Lorsque les forces ukrainiennes et de l’OTAN auront perdu leur guerre dans l’est de l’Ukraine d’ici Noël, qu’adviendra-t-il de la croupe de l’ouest de l’Ukraine ? L’avertissement russe, lancé vendredi dernier au Conseil de sécurité par le président Vladimir Poutine, est que l’armée russe défendra l’ouest de l’Ukraine, connue sous le nom de Galice, contre toute tentative d’intervention des forces polonaises dans le cadre d’une formule de « maintien de la paix » de l’OTAN ou d’un accord bilatéral. accord de défense entre le régime de Kiev et Varsovie pour placer la Galice sous la protection de l’article 5 de l’OTAN.
L’avertissement de Poutine était concret, explicite, géographiquement limité. Il s’appliquait aux frontières occidentales actuelles de l’Ukraine, à la frontière orientale de la Pologne et à la frontière polono-biélorusse. » Je voudrais aussi vous rappeler à quoi a abouti la politique agressive de la Pologne. Cela a conduit à la tragédie nationale de 1939, lorsque les alliés occidentaux de la Pologne l’ont jetée au loup allemand, la machine militaire allemande. La Pologne a en fait perdu son indépendance et son statut d’État, qui n’ont été restaurés que grâce en grande partie à l’Union soviétique. C’est aussi grâce à l’Union soviétique et grâce à la position de Staline que la Pologne a acquis un territoire important à l’ouest, territoire allemand. C’est un fait que les terres occidentales de la Pologne sont un cadeau de Staline. Nos amis de Varsovie l’ont-ils oublié ? Nous leur rappellerons. »
Les « amis de Varsovie » n’étaient pas le seul public visé par Poutine. Son avertissement s’adresse également aux amis de Berlin, aux amis baltes, aux amis de Paris, de Bruxelles et de Budapest et, bien sûr, aux amis de Washington. En décembre 2021, ils se sont vu proposer les conditions de sécurité mutuelle et de non-agression en Europe dans des traités pour les États-Unis et l’OTAN déposés par le ministère russe des Affaires étrangères . Ils ont été écartés lors de négociations diplomatiques qui ont duré moins d’un mois .
À Noël de cette année, comme Poutine vient de le souligner, l’armée ukrainienne et les forces de l’OTAN auront épuisé leurs capacités pour continuer le combat. « Le monde entier voit que le matériel militaire occidental tant vanté, soi-disant invulnérable, est en feu« , a-t-il ajouté. Ce qui peut arriver ensuite est « un jeu extrêmement dangereux, et les auteurs de tels plans devraient réfléchir aux conséquences« .
Ceci est un avertissement que si les Polonais se déplacent vers l’est, les Allemands seront également motivés à se déplacer vers l’est, afin de récupérer les territoires prussiens que l’Allemagne a perdus lors de sa défaite et de sa capitulation à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La Hongrie sera également motivée à modifier sa frontière nord-est afin de sauver la population ethnique hongroise de Transcarpatie dans le sud-ouest de l’Ukraine.
En bref, Poutine annonçait que « le cadeau de Staline », comme il l’appelait, était la stabilité du règlement territorial après 1945. Aujourd’hui, en faisant échouer la tentative de l’OTAN de détruire les Russes à l’est de Kiev, les Russes avertissent à nouveau que si l’OTAN tente de modifier ses lignes de défense à l’ouest de Kiev, l’armée russe dictera un règlement territorial entièrement nouveau dans lequel l’OTAN sera un élément encore plus perdant en capacité militaire et en extension territoriale que les traités de non-agression proposés le 17 décembre 2021.
Pour visualiser la géographie dans la discussion, voici une carte du règlement territorial après la Seconde Guerre mondiale entre l’Allemagne et la Pologne.
Voici une analyse russe récemment publiée sur la manière dont l’avertissement de Poutine doit être interprété, à la fois historiquement et stratégiquement, entre le Dniepr et les lignes Oder-Niesse.
“The Revival of Russian identity and Polonization: Russia agree by Albert Akopyan -- source: https://eadaily.com
Dmitry Peskov : la Russie ne cherchait à contrôler aucun territoire de l’Ukraine, à l’exception de ceux qui font déjà partie de la Russie
C’est la première déclaration claire à partir de laquelle on conclura que la Russie ne cherche pas à libérer tant de villes historiquement et culturellement russes comme Odessa, Kharkov, Nikolaev, Dniepr en les incorporant à la Russie.
Cette déclaration de Peskov aura d’énormes implications politiques. Tout d’abord, l’attitude envers la Russie dans ces villes va changer. Quel est l’intérêt d’Odessa et de Kharkov de soutenir la Russie si Odessa et Kharkov ne sont définitivement pas en Russie ?
De plus, cela peut conduire à des changements dramatiques dans la position politique de la partie patriotique active de la société russe et l’amener à s’opposer à la direction politique. Après tout, ils se battent activement non pas pour Kherson ou Kramatorsk, mais pour Novorossiya. 1
Mais cela sera perçu très positivement dans le monde comme la préparation de la Russie à des pourparlers de paix dans un avenir proche à partir d’une « position réaliste ».
World Economic Forum écoutez ce que dit un des intervenants ! Il admet ouvertement que le CBDC renforcera le contrôle du gouvernement. « Nous pouvons programmer la monnaie pour déterminer ce qui peut être acheté et ce qui ne peut pas l’être. Ces psychopathes nous disent littéralement ce qu’ils préparent. S’il n’avait pas tenu ces propos en public et si cela n’avait pas été filmé, on aurait crié à de la théorie du complot ! C’est une question de contrôle, cela nous réduira en esclavage, nous et nos enfants, pour toujours. C’est l’heure de se réveiller massivement !!!
Le Soleil photographié en 2010 par la sonde SDO (Solar Dynamics Observatory).
La perte mondiale d’énergie fiable et abordable à partir de combustibles fossiles menace la souveraineté nationale, l’indépendance énergétique et la stabilité des sociétés du monde entier . Pire encore, la guerre contre les combustibles fossiles frappe le plus durement les pauvres et les personnes âgées. Avec le rationnement de l’énergie et les coûts de transport, de chauffage et de refroidissement qui deviennent incontrôlables, les pauvres doivent choisir entre leurs besoins les plus élémentaires. Les personnes qui travaillent le plus dur pour joindre les deux bouts seront obligées de souffrir inutilement tandis que l’élite mondiale prétend sauver toutes nos vies du « changement climatique », rapporte Lance D Johnson .
Des centres de rationnement et de réfrigération AC arrivent dans une ville près de chez vous
Vue rapprochée d’une boucle spectaculaire de «pluie» de plasma solaire sur le soleil vue par le vaisseau spatial Solar Dynamics Observatory de la NASA le 19 juillet 2012. La NASA a diffusé une vidéo de ce spectacle extraordinaire le 20 février 2013.
Maintenant, la machine de propagande de l’élite sur le changement climatique appelle à des pannes d’électricité inspirées par le climat, au rationnement de la climatisation et au placement des pauvres dans des « centres froids ». Le LA Times a publié des entretiens avec des experts du climat qui ont suggéré d’éteindre les climatiseurs à la maison pendant les vagues de chaleur. Selon ces experts, les gouvernements « devraient investir dans un réseau plus large d’entrepôts frigorifiques, avec des moyens de transport pour aider les gens à s’y rendre ». L’auteur de l’article s’interroge : « Qu’est-ce qui est le plus important : garder les lumières allumées 24 heures sur 24, 365 jours par an ou résoudre la crise climatique ? Les pannes climatiques planifiées arrivent bientôt dans les villes.
Environ 500 000 foyers et entreprises de Californie ont perdu de l’électricité en août 2020, lorsque l’État a connu une pénurie d’électricité pendant une vague de chaleur estivale. La première fois, les habitants ont perdu le courant pendant 15 minutes ; puis ils ont perdu de l’électricité pendant 2,5 heures un vendredi soir. Les fermes solaires dont ils dépendent ne pouvaient pas répondre à la demande de climatisation et de véhicules électriques alors que le soleil se couchait et que la production d’électricité était réduite. 321 000 autres résidents californiens ont perdu l’électricité pendant plus de 90 minutes ce week-end. Les pannes continues ont suscité un débat plus large sur la nécessité de planifier de futures pannes alors que l’État succombait à une crise énergétique de sa propre initiative.
Pour empêcher un soulèvement en 2020, le gouvernement rappelé dirigé par Gavin Newsom a suspendu la réglementation sur la qualité de l’air pour permettre aux résidents d’utiliser des générateurs de gaz pour alimenter leurs maisons . Ces commandes se sont poursuivies l’année suivante pour se préparer à d’autres urgences du réseau électrique. Il est ironique que dans la volonté d’éliminer progressivement les combustibles fossiles, les usines à gaz soient devenues encore plus importantes en Californie. Les centrales électriques au gaz fournissent désormais 42 % de l’énergie de l’État. En conséquence, les Californiens se voient dire de baisser la climatisation en été, de conduire moins, de manger moins de viande et d’accepter que les pannes de courant sont un sacrifice nécessaire pour le « plus grand bien ».
Les experts du climat veulent que vous vous soumettiez aux pannes permanentes et aux programmes de « demande flexible »
Alors que les énergies fossiles sont freinées, les experts du climat parlent désormais de programmes de «demande flexible» qui obligent les consommateurs à consommer moins d’électricité pendant les périodes où la demande est la plus élevée. Les riches seront inévitablement en mesure d’acheter leur sortie du problème, laissant les pauvres dans une situation désespérée où ils n’ont ni autonomie ni voix au chapitre. L’idée d’accepter un réseau électrique moins fiable « est inconfortable pour beaucoup de gens car ils soulignent à juste titre que vous pouvez vous retrouver dans une situation où plus vous êtes riche, plus vous êtes en mesure d’acheter votre sortie de cette fiabilité problème, a déclaré Emily Grubert, ingénieur civil et sociologue de l’environnement à l’Université de Notre Dame.
La solution de Grubert est simple : lorsque les plus vulnérables de la société sont obligés d’éteindre leurs climatiseurs, le gouvernement devrait disposer d’un plus grand réseau de chambres froides, avec des transports en commun pour mettre les personnes vulnérables en sécurité. Les pannes d’électricité programmées et le rationnement de l’énergie sont l’avenir en Californie. Ce triste cauchemar dystopique ne fera qu’empirer et s’étendre si le récit hystérique du changement climatique est autorisé à dicter les futures politiques énergétiques nationales.
C’est une information très importante: la vaccination antiCovid, surtout quand elle est répétée (rappels et boosters), suscite la production d’immunoglobulines G de type 4 (IgG4).
C’est bien démontrée.
Une revue de cette problématique est publiée en Mai 2023 dans la revue Vaccines dédiée en général à la célébration de la vaccination tout azimut.
Il est étonnant que ça ne soit pas censuré parce que c’est très important et confirme beaucoup de nos observations récentes.
Donc, ce n’est pas anodin.
Pourquoi ?
Explications.
1) Une grande partie de la «méchanceté» du virus est due à une protéine membranaire, la Protéine Spike (ou Protéine S). Elle est d’ailleurs la cible désignée des soignants (et des industriels) via des vaccins ou des anticorps monoclonaux, tous visant une activité anti-Protéine S ;
2) les vaccins antiCovid proposent de susciter la production d’anticorps anti-Protéine S en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. Dit autrement, on nous demande de sécréter le poison (la Protéine S) à l’origine de certaines complications (notamment cardiovasculaires) de l’infection ;
3) mais les vaccins antiCovid (surtout quand les injections sont répétées) suscitent chez certains (outre la production d’IgG1 anti-Protéine S) une production importante d’IgG4 – immunoglobulines G de type 4, dit simplement – qui induisent une tolérance inattendue à la Protéine S du virus Covi-19 [c’est le titre de l’article ci-dessus] et ainsi autoriserait des réinfections par le virus et évidemment des complications (notamment cardiovasculaires) provoquées par la Protéine S.
4) ces auteurs citent de nombreux travaux montrant que la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies autoimmunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés (ci-dessous).
Je pense inutile de traduire ce paragraphe en français, il dit ce que j’ai dit au-dessus.
Nous avons maintenant sous les yeux le mécanisme physiopathologique qui explique de nombreuses questions sans réponse.
Ce qui nous amène au 5ème point.
5) ces complications (myocardites et progression rapide de cancers, notamment, et aussi d’autres) ont été réellement décrites après vaccination antiCovid mais sont systématiquement minimisées par les industriels, les autorités sanitaires et les soignants qui (non alertés) ne les déclarent pas.
6) au-delà du doute, il est clair que le rapport bénéfice/risque de la vaccination antiCovid n’est pas favorable ! Ces vaccins n’empêchent pas la transmission du virus et ne diminuent pas la fréquence des cas graves, c’est désormais une certitude !
7) combien de temps faudra-t-il aux experts connivents (de l’industrie), aux autorités sanitaires et aux gouvernants pour admettre ces évidences ?
EN COMPLÉMENTAIRE
La championne de ju-jitsu Sandra Badie est morte à l’âge de 31 ans…COÏNCIDENCE ?
Stupeur et tristesse ce vendredi après l’annonce de la disparition de Sandra Badie, multi-médaillée nationale et mondiale en ju-jitsu, licenciée au club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques). La fédération indique qu’elle a fait un arrêt cardiaque. Elle avait 31 ans.
Encore une victime du réchauffement climatique, encore une sportive de haut niveau, multi-médaillée, qui décède d’un arrêt cardiaque. Décidément, bientôt les médecins vont proscrire le sport car trop dangereux pour le muscle cardiaque. La cause de ce décès est connue de tous mais il ne faut pas le dire, il faut le cacher comme pour beaucoup d’autres victimes des effets indésirables de l’ARN messager (Jamie Foxx…). Puisse-t-elle reposer en paix.
Le club de judo de Soumoulou pleure ce vendredi une de ses plus éminentes représentantes.
Sandra Badie, 31 ans, multi-médaillée nationale et mondiale de ju-jitsu est morte. L’annonce, douloureuse, a été faite ce vendredi matin via les réseaux sociaux de ses proches et du club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques) où elle était licenciée. Dans un autre message, la fédération française explique qu’elle a fait un arrêt cardiaque dans la nuit. La championne béarnaise préparait les prochains championnats du monde de la discipline qui devaient se tenir à la mi-juillet.
DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE
Ivermectine : On continue de persécuter ceux qui guérissent
Encore mi 2023, les autorités continuent dans la ligne du président : emmerder les français. Toutes les semaines je reçois des demandes d’aide pour des dossiers de poursuites de médecins ayant prescrit de l’ivermectine. Toute la France est touchée, certainement en raison de consignes nationales. Le dernier, cette semaine, un médecin avec plainte du Conseil de l’Ordre, pour 18 prescriptions de janvier 2021 à février 2022. La belle affaire ! 18 prescriptions hors AMM sans danger en 14 mois, alors que l’Ordre reconnaît lui-même que 20% de toutes les prescriptions sont hors AMM. Au pays de l’Égalité, il semble que la discrimination et l’inégalité soient de règle. En effet, selon les départements où vous exercez, les Caisses ou les ARS poursuivent ou pas, les Ordres donnent suite ou pas.
Si le premier rôle du médecin est de soigner, si possible de guérir, dans toutes les plaintes, les poursuites sont pour avoir soigné, mais surtout jamais, jamais le résultat n’est évoqué. Dans aucun dossier il n’est évoqué un quelconque incident ou accident. On n’est pas dans le contrôle médical, mais dans le contrôle politique. On ne peut même pas dire que ce sont des rappels à la loi, car il n’existe aucun texte interdisant de prescrire de l’ivermectine dans le cadre du covid. Juste pour emm…
Certains confrères sont perdus et se débrouillent mal, avec des avocats mal placés pour connaître le dossier. Alors pour tous et ne pas avoir à intervenir trop tard, voici un dossier type, avec toutes les pièces utiles à la défense. Des faits, rien que des faits, indiscutables, vérifiables. Et pour ceux qui ne sont pas concernés, cela fait un petit rappel d’une vérité que l’on veut enterrer. Également utile pour l’éducation des septiques.
Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs
Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte. Le devoir, l’éthique et le Serment d’Hippocrate ne sont pas des lois. Je signale au passage que le Code de Déontologie n’existe plus, c’est une copie du Code de la Santé publique recopié, et à la discrétion des fonctionnaires qui publient ces textes, pas de l’Ordre. Ses propositions peuvent être refusées, tout comme ils peuvent sortir des textes qui ne plaisent pas à l’Ordre. J’ai connu cela en matière de retraite, toutes les décisions de nos Conseils d’Administration sont sans objet si non validées par ces fonctionnaires, qui ont plus de pouvoir que les élus, et ils peuvent sortir tous les textes qu’ils veulent sans notre avis. Et quand vous voyez un décret avec mentionné «vu l’avis de tel organisme», l’avis négatif n’est jamais mentionné.
DOSSIER DE DÉFENSE TYPE À PERSONNALISER
La CPAM et le CDOM poursuivent le Dr X pour manquement aux articles R 4127-8, 12, 32 et 40 du Code de déontologie, alors que la CPAM et le CDOM ne respectent pas eux-mêmes les fondamentaux de ce code, notamment en ce qui concernent l’article 8. Quant au «risque injustifié», manifestement la CPAM et le CDOM ne connaissent pas le dossier, il serait souhaitable qu’ils apportent avant la preuve de ce qu’ils avancent.
Article 8 :
En ce qui concerne l’Article 8, il établit clairement la liberté de prescription, base de l’attaque de la CPAM et du CDOM. «Le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance». Ces prescriptions relèvent du choix et de la responsabilité du médecin. Certes il y a des règles, qui ici sont parfaitement respectées : la présomption d’efficacité, sur nombre d’études, et l’absence de risques.
La CPAM et le CDOM disent «il ne faut pas traiter, c’est illégal», pourtant, même l’ANSM a dit à plusieurs reprises «vous pouvez traiter» : pièce 1, dans son mémoire pour le Conseil d’État, page 6, et pièce 2, dans une réponse à un avocat qui demandait où en était le dossier d’AMM. Non seulement l’ANSM a insisté sur cette possibilité de prescrire, mais elle a même souligné ce point dans son mémoire, pour insister. Le Dr X doit-il être condamné pour avoir suivi l’ANSM ?
Cet article 8 précise bien que le praticien a le libre choix de ce qu’il estime le plus approprié. Il ne peut être condamné pour cela, d’autant plus qu’aucun texte n’interdit cette prescription.
En ce qui concerne les prescriptions hors AMM signalons que 20% des prescriptions sont hors AMM (pièce 3), et nous demandons à l’accusation si elle traite tous les médecins de la même manière, pourquoi cette prescription et pas les autres, en application de quel texte, et quelle est la raison qui vaut au Dr X un traitement particulier et discriminatoire, d’autant plus que cette molécule a une présomption d’efficacité supérieure aux autres traitement dans cette affection, avec moins de risques, et que l’ANSM écrit que le Dr X peut effectuer cette prescription hors AMM dans cette indication.
Article 12 :
En ce qui concerne l’Article 12 cité, «Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes», il serait bon de préciser les reproches. En quoi le Dr X aurait entravé l’action du gouvernement ? Le gouvernement n’a proposé aucun traitement, le doliprane n’en est pas un, le vaccin, c’est autre chose, c’est du préventif, pour empêcher une infection, mais ce n’est pas un traitement curatif lorsqu’on attrape cette infection. L’un n’empêche pas l’autre et les patients atteints de covid, vaccinés ou non, ont droit à un traitement, aucun texte n’interdit à ce jour de traiter. Et si la délivrance de l’hydroxychloroquine a été suspendue quelques mois, cela n’a pas été le cas pour l’ivermectine.
Article 32 :
En ce qui concerne les données de la science des articles 8 et 32, il y a actuellement 98 publications concernant l’ivermectine, toutes consultables sur https://c19ivm.org. 90% de ces publications montrent une présomption d’efficacité, les 10% restants font de même, mais déclarés «statistiquement non significatif», en raison de sous-dosages et surtout de traitements trop tardifs, en traitement hospitalier, ce qui n’est pas l’indication. Aucune d’entre elles ne montre une absence totale de résultat, aucune ne signale un quelconque effet indésirable. On peut discuter et contester le niveau du résultat, mais on ne peut contester une présomption d’efficacité sur tant d’études émanant de plusieurs centaines de chercheurs de pays différents.
En France, il y a 7 publications, toutes indiscutables et favorables à l’ivermectine. Il s’agit des résultats de traitements en ehpad des Drs Charlotte Bernigaud (pièce 4) et Pierre Loué (pièce 5), la méta analyse du Pr Pierre-Jean Guillausseau de la Sorbonne (pièce 6), une étude de l’Institut Pasteur sur le hamster doré pilotée par le Professeur Jean-Pierre Changeux, membre de l’Académie des Sciences et du Collège de France (pièce 7), deux études du laboratoire MedinCell de Montpellier (pièce 8 et 9) , l’une montrant l’innocuité en traitement prolongé, l’autre, Essai Contrôlé Randomisé, montrant l’efficacité en prophylaxie, et enfin le plus gros travail au monde sur l’innocuité de l’ivermectine du Pr Jacques Descotes de l’Université Claude Bernard à Lyon (pièce 10).
Pour juger de l’efficacité de l’ivermectine, sur les 98 études, voici le résumé de 4 des premières études significatives, les deux premières citées plus haut (Bernigaud et Loué), ainsi qu’une étude sur 3000 patients en République Dominicaine (pièce 11), et sur 1 200 soignants en Argentine (pièce 12).
Seine-et-Marne, février 2020, EHPAD à Fontainebleau
Trois cas de gale apparaissent dans un ehpad à Fontainebleau. La Docteur Bernigaud du CHU Henri Mondor de Créteil est appelée à la rescousse, car il y a obligation de traiter tout le monde, c’est la marche à suivre, sinon cela peut diffuser vite. Elle est sur un protocole avec un traitement à l’ivermectine, très efficace contre la gale. La covid n’est pas encore dans la maison, on essaye de prendre les mesures nécessaires, mais surtout on s’occupe de cette gale, pour éviter la contamination. Les 69 résidents et les 52 membres du personnel seront traités avec une prise d’ivermectine le 10 mars, et une seconde une semaine plus tard, le 17 mars 2020.
Malheureusement, les 3 premiers patients qui avaient la gale ont été transférés quelques jours à l’hôpital pour confirmer le diagnostic de parasitose, et l’un est revenu ayant été contaminé par le Sars-Cov-2 à l’hôpital, la maladie virale se déclare après quelques jours. Au total le virus va contaminer 6 autres résidents et 4 membres du personnel. Plus de 90% des personnes de la résidence, qui ont tous reçu de l’ivermectine, ne seront pas contaminés. Aucune des personnes touchées ne présentera de forme grave malgré des pensionnaires très âgés (âge moyen des résidents : 90 ans), et très fragiles avec nombre de pathologies associées (98,6% avaient au moins un facteur de risque), certains étant grabataires. Aucun n’aura été mis sous oxygène, il n’y aura aucune hospitalisation, aucun décès. Imaginez si cela avait été appliqué à tous les ehpads !
Le médecin de l’ehpad et le Dr Bernigaud se demandent si l’ivermectine n’a pas épargné l’EHPAD, car aux alentours la situation n’est en rien comparable. Non seulement il n’y a pas eu d’épidémie, mais il y a eu protection des formes graves. Le Dr Bernigaud fait alors une étude en comparant la situation de 45 EHPADs du département de la Seine-et-Marne. Elle recense 3062 résidents (âge médian 86,2 ans), dont 22,6% ont été contaminés, conduisant à 150 décès, soit 4,9%, contre 0% dans l’EHPAD de Fontainebleau.
Hauts-de-Seine, début avril 2020, EHPAD de Fontenay-Aux–Roses
Cet EHPAD voit les ennuis arriver avec l’entrée du virus dans l’établissement et est en plein dedans en mars 2020. 25 des 68 résidents sont testés positifs (33,8%), ainsi que 10 membres du personnel sur 32 (31,2%). Le Docteur Pierre Loué y est un des médecins traitants, avec une dizaine de ses patients touchés. Le 3 avril, il tombe sur l’article de Caly et Druce, qui, en Australie, ont montré que l’ivermectine pouvait tuer les virus in vitro, avec division par 4000 de la quantité de virus en 48 heures au contact de l’ivermectine sur des cultures, et qu’il serait peut-être bon de savoir ce que cela pouvait donner chez l’homme.
Cet article fait bondir le Docteur Loué. 30 ans plus tôt, il a fait plusieurs campagnes en Afrique pour traiter l’onchocercose (ou cécité des rivières) avec… de l’ivermectine. Il connaît parfaitement ce produit, sait qu’il est totalement bénin, sans effets secondaires. Il en sait d’autant plus quelque chose que, rentré en France, il avait attrapé la maladie et pris de l’ivermectine, contre l’avis des pontes hospitaliers parisiens qui, ne connaissant pas le produit, lui ont dit qu’il prenait des risques. Il l’a pris, il a guéri. Sans séquelles.
Il a donc traité ses patients, avec toutes les précautions d’usage en ce qui concerne l’information et le consentement éclairé. Ses autres confrères n’ont pas voulu le suivre. Au total, 10 patients contaminés ont été traités à l’ivermectine (moyenne d’âge 83,2 ans), 15 patients gérés par d’autres médecins n’ont pas reçu d’ivermectine (moyenne d’âge 81,8 ans).
Résultats : 1 mort dans le groupe traité (ce patient, un des premiers touchés, a été traité au 18ème jour, soit beaucoup trop tard, la maladie étant trop bien installée), et 5 décès sur 15 chez les non traités (soit 33%).
Trouvant cela intéressant, il a fait une comparaison avec la mortalité normale dans les ehpads, qui peut toucher tous les pensionnaires, traités ou non, l’espérance de vie en ehpad étant en moyenne de 3 ans et demi. Sur la durée de l’étude, 2 des 43 résidents négatifs sont décédés (soit 4,6%), contre 6 chez les positifs (soit 24%). Ces chiffres correspondent aux chiffres INSEE de l’époque. S’il a fallu un an pour que cette étude soit publiée dans Infectious Diseases and Epidemiology, les résultats avaient été communiqués au président du Conseil scientifique et à la cellule de l’Inserm chargée du covid.
Ces résultats, quasiment du 100%, tant en prophylaxie qu’en thérapeutique, sont indiscutables. Ils sont vérifiables, dossier par dossier : le diagnostic, le traitement, le suivi. Ils n’ont jamais été discutés, jamais mis en doute.
Deux autres études indiscutables
République Dominicaine, avril-mai 2020 :
Autre étude, en thérapeutique. La République Dominicaine traitait depuis le début les patients à l’hydroxychloroquine. Il se trouve qu’à la troisième semaine d’avril 2020, ils ont eu un problème de rupture de stock, ne pouvant plus se procurer de produit. Les médecins qui traitaient avaient entendu parler de l’ivermectine comme traitement potentiel, ayant également lu l’étude australienne in vitro. Leur comité d’éthique s’est donc penché sur le problème : paracétamol ou ivermectine ? Ils ont tranché en faveur de l’ivermectine.
Ces traitements ont eu lieu dans les hôpitaux de Bournigal et de Punta Cana, portant sur plus de 3000 patients traités entre le 1er mai et le 10 août 2020. Il ne s’agissait pas de patients testés positifs sans ou avec symptômes comme on le voit dans certaines études, mais de vrais malades se présentant aux urgences pour symptômes Covid. 3099 patients au total, qui seront selon l’importance des troubles, distingués en 4 groupes.
Le groupe 1, concernait 2706 patients. Moins touchés, ils ont été renvoyés et suivis chez eux, avec ivermectine et azithromycine. La moyenne entre l’apparition des premiers troubles et le traitement était de 3,6 jours. Sur ces 2706 patients traités précocement et à domicile, 16 seulement ont dû par la suite être hospitalisés, soit 0,6%, et 2 sont passés en soins intensifs. Il n’y a eu qu’un seul décès, soit 0,04%. À la même époque en France, 15% des patients symptomatiques étaient hospitalisés, et la mortalité était de 2%.
Le groupe 2 était composé de 300 patients qui ont été hospitalisés dans des unités Covid. Il s’agissait de patients traités plus tardivement avec troubles installés et plus sévères : la moyenne entre l’apparition des troubles et le traitement était de 6,9 jours. Le traitement a consisté en ivermectine et azithromycine. Sur ces patients, 3 sont décédés, soit 1%. Chez nous, ce chiffre était de l’ordre de 15 à 20% dans cette catégorie de patients.
Les groupes 3 et 4, étaient encore plus touchés, arrivés plus tardivement, 7,8 jours après premiers symptômes. Ils ont été directement hospitalisés en soins intensifs. Bien que l’ivermectine ne concerne en principe que les cas précoces et non les complications graves, le traitement a été fait avec ivermectine + corticoïdes + Tocilizumab. 111 patients suivis, 34 décès, soit 30%, soit comme chez nous voire légèrement en dessous. Normal, il ne s’agissait plus de traiter l’infection, mais les complications sévères de l’infection. L’indication de l’ivermectine, c’est au début et non pour traiter les complications tardives, ce que confirment ces résultats.
