Huge “dog-bears” populated the Pyrenees 12 million years ago

A fossilized mandible unearthed in the Pyrénées-Atlantiques in France belongs to a species of amphicyonid unknown to date, say paleontologists associated with the Museum of Natural History in Basel, Switzerland.

Better known as bear dogs, Amphicyonidae are an extinct family of large carnivorous mammals. These animals, closely related to canids, inhabited much of the Northern Hemisphere.

Appeared in the Eocene (36 million years ago) and disappeared in the middle Miocene (7.5 million years ago), they represent one of the most characteristic groups of predators of the ancient fauna. European.

Tartarocyon cazanavei

 

 

 

 

 

 

 

 

Their body mass ranged from 9 to 320 kg and their diet was typically mesocarnivorous, omnivorous, bone-crushing and hypercarnivorous,” notes paleontologist Bastien Mennecart in a statement released by the museum.
The mandible was unearthed in the small town of Sallespisse, in the Pyrénées-Atlantiques department in southwestern France. It was extricated from a marine deposit 12 to 12.8 million years old.

The mandible was unearthed in a marine deposit 12 to 12.8 million years old..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Scientists were struck by the dentition of the lower jaw.

The team named the beast Tartarocyon cazanavei, a name inspired by the character of Tartaro, a one-eyed giant from Basque mythology.

The body mass of a Tartarocyon is estimated at 200 kg, making it one of the largest predators that lived in European territory during the Miocene.

Fossil discoveries of terrestrial vertebrates that lived 13 to 11 million years ago in the northern Pyrenees are very rare, the statement noted. This discovery and the description of the lower jaw are all the more important. They offer the opportunity to better understand the evolution of European bear dogs in the environmental context of the time.

The details of this work are published in the journal PeerJ (in English).

Holotype of Tartarocyon cazanave se Sallespisse, France, in occlusal, lingual and labial views. Scale bar – 5 cm. Image credit: Sole et al., doi: 10.7717/peerj.13457.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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D’énormes « chiens-ours » peuplaient les Pyrénées il y a 12 millions d’années

Une mandibule fossilisée mise au jour dans les Pyrénées-Atlantiques en France appartient à une espèce d’amphicyonidés inconnue à ce jour, affirment des paléontologues associés au Musée d’histoire naturelle de Bâle, en Suisse.

Mieux connus sous le nom de chiens-ours», les amphicyonidés forment une famille éteinte de grands mammifères carnivores. Ces animaux étroitement apparentés aux canidés peuplaient une bonne partie de l’hémisphère Nord.

Apparus à l’éocène (il y a 36 millions d’années) et disparus au miocène moyen (il y a 7,5 millions d’années), ils représentent l’un des groupes de prédateurs les plus caractéristiques de l’ancienne faune européenne.

Tartarocyon cazanavei
Leur masse corporelle variait de 9 à 320 kg et leur régime alimentaire était typiquement mésocarnivore, omnivore, broyeur d’os et hypercarnivore», note le paléontologue Bastien Mennecart dans un communiqué publié par le musée.
La mandibule a été mise au jour dans la petite commune de Sallespisse, dans le département des Pyrénées-Atlantiques, dans le sud-ouest de la France. Elle a été extirpée d’un dépôt marin vieux de 12 à 12,8 millions d’années.
La mandibule a été mise au jour dans un dépôt marin vieux de 12 à 12,8 millions d’années.

Les scientifiques ont été frappés par la dentition de la mâchoire inférieure.

L’équipe a nommé la bête Tartarocyon cazanavei, nom inspiré du personnage de Tartaro, un borgne géant de la mythologie basque.

La masse corporelle d’un Tartarocyon est estimée à 200 kg, ce qui en fait l’un des plus gros prédateurs qui vivaient sur le territoire européen au miocène.

Les découvertes de fossiles de vertébrés terrestres qui vivaient il y a 13 à 11 millions d’années dans le nord des Pyrénées sont très rares, note le communiqué. Cette découverte et la description de la mâchoire inférieure sont d’autant plus importantes. Elles offrent l’occasion de mieux comprendre l’évolution des chiens-ours européens dans le contexte environnemental de l’époque.»

Le détail de ces travaux est publié dans la revue PeerJ (en anglais).

Holotype de Tartarocyon cazanavei de Sallespisse, France, en vues occlusale, linguale et labiale. Barre d’échelle – 5 cm. Crédit image : Sole et al ., doi : 10.7717/peerj.13457.

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