Présentée comme un extrait d’un futur documentaire, la vidéo, qui assène contre-vérité sur contre-vérité, a accumulé des millions de vues en quelques jours, début mai.
Judy Mikovits, figure du mouvement antivaccination, interviewée dans « Plandemic ».
La vidéo dure vingt-six minutes. Elle est tout entière construite autour des « révélations » d’une chercheuse en épidémiologie, Judy Mikovits, qui raconte avoir été harcelée et mise au ban de la communauté scientifique après avoir découvert les preuves d’un gigantesque complot. Pêle-mêle, elle explique que la pandémie de Covid-19 a été orchestrée pour imposer la vaccination obligatoire, et faire gagner « des centaines de milliards de dollars » aux créateurs d’un futur vaccin, qui ne fonctionnera pas et « tuera des millions de gens ». Le grand orchestrateur de ce complot serait le propre conseiller spécial de la Maison Blanche, l’épidémiologiste Anthony Fauci.
Plandemic – c’est son titre, jeu de mot sur « pandémie » et « plan » – a été l’une des vidéos les plus virales depuis le début de l’année. En moins de deux semaines, d’après les chiffres compilés par The New York Times, elle a été commentée ou partagée près de 2,5 millions de fois, soit quatre fois plus que la très populaire vidéo des comédiens de la série The Office, qui se sont retrouvés pour un bref épisode spécial durant le confinement.
Contrairement à d’autres vidéos antivaccination, Plandemic n’a pourtant pas bénéficié de gros moyens, ni d’une campagne de publicité soutenue. Réalisée par Mikki Willis, un Américain habitant en Californie qui gère une petite société de production, elle a été faite pour un budget de moins de 2 000 dollars, affirme M. Willis auprès du Los Angeles Times. Il explique avoir rencontré Mme Mikovits, figure connue du mouvement antivaccination américain, par le biais d’amis communs.
La vidéo semble s’être diffusée à très grande échelle de manière organique, d’abord par le biais de groupes de discussions liés à la mouvance QAnon, dont certains partisans croient notamment que Donald Trump est le chef d’un mouvement secret visant à mettre au jour une gigantesque conspiration pédophile à la tête des Etats-Unis. Puis elle a circulé dans des espaces de discussion anticonfinement aux Etats-Unis, où elle a également été partagée par plusieurs personnalités, dont Christiane Northrup, une médecin consultante pour l’émission télévisée d’Oprah Winfrey, et Nick Catone, un champion de MMA, détaille le New York Times. D’après la chercheuse en sciences sociales Erin Gallagher, qui a étudié en détail la diffusion de Plandemic, la majorité des « vues » sur la vidéo semble être venue de groupes Facebook.
Supprimée des grandes plates-formes vidéo
Trois jours après sa publication, les principales plates-formes en ligne ont supprimé la vidéo, alors qu’elle dépassait les 7 millions de « vues » sur YouTube. Facebook et Instagram ont expliqué que la vidéo était interdite sur leurs plates-formes principalement parce qu’elle incite les spectateurs à ne pas respecter les consignes sanitaires en vigueur. Dans Plandemic, Mme Mikovits explique notamment que c’est le fait de porter un masque qui provoque la contamination par le Covid-19. Si l’efficacité protectrice des différents types de masques est encore sujette à débat parmi les experts, aucune étude n’indique que leur port puisse « provoquer » une contamination.
Des copies de Plandemic sont depuis hébergées sur d’autres sites, comme Internet Archive ou Google Drive, où les systèmes de modération sont plus limités, et pour certains critiqués pour leur supposée inaction en matière de contrôle des contenus. « Je suis très gêné par le présupposé, diffusé dans les médias, que tous les services qui hébergent des fichiers devraient être modérés comme des réseaux sociaux », objecte l’ancien responsable de la sécurité de Facebook et spécialiste de la désinformation Alex Stamos.