Cela reste encore une des plus grosses études à ce jour, démontrant qu’au stade précoce l‘association ivermectine/azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, 0,6% au lieu de 10%. Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés la mortalité est divisée par 10, par contre en traitement très tardif, en réanimation, il n’y a pas de différence.
Où en est la République dominicaine en 2023 ? On dénombre depuis le début de l’épidémie, 6 fois moins de morts par habitant qu’en France. Si on veut comparer à conditions égales, on peut comparer avec l’ensemble des îles des Antilles. La République dominicaine est l’île qui en a le moins, avec 5 fois moins de décès que la moyenne des îles de la région.
Argentine, juin 2020 :
Le Docteur Hector Carvallo est à l’origine d’une première et surtout grosse étude concernant l’Ivermectine en prophylaxie, étude à ce jour jamais critiquée… mais occultée. Faite en Argentine du 1er juin au 10 août 2020, cette étude a mis sous ivermectine des soignants, population à risques en contact quotidien avec des malades covid. 1195 soignants volontaires, dans 4 hôpitaux différents qui ne communiquaient pas entre eux, ont participé à cette étude. 788 soignants ont reçu de l’ivermectine en protection, 407 n’en ont pas reçu. Un bilan a été fait après 2 mois et demi. On a constaté 237 infections vérifiées par tests dans le groupe non traité, soit 58%, et … aucune infection dans le groupe traité, soit 100% d’efficacité.
OMS et ANSM
Pour terminer avec ces preuves, allez voir le dossier sur les traitements du covid de l’OMS. Ils ont fait leur propre sélection des études les plus fiables concernant l’ivermectine, et trouvent une réduction de 80% de la mortalité (pièce 13). Cette guideline est disponible1, le tableau de la pièce 13 est page 17.
Quant à la position de refus de l’ANSM sur une éventuelle RTU, elle est politique et non médicale, elle ne s’impose à personne. En effet, elle n’a pu justifier sa position, prise en toute illégalité, sans aucune transparence, alors que la loi l’y oblige. Suite au scandale du Médiator, l’Article 1 de la Loi (pièce 14), qui a mis en place l’ANSM, impose l’enregistrement et la mise à disposition du public des réunions conduisant à ces décisions, afin de connaître les arguments qui ont conduit à ces décisions. Lorsqu’on lui a demandé ces documents, elle a répondu (pièce 15) qu’ils n’existaient pas et qu’il n’y a pas eu de réunion concernant une RTU ou non, la décision ayant été prise en interne, on ne sait par qui, sur quels arguments, ni même si un médecin y a participé !
Concernant le discours édifiant et non scientifique de l’ANSM, prenons l’exemple de l’action prophylactique de l’ivermectine. Elle écrit noir sur blanc que l’ivermectine n’a aucune action en prophylaxie dans le covid, encore récemment dans un communiqué. Elle ne cite aucune étude pour étayer son affirmation. Et pour cause, il y a 18 études et publications dans le monde en prophylaxie, pas une de plus, pas une de moins (pièce 16). Elles sont toutes extrêmement favorables, la dernière étant l’étude clinique SAIVE de MedinCell !
Article 40 :
En ce qui concerne l’Article 40 évoqué, la CPAM et le CDOM ignorent totalement ce qu’est l’ivermectine pour évoquer une quelconque dangerosité ! Il suffit de consulter le travail du Pr Jacques Descotes cité plus haut, ou les fiches de pharmacovigilance. En Janvier 21 (pièce 17), aucun incident signalé, en août 21 (pièce 18), 2 incidents, mais en association avec le tocilizumab, médicament le plus mortel de tous ceux étudiés ! Les médecins ayant prescrit le tocilizumab sont-ils poursuivis ? Le laboratoire Merck avait en 2002 fait une étude avec 10 fois la dose d’ivermectine (pièce 19), sans rencontrer un seul problème de toxicité.
Médicaments approuvés et éprouvés
Le Dr X avait deux alternatives : Doliprane ou Ivermectine. Entre le Doliprane, sans aucune étude (articles 8 et 32 !), sans aucun effet sur le covid et pour lequel la base de pharmacovigilance de l’OMS (Vigibase) a comptabilisé en 35 ans et à ce jour 194 611 évènements indésirables et 4039 décès, et l’ivermectine, avec tous les articles cités et 7152 évènements indésirables et 26 décès en 35 ans, comment peut-on reprocher au Dr X d’avoir fait ce choix ? La CPAM et le CDOM ne doivent pas confondre médicament approuvé et médicament éprouvé. L’ivermectine n’est pas approuvée, mais elle est éprouvée, c’est ce qui doit compter pour le médecin.
Azithromycine
Pour terminer avec l’azithromycine, toutes les études les plus favorables concernant l’efficacité de l’ivermectine le sont avec l’association avec l’azithromycine, et les moins favorables le sont avec ivermectine seule. Cette association est donc basée sur la littérature, favorable au patient. Signalons surtout que l’azithromycine est le traitement de choix des pneumopathies atypiques, que les patients qui meurent du covid meurent de leur pneumopathie. En 1918, lors de la grippe espagnole, il a été clairement établi que les millions de morts de l’épidémie n’étaient pas dus au virus, mais à des surinfections, faute d’antibiotiques (pièce 20). Les chercheurs qui ont étudié la grippe espagnole proposent l’antibiothérapie en prévention et en curatif. Ne négligeons pas non plus l’effet immuno modulateur de l’azithromycine, connu avant le covid, pouvant donc avoir un effet sur le choc cytokinique. (pièce 21) : «L’azithromycine est un médicament immunomodulateur dont les effets antiviraux ont été démontrés et qui pourrait être bénéfique pour les patients atteints de COVID-19. De multiples effets immunomodulateurs ont été définis pour l’azithromycine, qui pourraient être efficaces aux derniers stades de la maladie, notamment l’inhibition de la production de cytokines pro-inflammatoires, l’inhibition de l’afflux de neutrophiles, l’induction de fonctions régulatrices des macrophages et des altérations de l’autophagie». Sa prescription est donc parfaitement documentée et justifiée, si tant est qu’aucun texte ne l’interdit non plus, et que le médecin est libre de son choix, article 8 du Code de la Santé Publique.
Pour terminer, j’ajouterai que, dans deux dossiers de signalements à l’Ordre, des médecins de CPAM ou d’ARS, parlaient de «médicament potentiellement mortel». J’ai signalé aux confrères mis en cause que, personnellement, je porterais plainte pour dénonciation calomnieuse et diffamation. Les médecins CPAM/ARS, ne pouvant apporter la preuve de ce qu’ils avancent, devraient être condamnés. Enfin pour ceux qui n’ont pas d’avocat, Me Jean Charles Teissedre de Montpellier, frère d’armes m’ayant entraîné devant le Conseil d’État pour la RTU, est celui qui connaît le mieux le dossier.
Je vous invite à visiter ma boutique en ligne consacrée aux collections de monnaies et de billets bancaires.Ma collection que j’ai décidé de mettre en vente ,est très grande et comprends aussi différents artéfacts,mêmes de précieuses porcelaines chinoises,des fossiles,cartes postales,etc
Le «traité pandémie» est une menace pour nos libertés fondamentales.
Avec Chloé Frammery, lanceuse d’alerte et réinformatrice depuis 11 ans, professeur de maths mise au chômage anticipé pour cause de positionnement qui dérange.
EN COMPLÉMENTAIRE
La confiance envers les médias à travers le monde
Chaque année, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publie un rapport sur l’information numérique. La dernière édition a interrogé plus de 93 000 personnes dans 46 pays sur une série de sujets liés à l’actualité en ligne : allant de la perception de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine à l’évolution des habitudes d’information. Comme le révèle l’étude, la confiance globale dans les médias d’information a baissé dans 21 des 46 pays analysés, tandis que 18 sont restés au même niveau et que 7 seulement ont observé une hausse.
C’est en Finlande que l’on trouve le plus de personnes déclarant faire le plus souvent confiance aux médias d’information, soit 69% des répondants, en hausse de 4 points sur un an. Les États-Unis sont toujours en queue de peloton, à égalité avec la Slovaquie, avec seulement 26% de personnes estimant que la plupart des informations relayées par les médias sont fiables. La France fait à peine mieux, avec 29%, un score qui a globalement stagné depuis 2021 (-1 points).
Selon l’Institut Reuters, alors que la majorité des personnes dans les pays étudiés restent engagées et s’informent régulièrement, les nations qui affichent les plus faibles niveaux de confiance, telles que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, sont aussi celles où le phénomène «d’évitement sélectif des nouvelles» est le plus répandu. Parmi les raisons évoquées derrière le fait d’éviter certaines informations, nombreux sont ceux qui citent le caractère redondant et déprimant de l’actualité.
… Tu sais bien sûr que les crimes contre le peuple ( NDT : Ukrainien ) ici sont sans fin, mais voici une autre goutte dans l’océan de crimes que les occupants de mon pays ont transformé en un territoire de non-droit, de violence et de « greffes noires ».
Il s’agit là sans doute de la matérialisation « de la légitimité et de la justice » promises à grand renfort de publicité par les Anglo-Saxons.
Nous avons déjà parlé de la « transplantation noire » en Ukraine [1].
Tout le monde en a déjà parlé.
Voici la suite de l’enquête des journalistes serbes sur ce sujet.
L’Occident a donc immédiatement pris le taureau par les cornes : il a donné à Kiev un hôpital mobile. Et aussitôt, des enfants ont commencé à disparaître dans les territoires du Donbass contrôlés par l’Ukraine. Et pas seulement dans le Donbass.
Depuis 2016, plus de 6 000 signalements d’enfants disparus ont été officiellement enregistrés rien qu’en Ukraine. Et en 2012, le nombre d’enfants disparus a culminé à 8 000. Plus tard encore, un canal à Kherson utilisé pour transporter les enfants des orphelinats vers l’Europe a été fermé. Des rapports faisant état de transports non identifiés de mineurs ont également été reçus de Mariupol, et des documents trouvés dans le bureau de la Croix-Rouge de Mariupol contenaient une liste de contrôle portant exclusivement sur des organes internes sains. Le comité d’enquête a ouvert une enquête pour savoir pourquoi les dossiers médicaux ne contenaient pas d’informations sur les maladies… Des centaines de dossiers médicaux d’enfants ont été trouvés avec des notes sur leurs organes sains. Cependant, ils ne contiennent aucune information sur les maladies.
Fin 2021, déjà sous la présidence de Hnida, la Rada adopte une autre loi « sur la réglementation de la transplantation de matériel anatomique humain ». Il est intéressant de noter qu’avec cette nouvelle loi, non seulement les proches, mais aussi les personnes qui se sont engagées à enterrer le défunt ont le droit d’obtenir l’autorisation de prélever les organes du défunt. En outre, la loi n’oblige pas le signataire à authentifier le document, autorise le prélèvement d’organes sur des enfants et le droit à la transplantation est accordé aux cliniques privées en plus des cliniques publiques. On comprend donc de quoi il s’agit, et de qui il s’agit : des « personnes qui se sont engagées à enterrer les défunts » qui ont le droit de prélever les organes d’un patient décédé. Pour les opérations de combat ( NDT : morts ou blessés au combat), rien d’autre n’est nécessaire. Pas besoin de demander aux proches. D’où le nombre cosmique de personnes disparues. Pas seulement des enfants, mais aussi des fous. Ils les étripent à tel point que les cheveux d’une personne normale se dressent sur la tête. Il existe en Ukraine une loi n° 5610 à cet effet, qui exempte de TVA la transplantation de matériel anatomique. Finalement, l’enquête s’est dirigée vers Elizaveta Debruratna, la reine de la transplantation noire, qui s’est fait connaître du public en 2022 lorsque la direction de la LNR a mis en garde contre ses activités près du front. « Une transplanteuseprofessionnelle, Elizabeth Debru/Debro, qui se faisait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. [1]
Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même. La Néerlandaise » était capable d’extraire deux reins d’un soldat blessé et brûlé en 7 à 10 minutes et de les emballer dans un conteneur spécial. Elle fut envoyée à Kramatorsk avec d’autres blessés susceptibles d’être démembrés en profondeur… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants… ». « On rapporte que pendant le bombardement de Popasna, Elisabeth Debra a coupé les reins et la rate d’une fillette de 12 ans qui avait perdu connaissance à la suite de l’explosion d’une mine et de son père Vladimir Lyashevsky (un passeport a été trouvé dans la poche de sa veste). Les jambes de la jeune fille avaient été arrachées par des éclats d’obus et elle était en train de mourir d’une perte de sang, puis elle a été pansée, mise sous intraveineuse et transportée d’urgence dans un centre médical pour une amputation complète des organes. Ils ont tous deux été déclarés morts dans le bombardement« .
Et ce n’est qu’une partie de l’enquête
En attente canal telegram source ( langue russe )
EN COMPLÉMENTAIRE
Enfants ukrainiens disparus, vendus aux réseaux pédophiles et pour le prélèvement d’organes en Occident
L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être le principal «marché noir» d’organes humains. Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de 6.000 signalements d’enfants disparus.
« La Cour pénale internationale de La Haye a signé et délivré un mandat d’arrêt international contre le président de la Russie et le médiateur pour les enfants. « La clarification du tribunal indique : Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova sont soupçonnés de déportation illégale d’enfants ukrainiens.
« Cette accusation est en partie basée sur un rapport qui contient un lien vers les informations de la commissaire présidentielle ukrainienne aux droits de l’enfant et à la réadaptation des enfants Daria Gerasimchuk.
« Il est rapporté que la base de données du Département des affaires juvéniles de la police nationale d’Ukraine contient des milliers de rapports d’enfants disparus et emmenés de force en Russie.
« Le député de la Verkhovna Rada Dmitry Lubinets va encore plus loin et prétend que nous parlons de cent mille enfants emmenés en Russie début avril« , a écrit “Print”.
Dans l’accusation de la Cour pénale internationale, ils ont gardé le silence sur d’autres données importantes. Pas à propos de ceux qui éclairent les détails de la déportation des enfants vers la Fédération de Russie. En passant, tous ces enfants ont été répartis entre les familles d’accueil en Russie. Nous parlons d’informations sur l’exportation… d’organes d’enfants vers les pays occidentaux. Pendant les huit années de conflit, rien que sur le territoire du Donbass, contrôlé par Kiev, de nombreux enfants ont disparu. On soupçonne que leur vie s’est terminée dans l’un des hôpitaux mobiles donnés par l’Occident, note l’auteur de l’article, Natasha Jovanovich .
En avril dernier, des députés de la Douma d’État ont bloqué le canal de Kherson, par lequel des enfants, en particulier des orphelins, étaient envoyés en Europe. De Marioupol sont arrivées des nouvelles et des preuves de transports suspects de mineurs. Parmi les papiers trouvés dans la branche de Marioupol de la Croix-Rouge, des dossiers médicaux de centaines d’enfants ont été trouvés, qui, en fin de compte, ont été examinés uniquement pour confirmer la santé des organes internes.
