L’Institut Pasteur est (encore) cité dans une affaire de faux négatifs. Un Sénégalais se rendant au Maroc et testé positif à Dakar a été testé négatif à son arrivée à Casablanca (Maroc).
Les tests sérologiques à la Covid-19 sont-ils fiables ? En tout cas, leur fiabilité, notamment, pose problème. Des tests effectués sur un Sénégalais se rendant au Maroc ont ainsi pu être faussés. Testé positif à Dakar, le compatriote qui se nomme Mouhamed a été finalement testé négatif à son arrivée à l’aéroport de Casablanca. «J’ai fait le test au Sénégal, on m’a dit à l’aéroport que je suis positif. Arrivé au Maroc à Casablanca, je refais un autre test qui s’est révélé négatif », a déclaré Mouhamed, qui ne sait plus à quel se test se fier : celui de Dakar ou celui de Casablanca ? Il renseigne que les autorités aéroportuaires du Maroc lui ont demandé comment a-t-il pu voyager alors qu’il testé positif.
Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention, joint, justifie ce faux test négatif par des marges d’erreurs. « Il faut savoir raison garder, Qui croire ? Les examens, c’est toujours les personnes qui les manipulent, les erreurs sont liées à l’humain. Tous les tests peuvent potentiellement générer un résultat faux négatif et plusieurs facteurs pourront en influencer la fiabilité, comme le moment où il est fait et l’habileté de l’employé qui l’effectue, a-t-il expliqué.
A la question de savoir comment une personne testée positive peut voyager. Le directeur de la prévention répond: « nous ne contrôlons pas les gens qui quittent notre pays, nous contrôlons seulement ceux qui entrent au Sénégal.»
A rappeler que l’Institut Pasteur avait faussé les résultats de tests virologiques effectués chez des marins en provenance du Sénégal et de la Côte d’Ivoire. En effet, 66 marins, en provenance de Dakar et Abidjan, ont été testés positifs après leur arrivée sur l’île de Mahé (Les Seychelles), malgré la présentation de certificats attestant leur négativité délivrés par les Instituts Pasteur. Une personne, qui présentait des signes suspects au contrôle sanitaire, a obligé les autorités à tester les nouveaux arrivants. Les autorités sanitaires des Seychelles qui déploraient des défaillances dans les méthodes des prélèvements des tests des Instituts Pasteur de Dakar et Abidjan avaient saisis l’Oms pour l’ouverture d’une enquête. A l’hôpital Fann, des tests positifs effectués sur des agents de santé au service d’oto-rhino-laryngologie (ORL) sont revenus par la suite négatifs.
Avec une nouvelle loi, le gouvernement français a décidé de déléguer la tâche de censure de l’État aux plateformes en ligne telles que Facebook, Google, Twitter, YouTube, Instagram et Snapchat. Les entreprises privées seront désormais obligées d’agir en tant que police d’opinion au nom de l’État français ou s’exposeront à de lourdes amendes.
Le 13 mai, le Parlement français a adopté une loi qui oblige les plateformes en ligne telles que Facebook, Google, Twitter, YouTube, Instagram et Snapchat [1] à supprimer les « contenus haineux » signalés dans les 24 heures et les « contenus terroristes » dans l’heure. Le non-respect pourrait entraîner des amendes exorbitantes de jusqu’à 1,25 million € , soit 4% du chiffre d’affaires mondial dans le cas de la plate – forme d’échec répété pour supprimer le contenu.
La portée du contenu en ligne jugé « haineux » en vertu de ce que l’on appelle la « loi Avia » (d’après le législateur qui l’a proposé) est, comme cela est courant dans les lois européennes sur le discours de haine, très largement délimitée et comprend « l’incitation à la haine ou discriminatoire ». insulte, fondée sur la race, la religion, l’ethnie, le sexe, l’orientation sexuelle ou le handicap « .
La loi française est directement inspirée de la loi controversée allemande NetzDG , adoptée en octobre 2017, et elle est explicitement mentionnée dans l’introduction de la loi Avia.
« Cette proposition de loi vise à lutter contre la propagation des discours de haine sur Internet », précise-t-on dans l’introduction de la loi Avia.
