Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars

La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale

 «En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges.» – Winston Churchill

Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.

Vengeance 1

Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.

Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites.
« Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3

«Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5

C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,

« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11

Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka – avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.

 

Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.

Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appellaient Khazaria – du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer – suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 après JC, juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.

« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8ème siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »  

Khazaria

Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe.
Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. ”

Un traitement pour lequel les Ashkénazes – alias le peuple  » Jamais oublier, jamais pardonner « , sauf lorsqu’ils commettent eux-mêmes des crimes contre l’humanité – n’ont jamais disculpé la Russie.

Juifs ashkénazes khazars 1878

 

 

 

 

 

 

 

Attendant leur heure,ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200.000 membres du clergé chrétien, et détruit 40.000 églises. [2]

Soljenitsyne avec Poutine

 

 

 

 

 

 

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes« , a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. “ Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs”.

La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres [3], tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».

L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.

Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.

Vengeance 2

La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée

 

Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan [4] travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.

« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné  » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »

En d’autres termes, les Ashkénazes – ou les néo-et-vrais-cons américains qui sont majoritairement juifs – aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagie parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. . Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.

Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire – un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi?

  1. Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.
  2. Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents maffieux bien placés connus sous le nom d' »oligarques », dont beaucoupont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid [5], à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.
  3. Parce que la Russie a eu l’audace d’entraver la guerre américaine contre la Syrie, qui a étéorchestrée par l’AIPAC au profit d’Israël, un ignoble pays d’apartheid qui escroque encore et encore le peuple américain.
  4. Parce que, comme l’expliqueDavid Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain.
  5. Parce que la Russie menacela domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :

« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.

« Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.

« Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.

Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.

« Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.

« Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »

…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :

  1. a)le protecteurde la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs – l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;
  2. b)l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;
  3. c)le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs – en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.

Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé:

1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;

2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;

3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néo-nazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.

La vengeance Round 2 est en cours.

Vengeance 3

Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :

En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.

À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction: 1941-1945) rejette la possibilité.

Avec le soutien du premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.

L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive.

 

 

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.

« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les Israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif« , a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.

Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs – au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent – mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.

Était-ce dans l’esprit de Poutine ?

Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?

Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar – une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?

Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de caher ses racines juives ?

Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré : « L’Ukraine deviendra le Grand Israël« .

Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :

« L’histoire explosive du Times of Israel sur les racines khazars des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11ème siècle…

« En Ukraine, le soi-disant « deuxième Israël » (le magnat milliardaire juif ukrainien) , Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de «Casques bleus de Maïdan» et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme «Delta». Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…

« Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néo-nazis de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future « bataille royale » entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. ”

Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.

Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migreront une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.

« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle« , a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. “ Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie – l’Etat juif – sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte – une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. ”

Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine – moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) – comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?

Vengeance Round 3? Nyet.

ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI

La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.

« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe« , a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. ”

Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).

Le Juif nazi-sioniste immoral : le président ukrainien Zelensky,
centre droit, au défilé de la « fierté gay »

 

« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).

Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :

“ Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vues dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. ”

 J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants – toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! ” Psaume 73:2,4,6,12,18,19

CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US

La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.

En fait, en affrontant les supplétifs néonazis ukrainiens formés par Israël de cette cabale juive satanique, qui espère soumettre le monde et détruire le fondement chrétien de la civilisation occidentale, la Russie ne se bat pas seulement pour elle-même, mais pour l’Occident et toute l’humanité. .

« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.

« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une « religion à l’envers » – le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne :  » C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.  » Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. ”

Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :

« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.

« De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante – maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure .

« Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien – la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle – ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. ”

Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit : « Expulser la Russie du système mondial critique – qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde – pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. ”

Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.

« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenues par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.

Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».

« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde« , a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie – qui comprend la plupart des pays européens – devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar. 

« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27

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ADDENDA 1

Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens

Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan – et il y en a des hordes – ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des Patriotes d’Ukraine.

Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).

Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE – dites-le à Ursula von der Lugen – et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.

Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.

Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass – leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.

Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers – avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.

Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.

Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky – tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens – de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée – la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.

Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ». .

Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.

Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néo-nazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.

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 February 27, 2023 Par Biblicism Institute
SOURCE : State of the Nation


NOTES

1

1-Comment fut inventé le peuple juif

Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien,  Shlomo Sand , apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars [a].

Victor Brauner. — « Coupe du doute » (1946)
Museu de Arte, São Paulo, Brésil

Le récit officiel

Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Égypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David [b] et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.

S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.

Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe [c], dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.

D’où vient ce fantasme ?

D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.

Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.

Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.

Le judaïsme, religion prosélyte

Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.

La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Égypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.

Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Égypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci… était aux mains des Égyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.

Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.

L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.

Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).

A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.

Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.

