimentaires, des animaux et des végétaux, ces mesures risquent de créer des obstacles au commerce des denrées alimentaires entre les pays (business d’abord !)
La réalité cachée
Derrière des atours séducteurs d’apparence philanthropique, le Codex n’est que le bras séculier d’une organisation occulte (made in U.S.A), dont la vocation secrète n’est que l’exploitation à outrance, quelles qu’en soient les conséquences et la mise en esclavage de l’humanité. D’ailleurs, il est clair que la mise en place de cet organisme mondial n’a fait que créer ou aggraver les disparités socio-économiques, contrairement à ce qui était promis au départ. Il s’agit en fait, d’une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernements eux-mêmes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale. Par exemple, l’Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116.8 millions de dollars pour son refus d’importation de veau aux hormones.
Les vrais objectifs du Codex
Le Codex Alimentarius entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. Cet état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires… Nous sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais des procédés de désinformation puissants sont en place pour cacher ces vérités au grand public. La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l’éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profit à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s’attaquer aux causes.
Le docteur Rath, dénonce cette situation en ces termes : « la vraie nature de l’industrie pharmaceutique (mondiale) est de gagner de l’argent avec les maladies chroniques, et non point de s’occuper de la prévention ou de l’éradication des maladies…L’industrie pharmaceutique a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d’assurer la croissance du marché des médicaments. C’est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et NON pour traiter les causes des maladies… les trusts pharmaceutiques sont responsables d’un génocide disséminé permanent, tuant des millions de personnes. »
Une insulte à la démocratie
Le 13 mars 2002, nos euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l’industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires. Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés, à tel point que les communications internes en furent bloquées. Malgré près d’un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées. Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l’Europe.
En fait, une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée en permanence pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation. L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux en les reniant publiquement. Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d’une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d’accusation pour crime contre l’humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye en juin 2003.
La directive que le Codex voulait mettre en application dès 2005.
A partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius, nommées Directives Européennes sur les Suppléments Alimentaires, devront être appliquées sous peine de sanctions financières.
En quoi consistent-elles ?
Il s’agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.
1. Les médecines alternatives telles que l’acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine… se verront progressivement interdites.
2. L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l’agriculture dite bio-dynamique. 3. L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt -le terme technique employé pour rassurer la population étant « ionisé ».) 4. Le Codex Alimentarius contrôlera l’accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et minéraux.L’élargissement des contrôles opérera progressivement, mettant à mal toutes les médecines alternatives ancestrales ou naturelles.
ATTENTION : L’ECHEC PROVISOIRE DE CE PROJET N’EST QUE PARTIE REMISE – VIGILANCE OBLIGE !
L’histoire secrète du trust pharmaco-chimique
Le trust de la pharmaco chimie tel que nous le connaissons actuellement fut conçu par une association de la Rockefeller avec l’IG Farben de l’Allemagne nazie. D’ailleurs, l’industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée, pour préserver les intérêts de la Rockefeller. Depuis 1932, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben finançait Adolph Hitler. Sans ce soutien, selon le tribunal de Nuremberg, le deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu… En 1941, l’IG Farben a établi la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d’oeuvre du camp de concentration. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillage et d’autres crimes. Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952, avec l’aide de Nelson Rockefeller, leur ancien partenaire commercial. Il était alors ministre des Affaires étrangères des U.S.A. Une fois libérés, les dirigeants d’IG Farben infiltrèrent les plus hauts fonctions de l’économie allemande ; jusque dans les années 70, les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi. Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl. Avec le support politique de ce dernier, les trois filiales issues d’IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941. L’organisation nazie de mondialisation, associée à Rockefeller, est une réussite totale. Depuis longtemps, la planète est quadrillée, organisée et gérée pour assurer une expansion mondiale de la pharmaco-chimie. Puis, la « tradition » du cartel de la IG Farben s’est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l’Industrie Chimique. En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est regroupée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code Codex Alimentarius. Un grand nombre de partis politiques européens, dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer son hégémonie économique mondiale.
L’origine de la dynastie Rockefeller
Aux environs de 1860, « Old Bill » Rockefeller, marchand forain de spécialités pharmaceutiques, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole brut en flacon : « Nujol (New Oil : nouvelle huile) ». L’affaire était prospère, il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars.
Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s’imposer. Le Nujol fut baptisé « cure contre la constipation » et fut largement commercialisé. Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.
La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol. L’empire Rockefeller s’est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut, enrichi au carotène, aux populations. C’est ainsi que les fondations de l’industrie pharmaco-chimique furent posées. Nous sommes bien loin des fondements des médecines chinoises, tibétaines ou perses...Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d’atteindre des sommets en terme de bénéfices. En 1948, le chiffre d’affaire annuel de la Rockefeller s’élevait à 10 millions de dollars. Le médicament Nujol existe toujours sous forme de paraffine pure, classé comme laxatif doux : il est recommandé pour la constipation chronique rebelle. Il est fabriqué par le laboratoire Fumouze. Hélas, il capitonne l’intestin et entraîne rapidement des carences graves.
L’heure de vérité
Dans l’idéologie Rockefeller, l’unique objectif est de vendre sans scrupule, d’asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules chimiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c’est l’idée de progrès affichée par tous les Trusts. Cette politique n’a rien de démocratique et vise à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles). Le Codex Alimentarius croit pouvoir faire fi de l’opinion des peuples. Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même, selon des normes qui causeront votre perte. Pendant ce temps, 800 000 personnes meurent tous les ans, dans la seule Amérique du Nord, sur ordonnances allopathiques. Un rapport de l’ONU affirme d’ailleurs que sur 205 000 médicaments de ces industries, seuls 26 seraient indispensables.
Une résistance internationale s’organise
L’Afrique du Sud a affirmé qu’elle ne se conformerait pas aux directives du Codex Alimentarius. Le Ministre de la Santé Manto Tshabalata-Msimang a déclaré que son pays est en désaccord avec cette dichotomie entre médecine naturelle et médecine allopathique. Selon ses conclusions, ces dispositions ne visent qu’à faire de l’argent à partir de remèdes brevetés et à discréditer l’usage des produits naturels.
L’Inde ne se conformera pas non plus aux directives du Codex Alimentarius, car il a fait la promotion de formules pour bébés contenant des ingrédients chimiques, causant une inflammation destructrice du cerveau chez les bébés sensibles. Le délégué indien chargé de plaider l’affaire auprès du Codex a été ignoré, et lorsqu’il insista pour un débat, il fut expulsé de la chambre.
Aux Etats-Unis, l’association des médecins et des chirurgiens américains a exprimé son opposition au Codex afin d’avoir recours à des remèdes naturels.
Au Royaume Uni, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par les Membres de la Chambre des Lords, se sont fermement opposés à la politique pro-Codex de Tony Blair. Ce dernier est taxé d’hypocrisie, puisqu’il à été révélé publiquement qu’il utilise pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l’homéopathie. Tony Blair sera président de l’Union Européenne précisément à partir du premier juillet 2005, jour d’application des directives du Codex.
Le réveil des consciences est amorcé
Fort heureusement, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs souvent violentés par l’arrogance des Cartels pharmaco-chimiques. Ils ont établi le concept de la bio-individualité fondé sur la liberté du choix thérapeutique des patients. Cette conception suscite chez le patient l’esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner. Cette approche s’adapte au patient plutôt que d’imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé. La maladie a une connotation spécifique dans la vie d’un individu, ne pas en tenir compte c’est ramener l’homme au rand de machine sophistiquée. Or l’homme est bien plus qu’une machine mécanico-chimique. Sans que la plupart des électeurs en ait conscience, le non massif à la Constitution européenne a été aussi par chance, un non au Codex Alimentarius. Les grands retards dont nous avaient menacés les marionnettes politiques vendues à la cause du « oui »concerneront surtout le camp des exploiteurs et en particulier, celui du Codex.
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UNE NOUVELLE ARCHE DE NOÉ
Je vous transmets ci après des extraits d’un article de William Engdahl que je vous invite à lire dans sa totalité sur le site :
Simultanément curieusement, le projet pour une nouvelle arche de Noé, version 21ème siècle s’est mise en place dans des terres reculées de Norvège.
