Le meurtre du général Soleïmani à Bagdad rappelle celui de François-Ferdinand d’Autriche à Sarajevo

En 1914, un jeune homme appelé Gavrillo Princip s’est enfui d’une sandwicherie de Sarajevo, a sorti un Browning automatique de sa poche et a changé le monde pour toujours. Les coups de feu qu’il a tirés ce jour-là ont plongé le monde dans la pire guerre qu’il ait jamais connue, tuant des dizaines de millions de personnes, détruisant des empires et provoquant véritablement un changement sismique dans l’ordre mondial

Il y a eu 40 millions de victimes (moitié morts, moitié blessés) . Savez-vous à qui a profité ce crime aux conséquences effroyables ?

 

L’objectif de l’assassin ? Le prince François-Ferdinand, n’était pas un homme sympathique, au contraire, il était un homme épouvantable, mais il représentait le meilleur espoir de tenir uni ensemble les composantes de l’Empire austro-hongrois, qui grinçait alors de tous côtés, et il était capable de conjurer la guerre entre les empires d’Europe qui couvait depuis de nombreuses années. Les commanditaires de l’assassinat avaient des objectifs bien précis et définis depuis longtemps qui passent par la destruction de l’ordre mondial de l’époque.

L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand et sa femme,à Sarajevo en 1914.

 

 

L’histoire orthodoxe nous dit que Princip appartenait à un groupe obscur appelé La Main Noire. Ce groupe était financé et soutenu par l’armée serbe. L’Autriche-Hongrie a donc cherché à se venger de l’assassinat du prince autrichien en envahissant la Serbie, ce qui a déclenché une guerre qui s’est immédiatement étendue au-delà des Balkans pour engloutir en premier l’Europe pour s’étendre ensuite à  presque tout le globe. Cette guerre a été si terrible par l’étendue de son massacre : elle a changé le cours de l’histoire du monde et est devenue connue simplement comme la Grande Guerre.

Cependant, l’histoire officielle orthodoxe ne va pas assez loin pour identifier qui dirigeait vraiment La Main Noire, qui a utilisé ce petit groupe de mécontents comme agents provocateurs pour créer le plus grand massacre de guerre que le monde ait jamais vu. La réponse n’est pas difficile à trouver, les preuves toujours disponibles en ligne. Elles ne sont pas  encore enterrées dans un trou de mémoire par Google.  

Connaissant Google et autres Facebook, ces outils de propagande sioniste, cela ne saurait tarder.

Quelques semaines seulement après la mort de François-Ferdinand, les preuves révélant les vrais coupables ont été publiées dans le magazine John Bull

Horatio Bottomley, l’éditeur controversé, avait obtenu un document de la légation serbe de Londres, daté du 14 avril 1914 et rédigé dans ce qui était décrit comme un «espagnol brut». Cette langue était en fait le ladino, une forme corrompue d’espagnol parlée par les juifs des Balkans, semblable à l’allemand brut connu sous le nom de yiddish qui était la langue des juifs ashkénazes d’Europe orientale.

 

Les Juifs des Balkans étaient séfarades, descendants des Juifs chassés de l’Empire espagnol des siècles plus tôt . Ces Juifs expulsés s’étaient installés dans toute la Méditerranée, de Tanger au Maroc à Salonique en Grèce, mais ils avaient conservé la langue qu’ils parlaient au cours de leurs siècles lorsqu’ils vivaient dans les royaumes musulmans espagnols.

C’est d’un Juif de Salonique que Bottomley avait obtenu le document, étant le seul éditeur assez courageux pour l’imprimer, après que tous les bureaux de presse de la ville aient refusés. Ce qui démontre que la main mise des juifs sur la Presse était déjà très efficace.

Salonique, le port grec des Balkans était un foyer de Juifs et de leurs intrigues néfastes, dont beaucoup étaient centrés autour des différentes loges de la branche Grand Orient de la franc-maçonnerie. Il était clair que le document que Bottomley avait obtenu avait été envoyé de Londres à la Grande Loge de Salonique et son contenu était une condamnation accablante des criminels juifs qui utilisaient cet ordre franc-maçonnique pour couvrir leurs entreprises criminelles.

