Je commence aujourd’hui une série d’émissions afin de faire davantage connaître la vision du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile ainsi que le Front national du Québec et le Mouvement Mondial de Désobéissance Civile.
Aujourd’hui: Des propositions pour le Québec partie 1.
On essuyait ou on retenait ses larmes, jeudi matin,le 3 septembre 2015, sur la campagne électorale.
L’image du petit Syrien noyé et le lien de sa famille avec le Canada ont rattrapé les chefs de parti qui ont dû s’écarter des scénarios prévus pour la 33e journée sur la route et commenter la tragédie.
Un des oncles d’Alan Kurdi et ses enfants avaient cherché, en vain, à se réfugier au Canada, selon la tante de l’enfant, une femme qui vit en Colombie-Britannique. Le petit garçon, son grand frère et sa mère sont morts noyés en tentant de rejoindre les côtes européennes.
Contrairement à ce qui avait d’abord été rapporté, la famille d’Alan n’a jamais soumis une demande au Canada, selon Tima Kurdi, la tante, qui a plutôt cherché à parrainer la famille d’un autre de ses frères.
Alors qu’une de ses candidates de la région de Montréal essuyait ses larmes, le chef libéral Justin Trudeau a blâmé, sans détour, le gouvernement conservateur pour le sort de la famille de l’enfant noyé.
«Ce gouvernement a ignoré les requêtes des ONG canadiens, des partis d’opposition, de la communauté internationale qui, tous, croient que le Canada doit en faire plus et aurait dû en faire plus», a reproché M. Trudeau.
Manifestement ému lui aussi, M. Trudeau a renouvelé son appel pour l’accueil immédiat de 25 000 réfugiés syriens, dans un premier temps. Il a reproché à Stephen Harper et à son ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, Chris Alexander, de s’être traîné les pieds dans ce dossier en général, et dans le cas particulier de la famille Kurdi.
«C’est à eux d’expliquer aux Canadiens pourquoi ils ont choisi de rester à l’écart alors que cette tragédie humaine prend des proportions inimaginables de l’autre côté de la mer», a-t-il dit.
Son rival néo-démocrate qui, la veille, avait dit que «le Canada n’a pas fait sa part à cause des conservateurs», ne voulait plus blâmer personne, jeudi matin.
Thomas Mulcair, de passage à Toronto, retenait manifestement ses larmes en parlant de l’enfant et du désespoir de parents qui risquent la noyade pour fuir vers l’Europe. Il a réclamé que le Canada accepte tout de suite 10 000 réfugiés, comme le lui ont demandé les Nations unies.
Mais plus question de blâmer quiconque pour cette tragédie.
«Il est trop facile de blâmer. Il est le temps de passer à l’action», a-t-il répété à quelques reprises.
Le Bloc québécois tenait un discours semblable. Alors que Gilles Duceppe fait campagne en Abitibi, son parti a diffusé un communiqué, proposant une trêve. «Plutôt que de jeter le blâme sur les uns ou les autres, il me semble que nous devrions tous parler d’une même voix. Il ne s’agit pas d’une question partisane ou électorale, il s’agit d’un impératif humanitaire», peut-on lire dans une citation attribuée à un candidat bloquiste: Charles Mordret.
Le chef conservateur semblait, lui, vouloir s’accorder une trêve de sa campagne. Stephen Harper a annulé son événement prévu le matin, à Surrey, en Colombie-Britannique. Son parti n’a pas expliqué la raison de l’annulation. Mais l’événement suivant devait être remplacé par une déclaration sur la crise, suivie d’un point de presse.
Son ministre Jason Kenney qui a tenu le portefeuille de l’Immigration avant le ministre actuel, a, lui aussi, annulé un point de presse qu’il devait tenir à Brampton, en Ontario, sans dire pourquoi, lui non plus.
Au sujet de la crise des réfugiés, M. Harper avait dit, mercredi, que ce n’est pas une politique canadienne sur les réfugiés qui règlerait le problème.
«Il y a des groupes comme l’EI (…) qui font littéralement des millions de réfugiés et menacent de massacrer des gens partout dans le monde. Nous n’aurons pas une solution à ça en adoptant une politique sur les réfugiés. Nous devons prendre une position ferme, militaire, contre l’EI et c’est ce que nous faisons», avait-il dit mercredi.
C’était avant qu’on apprenne qu’il y avait un lien entre le Canada et l’enfant dont la photo du cadavre a fait le tour de la planète.
Programmes détournés et promesses multiples
Avant que les programmes de la journée ne soient détournés par l’actualité, M. Mulcair s’était arrêté à Toronto pour promettre, s’il est élu premier ministre, de bonifier le Régime de pensions du Canada ainsi que le Régime des rentes du Québec, à condition de s’entendre avec les premiers ministres des provinces.