« Personne ne peut contester l’exacerbation du discours de haine dans notre société … l’attaque [s] contre les autres pour ce qu’ils sont, en raison de leurs origines, de leur religion, de leur sexe ou de leur orientation sexuelle … indices … [ aux] heures les plus sombres de notre histoire … la lutte contre la haine, le racisme et l’antisémitisme sur Internet est un objectif d’intérêt public qui justifie … des dispositions fortes et efficaces … cet outil d’ouverture [Internet] au monde, à l’accès à l’information, à la culture, à la communication, peut devenir un véritable enfer pour ceux qui deviennent la cible de ‘haineux’ ou de harceleurs cachés derrière des écrans et des pseudonymes. Selon une enquête réalisée en mai 2016, 58% de nos concitoyens considèrent Internet comme le principal lieu de discours de haine. Plus de 70% déclarent avoir déjà été confrontés à des discours de haine sur les réseaux sociaux.Pour les jeunes en particulier, le cyber-harcèlement peut être dévastateur … Cependant … Peu de plaintes sont déposées, peu d’enquêtes aboutissent, peu de condamnations sont prononcées – cela crée un cercle vicieux … «
Ayant reconnu que la « haine » en ligne est délicate à poursuivre en vertu des lois en vigueur car « peu de plaintes sont déposées et peu d’enquêtes réussies, peu de condamnations prononcées », mais a néanmoins déterminé que la censure est la panacée aux problèmes perçus, le gouvernement français a décidé de déléguer la tâche de censure de l’État aux plateformes en ligne elles-mêmes. Les entreprises privées seront désormais obligées d’agir en tant que police d’opinion au nom de l’État français ou s’exposeront à de lourdes amendes. Comme en Allemagne, une telle législation conduira inévitablement les plateformes en ligne à faire preuve de zèle dans la suppression ou le blocage de tout ce qui pourrait éventuellement être perçu comme « haineux » pour éviter d’être condamné à une amende.
Le but de la loi semble avoir été double – non seulement pour parvenir à la censure effective des discours par la suppression ou le blocage des publications en ligne, mais aussi (inévitablement) les effets dissuasifs de la censure sur le débat en ligne en général. « Les gens réfléchiront à deux fois avant de franchir la ligne rouge s’ils savent qu’il y a de fortes chances qu’ils soient tenus pour responsables », a déclaré la ministre française de la Justice Nicole Belloubet dans ce qui semblait inquiétant pour un représentant du gouvernement de dire dans un pays qui prétend être démocratique.
Dès le début, lorsque le président français Emmanuel Macron a chargé pour la première fois le groupe dirigé par Laetitia Avia de préparer la loi, la proposition a été critiquée par plusieurs groupes et organisations. La Commission nationale consultative des droits de l’homme de la France a critiqué la proposition de loi visant à augmenter le risque de censure, et La Quadrature du Net, une organisation qui lutte contre la censure et la surveillance en ligne, a averti que, « des délais de renvoi courts et des amendes élevées pour non-conformité incitent davantage plates-formes pour supprimer le contenu « . L’article 19 de l’organisation basée à Londres sur la liberté d’expression a indiqué que la loi menaçait la liberté d’expression en France. Selon à Gabrielle Guillemin, juriste hors classe à l’article 19:
« La loi Avia permettra effectivement à l’État français de déléguer la censure en ligne aux entreprises technologiques dominantes, qui seront censées agir en tant que juge et jury pour déterminer ce qui est » manifestement illégal « . La loi couvre un large éventail de contenus. ne va pas toujours être une décision simple.
« Compte tenu des délais dans lesquels les entreprises doivent répondre, nous pouvons nous attendre à ce qu’elles se trompent de prudence lorsqu’il s’agit de décider si le contenu est légal ou non. Elles devront également recourir à des filtres qui conduiront inévitablement à la fin -enlèvement de contenu.
« Le gouvernement français a ignoré les préoccupations soulevées par les groupes sur les droits numériques et la liberté d’expression, et le résultat sera un effet paralysant sur la liberté d’expression en ligne en France ».
La loi adoptée a également rencontré un certain désaccord en France. Le 22 mai, Guillaume Roquette, directeur éditorial du magazine Le Figaro , écrivait :
« Sous prétexte de lutter contre les contenus » haineux « sur Internet, elle [la loi Avia] met en place un système de censure aussi efficace que dangereux … » haine « est le prétexte systématiquement utilisé par ceux qui veulent pour faire taire les opinions dissidentes.
« Ce texte [loi] est dangereux car, selon l’avocat François Sureau, » il introduit une sanction pénale … de la conscience « . Il est dangereux … car il délègue la régulation du débat public … sur Internet à Les multinationales américaines … Une démocratie digne de ce nom devrait accepter la liberté d’expression « .