Bimbo’s Initiation est un dessin animé sorti en 1931, créé par les studios Fleischer et mettant en scène Bimbo, le soupirant de la célèbre Betty Boop. Piégé, intimidé, menacé (et torturé ?), Bimbo se retrouve forcé d’entrer dans une société secrète : L’Ordre Mystique du Koo-Koo-Ma-Hatcha…
Bimbo’s Initiation est le dernier cartoon à avoir été animé par le créateur original du personnage, Grim Natwick.
LE DESSIN -ANIMÉ:
EXPLICATIONS:
Bimbo’s Initiation est un dessin animé sorti en 1931. Il a été créé par les studios Fleischer et met en scène Bimbo, le soupirant de Betty Boop. Bimbo est un jeune personnage qui se retrouve forcé d’entrer dans une société secrète : L’Ordre Mystique du Koo-Koo-Ma-Hatcha. Piégé, intimidé, menacé, torturé et abusé, l’initiation de Bimbo se terminera avec la possibilité (l’obligation ?) d’avoir un rapport sexuel avec Betty Boop. Ce dessin animé est le témoignage d’époque d’un système de compromission, de trafic sexuel et de pédocriminalité déjà bien établi à Hollywood en 1931.
LES SYMBOLES
Les haches sont un symbole (notamment) maçon. En langue des oisons, Kubelis en grec (la hache) consonne avec Kubê (la tête) et kaballus (la kabbale). On retrouve ce symbole dans les confréries de « coignée », dont les haches croisées sont un symbole. La hache est un signe d’initiation à l’ordre maçon et à la quête alchimique de la pierre philosophale, censée donner à l’homme le pouvoir de Dieu (précisons que cette quête peut être faite pour des raisons d’élévation, toutes opposées, comme le sont Magie Noire et Magie Blanche).
Il y a une démarche initiatique dans de ce dessin animé. La descente dans les profondeurs, la corde qui fait le tour de la pièce et qui forme en même temps un fil à plomb (si on pousse vraiment…), le concept « tout ce qui est en haut est en bas », l’aspect inquiétant des membres qui sondent l’âme de l’impétrant, le côté masqué rappelant le secret et le bandeau, l’allumette qui est la source de lumière et qui jaillit sur une lumière montrant la réalité et fait apparaitre le piège au complet… Par contre mention spéciale pour la porte avec le crâne donnant sur le miroir… Là on est sur une symbolique très forte visible en loge durant l’initiation… La symbolique du 13 ensuite qui aboutit au point d’interrogation me faisant penser au « doute » empirique, celui qui permet à tout à chacun d’évoluer sans rester sur ses acquis en remettant en question les choses et pour les croyants l’ordre établit divin qui sait?! Le tout se conclut sur un état de choc du personnage qui sera dans une illusion et deviendra l’esclave sexuel convoité par la société secrète. J’y vois la métaphore de chaque humain naissant dans ce monde ultra-libéral où la matière prime sur le reste, où l’argent et le pouvoir sont des fins en soit pour ces adolescents pulsionnels se prétendant adultes et responsables pour diriger le monde. Notre système est basé sur le sexe. Tout passe par ce biais de manière insidieuse. La consommation est à mon sens organisée autour.
à 1:05:ils prennent dans le piège seulement ceux qui sont susceptible d’y tomber (même si personne n’est à l’abri)
à 1:42:allégorie de la caverne, va droit dans le mur, pensant que c’est la réalité
à 2:02: la maison représentait ses valeurs, elles sont inversées
à 2:10: pratique sodomite forcéeLorsque son ombre se dissocie
! Ca parle clairement du MK ultra !!!Et la fin lorsqu’il voit qu’après toute ces tortures il dit non, il y a Betty boop avec ses oreilles de chèvres et ses cheveux en corne qui va chanter et danser devant lui pour lui faire changer d’avis un peu comme l’industrie de la musique et la il accepte, mais en fait elle est le diable !!