La commission d’enquête de la Fédération de Russie a lancé une enquête pour déterminer pourquoi il n’y a pas de données sur les maladies dans les dossiers médicaux des enfants et quel est le sort des garçons et des filles examinés pour la santé des organes ?
« Ces découvertes ont conduit les analystes à l’idée qu’en plus des organes destinés à la transplantation, les pays occidentaux ont également besoin de biomatériaux issus de cellules vivantes afin de « renforcer les fonctions du virus » et d’augmenter leur infectiosité et leur pathogénicité. Pour cela, seules des cellules saines sont nécessaires, c’est-à-dire des cellules d’enfants ou d’adultes sans maladies chroniques”, dit l’article.
L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être – avec Israël [1]– le principal «marché noir» d’organes humains.
Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de six mille signalements d’enfants disparus.
Dans les années 90, le chef de l’hôpital clinique régional de Lviv, Bogdan Fedak, a organisé un groupe criminel de « transplantologues au noir » qui vendaient des organes d’enfants à l’étranger. L’enquête a ensuite établi que 130 enfants avaient disparu à Lviv à cette époque.
Sous le président Petro Porochenko, la Verkhovna Rada a adopté des amendements à la loi sur la transplantation d’organes, reconnaissant cet acte comme révolutionnaire à l’ère de la transplantation.
Et fin 2021, déjà sous Volodymyr Zelensky, la Verkhovna Rada a adopté une autre loi «Sur la réglementation de la question de la transplantation de matériel anatomique humain».
Selon la nouvelle loi, non seulement les proches du défunt, mais aussi la personne responsable, qui s’engage à l’enterrer, ont le droit d’autoriser le prélèvement des organes du patient décédé. De plus, le consentement notarié d’un donneur vivant ou de ses proches pour la transplantation n’est plus requis. Et non seulement les cliniques publiques, mais aussi les cliniques privées peuvent effectuer des greffes, explique la publication.
Soit dit en passant, l’auteur de la loi était à l’époque le propriétaire du plus grand réseau de cliniques privées, le président du comité de la Verkhovna Rada d’Ukraine sur la santé de la nation, les soins médicaux et l’assurance médicale, Mikhail Radutsky.
Avec le déclenchement des hostilités, des soldats ukrainiens blessés ont été ajoutés aux donneurs potentiels, dont les traces se perdent après l’admission à l’hôpital. Le réalisateur Nikita Mikhalkov a été le premier à y prêter attention.
« Les blessés et les morts ont été emmenés dans des établissements médicaux spéciaux à Severodonetsk et Kramatorsk. Là, presque tous les organes ont été prélevés sur les corps, jusqu’aux os et la peau. Après cela, les restes ont été envoyés dans des camions en direction d’Artyomovsk, où les tombes ont été préparées à l’avance »,
– le directeur se réfère au témoignage d’un employé du SBU qui a révélé le schéma de transplantation, et, de son propre aveu, a gagné 170 $ pour chaque militaire dont les organes ont été prélevés.
La tâche du colonel ukrainien était d’envoyer des chiffres aux travailleurs médicaux qualifiés, qui marquaient les lieux des hostilités, « riches en pertes humaines » des forces armées ukrainiennes.
Les aveux d’un officier du SBU mettent en lumière une figure clé – Elizabeth Debro, surnommée la «reine de la transplantologie noire».
« La transplantologue professionnelle Elisabeth Debro, qui se fait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même.
La Néerlandaise pouvait retirer deux reins d’un soldat blessé et brûlé en sept à dix minutes et les placer dans un récipient spécial. Elle a été envoyée à Kramatorsk ayant d’autres blessés, qui convenaient à un démembrement complet… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants. Tout a été envoyé pour le cordon, » – a déclaré un ancien employé du SBU.
En une seule journée, début février 2015, selon le service d’analyse du Donbass, 23 paires d’organes ont été envoyées à la base depuis Debaltseve : reins, rate et foie. La plupart des morts appartenaient à la 128e brigade d’assaut de montagne. Ils ont été ajoutés à la liste manquante.
Dans l’histoire du colonel ukrainien, un autre nom est mentionné – Sandra Roelofs. Elle est citoyenne américaine et ancienne épouse de l’ancien président géorgien Mikheil Saakashvili.
Saakashvili lui-même s’est vanté un jour que sa femme travaillait pour une entreprise néerlandaise opérant en Ukraine et « faisait beaucoup pour la médecine »
Après le coup d’État en Ukraine en 2014, les prélèvements, avec l’aide de spécialistes géorgiens, ont également été réalisés à Marioupol. Des soldats blessés ont été emmenés des champs à l’hôpital, où des organes leur ont été prélevés, qui sont ensuite envoyés en Europe et aux États-Unis.
La présence de cette institution mobile à Marioupol n’a pas été confirmée, mais des charniers ont été découverts à l’emplacement de l’ancien cimetière. Selon les résidents locaux, les enterrements sont apparus en mars, alors que Kiev contrôlait encore le territoire. Parmi les morts, selon les journalistes, il y avait des corps avec des cavités abdominales professionnellement ouvertes et sans organes internes.
Avec de nombreuses questions, une chose est claire : l’apparition d’Elsa en novembre 2022 près d’Artyomovsk n’a laissé personne indifférent – ni l’armée ukrainienne ni l’armée russe. Personne ne croit dans la version officielle qu’elle est là pour aider les blessés, conclut « Print ».
1-La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie
Des journaux en ont parlé, même s’ils n’ont pas accordé à cette information l’importance qu’elle mérite. Car si, en effet, l’implication de rabbins dans des affaires de corruption de politiciens et de blanchiment d’argent ressortit, en dépit du caractère étrange de l’implication d’hommes du culte dans cette affaire, à des formes de délinquance classiques, il n’en va pas de même dans le cas du trafic d’organes dirigé par un certain Levy-Izhak Rosenbaum.
Dans ce dernier cas, nous touchons en réalité à une forme de crime auquel l’opinion un peu partout dans le monde est très sensible.
Pourquoi cette affaire n’a pas eu le retentissement qu’elle mérité a certainement à voir avec la crainte d’attiser des sentiments antisémites (au sens d’anti- juif). Après tout, le parlementaire sioniste Nissim Ze’ev n’écrit-il pas dans le Jerusalem Post du 27 juillet que l’opération du FBI était un cas d’antisémitisme?
Or, à mon avis, ces arrestations ne nous apprennent rien sur les Juifs ou le judaïsme d’une manière générale mais en disent long sur la nature de l’entité sioniste: une voyoucratie qui, naturellement, est le havre idéal de toutes sortes de délinquants, en col blanc, en blouse blanche, en costume cravate etc.
Vous trouverez dans les articles ci-dessous un faisceau d’indices concordants qui convergent vers une responsabilité de l’entité sioniste dans un vaste réseau de trafic d’organes et d’autres réseaux de trafics d’enfants et d’organes humains, et la liste n’est pas exhaustive.
Toutes les informations présentées renvoient à des sources dignes de foi et montrent aussi que les voleurs d’organes, quand ils en ont la possibilité, n’hésitent pas à le faire sur les corps de leurs propres coreligionnaires en kaki.
Nous ne nous trouvons donc certainement pas là devant un texte antisémite. Il n’y aucune raison de penser qu’il y a, proportionnellement parlant, plus de maffieux juifs que musulmans ou chrétiens. La seule différence de taille est que, les malfrats juifs sont AUTOMATIQUEMENT protégés par Israël.
Je parle des reins offerts par un « organiste » nommé Izzy Rosenbaum. Le FBI l’a coincé au terme d’une enquête pour corruption centrée sur des pots de vin versés à des politiciens du New Jersey (rien d’étonnant de ce côté là) et le blanchiment d’argent par des rabbins connus.
L’enquête a également touché Levy Izhak Rosenbaum de Brooklyn, qui est accusé d’avoir organisé la vente d’un rein humain pour une transplantation. Selon le procès-verbal, Rosenbaum dit avoir fait l’intermédiaire pour la vente de reins pendant une dizaine d’années.
«Son boulot était de convaincre des personnes vulnérables de céder un rein pour 10.000$ qu’il revendait de son côté pour 160.000$, » déclare Marra.
Marra est un procureur fédéral impliqué dans ce dossier. Les informations parues dans la presse citées ci-dessus donnent à penser aux lecteurs que les «donneurs» étaient à la fois volontaires et indemnisés, et que cette transaction était purement privée. Mais des preuves substantielles indiquent que l’affaire est beaucoup plus inquiétante. Les reins étaient « donnés » de force par des victimes non consentantes
Le gouvernement israélien dirigeait la sinistre combine de Rosenbaum.
De grands hôpitaux américains ont participé en toute connaissance de cause à cette magouille.
Avant d’en venir aux éléments probants, posons-nous deux questions simples : A qui exactement a-t-on pris ces reins ? Et quel genre de médecin extrairait le rein d’un patient sain ?
Je suis ce qu’on appelle un arrangeur [matchmaker], » avait déclare Rosenbaum à l’agent infiltré selon le procès-verbal de la plainte.
Si la transaction avait été réelle, affirment les autorités fédérales, elle aurait été le chapitre le plus récent des dix années de carrière de Rosenbaum en tant qu’intermédiaire dans une activité illicite. Dans tous les cas, il prélevait un échantillon de sang du receveur potentiel et le transmettait à un de ses associés dans une compagnie d’assurance qui pouvait l’analyser en laboratoire sans éveiller les soupçons.L’échantillon était ensuite expédié en Israël où des hommes de l’art étaient payés pour trouver un donneur compatible.
« Il ciblait des personnes vulnérables, » indique Mark McCarron, substitut du procureur fédéral de district. Rosenbaum arrangeait alors le voyage du donneur pour New York, dont l’obtention du visa, expliquent les autorités. Une fois le donneur rendu au USA, Rosenbaum fabriquait une relation entre le donneur et le receveur – une histoire que tous deux répéteraient aux professionnels de santé. Les deux pouvaient prétendre être associés en affaires par exemple, ou des amis proches dans une congrégation religieuse.
« Les hôpitaux semblaient être dans l’ignorance de la réalité, » déclare MCCarron.
Comme nous le verrons, nous devrions prendre cette affirmation avec d’énormes pincettes.
La lecture serrée de l’intégralité de l’acte d’accusation contre Rosenbaum est troublante. Rosenbaum a craché le morceau à un informateur se faisant passer pour un acheteur potentiel d’organes. Pendant leurs discussions, un agent du FBI se faisait passer pour le secrétaire du client.
Examinons quelques extraits de l’acte d’inculpation. « CW » réfère à l’informateur dont le vrai nom est Solomon Dwek. « UC » réfère à l’agent « secrétaire. »
L’UC a demandé au défendeur Rosenbaum comment le défendeur Rosenbaum pourrait obtenir pour l’oncle d’UC, et le défendeur Rosenbaum a expliqué que le défendeur Rosenbaum pouvait envoyer un échantillon du sang de l’oncle d’UC en Israël pour trouver un donneur compatible potentiel. Le défendeur Rosenbaum a ajouté que « si vous voulez que les choses aillent plus vite, j’amène le donneur ici… L’hôpital est l’autorité capable de dire s’il est compatible ou pas. Pas moi, pas vous, pas lui ni personne.»
Le défendeur Rosenbaum a alors expliqué qu’il serait nécessaire de fabriquer une sorte de relation entre le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a déclaré que « nous mettons en place quelque chose – la relation. L’hôpital demande quelle est la relation entre « le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a poursuivi, «Alors nous présentons une relation, amis ou voisins, ou relations d’affaires, n’importe quelle relation.»
Le défendeur Rosenbaum a expliqué qu’il n’était pas médecin et qu’une fois qu’il a amené un donneur volontaire dans le pays, « ce n’est plus de mon ressort. » Il a ajouté que « Je m’en occupe [du donneur] après, après l’opération chirurgicale aussi.» Pressé sur ce dernier point, le défendeur Rosenbaum a expliqué que « Je le place quelque part, » pour prendre soin du donneur. Le défendeur Rosenbaum a ensuite déclaré : « Vous devez vous en occuper comme d’un bébé parce qu’il peut avoir un problème de langue ou peut-être pas.» Le défendeur Rosenbaum a expliqué la démarche pour trouver un donneur en Israël et déclaré que « il y a des gens là bas qui renchérissent la transaction… Une des raisons de son prix très élevé est qu’on doit arroser des gens tout le temps [terme yiddish shmear : réunir des gens dont on a besoin]. »
Le défendeur Rosenbaum a indiqué que parmi ceux qu’il fallait payer se trouvaient le donneur et les médecins en Israël qui doivent examiner le donneur avant d’ajouter les dépenses induites par le travail d’obtention du visa et les dépenses du donneur pendant son séjour aux États-Unis.
Les seules preuves que le donneur est volontaire sont fournies par Rosenbaum, qui avait les motifs suivants pour mentir : Il devait soulager la conscience du receveur potentiel.
Il devait justifier les fortes sommes d’argent impliquées.
Il devait protéger les médecins et les hôpitaux impliqués dans l’opération. Rosenbaum savait qu’il s’était lancé dans un commerce risqué et que même s’il se faisait prendre, il lui fallait quand même protéger les hôpitaux et les médecins liés à ce misérable commerce. Avons-nous des éléments de preuves que les donneurs étaient contraints ? Oui. En fait nous avons le témoignage d’un «témoin» de l’intérieur.
Nancy Sheperd-Hughes de l’université de Californie, Berkeley, a été et reste toujours très claire sur le rôle de Rosenbaum dans le réseau.
« Il est le principal intermédiaire étatsunien pour un réseau international de trafic d’organes, » dit-elle.
Parmi ses sources, un homme qui avait commencé à travailler avec Rosenbaum en s’imaginant qu’il allait aider des personnes dans une situation désespérée. Cet homme a alors commencé à voir les donneurs, ou pour être plus précis, les vendeurs, qui étaient ramenés de pays pauvres comme la Moldavie.
« Il dit que c’était affreux. Ces gens étaient amenés aux USA et ne savaient même pas ce qui était supposé se passer et ils volaient rentrer chez eux, et ils pleuraient, » raconte Scheper-Hughes.
Cet homme qualifiait Rosenbaum de «voyou» capable de sortir un pistolet, qu’il semblait avoir le droit de porter, pour dire aux vendeurs, » Vous êtes ici. Un accord est un accord. Maintenant, vous allez nous donner un rein ou vous ne rentrerez jamais chez vous« .
(Incidemment, la Moldavie est un petit pays limitrophe de l’Ukraine).
