L’histoire de la Quête fantastique vers la Terre Creuse .partie 1

Histoire de la Terre Creuse
La disparition prématurée,le 26 juillet 2006, de l’explorateur américain Steve Currey nous amène à faire le point sur l’évolution des recherches sur la Terre Creuse.Depuis l’an passé,mes recherches sur Neu Schwabenland et les bases secrètes allemandes m’ont amené  à m’intéresser  davantage à ce grand mystère qui explique beaucoup de choses.
Mes recherches confirment  que la surface concave intérieure de la croûte terrestre pourrait abriter une civilisation en tous points supérieure à la nôtre, probablement issue des continents disparus de Lémurie et d’Atlantide. Les « soucoupes volantes » ne seraient que l’une des nombreuses inventions de cette civilisation. Mais leur avancée se situe surtout au niveau spirituel. Au moment où notre société s’enfonce dans la décadence matérialiste, nous tirerions sans doute le plus grand bénéfice à contacter ces frères aînés de la race humaine.J’ai la certitude  que la solution pour abattre le néolibéralisme et la menace mortelle du Nouvel Ordre Mondial,se trouve juste en-dessous de notre nez.

Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.
Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.

Le pionnier de la « théorie de la Terre Creuse » fut l’astronome et mathématicien anglais, Edmond Halley (1656-1749). Il fut également le premier à émettre l’idée que les aurores boréales polaires étaient le reflet d’un « Soleil intérieur » qui éclairait le monde souterrain. Ses travaux furent publiés dans « The Philosophical Transactions of the Royal Society of London » et ne firent pas grand bruit. Halley passa surtout à la postérité grâce à la découverte de la célèbre comète portant aujourd’hui son nom.

John Cleves Symmes
John Cleves Symmes

Un autre précurseur fut John Cleves Symmes, ancien capitaine de l’infanterie de la guerre de 1812 contre la Grande-Bretagne, en hommage duquel fut érigé à Hamilton un monument de pierre représentant une sphère percée en deux points symétriques. Le 10 avril 1818, il envoya au Congrès américain, à des directeurs d’université et à des savants, la lettre suivante: « Au monde entier; je déclare que la Terre est creuse et habitable intérieurement… » Selon lui, la Terre était formée de plusieurs sphères concentriques. Aux deux pôles, il y avait d’énormes ouvertures où s’engouffraient l’atmosphère, des terres et des mers.

Symmes joignit à sa lettre un certificat médical confirmant la pleine possession de ses facultés mentales. Il intéressa le sénateur Richard M. Johnson qui déposa devant le Congrès, le 28 janvier 1823, une demande officielle de financement pour le lancement d’une expédition. Mais cette dernière fut repoussée.
En 1826, toutes les notes de Symmes furent publiées dans un livre intitulé « Theory of concentric Spheres. » Sa théorie fut alors reprise par Joseph Reynolds qui réussit à convaincre le président John Quincy Adams.
Une expédition pour le Pôle Sud partit de New York le 29 octobre 1829. Malheureusement, l’opération fut un désastre total. Edward George Bulwer Lytton, politicien, ésotériste et écrivain célèbre, auteur des « Derniers jours de Pompéi », publia en 1873 « The coming Race » dans lequel il raconta que des rescapés de divers cataclysmes avaient trouvé refuge sous la Terre depuis des milliers d’années. Cette race de surhommes entretenait, selon lui, sa forme grâce à un mystérieux fluide, le « Vril ». Elle allait bientôt supplanter l’humanité.
Cette histoire inspira des sociétés secrètes lucifériennes, notamment celle de la « Loge lumineuse » de l’Allemagne nazie, plus connue sous le nom de « Société du Vril « . Parmi ses membres se trouvaient Rudolf Hess et de nombreux partisans du régime nazi qui cherchèrent dans cette théorie une justification à leur idéologie.
Puis la thèse de la Terre Creuse fut reprise par l’écrivain américain William Reed dans un livre désormais « culte » s’appuyant sur des témoignages d’explorateurs polaires, « Fantôme des pôles », jamais traduit en français.

Reed réfuta les conceptions communément admises sur la structure de la Terre et se basa sur des arguments scientifiques. Selon lui, les pôles n’avaient jamais été découverts parce qu’ils n’avaient jamais existé ! À la place, il y avait d’immenses trous, et ces ouvertures conduisaient à l’intérieur de la Terre. Le livre de Reed n’était pas une fiction. Il le précisa d’ailleurs en ces termes : « Ce volume n’a pas été écrit en vue de divertir ceux qui lisent. Ce n’est pas un roman, mais un essai sérieux qui tend à prouver, dans la mesure du possible, certaines vérités importantes jusqu’ici dédaignées. J’y livre la clé de certains mystères. »
Reed estima que la croûte terrestre avait une épaisseur de 1.300 kilomètres et que son intérieur (creux) avait un diamètre de 10.000 kilomètres. Selon lui, l’aurore boréale polaire n’avait rien à voir avec un phénomène électrique ou magnétique mais provenait de la réflexion sur les nuages, sur la glace ou sur la neige, des feux d’un volcan ou des feux de prairies ou de forêts situées sur le bord de la courbure polaire (une théorie probablement fausse). Il s’inspira des description des explorateurs Bernacchi, Nansen, Siemens, Mauch, Hooper, Greely, Henry, Brainard, Rice, Ralston, Gardiner qui tous s’extasièrent devant la magnificence des aurores boréales et s’interrogèrent sur leur origine. Étant donné que le phénomène n’avait aucun effet sur l’aiguille de la boussole, les évaluations de ces explorateurs en déduisirent logiquement qu’il n’avait rien d’électrique ni de magnétique.