Sur l’île perdue de Svalbard, Bill Gates investit des dizaines de millions avec la Fondation Rockefeller, Monsanto Corporation, la Fondation Syngenta et le gouvernement de Norvège, entre autres, dans ce qui est appelé doomsday seed bank [arche de Noé végétale traduit au mieux cette expression qui combine chambre forte, semences et fin des temps ou apocalypse, NDT]. Officiellement, le projet est appelé chambre forte à semences mondiales de Svalbard, sur l’île norvégienne de Spitsbergen, qui fait partie de l’archipel de Svalbard.
Elle contiendra jusqu’à trois millions de variétés différentes de semences du monde entier, « de sorte que la diversité végétale puisse être préservée pour l’avenir, » selon le gouvernement norvégien. Les semences seront spécialement enveloppées pour empêcher l’humidité. Il n’y aura pas de personnel à temps plein, mais l’inaccessibilité relative de la chambre forte facilitera la surveillance de toute activité humaine éventuelle.
Chaque fois que Bill Gates, la Fondation Rockefeller, Monsanto et Syngenta se rencontrent sur un projet commun, il vaut la peine de creuser un peu plus profondément sous les roches de Spitsbergen. Quand nous le faisons, nous trouvons des choses fascinantes.
Le premier point remarquable est qui parraine l’arche de Noé végétale. Ceux qui s’unissent aux Norvégiens sont, comme noté, la Fondation Bill & Melinda Gates ; le géant étasunien de l’agro-alimentaire DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de brevets d’organismes génétiquement modifiés (OGM), de semences de plantes et de produits apparentés de l’agrochimie ; Syngenta, à travers sa fondation, la principale compagnie suisse de semences OGM et de produits de l’agrochimie ; la Fondation Rockefeller, le groupe privé qui a créé la révolution génétique, avec plus de 100 millions de dollars de semences depuis les années 70 ; le CGIAR, le réseau mondial créé par le Fondation Rockefeller pour promouvoir son idéal de pureté génétique à travers la conversion de l’agriculture.
UNE RACE SUPÉRIEURE GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉE ?
La chambre forte à semences de Svalbard commence à présent à devenir intéressante. Mais ça devient encore mieux. « Le Projet » que j’ai évoqué est, depuis les années 20, le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers d’utiliser l’eugénisme, rebaptisé aujourd’hui génétique, pour justifier la création d’une Race Supérieure génétiquement modifiée. Hitler et les Nazis l’appelaient la Race Supérieure Arienne.
L’eugénisme d’Hitler a été financé dans une large mesure par cette même Fondation Rockefeller, qui est aujourd’hui en train de construire une arche de Noé végétale pour préserver des échantillons de toutes les graines de notre planète. Maintenant, ça devient vraiment intrigant. Cette même Fondation Rockefeller a créé la discipline pseudo-scientifique de la biologie moléculaire dans sa poursuite acharnée à réduire la vie humaine à une « séquence génique définie » qui, elle l’espérait, pourrait être ensuite modifiée dans le but de changer à volonté les caractéristiques humaines. Les eugénistes d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement ramenés aux États-Unis après la guerre pour y poursuivre leurs recherches biologiques sur l’eugénisme, qui ont jeté de nombreuses bases du génie génétique des diverses formes de vie, ont été ouvertement soutenus jusque dans le Troisième Reich par les généreuses subventions de la Fondation Rockefeller.
Cette même Fondation Rockefeller a créé la fameuse Révolution Verte lors d’un voyage au Mexique en 1946 de Nelson Rockefeller et d’Henry Wallace, ancien secrétaire de l’agriculture de New Deal et fondateur de la compagnie Pioneer Hi-Bred Seed.
La Révolution Verte visait à résoudre à grande échelle le problème de la faim dans le monde, au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où travaillait Rockefeller. Norman Borlaug, l’agronome de la Fondation Rockefeller, a gagné le Prix Nobel de la Paix pour son travail, un truc à ne sûrement pas se vanter avec des gens comme Henry Kissinger qui se partagent le même.
En réalité, comme il est apparu des années plus tard, la Révolution Verte était une brillante manigance de la famille Rockefeller pour développer un agro-alimentaire mondialisé qu’elle pourrait ensuite monopoliser, tout comme elle l’avait fait dans le monde de l’industrie pétrolière en commençant un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l’avait déclaré dans les années 70 : « Si vous contrôlez le pétrole vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population. »
L’agro-alimentaire et la Révolution Verte de Rockefeller allaient de pair. Ça faisait partie d’une grande stratégie qui incluait le financement de la recherche par la Fondation Rockefeller pour développer quelques années plus tard le génie génétique des plantes et des animaux.