Jean Yves Camus. de Charlie Hebdo , a qualifié la loi de « placebo pour lutter contre la haine » et a souligné que « l’hyper-concentration sur la haine en ligne » masque le vrai danger:
« Ce n’est pas la haine en ligne qui a tué Ilan Halimi, Sarah Halimi, Mireille Knoll, les victimes du Bataclan, Hyper Cacher et Charlie; c’est une idéologie appelée antisémitisme et / ou islamisme … Qui détermine ce qu’est la haine et son [distinction de] critique? Une boîte de Pandore vient d’être ouverte … Il existe un risque de marche lente mais inexorable vers un langage numérique hyper-normativé par le politiquement correct, tel que défini par les minorités actives « .
« Qu’est-ce que la haine? » demanda rhétorique l’écrivain français Éric Zemmour. « Nous ne savons pas! Vous avez le droit de ne pas aimer … vous avez le droit d’aimer, vous avez le droit de haïr. C’est un sentiment … Il ne peut pas être judiciarisé, légiféré. »
Néanmoins, c’est ce que font les lois sur le discours de haine, que ce soit dans le domaine numérique ou non numérique. Demander à des entreprises privées – ou au gouvernement – d’agir comme des policiers pensés n’appartient pas à un État qui prétend respecter un État de droit démocratique.
Malheureusement, la question n’est pas de savoir si la France sera le dernier pays européen à introduire de telles lois de censure, mais quels sont les autres pays à suivre.
NOTES
[1] Ainsi que d’autres plateformes et moteurs de recherche en ligne qui atteignent un certain seuil d’activité en France (ce seuil sera précisé par décret ultérieurement).
Je recommande aux lecteurs d’utiliser les détails historiques non controversés suivants comme un instrument (plutôt gentil et discret) qui pourrait réveiller ceux qui dorment encore.
Le mot « influenza » «grippe» est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à «apparaître» simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les «scientifiques» italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.
Ils ont compris que lorsque la surface du soleil (ou CORONA) était la plus active, il y avait des éjections massives du soleil qui se manifestaient comme des manifestations spectaculaires des aurores boréales dans les climats nordiques et qu’il y avait également des effets magnétiques (ou «ondes magnétiques») du soleil qui frappent la terre avec une intensité inhabituelle à ces moments là.
Ainsi le mot « INFLUENZA est devenu le nom de cette maladie. »Influenza » étant l’abréviation de « Influenza delle stelle« … INFLUENCE DES ÉTOILES.
Ainsi, au début des années 1600, les scientifiques européens avaient découvert que la cause de la maladie désormais connue sous le nom de «influenza» était l’effet d’ondes magnétiques inhabituelles affectant le corps humain.
Ce récit sur la «flu» a été accepté tout au long des années 1700 et 1800. Il y a eu de multiples références aux maladies provoquées par la prolifération des communications télégraphiques et l’installation de réseaux électriques CA (Courant alternatif) dans les villes américaines. Certains des effets signalés étaient très graves pour les personnes atteintes: apathie, perte d’énergie, dépression, maux de tête et bien plus.
Le récit de causalité «électrique / magnétique» a continué comme modèle pour expliquer les symptômes de la «grippe» jusque vers 1920 et la catastrophe mondiale de 1918/19 qui était «la grippe espagnole».
LA GRIPPE ESPAGNOLE
Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.
Le Chirurgien Général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.
Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.
Cette «grippe» NE POURRAIT PAS ÊTRE TRANSFÉRÉE D’UNE PERSONNE À UNE AUTRE.
CETTE GRIPPE N’ÉTAIT PAS CONTAGIEUSE.
De nombreux scientifiques et penseurs de l’époque, comme Rudolf Steiner, ont déclaré que la « contagion » apparente était le résultat d’une exposition simultanée aux nouvelles ONDES RADIO (fréquences électromagnétiques) qui étaient diffusées pour la première fois dans presque le monde entier. .
Étant donné que 50 millions de personnes sont mortes, l’électricité COMME CAUSE POTENTIELLE DE DÉCÈS n’était pas une idée que nos dirigeants financiers/politiques pouvaient faire croire au grand public. Cette prise de conscience a été exclue du domaine public et le faux récit du «virus» a été inventé pour expliquer «la grippe».