Reed évoqua aussi une mer libre s’étendant loin au Nord, s’appuyant sur des observations du Dr Bessels, de Chester, Kane, Me Gary, Morton, Greely, Pavy et surtout de Nansen. Ils constatèrent tous son existence au delà d’une certaine altitude.
Nansen décrivit cette mer d’eau douce en ces termes : « C’est un phénomène singulier, cette eau douce… Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d’eau douce surnage sur l’eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe.

Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l'exploit scientifique et humain de s'approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15'.
Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l’exploit scientifique et humain de s’approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15′.

« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur entre 3.300 et 3.900 mètres.
« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur dans « A journev to the Earth’s interior : Have the poles really been discovered ? » (« Un voyage à l’intérieur de la Terre : les entre 3.300 et 3.900 mètres.
La théorie de Reed fut reprise en 1920 par un autre américain, Marshall B. Gardner, après vingt ans d’études et sans qu’il ait eu vent de l’oeuvre de son prédécesseur, puis présentée pôles ont-ils vraiment été découverts ?)
L’ouvrage fut publié à compte d’auteur et jamais traduit en français. Gardner figura la Terre avec des ouvertures circulaires aux pôles dans lesquelles s’engouffrait l’eau de l’océan qui adhérait à la croûte, tant au-dessous qu’au-dessus, puisque selon sa théorie, le centre de gravité de la Terre était situé en plein milieu de cette croûte et non au centre du globe. Si un bateau franchissait le trou et se dirigeait vers l’intérieur, il continuait de naviguer (dans une position renversée) sur la paroi interne de la croûte terrestre.
Il révéla que le lieu où la force de gravité était la plus importante se situait à mi chemin de la courbe. Cette force était si puissante à cet endroit que l’eau salée de la mer et l’eau douce des icebergs ne se mélangeaient pas. L’eau de mer demeurait à quelques dizaines de centimètres au-dessous de l’eau douce, ce qui permettait d’obtenir de l’eau potable même en plein océan arctique. M.B. Gardner s’interrogea sur l’origine des icebergs, formés d’eau douce et non d’eau salée. D’où pouvait bien provenir cette énorme quantité d’eau douce ?
Les auteurs du « Livre Jaune n°6 » publié par les Editions Félix, que nous avons consulté à titre informatif, se sont posé la question suivante : « Qui peut dire d’où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l’eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l’eau douce, sans exception. La pluie ? »
« Comment cinq centimètres de précipitations annuelles peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l’océan Arctique ? » se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n’y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres de long, un iceberg qui irait de Paris à Toulouse et qui se serait formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles !!!
Si l’on part du fait qu’il existe bien un pôle Nord et qu’il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d’innombrables explorateurs ont dû être pris d’hallucinations à partir de 80° de latitude Nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu’il y a beaucoup de brouillard dans l’Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n’y aurait pas assez d’humidité dans l’air pour la formation de brumes et de brouillards. Un explorateur américain, le Docteur E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt, a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855. Il a écrit il y a 150 ans : « Il y a des indices qui montrent clairement qu’il doit y avoir un océan dans le Nord. Les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment. »