Exactement ce qui se passe à la TV:des messages subliminaux
Donc, je reconnais que je pourrais en parler pendant des heures il y a beaucoup de pas d’y aller beaucoup à décrire…J’ai donc choisi, pour participer, d’attirer l’attention sur la bougie posée sur la tête de chacun des membres. Cela montre de toute évidence, que ce groupe secret est d’essence spirituelle, le feu est souvent une façon de représenter l’esprit, mais ici on peut aussi comparer avec le jugement dernier où chacun d’entre nous, face au Seigneur, aura au-dessus de sa tête une lumière qui montrera à tous, la force de notre âme, c’est-à-dire à aimer et connaitre Dieu.Ainsi, Bimbo est bien ici dans une société spiritualiste probablement opposée à une autre spiritualité, décrite juste avant, puisque apparemment les membres ont choisi d’avoir déjà leur lumière en ce bas monde, sur leur tête. Il s’agit là d’un inversement parmi les nombreux inversements présents dans ce court-métrage. Mais alors, si les membres de ce groupe occulte vivent d’un esprit, lequel est-il ? L’exemple le plus parlant que nous ayons serait le passage sous le bandeau en maçonnerie, où le jeune initié est éclairé par le porteur de lumière ( certains initiés en franc-maçonnerie d’ailleurs, rapportent de leur primo-initiation avoir ressenti et vu une lumière spécifique venir vers eux au moment de la levée de bandeau, c’est le porteur de lumière, Lucifer, qui transfère sa lumière à son nouveau fils, recevant sa volonté, il deviendra fils de la veuve). Je peux donc, pour conclure ainsi via le symbole que l’initiation de bimbo est une initiation très probablement luciférienne.
De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l’anthropocène (ou l’ère de l’Homme) et de la déterioration continue de la planète. Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs… : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
L’homme ne serait pas issu de la planète Terre…!
Tout un faisceau d’indices, plus pertinents et convaiquant, les uns que les autres, semblent en effet, démontrer, sinon prouver, que l’homme, en tant qu’espèce, n’est pas issue de cette planète.
Plusieurs sujets et articles vont en ce sens, commençons par le commencement..
La nature est représentée par des processus géologiques, physiques, chimiques, biologiques et écologiques qui ont lieu sur la planète, qui régulent son fonctionnement et assurent la vie et l’Évolution. La matière vivante et la matière abiotique suivent des cycles de vie en circuit fermé puisque, sur la planète de même qu’en chimie, « rien ne se crée, rien ne se perd, tout ce transforme ».
Mais ce qui caractérise la nature, c’est que les éléments qui la composent sont, par définition, adaptés à leur milieu, biodégradables et/ou intégrés aux différents processus terrestres. La nature, en fait, s’adapte à ses propres changements, à sa propre évolution. Et si on considère l’histoire de la planète dans sa globalité, la vie s’y épanouit et se diversifie avec le temps.
Or, si la civilisation actuelle obéit évidemment aux principes de la chimie et de la physique, elle suit par contre des lois écologiques différentes : elle épuise progressivement les ressources, pollue et détruit les habitats. Cette différence est due à un impact de grande ampleur et rapide, qui bouleverse « l’équilibre » de la planète, allant jusqu’à réduire la richesse biologique terrestre.
Or, l’être humain est le fruit de l’Évolution et à ce titre il fait de facto partie de la nature. Alors, cet impact écologique majeur, inextinguible, celui dû à une espèce qui est issue de la nature, peut-il être considéré comme « normal », comme naturel ?
Devant l’ambivalence qui existe entre, d’une part la confrontation être humain/nature, son « insoutenabilité », et d’autre part le fait qu’Homo sapiens est une espèce vivante de la planète Terre au même titre que toutes les autres, il apparaît légitime de se demander si, finalement, l’être humain « est naturel ».
Certains indices, s’ils ne répondent pas tout à fait à la question, montrent tout au moins que l’être humain lui-même ne se considère pas tout à fait comme faisant partie de la nature : le fait de confronter la nature, ce sentiment de supériorité du genre humain qui règne au sein de notre civilisation, le fait d’utiliser des termes comme matériaux « synthétiques », d’intelligence « artificielle », tous ces indices laissent supposer que ni notre technologie ni l’être humain lui-même ne sont considérés comme faisant partie de la nature.
