La Criminelle Arnaque du COVID 19:Une plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l’affaire des SMS avec Pfizer

Ursula von der Leyen

 

La justice belge est saisie d’une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s’être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d’avoir supprimé ces textos.

Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d’instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d’être saisi par un citoyen belge afin d’instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n’est pas anodine puisqu’elle vise les qualifications d’« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».

En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s’être substituée « sans aucun mandat » aux États membres de l’UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d’achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d’avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l’anglais to delete, effacer).

Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l’UE

Jusqu’ici, cette affaire avait fait l’objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l’ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 États-membres de l’UE. Et, ici, ce n’est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C’est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge.

Plainte pénale contre Ursula von der Leyen : la présidente de la Commission est accusée d’avoir négocié, à la place des États, directement avec Albert Bourla, patron de Pfizer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plaignant, Frédéric Baldan, 35 ans, est un lobbyiste professionnel accrédité auprès des institutions européennes. Il est spécialisé dans les relations commerciales entre l’Union européenne et la Chine. En 2019, il a participé coup sur coup à la mission économique de la Région de Bruxelles-Capitale à Shenzen, puis à la mission fédérale à Pékin et Shangaï en présence de la princesse Astrid. En 2021, son principal client fut la start-up carolo Venyo, pépite wallonne de l’aéronautique alors en quête d’un repreneur.

Accompagné de son conseil, Mme Diane Protat, avocate au barreau de Paris, Frédéric Baldan a déposé plainte mercredi 5 avril, au tribunal de première instance de Liège, directement entre les mains du juge Frenay. Le lobbyiste européen, qui réside non loin de Hannut en province de Liège, s’est constitué partie civile et évalue son préjudice moral à 50 000 euros. Il estime en effet que le comportement de la présidente von der Leyen a porté atteinte « aux finances publiques de la Belgique » et « à la confiance publique ».

Cette dernière est définie dans la plainte comme étant la « croyance collective dans l’État en tant que puissance institutionnelle de réalisation du bien commun ». En quelque sorte, en négociant sans mandat, seule et secrètement avec le big boss de Pfizer, à la place du gouvernement belge, la présidente de la Commission aurait sapé la confiance citoyenne dans la puissance publique de l’État belge.

Plainte contre Ursula von der Leyen : un contrat de 35 milliards d’euros

Quant aux finances publiques belges, elles auraient, selon le plaignant, été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer concernant un méga-contrat signé le 19 mai 2021 par la Commission et la firme américaine. Il s’agit du troisième contrat signé par l’exécutif européen avec l’entreprise new-yorkaise. Et c’est de loin le plus important : il porte sur 1,8 milliard de doses de vaccin, là où les deux premiers contrats avec Pfizer ne concernaient, chacun, « que » 300 millions de doses.

Ce troisième contrat pèserait 35 milliards d’euros s’il est pleinement exécuté. C’est le plus gros contrat de tous ceux signés par la Commission avec des firmes pharmaceutiques. En effet, comme le relève la Cour des comptes européenne, « entre août 2020 et novembre 2021, la Commission a signé 11 contrats avec huit fabricants de vaccins, permettant d’obtenir jusqu’à 4,6 milliards de doses de vaccins pour un coût total escompté proche de 71 milliards d’euros. »

Des commandes gonflées aux hormones

En juin 2022, une coalition de dix États membres d’Europe de l’Est réclamait une renégociation de tous ces contrats signés avec les fabricants, dont, forcément, le plus important d’entre eux avec Pfizer. La raison ? Les quantités de vaccins livrées dépassent largement les besoins des pays signataires. Résultat : tous ces stocks reçus et facturés ont pour effet de plomber les finances nationales de ces dix États membres.

Bref, lors des négociations préliminaires, de bonne foi ou sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, les commandes réalisées par la Commission semblent avoir été gonflées aux hormones. Cette observation concerne l’ensemble des 11 contrats dont celui qui, à lui seul, représenterait la moitié du budget global européen dévolu aux vaccins.

