Le Québec toujours sous contrôle néolibéral: Le ventre plus creux dans un quartier plus riche

Beaucoup de gens en Afrique,en Europe et ailleurs dans le monde ,rêvent d’immigrer au Québec (parfois en ignorant tout du Québec) afin d’améliorer leur vie.Beaucoup ignorent que des milliers de québécois vivent en dessous du seuil de la pauvreté et sont confronté à une misère sérieuse à se nourrir,même au minimum vital.Voici:

 

Des dizaines de personnes ont participé jeudi après-midi (le 28 mars 2019) à une manifestation devant l’École Charles-Lemoyne, dans le quartier Pointe-Saint-Charles, pour dénoncer la fin, en septembre prochain, de cette mesure alimentaire visant à venir en aide aux enfants dont les parents sont moins nantis.

Manifestation du 28 mars 2019

Ce programme disparaît en raison de la modification de l’indice de défavorisation de l’école. Le développement urbain et l’embourgeoisement ont augmenté le niveau des revenus dans l’ensemble du quartier, selon des données de Statistique Canada.

Le comité de gestion de la taxe scolaire de l’île de Montréal a produit en 2018 une carte révisée de la défavorisation à Montréal à partir du nouveau portrait dressé par Statistique Canada.

Marianne Dumas, qui siège au conseil d’établissement de l’École Charles-Lemoyne, que fréquente son enfant, considère qu’il est regrettable de mettre un terme au programme alimentaire, car il répond à des besoins concrets.

« C’est totalement un non-sens. Ce n’est pas parce que tes voisins ont plus d’argent maintenant que toi, que cela a changé quelque chose dans ton portefeuille. Les parents vont devoir continuer à nourrir leur enfant et cet argent, il va falloir qu’ils le trouvent quelque part. L’enfant n’arrêtera pas de manger, mais l’enfant ne va peut-être pas aller au camp de jour cet été, parce que ses parents ont été obligés de le mettre au service de garde », a-t-elle dit.

Mme Dumas

Mme Dumas déplore le fait que les parents seront forcés de faire des choix, avec la nouvelle tarification.

« Avant, c’était 1 $. L’enfant était gardé à l’école. Cela lui permettait de sociabiliser. Cela lui permettait d’être en sécurité, d’avoir un repas chaud. Maintenant, des parents vont peut-être faire le choix de retourner leur enfant à la maison », illustre-t-elle.

À compter de septembre, les parents vont devoir débourser en moyenne cinq dollars pour un repas chaud servi à l’école et trois dollars pour que leur enfant puisse utiliser le service de garde.

La nouvelle mesure affectera 300 élèves inscrits dans deux écoles du secteur, soit 40 % des élèves de l’école primaire Charles-Lemoyne et 33 % des élèves de l’école primaire Ludger-Duvernay, dans le quartier Saint-Henri.

À la Commission scolaire de Montréal (CSDM), on compte huit écoles qui vont perdre le programme alimentaire, alors que quatre établissements scolaires vont y gagner. Au total, 14 écoles sur l’île de Montréal vont voir disparaître la mesure d’accès à un repas et des services de garde.

Répercussions en vue

Camille Trudel

Camille Trudel, chargée de projets à la Corporation de développement communautaire de Pointe Saint-Charles, s’inquiète des répercussions qu’aura la disparition de cette mesure alimentaire.

« À Pointe-Saint-Charles, on est dans un quartier qui est défavorisé, mais aussi qui est considéré comme un désert alimentaire. L’accès à des aliments frais n’est pas évident. Donc, on peut penser que les lunchs n’auraient peut-être pas nécessairement tout ce qu’il faut pour certaines familles, par manque de ressources », avertit-elle.

La présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon, reconnaît que le portrait de la métropole a beaucoup changé.

« La différence, cette année, c’est qu’il y avait de nouvelles données statistiques du recensement de 2016. Cela a changé grandement entre 2006 et 2016. On se souvient qu’en 2011, c’était le gouvernement Harper. Cela n’avait pas été le même questionnaire. Cela avait été le questionnaire court. Dans le fond, il y a eu dix ans – une décennie – dans les données réelles qui ont été fournies, plus précises. Cela change grandement le portrait de la réalité de Montréal », a-t-elle affirmé.

De son côté, Camille Trudel croit que l’indice de défavorisation est un outil dépassé.