Si le public avait été autorisé à penser que les installations électriques et le rayonnement de celles-ci pouvaient les tuer, alors tout le XXe siècle n’aurait pas pu se produire. Tous les plans de développement, d’industrialisation et de bénéfices des entreprises dépendaient de l’électricité. L’establishment avait besoin d’une autre histoire.
Les dirigeants l’ont compris.
Le récit du «virus» reflète exactement le récit du «nouveau Champs ÉlectroMagnétiques (CEM) » comme cause de la grippe.
Un virus continue de muter. Nos corps s’adaptent à l’ancienne fréquence virus / CEM et nous sommes alors OK jusqu’à ce qu’une nouvelle mutation / nouvelle fréquence arrive.
Les gens doivent savoir que:
1) Comme l’affirme la Nouvelle Médecine Allemande (NMA) depuis les années 1980, aucun virus n’a jamais été isolé ou purifié à partir de tissus humains … bien qu’il soit facile de le faire avec des virus trouvés sur des algues, par exemple. NMA dit que le «modèle viral» de la maladie est un non-sens fictif. Après avoir lu deux des publications de la NMA sur ce sujet, il est impossible d’être en désaccord.
2) Les maladies «électriques» (comme la grippe) semblent affecter très gravement certaines personnes et d’autres à peine.
Pendant la grippe espagnole, il a été constaté que les pires symptômes se manifestaient chez les jeunes en bonne santé âgés de 20 à 35 ans environ. Ils ne mouraient souvent pas, mais ils souffraient le plus. J’ai remarqué ce même phénomène lors de la récente période de la grippe COVID. Les jeunes adultes ont eu le pire des symtômes. Ce sont eux qui ont perdu leur sens du goût et de l’odorat, par exemple, et ont été alités à cause d’une forte fièvre. À tel point que, au début des années 1920, un médecin écrit un article de journal se demandant publiquement si ses conseils aux patients de « se maintenir en bonne santé » pourraient être de mauvais conseils étant donné que la santé vous rend plus vulnérable aux souffrances extrêmes de cette maladie.
3) Le fait que certains n’étaient pas vulnérables à la grippe (est-ce que quelqu’un a remarqué au cours de la soi-disant pandémie de cette année qu’une personne dans une famille pourrait être durement touchée par la maladie alors qu’un frère ou un parent dans la même maison ne l’a pas attrapée du tout?) … Cela a permis aux puissants, utilisant Sigmund Freud comme porte-parole, de déclarer que, parce que seuls certains étaient touchés, alors toutes les allégations de « maladies électriques » ont des causes purement psychologiques. Ce sont des maladies de l’imagination, hypnotiquement auto-induites … elles n’ont aucun fondement dans la réalité physique.
…. Et nous sommes ici aujourd’hui, agissant collectivement comme si la proximité de notre voisin pouvait nous mettre en péril mortel.
Il n’y a pas de débat sur le bon sens de cette approche (même si une telle contagion était une réalité, cette stratégie pour faire face à la maladie est stupide). Il n’y a aucun débat autorisé concernant une éventuelle causalité des CEM à la récente pandémie.
… même si de nombreux experts, dont Barry Trower, ont clairement décrit les terribles dangers de la construction du nouveau système autour de nous au moment où nous parlons.
… même si nous savons que les fréquences et intensités diffusées par les nouveaux mâts sont contrôlées par ordinateur et que nous pouvons être zappés par les fréquences ou intensités choisies que nos dirigeants choisissent d’utiliser. Les compagnies de téléphone ont achevé leurs recherches sur les effets des signaux diffusés mais elles refusent de partager les données qu’elles ont glanées des expériences.
La mention même des mâts de téléphonie mobile de nouvelle génération (4G – 5G) est interdite dans le domaine public. Jusqu’à ce que cette question vitale soit débattue librement et équitablement, nous devons nous réserver le droit de croire que l’on nous ment sur tout, que le véritable danger pour notre bonne santé, l’arme qui est utilisée pour nous conduire vers les directions désirées, vise des formations sélectionnées et des intensités de diffusion à partir des nouveaux émetteurs de téléphonie mobile qui ont récemment été érigés au-dessus d’un trottoir très près de votre maison.
Chaque nouvelle fréquence équivaut à un nouveau virus, qui sera étranger à notre corps et notre corps s’adaptera à une nouvelle fréquence de manière normale … et en tombant malade de la « grippe ».
Le connerie COVID-19 est une opération financière.
Nos dirigeants poursuivent un programme et ils ne s’arrêteront pas maintenant.