PhotoReed
Selon Reed et Gardner, cette eau douce provenait des fleuves des régions chaudes situées à l’intérieur de la Terre. Quand ils atteignaient la surface beaucoup plus froide, ils gelaient et se transformaient en icebergs. Durant les mois d’hiver, des millions de mètres cubes d’eau douce en provenance des rivières intérieures émergeaient des ouvertures polaires et formaient de véritables montagnes de glace.
Pour Gardner, les mammouths découverts gelés dans la glace n’étaient pas des animaux préhistoriques mais des animaux vivant toujours actuellement à l’intérieur de la Terre. Car c’est à l’intérieur de ces icebergs que l’on a découvert nombreux mammouths et d’autres espèces disparues que l’on a rapidement qualifiées de « préhistoriques » parce qu’on n’en voyait plus de semblables sur la Terre depuis très longtemps. Certains mammouths avaient encore de l’herbe dans l’estomac et même dans la bouche, ce qui prouve qu’ils avaient été saisis brutalement par un froid intense.
Un certain Robert B. Cook révéla qu’on avait trouvé dans des dépôts glaciaires du Nord des mammouths, des rhinocéros, des rennes, des hippopotames, des lions et des hyènes. Il expliqua que ces animaux, incapables de supporter un climat aussi rude, devaient avoir vécu il y a des millénaires lorsque régnait dans la région polaire une température tropicale. Mais Gardner n’était pas du même avis. Selon lui, il s’agissait d’animaux vivant toujours à l’heure actuelle, faisant remarquer à juste titre que lions et hyènes appartenaient à des espèces récentes et qu’ils n’étaient pas des créatures « préhistoriques » !
Gardner ajouta à la théorie de Reed la présence d’un Soleil central, plus petit que le nôtre, donnant une explication aux températures élevées relevées dans les hautes latitudes polaires. Un astre intérieur, source de chaleur et de lumière, rendrait possible la vie végétale, animale et humaine à l’intérieur de notre globe. Ce cœur irradiant de chaleur bienfaisante expliquait aussi la présence de l’aurore boréale. Reed pensait comme Gardner que l’intérieur de la Terre était habité mais il avait du mal à l’expliquer car sa théorie excluait la présence d’un Soleil central.
L’explorateur Fridtjof Nansen, qui publia « Vers le Pôle » en 1897 affirma avoir vu, aux environs de midi, une « image du Soleil », car selon lui, il ne pouvait être qu’un « mirage. » Il ressemblait à un feu rayonnant qui brillait juste au-dessus du bord le plus éloigné de la glace. Du sommet principal, Nansen aperçut plusieurs lignes horizontales directement l’une sur l’autre, toutes d’égale longueur, comme s’il avait affaire à « un Soleil carré, d’un rouge pâle, avec des rayons sombres horizontaux en travers. » Nansen et son équipe ne s’attendaient pas à observer durant plusieurs jours consécutifs ce « dieu de vie » renaissant après la longue nuit d’hiver polaire, si bien qu’ils pensèrent avoir dérivé vers le Sud.
Mais une simple illusion d’optique pouvait-elle durer plusieurs jours de suite ? De plus, là où se trouvait Nansen, la zone polaire nord était située dans la zone de la nuit polaire totale! Par conséquent, ce n’est pas le Soleil que Nansen vit mais une lumière émanant du centre de notre planète. Gardner fit appel à des données astronomiques pour prouver que non seulement la Terre mais aussi toutes les planètes du système solaire étaient creuses à l’intérieur. Elles possédaient des Soleils centraux et étaient formées à partir d’une nébuleuse tourbillonnante. À l’origine de chaque astre, il y avait une masse en fusion tournant sur elle-même. Ensuite, la force centrifuge projetait les substances les plus lourdes à la périphérie, formant à la surface extérieure de chaque planète une croûte solide. Une partie du feu initial subsistait dans le creux intérieur formant un « Soleil central. »
Des ouvertures se créaient obligatoirement aux extrémités à cause du mouvement de rotation et de déplacement dans l’espace. Gardner évoqua les « lumières polaires » observées sur Mars par le professeur Lowell, sur Vénus par l’astronome français Trouvelet en 1878, et sur Mercure par l’astronome Richard Proctor. Il cita un article paru dans le « Scientific American » du 14 octobre 1916, sous la signature de H. D. Curtis, membre de la Société astronomique du Pacifique, qui révélait: « Cinquante nébuleuses ont été étudiées et photographiées au moyen du réflecteur de Crosly. On a utilisé des temps de pose différents, de façon à faire ressortir les détails de structure de la partie centrale brillante et aussi de la matière périphérique. La plupart des nébuleuses présentent un anneau plus ou moins régulier, une sorte d’écorce ou de coquille, généralement avec une étoile centrale. »
Après la seconde guerre mondiale, en 1947, des bruits coururent que les Nazis avaient envoyé des hommes aux pôles. En 1946, l’amiral Richard Byrd fut chargé d’un programme du nom d’Operation High Jump, avec pour mission de vérifier, entre autres, si des Nazis ne se trouvaient pas dans les parages. Lors d’un vol effectué le 19 février 1947, il rapporta avoir observé des engins resplendissants en forme de disque portant un symbole ressemblant à la swastika qui le forcèrent à atterrir. Deux hommes grands et blonds parlant quelques mots d’allemand vinrent à sa rencontre…
En 1959, F. Amadeo Giannini écrivit son « Worlds beyond the Poles » (Les mondes au-delà des pôles). I1 révéla que, depuis le 12 décembre 1928, les expéditions polaires de la marine US avaient mis en évidence l’existence « d’une terre indéterminée s’étendant au-delà des deux pôles, hors des frontières de notre seul globe déterminées par la théorie copernicienne de 1543. Le 13 janvier 1956, l’unité aérienne de la Marine U.S. pénétra dans une étendue de terre de 2300 miles (3700 kilomètres) au-delà du prétendu pôle Sud de la Terre. Pour de très importantes raisons, ce vol mémorable ne reçut qu’un écho insignifiant dans la presse. »
