Il y a un an, l’Algérie entrait en résistance

 

 

Le Hirak, ce mouvement de résistance populaire réclame, chaque vendredi, et sans relâche depuis un an, la fondation d’une nouvelle démocratie en Algérie. Cette persistance dans le temps d’une contestation hebdomadaire, témoigne-t-elle de l’inefficacité de cette opposition ? Le Devoir a posé la question à la politicologue Louisa Dris-Aït Hamadouche, qui enseigne la science politique à l’Université d’Alger.

Un an de contestation dans la rue et toujours pas de changement concret dans le système politique algérien : le Hirak est-il un échec ?

 

Il est normal qu’avec un objectif aussi radical, aussi total qu’un changement profond de système politique, le Hirak n’ait pas encore atteint son objectif. La nature de ce mouvement, qui a fait le choix du pacifisme plutôt que des émeutes et de la violence, s’inscrit dans un temps long et comprend de nombreuses étapes, dont les premières sont à peine franchies.

«Un des points forts de ce mouvement est d’avoir donné aux Algériens un sentiment nouveau d’eux-mêmes», affirme la politicologue Louisa Dris-Aït Hamadouche, qui enseigne la science politique à l’Université d’Alger.

Nous ne sommes pas dans une configuration de forces politiques et sociales appelant à une rupture immédiate, mais plutôt à une transition étalée dans le temps, un peu sur le modèle de l’émancipation espagnole ou de plusieurs pays d’Amérique du Sud.

 

Quelles sont les premières étapes que le Hirak a permis d’atteindre ?

 

Un des points forts de ce mouvement est d’avoir donné aux Algériens un sentiment nouveau d’eux-mêmes. Ils se voient aujourd’hui de façon différente qu’avant le 22 février 2019. Dans les 20 années qui ont précédé la naissance de ce mouvement, ils s’étaient installés dans une passivité inconfortable et une colère tue quant à une situation politique qui se dégradait mandat après mandat sous l’ère du président Abdelaziz Bouteflika. Cela les a amenés à se détacher de la vie politique, de la vie associative, des élections locales et aujourd’hui, par ce mouvement de masse, ils s’y reconnectent. Les Algériens ont également retrouvé une forme de vivre-ensemble que le contexte sécuritaire et politique de la décennie noire [de 1991 à 2002] avait beaucoup affaibli. Le Hirak a rapproché les régions de l’Algérie autour d’un objectif commun, a transcendé les distances, les idéologies, les appartenances régionales et identitaires. Il a créé une harmonie nécessaire désormais au bien-être des Algériens.

 

Cette harmonie est-elle à même de porter les revendications du mouvement ?

 

Elle le fait déjà. Certes, en décembre dernier, l’Algérie a connu un changement de régime [avec l’élection à la présidence d’Abdelmajid Tebboune, au terme d’une campagne largement boudée par les Algériens et contestée par le Hirak], mais pas un changement de système politique. Sauf que le ton du régime a changé. Le nouveau président fait référence au Hirak comme quelque chose d’extrêmement positif. Pour lui, ce mouvement a été salvateur. Il a été l’acteur social et politique qui a sauvé l’État d’une dérive dangereuse après la démission de Bouteflika, selon lui. Parallèlement, le Hirak a commencé à grignoter les ressources de la résilience du système politique, comme jamais dans l’histoire du pays depuis son indépendance il y a près de 58 ans. Même le terrorisme des années 1990 n’y était pas arrivé. Il l’a fait en réussissant à mettre à nu les contradictions de ce système et en obligeant, entre autres, les figures du pouvoir réel en Algérie [l’armée, la police, les services de renseignement…] à devenir le pouvoir apparent. Ce sont les grandes réussites de ce mouvement qui préparent un peu plus la voie en direction d’un effondrement du système politique.

De mouvement de contestation, le Hirak peut-il devenir un mouvement de proposition ?

