Québec sous la dictature de la CAQ:le retour du balancier

Message aux journalistes congédiés par TVA,Québécor,etc

À tous ceux qui ont perdu leur emploi chez

hier, sachez que j’ai ZÉRO pitié pour vous. Vous avez appuyé le gouvernement dans sa folie sanitaire, et vous nous avez fait sentir comme du moins que rien alors qu’aujourd’hui je vous rends la pareille. Allez brailler ailleurs !

La propagande évidente pour la CAQ

 

 

 

 

 

 

Nouvelle du 16 février 2023

Groupe TVA annonce la suppression de 240 emplois, en raison d’un contexte difficile pour l’industrie de la télévision. La société précise que 140 emplois concernent directement Groupe TVA, et qu’une centaine d’autres concernent d’autres entités de Québecor.

Dans un communiqué annonçant jeudi ses résultats pour le quatrième trimestre et un plan de restructuration, Groupe TVA dit qu’il s’agit d’une décision difficile, mais nécessaire dans le contexte actuel.

L’entreprise souligne le ralentissement économique, une iniquité flagrante de la Société Radio-Canada par rapport aux diffuseurs privés, du fait des revenus publicitaires engendrés par le diffuseur public, et un traitement commercial hautement préjudiciable réservé à l’ensemble de ses services spécialisés par le distributeur Bell Télé.

Le fédéral interpellé

 

Groupe TVA déclare aussi que le Parlement fédéral doit adopter rapidement le projet de loi C-18 afin que l’utilisation de nos contenus d’information soit reconnue et rémunérée à leur juste valeur par les géants numériques qui capturent actuellement des dollars publicitaires destinés aux entreprises d’ici.

Le projet de loi C-18, qui a été déposé au printemps 2022 mais n’a toujours pas été adopté, vise à forcer les géants du web à conclure des ententes d’indemnisation avec les salles de nouvelles du pays.

Groupe TVA réitère son appel à ce que les instances gouvernementales agissent avant qu’il ne soit trop tard.

Face à ces circonstances et devant l’absence d’intervention réglementaire et gouvernementale depuis longtemps mise en évidence et pour laquelle nous avons à plusieurs reprises interpellé les pouvoirs publics, nous sommes forcés de prendre les mesures appropriées afin de rétablir la situation financière et assurer la pérennité de Groupe TVA, indique-t-on dans le communiqué.

Groupe TVA a dit avoir enregistré des revenus de 171,9 millions de dollars, une légère hausse de 23 000 $ par rapport au quatrième trimestre de 2021. L’entreprise a fait état d’une perte nette de 264 000 $, ou 0,01 $ par action, pour le trimestre clos le 31 décembre dernier, comparativement à un bénéfice net de 12,1 millions de dollars, soit 0,28 $ par action, pour le trimestre correspondant de l’exercice 2021.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DONC,je répète: »Pas de pitié pour des collabos d’une dictature politique corrompue a l’os!

 

 

 

 

 

 

 

Dossier corruption politique:PKP avait aussi ses entrées chez Jean Charest

Pierre-Karl Péladeau
Pierre-Karl Péladeau

 

 Aujourd’hui candidat péquiste, le patron de presse Pierre Karl Péladeau avait ses entrées auprès de Jean Charest, à l’époque où ce dernier était premier ministre, révèlent des extraits récents de l’agenda de l’ancien politicien .

Hier, de passage à une station de radio de Québec, M. Péladeau s’est insurgé contre la proximité de M. Charest avec la famille Desmarais. Or, des extraits de l’agenda de M. Charest à l’époque où il était chef de l’opposition, avant 2003, ont été envoyés à l’UPAC, récemment. La Presse en avait fait état au printemps 2013. Ils indiquent que M. Charest était en contact régulier avec Marc Bibeau, le responsable du financement au PLQ, aussi administrateur de Power Corporation, propriétaire de Gesca, dont fait partie le quotidien LaPresse. On y apprend aussi que le chef libéral planifiait plusieurs rencontres avec la famille Desmarais entre 1999 et 2001.

En entrevue, M. Péladeau s’est indigné de cette proximité entre le monde politique et les gens d’affaires. «Moi, je ne suis jamais allé à Sagard comme Jean Charest l’a fait», a-t-il lancé. Les journaux de Québecor ont à maintes reprises fait des reportages sur le domaine de la famille Desmarais dans Charlevoix.

«C’est ça aussi, l’héritage de Jean Charest, cette proximité avec le monde des affaires, ce détournement de la démocratie où elle ne se fait plus à l’Assemblée nationale, mais dans des salons feutrés. C’est l’illustration flagrante de ce que l’ère libérale nous a donné», a lancé le magnat de la presse, candidat péquiste dans Saint-Jérôme.

 

Mais LaPresse a obtenu des extraits bien plus récents de l’agenda de M. Charest qui montrent que le patron de Québecor avait des rapports réguliers avec l’ex-premier ministre. En octobre 2011, par exemple, M. Charest participait à un souper restreint, chez Denise Filiatrault, au Tropique Nord, avenue Pierre-Dupuy. S’y trouvaient Pierre Karl Péladeau et sa conjointe Julie Snyder, de même que Gilbert Rozon et sa conjointe Danielle Roy.