La lettre contenait les détails d’un paiement de deux mille livres sterling pour «l’élimination» de François-Ferdinand. La culpabilité était claire: des financiers juifs de Londres avaient payé des criminels juifs des Balkans pour assassiner l’héritier du trône d’Autriche-Hongrie afin de déclencher une guerre en Europe qu’ils exploiteraient ensuite à leurs propres fins.

Il y avait aussi la soif de vengeance juive qui pesait sur le meurtre car Ferdinand était l’héritier du trône de la maison des Habsbourg et c’était Ferdinand et Isabelle, de la même maison des Habsbourg, qui avait expulsé les Juifs du royaume espagnol des Habsbourg. en 1492.

 

La guerre qui en résulta provoqua la chute de l’Empire ottoman, aboutissant à un mandat britannique sur la Palestine et à la déclaration Balfour, promettant aux Rothschild (au nom de l’Internationale sioniste), une patrie en Palestine, commençant ainsi l’entreprise criminelle qui devint connue comme l’État d’Israël.

Donc voilà: les financiers juifs ont employé des criminels juifs pour assassiner une personne clé afin de se venger et de déclencher une guerre qui leur serait immensément bénéfique tout en dévastant une grande partie du monde et tuant des dizaines de millions de goyim gênants.

Le général Solemani

Les juifs ont été les seuls grands gagnants de la première guerre mondiale :

[1]

Voyez-vous des similitudes flagrantes avec le meurtre du général Soleïmani?

Le général a été assassiné par des criminels au service de la même poignée de familles criminelles juives d’il y a un siècle . Ils avaient alors employé des criminels juifs serbes pour éliminer François-Ferdinand. Encore une fois, c’est dans l’intérêt de l’entreprise criminelle connue sous le nom d’Israël que ce meurtre a été commis. Gavrilo Princip a payé son crime de sa vie – il a été jeté dans un cachot pour pourrir en isolement cellulaire, pour finalement succomber à la maladie et à la malnutrition. Malheureusement, Trump ne partagera pas ce sort, bien qu’il le mérite amplement.

Nous ne pouvons qu’espérer que le meurtre de Soleimani ne reflète pas celui de Ferdinand en projetant le sombre spectre de la troisième guerre mondiale.

Source : Will Soleimani’s Murder in Baghdad Be Remembered Akin to François-Ferdinand’s in Sarajevo?

Par Ian Greenhalgh

Assistant rédacteur en chef de Veterans Today

Ian Greenhalgh est un photographe et historien avec un intérêt particulier pour l’histoire militaire et les causes réelles des conflits. Ses études en histoire et ses antécédents dans l’industrie des médias lui ont donné un bon aperçu de l’utilisation des médias de masse en tant que créateur de conflits dans le monde moderne.

L’Iran encerclée!

NOTES

1-Les principaux gains juifs de la première guerre mondiale :

–   a) élimination d’environ 40 millions de goyim, dont 18,6 millions de morts et 21,3 millions de blessés.

–   b) démantèlement de la seule puissance musulmane de l’époque : l’empire ottoman.

–   c) déclaration Balfour pour l’occupation juive de la Palestine.

–   d) Installation d’un crypto-juif, Mustafa Kemal,à la tête de la Turquie, qui sera le seul et premier pays “musulman” à reconnaître Israël et à établir avec lui des relations étroites ‘économiques, militaires, etc.) dirigées essentiellement contre les pays arabes .

 

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:Menaces apocalyptiques de Trump après des propos guerriers de l’Iran

 

Le président américain Donald Trump a lancé une mise en garde d’une rare virulence contre l’Iran, qu’il a menacé de représailles apocalyptiques après des propos guerriers de son homologue iranien Hassan Rohani.

“NE MENACEZ PLUS JAMAIS LES ÉTATS-UNIS OU VOUS ALLEZ SUBIR DES CONSÉQUENCES TELLES QUE PEU AU COURS DE L’HISTOIRE EN ONT CONNUES AUPARAVANT”, a écrit dimanche sur Twitter M. Trump dans un message adressé nommément au président Rohani et rédigé entièrement en majuscules.

“NOUS NE SOMMES PLUS UN PAYS QUI SUPPORTE VOS PAROLES DÉMENTES DE VIOLENCE ET DE MORT. FAITES ATTENTION !”, a-t-il poursuivi.