 

C’est tout l’enjeu de la deuxième année du Hirak : formuler des propositions réfléchies et concrètes pour faire entrer le pays dans une transition démocratique. Mais cela reste encore compliqué dans un pays où l’organisation des forces politiques est toujours contrainte par le pouvoir exécutif. Hormis les manifestations du vendredi, le reste de l’espace public n’est toujours pas ouvert à l’opposition. Les organisations de la société civile ne peuvent pas se réunir en dehors de leur siège et restent tributaires d’autorisations pour s’exprimer sur la place publique accordées par les autorités locales. Sans compter que le maintien de symbole politique en détention [c’est le cas de plusieurs figures de l’opposition liées au Hirak] est un obstacle majeur à la normalisation de la vie politique en Algérie. Pour les hirakistes, il est inconcevable de participer à la vie politique tant qu’il y aura des prisonniers d’opinion. Or, l’ouverture des espaces de liberté dépend de la volonté du gouvernement. Autre difficulté : les Algériens ne font toujours pas confiance aux personnes qui incarnent l’autorité. Le gouffre entre gouvernant et gouverné est abyssal. Nous commençons à peine à sortir de cette crispation, et cela va encore prendre du temps.

Libéraux, progressistes, islamistes, conservateurs s’unissent au sein de ce mouvement. Cette diversité, qui s’exprime aussi sur fond de divergences idéologiques, peut-elle nuire à la suite des choses ?

 

La force du Hirak, c’est son côté rassembleur. Et c’est aussi ce qui va assurer sa transformation, de mouvement de contestation hétérogène en forces politiques homogènes. La chose ne va être pas problématique tant que ces forces restent unies vers l’objectif commun de la transition démocratique et n’essayent pas d’entrer dans un jeu politique dont elles ne maîtrisent pas les règles. Il y aurait un risque élevé de tenter l’aventure des élections avant que les règles du jeu politique n’aient pas été complètement assainies. Et l’échéance des législatives [prévues d’ici la fin de 2020] devrait constituer un premier test pour le Hirak.


Très forte mobilisation à Alger pour le 1er anniversaire de la contestation populaire

Plus massive que les derniers vendredis, une foule compacte de manifestants défile depuis le début d’après-midi au coeur d’Alger.

 

Les Algériens sont descendus en masse lors du 53e vendredi consécutif, pour entretenir, à la veille de son premier anniversaire, la flamme d’une contestation inédite qui aura contraint Abdelaziz Bouteflika à démissionner, mais sans réussir à changer le « système » au pouvoir depuis l’indépendance.

Plus massive que les derniers vendredis, une foule compacte de manifestants —dont le nombre est difficile à évaluer— défile depuis le début d’après-midi près de la Grande Poste, au coeur d’Alger, point de rassemblement emblématique depuis un an, selon un journaliste de l’AFP.

Elle a été rejointe par un interminable cortège venu du quartier populaire de Bab el Oued, a de son côté constaté une autre journaliste de l’AFP.

« Nous ne sommes pas venus faire la fête, nous sommes venus vous dégager ! », scandent les manifestants, parmi lesquels des familles, au milieu d’un important dispositif policier antiémeute.

« Le peuple veut la chute du régime », « le gang des bandits doit partir », lancent-ils également.

Plusieurs organisations citoyennes et partis ont appelé à « la mobilisation populaire pour disqualifier l’agenda de la régénération du + système + et jeter les bases d’une nouvelle République ».

« C’est quoi le contenu de la 2e République ? C’est une république démocratique et sociale qui garantit toutes les libertés », renchérit un manifestant, Samir Larabi.

« Continuer la mobilisation »

Selon les réseaux sociaux, des barrages filtrants ont été mis en place dès jeudi soir aux entrées de la capitale pour compliquer l’accès des Algériens venus d’autres régions.

Mais cela n’a pas empêché Bachir, 50 ans, de rejoindre Alger depuis Aïn Defla, à 150 km de route, pour « fêter le premier anniversaire du + Hirak + (“mouvement”, NDLR) et renouveler les revendications de la contestation ».

Des marches imposantes se déroulent également dans les grandes villes de province, selon les réseaux sociaux.

Il y a un an, le vendredi 22 février 2019, de nombreux Algériens, qu’on disait alors résignés et dépolitisés, ont envahi soudainement les rues à travers le pays, contre la volonté annoncée du président Bouteflika — quasi invisible et muet depuis un AVC en 2013 — de briguer un 5e mandat.

Après six semaines de manifestations, le « Hirak » a poussé l’état-major de l’armée, pilier du régime, à exiger et obtenir le 2 avril la démission de M. Bouteflika.

Assurant ouvertement le pouvoir, le haut commandement militaire a toutefois balayé ensuite les revendications sur un changement du « système », et multiplié les arrestations.