Mais cette information demanderait à être confirmée. Giannini révéla aussi : « De modernes expéditions ont pénétré dans 5 000 miles d’une extension territoriale, dont l’extrémité ne fut pas atteinte. Quand bien même cette extrémité serait atteinte, une autre de même nature pourra se présenter. Une telle évaluation à répétition pourrait continuer indéfiniment. Il n’y a pas de fin physique à la Terre aux extrémités Nord et Sud. »
En 1959, Ray Palmer évoqua le sujet dans la revue « Soucoupes volantes » dont il était le chef de rédaction. Willis George Emerson, dans un livre intitulé « The Smoky God » (Le Dieu qui fume), titre en rapport avec le Soleil central, aussi intitulé « A voyage to the inner Word » (Un voyage dans le monde intérieur) publié en 1965, raconta une histoire survenue à un norvégien du nom d’Olaf Jansen dont il avait recueilli le témoignage. À bord d’un petit bateau de pêche, Jansen et son fils avaient tenté de trouver la terre légendaire située « au-delà du vent du Nord ». Il parla d’un Soleil central plus petit et moins brillant, donnant l’impression d’être brumeux, comme « entouré d’un nuage de fumée. »
Les deux hommes furent projetés dans l’ouverture polaire et se retrouvèrent à l’intérieur de la planète où ils séjournèrent deux ans avant de ressortir par l’ouverture opposée, celle du pôle Sud. Là, un iceberg coupa en deux le bateau. Le père fut tué. Le fils, sauvé de justesse, passa 24 années dans un hôpital psychiatrique pour déficience mentale… Une fois relâché, il devint pêcheur et après 26 ans, il s’installa en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque, « par hasard », l’écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance. Le vieillard sentant sa fin prochaine voulut partager son secret et lui raconta sa fantastique aventure, lui montrant les cartes qu’il avait dessinées à l’époque.
Raymond Bernard révéla qu’un certain Docteur Nephi Cottom de Los Angeles avait lui aussi recueilli d’un patient le récit suivant :
« J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et prîmes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d’une voile, mais aussi d’un bon moteur. Au bout d’un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n’arrivions pas à dormir. Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l’océan semblait se déverser!
Intrigués, nous continuâmes dans cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste canyon qui conduisait au centre du globe. Nous n’étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu’un Soleil brillait à l’intérieur de la Terre! L’océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l’apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d’un bout à l’autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu’à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d’eau, exactement comme la surface externe. Le Soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s’y développait abondamment. Au fur et à mesure que nous avancions, nous découvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres et aussi les êtres humains… Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes et c’était des géants ! Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus petite. Ils utilisaient un mode de transport électrique, sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d’une ville à l’autre. »
L’homme poursuivit : « Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. J’étais complètement désemparé en voyant la taille énorme de tous les objets. On me donna une assiette immense, et la portion qu’elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière ! Le géant m’offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu’une pêche ! Le goût en était délicieux.
À l’intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de « l’extérieur ». Nous demeurâmes chez les géants pendant une année, goûtant leur compagnie autant qu’ils appréciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu’inhabituelles, toujours étonnés par l’ampleur des connaissances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. Durant ce temps, ils n’affichèrent jamais la moindre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contraire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. »
Selon le témoignage de Jansen, ces êtres vivaient plusieurs centaines d’années et mesuraient entre trois et quatre mètres de haut ! Ils possédaient une science très avancée. Ils transmettaient leurs pensées en utilisant certains types de radiations et détenaient des sources d’énergie plus puissantes que l’électricité.
Raymond Bernard affirma que ces géants appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. « Ils s’étaient réfugiés à l’intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. »
William F. Warren, dans un livre intitulé « Le Paradis retrouvé, ou le berceau de la race humaine », développa l’hypothèse selon laquelle la race humaine avait pris naissance sur un continent tropical situé dans l’Arctique, la fameuse « Hyperborée » des anciens Grecs. Les habitants étaient des « dieux » pouvant vivre des milliers d’années, sans jamais vieillir. Selon lui, les anciens écrits de la Chine, de l’Égypte, de l’Inde, et aussi les légendes des Esquimaux, évoquaient une grande ouverture dans le Nord et une race vivant sous la croûte terrestre dont les ancêtres étaient originaires de cette terre paradisiaque.