LES OGM COMME ARME DE GUERRE BIOLOGIQUE ?
Maintenant, nous arrivons au cœur de la dangerosité et du potentiel d’usage abusif inhérents au projet de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller à Svalbard. Le développement de semences brevetées, pour la plupart des grandes cultures vivrières, comme le riz, le maïs, le blé, et pour les céréales fourragères comme le soja, peut-il en fin de compte être utilisé dans une horrible forme de guerre biologique ?
Le but explicite du lobby des eugénistes, financé depuis les années 20 par de riches familles élitistes, comme Rockefeller, Carnegie, Harriman et autres, incorporait ce qu’ils appelaient l’«eugénisme négatif» l’extermination systématique des lignées indésirables. Margaret Sanger, une eugéniste alerte, fondatrice de Planification Internationale de la Maternité et intime de la famille Rockefeller, a fait à Harlem en 1939 un truc appelé The Negro Project, qui, comme elle le confiait dans une lettre adressée à un ami, concernait le fait que, « nous voulons exterminer les populations noires, » tel qu’elle l’a exprimé.
En 2001, Epicyte, une petite entreprise de biotechnologie de Californie, a annoncé la mise au point de maïs génétiquement modifiés contenant un spermicide rendant les hommes qui le mangeaient stériles. Epicyte avait à cette époque un accord de coentreprise pour diffuser sa technologie avec DuPont et Syngenta, deux des sponsors de l’arche de Noé végétale à Svalbard. Epicyte a depuis été achetée par une société de biotechnologie de Caroline du Nord. Il était étonnant d’apprendre qu’Epicyte avait développé son maïs OGM spermicide avec des fonds de recherche du ministère de l’Agriculture étasunien, ce même ministère qui, en dépit de l’opposition du monde entier, a continué à financer le développement de la technologie Terminator, actuellement détenue par Monsanto.
Dans les années 90, l’OMS a lancé pour des millions de femmes entre 15 et 45 ans du Nicaragua, du Mexique et des Philippines, une campagne de vaccination soi-disant contre le tétanos, une maladie survenant de choses comme marcher sur un clou rouillé. Les hommes et les garçons n’étaient pas vaccinés, en dépit du fait qu’ils sont vraisemblablement tout aussi susceptibles que les femmes de marcher sur des clous rouillés.
À cause de cette curieuse anomalie, le Comité Pro Vida de México, une organisation laïque catholique romaine, est devenu méfiant et a fait tester un échantillon du vaccin. Les tests ont révélé que le vaccin antitétanique en train d’être colporté par l’OMS uniquement pour les femmes en âge de porter des enfants, contenait de la Gonadotrophine Chorionique ou hCG, une hormone naturelle qui, combinée à une anatoxine tétanique, activait des anticorps rendant la femme incapable de maintenir sa grossesse. Il a été dit qu’aucune femme n’a été vaccinée.
Il est apparu plus tard que la Fondation Rockefeller avec le Comité sur la Population de Rockefeller, la Banque Mondiale (qui abrite le CGIAR), et l’Institut National de la Santé des États-Unis, ont été impliqués dans un projet long de 20 ans, commencé en 1972, afin de mettre au point pour l’OMS un agent abortif dissimulé dans un vaccin contre le tétanos. Par ailleurs, le gouvernement de Norvège, l’hôte de l’arche de Noé végétale de Svalbard, a fait un don de 41 millions de dollars pour développer un vaccin antitétanique spécial, ayant la capacité de provoquer l’avortement.
Est-ce une coïncidence que ces mêmes organisations, depuis la Norvège jusqu’à la Fondation Rockefeller, en passant par la Banque Mondiale, soient également engagées dans le projet de chambre forte pour semences à Svalbard ? Selon le professeur Francis Boyle, qui a rédigé la Loi sur l’anti-terrorisme et les armes biologiques, promulguée par le Congrès étasunien en 1989, le Pentagone est « désormais préparé à disputer et à gagner la guerre biologique » dans le cadre de deux directives de stratégie nationale de Bush adoptées, remarque-t-il, « sans que le public le sache, et révisées » en 2002. Boyle ajoute que, de 2001 à 2004, le gouvernement fédéral étasunien a dépensé 14,5 milliards de dollars pour uniquement des travaux liés au bio-terrorisme civil, une somme faramineuse.