Dans un entretien jeudi soir avec la presse nationale, le président Abdelmadjid Tebboune, ex-fidèle de M. Bouteflika élu en décembre lors d’une présidentielle massivement boudée, a rendu hommage au « Hirak » qui a empêché « l’effondrement total » du pays. Il a assuré qu’il allait mettre en oeuvre « l’ensemble de ses revendications ».

Mais, dans un « Manifeste du 22-Février » publié jeudi et distribué vendredi par les manifestants, des organisations proches du « Hirak » exhortent à « continuer la mobilisation ».

Les slogans restent d’actualité, rappelle le texte, qui exprime « une volonté de rupture avec les institutions actuelles » et le refus « que le processus de changement soit confié au pouvoir en place ».

Ce manifeste dénonce aussi la poursuite des « mesures répressives » contre journalistes, militants et manifestants et rappelle que les Algériens « veulent que leur pays soit gouverné et géré dans la transparence ».

Un test

L’ampleur de la mobilisation vendredi s’annonce comme un test, alors que le « Hirak » est confronté à de nombreux défis, face à un régime qui reprend des forces.

Depuis la présidentielle, « il y a une façade constitutionnelle et démocratique, mais en fait c’est exactement ce qu’il y avait avant », estime Dalia Ghanem, chercheuse au Carnegie Middle East Center de Beyrouth, évoquant « un régime qui reste aux mains de l’institution militaire ».

La capacité du régime « à changer sans changer et sa résilience vont être testées dans les prochaines années », poursuit Mme Ghanem, soulignant que les faibles prix des hydrocarbures vont l’empêcher de puiser dans la manne pétrolière pour acheter la paix sociale.

Largement informelle, sans structure organisée ou dirigeants identifiés, la contestation doit à son tour se repenser au risque de s’essouffler.

Doit-il accepter la « main tendue » par le président Tebboune ? Doit-il se structurer, au risque d’afficher au grand jour ses clivages et ses contradictions ?

Nouvelle donne

Quoi qu’il en soit, le « Hirak » a déjà changé la donne, après 20 ans de présidence Bouteflika durant laquelle toute opposition réelle a été méthodiquement découragée, entravée, bâillonnée ou « cooptée ».

Surtout, avec le mot d’ordre « pacifique », il a « réussi à faire en sorte qu’il n’y ait pas de confrontation sanglante ni de répression brutale », souligne l’historienne Karima Dirèche, directrice de recherche au CNRS (France).

La contestation a également rassemblé les Algériens en dépassant les clivages, et souligné l’émergence d’une « nouvelle génération très politisée et qui sait ce qu’elle veut », note Dalia Ghanem.

L’année qui s’ouvre va permettre « de prendre la mesure de ce que les Algériens souhaitent collectivement […]. Et ça prendra le temps que ça prendra », appuie Mme Dirèche.

 

 

 

 

 

Douce France : L’explosion des impôts sur les ménages depuis 2008 par les chiffres

L’explosion des impôts sur les ménages depuis 2008 par les chiffres By , http://www.lecourrierdesstrateges.fr novembre 25, 2018 Éric Verhaeghe Y a-t-il eu ou non une explosion des impôts sur les ménages depuis 2009? Assez curieusement, alors que les Gilets Jaunes bloquent les rues depuis plusieurs jours pour exprimer leur ras-le-bol fiscal, aucune étude posée n’a examiné clairement ce sujet. […]

via Douce France : L’explosion des impôts sur les ménages depuis 2008 par les chiffres — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Ré-écrire l’histoire: Vidéo d’archive montrant l’accueil des troupes allemandes en Union Soviétique en 1941

Alors que les forces allemandes pénétraient dans l’Union soviétique en 1941, beaucoup de gens accueillaient les troupes comme des libérateurs de la tyrannie bolchevique.

L’accueil a été particulièrement chaleureux dans les pays baltes, l’ouest de la Biélorussie et l’ouest de l’Ukraine. Comme le montre cette vidéo de quatre minutes (pas de narration), des personnes reconnaissantes expriment leur gratitude pour les troupes qui ont libéré de la dure domination soviétique et ont rétabli les anciens droits. Les soldats allemands, ainsi que les troupes des nations alliées de l’Allemagne, aidaient souvent les habitants à réparer les maisons et les bâtiments, à réparer les infrastructures endommagées et à rouvrir les églises que les bolcheviks avaient fermées ou détruites.