Des écrivains émirent l’idée que l’intérieur du globe était habité par une race de petits hommes à la peau brune et que les Esquimaux, dont le type ne ressemblait à aucun autre, provenaient de ce monde souterrain. « Quand on demande aux esquimaux d’où venaient leurs ancêtres » révéla R. Bernard, « ils pointent un index dans la direction du Nord. Leurs légendes évoquent une terre merveilleuse inondée de lumière. Là il n’y a jamais d’obscurité. Là règne un climat tempéré. Les lacs n’y sont jamais gelés, des hordes d’animaux errent dans les broussailles, des oiseaux de toutes les couleurs sillonnent le ciel. C’est une terre d’éternelle jeunesse où les gens vivent des milliers d’années dans la paix et le bonheur. »
À propos de l’origine des Esquimaux, Gardner écrivit: « Les premiers Norvégiens considérèrent ces petits hommes bruns comme des êtres surnaturels. Ne prétendaient-ils pas que leurs ancêtres venaient d’un pays enchanteur situé très loin dans l’extrême Nord ? Or les Norvégiens, pour qui les régions polaires étaient le bout du monde, ne pouvaient croire à l’existence d’un tel pays. Ils en conclurent que les Esquimaux étaient des créatures d’un autre monde, qu’ils sortaient de l’intérieur de la Terre, séjour supposé des gnomes et des fées. »
Nansen remarqua pour sa part : « Le peuplement esquimau s’accroît. Et il s’accroît non seulement par l’augmentation en nombre de l’espèce, mais par une immigration en provenance du Nord. »
Au Moyen-Âge, on pensait qu’il existait une terre ultime située au-delà du Nord à laquelle on donna le nom de Thulé. Cette croyance en un royaume radieux habité par un peuple étrange, était très répandue. Selon les théories officielles, les régions désolées du Pôle conduisent seulement à une terre de glace éternelle… Nous allons voir qu’il n’en est rien. L’Arctique n’est pas le désert que l’on croit.
Gardner cita un passage du journal de l’explorateur Hayes. En 1869, Isaac Israël Hayes fit un voyage au Groenland pour explorer les territoires d’Ellesmere et de Grinnel. Il écrivit dans son journal : « 78°17 de latitude Nord. J’ai vu un papillon jaune et, qui le croirait, un moustique, ainsi que dix mites, trois araignées, deux abeilles et deux mouches ! » Gardner en déduisit que ces insectes provenaient de l’intérieur de la Terre. Les observations de Hayes furent confirmées par l’explorateur Greely dans son livre « Trois années de service dans l’Arctique. » Greely raconta que les merveilles des régions arctiques étaient si extraordinaires qu’il avait été forcé de « minimiser » les notes qu’il avait prises sur le vif, de crainte qu’on ne le soupçonne d’exagération ! Il recensa des espèces inconnues d’oiseaux, deux fleurs différentes de toutes celles qu’il connaissait, sans parler des papillons et des mouches. Il trouva beaucoup de bois de saule pour faire du feu.
L’explorateur Sverdrup vit des lièvres en si grand nombre, aux environs du 81ème degré de latitude Nord, qu’il appela une crique « Le Fjord du Lièvre ». Il nota qu’il y avait suffisamment de gibier pour nourrir toute l’équipe d’exploration.
Le capitaine Beechey observa des oiseaux en si grande quantité sur la côte Ouest du Spitzberg que l’endroit retentissait de leurs cris depuis l’aube jusqu’au soir.
Franklin aperçut des oies qui migraient vers le Nord. Où se rendaient-elles ? Il nota qu’aussi loin que l’explorateur s’avançait dans l’extrême Nord, il rencontrait toujours l’ours polaire devant lui. Cet ours marchant infatigablement vers le Nord, où se rendait-il ?
Le commandant McClure explora la Terre de Banks et découvrit des quantités d’arbres éparpillés dans la glace. De toute évidence, ils avaient été apportés par des courants en provenance du Nord. Une partie de ce bois était pétrifié, mais il y en avait aussi beaucoup d’origine récente. Nansen s’interrogea sur le bois flottant le long de la côte du Groenland.
Selon Gardner, ces observations selon lesquelles plus on s’avançait vers le Nord, plus il y avait de vies étaient la preuve irréfutable qu’il existait dans l’extrême Nord un vaste refuge, une région au climat privilégié, porteuse d’une vie végétale et animale.
Un certain Théodore Fitch écrivit un livre, « Le Paradis intérieur de la Terre », en s’appuyant sur les travaux de Reed et de Gardner. Il prétendit que les océans internes étaient beaucoup plus petits que ceux de l’extérieur et que les étendues de terres y étaient trois fois plus grandes. Fitch posa une série de questions essentielles : « Si aucun fleuve ne coule de l’intérieur vers l’extérieur de notre globe, pourquoi tous les icebergs sont-ils composés d’eau douce ? Pourquoi trouve-t-on des graines tropicales, des plantes et des arbres flottant dans l’eau douce des icebergs ? Si cette eau ne peut logiquement provenir d’aucun endroit sur la Terre, alors par quel mystère se trouve-t-elle là ? Si la face interne de la Terre ne bénéficie pas d’un climat chaud, alors pourquoi rencontre-t-on en plein hiver; dans l’extrême Nord, des oiseaux tropicaux par milliers et des animaux qui ont besoin d’une température douce pour subsister ? D’où vient le pollen qui colore parfois la neige en rouge, en jaune ou en bleu ? »
« Le Livre Jaune n°6 », dont nous faisions référence précédemment, fait allusion lui aussi à ces pollens et à des troncs d’arbres flottant: « Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d’un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s’étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D’où venaient les centaines de troncs d’arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage Nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui ! Les troncs d’arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du Nord. Des arbres encore plus au Nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas ! »
