Poésie:Des nouvelles de la cigale et la fourmi

Nous avons des nouvelles de la cigale et la fourmi
La Cigale, s’étant faite vaccinée ,
Se trouva fort dépourvue
Quand le Variant fut venu.
Les vaccins ne protégeaient
Point plus qu’un stock de PQ,
Point plus qu’un bout de tissu.

Elle va pleurer grise mine
Chez la Fourmi sa voisine,
l’accusant de l’avoir infectée
n’étant, elle, pas vaccinée !
Mais la Fourmi reste digne,
face à cette verve assassine.

Elle connait la plandémie honteuse,
Et répondit à cette emmerdeuse :
– Que faisiez-vous sur les réseaux ?
N’étiez-vous pas hier du côté des collabos?
Aviez-vous cherché d’autres pistes ?
Non bien sûr ! vous n’êtes pas complotiste !

– Nuit et jour à tout venant,
J’ai écouté le gouvernement,
Suivi la bien-pensance sans faille,
Les vaccinés n’sont pas cobayes !
BigPharma le jure, foi d’animal,
Nos vies sont leur intérêt principal !

– J’en suis fort aise…
Eh bien, toussez maintenant et PASSez votre chemin !

Jean de La Quarantaine

 


AUTRE VERSION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Sur ce lien:Vintage par Michel

 

 

 

 

Poésie:Miroir du Temps

 

 

Passons derrière le miroir,

Traversons la ligne de notre histoire.

Découvrons nous simplement,

Aimons nous tendrement.

Le temps passe si vite

Qu’on ne l’évite.

N’ayons plus aucuns doute

Poursuivons notre route

À travers ce miroir,

Par delà l’histoire.

C’était hier,

Soyons en fiers,

De nos aïeux

Venus des cieux!

Comme Jimmy Guieu,

Attendons sans pardon

Le Retour des Dieux

Nous libérer de cette prison!

À Guy Tarade,

J’offre cette tirade:

Une fleur chaque jour

Est preuve d’amour

Que l’on voit s’ouvrir

Sans la cueillir!

Et pour finir

Dans notre délire,

Nous croyons sans fin

Voler le butin

De la nature mourante

De notre futur d’épouvante!

Meurent sur Terre,

Humains mercenaires!

Après Grande Extinction

De toute vie…sans illusion!

Meurent sur Terre

Banquiers sanguinaires

Créateurs des guerres

Voleurs des terres!

Meurent sur Terre

Chefs des pays,

Menteurs infinis

De fausses pandémies!

À ceux du miroir

Qui gardent l’espoir

Fuyez ces Enfers

Devenez Peuples de l’Univers

Libérés des Frontières

D’un monde éphémère!

par Michel Duchaine

Poésie:Rêves Célestes

 

 

 

J’ai attrapé tes rêves

Cette nuit tout simplement

Ils s’étaient posés sur mes lèvres.

Sans faire de bruit tendrement

Je les ai caressé.

Ils m’ont emmené

Sur une page blanche

Où la plume d’un ange

Dessinais de cette encre

Venue du fond du coeur

..une fleur..

Tatouée sur mon ventre!

De toute l’humanité,

J’ai rêvé…

De tous les humains,

J’ai vu demain

L’amour intérieur

D’infinies grandeurs!

L’Empire édifié

Sur valeurs passées,

Bientôt piétiné

Par peuples opprimés!

Déesse venue du Ciel

Vivra Lune de Miel

D’un Prince fait fort

Enfantera Nouvel Âge d’Or!

(Par Michel Duchaine)

 

Poésie : La lumière de l’amour,oeuvre de

Affiche retouvée dans un local Vril

La lumière de l’amour


sentez-vous en vous une douleur profonde
que vous croyez qu’il déchire votre coeur
vous préféreriez mourir que vivre sur
vous espérez que la grâce vous est donnée
comme une roue de moulin si lente et dure
rien ne vous est épargné la misère
rien n’est ce que votre souffrance
ne soulage rien de heureux fin indique que
personne ne vous aide à moins que vous seul
et une petite lueur
des lumières à l’ intérieur vous
et votre esprit hydrate
si ce monde peut vous donner rien
et vous tombez presque dans la folie
, l’étincelle est allumée en vous
qui vous annonce maintenant de près du salut qui
vous dit et seulement vous,
peu importe comment vous êtes inquiet
pour la vie, peu importe si personne ne se tient à vos côtés

peu importe à quel point êtes – vous maintenant
et votre chemin de marcher seul
quand il ne reste rien, donc alors
à allumer cette petite lumière sur
le vous aide à transporter votre douleur
que vous éclaire avec un certain désespoir
que simplement arrêté juste à l’ intérieur vous brûlez
et connaît tous vos besoins
ce L’amour léger signifie
que vit toujours dans ton esprit
qui est toujours éternel pour toi
et traverse ta souffrance avec toi

de l’amour avec toute splendeur dans sa divinité faite
même dans la plus grande angoisse

n’abandonne jamais ton apparence

la lumière de l’amour

– sans limites,
c’est probablement sur les genoux de DIEU


L’AUTEURE:

 

L’article a été relié à une amie de Maria Orsic…Brigitte  Helm

Brigitte Helm,vers 1928

 

 

Adolf Hitler: Dans le fourré de la forêt en Artois, 1916 (poème)

*On a récemment découvert ce poème du Führer Adolph Hitler dans une pile de dossiers dissimulés.Ce poème change notre vision du Fühere ,pour ceux qui le honnissent!