Beaucoup de dollars du gouvernement étasunien sont dépensés dans la recherche de guerre biologique impliquant le génie génétique. Jonathan King, professeur en biologie au MIT, dit que « les programmes de bio-terrorisme en pleine expansion représentent la naissance d’un important danger pour notre propre population. » King ajoute, « bien que ce genre de programmes soit toujours appelé défensif, avec les armes biologiques les programmes défensifs et offensifs se recouvrent presque complètement. »
L’avenir nous dira, à Dieu ne plaise, si l’arche de Noé végétale du Svalbard de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller fait partie d’une autre Solution Finale, celle entraînant l’extinction Définitive, de la Grande Planète Terre.
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Les articles dénonçant le danger que représentent les OGM sont pléthore. Pour n’en citer qu’un.
En Grande Bretagne, The Independent en date du 22/05/2005 annonçait qu’il était désormais en mesure de révéler les détails d’un rapport de 139 pages sur une recherche «secrète» menée par Monsanto sur l’effet des OGM.
Des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié développaient des anomalies de leurs organes internes et des modifications de leur sang. Ce texte amplifia considérablement les inquiétudes sur les conséquences que les OGM pouvaient avoir sur la santé humaine et nombreux furent ceux qui insistaient encore une fois sur le manque de recherche concernant les effets sur l’homme. Des médecins déclarèrent que la modification sanguine des rongeurs pouvaient indiquer que leur système immunitaire avait été endommagé ou qu’une tumeur était apparue et l’organisme s’était mobilisé pour la combattre.
Le Docteur Vyvian Howard de la Liverpool University demanda à ce qu’une recherche complète soit publiée étant donné que les détails du rapport donnaient à première vue matière à inquiétude.
Le Docteur Michael Antoniu, expert en génétique moléculaire à Guy’s Hospital Medical School s’exprima lui aussi en disant que d’un point de vue médical le rapport était inquiétant, ajoutant « qu’il avait très surpris par le nombre de modifications significatives sur les rats nourris aux OGM ».
Bien que le rapport sorte de chez Monsanto, cela ne les empêcha aucunement de déclarer les anormalités des rats non significatives et dues au hasard, reflétant les variations qu’il peut y avoir entre différents rats !
La totalité des résultats étaient contenus dans le rapoert complet que Monsanto refusa de transmettre sous le motif qu’il contenait des informationscommerciales confidentielles que ses concurrents pourraient utiliser !
Et pour finir l’épisode, le porte parole de Monsanto dit tout simplement que « ceux qui opposaient des critiques sur le MON 863, un produit qui somme toute n’était pas nouveau devaient se rapprocher des autorités de régulation, au nombre de neuf, qui l’avaient déclaré sans danger. »
Et voilà la boucle est bouclée ! Non pas tout à fait !
En effet, il est important de savoir que la famille Rockefeller a également l’honneur d’être répertoriée dans le site prestigieux de American Jewish Archives.
Un pays – continent qui était effectivement prévu pour être le Nouveau Monde mais pas celui que l’on nous propose aujourd’hui, plutôt son exact opposé !
Ces deux familles Monsanto et Rockefeller font partie des premières familles juives qui s’installèrent aux Etats-Unis.
Celui d’origine avait été inspiré aux Pères Fondateurs par le Dieu Véritable et Légitime de la Race Humaine, autrement dit le Dieu des Gentils afin que tous les Gentils épris de Justice et de Liberté qui souhaitaient quitter l’Europe déjà bien abîmée par l’influence juive puissent vivre libres et heureux sur ce pays-continent où ils pourraient se construire une vie nouvelle en fonction de leurs valeurs et aspirations.
Et malheureusement cette tentative tourna au fiasco.
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1 – OGM, semences de destruction l’arme de la faim, par William Engdahl page 13
13 – Le Monde selon Monsanto de M.M Robin p 92 à 94 de l’édition La Découverte/Poche.
14 – ibid
15 – Ho MW.UK Food Standards Agency study proves organic food is better. Science in Society 44, 32-33, 2009).
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