 

 

 

L’annus horribilis des élites — Cellule44

2016, la fin de leur monde Françoise Bonardel Philosophe et essayiste Publié le 16 décembre 2016 / Politique En 2016, les “élites” de Londres, New-York ou Paris ont toutes été ridiculisées par leurs peuples. Autant d’incompétence, d’arrogance et de surdité, ça a fini par se voir… Jennifer Lopez et Marc Anthony aux côtés d’Hillary Clinton […]

via L’annus horribilis des élites — Cellule44

L’algérie, c’est lui aussi, le grand kateb Yacine — histoireetsociete

je l’ai rencontré un soir chez des amis, dans les coupes de vin l’hotesse avait glissé quelques fleurs de jasmin… mais écoutez le plutôt…

via L’algérie, c’est lui aussi, le grand kateb Yacine — histoireetsociete

Vidéo:Reconquête française et un lien pour joindre la résistance catholique française

 

Drapeau français

 

Comme nous l’observons sur cette courte vidéo trouvée sur internet, l’ère du catho fragile style « veilleurs sans violence » est finie, et la sainte colonisation reprend même en commençant par une grosse patate christique. Sus aux ennemis du Christ Roi qui pendant un « je vous salue Marie » insulte les cathos?

Si cette vidéo vous a plus, n’hésitez pas à aider le collectif des résistants Sainte rita sur cette page : Sainte Rita, priez pour nous

 

Pour joindre la résistance catholique française: Reconquête Française

 

Vidéo: des propositions pour le Québec partie 1

 

Proposition bbbb

Je commence aujourd’hui une série d’émissions afin de faire davantage connaître la vision du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile ainsi que le Front national du Québec et le Mouvement Mondial de Désobéissance Civile.

Aujourd’hui: Des propositions pour le Québec partie 1.

 

Résistance à l’empire: Le peuple japonais en lutte pour conserver son droit constitutionnel de “renoncer à la guerre pour l’éternité” prévu dans l’article 9 de leur constitution…

Résistance à l’empire: Le peuple japonais en lutte pour conserver son droit constitutionnel de “renoncer à la guerre pour l’éternité” prévu dans l’article 9 de leur constitution….

Ère Nouvelle:Victoire du peuple grec contre la tyrannie de l’Union Européenne et les banquiers de Rotschild

Malgré une campagne de terreur et de chantage contre eux, en ce dimanche 5 Juillet 2015, le peuple grec a voté par une marge de plus de 61% à moins de 39% (oui), de ne pas se soumettre au pouvoir du tyran Zeus, de ne pas soumettre volontairement à l’austérité génocidaire européenne  basée sur une dette illégitime imposée frauduleusement, comme exigé jadis par l’Empire britannique au peuple américain et au peuple québécois. Leur vote de «non» est un «oui» retentissant à un avenir, pas seulement pour les Grecs, mais pour l’humanité toute entière , même si cependant aussi  incertaine que l’avenir puisse-être en ce moment.

 

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s'adresse aux électeurs, au soir de le victoire du "non" au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’adresse aux électeurs, au soir de le victoire du « non » au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.

Immédiatement après avoir entendu les résultats du vote, j’ai compris que ce vote ne sera pas seulement  valable pour avoir des conséquences pour la Grèce uniquement. Le vote a des conséquences pour le monde, et surtout pour la région trans-atlantique.

