Nous avons des nouvelles de la cigale et la fourmi La Cigale, s’étant faite vaccinée , Se trouva fort dépourvue Quand le Variant fut venu. Les vaccins ne protégeaient Point plus qu’un stock de PQ, Point plus qu’un bout de tissu.
Elle va pleurer grise mine Chez la Fourmi sa voisine, l’accusant de l’avoir infectée n’étant, elle, pas vaccinée ! Mais la Fourmi reste digne, face à cette verve assassine.
Elle connait la plandémie honteuse, Et répondit à cette emmerdeuse : – Que faisiez-vous sur les réseaux ? N’étiez-vous pas hier du côté des collabos? Aviez-vous cherché d’autres pistes ? Non bien sûr ! vous n’êtes pas complotiste !
– Nuit et jour à tout venant, J’ai écouté le gouvernement, Suivi la bien-pensance sans faille, Les vaccinés n’sont pas cobayes ! BigPharma le jure, foi d’animal, Nos vies sont leur intérêt principal !
– J’en suis fort aise… Eh bien, toussez maintenant et PASSez votre chemin !
sentez-vous en vous une douleur profonde que vous croyez qu’il déchire votre coeur vous préféreriez mourir que vivre sur vous espérez que la grâce vous est donnée comme une roue de moulin si lente et dure rien ne vous est épargné la misère rien n’est ce que votre souffrance ne soulage rien de heureux fin indique que personne ne vous aide à moins que vous seul et une petite lueur des lumières à l’ intérieur vous et votre esprit hydrate si ce monde peut vous donner rien et vous tombez presque dans la folie , l’étincelle est allumée en vous qui vous annonce maintenant de près du salut qui vous dit et seulement vous, peu importe comment vous êtes inquiet pour la vie, peu importe si personne ne se tient à vos côtés
peu importe à quel point êtes – vous maintenant
et votre chemin de marcher seul quand il ne reste rien, donc alors
à allumer cette petite lumière sur
le vous aide à transporter votre douleur
que vous éclaire avec un certain désespoir
que simplement arrêté juste à l’ intérieur vous brûlez
et connaît tous vos besoins
ce L’amour léger signifie
que vit toujours dans ton esprit
qui est toujours éternel pour toi
et traverse ta souffrance avec toi
de l’amour avec toute splendeurdans sa divinité faite
même dans la plus grande angoisse
n’abandonne jamais ton apparence
la lumière de l’amour
– sans limites,
c’est probablement sur les genoux de DIEU
L’AUTEURE:
L’article a été relié à une amie de Maria Orsic…Brigitte Helm
*On a récemment découvert ce poème du Führer Adolph Hitler dans une pile de dossiers dissimulés.Ce poème change notre vision du Fühere ,pour ceux qui le honnissent!
Photo d’Adolph Hitler datant de la même année que le poème.Vous le reconnaissez ici,à droite.
Dans le fourré de la forêt en Artois (Traduction directe de l’allemand au français)
C’était dans le bosquet du bois d’Artois. Profondément dans les arbres, sur un sol imbibé de sang, Lay étira un guerrier allemand blessé, et ses cris résonnèrent dans la nuit. En vain … aucun écho n’a répondu à son appel … Sera-t-il saigner à mort comme une bête, Ce coup dans l’intestin meurt seul?
Puis tout à coup … Des pas lourds s’approchent de la droite. Il entend comment ils frappent le sol de la forêt … Et un nouvel espoir jaillit de son âme. Et maintenant de la gauche … Et maintenant des deux côtés …
Deux hommes s’approchent de son lit misérable. Un Allemand et un Français. Et chacun regarde l’autre d’un regard méfiant, Et menaçant ils dirigent leurs armes. Le guerrier allemand demande: « Que faites-vous ici? » « J’ai été touché par l’appel à l’aide du pauvre. »
« C’est ton ennemi! » « C’est un homme qui souffre. » Et tous les deux, sans paroles, baissèrent leurs armes. Alors entrelacé leurs mains Et, avec des muscles tendus, soigneusement soulevé Le guerrier blessé, comme si sur une civière, Et l’a porté à travers les bois.
Ils sont venus aux avant-postes allemands. « Maintenant c’est fini, il aura de bons soins. » Et le Français se retourne vers les bois. Mais l’Allemand saisit sa main, Looks, ému, dans des yeux affligés de tristesse Et lui dit avec un pressentiment sérieux:
« Je ne sais pas ce que le destin nous réserve , Qui régit d’une manière impénétrable dans les étoiles, peut-être tomberai-je, victime de ta balle, peut-être que la mienne te tombera sur le sable, indifférente aux batailles.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’il advienne: nous avons vécu ces heures sacrées, Où l’homme s’est trouvé dans l’homme … Et maintenant, adieu! Et que Dieu soit avec vous!