Les arguments et explications ci-dessus sont plutôt pertinent, et l’on peut adhérer à ces écrits, sans pour autant croire aux extraterrestres, ou à Dieu, ou même à la théorie de l’évolution.
D’autres, n’hésitent pas à tenter d’aller encore plus loin (en étant moins convainquant pour certains) pour démontrer que nous ne sommes pas originaire de la Terre…
« La preuve que les humains ne viennent pas de la Terre »
Un écologiste américain affirme que les humains ne proviennent pas de la terre. Selon lui, plusieurs éléments prouvent que l’Homme n’est pas adapté à sa planète et qu’il aurait donc été amené par des aliens, il y a des millénaires.
Dans son ouvrage intitulé « L’Homme n’est pas issu de la Terre: évaluation scientifique de la preuve », le Dr Ellis Silver aborde un certain nombre de caractéristiques humaines, qui selon lui prouvent que contrairement aux autres espèces terriennes, l’homme n’est absolument pas adapté à son environnement.
Iceberg à la dérive. Selon un explorateur britanique, les températures printanières et estivales dans l’Arctique sont montées d’une façon incroyable au cours des trois dernières années et de vastes zones maritimes qui étaient naguère couvertes par la banquise en été sont désormais en eau libre. /Photo d’archives/REUTERS/Fabian Marelli/La Nacion
Douleurs dorsales
Selon lui, si l’Homme souffre de problèmes de dos ce n’est pas innocent. « C’est parce que nous avons évolué dans un monde avec une gravité inférieure », explique-t-il à Yahoo en affirmant que si la Terre rencontre la plupart de nos besoins, il y a de trop nombreuses lacunes.
Peau inadaptée
Pour Silver, la peau de l’Homme prouve également que nous ne sommes pas faits pour vivre ici. « Les humains ne sont pas conçus pour être aussi exposés au soleil », dit-il. « Contrairement aux lézards, nous ne pouvons pas être exposés au soleil tous les jours sans problème ». « Alors pourquoi sommes-nous sur Terre? », s’interroge-t-il.
« L’humain est soi-disant l’espèce la plus développée de la planète, mais il est étonnamment inadapté et mal équipé pour l’environnement de la Terre », dit-il. « Il est lésé par la lumière du soleil, a une forte aversion pour les aliments d’origine naturelle et a des taux ridiculement élevés de maladies chroniques ».
Anatomie inappropriée des bébés
L’écologiste poursuit son argumentaire en prenant l’exemple de nos bébés. Selon lui, les nouveaux-nés ont une tête beaucoup trop grosse. « Il est difficile pour les femmes de donner naissance », explique-t-il. « Cela peut entraîner le décès de la mère et de l’enfant. Aucune autre espèce sur Terre n’a ce problème ».
Pour le Dr Ellis Silver, il n’y a pas de doute: « Nous ne sommes pas d’ici ». « Cela suggère que l’humanité peut avoir évolué sur une autre planète », dit-il en expliquant que des extraterrestres auraient pu nous amener ici comme une espèce hautement développée.
Et l’écologiste va plus loin. « La Terre pourrait être une planète-prison », avance-t-il. « Puisqu’il semble que nous soyons une espèce naturellement violente, nous sommes probablement ici jusqu’à ce que nous apprenions à mieux nous comporter ».
J’avoue que sur l’idée et la théorie de la planète « prison » je suis plutôt preneur, et en accord, mais j’y reviendrai plus tard, dans un autre sujet.
Pour un autre scientifique, l’homme viendrait et serait originaire de la planète Mars !
L’Homme pourrait venir de Mars, selon un chercheur américain. Ainsi, le molybdène, un métal présent actuellement sur Terre serait originaire de la planète rouge. Pour le chercheur de l’Institut Westheimer, une météorite aurait fait le lien entre les deux astres.