La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina [d], qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.

La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle [a]. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).

Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.

Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».

Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.

Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».

Écrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.

Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.

2-

Les Juifs fomenteurs de la Shoah russe      :
Ceux qui ouvrirent la voie :
– Gesya Gelfman (juive) : criminelle responsable de l’assassinat du Tsar Alexandre II.
– Jacob Schiff (juif) : le banquier américain qui finança la révolution russe de 1917.
– Olaf Aschberg (juif) : banquier.
– Evno Azev (juif) : agent double.
– Grigori Guerchouni : assassin professionnel.
– Alexandre Parvus (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Jacob Ganetski (Jacob Furstenberg) (juif) : larbin de Lénine.
Les moteurs de la révolution de 1917 :
– Léon Trotski (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Lev Kamenev (juif) : révolutionnaire professionnel.
– Grigory Zinoviev (juif) : L’apôtre de la terreur socialiste.
– Iakov Sverdlov (juif) : Assassin du Tsar et de sa famille.
– Grigori Sokolnikov (juif) : ministre des finances de Juifs bolcheviques.
– Karl Radek (juif) : dirigeant socialiste.
– Maxim Litvinov (juif) : issu d’une famille de banquiers juifs, ministre des Affaires étrangères bolchevique.
– Adolf Joffé (juif) : commissaire du peuple aux Affaires étrangères.
– Moïsseï Ouritski (juif) : chef de la Tcheka de Petrograd et grand criminel.
– Moïse Volodarski (juif) : assassin en gros.
– Lazare Kaganovitch (juif) : assassin en gros.
Les exécuteurs zélés :
– Guenrikh Iagoda (juif) : le plus grand meurtrier juif du 20è siècle.
– Martyn Latsis : l’exterminateur de la bourgeoisie.
– Jacob Agranov (juif) : « S’il n’y a pas d’ennemi, il faut en créer ».
– Iakov Iakovlev (juif) : exterminateur de la paysannerie.
– Semyon Dimanstein (juif) : rabbin promoteur de la région juive « autonome », donc sioniste.
– Alexandre Lozovski (juif) : chef syndicaliste et fondateur du Comité antifasciste juif.
– Jacob Yourovski (juif) : criminel ordonnant le massacre de la famille impériale.
– Yakov Davydov (juif) : chef du Département des affaires étrangères de la Tchéka 1921-1922, le premier chef du renseignement extérieur soviétique.
– Solomon Mogilevsky (juif) : chef du service de renseignement extérieur.
– Mikhail Trilisser (juif) : espionnage et contre-espionnage en tous genres.
– Abram Slutsky (juif) : celui qui traquait les opposants à l’étranger.
– Sergey Spigelglas (juif) : chef par intérim du service de renseignement extérieur soviétique.
– Grigori Maïranovski : chimiste assassin.
– Isaï Berg (juif) : inventeur des chambres à gaz ambulantes.
Au Goulag :
– Naftali Frenkel (juif) : organisateur de l’esclavage dans l’institution du Goulag.
Bien-sûr tous les Juifs ne furent pas bolcheviques et tous les bolcheviques n’étaient pas des Juifs. Cependant incontestablement tout une génération de Juifs fut cancérisée par le pouvoir et donc participa à la Shoah anti russe qui fut commise à très grande échelle et jusqu’aux « grandes purges staliniennes » soviétiques de la fin des années 1930.
Des Juifs massacreurs sont parmi les plus grands criminels de tous les temps, et ils se moquaient totalement de leur religion.
Cette génération de Juifs joua un rôle essentiel, pourtant ils n’étaient qu’environ 4% de la population russe. De plus, cette génération de criminels bénéficia, surtout aux États-Unis, d’un fort soutien et d’une réelle sympathie de la diaspora juive.

 

 

 

La guerre en Ukraine a été imaginé pour maintenir l’Union européenne sous tutelle

par Thierry Meyssan

C’est difficile à admettre, mais les Anglo-Saxons ne s’en cachent pas. Pour paraphraser une citation célèbre du premier secrétaire général de l’Alliance, l’OTAN a été conçue pour « garder la Russie à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et l’Union européenne sous tutelle ».

Il n’y a aucune autre interprétation possible de la poursuite des inutiles « sanctions » contre Moscou et des vains combats meurtriers en Ukraine.

 

Cela fait presque un an que l’armée russe est entrée en Ukraine pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité. L’OTAN, rejetant ce motif, considère au contraire que la Russie a envahi l’Ukraine pour l’annexer. Dans quatre oblasts, les référendums d’adhésion à la Fédération de Russie semblent confirmer l’interprétation de l’OTAN, sauf que l’Histoire de la Novorossia confirme l’explication de la Russie. Les deux narrations se poursuivent en parallèle, sans jamais se recouper.