62% des vaccins belges « en trop »

Tous les États membres, dont la Belgique, ont donc des surplus. Les surplus belges sont de deux ordres : les stocks restants et les doses données aux pays en développement. Au 9 décembre 2022, les stocks de doses de vaccins contre le covid-19 disponibles dans le royaume s’élevaient à 13,5 millions de doses (dont 9,2 millions achetées à Pfizer), selon les chiffres publiés par l’Institut de santé publique Sciensano.

Quant au nombre de vaccins donnés via l’aide au développement, il s’élevait à 11,6 millions de doses (dont 2,5 millions de vaccins Pfizer) en date du 15 septembre 2022. L’Institut de santé publique souligne d’ailleurs que « la Belgique compte parmi les pays ayant fait proportionnellement don du plus grand nombre de doses de vaccins compte tenu de sa population ». Résultat des courses, la Belgique a acheté 25,1 millions de doses surnuméraires, soit 62% de l’ensemble des vaccins livrés. Près de la moitié de ces vaccins « en trop » (11,7 millions de doses) ont été acquis auprès de Pfizer.

Au total, fin 2022, la Belgique avait en effet reçu 40,4 millions de doses tous fabricants confondus. Au sein de ces livraisons, Pfizer se taille la part du lion avec 27,9 millions de doses, toujours selon Sciensano. Ainsi, près de sept vaccins sur dix livrés à la Belgique l’ont été par la firme dirigée par Albert Bourla.

Le CEO de Pfizer a confirmé à nos confrères du New York Times, fin avril 2021 juste avant la signature du méga-contrat, qu’il avait créé un vrai lien personnel avec la présidente de la Commission européenne. Il a déclaré avoir « développé une profonde confiance [avec elle], car nous avons eu des discussions approfondies ». Il a ajouté : « Elle connaissait les détails des variants, elle connaissait les détails de tout. Cela a rendu la discussion beaucoup plus engagée ».

Le 18 juin 2020, la Commission a signé un accord avec les 27 États membres. Cet accord autorise l’exécutif européen à conclure en leur nom des contrats d’achat anticipé (Advance Purchase Agreements ou « APA ») avec des fabricants de vaccins. L’accord met en place un comité de pilotage et des équipes de négociateurs dont les compositions sont précisées.

Or, souligne la plainte pénale entre les mains du juge Frenay, dans cet accord, « aucune attribution particulière n’est conférée à la présidente de la Commission, madame Ursula von der Leyen, qui n’est partie ni au comité de pilotage ni aux équipes de négociateurs. La présidente de la Commission ne pouvait donc se prétendre chargée de la conduite des négociations. »

Opacité et règles bafouées

Quoiqu’il en soit, la Cour des comptes européenne a épinglé ces négociations « en solo » de von der Leyen dans un rapport spécial sur l’acquisition des vaccins, publié en septembre dernier. « Nous n’avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE », peut-on lire en page 33. La gardienne des finances de l’UE avait demandé à la Commission de lui fournir, pour ce méga-contrat, la liste des experts scientifiques consultés et les conseils reçus, le calendrier des négociations, les procès-verbaux des discussions et le détail des modalités convenues. Elle n’a rien reçu.

La Cour des comptes européenne confirme en outre que les règles de négociation fixées par la Commission ont été bafouées par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l’acquisition de vaccins contre la COVID-19. »

Le Parquet européen a ouvert une enquête

Un auditeur de la Cour des comptes européenne, interrogé par le magazine Politico, a déclaré que les négociations préliminaires d’Ursula von der Leyen avaient été déterminantes pour les termes de l’accord final : « Les aspects essentiels des contrats ont été convenus de manière informelle. Ce n’est qu’après la conclusion de cet accord informel que le processus formel a pu se poursuivre. C’était vraiment essentiel pour les négociations. »

En octobre dernier, le Parquet européen (OEPP) a confirmé avoir ouvert une enquête sur l’ensemble du processus d’acquisition des vaccins anti-Covid-19 dans l’Union européenne. Sur le fond, rien n’a jamais filtré. Mais la nature des SMS échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla devrait logiquement constituer un des volets de cette enquête. Si ces messages ont effectivement été effacés du smartphone de la présidente de la Commission, une copie devrait toujours figurer dans celui d’Albert Bourla. Qui pourrait être saisi par le Parquet européen. Ou par le juge d’instruction liégeois.

source : Le Vif


EN COMPLÉMENTAIRE

Gros scandale Covid : L’UE a débloqué plus de 71 milliards d’euros pour acheter des vaccins

Sollicitée par des euro-députés européens et des personnalités politiques de premier plan, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, refuse, jusqu’à présent, à rendre publics les contrats de vaccins signés avec les labos. 