Conversation et rencontre

Le 1er juin 2011, l’agenda indique que M. Charest s’est entretenu au téléphone avec M. Péladeau. Le sujet de la conversation ne figure pas à l’agenda, mais à l’époque, l’injection de 200 millions de fonds publics dans l’amphithéâtre multifonctionnel de Québec faisait les manchettes. Québecor est un acteur important dans ce projet. Trois jours plus tôt, M. Charest avait invité des patrons de Québecor à son cabinet de Montréal. Lors d’une «rencontre privée», on retrouvait, outre M. Charest et son chef de cabinet de l’époque, Luc Bastien, M. Péladeau et Martin Tremblay, décrit comme «conseiller principal aux projets spéciaux». En fait, M. Tremblay est le principal responsable du dossier de l’amphithéâtre.

Mais ce dossier n’est pas le seul qui a conduit PKP au bureau du premier ministre libéral. Une autre série de pages de l’agenda, remontant à 2005 et 2003, illustre aussi leur proximité. Le 26 avril 2005, M. Charest recevra M. Péladeau à son bureau pour une oeuvre caritative présidée par le magnat de la presse. M. Péladeau est alors accompagné de Pierre Lampron, vice-président aux relations institutionnelles de Québecor. M. Lampron est le père de Julien Lampron, qui était producteur chez TVA, propriété de Québecor, avant de devenir directeur des communications au cabinet de Pauline Marois.

Enfin, l’agenda de Jean Charest indiquait en date du 20 septembre 2003 que le premier ministre assistait à «une réception chez Julie Snyder et Pierre Karl Péladeau», à Eastman, avec, en regard, le numéro de téléphone du couple et celui de leurs cellulaires personnels.

 

EN CONCLUSION

Les mass médias qui sont possédés par  de puissantes familles liées à la haute finance,collaborent ensemble afin de contrôler le pouvoir politique …totalement dans leurs mains ,grâce à la soumission des partis politiques corrompus.

 

 

 

La fonction PKP du gouvernement du Québec

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La récente nomination de Pierre-Karl Péladeau à titre de président du conseil d’administration d’Hydro-Québec doit être comprise comme un moyen de répondre à plusieurs objectifs :

1) préparer la restructuration de l’État-providence québécois, dans le sens néolibéral d’une désyndicalisation et d’une importation de la logique de l’entreprise privée dans les institutions publiques (PKP est un antisyndicaliste militant) ;

2) assurer une couverture médiatique favorable au PQ auprès des classes moyennes conservatrices grâce à la convergence médiatique, économique et parlementaire ;

3) percer le bastion de la ville de Québec en favorisant une articulation organique entre le maire Labeaume/PKP/PQ, dont le cœur est représenté par le nouveau phare de l’industrie culturelle québécoise : l’amphithéâtre Quebecor ;

4) opérer la CAQuisation du PQ, comme l’évoque Pierre Dubuc dans son article sur « Vers la berlusconisation du Parti québécois ». « Dans les cercles souverainistes et progressistes, on attribue le fait que le gouvernement soit minoritaire à la division du vote entre le Parti Québécois, Québec solidaire et Option nationale, et on parle de « convergence nationale », d’alliance électorale en vue du prochain scrutin. Mais, dans l’entourage de la direction du Parti Québécois, on entend un autre discours. Le PQ est minoritaire, dit-on, à cause de son virage à gauche, de son appui à la lutte étudiante. Parlez aujourd’hui à un ministre péquiste et il vous expliquera comment tous ses projets de loi sont conçus pour aller chercher l’appui de la CAQ. Les politiques du Parti Québécois ont d’ailleurs une forte odeur caquiste : pensons à l’objectif du déficit zéro, les compressions dans les commissions scolaires, les suppressions de poste à Hydro-Québec, les coupures à l’aide sociale. Tout est conçu pour plaire à l’électorat caquiste. Avec la CAQ qui ne décolle pas dans les sondages et le rapprochement entre le PQ-PKP, faudrait peut-être envisager la possibilité d’une alliance entre le PQ et la CAQ comme plus probable qu’une alliance PQ-QS-ON ! » ;

5) faire la promotion d’un nationalisme bourgeois, dont PKP représente l’intellectuel organique. De plus, il ne serait pas surprenant qu’il devienne un jour le bras droit ou même le chef du PQ, au même titre que Charles Erwin Wilson (président de General Motors) qui fut nommé comme secrétaire de la Défense par le président Eisenhower en 1953 : « What is good for Quebecor is good for Quebec and vice versa. » »

La gouvernance  bourgeoise au service des banquiers et des mass médias. Julie Snyder et Pierre Karl Péladeau.
La gouvernance bourgeoise au service des banquiers et des mass médias.
Julie Snyder et Pierre Karl Péladeau.

 

Sources: Carl Contant,Julien Dubreuil-Théberge