Originally posted on Moonath – l’Univers des mots: ? au bout de la nuit l’écho du ciel dans les feuilles habille la terre au coeur des jardins le reflet du jour prend feu pur et silencieux voilé de rêves le matin s’éveille au vent gorgé de rosée conquérant du temps un coq déchire les…
Je suis un peuple qui historiquement est lié au mot bravoure. Je suis un peuple qui ouvre grand son coeur et qui t’acceuille avec amour. Je suis un peuple divisé entre cette bravoure et la couardise.…
Je suis un peuple qui n’en finit plus de se relever face a tant d’année de traitrises
Je suis un peuple que l’on veut éteindre.
Je suis un peuple mené par des ministres prenant serment en anglais pour mieux me faire mal et m’atteindre.
Je suis un peuple qui de génération en génération voit des rêves s’évanouir dans des regards tristes de nos ainé(e)s.
Je suis un peuple bafoué , volé, violé.
Je suis un peuple d’octobre, criant haut et fort le poing levé sa quête de liberté.
Je suis un peuple aimant qui ne demande que le respect et la reconnaissance des ses droits francophones.
Je suis un peuple qui en parti rêve de hisser, un jour, une grande voile sur un vaisseau dormant depuis trop longtemps, comme un cri d’automne.
Je suis un peuple qui croit en lui et qui espère.
Je suis ce peuple rassemblé patriotiquement, en attente de ce moment, avec mes soeurs et frères.
Je suis ce peuple et il s’appelle Québec
Je suis ce peuple qui veut juste qu’on le respecte.
Je suis ce peuple qui ne veut pas mourir ensevelit dans une terre en glaise.
Je suis ce peuple embourbé dans de$ marai$ fédéraliste$.
Je suis ce peuple gentil et ouvert que l,on traite de raciste.
Je suis ce peuple qui n,arrête pas de payer et de se faire taxer.
Je suis ce peuple qui un jour ira s’affirmer.
Je suis ce peuple qui a si bel héritage à protéger.
(René Déry)
Pour qui prophétise Héraclite d’Éphèse ? Pour les rôdeurs de la nuit, les lènes, les bacchants,les mystes…
Dieu est jour et nuit, hiver et été, rassasiement et famine. Il change comme [le feu] qui, quand il est mêlé aux parfums, reçoit un nom selon le plaisir de chacun.
La loi, c’est aussi obéir à la volonté d’Un.
De toi, Ô Hellade baignée par les flots du soleil invaincu, quelle grâce n’avons nous reçue ?
La splendeur des dieux miroitant sur le monde La chair d’aphrodite éclatant entre les dents par la pulpe des fruits Le sang de Dionysos versé dans la coupe et déversé en libations sur le feu La fumée des sacrifices comme des mains familières tendues vers le Ciel ouranien Les hiérarchies angéliques claires comme les cascades des collines Les grottes des mystères semblables aux ruches de l’Hymette Le miel de ta voix et le miel de ta peau Et la liberté, la liberté enroulée dans l’amitié et le sang des hommes La liberté des Cités face aux Empires du monde .
En toi la vie se remémore comme la mer se recommence L’homme boit à la source au pied du Cyprès En toi se sont baignés tant d’hommes nobles et sages Des loups comme des anges de Dieu Et le corps blanc des amoureuses Et l’amant du Vin comme l’amant du Soleil Il n’est nulle renaissance dont tu ne sois promesse Nulle gnose qui n’ait parlé la langue solaire Nulle puissance dont tu ne sois l’aurore Nulle grandeur que tes colonnes ne puisse porter
Encore vers la mer au soleil se porte mon espoir Encore vers les chemins de calcaire vibrants de grands insectes se portent mes pas Que se taise la roche couverte de chênes habités des dryades
Que se taisent les sources qui jaillissent de la pierre
Et les bêlements confus des brebis qui ont mis bas :
Car lui-même, Pan, module sa syrinx aux bons sons,
Roulant une lèvre souple sur les roseaux bien joints
Et autour de lui, sur leur pieds agiles, forment un chœur ou dansent
Les nymphes des eaux claires, les nymphes des grands arbres !
Et l’oiseau ne saurait le dépasser en ses chants
L’oiseau qui au printemps fleuri fait retentir sur les feuilles son thrène au son doux !
Tu étaient nue, Grèce, et si infertile pour les richesses des marchands Et si faible, et si grande Tes juges acquittaient la prostituée, prêtresse d’Aphrodite, accusée d’impiété A la vue de la splendeur de son corps consacré aux dieux De peur de toucher à l’empreinte de la déesse Si grande Que tous les Empires ne peuvent te faire plier Ni oublier
L’Amour, principe d’ordre pour l’ensemble des dieux ainsi que des hommes, chef de chœur le plus beau et le meilleur, que doit suivre tout homme, en chantant avec harmonie sa partie et en participant à cette symphonie par laquelle ce magicien charme l’esprit des dieux et des hommes . (Platon, Banquet .)
Et ceux qui furent tes vainqueurs furent tes amants Couronnés de laurier et de l’or des dieux Hölderlin comme la Pythie vaticinent au soleil Avec Nietzsche et les errants de la nuit
Ô délices des aurores et délices des crépuscules Qu’il compte d’abord les grains de sable de l’Afrique ou les astres étincelants, celui qui veut compter les mille et mille joies de votre jeu d’amour Car je t’aime, ô éternité Et délices de tes cheveux noirs !
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