Quelque chose de terrible va arriver. La maladie récente a provoqué l’hypoxie légère de nombreuses victimes (l’hémoglobine de leur corps n’a pas pu absorber complètement l’oxygène qu’elles ont inhalé). La deuxième vague sera bien pire que la première. La première était une pratique (un « exercice en direct » comme l’appelait Pompeo). Maladie, guerre, effondrement financier, famine … tout est possible … mais quoi qu’il arrive, attendez-vous à ce que ce soit très mauvais.
… nous allons bientôt endurer les heures les plus sombres avant une nouvelle et merveilleuse aube. Nous avons avalé collectivement de nombreux tonneaux de mensonges sataniques toxiques.
Cependant, nous devons être de bon cœur car bientôt nous connaîtrons la vérité et cette vérité libérera le monde entier.
* P.S. Le livre le plus important écrit ce siècle, jusqu’à présent, est sûrement « The Invisible Rainbow » d’Arthur Firstenberg dont la plupart des informations dans l’article ci-dessus ont été tirées [Voir ci-dessous].
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg
Voici une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les effets thermiques peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de l’électricité et de la Vie depuis le 18ème siècle. Ce livre nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques depuis plus de deux siècles! L’ingénieur Sosthène Berger a réalisé un résumé en français fort utile de ce livre de 508 pages dont une bibliographie de 134 pages.
Titre d’origine en anglais: The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life)
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des champs électromagnétiques (CEM).
Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner le tabou entourant ce sujet. De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
» L’histoire de l’invention et de l’utilisation de l’électricité a souvent été présentée, mais jamais du point de vue environnemental. La présomption de sécurité et la conviction que l’électricité n’a rien à voir avec la vie sont maintenant si profondément ancrées dans le psychisme humain que de nouvelles recherches et des témoignages de ceux qui sont blessés par les CEM ne suffisent pas à changer le cours que la société a mis en place, » explique la quatrième de couverture de son livre. Deux mondes de plus en plus isolés – l’un habité par la majorité, qui embrassent les nouvelles technologies sans fil sans remise en question, et l’autre habité par une minorité croissante qui lutte pour la survie dans un environnement pollué par l’électricité – ne parlent même plus la même langue. Dans The Invisible Rainbow, Arthur Firstenberg relie ces deux mondes. Dans une histoire rigoureusement scientifique mais facile à lire, il fournit une réponse surprenante à la question suivante : comment l’électricité peut-elle être soudainement nuisible aujourd’hui quand elle était sûre pendant des siècles? »
Son ouvrage est des plus instructifs. On y apprend notamment :
que les biométéorologues savent que 30 % de la population est sensible aux changements dans l’électricité climatique et que cette sensibilité est documentée depuis 5.000 ans;
que les aiguilles de l’acupuncteur conduiraient l’électricité atmosphérique pour stimuler les méridiens;
que les effets secondaires de l’électrothérapie (confusion, étourdissements, maux de tête, nausée, faiblesse, fatigue, palpitations cardiaques, saignements de nez, etc.) sont attestés depuis le 18esiècle;
qu’à force de s’exposer à répétition à l’électricité statique, Benjamin Franklin avait développé une douloureuse électrohypersensibilité;
que le diagnostic de l’anxiété est apparu en 1866 alors que les fils de télégraphe faisaient le tour du globe, queles premières épidémies d’influenza sont survenues en 1889 après l’invention du courant alternatif qui transforma le statut du diabète, des cardiopathies et du cancer de maladie rare à courante;
que chez certaines personnes les tremblements de terre causent les mêmes symptômes associés à l’électrification, rapportait le physicien britannique William Stukeley en 1749;
que 12 % des gens peuvent entendre les faibles courants électriques, affirmait l’otologiste Auguste Morel en 1892;
que 80 % des patients électrosensibles du médecin Gad Sulman, directeur de l’unité de bioclimatologie du centre médical de l’Université Hadassah, à Jérusalem, prédisaient les changements de météo de 12 à 48 heures à l’avance, car les ions atmosphériques modifient la production cérébrale de sérotonine, neurotransmetteur responsable de l’humeur. « Nous causons une grave injustice aux patients électrosensibles en les traitant comme des patients psychiatriques », écrivait-il en 1980 dans son livreThe Effects of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and Other Electric Phenomena on Man and Animal(Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400 p.);
que la neurasthénie (faiblesse nerveuse), nommée en 1869 par le neurologue George Miller Beard qui collabora avec Edison dans sa découverte de l’électricité de haute fréquence, fut rebaptisée « névrose d’angoisse » par Sigmund Freud en 1895; or les Russes ont rejeté cette redéfénition :la neurasthénie, encore un des diagnostics les plus répandus en Asie, est due à une toxicité chimique et électromagnétique chronique. Elle a atteint des proportions épidémiques depuis l’électrification survenue dans les années 1880 et ce déséquilibre nerveux est un des premiers symptômes de la « maladie des micro-ondes » découverte par les Russes en 1930;
qu’un cellulaire, qui peut à la longue notamment provoquer des acouphènes, dépose 360 joules d’énergie dans un cerveau par heure d’exposition, comparativement à 150 joules pour la pile électrique avec laquelle Volta provoquait une sensation auditive en la rattachant à une oreille avec des électrodes;
que les animaux et les plantes sont aussi sensibles que nous aux CEMet que de très faibles courants électriques altèrent leur croissance et leur fonctionnement.