Pour ma part, ayant édité un bulletin quotidien durant la guerre du Kosovo1, je me souviens que la narration de l’OTAN à l’époque était contestée par toutes les agences de presse des Balkans, sans que j’aie le moyen de savoir qui avait raison. Deux jours après la fin du conflit, des journalistes des pays membres de l’Alliance atlantique purent se rendre sur place et constater qu’ils avaient été bernés. Les agences de presse régionales avaient raison. L’OTAN n’avait cessé de mentir. Par la suite, alors que j’étais membre du gouvernement libyen, l’OTAN, qui avait un mandat du Conseil de Sécurité pour protéger la population, l’a détourné pour renverser la Jamahiriya arabe libyenne, tuant 120 000 des personnes qu’elle devait protéger. Ces expériences nous montrent que l’Occident ment sans honte pour couvrir ses actes.

Aujourd’hui l’OTAN nous assure qu’elle n’est pas en guerre puisqu’elle n’a pas déployé d’hommes en Ukraine. Pourtant nous assistons d’une part à des transferts d’armes gigantesques vers l’Ukraine pour que les nationalistes intégraux ukrainiens2, formés par l’OTAN, résistent à Moscou et, d’autre part, à une guerre économique, elle aussi sans précédent, pour détruire l’économie russe. Compte-tenu de l’ampleur de cette guerre par Ukrainiens interposés, l’affrontement entre l’OTAN et la Russie semble à tout instant possible.

Une nouvelle Guerre Mondiale est pourtant hautement improbable, à court terme tout au moins : en effet, les actes contredisent déjà la narration de l’OTAN.

La guerre dure et dure encore. Non pas que les deux camps soient à égalité, mais parce que l’OTAN ne veut pas affronter la Russie. Nous l’avons vu, il y a trois mois, lors du sommet du G20 à Bali. Avec l’accord de la Russie, le président ukrainien Volodymyr Zelensky est intervenu dans les débats en vidéo, depuis Kiev. Il a demandé l’exclusion de la Russie du G20, comme elle l’avait été du G8 après l’adhésion de la Crimée à la Fédération russe. À sa grande surprise et à celle des membres de l’OTAN présents à ce sommet, les États-Unis et le Royaume-Uni ne l’ont pas soutenu3. Washington et Londres sont convenus qu’il y avait une ligne à ne pas dépasser. Et pour cause : les armes russes modernes sont bien supérieures à celles de l’OTAN, dont la technologie date des années 90. En cas d’affrontement, il ne fait aucun doute que certes la Russie souffrirait, mais qu’elle écraserait les Occidentaux en quelques jours.

À la lumière de cet événement, nous devons relire ce qui se passe sous nos yeux.

L’afflux d’armes vers l’Ukraine n’est qu’un leurre : la majorité des matériels envoyés n’atteint pas le champ de bataille. Nous avions annoncé qu’elles seraient envoyées pour déclencher une autre guerre au Sahel4, ce que le président du Nigeria, Muhammadu Buhari, a publiquement confirmé en attestant que de nombreuses armes destinées à l’Ukraine étaient déjà aux mains des jihadistes africains5. Au demeurant, constituer un arsenal de bric et de broc, en additionnant des armes d’âge et de calibres différents, ne sert à rien. Personne n’a la logistique suffisante pour approvisionner les combattants en munitions multiples. Il faut donc en conclure que ces armes ne sont pas données à l’Ukraine pour qu’elle gagne.

Le New York Times a sonné l’alerte en expliquant que les industriels occidentaux de la Défense ne parvenaient pas produire d’armes et de munitions en quantité suffisante. Les stocks sont déjà épuisés et les armées occidentales sont contraintes de donner le matériel indispensable à leur propre défense. Ceci a été confirmé par le secrétaire US à la Marine, Carlos Del Toro, qui a mis en garde face au déshabillage actuel des armées états-uniennes6. Il a précisé que si le complexe militaro-industriel US ne parvenait pas, dans les six mois, à produire plus d’armes que la Russie, les armées US ne pourraient plus accomplir leur mission.

Première remarque : si des politiciens US veulent déclencher l’Armageddon, ils n’ont pas les moyens de le faire dans les six prochains mois et ne les auront probablement pas non plus par la suite.

Mais pourquoi donc Josep Borrell, Charles Michel et Ursula von der Leyen, qui ont été convaincus de corruption et ont prouvé leur incompétence, sont devenus les leaders de l’Union européenne ? Pour souscrire à ce que leur dicte Jens Stoltenberg.