Le résultat du non majoritaire grec aura d’énormes conséquences pour Stephen Harper et pour le Canada qui est le souteneur et le « faire-valoir » de la volonté mortuaire de l’Empire Britannique en Amérique du Nord.Il faut être idiot pour croire que le Canada est une démocratie  au sens large du terme.Nous ,le peuple québécois, connaissons fort bien comment ça marche cette démocratie  totalitaire du système parlementariste canadien.En 1995,lors du dernier référendum sur la souveraineté du Québec,on a donné leur citoyenneté canadienne à plus de 26,000 immigrants nouveaux (dont plusieurs terroristes recherchés par le FBI et la CIA américaine) en leur demandant de voter non au référendum ,au Québec.Contrairement au non grec,un vote non lors du référendum québécois sur la souveraineté signifiait que nous allons continuer à subir la honte,l’invasion,l’assimilation culturelle,politique et sociale et à travailler en esclave sur notre propre terre.Ensuite est ressortie le scandale des commandites ou des centaines de millions de dollars ont été détournés aux profits des amis du Parti libéral du Canada.Ensuite,Jean Chrétien ,notre Quisling national,s’est débarrassé de Jean Charest,alors chef du Parti Progressiste-Conservateur en lui  donnant une belle enveloppe brune pour qu’il abandonne son poste pour devenir chef du Parti libéral du Québec.Personne ne voiulait plus devenir chef de ce parti politique contrôlé par le crime organisé et Jean Charest va  édifier  la gérance de l’état autour de la corruption et de la collusion politique.Actuellement,en 2015,le Parti libéral du Québec fonctionne sur la loi de l’omerta et si demain-matin,je deviendrais premier ministre ou président du Québec,je ferais dissoudre ce parti politique ainsi que tous les autres  élu(e)s de l’Assemblée nationale tout en déclenchant une importante enquête publique.La totalité des  hauts fonctionnaires de ce gouvernement seraient mis en état d’arrestation et jugé.J’embaucherais de jeunes finissants  collégiaux ou universitaires pour les remplacer,car le meilleur moyen pour ne pas  choisir une « pomme pourrie » ,c’est de la choisir verte dans l’arbre.

Corruption dddd

La seule façon de rémédier à l’institualisation du crime organisé,au Québec comme  dans beaucoup de pays contrôlé par des sociétés secrètes (comme en France,en Angleterre,etc) est d’abattre ces institutions politiques en marchant pacifiquement,mais résolument,la tête haute en oubliant la peur…sur notre Assemblée Nationale.Il faut réclamer la démission en bloc de ces gouvernements et punir leurs petits amis.

Le gouvernement et le peuple grec ont réussi dans leur référendum en le déclenchant rapidement…Ils  n’ont pas laisser le temps à l’Union Européenne pour démolir leur unité et leur résolution de vouloir changer quelque chose chez eux:ils sont souverains et ils ont profité de cette souveraineté!

Une mauvaise fréquentation...
Une mauvaise fréquentation…Arthur Porter  et Stephen Harper.

Tandis que le Québec est la dernière Colonie survivante de l’Empire Britannique …administrée par les néolibéraux,comme en Europe! 


VERS UNE SECONDE RÉVOLUTION AMÉRICAINE ET LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

 

La question fondamentale pour le peuple américain est : qu’est ce qu’Obama va faire? Ce vote aura des conséquences pour Obama, parce qu’il est une simple marionnette de l’Empire britannique et de Wall Street, qui seront tous deux durement touché par le vote grec.

En Allemagne, la chancelière allemande Angela Merkel et le ministre allemand des Finances Wolfgang Schaeuble sont dans le pétrin. L’économie allemande est  en train de plonger vers le bas. Tout allemand sain d’esprit en  viendra à une conclusion:se débarrasser du duo de  Merkel et Schäuble. Du point de vue de l’économie allemande, aucune autre conclusion raisonnable n’existe. L’Allemagne est pratiquement le seul pays producteur qui reste en Europe. Si l’Allemagne ne veut  pas se suicider, il n’a pas d’autre alternative que de se débarrasser de Merkel et Schäuble maintenant. Ils ne sont pas les dépenses Allemagne peut continuer à transporter. L’économie allemande est déjà en chute libre. Combien de temps l’Allemagne peut survivre sous sa mauvaise direction actuelle?

Hillary Clinton recouverte d'un tchador.
Hillary Clinton recouverte d’un tchador.

Et d’ailleurs, combien de temps les Etats-Unis peuvent survivre sous  la mauvaise direction d’Obama? …ce n’est surement pas Hillary Clinton et ses petits amis terroristes qui vont améliorer la situation!

Il faut souligner  que nous pouvons nous attendre à des changements soudains au niveau mondial immédiatement …et dans peu de temps. Il y aura un instinct de punir la Grèce, pour ne pas perdre la face …en ce qui touche l’Union Européenne.