En attendant le verdict de la justice (car une plainte a été déposée par le New York Times pour que ces contrats soient publiés), voici ce que nous savons de cette affaire qui, depuis deux ans, alimente la chronique en Europe et déclenche une vive colère des citoyens et journalistes

Excellente lecture

***

L’Union européenne a dépensé plus de 71 milliards de dollars dans des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques pour se procurer des doses de vaccins.

Un pognon de dingue a été trouvé pour vacciner à tour de bras. Si l’Europe a, ces dernières années, fait de nombreux sacrifices pour supprimer des emplois faute d’argent, lors de la pandémie à Coronavirus, comme par hasard, des milliards de dollars ont été trouvés pour signer des contrats avec les labos.

Et la somme, dévoilée par le média américain Forbes, risque de déclencher l’immense courroux des antivax mais aussi des défenseurs des causes sociales qui n’ont cessé de dénoncer le piteux état de l’hôpital (français) par exemple où des milliers de lits ont été fermés ces dernières années.

En effet, d’après une information de Forbes publiée ce 12 septembre et lue par Lecourrier-du-soir.com, la Commission européenne a bien cassé sa tirelire en dépensant plus de 71 milliards d’euros dans des contrats signés avec des laboratoires. D’après cette source, cette somme a permis de garantir 4 milliards 600 millions de doses de vaccins pour les pays européens. Le média dit tenir cette information d’un rapport rendu public par le Tribunal des Comptes de l’UE.

L’information a été confirmée par le média espagnol, El Periodico. À en croire cette source, entre août 2020 et novembre 2021, l’Union européenne a passé 11 contrats avec 8 laboratoires pour un coût d’environ 15 euros la dose. Et ce n’est pas tout. La source ajoute qu’à la fin de l’année 2021, le coût s’élevait déjà à 71 milliards d’euros.

Et Pfizer remporte le gros lot. En effet, d’après les informations obtenues par le média espagnol, le géant américain Pfizer a été le plus choyé dans les contrats que l’UE a passés avec les labos. Ainsi, à lui seul, Pfizer a encaissé 2 milliards 400 millions d’euros dans trois contrats qui lui ont été accordés.

source : Le Courrier du Soir

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:Des nouvelles du procès contre Pfizer intenté par A. McCarthy et P. Najadi …et diverses infos protégées sur le scandale covid

Pascal Najadi

 

Pascal Najadi : « Notre procès, Ana McCarthy et moi, à la Cour suprême de l’État de New York, Manhattan, contre Pfizer Inc. est le seul au monde qui va de l’avant. Comme vous le savez peut-être, même les nations ne peuvent pas poursuivre Pfizer Inc. parce qu’elles ont signé des accords d’immunité. Cependant, Ana McCarthy et moi avons réussi à le faire… »

[videopress jnRrRvBg]

 


EN RAPPEL

VACCINS PFIZER:LE SCANDALE DES SMS CONTINUE

[videopress HSUDjET8]

 

 

Février 2023

Le quotidien américain New York Times vient d’attaquer la Commission européenne en justice pour obtenir le contenu des sms échangés entre sa présidente, Ursula von der Lyen et le PDG de Pfizer à propos de l’achat des vaccins contre le Covid par l’UE. Le journal américain, premier média à révéler l’affaire des SMS en avril 2021, cible les SMS que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a échangés avec Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Ces messages pourraient contenir des informations sur l’achat, par les États européens, de 1,8 milliard de doses de vaccins contre le Covid-19. Que cachent ces SMS ? Décryptage de l’affaire et de ses derniers développements avec la députée européenne Michèle Rivasi (Les Verts), vice-présidente de la Commission spéciale sur le Covid 19.