Étudions maintenant la guerre économique. Laissons de côté son camouflage sous un vocabulaire châtié : les « sanctions ». J’ai déjà traité cette question et souligné qu’il ne s’agit pas de décision d’un tribunal et qu’elles sont illégales en droit international. Observons les monnaies. Le dollar a écrasé le rouble durant deux mois, puis il est redescendu à la valeur qu’il avait de 2015 à 2020, sans que la Russie ait emprunté massivement. En d’autres termes, les prétendues « sanctions » n’ont eu qu’un effet négligeable sur la Russie. Elles ont gravement perturbé ses échanges durant les deux premiers mois, mais ne la gênent plus aujourd’hui. Par ailleurs, elles n’ont rien coûté aux USA et ne les ont pas du tout affectés.

Nous savons que, tout en interdisant à leurs alliés d’importer des hydrocarbures russes, les États-Unis en importent via l’Inde et reconstituent ainsi les stocks dans lesquels ils avaient puisé durant les premiers mois du conflit7.

Par contre, nous observons un chamboulement de l’économie européenne qui est contrainte d’emprunter massivement pour soutenir le régime de Kiev. Nous ne disposons ni de statistiques sur l’ampleur de ces emprunts, ni de l’identification des créanciers. Il est cependant clair que les gouvernements européens font appel à Washington au titre de la loi de prêt-bail US (Ukraine Democracy Defense Lend-Lease Act of 2022). Tout ce que les Européens donnent à l’Ukraine a un coût, mais il ne sera comptabilisé qu’après la guerre. Ce n’est qu’à ce moment-là que la facture sera établie. Et elle sera exorbitante. Jusque-là, tout va bien.

Le sabotage des pipe-lines Nord Stream 1 et Nord Stream 2, le 26 septembre 2022, n’a pas été revendiqué après coup, mais avant par le président états-unien Joe Biden, le 7 février 2022, à la Maison-Blanche, en présence du chancelier allemand Olaf Scholz. Certes, il ne s’est engagé qu’à détruire Nord Stream 2 en cas d’invasion russe de l’Ukraine, mais c’est que parce que la journaliste qui l’interrogeait avait cadré le sujet sans oser imaginer qu’il pourrait le faire aussi pour Nord Stream 1. Par cette déclaration et plus encore par ce sabotage, Washington a montré le mépris dans lequel il tient son allié allemand. Rien n’a changé depuis que le premier secrétaire général de l’OTAN, Lord Ismay, déclarait que le véritable but de l’Alliance était de « garder l’Union soviétique à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et les Allemands sous tutelle » (« keep the Soviet Union out, the Americans in, and the Germans down »)8. L’Union soviétique a disparu et l’Allemagne a pris la tête de l’Union européenne. S’il était toujours en vie, Lord Ismay dirait probablement que l’objectif de l’OTAN est de garder la Russie à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et l’Union européenne sous tutelle.

L’Allemagne, pour qui le sabotage de ces pipe-lines est le plus grave coup depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a encaissé sans broncher. Simultanément, elle a avalé le plan Biden de sauvetage de l’économie US au détriment de l’industrie automobile allemande. À tout cela, elle a réagi en se rapprochant de la Chine et en évitant de se fâcher avec la Pologne, nouvel atout des États-Unis en Europe. Elle se propose aujourd’hui de reconstruire son industrie en développant des usines de munitions pour l’Alliance.

Par voie de conséquence, l’acceptation par l’Allemagne de la suzeraineté US a été partagée par l’Union européenne que Berlin contrôle9.

Deuxième remarque : Les Allemands et les membres de l’Union européenne dans leur ensemble ont pris acte d’une baisse de leur niveau de vie. Ils sont, avec les Ukrainiens, les seules victimes de la guerre actuelle et s’en accommodent.

En 1992, alors que la Fédération de Russie venait de naître sur les ruines de l’Union Soviétique, Dick Cheney, alors secrétaire à la Défense, commanda au straussien10 Paul Wolfowitz un rapport qui ne nous est parvenu qu’amplement caviardé. Les extraits de l’original qu’en ont publié le New York Times et le Washington Post font apparaître que Washington ne considérait plus la Russie comme une menace, mais l’Union européenne comme un rival potentiel11. On pouvait y lire : « Bien que les États-Unis soutiennent le projet d’intégration européenne, nous devons veiller à prévenir l’émergence d’un système de sécurité purement européen qui minerait l’OTAN, et particulièrement sa structure de commandement militaire intégré ». En d’autres termes, Washington approuve une Défense européenne subordonnée à l’OTAN, mais est prêt à détruire l’Union européenne si elle s’imagine devenir une puissance politique capable de lui tenir tête.

La stratégie actuelle des États-Unis, qui n’affaiblit pas la Russie, mais l’Union européenne au prétexte de lutter contre la Russie, est la seconde application concrète de la doctrine Wolfowitz. Sa première application, en 2003, consistait à punir la France de Jacques Chirac et l’Allemagne de Gerhard Schröder qui s’étaient opposées à ce que l’OTAN détruise l’Iraq12.