Photo d’Adolph Hitler datant de la même année que le poème.Vous le reconnaissez ici,à droite.

 

Dans le fourré de la forêt en  Artois
(Traduction directe de l’allemand au français)

C’était dans le bosquet du bois d’Artois.
Profondément dans les arbres, sur un sol imbibé de sang,
Lay étira un guerrier allemand blessé,
et ses cris résonnèrent dans la nuit.
En vain … aucun écho n’a répondu à son appel …
Sera-t-il saigner à mort comme une bête,
Ce coup dans l’intestin meurt seul?

Puis tout à coup …
Des pas lourds s’approchent de la droite.
Il entend comment ils frappent le sol de la forêt …
Et un nouvel espoir jaillit de son âme.
Et maintenant de la gauche …
Et maintenant des deux côtés …

Deux hommes s’approchent de son lit misérable.
Un Allemand et un Français.
Et chacun regarde l’autre d’un regard méfiant,
Et menaçant ils dirigent leurs armes.
Le guerrier allemand demande:
« Que faites-vous ici? »
« J’ai été touché par l’appel à l’aide du pauvre. »

« C’est ton ennemi! »
« C’est un homme qui souffre. »
Et tous les deux, sans paroles, baissèrent leurs armes.
Alors entrelacé leurs mains
Et, avec des muscles tendus, soigneusement soulevé
Le guerrier blessé, comme si sur une civière,
Et l’a porté à travers les bois.

Ils sont venus aux avant-postes allemands.
« Maintenant c’est fini, il aura de bons soins. »
Et le Français se retourne vers les bois.
Mais l’Allemand saisit sa main,
Looks, ému, dans des yeux affligés de tristesse
Et lui dit avec un pressentiment sérieux:

« Je ne sais pas ce que le destin nous
réserve , Qui régit d’une manière impénétrable dans les étoiles,
peut-être tomberai-je, victime de ta balle,
peut-être que la mienne te tombera sur le sable,
indifférente aux batailles.

Quoi qu’il en soit, quoi qu’il advienne:
nous avons vécu ces heures sacrées,
Où l’homme s’est trouvé dans l’homme …
Et maintenant, adieu! Et que Dieu soit avec vous!

Adolf Hitler, 1916

*Traduction :Michel Duchaine et Enrich von Echman

 

Au bout de la nuit

Originally posted on Moonath – l’Univers des mots: ? au bout de la nuit l’écho du ciel dans les feuilles habille la terre au coeur des jardins le reflet du jour prend feu pur et silencieux voilé de rêves le matin s’éveille au vent gorgé de rosée conquérant du temps un coq déchire les…

via Au bout de la nuit — Moonath – l’Univers des mots

Poésie: Chanter et danser l’amour

Anges et démons

 

L’amour n’est pas un besoin, mais un débordement!…

L’amour est un luxe ,un tourment.

À d’abondance,sur tout continent.

Cela signifie d’avoir autant de vies que tu ne sais plus quoi en faire, sinon la partager.

 Cela signifie avoir dans le cœur d’infinies mélodies à chanter ;

Que quelqu’un joue ou non n’est pas pertinent.

Même si personne n’écoute, tu dois toujours chanter,

Cette danse ,tu dois la danser,pour l’éternité .

En dansant ,ton corps embrasse l’Univers,

En chantant, ton esprit embrasse la vie de tous nos Frères!

Michel Duchaine

Poésie : Je suis ce peuple,par René Déry

Le Patriote de tous les temps.
Le Patriote de tous les temps.

 

Je suis ce peuple.