Scheper-Hughes, qui écrit un livre sur ce sujet, s’est présentée au FBI en 2002. Ses preuves avaient été écartées. Le Département d’Etat a publié en 2004 un rapport qui stigmatisait le trafic d’organes comme «légende urbaine.» Alors que les autorités d’autres pays ont agi en suivant ses pistes et procédé à des arrestations.
Scheper-Hughes a eu plus de chance en Afrique du Sud et au Brésil où l’institution judiciaire a corroboré ses découvertes et agi avec fermeté.
Mais le réseau a continué à fonctionner ailleurs. Scheper-Hughes a visité des villages moldaves dont «20 % des hommes adultes avaient été recrutés pour être des vendeurs de reins sur le même principe.»
Arrêtons-nous pour réfléchir à nouveau aux déclarations de Rosenbaum à l’informateur du FBI. Comment une personne sensée qui travaille dans un hôpital pourrait-elle gober l’histoire selon laquelle lesreceveurs – des Juifs Américains – assistaient à des offices religieux avec des Brésiliens et des Africains ?
Vous pouvez voir une conférence de l’héroïque Nancy Sheperd-Hughes ici. La vidéo donne aussi son résumé qui est très impressionnant. Son témoignage devant une sous-commission de la Chambre des Représentants se trouve ici.
Brian Lehrerde NPR a interviewé Scheper-Hughes. Extrait :
J’avais commencé à remonter un réseau complet – un réseau criminel qui a tout l’air, a le parfum d’une sorte de mafia. Le quartier général de cette structure pyramidale se trouve en Israël, avec des intermédiaires en Turquie, à New York, à Philadelphie, à Durban, à Johannesburg, à Recife au Brésil, en Moldavie un peu partout. Et j’ai utilisé mes compétences dans l’enquête ethnographique pour sillonner le terrain et tenter d’assembler les pièces du puzzle.
Ce qui, à la fin, m’a conduite à identifier Isaac Rosenbaum comme étant l’intermédiaire principal d’Ilan Peri en Israël qui est, à la base, le cerveau de l’opération, et qui est un type insaisissable. Les Israéliens ont essayé de le coincer de l’arrêter. Ils ont essayé de l’avoir pour fraude fiscale et il a fui en Allemagne. Je pense qu’il est revenu en Israël. Un esprit cynique dirait que M. Peri a ce que le Mossad appelle «un cheval» qui court pour lui (en Israël, un « cheval » est un terme d’argot pour désigner un gros bonnet qui offre une aide en sous-main et qui le protège). Même s’il est très peu connu du public, M. Peri et ses activités sont mentionnés dans cet article de 2004.
Cet article fascinant de l’Agence France Presse apporte des informations de premier ordre.
Un officier de l’armée israélienne en retraite nommé Geldaya Tauber Gady a été arrêté au Brésil pour sa participation à ce réseau international de trafic d’organes. (je suppose que les informations de Scheper-Hughes – qui ont été prises au sérieux au Brésil – ont mené à l’arrestation de Gady).
Il a expliqué au tribunal que le gouvernement israélien finançait l’opération. Et encore : Gady a déclaré au tribunal qu’un officiel du gouvernement israélien, identifié seulement comme Ilan, l’avait mis en contact avec un intermédiaire au Brésil…
Le témoignage de Gady devant le tribunal jette une lumière entièrement nouvelle sur le dossier Rosenbaum.
La couverture par la presse américaine a amené l’opinion à croire que le trafic de reins par Rosenbaum était simplement une affaire d’enrichissement personnel. Mais un ancien officier Israélien a déclaré sous serment que le gouvernement israélien dirige ce réseau .et que la tête du réseau – «Ilan» est à l’évidence Ilan Peri – agit en tant qu’agent de ce gouvernement.
(Maintenant je me demande : le gouvernement israélien était-il impliqué dans le blanchiment d’argent qui s- faisait par les synagogues du New Jersey ?).
Franchement, je soupçonne Scheper-Hughes d’être au courant de l’intégralité du témoignage de Gady et de ses implications pour le dossier Rosenbaum. Elle a probablement choisi de se taire à ce sujet pour éviter de se décrédibiliser devant la presse américaine.
Dans la suite de l’interview avec Lehrer, Scheper-Hughes donne plus de détails sur ses découvertes en Moldavie. Dans des villages de ce pays, de nombreux hommes jeunes rapportent qu’on leur a dit qu’ils pourraient trouver du travail comme peintres en bâtiment dans d’autres pays (dont les Etats-Unis). Une fois dans cet autre pays, on les forçait à donner un de leurs reins.
Selon l’informateur de Scheper-Hughes à l’intérieur de l’organisation de Rosenbaum, des Russes perdus et désorientés étaient transférés à New York par des intermédiaires Israéliens qui les contraignaient par la force des armes à «donner» leurs reins.
Scheper-Hughes : Ils m’ont donné les noms de ces hôpitaux, et c’étaient nos meilleurs hôpitaux !
Brian Lehrer: Et savaient-ils, professeur, qu’ils pratiquaient de la chirurgie rénale sur des gens qui ne participaient pas de leur plein gré et qui étaient exploités et menacés ?
Scheper-Hughes : Mon point de vue est, comment certains d’entre eux pouvaient-ils ne pas le savoir ? Les gens qui arrivaient, certains d’entre eux ne parlaient pas les mêmes langues, ils étaient très pauvres, ils étaient désorientés…Nous avons des règles. Nous avons des commissions de régulation des transplantations. Nous avons des règles éthiques. Et on ne laisse pas comme ça les gens sortir des clous.
Elle en vient à citer l’hôpital Mont Sinaï, contre lequel elle a des preuves filmées. Elle a porté cette bande vidéo à l’attention de 60 minutes qui ne l’a pas diffusée. Plus loin dans l’interview, elle parle des opérations pratiquées au centre médical Albert Einstein. L’hôpital Mont Sinaï affirme que ses donneurs de reins «sont soumis à une évaluation approfondie pour leurs propres sécurité et bien-être.»
Des années durant, de nombreuses personnes ont accusé Israël de trafiquer les organes de Palestiniens. Les Palestiniens eux-mêmes ne doutent pas du caractère courant de cette pratique.
Récemment, en 2004, le Département d’Etat a officiellement dénoncé comme un « mythe » l’affirmation qu’il existe un trafic d’organes aux États-Unis. Comme nous le savons maintenant, ce « mythe » a une base réelle.
Les accusations destinées à nous faire taire en nous accusant d’antisémitisme ne devraient pas nous dissuader de mener une enquête honnête et sans préjugés sur le dossier israélien. J’observerai que ceux qui évoquent le trafic d’organes en Chine et en Inde ne sont pas accusés d’hostilité raciste envers les Chinois ou les Indiens.
Ce livre en ligne est d’une haute tenue et cite des sources fiables, dont Scheper-Hughes. Les références bibliographiques attribuent le récit qui suit à David Yallop, un auteur respecté.
Gaza, 8 février 1988
Khader Elias Tarazi, un Palestinien Chrétien de 19 ans, allait faire des courses à Gaza. Alors qu’il rentrait, deux sacs sur sa bicyclette, il traversa une route près d’une manifestation où des lanceurs de cailloux fuyaient les soldats de l’armée israélienne. Les soldats s’emparèrent de Khader et le frappèrent au corps et à la tête avec des matraques. Les commerçants criaient que Khader n’était pas dans la manifestation mais les soldats brisèrent une jambe et un bras de Khader. Ils continuèrent à le frapper puis le balancèrent contre le capot de leur jeep pour menotter Khader inconscient à la barre anti crash avant de leur véhicule. Ils roulèrent en freinant souvent brusquement, ce qui provoqua d’autres blessures dont une fracture de la colonne vertébrale, des traumatismes crâniens et son visage cognait sans arrêt contre le capot.
Le médecin de la prison militaire de Gaza refusa de soigner Khader à cause de la gravité des blessures et des lacunes dans les formalités administratives. Il fut emmené à la prison Ansar 2 et jeté dans une tente hébergeant 30 à 40 prisonniers. Les autres détenus Palestiniens hurlèrent qu’il devait être conduit à l’hôpital et les gardes leur répondirent en les obligeant à se déshabiller et à rester dehors dans le froid hivernal. Khaled décéda dans la tente et fut ensuite emmené à l’hôpital Soroka à Beer Sheba où son décès fut constaté.
La mère de Khader était à l’extérieur de la prison quand des responsables Israéliens ont nié avoir un prisonnier de ce nom à l’intérieur. Plus tard, ils reconnaîtront qu’il était à l’intérieur mais diront qu’il devait être très malade quand il est parti faire des courses car il était mort maintenant.
Les officiels Israéliens refusèrent de restituer le corps qui fut transféré à l’hôpital Abu Kabeer, officiellement pour une autopsie. Mme Tarazi a déclaré à David Yallop que pendant ce temps de nombreux organes ont été prélevés illégalement de son corps.
Aucune enquête n’a été menée sur le décès et la famille Tarazi s’est entendue dire que si elle continuait à demander une enquête elle aurait des problèmes. Cinq mois plus tard, des soldats et la police secrète rendirent visite au domicile des Tarazi, frappèrent le frère et le père de Khader et jetèrent le premier en prison.
Yallop est aussi la source pour ce qui suit.
Cisjordanie, 30 octobre 1988
Des Palestiniens Catholiques Romains qui quittaient la messe furent confrontés à l’armée israélienne et commencèrent à lancer des pierres. Iyad Bishara Abu Saada, 19 ans, fut tué par une balle en caoutchouc qui lui avait sectionné l’artère abdominale. La même chasse sinistre au cadavre s’ensuivit. Les proches de la victime échappèrent aux Israéliens et Iyad fut enterré quelques heures plus tard. De manière quelque peu prévisible, les Israéliens tirèrent des grenades lacrymogènes dans le domicile familial quatre jours plus tard. Mme Saada a déclaré à David Yallop que la pratique du prélèvement d’organes était courante et a cité des hôpitaux arabes et israéliens où, selon elle, les organes étaient retirés. Elle disait que des médecins, accompagnés de soldats, offraient de grosses sommes d’argents aux familles des tués.
Mary Barrett, une photographe de presse de Boston (je ne sais rien d’autre sur elle) a écrit ce texte en 1990.
Le Dr Abu Ghazalah attribue l’étendue des craintes au sujet des vols d’organes qui s’est emparée de Gaza et de la Cisjordanie depuis le début de l’Intifada en décembre 1987 à plusieurs facteurs. » Il y a des indications que pour une raison ou pour une autre, des organes, particulièrement des yeux et des reins, ont été prélevés sur des cadavres pendant la première année ou le premier an et demi. Il y a eu tout simplement beaucoup trop de récits de la part de gens crédibles pour qu’il ne se soit pas passé quelque chose. Si quelqu’un a été tué d’une balle dans la tête et rentre à la maison dans un sac en plastique sans ses organes internes, qu’en déduiront les gens ?«
Selon un article publié par Haaretz (une source qu’on ne peut pas accuser d’antisémitisme), les autorités roumaines ont accusé une agence israélienne d’adoption de participer à une conspiration de trafic d’organes à l’échelle internationale.
L’ambassade de Roumanie en Israël a demandé et obtenu du ministère israélien du travail et des affaires sociales, une liste de tous les enfants nés en Roumanie et envoyés en Israël pour y être adoptés ces dernières années. Les responsables Roumains cherchent à vérifier que tous ces enfants sont arrivés en Israël avec l’intégralité de leurs organes.
Histoire d’un don volontaire d’organe par un Palestinien.
En 2005, dans la ville de Jenine, l’armée israélienne a tué par balles un enfant Palestinien nommé Ahmed Khatib. Son père, affligé, avait autorisé à ce que divers organes de son fils puissent servir à sauver la vie d’autres enfants, Juifs ou Arabes. Une offre généreuse et humaine. Néanmoins, le père d’une fille juive dont la vie a été sauvée ainsi a déclaré qu’il ne permettrait jamais à sa fille de se lier d’amitié avec un Arabe – par crainte d’une mauvaise influence.
« Survivant de l’holocauste » et trafiquant d’organes
Normalement, l’arrestation en Europe du chef d’un réseau de trafic d’organes humains aurait dû faire les gros titres des journaux.
Il n’en a pourtant rien été avec l’arrestation d’un certain Gedalya Tauber le 6 juin 2013 à l’aéroport de Rome. On ne trouve que quelques références sur cette affaire sur internet comme cet article du journal Ouest-France, un des plus détaillés de ce que la presse francophone a à nous offrir:
Gedalya Tauber, un ex-officier israélien de 77 ans à la tête d’un trafic international d’organes humains a été arrêté jeudi à l’aéroport Leonard de Vinci de Rome, a annoncé vendredi la police italienne. L’homme était recherché depuis octobre 2010.
Recherché par toutes les polices du monde et fiché par Interpol, l’ancien militaire a été identifié à l’aéroport par deux agents, dont le responsable de la police de l’air et des frontières, Rosario Testaiuti.
« Nous avons arrêté Gedalya Tauber qui est visé par un mandat d’extradition à la suite d’une condamnation à la peine de prison à perpétuité en Israël », a déclaré Antonio Del Greco, un responsable de la police à l’aéroport.
Cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël
Israëlien résident au Brésil, Gedalya Tauber avait été arrêté en 2010 pour trafic d’organes, avec son partenaire Eliezer Ramon et six autres Brésiliens, à Recife, au nord-est du Brésil. Considéré comme le cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël, il organisait des opérations à l’hôpital de Sainte Augustine de Durban, en Afrique du Sud.
Son groupe enrôlait des Brésiliens provenant des quartiers pauvres de Recife et payait entre 3.000 et 10.000 dollars pour un rein, qui était ensuite transplanté à l’acheteur. Tauber s’occupait aussi bien de trouver les donneurs que les bénéficiaires, ces derniers tous Israéliens. Selon les médias il aurait organisé plus de 35 opérations illégales dans l’hôpital de Sainte Augustine.
Gedalya Tauber est donc un ressortissant israélien, ancien officier de l’armée de surcroît, deux bonnes raisons d’être discret car ne sommes-nous pas là devant ce qu’on appelle des circonstances atténuantes?
Et puis, nous apprend la presse sioniste, Gedalya Tauber a aussi été chef de la police de Tel-Aviv et, surtout, il serait un survivant de l’holocauste
Gedalya Tauber, une souffrance incomprise
Israël : sept personnes inculpées pour un trafic d’organes international
Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales au Kosovo, en Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la Justice. AFP / Jacques Demarthon
Une partie d’un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales a été démantelée ce mercredi. Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv, accusés d’avoir donné à des malades israéliens des organes en provenance du Kosovo, d’Azerbaïdjan, du Sri Lanka ou de Turquie.