Life from Mars. Et si la vie sur Terre était venue de Mars par météorite? C’est la théorie d’un chercheur de l’Institut Westheimer pour la science et la technologie de Gainesville, aux Etats-Unis. A l’origine de révélation: une forme oxydée de molybdène, un métal utilisé de nos jours dans des alliages pour les outils de bricolage ou les couronnes dentaires.
A l’époque reculée où la vie est apparue sur Terre, ce molybdène oxydé a servi à empêcher les molécules de carbone (briques élémentaires de toute forme de vie) de se dégrader et de finir en goudron, estime Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer.
« C’est seulement lorsque le molybdène est très fortement oxydé qu’il devient capable d’influencer la formation d’une vie primitive », précise l’enseignant chercheur, qui a présenté sa théorie lors d’une conférence internationale consacrée à la géochimie à Florence, en Italie.
La Terre bombardée par des comètes et astéroïdes…
« Cette forme de molybdène ne pouvait pas être présente sur Terre à l’époque où les premiers éléments de la vie sont apparus, parce qu’il y a trois milliards d’années, la surface de la Terre ne contenait que très peu d’oxygène, contrairement à Mars », explique Steven Brenner.
A l’époque, le système solaire était particulièrement agité et la Terre était sans cesse bombardée par des comètes et astéroïdes. Notre voisine Mars également, ce qui explique comment des débris martiens ont pu se retrouver projetés dans l’espace pour finir leur course sur notre planète, piégés par son champ de gravité.
Des analyses récemment effectuées sur une météorite martienne y ont montré la présence de molybdène ainsi que de bore, un métalloïde qui aurait contribué à protéger l’ARN, un précurseur primitif de l’ADN, de la corrosion.
Sommes-nous tous des Martiens ?
« Il semble qu’on accumule les preuves selon lesquelles nous sommes en réalité tous des Martiens et que la vie a débuté sur Mars avant de venir sur Terre à bord d’un rocher », résume l’enseignant-chercheur américain.
« C’est un coup de chance, car la Terre est de loin la meilleure des deux planètes pour héberger de la vie. Si nos hypothétiques ancêtres martiens étaient restés sur Mars, on ne serait peut-être pas là pour en parler », conclut Steven Brenner.
D’autres théories expliquent l’apparition de la vie sur Terre par de l’eau apportée sur la planète bleue par des comètes, composées de glace et de poussières cosmiques héritées de la formation du système solaire.
Une autre hypothèse, baptisée « panspermie », suggère que des bactéries embarquées comme passagers clandestins sur des astéroïdes aient fini par s’écraser sur Terre pour y proliférer dans ses océans chauds et accueillants.
Cette théorie, comme quoi l’Homme vient de Mars pourra être confirmé ou infirmé par le robot qui succèdera à Curiosity. La Nasa prévoit de l’envoyer dès 2020 avec pour objectif de découvrir la vie sur Mars. Mais si les hommes viennent de Mars, les femmes viennent-elles vraiment de Vénus ?
Il suffit de regarder le monde autour de nous pour constater qu’il existe une fracture entre d’une part la nature, la façon dont elle fonctionne et dont elle est constituée, et d’autre part la sphère humaine. La fracture est d’abord physique et matérielle : nous ne vivons plus au sein de la nature même si nous en dépendons fortement, et nous avons de moins en moins de contact avec elle dans notre vie quotidienne.
Notre environnement est davantage humanisé, synthétique. Cette situation a pour origine une civilisation fortement industrialisée, marquée par la prédominance de la technologie, et une société également très urbanisée, suivant un mode de vie qui fait que les individus sont constamment pressés par le temps. Autant de caractéristiques qui nous éloignent, qui nous extirpent de la nature, de son rythme et de ses effets bénéfiques, et qui nous désensibilisent face aux prérogatives nécessaires à sa protection.
La fracture est également culturelle. Du haut de sa froide rationalité et de ses impressionnantes réalisations techniques, l’être humain contemporain, entretient un rapport de domination vis-à-vis de la nature.