JustinTrudeau, lui, était de passage à Brossard pour s’engager à ne pas imposer un péage sur le nouveau pont Champlain s’il est élu premier ministre, promesse qu’il a répétée après avoir rencontré le maire de Montréal, Denis Coderre, en fin de matinée, à Montréal. Aux côtés de M. Coderre, M. Trudeau a également promis de rétablir la livraison du courrier à domicile s’il était élu le 19 octobre.
Le refus de Stephen Harper de changer quoi que ce soit à sa politique d’accueil de réfugiés syriens pousse le chef libéral Justin Trudeau à adresser une prière au premier ministre sortant.
De passage à Richmond Hill, en Ontario, M. Trudeau a «imploré» M. Harper de changer d’avis, d’accueillir 25 000 réfugiés syriens tout de suite. Selon le chef libéral, ce n’est qu’une question de volonté politique.
Alors que le monde entier est encore sous le choc de l’image de l’enfant syrien noyé et que le premier ministre britannique a cédé à la pression populaire et ouvrira plus grande ses portes, M. Harper maintient que son offre d’accueillir 10 000 réfugiés syriens au cours des quatre prochaines années suffit. Et il n’a manifesté aucune intention d’accélérer le processus d’accueil de ces réfugiés qui doivent, en bonne partie, compter sur des parrainages privés.
Par ailleurs, Justin Trudeau était en Ontario pour promettre 20 milliards $ en dix ans pour le transport en commun. Il a ainsi détaillé une partie de sa promesse déjà faite d’un investissement majeur en infrastructures. À ses côtés, le ministre ontarien des Transports a applaudi la promesse. M. Trudeau croit que ces dépenses donneront un bon coup de pouce aux municipalités.
Gilles Duceppe semble sortir tout droit d’un film d’horreur de Christopher Lee,dans cette photo.
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe,dont le parti moribond suit les mêmes vieilles recettes libérales, croit qu’il est temps de mettre la partisanerie de côté pour accélérer l’arrivée de réfugiés au Canada.L’utilité de ramasser les réfugiés pour Gilles Duceppe,au Québec,s’explique par la philosophie néolibérale du Bloc québécois relative à la croissance économique…infinie jusqu’à la fin des temps…créer de la richesse pour faire croître “l’économie capitaliste du Québec”,seule garante de prospérité.
S’il n’est pas contre la campagne de frappes aériennes contre le groupe État islamique en Irak et en Syrie, Gilles Duceppe croit cependant qu’elle ne doit pas primer sur l’aide humanitaire.
Le chef bloquiste s’est exprimé sur la question, vendredi,4 septembre 2015, à Montréal, dans la foulée de cette crise qui s’est invitée dans la campagne électorale depuis que les images d’un petit Syrien mort noyé ont fait le tour du monde.L’intelligence des débats d’idée a libéré la place en faveur de l’émotion pure.
M. Duceppe croit qu’il est urgent que le gouvernement canadien déploie des efforts pour permettre à 10 000 réfugiés d’arriver «le plus vite possible». Selon lui, ce nombre pourrait être réévalué par la suite au besoin.
M. Duceppe était de passage dans les studios d’Avis de recherche pour épauler le dirigeant de la chaîne dans sa croisade contre le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).
Vincent Géracitino affirme qu’une décision de l’organisme fédéral n’oblige plus les câblodistributeurs à offrir la chaîne, ce qui menace sa survie.
M. Duceppe s’est demandé pourquoi le gouvernement Harper, qui «prétend défendre la loi et l’ordre», n’est pas intervenu pour aider la chaîne qui diffuse des photos de personnes disparues ainsi que de criminels recherchés.La raison selon moi est très simple:comment rechercher des criminels djihadistes si l’organisme le mieux coté pour les rechercher n’existe plus?
Stephen Harper ne bronche pas:il représente pourtant l’Empire au Canada!
Stephen Harper maintient qu’il n’est pas nécessaire d’accueillir plus de réfugiés syriens au Canada.
En campagne électorale à Whitehorse, au Yukon, le chef conservateur a répété, vendredi,4 septembre 2015, que la réponse à cette crise est aussi militaire. Et il s’en est pris aux néo-démocrates qui ne veulent pas que le Canada participe aux bombardements aériens contre le groupe État islamique (EI) en Irak et en Syrie.
M. Harper a jugé irresponsable la position de son rival Thomas Mulcair dans ce dossier.
Il a rappelé sa promesse de recevoir 10 000 réfugiés syriens d’ici quatre ans, s’il est réélu, tout en continuant la mission militaire contre l’EI. Et toujours pas question d’accélérer le processus d’accueil de ces éventuels réfugiés au Canada.