Ils auraient réalisé des profits en se livrant «à des dizaines d’occasions» à des trafics d’organes entre 2008 et 2014, a affirmé le ministère dans un communiqué, en les accusant d’avoir exploité «la détresse économique des donneurs et la détresse médicale des receveurs».
Déjà connus des autorités
Un des accusés, Avigad Sandlar, repérait les malades israéliens en vue de leur proposer des organes de personnes vivant au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka. Un autre, Boris Wolfman, était chargé de repérer des donneurs potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan, avant d’étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie.
Le troisième inculpé, Moshé Harel, sévissait également au Kosovo avec un médecin turc, Yusuf Ercin Sonmez. Leurs deux noms avaient déjà été évoqués lors d’un procès en 2013 pour trafic d’organes au Kosovo mais aucune suite n’avait été donnée. Un autre inculpé, le docteur Zaki Shapira, considéré comme un expert en matière de greffes d’organes, était chef de service pour ce genre d’intervention à l’hôpital Beilinson près de Tel-Aviv jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite en 2003.
Les donneurs se voient promettre 15 000 euros
Il faisait partie «intégrante» des activités illégales des autres inculpés au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka, a affirmé le ministère. «Il a exploité sa renommée pour aider les autres inculpés en mobilisant des receveurs potentiels, en s’occupant des démarches administratives et en vérifiant la qualité des hôpitaux et des médecins qui effectuaient les greffes», a-t-il ajouté.
En avril 2013, un tribunal européen avait condamné cinq médecins kosovars à des peines allant jusqu’à huit ans de prison pour trafic d’organes au Kosovo. Les donneurs, recrutés en Europe et en Asie centrale, se voyaient promettre 15.000 euros tandis que les receveurs d’organes étaient prêts à débourser jusqu’à 100.000 euros pour une telle intervention. Dans l’acte d’accusation, Moshé Harel avait été présenté comme étant le cerveau d’un réseau de recrutement de donneurs et de receveurs d’organes, alors que Yusuf Ercin Sonmez était soupçonné d’avoir effectué les greffes.
Le SIFT (Special Investigative Task Force) a confirmé l’existence passée d’un réseau de trafic d’organes au Kosovo et a apporté de nombreuses preuves. La plaque tournante de ce réseau était une clinique de la banlieue de Pristina, la capitale du Kosovo:
Le cerveau présumé du réseau serait l’Israélien Moshé Harel. Lui et un médecin turc aurait réalisé d’énormes profits grâce à ce trafic. Une grande partie des commandes d’organes provenait d’Israël.
L’ancien ministre des affaires étrangères sous l’ère Sarkozy avait reçu en 2009 à Paris des hommes impliqués dans ce réseau, déclarant être « heureux » et avoir reçu des « amis ».
Pour bon nombre de personnes, Bernard Kouchner était au courant de ces crimes et il était un des leaders du réseau. Pourtant, en mars 2010 dans l’enclave serbe de Gracanica, Kouchner nia l’existence du réseau et préféra en rire à gorge déployée.
En 2014, interrogé par les micros d’AIL sur la « maison jaune », le médecin de formation Bernard Kouchner nie toujours le trafic d’organe au Kosovo alors que les preuves sont accablantes. Il semble même gêné de la présence des journalistes. Il nie tout en bloc.
Cet article va vous présenter sommairement la triste réalité sur les réseaux pédocriminels, des réseaux ultra-protégés par les plus hautes sphères de l’État dans de nombreux pays et qui sévissent en quasi totale impunité. C’est pour cela qu’il faut mettre ces gens et ces sujets sous les projecteurs. Ils n’aiment pas être mis dans la lumière.
L’élite est particulièrement impliquée dans ces réseaux (les familles royales, avocats, ministres etc). Pour ne citer qu’un exemple, on peut prendre le cas du prince Andrew:
Vous ne verrez que le sommet de l’iceberg dans ces vidéos.
Thierry Lévy
Subject: LEVY Thierry – Copyright: Maurice ROUGEMONT/Opale – Date: 20080107
Lors du visionnage des vidéos, vous deviendrez fou de rage quand vous entendrez l’avocat Thierry Lévy s’offusquer sur France 3 sur le fait qu’on ne puisse pas abuser tranquillement les enfants dans notre société. (vidéo 1)
Egalement, vous verrez Maurice Gutman, membre du CRIF, demander à une fille de 12 ans de montrer son entrejambe sur Internet et de venir le rencontrer sur Paris, pour aller un plus peu plus loin dans l’horreur. Il s’est fait piéger par une émission de télévision. Il s’en est sorti avec un simple sursis !
Frédérick Mitterand a aussi avoué aimer les enfants, les jeunes garçons, « la chair fraîche« . Comme il le dit si bien, « au-dessus de 14 ans c’est dégueulasse« . Les réseaux pédophiles élitistes sont omniprésents dans l’Europe Occidentale, comme vous le verrez dans cette vidéo (fr):
Israël : Paradis pour le trafic d’organes
Les palestiniens, en plus d’être victimes de l’occupation, des meurtres, des tortures et autres spoliations, sont aussi une cible de choix pour le trafic d’organes dont l’entité sioniste est aujourd’hui, le leader mondial.
A la lecture de ces lignes, les défenseurs du régime criminel crieront certainement au complot antisémite et évoqueront les anciennes croyances médiévales racistes, prétendant que les Juifs tuaient les enfants chrétiens pour leur sang etc… Mais les faits sont implacables, à condition d’avoir de la mémoire et il n’est pas question ici de théorie du complot :
En effet, on se souvient qu’en 1998, un Ecossais mourait dans des circonstances étranges à l’aéroport de Tel Aviv, et que son autopsie réalisée à Glasgow révéla que le cœur, ainsi qu’un petit os du cou manquaient, ce qui poussa l’ambassade britannique à Tel Aviv à porter plainte contre l’État d’Israël.
En 2004, un réseau international de trafic d’organes qui avait des ramifications en Israël a été démantelé à Recife au Brésil impliquant là aussi deux citoyens israéliens dont un officier de l’armée en retraite qui avait expliqué au tribunal qu’il ne pensait pas que son activité était illégale puisque le gouvernement israélien finançait l’opération …
En 2009, un vaste réseau de trafic d’organes qui prenait source en Israël avait été démantelé par le FBI dans une opération gigantesque lors de laquelle 5 rabbins avaient été arrêtés (certains des organes avaient été prélevés sur des enfants enlevés en Algérie).
En 2010, le quotidien israélien Haaretz révélait que six Israéliens, parmi lesquels un général de brigade en réserve de l’armée et deux avocats avaient été arrêtés pour trafic d’organes.
En 2013, un ex-officier israélien a été arrêté à Rome, il était responsable d’un trafic d’organes impliquant un groupe hospitalier privé de l’Afrique du Sud.
Il y a quelques jours, l’Israélien Gedalya Tauber a été arrêté en Belgique, il était le chef d’un important réseau de trafic d’organes, sévissant depuis des années au Brésil. Il est à noter que durant ses années de cavales, le criminel se déplaçait pourtant sans aucun souci en Israël ou aux USA….
Ce ne sont là que quelques exemples d’une longue liste d’affaires impliquant les réseaux israéliens de trafic d’organes, et les pays dans lesquels ils sévissent sont nombreux (Moldavie, Kossovo, Roumanie..), mais le premier d’entre eux reste évidemment, l’entité sioniste qui dispose de victimes de choix : les Palestiniens.
Dernièrement, aux Nations Unies, le représentant de l’Autorité palestinienne a accusé Israël de restituer les corps des Palestiniens tués avec des « organes manquants », ce qui a été qualifié de « diffamation sanglante » par l’occupant.
Pourtant, le 29 Octobre dernier, le rabbin Yaakov Menken qui gère l’un des sites juifs le plus important du monde a déclaré qu’il était « favorable au prélèvement d’organes sur des Palestiniens tués (qu’il appelle évidemment « terroristes ») ce qui n’avait ému personne dans notre patrie des droits de l’homme.
Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).
On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.
Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.
Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.
Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.
Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???
Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?
Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?
Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?
Pédophilie et esclaves sexuelles autorisées en ISRAEL
Les polices italienne et russe, en travaillant ensemble, ont démantelé un réseau de gangsters juifs impliqués dans le trafic de viol d’enfants et dans la pornographie.
Trois juifs russes et huit Juifs italiens ont été arrêtés après que la police a découvert qu’ils avaient kidnappé des enfants non-juifs âgés de deux à cinq ans, dans des orphelinats russes, violant les enfants, puis les assassinant en filmant leurs exploits. Des centaines de clients, dont 600 en Italie, et un nombre inconnu aux États-Unis, ont payés jusqu’à 20.000 $ par film, dans lequel on voit des petits enfants violés et assassinés.
Bien A.P. (Associated Press) et Reuters rapportaient tous les deux ces informations, mais les groupes médiatiques américains ont refusé de porter l’histoire à la télévision, arguant que ce genre d’information pourrait nuire aux relations avec Israël.
La mafia juive en Russie est devenue de plus en plus liée au trafic des «esclaves blanches» et des prostituées vers Israël, selon un rapport récent dans le Jerusalem Post. Israël officiel ferme les yeux face à ces trafics, et ne punit pas les citoyens israéliens qui choisissent de posséder «esclaves sexuelles», tant que ces esclaves sont étrangères et non juives, car la tradition talmudique permet ce trafic.
Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).
On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.
Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.
Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.
Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.
Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???
Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?
Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?
Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?
Qu’est-ce qui pourrait provoquer l’aggravation de presque tous les types de cancer en quelques mois seulement ? Quelle toxine tant d’humains « consomment-ils » au cours des deux dernières années pour que tant de cas de cancers augmentent de façon exponentielle ? Le cancer du sein invasif pour 2022 a été nouvellement diagnostiqué chez plus d’un quart de million de femmes, alors que les taux d’incidence continuent d’augmenter. De plus, en 2022, les cas de cancer du poumon nouvellement diagnostiqués ont dépassé 230.000, car ceux-ci continuent également d’augmenter. De plus, après des décennies de déclin, les cas de cancer de la prostate sont maintenant en augmentation.
Qu’est-ce qui se passe dans ce monde?
Curieusement, depuis la sortie des «vaccins» Covid-19, des millions de victimes injectées développent un cancer «à l’improviste» ou leur cas de cancer déclaré s’est soudainement aggravé, ou elles bien elles ont eu un cancer qui est entré en rémission, et tout à coup, il est revenu plus virulent. Cela nécessite un examen attentif. Regardons de plus près.
Augmentation spectaculaire des cancers à apparition précoce depuis la publication des vaccinsexpérimentaux d’ARNm Covid pour des essais de masse sur l’homme
On pourrait dire qu’il y a plusieurs milliards de cobayes sur terre, vacillant comme des zombies confus, se demandant pourquoi ils ont soudainement une inflammation chronique. Chaque être humain qui s’est fait injecter une « technologie » expérimentale d’ARNm est comme un cobaye testé en laboratoire, attendant de savoir si le « médicament » prend ou les retire à la place. Des millions de décès par cancer sont désormais cachés par le complexe industriel médical et le complexe industriel des fabricants de vaccins. Un médecin de la Colombie-Britannique, le Dr Charles Hoffe, a effectué des tomodensitogrammes TEP/TDM sur des patients cancéreux qui avaient reçu un rappel d’ARNm de Pfizer une semaine plus tôt et a constaté qu’ils avaient une progression rapide du lymphome à cellules T, une augmentation spectaculaire des lésions gastro-intestinales, plus un effet turbo de propagation des cellules dans les ganglions lymphatiques sous les bras près des aisselles. C’est ce qu’on appelle le TURBO CANCER parce que les protéines de pointe servent de carburant ou de carcinogène de type turbo qui alimente les cellules cancéreuses afin qu’elles se multiplient de façon exponentielle, envahissant le reste du corps. Les protéines de pointe désactivent littéralement les gènes qui combattent le cancer (P-53), laissant le génome sans surveillance. Il s’avère que les protéines de pointe sont l’aliment idéal pour nourrir le cancer. Cela signifie que la majorité des patients vaccinés par Covid pourraient subir des dommages critiques pour leur santé dans les mois et les années à venir, d’autant plus que de plus en plus de personnes reçoivent des rappels. Les cellules cancéreuses du corps injecté par le vaccin Covid sont nourries, tandis que le système immunitaire humain reçoit l’instruction (pensez à l’ARNm) de se retirer et de ne pas combattre le cancer.
Les prions toxiques connus sous le nom de «protéines de pointe» sont reconnus par le système immunitaire comme des envahisseurs étrangers et des agents pathogènes qui envahissent les organes vitaux
Attaque des clones tueurs. De minuscules petits terroristes (protéines de pointe) déguisés et portant un « masque » qui ressemble à un virus concocté en laboratoire envahissent les organes humains, provoquant une attaque du système immunitaire, tout en nourrissant les cellules cancéreuses maléfiques du carburant dont elles ont besoin pour se développer et prendre le relais. Ces prions toxiques imitent un virus mortel, et ils ne restent pas au site d’injection, car le complexe industriel du vaccin désinforme les masses avec leur désinformation à ce sujet.
Quiconque lutte contre le cancer ou l’a déjà combattu et vaincu, a maintenant un nouveau défi à relever, et c’est plus une guerre qu’une simple bataille. Des millions de protéines de pointe flottent dans leur système injecté par le vax-Covid, et c’est comme répandre des bonbons dans la maison pour que les cafards et les fourmis les trouvent. Le cancer est nourri par les injections de Fauci, et les MSM n’en diront pas un mot. Il suffit de regarder la montée en flèche des cas de toutes sortes de cancers au cours des deux dernières années, et vous verrez.
#1. Turbo cancer– les tumeurs existantes se développent de manière exponentielle plus rapidement (plus de multiples tumeurs dans plusieurs organes) #2. Cancer du sein #3. Récidive (et métastases) après rémission complète avant injection(s) Covid #4. Cancer du poumon et des bronches #5. Cancer de la prostate #6. Cancer du côlon et du rectum #7. Cancer de l’estomac et de l’œsophage
Une ancienne infirmière qualifie le protocole hospitalier Covid-19 comme un « meurtre médical »
Une ancienne infirmière californienne qui a été licenciée pour avoir refusé de se faire «vacciner» contre le Covid-19 parle des horreurs dont elle a été témoin et endurées tout au long de la «pandémie».
Gail Macrae dit qu’elle soutenait des organisations comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et l’American Medical Association (AMA) avant le covid. Cependant, ce qu’elle a vu et ce qu’on lui a ordonné de faire aux patients dans le cadre des protocoles officiels du gouvernement a complètement changé son point de vue.