C’est très exactement ce qu’a déclaré le président du comité des chefs d’état-major US, le général Mark Milley, lors d’une conférence de presse à l’issue de la réunion des alliés, le 20 janvier à Ramstein. Alors qu’il avait exigé de chaque participant le don d’armes à Kiev, il a reconnu que « Cette année, il sera très, très difficile d’éjecter militairement les forces russes de chaque centimètre carré de l’Ukraine occupée par la Russie » (« This year, it would be very, very difficult to militarily eject the Russian forces from every inch of Russian-occupied Ukraine »). En d’autres termes, les Alliés doivent se saigner, mais il n’y a aucun espoir de gagner quoi que ce soit en 2023 sur la Russie.

Troisième remarque : Cette guerre n’est pas conduite contre Moscou, mais pour affaiblir l’Union européenne.

Thierry Meyssan

source : Réseau Voltaire


NOTES

  1. Le Journal de la guerre en Europe.
  2. « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.
  3. « Zelensky piégé par Moscou et Washington », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 novembre 2022.
  4. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 24 mai 2022.
  5. « Muhammadu Buhari met en garde contre le flux d’armes de la guerre russo-ukrainienne en Afrique », Actu Niger, 30 novembre 2022.
  6. « Navy Secretary Warns : If Defense Industry Can’t Boost Production, Arming Both Ukraine and the US May Become ‘Challenging’ », Marcus Weisgerber, Defense One, January 11, 2023.
  7. « India’s breaking all records for buying Russian oil, but who is the surprise buyer ? », Paran Balakrishnan, The Telegraph of India, January 16, 2022.
  8. Cette citation orne fièrement le site officiel de l’Alliance atlantique.
  9. « Déclaration conjointe sur la coopération entre l’UE et l’OTAN », Réseau Voltaire, 10 janvier 2023.
  10. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 mars 2022.
  11. « US Strategy Plan Calls For Insuring No Rivals Develop », Patrick E. Tyler, and « Excerpts from Pentagon’s Plan : “Prevent the Re-Emergence of a New Rival” », New York Times, March 8, 1992. « Keeping the US First, Pentagon Would preclude a Rival Superpower » Barton Gellman, The Washington Post, March 11, 1992.
  12. « Instructions et conclusions sur les marchés de reconstruction et d’aide en Irak », par Paul Wolfowitz, Réseau Voltaire, 10 décembre 2003.

 

 

 

 

Tyran sioniste sans foi ni loi, Zelensky publie une LISTE NOIRE des législateurs et journalistes américains tout en volant des MILLIARDS aux contribuables américains ,canadiens et européens

Tout en volant des milliards de dollars sur les contribuables américains, le « président » fantoche ukrainien Zelensky a publié une liste noire menaçante qui désigne spécifiquement les législateurs et les journalistes américains comme étant des « propagandistes russes » qui devraient être rejetés par les médias et la société.

Zelensky et Trudeau ont discuté du dossier des turbines expédiées en Allemagne | Guerre en Ukraine | Radio-Canada.ca
Ce sont des politiciens néolibéraux corrompus ,mondialistes et pro -sionistes qui osent appuyer le dictateur Zelinsky,comme Justin Trudeau le petit mondialiste pourri et hypocrite!

 

Au grand étonnement de beaucoup, parmi ces noms figurent le sénateur américain Rand Paul, la députée Tulsi Gabbard et le journaliste primé Glenn Greenwald.

Quiconque n’est pas d’accord avec Zelensky va maintenant apparemment être qualifié de « marionnette de Poutine », comme si le dirigeant en place d’un pays européen était désormais autorisé à dicter une sorte de score de réputation aux législateurs et aux journalistes américains.

C’est le genre de tactique utilisée dans les États racistes et autoritaires, rappelant l’Allemagne hitlérienne et l’Union soviétique sous Staline. À cela s’ajoutent les tactiques suivantes de Zelensky, toutes méprisables, enracinées dans l’autoritarisme et la tyrannie :

  • interdire tous les partis politiques d’opposition en Ukraine
  • interdire tous les médias à l’exception des médias contrôlés par son régime
  • interdire les livres, les films, la musique, les œuvres d’art et les productions théâtrales qui font référence à l’histoire ethnique russe de l’Ukraine (interdisant essentiellement l’histoire vraie)
Zelinsky est un franc maçon sioniste juif et un sataniste.

Comme Glenn Greenwald l’a détaillé dans son fil Twitter :

Avant l’invasion de la Russie et depuis cette invasion, Zelensky a aboli les libertés fondamentales : médias d’opposition fermés, partis interdits, dissidents emprisonnés.