Notre civilisation considère la nature comme un marché gratuit et abondant, sur lequel nous avons droits et pouvoirs pour assouvir nos besoins, nos envies et assurer notre confort, et dans lequel on peut puiser des ressources à l’envi. Dans la civilisation actuelle, on considère que la nature se doit d’être à notre entière disposition et à celle de l’économie, alors que nous devrions la considérer comme une alliée qui peut subvenir à nos besoins dans la mesure où nous sachons nous adapter et composer avec elle.
La vision actuelle du monde et de la nature de la civilisation occidentale remonte à l’origine au siècle des lumières, une période au cours de laquelle le développement des connaissances laissait d’aucuns penser que nous aurions la maîtrise de la nature et de notre destinée en tant que société. Cette vision s’est progressivement renforcée, et ce surtout depuis le dernier siècle.
Les Occidentaux ont cru alors détenir un pouvoir sans limite grâce à ses « exploits » technoscientifiques les plus modernes comme l’exploration de l’espace, la « conquête » de la Lune, l’exploration du monde interstellaire, l’exploitation de l’énergie contenue dans la matière (l’énergie nucléaire), et une compréhension fine de l’infiniment petit (la nature intime de la matière) et de l’infiniment grand (la structure, le fonctionnement et l’origine de l’univers).
Et c’est sans parler des progrès de la médecine, du recul de certaines maladies autrefois meurtrières, conjugués à l’allongement de l’espérance de vie.
D’autres réalisations technologiques semblent montrer que notre civilisation maîtrise la nature et est capable de se soustraire aux contraintes qu’elle nous impose. Les technologies nous servent à mettre la nature « à notre main ». Nous avons ainsi érigé de gigantesques barrages hydroélectriques permettant de maîtriser le flux des cours d’eau et de produire de l’énergie.
La maîtrise de l’atome nous permet également de produire des quantités d’énergie inégalées. Les méthodes de l’agriculture industrielle (monocultures, fertilisation et épandage de pesticides abondants) et l’irrigation ont permis de décupler les rendements des cultures par rapport à ce qu’offre le sol naturellement et de cultiver à des endroits peu propices aux plantations.
C’est jusqu’à la neige artificielle qui nous permet de compenser partiellement le manque de neige sur les pentes de ski tandis que les terrains de nos maisons sont dénaturés pour ressembler à des greens de golf. Dans le domaine de la biologie, des naissances autrefois impossibles peuvent dorénavant être envisagées grâce à la procréation assistée, assurant ainsi le bonheur de couples infertiles.
Les biotechnologies permettent par ailleurs de donner l’existence à des organismes, animaux et plantes (organismes génétiquement modifiés (OGM)) ayant des propriétés spécifiques et auxquels la nature n’avait jamais prêté vie.
Ces exemples montrent que non content d’être déconnectés et de soumettre la nature à nos désirs et à notre volonté, nous la modifions, nous la confrontons même. Il est paradoxal que ces modifications soient tout à fait conscientes mais que les crises écologiques majeures qui en résultent soient involontaires (du moins, elles l’étaient jusqu’à récemment).
Cette maîtrise apparente sur la nature sous tous ses aspects, qui dans les faits s’oppose aux règles naturelles, se déploie conjointement avec l’utilisation d’un ensemble de technologies sophistiquées et qu’elles nous font paraître la nature remplaçable, tout au moins pour certains d’entre nous et notamment pour les partisans d’une économie orthodoxe.
Pourtant, ce pseudo-contrôle de la nature se réalise au dépend de profondes transformations des écosystèmes et de l’écosphère, des mutations qui aujourd’hui menacent les sociétés.
Depuis peu, ce faux sentiment de contrôle de la nature nous incite même à envisager la géoingénierie pour contrer cette menace écologique qui frappe à nos portes.
Au fond, cette vaste et continuelle détérioration de notre environnement et dont nous sommes les seuls responsables apparaît comme la démonstration ultime de la fracture entre l’être humain et la nature.