« On aime dire que l’indice n’est pas adéquat pour nos quartiers de plus en plus hétérogènes. Ce n’est pas tant la faute des gens qui arrivent dans le quartier que de la façon dont l’indice est formulé. En fait, il fausse les données. Il dit que finalement, on devient de plus en plus, selon eux, homogène. Donc, les familles sont de moins en moins pauvres, ce qui n’est pas le cas. Il y a des familles plus riches, des familles plus pauvres », souligne-t-elle.

Un programme universel réclamé

Catherine Harel Bourdon

Catherine Harel Bourdon réclame une mesure d’aide alimentaire universelle de Québec.

« Nous, ce qu’on demande, c’est d’avoir une cantine pour tous, vraiment une cantine universelle le midi comme [il y a dans] plusieurs pays de l’OCDE. Si ce n’était pas possible de le faire, il faudrait cibler les enfants défavorisés plutôt que juste cibler les écoles défavorisées. C’est cela, l’enjeu principal. On demande au gouvernement du Québec de financer plus largement les services alimentaires », réclame-t-elle.

La chargée de projets à la Corporation de développement communautaire de Pointe Saint-Charles appuie cette idée.

« On demande que les quatre paliers, CSDM, municipal, provincial et fédéral s’assoient ensemble pour développer une politique alimentaire universelle, que tous les enfants dans toutes les écoles aient accès à un repas », indique Camille Trudel.

Mme Harel Bourdon assure que la CSDM est à la recherche d’une solution de rechange. Elle souligne que son organisation va rencontrer prochainement divers organismes à ce sujet.

« On est en train de regarder nos services alimentaires, mais nos ressources sont limitées. On ne peut pas non plus déshabiller Paul pour habiller Jacques. Il y a quand même un enjeu interélèves, interécoles. On va regarder ce qu’on est capable de faire dans les budgets qu’on a. Mais, on ne pourra pas compenser à la même hauteur d’un repas pour tout le monde », a-t-elle prévenu.

De son côté, le ministère de l’Éducation n’interviendra pas. Il soutient avoir investi 60 millions de dollars supplémentaires dans le budget pour soutenir les élèves de milieux défavorisés, à même une enveloppe de 125 millions sur cinq ans consacrée à la réussite scolaire.

EN CONCLUSION

Depuis la dernière élection au Québec,beaucoup de gens ont cru qu’en remplaçant le parti politique au pouvoir (…par des bulletins de votes  douteux ) qu’ils avaient réglé le problème lié à la corruption politique sur laquelle tout le système néolibéral s’est construit!

La majorité des gens en âge de voter me donnent l’impression de dormir au gaz et ne cherchent aucune solution.Tous semblent penser  que les hauts-fonctionnaires sont devenus honnêtes parce que les libéraux ont été chassé du pouvoir politique,mais je vous signalais déjà avant l’élection du 1 er octobre 2018  que  le choix  du premier ministre avait  déjà été fait et que la famille Desmarais ,alliée au crime organisé, avait dévolu son choix sur la Coalition Avenir Québec,à défaut de ne plus pouvoir continuer  de maintenir  Philippe Couillard au pouvoir.

Il est clair que les libéraux étaient devenu encombrant ,surtout depuis la Commission Charbonneau.Tôt ou tard ,le Peuple Québécois aurait fini  par réclamer ce qui serait devenu impératif:la Justice!

Mais comme nous le voyons,l’un des  éléments fondamentaux  que la Coalition Avenir Québec réclamait durant la campagne électorale,était la remise des sommes d’argent payées en trop par les  familles québécoises en versement de leurs comptes d’électricité à l’Hydro Québec et François Legault,leur chef,a refusé de remettre ces milliards détournés une fois au pouvoir!

Donc le gangstérisme et le crime organisé  gèrent  le gouvernement du Québec! …Rien n’a changé!

Comme je l’ai toujours dit et écrit: si voter changerait quelque chose,on l’aurait déjà  aboli!

Réveillons-nous!…car il est presque trop tard !

Seule la désobéissance civile peut nous permettre de remplacer ce système,mais pour le remplacer il faut avoir le COURAGE de l’abattre dabord!

 

Le silence médiatique est gardé sur les milliers de femmes musulmanes violées, torturées et assassinées dans des prisons syriennes

Où sont les médias, l’ONU, les groupes de «droits de l’homme»?