Attaqué par ses adversaires libéral et néo-démocrate, le chef conservateur ne voulait parler que de lutte à l’EI, même si la crise des réfugiés syriens a débuté avant l’émergence de ce groupe. Il a accusé le Nouveau Parti démocratique de vouloir ignorer «le meurtre, le viol, la torture qui continuent dans ces pays».Indépendamment de mon opinion politique sur Harper,c’est le politicien qui semble donner la meilleure opinion réfléchie sur le sujet,mais pourquoi?
Comme la veille, il a répété qu’il y a des dizaines de millions de réfugiés et que le problème ne sera pas réglé par une simple politique sur les réfugiés.Le message d’Harper est donc très clair:attendons ,car le mal est fait…Nous sommes donc en danger de mort réelle,sur le plan civilisation.
Où sont les femmes ? les enfants ? les vieux ? Tous laissés dans l’enfer de la guerre ? De deux choses l’une : soit ils ne proviennent pas de zones de combat, soit ce sont des salopards …Est-ce que les téléspectateurs réfléchissent à la Vérité?
LES RAISONS DE LA TRAHISON DES POLITICIENS ACTUELS AU CANADA ET AU QUÉBEC
Ces raisons sont nombreuses,voici les plus importantes:
1- Le Canada est en fait une fausse démocratie gérée comme une colonie.Le Québec serait,de par son statut unique : la dernière colonie survivante de l’Empire Britannique qui n’existe plus,dans les faits.Simplement,le pouvoir a été retransmis au Canada par les “véritables” Héritiers de l’Empire.Donc ,à chaque fois que l’Empire adopte une règle,le Canada n’a pas le choix et doit suivre.Au Québec,on laisse planer l’illusion du choix démocratique des électeurs alors que comme on l’a vu ,le 7 avril 2014,on fraude le contenu des urnes de votation à volonté.Nous sommes donc les dindons de la farce…des esclaves aux services du Parti libéral du Québec et du crime organisé.
2-Le Nouvel Ordre Mondial actuel qui contrôle nos Vies,nos pensées,nos aliments,nos hôpitaux,nos médicaments,nos banques,nos loisirs,etc…est l’héritier direct de l’ancien Empire de Babilone ,l’empire de la luxure et de la corruption.Nous avons même hériter de sa vieille technique de contrôle de population qui consiste à déporter des populations étrangères l’une de l’autre,à l’intérieur de l’empire afin de les contrôler en les mélangeant.Ainsi on a déporter des juifs à Ur pendant que l’on déportait des individus de nations diverses vers la Judée.C’est ce que le Canada a toujours fait envers le Québec par son contrôle de l’immigration.
C’est la stratégie de globalisation des quatre soit-disant « flows ininterrompus » (en français flux). Celle-ci provient du géostratége militaire US,l’américain Thomas P.M. Barnett. Je cite Barnett: « Comme condition préalable pour le fonctionnement sans heurts (de la globalisation), nous devons permettre quatre ‘Flows’ durables et sans entraves. » Les afflux actuels, presque surdimensionnés, de réfugiés vers l’Europe, font partie de la stratégie du « Flux sans entraves », qui en l’occurrence vise l’Europe et n’a le droit d’être empêché par aucun gouvernement ou institution selon Barnett.
Les frontières nationales doivent être dissoutes, les races mélangées, et ainsi les valeurs et les religions doivent être abolies et le chemin vers le nouvel ordre mondial (NWO) global doit être aplani. Nous voyons ainsi de quelle manière on trouve la marque des Etats-Unis derrière les afflux de réfugiés .
3-Une fois que le nombre de réfugiés syriens aura suffisamment infiltré notre territoire,le chemin sera ouvert pour les autres djihadistes et faux prophètes de malheur pour réclamer les mêmes droits que leurs prédécesseurs syriens:les marocains,les lybiens,les égyptiens,les libanais,les nigériens ,etc,etc,etc….On choisira de préférence des musulmans de langues différentes au français pour émigrer au Québec.Entre temps,on va tenter de nous intimider pour que nous,le peuple québécois ,abandonnions le Québec entre leurs mains.Regardez ce qui s’est passé récemment dans le stationnement du centre d’achat Les Galeries de la Rive-Nord ,à Repentigny,ma ville:
Voici les collants que l’on placeait sur les pare-brise des voitures dans le stationnement des Galeries de la Rive-Nord à Repentigny,le 4 septembre 2015.
Pourquoi le Maroc et de nombreux pays arabes refusent les réfugies syriens?…ils savent qu’ils sont infiltrés par des terroristes. Donc, vous pensez qu’ils sont tous les réfugiés, même si 90% d’entre eux sont tous les jeunes gens de la lutte contre l’ AGE. Eh bien jeter un oeil à cette photo. Sur la gauche est un combattant de la Syrie, sur la droite est le même homme poursuivant son chemin avec tous les autres «réfugiés» syriens fuyant en Allemagne. Il a une marque très spécifique et individuelle sur son visage. C’est le même gars. Réveillez -vous ,enfin. Vos nouvelles locales sont probablement vous montrant les enfants, les femmes … mais si vous regardez tout ce que vous pouvez voir,vous verrez que la majorité des migrants sont des JEUNES HOMMES. Bienvenue en Allemagne ISIS!