Pour en savoir davantage, lire l’historique de l’électrohypersensibilité publiée par Firstenberg sur son site cellphonetaskforce.org. Il y raconte que dans les années 1950, plusieurs cliniques furent ouvertes dans les pays du pacte de Varsovie pour traiter les cas de maladie des micro-ondes qui happa des milliers de travailleurs exposés à des micro-ondes.
Reuters a rapporté que le Burundi a expulsé le chef national de l’OMS et trois de ses subordonnés alors que le pays se prépare à une élection présidentielle qui aura lieu la semaine prochaine. L’OMS a fait part de ses inquiétudes à plusieurs reprises, affirmant qu’il ne serait pas prudent de tenir le vote en pleine pandémie.
Ces affirmations ont manifestement irrité le gouvernement, qui fait pression pour organiser la première élection du pays depuis la démission du président Pierre Nkurunziza en 2018. Un candidat successeur du parti de Nkurunziza est le grand favori pour remporter les élections. Son gouvernement a été accusé de violations des droits de l’homme et a déjà expulsé des représentants de l’ONU et d’autres personnes enquêtant sur les violations des droits de l’homme, mais les candidats de l’opposition contestent ouvertement le vote et toute tactique de répression a été largement cachée.
De nombreux critiques du gouvernement et de l’opposition ont critiqué la décision, bien que, notamment, personne ne plaide pour l’annulation de l’élection, signe que l’insistance de l’OMS n’a pas été reçue par la population. La campagne a déjà donné lieu à de nombreux rassemblements où les gens étaient entassés, et beaucoup soupçonnent que le véritable bilan du virus ne se reflète pas dans les chiffres officiels.
Les quatre fonctionnaires ont jusqu’à vendredi pour quitter le pays.
Le gouvernement a confirmé jeudi qu’une lettre du 12 mai du ministère des affaires étrangères a été envoyée au chef de pays de l’OMS, Walter Kazadi Mulombo, et à trois autres experts de la santé de l’organisme des Nations unies, leur donnant jusqu’à vendredi pour quitter le pays.
Bernard Ntahiraja, le ministre adjoint des affaires étrangères, a déclaré que les fonctionnaires avaient été déclarés « persona non grata » mais n’a pas donné de raisons.
Le responsable de l’OMS pour l’Afrique a également critiqué cette décision et a soutenu l’expulsion des fonctionnaires de l’OMS. Cependant, l’OMS a déclaré qu’elle continuerait à soutenir le Burundi dans sa lutte contre le virus.
Le vote pour le successeur du président Pierre Nkurunziza, dont le gouvernement a été accusé à plusieurs reprises de violations des droits et a déjà expulsé d’autres représentants d’organismes internationaux, est prévu pour le 20 mai.
Le directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, Matshidiso Moeti, a qualifié Mulombo de « gestionnaire extrêmement compétent ».
« Nous restons très disposés à … soutenir la réponse (du Burundi) au COVID-19 » a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba.
Contrairement à beaucoup d’autres pays africains, le Burundi n’a mis en place aucune mesure de confinement, et les rapports du pays sont trop rares pour dire à quel point son système de santé pourrait être mis à rude épreuve.