En son temps, Reed avait déjà révélé la présence d’une poussière noire colorant la neige. Il en avait déduit qu’elle provenait d’un volcan en éruption. Et comme il n’y avait aucun volcan en surface, il en était arrivé à la conclusion logique qu’il devait se trouver à l’intérieur de la Terre. Un autre auteur américain, William L. Blessing publia un petit livre dans lequel il révéla sa conception de la structure de la Terre. La vieille idée selon laquelle la planète serait une masse solide avec un centre composé de matières en fusion devait être écartée, tout comme l’ancienne croyance selon laquelle la chaleur augmentait au fur et à mesure qu’on s’enfonçait dans la Terre. La Terre était un astre aplati aux pôles. Le pôle représenterait le bord extérieur d’un cercle magnétique, et à ce point, l’aiguille de la boussole pointerait vers le sol. Au-delà de ce cercle, la Terre descendrait en pente douce vers l’intérieur.
Selon Raymond Bernard, les soucoupes volantes proviendraient de l’intérieur du globe et seraient pilotées par une race souterraine, une idée reprise plus tard par plusieurs chercheurs. Le capitaine de frégate Strauss présenta une série de conférences au Brésil où il affirma que les pistes d’envol des soucoupes volantes se situaient dans le royaume souterrain de l’Agartha dont la capitale serait Shambhalla. Ses habitants auraient atteint un très haut degré de civilisation et un niveau scientifique extraordinaires. Ils appartiendraient à une civilisation antédiluvienne qui aurait peuplé les continents disparus de la Lémurie et de l’Atlantide. Lorsque ces continents furent engloutis, les rescapés trouvèrent refuge à l’intérieur de notre planète ainsi que sur certains continents. L’Égypte était une colonie atlante, comme l’étaient les empires aztèque, maya et inca.
Du Brésil, où elle prit naissance, la théorie de l’origine souterraine des soucoupes volantes gagna les États-Unis. Ray Palmer, directeur du magazine « Soucoupes volantes », écrivit en 1959 : « Les résultats d’années de recherches nous permettent d’avancer l’hypothèse que les soucoupes appartiennent à notre propre planète, qu’elles ne viennent donc pas de l’espace, comme on pouvait croire le jusqu’ici. Une accumulation de preuves montre clairement qu’il existe un endroit inconnu de vaste dimension, encore inexploré, autant que nous puissions le savoir, d’où proviennent très probablement les soucoupes volantes…
Notre magazine a réuni une série de preuves indiscutables qui montrent que les soucoupes volantes sont originaires de la planète Terre – ce que plus d’un gouvernement reconnaît comme une réalité – qu’un effort concerté est accompli pour en savoir plus sur ce sujet, que les faits déjà connus sont d’une telle importance qu’ils sont couverts par un secret mondial, que le danger est si grand qu’offrir une preuve officielle risquerait de semer la panique, que livrer ces faits à l’opinion publique pousserait même opinion à exiger actes en rapport, ce qui plongerait les gouvernements dans le plus embarras, que la nature inhérente des soucoupes volantes, due à leur lieu d’origine, est tout à propre à faire éclater le statu quo politique et économique de notre monde. »
Gray Barker, une autre autorité en matière d’ovnis, écrivit dans le « Saucerian Bulletin » du 15 janvier 1960 : « Les adeptes des sciences occultes croient que des êtres habitent à l’intérieur de la Terre et qu’ils en sortent et y retournent grâce à des passages secrets situés au pôle Nord et au pôle Sud… Est-ce qu’il ne pourrait pas exister une race inconnue, dans quelque coin inexploré de la Terre, qui serait responsable des soucoupes volantes ? … Après avoir longuement réfléchi, il me semble que l’explication d’une Terre intérieure devrait pouvoir résoudre la plupart des énigmes que pose le phénomène « soucoupes volantes. » Dans son livre intitulé : « Ils en savaient trop sur les soucoupes volante », il rappela qu’on avait vu une quantité inhabituelle d’ovnis dans la région du pôle Sud.
NOTE D’ÈRE NOUVELLE : Selon toute vraisemblance, si certains ovnis ont bien une origine intraterrestre, la majorité semble plutôt d’origine extraterrestre, car notre planète reçoit depuis des temps immémoriaux de nombreuses visites de Galactiques.
La description faite par Théodore Fitch de la super civilisation souterraine rappelait beaucoup celle de Bulwer Lytton dans son livre : « The Coming Race » (« La Race qui nous supplantera). Lytton était rosicrucien et avait accès à une source d’informations occultes. Il dressa un tableau saisissant d’une race supérieure de petits hommes bruns vivant à l’intérieur de la Terre dans un état d’abondance perpétuelle, ne connaissant ni la cupidité, ni la pauvreté, ni la guerre. Ils connaissaient les secrets de nos gouvernements. Ils étaient experts en télépathie. Ils affirmaient que notre Bible avait été mal traduite, mal interprétée et mal construite. Ils disaient qu’ils appartenaient à une race qui n’avait pas dégénéré, au contraire de la nôtre, et que nous devions mettre un frein à la fabrication des bombes nucléaires et des armements. Le fait que de nombreuses apparitions de soucoupes volantes se soient produites après l’explosion de la première bombe atomique à Hiroshima fut interprété par certains écrivains comme le signe d’une inquiétude galactique mais il serait plus raisonnable de croire que les plus concernés étaient les habitants des mondes souterrains, sachant l’ampleur des essais qui furent réalisés par la suite en Polynésie notamment.
Durant les années soixante-dix, plusieurs photographies du pôle Nord prises par des satellites météorologiques furent publiées. Elles relancèrent la polémique de la théorie de la Terre Creuse. Il s’agissait de clichés pris le 6 janvier 1967 par le satellite de l’US Environmental Science Service Administration (ESSA-3).