Donc,Nous,le peuple québécois,les survivants francophones de la Dernière Colonie de l’Empire Britannique d’Amérique du Nord,sommes en état de légitime défense!Notre dernière parade,notre dernier moyen est la désobéissance civile,car voter c’est collaborer avec la répression de l’Empire,avec le Canada centralisateur qu’il nous faut réformer ou quitter!
Tantôt,nous devrons choisir entre le suicide collectif ou/et individuel ou mourir en combattant debout!
Tantôt,nous devrons choisir entre la lâcheté ou le courage!…entre la Liberté ou la Mort!
Au Québec et dans tout le reste du Canada,on annule son vote le 19 octobre 2015 …car nous refusons votre complot!
La Cour fédérale du Canada a confirmé que l’élection fédérale de 2011 au Canada, qui a conduit à la victoire du gouvernement de Stephen Harper, était frauduleuse.
La Cour a souligné dans une décision jeudi décision qu’il a trouvé dans des termes sans équivoque que la fraude électorale généralisée a eu lieu lors du vote. La décision a également déclaré qu ‘«il était un effort concerté pour supprimer votes au cours de la campagne électorale de 2011 par une personne ayant accès à la base de données CIMS [du Parti conservateur]. ” En conséquence, le Conseil des Canadiens a appelé le Parti conservateur à enquêter sur la question. Il dit quelque chose de moins à ce stade serait un cover-up de la part des conservateurs. Le Conseil des Canadiens affirme que la non-coopération, l’obstruction, et des tentatives faites afin de perturber le cas de la Cour fédérale par le CIMS fait ressembler le premier ministre Harper à quelqu’un qui a quelque chose à cacher. Garry Neil, directeur exécutif du Conseil des Canadiens a déclaré: «Cette décision de la Cour fédérale est un acte d’accusation majeure du Parti conservateur du Canada.” “Soit les hauts dirigeants du Parti conservateur ont été directement impliqués dans la fraude électorale ou ils ont faits étonnamment preuve de négligence pour sécuriser l’accès à leur base de données des électeurs. Illégale ou incompétent -. Comme dans le scandale du Sénat ,par exemple…
Rappelez vous que je l’avais bien écrit au lendemain de cette victoire conservatrice.
En dehors de cheerleading diplomatique conservateur soutenue pour Israël , un élément clé de l’implication moins aux yeux du public canadien, mais très important, est le rôle clé que de nombreuses entreprises canadiennes jouent dans la création de dispositifs et de technologies militaires maintenant impliqué dans la réalisation des bombardements meurtriers dans la bande de Gaza.
Un récent rapport du ministère des Affaires étrangères, du Commerce et développement Canada sur les exportations militaires stipule que « une priorité de la politique étrangère du Canada est le maintien de la paix et de la sécurité , des «idéaux constamment éludé dans le monde entier, tels que les exportations militaires vers les régimes autoritaires de Bahreïn et l’Arabie Saoudite , mais les idéaux clairement mis sous silence lors d’ exportations d’armes directs à Israël.
Les Informations compilées par la Coalition pour s’opposer dans les détails aux liens commerciaux affirme qu’au minimum, plus de 50 fabricants d’armes canadiens des produits d’exportation à Israël directement aujourd’hui, un nombre très certainement en hausse comme les conservateurs continuent de resserrer les liens avec l’Etat d’Israël. Une récente délégation militaire diplomatique, des entreprises et du Canada en mission orientée vers Israël , un des plus grands de ces délégations étrangères dans l’histoire du Canada des affaires étrangères, y compris plus de 200 personnes, certainement mis en branle un approfondissement de la complicité du Canada avec l’apartheid israélien, ont poussés fortement des couloirs du pouvoir politique à Ottawa.
Des exemples spécifiques de l’équipement et des appareils fabriqués au Canada militaire, actuellement déployés par les Forces de défense israéliennes (FDI) et les forces aériennes israéliennes (FAI) sont nombreux et accablants.
Moteurs pour le gong ” cobra hélicoptère “, surnommé le” vipère “sur le site israélien Airforce , sont produites dans la région de Montréal par Pratt & Whitney Canada. Aussi l’armée israélienne utilise des hélicoptères fabriqués à Mirabel, Québec de Bell Helicopter Textron Canada , une société a également représenté sur la délégation gouvernementale conservatrice récente en Israël.