Je suis un peuple qui historiquement est lié au mot bravoure.
Je suis un peuple qui ouvre grand son coeur et qui t’acceuille avec amour.
Je suis un peuple divisé entre cette bravoure et la couardise.
Je suis un peuple qui n’en finit plus de se relever face a tant d’année de traitrises
Je suis un peuple que l’on veut éteindre.
Je suis un peuple mené par des ministres prenant serment en anglais pour mieux me faire mal et m’atteindre.
Je suis un peuple qui de génération en génération voit des rêves s’évanouir dans des regards tristes de nos ainé(e)s.
Je suis un peuple bafoué , volé, violé.
Je suis un peuple d’octobre, criant haut et fort le poing levé sa quête de liberté.
Je suis un peuple aimant qui ne demande que le respect et la reconnaissance des ses droits francophones.
Je suis un peuple qui en parti rêve de hisser, un jour, une grande voile sur un vaisseau dormant depuis trop longtemps, comme un cri d’automne.
Je suis un peuple qui croit en lui et qui espère.
Je suis ce peuple rassemblé patriotiquement, en attente de ce moment, avec mes soeurs et frères.
Je suis ce peuple et il s’appelle Québec
Je suis ce peuple qui veut juste qu’on le respecte.
Je suis ce peuple qui ne veut pas mourir ensevelit dans une terre en glaise.
Je suis ce peuple embourbé dans de$ marai$ fédéraliste$.
Je suis ce peuple gentil et ouvert que l,on traite de raciste.
Je suis ce peuple qui n,arrête pas de payer et de se faire taxer.
Je suis ce peuple qui un jour ira s’affirmer.
Je suis ce peuple qui a si bel héritage à protéger.
(René Déry)

Poésie: Sol Invictus des misères de Dionysos

Bain

(Bain)

Pour qui prophétise Héraclite d’Éphèse ? Pour les rôdeurs de la nuit, les lènes, les bacchants,les mystes…

Dieu est jour et nuit, hiver et été, rassasiement et famine. Il change comme [le feu] qui, quand il est mêlé aux parfums, reçoit un nom selon le plaisir de chacun.

La loi, c’est aussi obéir à la volonté d’Un.

De toi, Ô Hellade baignée par les flots du soleil invaincu, quelle grâce n’avons nous reçue ?

La splendeur des dieux miroitant sur le monde
La chair d’aphrodite éclatant entre les dents par la pulpe des fruits
Le sang de Dionysos versé dans la coupe et déversé en libations sur le feu
La fumée des sacrifices comme des mains familières tendues vers le Ciel ouranien
Les hiérarchies angéliques claires comme les cascades des collines
Les grottes des mystères semblables aux ruches de l’Hymette
Le miel de ta voix et le miel de ta peau
Et la liberté, la liberté enroulée dans l’amitié et le sang des hommes
La liberté des Cités face aux Empires du monde .

En toi la vie se remémore comme la mer se recommence
L’homme boit à la source au pied du Cyprès
En toi se sont baignés tant d’hommes nobles et sages
Des loups comme des anges de Dieu
Et le corps blanc des amoureuses
Et l’amant du Vin comme l’amant du Soleil
Il n’est nulle renaissance dont tu ne sois promesse
Nulle gnose qui n’ait parlé la langue solaire
Nulle puissance dont tu ne sois l’aurore
Nulle grandeur que tes colonnes ne puisse porter

Encore vers la mer au soleil se porte mon espoir
Encore vers les chemins de calcaire vibrants de grands insectes se portent mes pas
Que se taise la roche couverte de chênes habités des dryades
Que se taisent les sources qui jaillissent de la pierre
Et les bêlements confus des brebis qui ont mis bas :
Car lui-même, Pan, module sa syrinx aux bons sons,
Roulant une lèvre souple sur les roseaux bien joints
Et autour de lui, sur leur pieds agiles, forment un chœur ou dansent
Les nymphes des eaux claires, les nymphes des grands arbres !
Et l’oiseau ne saurait le dépasser en ses chants
L’oiseau qui au printemps fleuri fait retentir sur les feuilles son thrène au son doux
!

Tu étaient nue, Grèce, et si infertile pour les richesses des marchands
Et si faible, et si grande
Tes juges acquittaient la prostituée, prêtresse d’Aphrodite, accusée d’impiété
A la vue de la splendeur de son corps consacré aux dieux
De peur de toucher à l’empreinte de la déesse
Si grande
Que tous les Empires ne peuvent te faire plier
Ni oublier

L’Amour, principe d’ordre pour l’ensemble des dieux ainsi que des hommes, chef de chœur le plus beau et le meilleur, que doit suivre tout homme, en chantant avec harmonie sa partie et en participant à cette symphonie par laquelle ce magicien charme l’esprit des dieux et des hommes . (Platon, Banquet .)

Et ceux qui furent tes vainqueurs furent tes amants
Couronnés de laurier et de l’or des dieux
Hölderlin comme la Pythie vaticinent au soleil
Avec Nietzsche et les errants de la nuit

Ô délices des aurores et délices des crépuscules
Qu’il compte d’abord les grains de sable de l’Afrique ou les astres étincelants, celui qui veut compter les mille et mille joies de votre jeu d’amour
Car je t’aime, ô éternité

Et délices de tes cheveux noirs !

 

(Auteure inconnue)