Il y a des gens qui aiment l’isolement et la clôture. Le milliardaire juif David Geffen en fait partie. Il a posté la photo ci-dessous de son yacht sur les médias sociaux en disant « Isolé dans les Grenadines pour éviter le virus, j’espère que tout le monde est en sécurité. » C’est probablement très différent de votre confinement, et sûrement différent de la clôture imposée à une famille de cinq personnes vivant dans un bidonville, dans leur petit de deux pièces. Mais les gens très riches, eux, y sont habitués. Ils ne vont jamais à Walmart. Tout ce qu’ils achètent leur est livré. Ils voyagent en jet privé. Ils n’ont jamais serré la main d’un étranger. Ils vivent dans des résidences fermées. Ils sont naturellement auto-isolés.
Pour eux, le confinement signifie une nouvelle prospérité. Si vous en êtes à votre dernier dollar, vous serez probablement ravis d’apprendre que les milliardaires américains ont ajouté 280 milliards de dollars à leurs comptes grâce au confinement, et qu’ils en valent maintenant 3,3 trillions [1]. Ils aiment tellement le confinement qu’ils considèrent les opposants au confinement comme des tenants de la suprématie blanche et des « nazis », la pire étiquette qu’ils puissent imaginer.
L’état d’urgence sanitaire, c’est trop bon, pour ceux qui ont la responsabilité des populations. Ils s’empressent de faire adopter des règlements, s’emparent de terres, constitueent des gouvernements, créent la « nouvelle normalité », éliminent nos droits, le tout en utilisant le virus comme justification [2]. Même si la mortalité saisonnière de nombreux pays est tombée en dessous des chiffres de l’année dernière, ils nous menacent déjà d’une deuxième vague. Trop c’est trop écrivais-je il y a quinze jours, mais ce n’est toujours pas suffisant pour certains. Le monde sort lentement, trop lentement, de l’ère glaciaire du confinement, car il y a des forces qui veulent que la fête continue toujours. Quelles que soient les indications et contre-indications médicales: les objectifs sont politiques.
L’aspect médical de la crise du Corona n’est pas particulièrement impressionnant. Nous savons maintenant que le virus est parti pour rester parmi nous; aucun pays ne pourra y échapper éternellement. Avec ou sans confinement, il y a des gens qui vont mourir, mais qu’elles puissent au moins mourir en liberté. Prenons le cas du Royaume-Uni. Ils se sont précipités dans leur confinement sur les conseils du Dr Ferguson. Maintenant, ils ont plus de morts que la Suède qui n’avait pas de confinement du tout (Royaume-Uni – 384 morts par million, Suède – 244 morts par million). En outre, la Grande-Bretagne est maintenant en proie à une grave récession, la pire depuis 300 ans selon la Banque d’Angleterre, conséquence directe du confinement.
Le gouvernement britannique n’aurait pas du écouter le tristement célèbre Dr Ferguson. Il s’est trompé bien des fois auparavant, et il se trompe encore aujourd’hui. Regardez la liste de ses précédentes recommandations :
– En 2002, Ferguson a prédit 150.000 décès dus à la maladie de la vache folle, mais il n’y a eu que 177 décès.
– En 2005, Ferguson a affirmé que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient succomber à la grippe aviaire, mais seulement 282 personnes sont mortes de la maladie dans le monde entre 2003 et 2009.
– En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine entraînerait la mort de 65.000 personnes au Royaume-Uni. Au final, la grippe porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni.
Pourquoi les Britanniques ont-ils choisi ce faux prophète de malheur comme guide ? Pour la même raison que d’autres pays européens sont entrés dans le maelström des fermetures, détruisant leurs propres industries et causant la détresse de millions de personnes : ils ont été convaincus ou poussés par le consortium mondial des médias libéraux, l’outil des Deep Pockets, des rapaces aux poches profondes.
Pourquoi la Suède a-t-elle refusé de se soumettre ? Ils ont eu de la chance. Les médias libéraux de Suède sont principalement concentrés dans les mains de la famille Bonnier. Ils sont extrêmement riches et puissants. Ils aiment souligner leur origine juive, au moins depuis 1944, quand ils l’ont fait pour effacer les relents de leur collaboration avec l’Allemagne nazie. Voilà à quoi ça leur sert maintenant : chaque fois qu’ils sont condamnés pour leur mainmise sur 80 % de la presse écrite suédoise, les Bonnier crient à l’antisémitisme, et les critiques se dispersent dans la honte. Rassurez-vous, les journaux et les magazines de Bonnier ont effectivement appelé au verrouillage du pays.