Aussi CAE, une société à Montréal qui se spécialise dans le simulateur de vol et ” les systèmes d’exploitation en temps réel “, a obtenu d’importants contrats pour développer la technologie de l’armée israélienne, visant à former le personnel militaire de fonctionner ” avions de combat de la prochaine génération . “
Comme les bombes tombent du ciel sur Gaza, nous pensons aux technologies de formation d’aéronefs pour les pilotes militaires israéliens fabriqués ici à Montréal par CAE.
Aussi Alphacasting Inc. basée à Ville Saint-Laurent, qui fabrique ” des moulages de précision pour les avions militaires, des systèmes de vision nocturne, de radars, des fusils, des chars, des missiles, des périscopes et des véhicules aériens sans pilote , “en fonction de leur propre site web, également soulignée par la Coalition contre les armes métiers, exporte directement à Israël.
Toutes les entreprises mentionnées ci-dessus sont étroitement associés à l’Association canadienne de la Défense et de sécurité (AICDS), une importante organisation au Canada ,un représentant militaire axé sur la fabrication qui soutient des liens étroits avec l’État d’apartheid israélien .
Au-delà des compagnies militaires du gouvernement canadien qui continuent d’ approfondir les liens avec Israël, un processus qui remonte à l’une des premières actions internationales du Canada,soit un “libre-échange” des accords signé avec Israël en 1997.On le voit également dans le “plus récent et vaste accord de sécurité publique ” , en vertu de quoi Israël a nommé un attaché de défense à Ottawa pour la première fois, à travers lequel les agences israéliennes visent à “renforcer la coopération” entre les institutions de l’Etat d’Israël avec la GRC, le SCRS et l’ASFC.Philippe Couillard,l’espion canado-saoudien doit bien comprendre cela.
La collaboration du Canada avec l’apartheid israélien est en pleine expansion, un processus qui relie désormais les systèmes localisés de la matrice de sécurité entre les deux pays coloniaux . L’importante délégation canadienne qui est passé en Israël cette année, sous l’intendance de Harper officialise juste une collaboration de longue date, fait juste assurer simplement la voie d’une réalité qui voit tout et d’une complicité éhontée du soutien du Canada à la politique de l’État israélien.
Bien que cette alliance politique est désormais exprimé et est de plus en plus reconnu, nous permet de prendre maintenant le bilan de la façon dont ces liens politiques entre Ottawa et Tel-Aviv se traduisent par rapport à la situation sur le terrain dans la bande de Gaza.
Certes, une quantité importante de produits canadiens de technologies militaires sont maintenant une partie importante de l’appareil militaire, impliqué dans le meurtre de plus de 100 Palestiniens dans la bande de Gaza ces derniers jours . Sur le plan diplomatique, le soutien total du Canada pour l’horrible violence de l’État d’Israël équivaut à plus de la salle d’opération politique pour Israël sur la scène internationale, une salle plus politique pour Israël de faire valoir, un récit colonial violent qui déshumanise et tente d’effacer la lutte légitime du peuple palestinien .
En regardant les images indicibles souffrances humaines sur le terrain en ce moment à Gaza, permet de concentrer nos énergies et nos efforts pour tenir les entreprises canadiennes spécifiques, ainsi que le gouvernement conservateur, compte publiquement de leurs liens directs vers les crimes de guerre commis contre la population de Gaza en ce moment.
Le Canada est devenu une sorte d’état gangstérisé et qui se croit légitimisé dans son droit divin de faire des profits sur des crimes contre l’humanité.Il est temps pour le Québec de tracer son chemin en abolissant la gérance du crime organisé,bien représentée par l’espion canado-saoudien,Philippe Couillard.
Vous voyez le Canada, dont la fête nationale est le 1er juillet, comme le voisin sympa des Etats-Unis? Vous allez peut-être changer d’avis.
Cela fait des dizaines d’années que le monde voit le Canada comme le gentil voisin nordique des Etats-Unis. Un pays responsable, fiable, à la limite de l’ennuyeux, connu pour ses fans de hockey et son régime d’assurance maladie à payeur unique. Il a longtemps joué un rôle de «boy scout» international dans son positionnement sur les questions les plus importantes, de la protection de la couche d’ozone à l’éradication des mines antipersonnel en passant par les droits des homosexuels. Le romancier Douglas Adams a même déclaré pour plaisanter que si on considère les Etats-Unis comme un adolescent qui cherche la bagarre, alors le Canada doit être une femme intelligente d’une trentaine d’années. En fait, le Canada, c’est les Etats-Unis, pas tels qu’ils sont, mais tels qu’ils devraient être.
Mais les grandes forêts du nord abritent un terrible secret. Au cours de la dernière décennie, le Canada est devenu non seulement un centre international d’exploitations minières, mais également un redoutable Etat pétrolier sans scrupules. Ce n’est plus l’exemple à suivre d’Amérique du nord, mais bien une vision dystopique du futur énergétique du continent.