Avant d’être licenciée, Macrae a travaillé dans les hôpitaux, y compris dans l’unité de soins intensifs (USI), en tant qu’infirmière, et elle est également sage-femme. Elle a été employée au Kaiser Permanente Santa Rosa Medical Center de 2015 à 2021 lorsque l’opération Warp Speed a été lancée par l’administration Trump. Vers le printemps 2020, alors que le covid augmentait vraiment, Macrae a commencé à remarquer des anomalies entre ce que les médias rapportaient et ce qui se passait réellement sur son lieu de travail. « Les hôpitaux n’étaient jamais pleins de patients », a déclaré Macrae à propos du fait que son hôpital était tout sauf « débordant de patients » comme le rapportaient les médias menteurs à l’époque. « En fait, depuis le début de la covid, pendant toute la première année de cette pandémie, non seulement notre hôpital était en sous-capacité, mais j’étais employée à temps partiel. » (En relation: Vous vous souvenez quand l’hôpital Sarasota Memorial en Floride a été surpris en train d’essayer d’assassiner des patients pour gonfler son nombre de covid et rendre la «pandémie» plus effrayante?) Combien d’autres infirmières se sont fait dire de violer leur morale en assassinant des patients avec du remdesivir et des respirateurs ? Le poste de Macrae à l’hôpital était per diem, ce qui signifie qu’elle était incapable de créer son propre horaire et de choisir quand travailler. Souvent, l’hôpital annulait ses quarts de travail parce qu’il n’y avait tout simplement pas assez de patients admis ayant besoin de soins. Il s’avère que c’était également la «norme» tout au long de l’hiver 2020, ce qui est censé être l’époque durant laquelle les cas de covid étaient déclarés « hors de contrôle ». À deux reprises seulement, l’hôpital s’est rempli de patients, mais Macrae dit que ce n’était pas inhabituel pour cette période de l’année, même sans Covid La seule chose qui a changé pendant cette période est que Macrae et ses collègues ont été forcés de dire aux familles des patients qu’ils ne pouvaient pas rendre visite à leurs proches, ce qui, selon elle, «violait» son éthique et sa morale. Macrae a également été contrainte d’administrer des médicaments mortels comme le remdesivir, dont Tony Fauci a directement profité – mais ce « médicatement » ne fonctionne pas pour traiter le covid. Pendant ce temps, le personnel hospitalier s’est vu interdire d’administrer de l’hydroxychloroquine (HCQ) et de l’ivermectine aux patients. « Et nous ne constatons aucune amélioration« , déclare Macrae à propos des protocoles officiels de covid qu’elle a été forcée d’administrer. « Et en fait, nous voyons des patients subir des défaillances multi-organes. » Ni le CDC ni l’AMA n’ont jamais changé leurs politiques, malgré tout le carnage, ce qui montre bien qu’on ne peut pas faire confiance à ces organisations. De l’avis de Macrae, ce qu’ils ont dit aux travailleurs médicaux de faire tout au long de la covid équivaut à un « meurtre médical« . « Je pense que ça vient de la combinaison du remdesivir et de l’isolement des malades. Durant des semaines les malades n’ont accès ni à la nourriture ni à l’eau », a-t-elle déclaré à propos de la façon dont ces protocoles ont mis fin à la vie de nombreux patients. « Tous ces protocoles, la peur, l’isolement, les médicaments toxiques – j’ai préféré partie car j’avais l’impression d’avoir participé à un meurtre médical. » Après le déclenchement des «vaccins» dans le cadre de l’opération Warp Speed, Macrae a commencé à voir un afflux de patients souffrant de crises cardiaques ou d’accidents vasculaires cérébraux – ou ce que l’on appelle dans le domaine médical des appels «code bleu». « Et neuf fois sur 10, ces codes bleus étaient au niveau inférieur, jusqu’à la clinique, où ils injectaient des gens« , a déclaré Macrae. « Et deux de mes collègues sont en fait entrés en anaphylaxie après avoir reçu leurs injections. »
Les dernières nouvelles sur le génocide de masse covid peuvent être trouvées sur Genocide.news
Les forces de missiles stratégiques russes ont commencé à exécuter CE QU’ILS DISAIENT. Ils mènent les exercices prévus impliquant les systèmes de missiles balistiques intercontinentaux nucléaires mobiles Yars, a déclaré le ministère russe de la Défense le mardi 28 mars 2023. Chaque missile YARS porte une tête nucléaire d’une puissance de 800 kilotonnes. « Au total, plus de 3 000 militaires et environ 300 équipements sont impliqués dans les exercices », a déclaré le ministère de la Défense dans un communiqué publié sur l’application de messagerie Telegram.
La Russie a clairement indiqué que si des munitions à l’uranium appauvri sont données à l’Ukraine, cela sera considéré par la Russie comme une attaque avec des « bombes nucléaires sales » et la Russie réagira en conséquence.
Les troupes ukrainiennes s’entraînent au Royaume-Uni avec des projectiles contenant de l’uranium appauvri
Le Royaume-Uni forme des soldats ukrainiens à la manipulation et à l’utilisationappropriées des projectiles à l’uranium appauvri utilisés par les chars. Le 21 mars, le vice-ministre de la Défense du Royaume-Uni a publiquement reconnu que le Royaume-Uni fournirait des munitions à l’uranium appauvri aux forces ukrainiennes pour les utiliser dans certaines plates-formes d’armes fournies à l’Ukraine par l’OTAN. (Voir ICI)
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Armes nucléaires à la polonaise
La Pologne a l’intention d’accueillir des armes nucléaires américaines, ce qui suscite des craintes croissantes de la part de Poutine.
Les Polonais se laissent (encore) pousser par les Anglo-Saxons à être hostiles envers la Russie et l’Allemagne. Ce n’est pas qu’il faille beaucoup les pousser, mais tout de même.
La Grande-Bretagne a annoncé qu’elle fournirait des tiges de pénétration d’UA avec ses chars Challenger-2.
Comme vous le savez, avec mon analyse, je m’efforce toujours de découvrir les petites choses non dites sous le capot, les angles que les récits plus « traditionnels » ne parviennent pas à voir, à reconnaître ou à comprendre.
D’abord, un très bref résumé de ce que sont les tiges DU. C’est très simple : le blindage des chars est principalement en acier. Si vous tirez sur un obus APFSDS (Armor Penetrating Fin Stabilized Discarding Sabot) qui est également en acier, vous frappez essentiellement le char ennemi avec un obus de même densité/dureté, qui, par le biais des lois de Newton, feraient en sorte que la cartouche d’acier se multiplie et se désintègre sous la force d’opposition beaucoup plus solide du blindage du char.
Les militaires ont donc commencé à utiliser des cartouches de tungstène. Le tungstène est beaucoup plus dur/plus dense que l’acier, en fait il est encore plus dense que l’uranium pur. Cependant, le tungstène est beaucoup plus rare et cher. L’uranium appauvri a cependant une dureté similaire mais est moins cher car il est fabriqué à partir de déchets radioactifs, sous-produits des centrales nucléaires, dont elles n’ont plus besoin. Il est bien sûr débarrassé de la majeure partie de sa radioactivité, mais il en reste une petite quantité.
Ainsi, le tungstène ou l’uranium frappant une armure en acier est une force beaucoup plus dense qui s’apparente à un couteau à travers du beurre. En réalité, c’est beaucoup plus compliqué et détaillé, car le tungstène est à certains égards même supérieur au DU, mais il est beaucoup plus cher.
Le WHA (alliage à 90% de tungstène) pénètre mieux que le DU avec certaines variables et vitesses en place. Mais l’essentiel à comprendre est que l’UA pénètre bien mieux que les cartouches à pointe d’acier ordinaires et qu’il est beaucoup moins cher à fabriquer que le tungstène.
Le ministère britannique de la Défense a publié une déclaration, citant des « recherches indépendantes de scientifiques », selon lesquelles les effets néfastes sur la santé de l’uranium appauvri sont minimes.
Il est difficile de vérifier pleinement, en particulier en raison du fait qu’il est dans l’intérêt des États-Unis et de l’Occident de balayer sous le tapis les éléments négatifs mais les chiffres qui circulent sur Internet vont dans ce sens
Etude Fallujah, #Iraq 2005 – 2010 : La leucémie a augmenté de 38 fois, Tumeurs cérébrales 13x, Lymphome 10x, Cancer chez les enfants 10,5x
Ceci est corroboré par des articles d’il y a longtemps, peut-être à l’époque où il était un peu plus facile de publier des faits « gênants », avant que Big Tech n’enchaîne complètement Internet avec leurs algorithmes de nettoyage barbares « WrongThink ». Un article du Guardian de 2009 , par exemple, confirme une multiplication par 15 des malformations congénitales chez les nourrissons.
Mais il y a deux façons de penser à cela. La première est que les batailles de Fallujah, qui sont les principaux responsables de cet empoisonnement à l’UA, ont duré peut-être deux mois au total, combinés. Cela signifie que nous pouvons considérer le fait qu’en seulement deux mois de tir à l’UA à Fallujah, ils ont empoisonné la population à un degré tel qu’ils ont affecté plus de 14% des naissances avec des malformations.
Beaucoup s’accordent à dire que la guerre ukrainienne durera peut-être plusieurs années. Alors imaginez quel type de contamination résulterait d’une période d’utilisation de l’uranium appauvri 10x ou 20x plus longue que les batailles de Fallujah qui ont ravagé et empoisonné le paysage ?
Étant donné l’intensité bien plus grande de ce conflit par rapport à l’Irak, nous savons également que les chars sur la ligne de front tirent exponentiellement plus de coups en général que tout autre conflit récent. Il y a donc des raisons de supposer que peut-être l’accumulation totale de l’utilisation des cartouches d’uranium appauvri en Ukraine au cours de deux, trois années, voire plus, pourrait largement dépasser l’utilisation pendant la guerre en Irak. En particulier si 1.) le Royaume-Uni promet/livre éventuellement plus de Challengers et 2.) si les États-Unis et/ou d’autres pays se joignent également à l’appel et fournissent des cartouches DU aux chars qu’ils livrent
Deuxième point, il y avait ce rapport non confirmé/RUMINT :
Il s’avère que la prochaine livraison britannique ne sera qu’un projet pilote avant les livraisons massives d’obus américains M829A1 et M829A2 de 120 mm, également dotés d’un noyau en uranium appauvri.
Bref, il est plausible que la région du Donbass soit confrontée à une contamination massive, éclipsant peut-être même celle de la zone d’exclusion de Tchernobyl. Les commandants de l’AFU aideraient avec joie à réaliser un tel scénario ; ils considéreraient irradier le Donbass, et rendre la terre là-bas inhabitable, comme un délicieux « dessert » contre la Russie .
En corollaire, une source a déclaré que les États-Unis ont utilisé 300 tonnes d’uranium appauvri en Irak. Étant donné que les chiffres officiels du DOD américain montrent que 0,3 % de DU est de l’U actif, nous pouvons faire les calculs de base suivants. 300 tonnes converties en livres = 660.000 livres. Et 0,30 % de 660.000 livres équivaut à 1.980 livres. Cela signifie que les États-Unis ont déversé près d’une tonne (~ 2000 livres) d’équivalent d’uranium entièrement radioactif sur l’Irak.
Selon le gouvernement irakien, en 2005, l’incidence du cancer dans le pays à cause de l’utilisation d’uranium appauvri est passée de 40 à 1.600 cas pour 100.000 habitants. L’incidence du cancer a également augmenté de 25 % dans les pays de l’ex-Yougoslavie.
Après l’utilisation d’obus à l’uranium appauvri, de vastes zones de cultures sur le territoire ukrainien seront contaminées et des substances radioactives seront propagées par les véhicules sur le reste du territoire. Cela causerait d’énormes dommages économiques au complexe agro-industriel de l’Ukraine, faisant chuter toute exportation de produits agricoles depuis l’Ukraine.
Cependant, le plus gros problème de l’uranium n’est pas sa radioactivité en soi, mais plutôt sa « toxicité chimique ». Il est fortement toxique pour l’environnement, comme d’autres «métaux lourds» tels que le mercure, le plomb, etc., et cancérigène en raison de la façon dont ses molécules déplacent les nutriments vitaux dans nos organes, les ganglions lymphatiques, etc., provoquant des ruptures dans la structure de l’ADN, entre autres choses.
Et pour aggraver cela, l’Irak était principalement désertique tandis que l’Ukraine regorge de champs agricoles qui seront cultivés, et la nourriture qui y est cultivée est consommée par des millions de personnes, ce qui propagera considérablement la toxicité et aggravera de manière exponentielle le montant des dommages potentiels à la population.
Si une telle chose devait se produire, cela ne ferait que confirmer l’idée selon laquelle plusieurs années d’un usage de l’UA pourrait empoisonner le pays de manière catastrophique, encore bien pire que les quelques mois d’utilisation intense de l’UA en Irak
EN COMPLÉMENTAIRE
Pour conclusion et compréhension du sujet
Portée des missiles S-500 russes.
La dureté de l’uranium est à peu près la même que celle de l’acier. Elle n’a donc rien à voir la dureté du tungstène. Si l’uranium est utilisé plutôt que l’acier dans les obus alors qu’il est bien plus cher et bien plus difficile à manier pour les usinages c’est à cause du « bénéfice thermique nucléaire ». En premier lieu il faudrait savoir si c’est vraiment de l’uranium dit « appauvri » ou si c’est une pastille fortement dosée de radionucléide noyée dans la masse de l’obus. Par logique scientifique on penche pour la pastille noyée dans l’obus car elle est moins dangereuse pour les soldats qui servent l’obusier. A l’impact sous les effets conjugués de choc et d’explosifs incorporés dans la tête de l’obus la matière contenant les radionucléides atteint une température extrêmement élevée dépassant même son seuil de sublimation (3400°). Avec cette forte élévation de température que ce soit de l’uranium dit « appauvri » ou de l’uranium enrichi mais bien en dessous de sa « masse critique » il y a une amorce de réaction en chaîne qui concoure en quelques millionièmes de secondes à l’élévation de la température de manière considérable. A cause d’au moins 30 000 ° produits les matériaux dans l’environnement immédiat de l’explosion fondent instantanément. C’est pourquoi les soldats dans l’habitacle des chars qui prennent un impact d’un obus à l’uranium reçoivent « une douche de métal fondu ». Aucun blindage ne résiste à de tels obus et bien souvent les chars sont percés de part en part. C’est pour cela que l’usage de ces obus ne fait pas rire les Russes et il y aura des conséquences graves, très graves au moment où le juif de Kiev donnera l’ordre de s’en servir. La radioactivité « fulgurante » atteint des valeurs très élevées pendant quelques minutes puis décroit et se stabilise en laissant sur place les fragments microscopiques des radionucléides pour des millions d’années.