 


 

 

EN COMPLÉMENTAIRE

LE GRAND MENSONGE MONDIAL SUR LE COVID

[videopress Cx55tr8i]

 

[videopress 7il2KjyB]

 


AUTRES FAITS

L’exclusion des non vaccinés jusqu’au génocide se poursuit : exemple de l’OMS et de la France

[videopress dznJlPIi]

 

Il est clair, au moins depuis la crise du Covid-19, que des groupes entiers de personnes – c’est-à-dire les personnes non vaccinées – peuvent être exclus de la vie publique. L’exclusion des non vaccinés ne concernait pas seulement les activités « facultatives » pendant les loisirs, mais était également possible sur le lieu de travail ou dans une grande partie du commerce de détail. Il est probable que cela ait conduit certaines personnes à la limite de la survie. La prétendue protection des autres par le vaccin Covid-19 a été à l’origine de nombreuses mesures politiques contre les personnes non vaccinées. Car celui qui se vaccine protègerait aussi les autres. La vaccination serait ainsi quasiment un acte de solidarité avec les personnes âgées, les malades et les faibles.

Aujourd’hui, même le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, a dû l’admettre : Les vaccins ne protègent pas contre la contagion ! Lors d’une audition au Parlement européen à la mi-octobre 2022, la manager de Pfizer Janine Small a ouvertement admis que le vaccin n’avait pas été testé avant sa mise sur le marché pour savoir s’il empêchait la transmission du virus. On aurait manqué de temps.

Dès janvier 2022, le rapport hebdomadaire de l’Institut Robert Koch (RKI) indiquait que sur les 30 914 adultes atteints du variant Omicron recensés, 83% étaient vaccinés et que 26% d’entre eux avaient même reçu un rappel. Parmi les patients en soins intensifs, le taux de vaccination était de 68%.

Dans un commentaire daté du 2 décembre 2022, Christiane Cichy, rédactrice à MDR, est arrivée à la conclusion suivante : sans protection extérieure prouvée, l’obligation de vaccination, même dans le secteur de la santé, n’est pas défendable, ni d’un point de vue scientifique ni d’un point de vue juridique.

Et pourtant, l’exclusion des personnes non vaccinées n’a pas disparu ! Dans l’émission du 1er avril, Kla.TV a indiqué que depuis janvier 2023, sous l’impulsion de l’OMS, des codes sur le statut sanitaire et vaccinal Covid sont disponibles. De même, lors du sommet du G20 de 2022, il a été annoncé qu’un système de carnet de vaccination numérique mondial basé sur les normes de l’OMS serait mis en place. Cela autorise une exclusion et jusqu’à un génocide [explication : la destruction d’un groupe national, ethnique ou religieux en tant que tel – en tout ou en partie] des personnes non vaccinées !

Un autre exemple est celui de la France : tous les employés du secteur de la santé qui ont refusé la « vaccination Covid-19 » étaient suspendus depuis septembre 2021. Ce n’est que récemment, le 31 mars 2023, que le ministre français de la Santé, François Braun, a déclaré vouloir lancer « dans les prochains jours ou les prochaines semaines » le processus qui ouvrira la voie à la réintégration des soignants non vaccinés.

Cette suspension ne concernait pas seulement les médecins, les infirmiers et les aides-soignants, mais aussi les orthophonistes, les ergothérapeutes et les kinésithérapeutes, les sages-femmes, les pompiers, le personnel administratif des hôpitaux sans contact avec les patients, les cuisiniers des hôpitaux et des maisons de retraite, les chauffeurs de transport sanitaire et bien d’autres encore. Ces 15 000 employés environ n’ont pas été payés depuis leur suspension et n’ont pas eu accès aux allocations de chômage ou à l’aide sociale, car ils sont restés employés par leur employeur.