Eh oui, le gentil voisin a basé son économie sur l’élixir maudit du dysfonctionnement politique: le pétrole. Le gouvernement canadien, motivé par l’envie de devenir une superpuissance énergétique internationale, s’est lié d’amitié avec des évangélistes de l’oléoduc, des brutes du pétrole, et des sceptiques du réchauffement climatique. Il faut croire que le boy scout n’est plus juste accro à la came brute, il est passé dealer. Et ce n’est même pas ça le pire dans l’histoire.
Des lois environnementales supprimées
Le Canada n’est plus aussi poli que la légende le voudrait: le pétrole et l’essence représentent aujourd’hui environ un quart de ses revenus d’exportation. Depuis que le Parti conservateur a remporté la majorité au Parlement en 2011, le gouvernement fédéral a éventré les défenseurs de l’environnement, les nations indigènes, les commissaires européens, et plus généralement, tous ceux qui s’opposent à une production illimitée de pétrole: tous ces antipatriotes aux idées radicales.
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Le Canada a aussi muselé les scientifiques qui s’intéressaient au réchauffement climatique et mis fin à tous les financements de projets de recherche environnementale. Plus récemment, il a aussi, à travers deux projets de lois englobant des mesures diverses, fait supprimer les lois environnementales les plus importantes du pays, qui étaient jusque-là très chères à celui-ci.
L’auteur de cette transformation est Stephen Harper, le Premier ministre de droite du Canada, un chrétien évangélique obsédé par le boulot. Sa base de pouvoir se trouve en Alberta, le ground zero du boum pétrolier du pays. Tout comme Margaret Thatcher qui a fondé la transformation politique de l’Angleterre sur les revenus du pétrole provenant de la mer du Nord, Harper a pour intention de refaire méthodiquement toute l’organisation du pays à l’aide des dollars qu’il extraira directement du sol canadien.
Ce faisant, il a accordé plus de pouvoir à son propre bureau et a réorienté les priorités de la politique étrangère du pays. Harper, qui est entré en fonctions en 2006, a augmenté les dépenses liées à la défense de presque 1 milliard de dollars par an durant les quatre premières années de son mandat, et il a dédié 2 milliards de dollars à l’expansion du système carcéral et à sa politique de «tolérance zéro» en ignorant la baisse du taux de criminalité du pays. Pendant ce temps-là, le Canada a amassé une dette fédérale colossale d’environ 600 milliards de dollars (la plus haute dans l’histoire du pays) qui ne cesse d’augmenter.
Le pari du pétrole
Les critiques libéraux aiment bien dire que la révolution politique d’Harper a pris les Canadiens par surprise: il a tiré partie de l’aveuglement de ce peuple «généralement apathique et en surpoids», et l’a combiné à des stratégies politiques trompeuses. C’est peut-être vrai, mais même si les Canadiens vivent sous des latitudes élevées, cela ne veut pas dire qu’ils sont au-dessus des instincts humains de base, comme l’avidité.
Harper a placé de manière agressive un pari économique sur le pétrole, la ressource la plus volatile du monde, en promettant une nouvelle richesse nationale basée sur des ressources non exploitées, qui se trouvent loin de là où les Canadiens habitent. Cette richesse devrait remplir le porte-monnaie des Canadiens, ainsi que celui de leurs enfants, et ce pendant plusieurs générations. D’après un sondage récent, environ trois quarts de la population du Canada sont favorables au développement des sables bitumineux: Harper semble avoir réussi à leur vendre son idée.
La ressource cachée derrière bon nombre de ces changements de comportement discutables est le bitume: une substance lourde et brute que l’on extrait des sables bitumineux. Des dépôts de cette matière fortement dégradée et proche de l’asphalte gisent sous une forêt de la taille de la Floride qui se trouve dans le nord-est de la province de l’Alberta. Ces dépôts constituent la troisième plus grande réserve de pétrole du monde.
Au cours de ces dix dernières années, tandis que le prix du pétrole a été multiplié par cinq, les compagnies pétrolières ont investi près de 160 milliards de dollars pour développer le bitume en Alberta, et leur investissement vient de devenir rentable. Le Canada sort actuellement 1,7 million de barils par jour, et la production prévue devrait remplir les caisses fédérales et provinciales avec environ 120 milliards de dollars de rente et de redevance d’ici 2020. Plus de 40% du butin vont directement profiter au gouvernement fédéral, sous la forme d’impôts sur les sociétés. Mais le gouvernement en veut encore plus: il voudrait que la production atteigne les 5 millions de barils par jour d’ici 2030.
Un projet soi-disant «responsable» et «durable»
Et tant pis si tout ce processus représente un gaspillage douteux; qu’il consomme des quantités copieuses d’eau, d’argent et d’énergie pour déterrer ces sables riches en carbone, sans même compter les opérations de raffinage et d’extraction sur le matériau brut, qui ne peut même pas être transporté dans des oléoducs avant d’être dilué dans un condensé importé proche de l’essence.