Alors que l’Ukraine demande de l’argent et des armes à l’Occident, elle veut désormais exporter cette répression dans nos pays avec ses listes noires du maccarthysme:

Vous pouvez voir la liste noire ukrainienne complète, obtenue par @unherd. Au-delà des personnes énumérées ci-dessus, les personnes officiellement calomniées sont @JeffDSachs, @RandPaul, l’ancien président du Brésil @LulaOficial, le colonel Douglas MacGregor, Caleb Maupin, Marine LePen et bien d’autres :

 Il faut une extrême audace à Zelansky et à ses hommes de main pour faire le tour du monde en exigeant que d’autres nations lui envoient des quantités massives d’armes et d’argent, puis essayer de réprimer la dissidence dans nos pays en diffamant les journalistes et les citoyens qui se posent des questions à son sujet.

 

Zelensky est un tyran fou furieux, ivre de pouvoir et un danger pour le monde entier

En effet, Zelensky est devenu un tyran fou furieux qui exige des dizaines de milliards de dollars des États-Unis (et de l’UE) sous le faux prétexte de « défendre la démocratie » alors qu’il marche en fait dans les mêmes pas que les tyrans de l’histoire comme  Staline,Pol Pot et Kim Jung Il.

La place légitime de Zelensky dans la hiérarchie de l’histoire autoritaire pourrait être aux côtés de Kim Jong-Un, ou Pol Pot. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, il est célébré par les médias occidentaux tordus et trompeurs comme un héros divin chargé de sauver l’Europe occidentale des ravages de la Russie.Cela ressemble un peu au rôle que les USA avaient demandé de jouer à Saddam Hussein face à l’Iran des Ayatollas…avant  de le poignarder dans le dos!

Justin Trudeau appuie Emmanuel Macron aux présidentielles françaises | JDM
Les deux chefs d’états mondialistes et franc maçons les plus amis avec l’Ukrane:Justin Trudeau et Emmanuel Macron.

Pourtant, la Russie offre le seul véritable espoir au peuple ukrainien d’échapper à son esclavage sous Zelensky, un tyran qui a passé près de 8 ans à autoriser des frappes militaires contre les innocents de la région du Donbass, faisant la guerre contre des civils tout en menant des opérations de police secrète à travers le pays , avec des assassinats d’opposants politiques et des disparitions secrètes de détracteurs du gouvernement.

Tout cela a été fait sous la pleine direction de la CIA, bien sûr, comme cela a maintenant été facilement admis par le Washington Post et d’autres médias. Zelensky a toujours été une marionnette, ce qui n’est pas surprenant, étant donné son expérience de comédien et d’acteur de télévision gay qui a été facilement soumis à un chantage compte tenu de la saleté de son passé méprisable. Lorsque maintenant  la Russie explique qu’elle travaille à « dénazifier » l’Ukraine, cela a du sens. Zelensky a également travaillé pour soutenir le bataillon nazi Azov qui a terrorisé les civils ukrainiens pendant des années et qui n’a été repoussé que lorsque la Russie a lancé son opération militaire spéciale pour démilitariser le régime ukrainien qui assassinait des civils innocents (y compris des enfants).

Pour le bien du peuple ukrainien, nous ne pouvons qu’espérer que quelqu’un chassera bientôt Zelensky du pouvoir, que ce soient les États-Unis, la Russie ou un coup d’État militaire ukrainien. Plus tôt Zelensky sera destitué, plus tôt les négociations pourront commencer avec la Russie pour une résolution pacifique. Et cela signifie que les morts inutiles d’hommes ukrainiens peuvent enfin s’arrêter, bien trop tard et longtemps après que Zelensky ait sacrifié la vie de dizaines de milliers d’Ukrainiens innocents afin d’essayer de protéger son propre régime anarchique protégé par l’ouest.

DIEU MERCI : la Russie annonce son intention d’aider le peuple ukrainien à éliminer le tyran enragé Zelensky

Heureusement pour le peuple ukrainien, la Russie élargit maintenant la portée de son opération militaire et envisage apparemment de retirer Zelensky du pouvoir. Comme détaillé par Zero Hedge :

La Russie a pour la première fois déclaré que, parmi ses objectifs de guerre ultimes, elle vise le changement de régime en Ukraine. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré dimanche dans des propos rendus publics lundi que Moscou aiderait le peuple ukrainien à « se débarrasser du régime » en Kiev.

Au début de l’été, l’armée russe avait concentré ses objectifs sur le champ de bataille sur la «libération» du Donbass, mais ce dernier commentaire de Lavrov sur la destitution du président ukrainien Volodymyr Zelensky représente l’objectif de guerre le plus vaste à ce jour.