Les changements seront de nature mondiale, frappant principalement la région transatlantique. Soyez prêt parce que l’enfer peut en  sortir. Le 7 Juillet, Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) de la  New Development  Bank seront officiellement lancé. Les 8 et 9  Juillet 2015, les nations BRICS se réuniront en Russie. Est-ce que les laquais de l’Empire britannique vont tenter de forcer la Grèce à sortir de la zone euro? Si oui, la Grèce va-t-elle  rejoindre les BRICS? Ou assisterons-nous à une tentative pour essayer de maintenir la Grèce dans la zone euro? D’après moi,les américains et les européens vont tenter de faire renverser  le gouvernement légitime par  leur méthode d’infiltration:une révolution colorée de type néo-nazi,comme en Ukraine!De toute façon, la question n’est pas la Grèce en soi. La question est la faillite de la région trans-atlantique dans son ensemble. Comme plusieurs économistes l’ont souligné: il n’y a pas de solution unique, mais plutôt il ya un ensemble de complications. Il y aura un effet global. Les marchés réels ne sont pas limités par tous les moyens à l’Europe. Les activités financières sont de nature mondiale.

Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce. Il nous faut aussi un front national...au Québec pour oser,nous aussi!
Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce.
Il nous faut aussi un front national…au Québec pour oser,nous aussi!

Par conséquent, la crise doit être examiné non pas de bas en haut, mais plutôt de haut en bas. Pour ce faire, vous avez à vous extraire de votre entourage local. Nous sommes confrontés à une crise mondiale, pas une crisette  locale. Même une réduction de la dette grecque ne suffirait pas à résoudre la crise.

Comme l’ont fait remarqués quelques économistes et politiciens américains, ce qui est requis est de réimposer la législation Glass-Steagal  de Franklin Roosevelt aux États-Unis et dans le monde.


 

 

DÉFINITION DU GLASS-STEAGALL ACT

Le Glass-Steagall Act est une loi, passée par le Congrès américain pendant la Grande Dépression des années 1930, promulgant la séparation des activités d’investissement et des activités commerciales des banques.

La loi visait à protéger les banques commerciales, qui acceptent les dépôts des épargnants et accordent des prêts aux particuliers et aux entreprises, des risques pris par les banques d’investissement.

La loi Glass-Steagall est abrogée en 1999 sous l’administration Clinton, principalement pour permettre la naissance d’un géant de la banque : Citigroup. De nombreux experts s’accordent à dire que l’abrogation du Glass-Steagall Act a contribué à la crise financière de 2008.

Bill Clinton est un membre important du groupe de Bilderberg et est à la solde des Illuminatis.


 

Comme l’ont  souligné  de nombreux économistes, absolument rien n’est fixé. Tout ce que vous comptez come sur ,en terme de valeurs,pourrait disparaître en quelques jours. Le monde entier pourrait être chamboulé.

Par conséquent, l’approche qui doit être prise est d’aller pour le centre de l’action. Par exemple,commencez par le centre galactique. Vous devez regarder la planète dans son ensemble, sous implications galactiques. Vous devez comprendre l’existence de ce point de vue de l’homme (par l’homme). Les processus qui régissent la galaxie déterminent tout. Vous devez aller de l’ensemble au particulier, et non pas du particulier à l’ensemble. La galaxie a des considérations multiples, dont l’humanité ainsi apprécie le bien que dans une mesure limitée.Il ne reste pas assez d’années à vivre pour  les Humains de la terre afin de comprendre  un seul pour cent (1%) des règles qui régissent l’univers.

Le mot de la bouche de Satan est « être pratique, » quand en fait ce qui est réellement nécessaire est d’être créatif! Il ne faut jamais oublier que la pensée est la création…et non pas l’inverse!

On en sait de plus en plus sur les dimensions des problèmes à résoudre. Comme nous explorons ces dimensions, nous devenons plus qualifié pour traiter correctement les problèmes auxquels fait face l’humanité,maintenant. Pour ce faire, Nous,le peuple des Humains de la Terre, devons nous développer davantage pour acquérir  des compétences suffisantes pour prendre des décisions à l’échelle mondiale.Il nous faut remplacer la gérance maladroite des Maîtres actuels du Monde: les Illuminati et le Nouvel Ordre Mondial.

Le peuple grec  criant sa victoire!
Le peuple grec criant sa victoire!