Le gouvernement la joue au culot, et défend malgré tout le projet d’Alberta en disant qu’il est «responsable» et «durable», et le décrit comme «une entreprise aux proportions épiques, similaire à la construction des pyramides d’Egypte, ou de la muraille de Chine, mais en plus grand». En effet, en bien plus grand: les projets d’extraction du bitume qui ont été approuvés pourraient potentiellement détruire une forêt qui fait six fois la taille de la ville de New York. Le défrichement et la reforestation de cette zone sont pour l’instant un projet considéré incertain et coûteux. Jusqu’ici, les compagnies pétrolières ont déjà créé suffisamment de boue toxique (6 milliards de barils) pour recouvrir l’intégralité de la ville de Washington.
Sans surprise, le gouvernement canadien est passé maître dans l’art cynique du lavage de cerveau écologique. Quand les ministres d’Harper ne sont pas trop occupés à attaquer James Hansen, un ancien scientifique de la Nasa et tête d’affiche du réchauffement climatique, dans le New York Times, ils font du lobbying contre la directive européenne sur la qualité des carburants (qui considère le bitume comme bien plus polluant que le pétrole habituel). Le gouvernement de Harper a dépensé près de 100 millions de dollars depuis 2009 en différentes campagnes publicitaires pour convaincre les Canadiens que l’exportation de pétrole est «un développement responsable des ressources». En parallèle, le Canada s’est également mis en quatre pour attirer Pékin. Trois compagnies pétrolières publiques chinoises (qui ont pour point commun un passif lamentable en termes de transparence et de sensibilité environnementale) ont déjà dépensé plus de 20 milliards de dollars dans l’acquisition de droits d’exploitation des sables bitumineux en Alberta.
En s’aplatissant devant la Chine, qui est la plus grande consommatrice de pétrole au monde, le Canada fait ressortir son grand dilemme du bitume: comment amener un pétrole polluant et éloigné du littoral sur les marchés internationaux? Les Etats-Unis, premiers clients du Canada, ne semblent plus en avoir autant besoin que ça: leurs imports ont diminué de plus de 4 millions de barils par jour entre 2005 et 2011. En plus, avec des projets de construction d’oléoducs entre les deux pays qui n’avancent pas, comme celui de Keystone XL, la vision de Harper, qui voudrait voir le Canada devenir une «superpuissance émergente de l’énergie», semble menacée.
Un accord avec la Chine
Sans surprise, Harper a récemment abandonné son approche critique du non-respect des droits de l’homme en Chine. Comme l’indique un document secret de politique étrangère qui a été divulgué en automne dernier par la CBC (Canadian Broadcasting Corporation, le principal réseau de télévision canadien), le Canada a de nouvelles priorités:
«Pour réussir, nous devrons rechercher les relations politiques qui concordent avec nos intérêts économiques, même si celles-ci vont à l’encontre de nos intérêts politiques ou de nos valeurs.»
En 2012, le Canada a signé discrètement un accord commercial très controversé avec la République populaire et approuvé un rachat à 15 milliards de dollars de Nexen, une entreprise actrice dans les débats sur les sables bitumineux, par la China National Offshore Oil Corporation, une compagnie pétrolière publique chinoise. Et, sûrement pour encourager l’affection des Canadiens pour les Chinois, le gouvernement a réservé pour les dix prochaines années la location de deux pandas itinérants pour un coût total de 10 millions de dollars.
Maintenant que les sables bitumineux représentent presque 10% des émissions de gaz à effet de serre du Canada, Ottawa ne peut plus vraiment admettre de discussion sur une potentielle taxe carbone, même si une majorité de Canadiens y seraient favorables.
Harper a décrit le protocole de Kyoto comme «une manigance socialiste» et un traité «dévastateur pour l’économie et destructeur pour l’emploi» avant de se retirer complètement de l’accord en 2012. De nombreux ministres canadiens sont maintenant des sceptiques purs et durs à propos des données scientifiques qui concernent le réchauffement climatique. Il suffit de lire les récentes explications de Joe Oliver, le ministre des Ressources naturelles, au journal montréalais La Presse, pour s’en rendre compte:
«Je crois que les gens ne sont plus aussi inquiets qu’ils l’étaient auparavant à propos d’un réchauffement climatique mondial de deux degrés… les scientifiques ont récemment déclaré que nos craintes sont exagérées.»
Pour réduire au silence les potentiels exagérateurs, le gouvernement a tout simplement cessé de financer la Fondation canadienne pour les Sciences du climat et de l’atmosphère, dissout le Groupe de recherche pour l’adaptation au changement climatique d’Environnement Canada, et éliminé le siège de conseiller scientifique en chef. Et depuis 2008, les cerbères politiques ont surveillé de près toutes les demandes de couverture médiatique déposées par les quelque 23.000 scientifiques fédéraux du pays.