Le président américain Donald Trump, le 17 juillet 2018 à la Maison Blanche, à Washington

Ce message est intervenu après un avertissement de M. Rohani au dirigeant américain, lui conseillant de “ne pas jouer avec la queue du lion” et assurant qu’un conflit avec l’Iran serait la “mère de toutes les guerres”.

Le président iranien Hassan Rohani, le 22 juillet 2018 à Téhéran

 

M. Rohani a en outre de nouveau averti que l’Iran pourrait fermer le détroit stratégique d’Ormuz, qui contrôle le Golfe et par où passe jusqu’à 30% du pétrole mondial transitant par voie maritime.

M. Rohani s’exprimait lui-même quelques heures avant un discours très attendu du secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo à la diaspora iranienne.

Les Etats-Unis n’ont “pas peur” de sanctionner “au plus haut niveau” le régime de Téhéran qui est “un cauchemar pour le peuple iranien”, a assuré M. Pompeo.

– “Ce n’est pas fini”

Le 8 mai, le président Donald Trump, dont la République islamique est devenue la principale bête noire, décidait de claquer la porte de l’accord censé empêcher l’Iran de se doter de la bombe atomique et de rétablir toutes les sanctions levées dans le cadre de ce texte jugé trop laxiste.

Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo, le 11 juillet 2018 à Bruxelles

Alors que les alliés européens des Etats-Unis tentent par tous les moyens de sauver cet accord, M. Pompeo a appelé le monde à “cesser de flirter avec un régime révolutionnaire” accusé de “corruption”, de “terrorisme”, de violations des droits de l’Homme et de persécutions religieuses.

Il a confirmé que Washington souhaitait que tous les pays réduisent leurs importations de pétrole iranien “au plus près de zéro” d’ici la date-butoir du 4 novembre, faute de quoi ils s’exposeront aux sanctions américaines.

“Ce n’est pas fini”, a-t-il mis en garde au sujet des sanctions américaines, après avoir rappelé que les Etats-Unis avaient déjà ciblé en janvier l’ayatollah Sadegh Larijani, chef de l’Autorité judiciaire, pour violations des droits de l’Homme.

“Les dirigeants du régime, notamment ceux à la tête des Gardiens de la Révolution”, l’armée d’élite iranienne, “et de la Force Qods”, chargée des opérations extérieures, “doivent payer chèrement pour leurs mauvaises décisions”, a-t-il encore estimé.

Carte de l’Iran et de ses installations nucléaires et caractéristiques de l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien

Alors que l’administration Trump est régulièrement soupçonnée de caresser l’espoir d’un changement de régime en Iran, Mike Pompeo a réaffirmé vouloir uniquement “que le régime change de manière significative son comportement, à la fois à l’intérieur de l’Iran et sur la scène mondiale”.

“Les Etats-Unis vous entendent, les Etats-Unis vous soutiennent, les Etats-Unis sont à vos côtés”, a-t-il ajouté à l’intention des manifestants, qui selon lui descendent dans la rue comme jamais depuis la révolution islamique de 1979.

Concrètement, il a annoncé le lancement d’une chaîne multimédia (télévision, radio, numérique et réseaux sociaux) 24 heures sur 24 en langue farsi, “afin que les Iraniens ordinaires en Iran et à travers le monde sachent que l’Amérique est à leurs côtés”.

L’idée de l’administration Trump est simple: tenter de profiter des tensions sociales qui semblent se multiplier en Iran, sur fond de difficultés économiques aggravées par l’annonce du retour des sanctions américaines qui fait partir de nombreuses entreprises étrangères.

Elle compte s’appuyer sur une date symbolique, les 40 ans de la République islamique, l’an prochain. “Quarante ans de kleptocratie, 40 ans de richesse détournée pour soutenir le terrorisme, 40 ans d’emprisonnement d’Iraniens ordinaires pour avoir pacifiquement exprimé leurs droits”, a martelé Mike Pompeo.

La communauté diplomatique et les experts sont divisés à Washington quant à savoir si la République islamique est vraiment ébranlée par la crise sociale en cours, voire menacée de l’intérieur.