« Nous sommes déterminés à aider le peuple de l’est de l’Ukraine à se libérer du fardeau de ce régime absolument inacceptable », a déclaré Lavrov lors d’une rencontre avec des responsables de la Ligue arabe en Égypte.

De la même manière, le dirigeant de Donetsk, Denis Pushilin, a déclaré que la Russie devait maintenant poursuivre son opération militaire vers l’ouest, en éliminant les sionistes  fascistes d’Odessa, de Kiev et de toutes les villes ukrainiennes fondées à l’origine sous l’Union soviétique.

De NewsRND.com:

Denis Pushilin

Le président de la République populaire de Donetsk, Denis Pushilin, a déclaré qu’il était temps de libérer des villes russes telles que Kyev et d’autres grandes villes.

Le site Internet Russia Today a cité Pouchiline disant : Il est temps de libérer à nouveau les villes russes fondées par le peuple russe, telles que Kyev, Tchernigov, Poltava, Odessa, Dnepropetrovsk, Kharkov, Zaporozhye et Loutsk.

Depuis que la République populaire de Donetsk a déclaré son indépendance de Kyev en 2014, cette région a été régulièrement bombardée par les forces ukrainiennes.

Comme Zelensky, l’OTAN et les États-Unis l’ont clairement indiqué, le seul moyen pour la Russie d’être à l’abri de l’agression occidentale est d’éliminer le régime totalitaire  ukrainien et de permettre au peuple ukrainien d’élire ses propres dirigeants (plutôt que de laisser la CIA installer des marionnettes obéissantes) .

Nous estimons que les jours de Zelensky sont comptés, d’une manière ou d’une autre.

Mettre fin au régime sioniste fasciste de Zelensky est le seul moyen d’arrêter le génocide contre les Russes de souche en Ukraine

Il devient de plus en plus évident pour la Russie et les habitants de Donetsk que le seul moyen d’arrêter le terrorisme de Zelensky et les massacres anti-humains de civils russo-ethniques est de chasser Zelensky et de mettre fin à son régime fasciste une fois pour toutes. Comme pour le dictateur Hitler, les puissances honorables du monde doivent payer le prix de l’élimination du mal de ce monde, même si cela signifie mener une guerre pour atteindre ce résultat.

La Russie a payé un lourd tribut en participant à ce chapitre de l’histoire, perdant plus de 20 millions d’hommes combattant la dictature du Troisième Reich. Maintenant, il semble que la Russie soit appelée à répéter ce sacrifice au profit de l’avenir de l’humanité. Un monde dirigé par des marionnettes de la CIA comme Zelensky est un monde tyrannique et despotique qui ne peut pas être autorisé à rester. Zelensky et ses contrôleurs doivent être empêchés d’asservir toute l’humanité.

En résumé, Zelensky est l’interprétation du mal pur.
Il est à 100% en accord avec la propagande démoniaque « woke » de l’Occident, le manipulation politique  du changement climatique qui écrase la civilisation humaine, l’agenda de la mort/dépopulation vaccinale, la censure extrême et de tous les autres horribles piliers du mal qui caractérisent maintenant les nations occidentales comme l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Ces nations occidentales sont imprégnées de satanisme, de meurtres d’enfants (infanticides), de pédophilie, de fabrication d’armes biologiques pour le compte de la CIA, d’élections truquées, de censure extrême, de persécutions illégales d’ennemis politiques et de crimes contre l’humanité.

À vrai dire, la suppression de Zelensky n’est que la première étape du plan d’action nécessaire pour sauver l’humanité du satanisme et de l’effondrement. La force d’occupation ennemie illégitime qui dirige actuellement le régime illégitime en Amérique doit également être démocratiquement chassée du pouvoir, poursuivie pour ses crimes et punie pour ses crimes contre notre monde.

Ce n’est qu’alors que nous pourrons tous revenir à la coexistence pacifique, au libre-échange, à la disponibilité pour tous de nourriture, d’engrais, de l’énergie, à l’agriculture saine et à l’abondance à des prix abordables.

Source : Natural News


VIDÉO IMPORTANT À VOIR

Sur ce lien:Ames sensibles s’abstenir

ÂME SENSIBLE S’ABSTENIR ..IMAGES DURES❗…..☠🔥☠

🦅.. A en juger par la façon dont sont situés les corps des Azovites exécutés par Zelensky, ils dormaient au moment du bombardement.❗ L’heure de la frappe est deux heures du matin, et cette heure n’a pas été choisie par hasard.
👉🏻L’objectif était de détruire tout le monde. Ils ont été battus non seulement avec de l’artillerie, mais aussi avec des Himars MLRS, une arme assez précise pour tuer.
👉🏻 Tous les représentants du régime de Kiev se sont vantés de ses frappes millimétrées.❗

🦅…Eh bien, chers Ukrainiens, comment trouvez-vous le cynisme de vos gouvernants ❓Ils ont appelé ces prisonniers de guerre des héros de tous les écrans, et quand ils ont commencé à exposer leurs crimes, ils ont été tués de sang-froid ❗

⚔Vous dites que vous vous battez pour la liberté❓
Eh bien, à mon avis, il ne peut y avoir de pire esclavage que celui que vous avez maintenant. Les esclaves sont au moins épargnés, mais vous êtes conduits comme du bétail à l’abattoir.