Une «gouvernance à la matraque»
Après que le gouvernement a interdit à un scientifique fédéral de parler de la découverte d’un vaste trou dans la couche d’ozone au dessus de l’Arctique, un éditorial de 2012 dans l’influent journal scientifique Nature a exigé que le gouvernement canadien «libère ses scientifiques».
A la place, Harper s’est «libéré» de ses scientifiques: son gouvernement a fermé la station de recherche de la zone des lacs expérimentaux, célèbre dans le monde entier, et véritable joyaux de la science environnementale canadienne qui a contribué à établir des politiques mondiales sur les pluies acides, pour économiser la modique somme de 2 millions de dollars par an (même si le gouvernement de l’Ontario est en train d’essayer de la garder ouverte).
La poursuite unilatérale de ce projet pétrolier a abasourdi les analystes internationaux. The Economist, qui n’est pourtant pas de gauche, a décrit Harper, le fils d’un comptable d’Imperial Oil, comme une brute «qui ne tolère ni critiques ni contestations» avec une habitude résolue: briser les règles. Lawrence Martin, un des commentateurs politiques les plus influents au Canada, a déclaré que la «gouvernance à la matraque» d’Harper est «innovante dans son renversement du processus démocratique». Allan Gregg, un enquêteur conservateur, a décrit le pland’Harper comme un assaut idéologique contre les preuves, les faits et la raison.
Il faut dire que le gouvernement d’Harper a bel et bien prévu un plan pour le réchauffement climatique: pomper le problème vers les Etats-Unis ou la Chine. Les sables bitumineux bruts transportés vers les Etats-Unis grâce au potentiel oléoduc Keystone XL, par exemple, pourraient, sur une période de cinquante ans, augmenter les émissions de carbone de 935 millions de tonnes, en comparaison avec d’autres matériaux bruts. 5,5 milliards de dollars de dépense sont prévus pour l’oléoduc Northern Gateway qui devrait relier l’Alberta à l’océan Pacifique. Oléoduc qui conduirait pourrait causer jusqu’à 100 tonnes d’émissions de dioxyde de carbone par an, de l’extraction à la production au Canada, jusqu’à la combustion en Chine. C’est plus que le total des émissions en Colombie-Britannique en 2009. Le Rapport d’inventaire national de 2012 rendu par Environnement Canada, le département d’écologie du pays, a d’ailleurs annoncé avec fierté que le Canada a réduit en partie l’intensité globale de ses émissions dues aux sables bitumineux, «en exportant plus de bitume brut».
Tout cela souligne encore davantage la nouvelle réalité du Canada: toutes les preuves rationnelles sont attaquées par un gouvernement qui croit que les marchés internationaux, et uniquement les marchés internationaux, détiennent les réponses.
Tout acte que cette industrie perçoit comme un obstacle à l’extraction rapide de minéraux ou à la construction d’un oléoduc a été redéfini avec des fioritures à la saoudienne. Un seul projet de loi englobant des mesures diverses a suffi pour changer 70 textes de loi, en modifiant, par exemple, les actes régulant la pêche, qui interdisaient directement la destruction des habitats de la vie aquatique qui se trouvaient sur le chemin de l’oléoduc de Northern Gateway, qui traverse environ 1.000 voies navigables sur sa route vers l’océan Pacifique.
Esclave de sa propre avidité
En parallèle, les financements pour le système des parcs naturels du Canada, véritable symbole du pays, ont été réduits de 20% dans le cadre de ce que les critiques appellent une «lobotomie». La CBC, le réseau de télévision national très respecté, et longtemps considéré par Harper comme une forme de contrôle indépendant du pouvoir, a souffert d’une série de réductions budgétaires. Le Conseil canadien de la Santé, qui assurait autrefois les standards et innovations en termes de santé pour les treize provinces et territoires du pays, a également été frappé par les réductions. De plus, Harper, dans un élan digne d’un prince du pétrole du Moyen-Orient, a désigné le chef de sa sécurité rapprochée comme ambassadeur du Canada en Jordanie. Tout cela sans même se demander ce qu’en penserait le Canadien moyen.
Il y a plus de dix ans, le scientifique politique américain Terry Lynn Karl a résumé de manière crue le dysfonctionnement des Etats pétroliers: les pays qui deviennent trop dépendants du pétrole ou du gaz adoptent des économies de plantations qui reposent sur «une trajectoire de développement peu durable entretenue par une ressource limitée» dont les sources de revenus forment une «barrière implacable au changement». Et c’est ce qui est arrivé au Canada pendant qu’on ne regardait pas. Enchaîné à l’hybris d’un dirigeant qui rêve de bâtir une nouvelle superpuissance énergétique mondiale, le boy scout est maintenant esclave de sa propre avidité.
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