  • La situation des femmes palestiniennes en Syrie est une question qui ne semble pas déranger les dirigeants palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Ces dirigeants sont trop occupés à se battre et à inciter à la violence les uns contre les autres, contre Israël et les États-Unis. Ils ont complètement oublié les souffrances de leur peuple dans un pays arabe comme la Syrie.
  • Ces femmes, victimes de viols et de diverses formes de torture dans les prisons syriennes, sont les victimes de dirigeants palestiniens défaillants qui semblent se soucier uniquement de conserver leurs comptes en banque et leurs emplois.
  • Pas un seul responsable du Fatah ou du Hamas – ni des Nations Unies ni des soi-disant groupes de défense des droits de l’homme occidentaux – ne s’est prononcé contre le sort des femmes palestiniennes en Syrie. Pourquoi devraient-ils, alors que tout ce qu’ils font la plupart de leur temps est de se jeter de la boue tout en continuant à inciter leur peuple contre Israël et les États-Unis?
En Syrie,la prioson de Sadnaya est la pire horreur inimaginable conçue par la dictature du régime Assad.

 

 

Pour les femmes palestiniennes en Syrie, il n’y avait aucune raison de célébrer la Journée internationale de la femme, un événement commémoré dans le monde entier plus tôt ce mois-ci. Un rapport publié par une organisation de défense des droits humains, le Groupe d’action pour les Palestiniens de Syrie, a révélé que, dans de nombreux pays, les femmes étaient incarcérées dans des prisons syriennes détenues dans des conditions difficiles.

Selon le Groupe d’action pour les Palestiniens de Syrie, les femmes palestiniennes ont été arrêtées par les autorités syriennes après le début de la guerre civile dans ce pays en 2011. « Les autorités de sécurité syriennes continuent de détenir des dizaines de femmes réfugiées palestiniennes depuis le début de la guerre en Syrie « , a déclaré le Groupe . Les chercheurs du groupe ont déclaré avoir été en mesure de documenter les cas de 107 femmes palestiniennes toujours en détention; 44 de la région de Damas, 12 de la ville de Homs, quatre de la ville de Daraa et 41 de différentes régions de la Syrie.

Parmi les femmes détenues sont des étudiants universitaires, des militants et des mères, dont certains, rapport ajouté , ont été incarcérés avec leurs enfants. Les « témoignages de certaines femmes qui ont été libérés de prison confirment qu’ils avaient été soumis à diverses formes de torture aux mains des agents de sécurité syriens, » le rapport dit . « Il est à noter que les femmes palestiniennes en Syrie ont été arrêtées, enlevées, tuées et handicapées, à la suite du conflit en Syrie qui a éclaté en mars 2011 ».

Image associée
La pédophilie fait déjà partie de la culture de l’Arabie Saoudite.

Un autre rapport du même groupe a révélé que depuis 2011, 34 femmes palestiniennes sont décédées dans des prisons syriennes des suites de la torture. Au total, 570 Palestiniens, y compris des femmes, des enfants et des personnes âgées, sont morts dans les prisons syriennes depuis le début de la guerre civile, a indiqué le rapport .

Une autre statistique a montré qu’un total de 484 femmes palestiniennes ont été tuées en Syrie au cours des combats entre les différentes parties rivales: 240 en raison des bombardements, 68 en raison d’ un manque de soins médicaux et le blocus imposé par l’armée syrienne sur la Le camp de réfugiés de Yarmouk près de Damas, 28 par balles tirées par des tireurs isolés, 37 dans des explosions de bombes, 24 par fusillades, 26 par noyade et cinq qui ont été sommairement exécutés sur des places publiques.

Selon le Groupe, un total de 3920 Palestiniens ont été tués en Syrie depuis le début de la guerre civile en 2011. Un autre 317 Palestiniens ont disparu, alors que les Palestiniens 1734 sont détenus dans différentes prisons appartenant au gouvernement syrien.

Une multitude d’enfants sont nés dans les prisons d’Assad,en Syrie.

Un rapport récent de l’agence de presse turque Anadolu a révélé que des femmes syriennes étaient également torturées et violées dans des prisons syriennes. Anadolu a déclaré que 13 500 femmes détenues par les autorités syriennes ont été soumises à la torture et à des viols en prison. Selon le rapport, 7 000 femmes sont actuellement détenues dans des prisons syriennes.

Deux dictateurs qui se protègent mutuellement:Vladimir Poutine et Bachar Al-Assad.

Une ancienne détenue qui s’est identifiée sous le nom de Rana a déclaré que pendant qu’elle était en prison, les agents de la sécurité syriens ont brûlé vif une femme et sa fille qui étaient détenues dans une cellule voisine. Elle a rappelé que deux autres femmes de la ville d’Alep avaient été violées par des gardiens de prison. Elle a déclaré qu’elle avait elle-même été détenue dans une petite cellule avec 15 autres femmes qui avaient été soumises à diverses formes de torture.