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Nous pouvons découvrir ci-dessus une photo composite, un montage réalisé à partir de plusieurs photos pour n’en faire qu’une, car généralement, les satellites n’étant qu’à quelques centaines de kilomètres d’altitude au-dessus de la planète, ils ne peuvent pas photographier la Terre dans son ensemble. Le satellite ESSA-3 prit plus d’un million et demi de clichés. Sur cette photographie, nous voyons des nuages autour du pôle, aspirés progressivement dans l’énorme trou qui doit faire 1400 miles de diamètre selon les spécialistes.
Les 2 photographies suivantes proviennent du satellite ESSA-7.

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Ensuite, il y a cette superbe série de clichés pris par le satellite de la NASA, l’ATS 3. En 1977, la NASA aurait ordonné la destruction de 4500 photos prises par ce satellite, prétendant que les images « n’avaient aucune valeur météorologique ».

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Les clichés présentés ci-dessus, ont été sauvés par miracle de la destruction. On remarque différentes perturbations atmosphériques au-dessus du Pôle Nord. Des nuages tourbillonnent autour de l’ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessous ont été pris en période de nuit polaire.

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Le trou du pôle Nord photographié par Apollo XI en 1969 (Cf. image de synthèse ci-dessus et document ci-dessous) est lui aussi fort troublant. Les calculs effectués aboutissent à un diamètre d’environ 900 à 950 kilomètres. Si ce trou correspond à une ouverture dans la calotte polaire, il serait situé à environ 86° de latitude Nord.

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Le très sérieux journal canadien « Weekly World News » publia le 14 février 1995 un article qui disait en substance ceci : « Cap Canaveral, Floride – La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! » Un haut responsable de la NASA, qui ne voulut pas décliner son identité, affirma qu’il existait sous terre des êtres qui cherchaient à entrer en contact avec nous. Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994. Les émissions se seraient renouvelées à intervalles réguliers. Selon lui, « les signaux radio seraient composés d’un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d’êtres vivants dont l’intelligence est sans doute supérieure à la nôtre. » Il refusa toutefois de révéler le contenu des messages, expliquant : « Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes. Comme beaucoup d’éléments dépendent de l’interprétation, je suis d’avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui puisse mettre l’opinion publique dans un état d’excitation et d’anxiété. »
L’informateur anonyme expliqua que les scientifiques de la NASA se sentaient frustrés car ils n’avaient pas réussi à localiser cette civilisation souterraine et qu’ils n’étaient pas en mesure, avec leur technologie, de lui répondre. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. » avoua-t-il. Selon lui, les scientifiques estimaient que cela pouvait constituer la découverte la plus importante depuis des siècles. La photographie prise au-dessus du Pôle Nord de la Terre par la mission STS75 1996 est elle aussi éloquente.

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En juin 1992, le magazine français « Ciel et Espace » consacra un dossier complet sur « Le vrai visage de la Terre », révélant que de vastes régions du globe étaient largement inexplorées, en particulier l’Antarctique. Ces images étaient particulièrement édifiantes puisqu’elles prouvaient que le continent était perforé par un trou béant englobant la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud !
L’américain Steve Currey, l’un des principaux explorateurs de fleuves dans le monde, a servi de guide à plusieurs dizaines de milliers de personnes dont des sénateurs et des membres du Congrès US, des chefs d’État, des chefs d’entreprise, des célébrités et des investigateurs. En 2005, il avait eu l’idée de mettre sur pied une expédition scientifique dans l’Arctique destinée à résoudre une fois pour toutes l’énigme de la la Terre Creuse.
Suivant la légende des Esquimaux et les observations de nombreux explorateurs, l’endroit le plus plausible pour une éventuelle ouverture polaire menant vers l’intérieur de la Terre aurait été, selon lui, situé à la latitude de 84,4°N et à la longitude de 141°E. Un brise-glace russe se tenait prêt à accueillir les 100 premiers intrépides qui voulaient se joindre à lui, moyennant finance évidemment, puisque le prix demandé avoisinait les 20.000 Dollars US. Le départ avait été programmé pour le 26 juin 2006 et le voyage devait durer 24 jours.