Parmi les 15 000 personnes suspendues, nombreuses sont celles qui ont trouvé un autre emploi, même sans l’autorisation de leur employeur. Alors que ces médecins, soignants en gériatrie, infirmiers, etc. ont dû chercher un petit boulot, il y avait une pénurie de personnel soignant.

Les personnes non vaccinées continuent d’être exclues dans plus de 50 pays dans lesquels il n’est pas possible d’entrer sans avoir été vacciné contre le Covid-19. Situation au 3 avril 2023.

Comme nous l’avons expliqué au début, l’exclusion des personnes non vaccinées ne peut se justifier ni d’un point de vue scientifique ni d’un point de vue juridique. Pourquoi l’exclusion ne s’arrête-t-elle pas pour autant ? En fin de compte, plus que des non vaccinés, ne s’agit-il pas plutôt de l’exclusion des « dissidents » qui ne sont pas prêts à se soumettre au diktat d’une opinion publique uniforme ?

De nombreux opposants à la vaccination ARNm, comme le médecin américain Dr Carrie Madej, vont même plus loin : il s’agit principalement d’injecter « à tout prix » dans le corps une substance qui a le potentiel de reprogrammer les personnes vaccinées dans le sens de l’agenda 2030 du FEM. Il s’agit de garder cela en vue et de s’opposer dès le départ à l’exclusion des personnes non vaccinées.

source : Kla.TV

 

 

La Gigantesque Arnaque du COVID 19:De nouvelles notes de service révèlent un accord secret entre les États-Unis et le Royaume-Uni pour dissimuler les effets secondaires du vaccin COVID

« Pourquoi sommes-nous enfermés dans un accord secret pour garder secrètes les informations sur les événements indésirables dans le contexte des vaccins ? », a demandé Fitton.

 

Le président de Judicial Watch, Tom Fitton, a déclaré que des documents récents obtenus par le groupe de surveillance montrent que les États-Unis étaient impliqués dans un accord secret avec le Royaume-Uni pour garder secrètes les informations sur les effets secondaires du vaccin COVID-19.

« Ils ont parlé de réactions anaphylactiques et d’événements indésirables dans le contexte du vaccin », a déclaré Fitton dans l’émission télévisée de mercredi Just the News, No Noise. « Ils ont échangé des informations avec leurs homologues britanniques. »

Ugur Sahin, PDG de la société allemande BioNTech – qui s’est associée à Pfizer pour développer un vaccin contre le COVID-19 en moins d’un an – affirme que le virus pourrait encore provoquer des épidémies dans dix ans, selon Yahoo News.

Judicial Watch a publié la semaine dernière un communiqué de presse faisant référence aux 57 pages de documents expurgés.

« Judicial Watch a annoncé aujourd’hui avoir reçu 57 pages de documents fortement expurgés du département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) montrant que deux jours seulement avant l’approbation par la FDA du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, une discussion entre les États-Unis et Les autorités sanitaires britanniques sur le vaccin COVID et « l’anaphylaxie », les régulateurs soulignant leur « accord mutuel de confidentialité » », a lu le communiqué de presse.

Fitton a déclaré que les informations révélées étaient pour le moins troublantes.

« Pourquoi concluons-nous un accord secret pour garder secrètes les informations sur les événements indésirables liés aux vaccins », a-t-il demandé. « Je trouve juste ça dérangeant. Les documents parlent d’eux-mêmes.

Fitton a ajouté que ce n’était pas la première fois que quelque chose comme ça se produisait.

« Ce n’est pas la première fois que nous voyons quelque chose comme ça », a-t-il déclaré. « Lorsque COVID a fait surface pour la première fois, nous avons découvert des documents montrant qu’il y avait un accord avec les Chinois dans lequel ils dictaient les conditions de non-divulgation et un accord en échange de notre capacité à y aller. Et il semble que nous voulions examiner les informations dont ils disposaient sur le virus à l’époque. Apparemment, ils n’étaient pas très enthousiastes à l’idée de nous le dire. »

SOURCE: DE NOUVELLES NOTES DE SERVICE DÉVOILENT UN ACCORD SECRET ENTRE LES ÉTATS-UNIS ET LA GRANDE-BRETAGNE POUR CACHER LES ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES DU VACCIN COVID


EN COMPLÉMENTAIRE

Des coïncidences accidentelles en suivant la route de l’argent sur Pfizer

N’oublions pas les 2 laboratoires « top secret » de Wuhan,gracieuseté du gouvernement français!

« Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! »* (celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par Dr Fauci, qui fait (accidentellement) la promotion du vaccin ! �
*« GlaxoSmithKline est (accidentellement) géré par la division financière de Black Rock, qui gère (par accident) les finances de l’Open Foundation Company (Fondation Soros), qui gère (par accident) la société française AXA ! »*
Soros possède (par accident) la société allemande Winterthur, qui a (par accident) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l’Allemand Allianz, qui (par coïncidence) a comme actionnaire Vanguard, qui (par coïncidence) est actionnaire de Black Rock, qui (par coïncidence) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d’investissement mondial. « Black Rock » est également (par coïncidence) un actionnaire majeur de MICROSOFT, détenu par Bill Gates, qui (par coïncidence) est actionnaire de Pfizer (qui – rappelez-vous ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l’OMS !
Vous comprenez maintenant comment une chauve-souris morte vendue sur un marché humide en Chine a infecté TOUTE LA PLANÈTE !« »
Maintenant, vous savez, transmettez-le jusqu’à ce que le monde entier le sache…

La Vérité  sort par de petits trous!

…a qui profite le crime!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du Covid-19: Des composés métalliques toxiques trouvés dans tous les échantillons de vaccin COVID

Un groupe de scientifiques allemands indépendants a trouvé des composants toxiques – principalement métalliques – dans tous les échantillons de vaccin COVID-19 qu’ils ont analysés, « sans exception » en utilisant des techniques de mesure médicales et physiques modernes.
Le groupe de travail pour l’analyse des vaccins COVID indique que certains des éléments toxiques trouvés à l’intérieur des flacons de vaccins AstraZenecaPfizer et Moderna 
n’étaient pas répertoriés dans les listes d’ingrédients des fabricants.

Les éléments métalliques suivants ont été trouvés dans les vaccins :

  –  Métaux alcalins : césium (Cs), potassium (K)
–  Métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), baryum (Ba)
–  Métaux de transition : cobalt (Co), fer (Fe), chrome (Cr), titane (Ti)
–  Métaux de terres rares : cérium (Ce), gadolinium (Gd)
–  Groupe minier/métal : aluminium (Al)
–  Groupe de carbone : silicium (Si) (en partie matériau de support/glissière)
–  Groupe oxygène : soufre (S)

Ces substances, en outre, « sont visibles au microscope à fond noir sous forme de structures distinctes et complexes de différentes tailles, ne peuvent être expliquées que partiellement par des processus de cristallisation ou de décomposition, [et] ne peuvent pas être expliquées comme une contamination due au processus de fabrication,  » ont découvert les chercheurs.

Ils ont déclaré que  leurs conclusions sont préliminaires.

Les résultats « s’appuient sur les travaux d’autres chercheurs de la communauté internationale qui ont décrit des résultats similaires, tels que le Dr Young, le Dr Nagase, le Dr Botha, le Dr Flemming, le Dr Robert Wakeling et le Dr Noak« , a déclaré le Dr. Janci Lindsay, Ph.D., une toxicologue non impliquée dans l’étude, a déclaré à Epoch Times.
« Le nombre et la cohérence des allégations de contamination à elles seules, associées au silence inquiétant des organismes mondiaux de sécurité et de réglementation, sont gênantes et déconcertantes en termes de ‘transparence’ et d’allégations continues de ces organismes selon lesquelles les vaccins génétiques sont ‘sûrs’« , a ajouté Lindsay.

 

La comparaison des cristaux dans le sang et dans le vaccin; à gauche, des formations cristallines se trouvent dans le sang des sujets testés vaccinés avec Comirnaty (BioNTech/Pfizer), les images de droite montrent que ces types de cristaux se trouvent également dans les vaccins Comirnaty.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Helena Krenn, la fondatrice du groupe, a soumis les conclusions aux autorités gouvernementales allemandes pour examen.