Il y a deux ans, une femme palestinienne de 18 ans qui s’identifiait comme Huda se plaignait d’ avoir été violée à plusieurs reprises alors qu’elle était détenue dans une prison syrienne. Elle a déclaré avoir été arrêtée par des membres du groupe terroriste palestinien Popular Front-General Command, une milice qui travaille avec les autorités syriennes, à l’entrée du camp de Yarmouk où elle vit. Avant que Huda ne soit livrée aux Syriens, ses ravisseurs palestiniens l’ont torturée ainsi que trois autres femmes palestiniennes qu’ils avaient arrêtées.

« Les interrogateurs [syriens] m’ont interrogé sur l’identité des femmes et des hommes dans le camp de Yarmouk … Quand j’ai nié les connaître, ils m’ont battue et m’ont électrocutée. J’ai également été violée pendant 15 jours. violée plus de 10 fois par jour par différents officiers et gardes « .

Dans son témoignage , Huda a déclaré qu’elle était tombée enceinte à la suite du viol, mais avait fait une fausse couche en la battant.

«Je saignais beaucoup et je perdais connaissance… Le viol de femmes détenues était très courant. Une femme a tenté de se suicider à plusieurs reprises et elle se frappait la tête contre le mur de la cellule. Chaque fois, elle perdait conscience pendant des heures . « 

Selon Mme Huda, au cours de son incarcération, elle a été témoin d’ une femme de 20 ans qui était également tombée enceinte après avoir été violée à plusieurs reprises:

« Après avoir accouché, elle ne pouvait plus tolérer de voir le bébé ou de le garder près d’elle dans sa cellule … Elle ne pouvait pas supporter d’entendre les pleurs du bébé, alors elle a essayé de le tuer pour qu’elle ne le voie plus. Quelques jours plus tard, un gardien de prison est venu et a emmené le bébé. « 

La situation des femmes palestiniennes en Syrie est une question qui ne semble pas déranger les dirigeants palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Ces dirigeants sont trop occupés à se battre et à inciter à la violence les uns contre les autres, contre Israël et les États-Unis. Ils ont complètement oublié les souffrances de leur peuple dans un pays arabe comme la Syrie.

Résultats de recherche d'images pour « situation des femmes musulmanes violées et torturées dans les prisons en Syrie »

Au cours des deux dernières semaines, la rivalité entre la faction Fatah au pouvoir en Cisjordanie et le Hamas à Gaza semble avoir atteint un nouveau sommet, en particulier après que le Hamas aurait brisé les os de dizaines de partisans du Fatah et de responsables dans la bande de Gaza .

Le Hamas a accusé le Fatah d’être derrière les récentes manifestations contre les difficultés économiques qui ont balayé la bande de Gaza. Dans le cadre de ses efforts pour réprimer les manifestations, le Hamas a envoyé ses agents de sécurité dans les rues pour casser les bras et les jambes de nombreux manifestants. Une des victimes était Atef Abu Seif, le porte-parole du Fatah dans la bande de Gaza, qui a été kidnappé et sévèrement battu. Il reste dans un état grave, les bras et les jambes cassés. Le Fatah dit que le Hamas était derrière l’attaque.

Les responsables du Fatah ont réagi à la répression exercée par le Hamas en appelant le Hamas une organisation terroriste et en comparant ses forces de sécurité à la police secrète de l’Allemagne nazie, la Gestapo. Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a également réagi avec fureur face à la répression de ses partisans dans la bande de Gaza. Le Hamas, a- t- il dit , « se retrouvera dans la poubelle de l’histoire ».

Plus de 13,000 femmes syriennes ont été assassinées en 3 ans.

Pour les femmes palestiniennes en Syrie, le différend en cours entre le Fatah et le Hamas est la dernière chose dont elles semblent se soucier. Ces femmes, victimes de viols et de diverses formes de torture dans les prisons syriennes, sont les victimes de dirigeants palestiniens défaillants qui semblent se soucier uniquement de conserver leurs comptes en banque et leurs emplois. Pas un seul responsable du Fatah ou du Hamas – ni des Nations Unies ni des soi-disant groupes de « défense des droits de l’homme » – ne s’est prononcé contre le sort des femmes palestiniennes en Syrie. Pourquoi devraient-ils, alors que tout ce qu’ils font la plupart de leur temps est de se jeter de la boue tout en continuant à inciter leur peuple contre Israël et les États-Unis?

Un article de Bassam Tawil (quelque part au Moyen Orient)

 

 

L’exode accompagnée par les enfants ,devient la dernière voie de salut!