🦅..Regardez les corps de vos propres soldats morts, de vos propres gouvernants de merde. Peut-être que maintenant, enfin, vos lunettes roses vont tomber et que vous allez regarder sobrement ce qui se passe❗


EN COMPLÉMENTAIRE

Le tyran de Kiev…Zelensky!

La conscription de Zelensky cible désormais les maisons de retraite. Les seniors fuient pour sauver leur peau.

Les exploitants de foyers de soins pour vieux ukrainiens signalent une augmentation des départs en raison des craintes des résidents âgés que les efforts de recrutement de plus en plus désespérés de Zelensky ne les ciblent.

Un retraité de 75 ans, Cadger Starets, qui a récemment quitté la maison de retraite Kladovyshche à Kiev, a expliqué lors d’une interview dans un lieu tenu secret : « Ils sont déjà en train d’attraper des quinquagénaires dans les rues, les plages, les centres commerciaux, « points de contrôle, stations-service et autres lieux publics« . On dirait qu’ils vont  venir nous chercher bientôt. »

Le président ukrainien Vlodomyr Zelensky a démenti les informations selon lesquelles les personnes âgées inaptes à l’armée seraient les prochaines à être traitées par les gangs de la presse. « Nous comprenons que certains résidents de maisons de retraite ont de graves handicaps qui les empêchent de tirer de l’artillerie lourde pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’ils soient explosés« , a entonné l’héroïque président qui joue du piano avec son sexe. « Nos recruteurs ont été formés pour identifier ces cas et les exempter du service militaire. Seuls les vieux pets décrépits pleinement capables, en forme et militairement entraînables seront intronisés de force et envoyés au front.

Plus précisément, a déclaré Zelensky, les personnes âgées en fauteuil roulant ou à mobilité réduite seront exemptées. Ceux qui utilisent des déambulateurs ou des cannes, cependant, peuvent toujours être enrôlés, ainsi que ceux incapables de contrôler les fonctions excrétrices : « Toutes nos troupes perdent le contrôle des fonctions excrétoires pendant les frappes d’artillerie russes [1], donc cela ne devrait pas être un problème. De même, la démence ne sera pas un obstacle à l’induction : « Si cela ne vous empêche pas d’être président des États-Unis, cela ne devrait pas vous empêcher de mourir en première ligne d’une guerre stupide et totalement inutile. »

Zelensky a ajouté que son « papa sucre », l’oligarque truand juif Igor Kolomoyskyi, qui aura 60 ans en février prochain, travaille dans une industrie essentielle, le crime organisé, et bénéficiera donc d’une exemption, d’autant plus qu’il vit sur la terre promise aux malfrats juifs.

SOURCE: Dissociated Press

Kevin Barrett

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[1] Zelinsky ayant déclaré qu’il voulait faire de l’Ukraine un nouvel Israël, il devrait équiper ses soldats d’une aire défensive israélienne : la couche-culotte.

Selon le Military Times, Tsahal a passé en début d’année 2014, une commande de 120.000 unités de couches lavables auprès de la société israélienne SK TRADING, spécialisée dans les produits d’absorbance et fournisseur de l’armée depuis 2009. L’existence des couches culottes dans le paquetage israélien est connue depuis 2006 et les opérations contre le Hezbollah au Liban.

En soignant les blessés islamistes de DAECH, d’Al-Nosra, et d’autres, les médecins israéliens ont constaté le même phénomène d’incontinence liquide et solide que celui observé chez les soldats de Tsahal. Ces soins sont prodigués à la demande et à la charge des Saoudiens et des Qataris (chacun payant pour sa chapelle djihadiste). Par la même occasion, les djihadistes de DAECH et d’Al-Nosra sont devenues, par osmose si l’on ose dire, des utilisateurs des mêmes couches israéliennes. Tablant sur des guerres quasi éternelles au Moyen-Orient, une start-up israélienne, la société Cine’al, vient de se lancer dans ce créneau extrêmement prometteur. Si, en plus de Tsahal et des djihadistes, on ajoute les soldats ukrainiens et otaniens, il y a de quoi se faire des couilles en or.


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Passez une bonne journée,mes ami(e)s!