« Nous l’avions soumis aux participants du gouvernement et à d’autres adresses de journaux avec la plateforme open-debate.euuniquement en Allemagne, en Autriche et en Suisse », a déclaré Krenn à Epoch Times.

Deux autres découvertes importantes étaient que les échantillons de sang des vaccinés présentaient des « changements marqués » et que davantage d’effets secondaires étaient observés proportionnellement à « la stabilité de l’enveloppe des nanoparticules lipidiques« .

Une nanoparticule lipidique est une particule extrêmement petite, une membrane liposoluble qui est le cargo de l’ARN messager (ARNm).

Méthodologie

« En utilisant un petit échantillon d’analyses de sang vivant provenant d’individus vaccinés et non vaccinés, nous avons déterminé que l’intelligence artificielle (IA) peut distinguer avec une fiabilité de 100 % le sang des vaccinés et des non vaccinés. Cela indique que les vaccins COVID-19 peuvent affecter des changements à long terme dans la composition du sang de la personne vaccinée sans que cette personne soit consciente de ces changements ”, indique l’étude.

Les découvertes de changements physiologiques aigus et chroniques dans le sang des personnes inoculées avec les vaccins, systématiquement discernées via un logiciel d’IA, « fait également écho aux découvertes de nombreux autres chercheurs et soutiennent les affirmations de contamination et/ou d’adultération« , a déclaré Lindsay.

« Nous avons établi que les vaccins COVID-19 contiennent systématiquement, en plus des contaminants, des substances dont nous ne sommes pas en mesure de déterminer le but« , indique leur étude.

Le groupe est composé de 60 membres, dont des médecins, des physiciens, des chimistes, des microbiologistes et des praticiens de la santé alternative, soutenus par des avocats et des psychologues.

Objets anormaux dans le vaccin vectoriel Janssen de Johnson & Johnson. Il est à noter que des objets de ce type n’ont pas été retrouvés dans tous les échantillons.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les scientifiques affirment que leurs résultats ont été confirmés à l’aide des techniques de mesure suivantes : « Microscopie électronique à balayage, spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie, spectroscopie de masse, analyse de plasma à couplage inductif, microscopie à fond clair, microscopie à fond noir et diagnostic d’images de sang vivant, ainsi que l’analyse d’images à l’aide de l’intelligence artificielle. ”

Les analystes expliquent qu’ils ont coopéré avec d’autres groupes dans différents pays qui ont mené des enquêtes similaires et ont obtenu des résultats conformes aux leurs.

« Les résultats de notre analyse des vaccins peuvent, par conséquent, être considérés comme validés de manière croisée« , indique le rapport de synthèse de leurs conclusions.

« Il faut reconnaître bien sûr que [le travail du groupe de travail allemand] est décrit comme des «résultats préliminaires», non encore publiés dans une revue à comité de lecture et cette chaîne de responsabilité ainsi que l’identité de bon nombre de ces scientifiques sont inconnues.

« Cependant, dans ce climat fortement chargé et censuré en ce qui concerne les défis à la » sécurité et à l’efficacité « des vaccins génétiques, je peux moi-même attester des difficultés à mener la recherche fondamentale, et encore moins à publier cette même recherche chez une revue à comité de lecture, afin de répondre à ces questions et de diffuser les résultats ”, a déclaré Lindsay.

Le vaccin Comirnaty de BioNTech/Pfizer présente
une diversité et un grand nombre d’objets insolites.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le grand nombre de plaquettes et de formes cristallines peut difficilement être interprété comme des impuretés. Ils apparaissent régulièrement et en grand nombre dans tous les échantillons. Crédit photo : Helen Krenn

Astra ZenecaModernaPfizer et J&J n’ont pas répondu à une demande de commentaire.

Source: The Epoch Times


 

UNE INVITATION À VISITER NOS BOUTIQUES EN LIGNE

Passez une bonne journée,mes ami(e)s!