Steve Currey et Marcelo Martorelli
Steve Currey et Marcelo Martorelli

Steve Currey aurait dû être aidé dans sa tâche par Marcelo Martorelli, fondateur et directeur général d’une ONG sud-américaine à vocation culturelle et pacifiste, la fondation P.E.A. Lié depuis des années à celui qu’il nomme « le Mahatma de l’Occident », le Maître Raul J. Albala plus connu sous le nom de « Yaco », il  a publié récemment  un livre, « L’Appel planétaire des Maîtres de la Terre Creuse », dans lequel il explique une partie de ce qui lui a été révélé sur la ville souterraine située sous la région de Cordoba en Argentine.

(Cordoba est une ville reliée directement  à l’existence  des réfugiés nazi en Argentine ,après la guerre .Le Führer Adolph Hitler lui-même y aurait vécu.)
Guidés par des Maîtres cachés sous la surface terrestre, Steve Currev et Marcelo Martorelli étaient persuadés de pouvoir découvrir sous peu une civilisation oubliée dont les habitants vivraient depuis des milliers d’années en totale autarcie et auraient atteint un niveau spirituel et technologique supérieur au nôtre.
Mais le destin vient d’en décider autrement.

Une mort qui  me fait réfléchir

Tout comme le grand écrivain et chercheur Jimmy Guieu,Steve Currey est décédé d’un cancer malin …juste avant de terminer son oeuvre.

La disparition soudaine de l’explorateur américain Steve Currey amène son partenaire, l’argentin Marcelo Martorelli, à redéfinir leur projet commun d’expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord. Steve Currey, explorateur américain, qui avait décidé de monter avec Marcelo Martorelli une grande expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord est décédé le 26 juillet  2006, victime d’un cancer du cerveau à évolution fulgurante.


Il avait été prévenu le 22 mai  que sa maladie était incurable. La famille de Steve a annoncé qu’il était peu probable que l’expédition puisse finalement avoir lieu et que les souscripteurs seraient remboursés.
J’ai personnellement le même rêve que Steve Currey,mais en passant par l’Antartique…,par Neu Schwabenland.
Au moment ou nous lisons ces lignes,le réchaffement global est en train de dégeler  ce qui reste des anciennes bases secrètes allemandes.Pendant des années ,on a masqué Google Earth afin de tenir secrètes …ce qui se dégage des glaces antartiques.Je me souviens qu’en 2007,je cherchais à situer Neu Schwabenland par le moyen de Google Earth et tout était flou.
J’ai d’ailleurs commencé à exposer mon projet sur mon site :  http://Neuschwabenland.onlc.fr
Autre texte pour vous faire réfléchir:

«     Le Western Group , cependant, devait faire une découverte remarquable. En fin de Janvier 1947 le lieutenant-commandant David Bunger de la ville de Coronado, en Californie, pilotait un PBM qui s’était envolé de son navire, le Currituck et il se dirigea vers le continent au delà de la Queen Mary Coast. En atteignant la terre , Bunger vola vers l’ouest, pendant un certain temps temps, et alors, au dessus de l’horizon blanc informe, il vit une étendue dénudée et sombre que Byrd décrira ultérieurement comme « une terre de lacs verts et bleus et de collines brunes dans une zone sans limite, vide de glace« .
Bunger et ses hommes attentivement firent avec attention la reconnaissance de la contrée avant de s’en retrourner à leur base, munis des informations recueillies. La région qu’ils avaient découverte s’étendant sur une superficie d’environ trois cent miles carrés du continent antarctique et on y apercevait trois grands lacs d’eau libre et quelques plus petits lacs. Ces lacs étaient séparés par des monticules de rochers nus rougeâtres, suggérant éventuellement la présence de minerai de fer.

Quelques jours plus tard, Bunger retourna dans la région , et il trouva que l’eau était tiède au toucher (Note du Webmaster: nous supposons donc qu’il a dû poser son hydravion sur un lac) et le lac lui-même était rempli d’algues rouge, bleu et vert lui donnant ainsi une couleur caractérisée. Bunger remplit une bouteille d’ eau qui ulterieurement s’avéra être saumâtre , un indice qui montrait que la zone était réellement un bras de la mer libre.

Cela est important pour deux raisons : les lacs tièdes et intérieurs, étant reliés à l’environnement océanique seraient parfaits pour y cacher des sous-marins , et des lacs similaires avaient été aperçu dans la Neu-Schwabenland, le site (soupçonné étrangé ) allégué de la base allemande.

Bien qu’il n’y n’ait encore de preuve évidente de l’existence d’une base étrangère allemande en Antarctique, il est hors de doute que quelque chose d’ hautement inhabituel s’ est déroulé sur le froid continent. En général, l’éventualité qu’une telle base ait existé et aussi le cas qu’elle puisse continuer à exister de nos jours, sont des faits d’une très haute probabilité.

«