Nous ne pouvons que nous incliner, et admettre cette réalité…
L’œuvre peint de Balthus est relativement peu abondant et figuratif, et se réparti en deux grands thèmes des paysages (dont le fameux paysage dit de « Larchant 1939 » qui sont « inertes et calmes » suivant le mot d’Antonin Artaud , des portraits et quelques scènes de genre (La Rue, 1933 – MoMA NY) où figure une citation directe de Picasso ; peintures qui puent « la mort, la peste et les épidémies ». Dans une première partie de sa carrière, jusqu’aux années 1950, son œuvre est profondément marqué par Courbet et Géricault avec une texture ample et des couleurs sombres, puis, dans une seconde partie, son œuvre est marqué par des textures plâtreuses avec de nombreuses citations de la Renaissance et de Piero della Francesca en particulier.
L’artiste a réalisé durant sa vie trois cents peintures environ, dont beaucoup ne sont pas datées.
Artiste méticuleux — certains tableaux nécessitant plusieurs années pour être achevés et après de nombreuses études préparatoires —, Balthus est resté célèbre pour ses tableaux de jeunes filles nubiles, souvent peintes dans des poses ambiguës, jouant sur l’idée de l’innocence perdue à l’adolescence.
« Je vois les adolescentes comme un symbole. Je ne pourrai jamais peindre une femme. La beauté de l’adolescente est plus intéressante. L’adolescente incarne l’avenir, l’être avant qu’il ne se transforme en beauté parfaite. Une femme a déjà trouvé sa place dans le monde, une adolescente, non. Le corps d’une femme est déjà complet. Le mystère a disparu. »
Balthasar Kłossowski, parfois dit Kłossowski de Rola (1908-2001)
« La meilleure façon de commencer est de dire, Balthus est un peintre dont on ne sait rien. Et maintenant, regardons les peintures », telle est la réponse laconique que le peintre adresse à la Tate Gallery, qui en 1968, organisant une exposition de ses œuvres, souhaitait également agrémenter le catalogue de quelques éléments biographiques.
Le Roi des chats — titre d’un de ses autoportraits peint à 27 ans — a en effet toujours souhaité s’entourer d’une aura de mystère, ce qui a sans aucun doute contribué à occulter sa personnalité et son œuvre aux yeux du grand public.
Balthust :l’artiste avec son chat et la fameuse toile.
Dans ce tableau, le peintre, en pied et le corps déformé, peint sur un fond ocre jaune. À sa gauche un chat se frotte à ses jambes trop longues, alors que sur un tabouret à sa droite repose un fouet sous lequel est écrit en anglais « The portrait of H.M, the King of Cats painted by Himself, MCMXXXV5 ». « Son auto-portrait est à la fois ironique, teinté de comique, d’emphase mélodramatique et de solennité » et décrit l’art de Balthus comme « celui qui laisse ses sujets en paix mais qui veut inquiéter le spectateur », par une étrangeté explorant rêveries et pulsions secrètes plus ésotériques qu’érotiques.
Nue,toile non datée de Balthus.
Balthust,le foulard blanc,1937.
NUDE WITH CAT, 1949, BY BALTHUS [c NATIONAL GALLERY VICTORIA, MELBOURNE, AUSTRALIA/BRIDGEMAN]Balthust,Jeune fille au voileBalthust,L’écuyère,1944.Balthust,Les enfants Blanchard ,1937,
Balthust,Nue,1957.Balthust,Desnudo.
Balthust,La toilette de Georgette,1948-49.
Balthust,L’habillement de Cathy.
Balthust,La chambre.
Balthust,Nude with a Silk ScarfBalthust,La fille au chat.
La diffusion de cette vidéo démontre que la guerre que me livrait la fameuse chaîne You Tube est maintenant terminée et que je vais pouvoir enfin vous en mettre plein la vue!J’ai en main un nombre élevé de vidéo…pas toujours en bon état.mais que je vais pouvoir évaluer pour diffusion,
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