*On a récemment découvert ce poème du Führer Adolph Hitler dans une pile de dossiers dissimulés.Ce poème change notre vision du Fühere ,pour ceux qui le honnissent!

Dans le fourré de la forêt en Artois
(Traduction directe de l’allemand au français)
C’était dans le bosquet du bois d’Artois.
Profondément dans les arbres, sur un sol imbibé de sang,
Lay étira un guerrier allemand blessé,
et ses cris résonnèrent dans la nuit.
En vain … aucun écho n’a répondu à son appel …
Sera-t-il saigner à mort comme une bête,
Ce coup dans l’intestin meurt seul?
Puis tout à coup …
Des pas lourds s’approchent de la droite.
Il entend comment ils frappent le sol de la forêt …
Et un nouvel espoir jaillit de son âme.
Et maintenant de la gauche …
Et maintenant des deux côtés …
Deux hommes s’approchent de son lit misérable.
Un Allemand et un Français.
Et chacun regarde l’autre d’un regard méfiant,
Et menaçant ils dirigent leurs armes.
Le guerrier allemand demande:
« Que faites-vous ici? »
« J’ai été touché par l’appel à l’aide du pauvre. »
« C’est ton ennemi! »
« C’est un homme qui souffre. »
Et tous les deux, sans paroles, baissèrent leurs armes.
Alors entrelacé leurs mains
Et, avec des muscles tendus, soigneusement soulevé
Le guerrier blessé, comme si sur une civière,
Et l’a porté à travers les bois.
Ils sont venus aux avant-postes allemands.
« Maintenant c’est fini, il aura de bons soins. »
Et le Français se retourne vers les bois.
Mais l’Allemand saisit sa main,
Looks, ému, dans des yeux affligés de tristesse
Et lui dit avec un pressentiment sérieux:
« Je ne sais pas ce que le destin nous
réserve , Qui régit d’une manière impénétrable dans les étoiles,
peut-être tomberai-je, victime de ta balle,
peut-être que la mienne te tombera sur le sable,
indifférente aux batailles.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’il advienne:
nous avons vécu ces heures sacrées,
Où l’homme s’est trouvé dans l’homme …
Et maintenant, adieu! Et que Dieu soit avec vous!
Adolf Hitler, 1916
*Traduction :Michel Duchaine et Enrich von Echman