Il y a deux ans, on a enterré le président tanzanien John Magufuli. C’est le cas le plus connu de toute une série de décès soudains et mystérieux de personnalités influentes. Y a-t-il entre ces décès un lien plus profond ?
Transcription :
John Magufuli
Il y a deux ans, le 22 mars 2021, on a enterré le président tanzanien John Magufuli avec de nombreuses marques de condoléances. Dans sa nécrologie, le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a souligné les réalisations exceptionnelles de Magufuli pour son pays pendant ses six années de règne. Il était une icône et un héros. Un héros tragique, comme nous allons le montrer ci-après. Parce que malheureusement ce n’est que le cas le plus connu de toute une série de morts soudaines et mystérieuses de personnalités influentes qui ont attiré l’attention en raison de leur prises de position contre la politique mondiale du Covid et ont été, pour ainsi dire, enterrées avec elles. Kla.TV a enquêté sur ces faits. Voici un aperçu :
Tanzanie
Magufuli s’est fait connaître au niveau international lorsqu’il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu’à l’enquête de statistiques sur le Covid.
Il est l’un des rares chefs de gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d’introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l’a ensuite réélu le 28 octobre avec 84% des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu’ils n’avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d’hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi qu’un secrétaire d’État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont aussi bien une maladie cardiaque que le Covid-19. Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l’enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.
Burundi
Le 12 mai 2020, le président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l’OMS du pays, car il ne souhaitait pas d’ingérence. Il s’est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d’escroquerie.
Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.
Eswatini
Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l’âge de 52 ans. Deux de ses ministres sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.
Le gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.
Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi
En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin en l’espace d’une semaine.
Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu’un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l’imposer. En l’espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l’ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.
Six jours après ces décès, le gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.
Haïti
Jovenel Moïse
En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n’ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d’AstraZeneca en raison d’effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l’importation de vaccins Covid, de sorte qu’en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n’avait pas encore commencé.
Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l’ont abattu.
Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.
Allemagne
En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu’ils s’opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.
• Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s’apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l’émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s’est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n’a pas été élucidée.
ARCHIV – 13.02.2017, Berlin: Der BVMW-Präsident Mario Ohoven spricht während des Jahresempfangs des Bundesverbandes mittelständische Wirtschaft (BVMW). Über die Fragen Fachkräfte, Verdienst und Unternehmensstruktur diskutierten Vertreter von Wirtschaft, Politik und Wissenschaft beim ostdeutschen Wirtschaftsforum in Bad Saarow. Der Osten hat in den vergangenen Jahrzehnten zwar deutlich aufgeholt, liegt aber immer noch hinter den westlichen Bundesländern zurück. (zu «Osten liegt bei Löhnen und Produktivität weiter zurück») Foto: Rainer Jensen/dpa +++ dpa-Bildfunk +++ | Verwendung weltweit
• Mario Ohoven était président de l’Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question – je cite : « … si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu’association, nous allons demander un tel examen dans l’intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d’Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l’autoroute pour une raison inconnue, entraînant son décès.
• Franz Klein était le chef de l’association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu’en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l’association a annoncé qu’elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l’âge de 72 ans.
À partir du 2 novembre, l’Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s’est durci en décembre. Ce n’est qu’au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.
Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.
Conclusion
Il est finalement impossible de dire si la mort de toutes ces personnalités est liée à leur attitude critique envers les mesures Covid. Ce qu’on peut dire, c’est que l’élimination de porteurs d’espoir qui s’opposent au diktat imposé d’un agenda global s’est déjà produite plus souvent. Selon les révélations de John Perkins, tueur en col blanc et ancien agent de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), les opposants indésirables sont soit destitués de leur poste, soit ouvertement écartés du pouvoir, soit assassinés dans le cadre d’opérations clandestines des services secrets. Il semblerait donc qu’un énorme appareil composé de services secrets corrompus, d’organisations terroristes et même de tueurs à gages agisse dans l’ombre et ne recule devant rien pour influencer les développements dans la direction souhaitée.
Mais il semble que depuis le vent ait tourné. En effet, alors que les décès décrits par John Perkins n’ont été mis en lumière qu’après des décennies, l’accumulation frappante de décès mystérieux chez les opposants à la politique Covid est aujourd’hui révélée en temps réel. Cela montre la dynamique que le mouvement de clarification a atteint aujourd’hui et que rien ne peut plus rester caché.
Fin février 2023, l’Ukraine était sur le point de perdre la bataille de Bakhmut, selon une évaluation contenue dans un lot de ce qui semble être des notes opérationnelles classifiées préparées par le Pentagone et l’état-major interarmées et divulguées sur les médias sociaux ce mois-ci. […]
À l’époque, deux manœuvres de flanc russes au nord-ouest et au sud-ouest de la ville étaient sur le point d’encercler Bakhmut. Une seule route d’accès, la 506, restait ouverte pour les forces ukrainiennes et les quelques civils encore présents dans la ville, mais elle était sous le feu de l’artillerie russe. Le général Oleksandr Syrsky, commandant de l’Ukraine dans l’est du pays, a qualifié cette route de « dernier tube respiratoire » .
Les commandants ukrainiens ont décidé de renforcer les défenses des routes plutôt que de battre en retraite, selon les documents divulgués. L’armée ukrainienne a déployé dans la bataille de Bakhmut de nombreux soldats qu’elle espérait garder en réserve pour une contre-offensive prévue dans les semaines ou les mois à venir, et ses forces ont subi de lourdes pertes.
Soldats ukrainiens dans une tranchée à Bakhmout en novembre 2022
Le hachoir à viande qu’est devenu Bakhmout continue de faire son œuvre.
C’est pourquoi l’armée ukrainienne recrute de plus en plus d’hommes :
Les hommes en uniforme peuvent se présenter presque n’importe où, n’importe quand.
Ils frappent aux portes d’entrée des civils et les arrêtent au hasard des coins de rue, distribuant des bulletins de recrutement qui peuvent bouleverser des vies.
L’Ukraine a besoin de plus de soldats, et vite. Kiev se prépare à un assaut imminent contre les forces d’occupation russes et, bien que l’Ukraine ne divulgue pas le nombre de ses victimes, les commandants sur le terrain ont fait état de pertes importantes.
…
Auparavant, les fonctionnaires ne pouvaient délivrer les avis de recrutement qu’au domicile des citoyens, et certains les évitaient en demeurant à des adresses différentes de celles où ils étaient officiellement enregistrés. Mais de nouvelles règles ont élargi le champ des lieux où les hommes peuvent être arrêtés et interrogés sur leur statut de conscrit.
…
Oleksii Kruchukov, 46 ans, réparateur de machines à laver qui fait la queue devant un bureau de recrutement à Kiev, a déclaré qu’on lui avait ordonné de se présenter à cet endroit après que la police eut mis fin à une bagarre qu’il avait eue dans la rue. Il n’avait aucune exemption militaire valable et a déclaré qu’il s’attendait à ce que l’incident lui permette d’être bientôt envoyé à l’entraînement, puis au front.
Oleksandr Kostiuk, 52 ans, réparateur de routes qui a participé à la mise en place de barrières contre les forces russes autour de Kiev l’année dernière, a récemment reçu sa convocation par l’intermédiaire de son service des ressources humaines. Il est prêt à aller au front s’il le faut, mais craint pour sa sécurité. « Maintenant que nous comprenons ce qui se passe, je suis plus nerveux » , a-t-il déclaré.
Les pauvres. Ils seront maltraités pour s’accrocher à des terres qui seront de toute façon perdues.
Ce qui suit est aussi préoccupant : Depuis le début du mois de février, plus de 5 000 personnes ont demandé à rejoindre ce qui était connu sous le nom de Bataillon Azov, une ancienne milice de droite controversée qui a été incorporée à la garde nationale ukrainienne. L’année dernière, ce groupe aguerri a été qualifié d’héroïque pour avoir résisté à un siège de plusieurs mois de la ville de Marioupol, dans le sud-est du pays.
Puis, en février, le ministère ukrainien de l’intérieur a annoncé qu’Azov deviendrait une brigade d’assaut dans le cadre de la nouvelle Garde offensive.
Selon ses règles, Azov n’accepte que les personnes qui s’engagent de leur propre chef – et non les appelés – et se réserve le droit de rejeter les personnes qui ne lui semblent pas convenir, ce qui, selon elle, lui permet de sélectionner les soldats les plus motivés. Azov a lancé une vaste campagne de recrutement pour son nouveau statut de brigade, et nombre de ses hommes capturés à Marioupol l’année dernière et finalement libérés forment aujourd’hui des recrues.
Le fait de sélectionner ses propres recrues transforme-t-il une « milice de droite controversée » en une « ancienne milice de droite controversée » ? J’en doute. Devinez maintenant qui forme ces nazis :
Pendant ce temps, dans un camp d’entraînement de la région de Kiev, les nouvelles recrues d’Azov s’alignent sur un stand de tir et apprennent à utiliser des fusils C7A1. L’un de leurs formateurs, un ancien marine américain russophone qui a rejoint Azov et se fait appeler Frodo, a déclaré que « la majorité de ces gars, il y a un mois, étaient des civils » . L’un d’eux, assis contre un mur, étudie une traduction d’un manuel militaire américain.
Le fait qu’ils aient été suffisamment motivés pour s’inscrire de leur propre chef signifie qu’ils agissent davantage comme des « guerriers que comme des soldats » , a déclaré Frodo.
La formation condense l’entraînement de base du corps des Marines, qui dure environ trois mois, en quatre semaines seulement. Pendant cette période, les troupes apprennent tout, de l’adresse au tir à la cartographie, en passant par les radios et l’ingénierie. Il est possible, voire probable, qu’ils soient ensuite déployés presque immédiatement sur les lignes de front les plus chaudes du pays.
Le mouvement Azov dans les rues de Kiev avant le déclenchement des hostilités en 2014é
La formation de base que reçoivent les recrues habituelles ne semble pas avoir la même efficacité :
Lors d’un récent après-midi à Lyman, dans l’est de l’Ukraine, un officier expérimenté s’est plaint de la qualité de la formation initiale des troupes nouvellement arrivées, la décrivant comme négligeant largement les principes fondamentaux nécessaires sur le terrain, qui doivent être enseignés une fois qu’ils sont arrivés dans leurs unités.
« On leur apprend à chanter des chansons et à marcher » lors de la formation de base, a déclaré le chef, sous couvert d’anonymat parce qu’il n’était pas autorisé à parler aux journalistes.
Une fois déployées, les troupes ont besoin d’instructions, même sur la pratique la plus ancienne du soldat : comment creuser, a déclaré le chef. Ils ne savent pas comment tenir leurs pelles ou fortifier les tranchées et les positions de combat. Pour s’entraîner, un groupe de troupes fraîches a creusé avec ses pelles dans une ligne de tranchées voisine.
Des ukrainiens moyens sont envoyés au front sans entraînement ni équipement appropriés. Pendant ce temps, les idéologues reçoivent un entraînement spécial et des Colt M16A3 équivalents fabriqués au Canada. Les conséquences à long terme de cette fracture sociale pour l’Ukraine seront terribles.
Il semble que les diapositives du briefing qui ont été divulguées n’évoquent guère de telles préoccupations. Comme le fait remarquer Yves dans son article sur les reportages qui leur sont consacrés :
Les bons renseignements perdent de leur utilité lorsqu’ils sont filtrés par des préjugés. Comme nous pouvons le voir ci-dessus, les États-Unis n’arrivent pas à se défaire de l’idée que la Russie cherche à acquérir des territoires, et non pas avant tout à détruire la capacité de l’Ukraine (et maintenant de l’OTAN) à faire la guerre. Les articles contiennent des commentaires dénigrants sur la façon dont la Russie a mené la guerre. On sent qu’il ne s’agit pas d’un simple message médiatique, mais qu’il est bien intériorisé par les décideurs des États-Unis et de l’OTAN. Ce genre de sous-estimation aide beaucoup la Russie. Et la chambre d’écho très solide de la Beltway signifie qu’il est probable que cela continue ainsi.
Le 11 avril 2023, le PMS de Wagner a remis le contrôle des positions militaires sur les flancs du front de Bakhmut au ministère russe de la Défense.
Le chef du groupe Wagner a confirmé que les villages à la périphérie de Bakhmut sont passés sous le contrôle des unités du ministère russe de la Défense, tandis que les combattants Wagner se concentrent sur les opérations militaires dans les rues de la ville.
Prigozhin a affirmé que 80% de Bakhmut sont sous le contrôle des forces russes.
Nous avons remis le contrôle des flancs de Bakhmut au ministère russe de la Défense. Aujourd’hui, les unités du ministère de la Défense, y compris les forces aéroportées, ont pris les flancs droit et gauche. Autant que je sache, ils ont tout ce qu’il faut pour organiser la défense et mener des actions offensives si nécessaire. Par conséquent, aujourd’hui, Zaliznyanskoe, Sacco et Vanzetti, Nikolaevka et d’autres colonies qui ont été prises d’assaut par les unités du PMC Wagner ces derniers mois, se trouvent dans la zone de responsabilité des Forces aéroportées et d’autres unités du ministère de la Défense.
A notre tour, nous nous concentrons pleinement sur Bakhmut, la partie de la ville où nous continuons à mener nos missions de combat. Plus de 80% de la ville est sous notre contrôle, y compris tous les centres administratifs, les usines, l’administration municipale, comme vous le savez.
Il y a les zones résidentielles laissées avec des immeubles d’habitation, où les Ukrainiens ont fortifié leurs positions. Il y a des tunnels sous ces immeubles. Comme je l’ai déjà dit, la guerre 3D continue. Voici la partie de Bakhmut qui est restée sous contrôle ukrainien.
Plus tôt, Yevgeny Prigozhin a déclaré que la victoire du Wagner PMC dans la bataille de Bakhmut serait un tournant dans l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine.
La défense des flancs par les unités du ministère russe de la Défense permettra définitivement au PMC Wagner de renforcer son assaut dans la ville et de se rapprocher de sa victoire dans la bataille de Bakhmut.
Le chef du Wagner PMC, Yevgeny Prigozhin, affirme que 80% de Bakhmut est passé sous contrôle russe; Les villages à la périphérie de Bakhmut sont passés sous le contrôle des unités du ministère russe de la Défense, qui ont sécurisé les flancs pour l’avance de Wagner; Des affrontements se poursuivent près de la gare de Bakhmut ; Des affrontements se poursuivent près de la rue Chaikovskoho ; Des affrontements se poursuivent près du stade Avangard.
Le député de la Douma d’Etat, Dmitry Gusev, a proposé de donner des terres en Russie
aux Européens, aux Américains et possiblement aux Canadiens).
« Sept millions de personnes qui vivent aujourd’hui l’enfer et l’horreur
viendront à nous avec plaisir » !
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