Ceci nous montre  l’importance de la musique classique. La façon dont nous devons  penser à un moment de crise mondiale, comme nous sommes maintenant confrontés, est de la mettre du point de vue de la musique classique,afin de la comprendre. Le principe musical classique n’est jamais trouvé dans les notes simples en tant que telles. C’est une question de placement. Le « vraiment » grand compositeur classique met son identité( ce que Beethoven a fait), dans une mission personnelle pour améliorer la condition humaine, en élevant l’esprit humain pour être en harmonie avec le principe musical du monde, pour être en concordance avec le principe créatif de la galaxie.

Depuis le (ou vers le) 21 décembre 2012,nous avons été mis en diapason avec le centre de notre galaxie,suivant le calendrier maya.De nombreuses personnes se sont fait du capital médiatique en parlant de fin du monde,mais en réalité,il fallait parler du début de l’Ère Nouvelle.

Selon Le gouverneur de la Louisiane :la rébellion se préparait contre Washington

Bobby Jindal
Bobby Jindal

 

Le gouverneur de la Louisiane Bobby Jindal,  a samedi soir,  accusé le président Barack Obama et d’autres démocrates de mener des guerres contre la liberté et l’éducation religieuse et a déclaré que la rébellion se prépare aux Etats-Unis avec des gens prêts à « une prise de contrôle hostile » de la capitale de la nation.

​Jindal a parlé lors de la conférence annuelle organisée par la foi et Freedom Coalition, un groupe dirigé par l’activiste chrétien de longue date Ralph Reed. Les organisateurs ont déclaré plus de 1000 leaders évangéliques ont assisté à la rencontre de trois jours. Fonctionnaires républicains à travers le spectre politique concèdent que les électeurs évangéliques continuent à jouer un rôle essentiel dans la politique de GOP.

Le gouverneur de la Louisiane Bobby Jindal,  a samedi soir,  accusé le président Barack Obama et d’autres démocrates de mener des guerres contre la liberté et l’éducation religieuse et a déclaré que la rébellion se prépare aux Etats-Unis avec des gens prêts à « une prise de contrôle hostile » de la capitale de la nation.

« Je peux sentir en ce moment un brassage de rébellion parmi les Etats-Unis », a déclaré Jindal, « où les gens sont prêts pour une prise de contrôle hostile de Washington, DC, pour préserver le rêve américain pour nos enfants et nos petits-enfants. »

Le gouverneur a déclaré qu’il y avait une « guerre silencieuse » sur la liberté religieuse étant combattu aux États-Unis – un pays qu’il a dit a été construit sur cette liberté.

« Je suis fatigué de la gauche Ils disent qu’ils sont pour la tolérance, ils disent qu’ils respectent la diversité La réalité est la suivante:.. Ils respectent tout le monde sauf si vous êtes en désaccord avec eux », a t-il dit. « La gauche essaie de nous faire taire et je suis fatigué de lui, je ne vais pas le prendre plus. »

Plus tôt cette semaine, Jindal a signé un décret pour bloquer l’utilisation de tests liés au niveau d’éducation de base commune dans son état, une position privilégiée par les partisans du Tea Party et les conservateurs. Il a dit qu’il continuerait à lutter contre les tentatives de l’administration pour mettre en œuvre de base commun.

«Le gouvernement fédéral n’a pas de rôle, pas le droit et pas de place à dicter des normes dans nos écoles locales dans ces 50 États des États-Unis d’Amérique », a déclaré Jindal.

Jindal utilisé l’humour pour critiquer l’administration Obama sur plusieurs fronts, en faisant référence à l’échange de prisonniers Bergdahl et l’attaque meurtrière sur la mission américaine à Benghazi, en Libye.

« Sommes-nous témoins de ce moment le plus radicalement, très libéral, président idéologique de notre vie entière ici aux États-Unis d’Amérique, ou assistons-nous le président le plus incompétent des États-Unis d’Amérique dans l’histoire de nos vies? Vous savoir, c’est une question difficile « , at-il dit. «J’ai longuement réfléchi à ce sujet Voici la seule réponse que je suis venu avec, et je vais citer Secrétaire Clinton:.` Quelle différence cela fait-il? « ‘

La conférence a comporté la plupart des républicains bien connus qui envisagent une course présidentielle 2016, y compris gouverneur du New Jersey Chris Christie, sénateur de Floride Marco Rubio et Kentucky sénateur Rand Paul. Jindal devrait annoncer après les élections de mi-mandat Novembre si oui ou non il va lancer une candidature présidentielle.

 

Sources: Les Moutons enragés