Seulement voilà, la presse écrite n’est pas si influente de nos jours en Suède, par rapport à la télévision. Il y a quelques années (2005-2007), les rusés Bonnier ont acheté TV4 pour quelques centimes de dollar, dans le cadre du schéma habituel des privatisations crapuleuses. L’année dernière, ils ont succombé à la cupidité et l’ont revendue à l’État (par l’intermédiaire d’une société publique) avec un bénéfice énorme. L’accord a été conclu en décembre 2019. Et soudain, la crise du virus a surpris les médias libéraux sans qu’ils aient à disposition leur propre chaîne de télévision ; et l’État a vaincu la presse écrite en utilisant le pouvoir de TV4. C’est la raison principale pour laquelle la Suède a réussi à s’en tenir à son modèle libre de lutte contre les maladies, sans confinement.
Cela n’a pas été facile ; la pression sur la Suède était exceptionnellement forte. Les médias main stream ont publié des milliers d’articles dans lesquels ils prédisaient que les Suédois allaient mourir en masse à cause du virus. Les Suédois ont été vilipendés pour avoir sacrifié leurs personnes âgées. Rien de tout cela n’était vrai, mais depuis quand la vérité interfère-t-elle avec la machinerie de la propagande ? Aujourd’hui, alors que les voisins de la Suède commencent tardivement à ouvrir leurs écoles, on peut dire que la Suède a fait le bon choix. Même la stricte OMS l’a admis : « La Suède représente un modèle d’avenir… si nous voulons revenir à une société dans laquelle nous n’ayons pas d’enfermement« . Même le principal journal libéral israélien Haaretz a publié un long article du virologiste Eyal Shahar, intitulé « La Suède prouve que le monde a fait fausse route ». Il faut garder à l’esprit qu’Israël a connu un confinement très strict. Même le New York Times a publié un article de Tom Friedman suggérant que nous aurions dû suivre le modèle suédois.
Les experts suédois pensent qu’il n’y a pas d’autre moyen de vaincre le virus : il faut s’habituer à vivre avec pour longtemps, comme nous vivons avec d’autres virus. Le confinement est inacceptable quelle qu’en soit la durée; il ne peut que retarder votre rencontre avec le virus, à moins que vous ne puissiez vous retirer de la société comme Howard Hughes. Nous devons donc continuer à vivre sans avoir recours à des extrêmités telles que le confinement.
Cependant, au Royaume-Uni, comme aux États-Unis, les médias libéraux sont tout-puissants. Ils appartiennent aux « Poches profondes » qui sont tout aussi puissantes que l’État profond. La destruction des économies, le chômage et la récession sont tous des facteurs positifs pour les Poches profondes. Les gouvernements seront contraints d’emprunter ou de vendre des actifs, et les rapaces sont prompts à prêter de l’argent et à acheter des actifs. Partout dans le monde, cette récession provoquée artificiellement va enfoncer les États et les citoyens dans l’endettement, et pendant des années, ils rembourseront l’argent emprunté avec intérêts et intérêts composés aux Deep Pockets anglo-américains.
Il y avait un homme qui aurait pu faire échouer ce projet au Royaume-Uni ; il s’appelait Jeremy Corbyn, mais, comme vous le savez, il a perdu la direction de son parti travailliste suite à des accusations d’antisémitisme [5]. Et le Premier ministre actuel, M. Johnson, a accepté le verrouillage de l’accès à l’information exigé par les Deep Pockets.
Maintenant, le pic du virus est pratiquement passé, comme d’habitude pour les maladies saisonnières. Cependant, les tests se poursuivent sans relâche, pour provoquer une auto-réalisation. Plus vous effectuerez de tests, plus vous découvrirez de porteurs de virus. Ce n’est pas très important, ni pertinent d’ailleurs : la Suède a échappé aux tests de masse. Mais en confondant les termes « infecté », « porteur » et « malade », les adeptes de la quarantaine peuvent affirmer que la pandémie continue de se propager. Pour améliorer leurs scores, ils fournissent des tests pré-infectés. Sachez, pour commencer, que de nombreux kits de test se sont révélés avoir été infectés par le virus corona.
Oui, en Tanzanie, ils ont décidé de tester les tests sur une chèvre, un agneau et une papaye. Il s’est avéré que la chèvre et la papaye souffraient du coronavirus, selon les tests. Cette histoire anecdotique montre que grâce aux tests, on peut prolonger les confinements indéfiniment.
Aux États-Unis, les Deep Pockets et le Deep State sont unis dans leur rêve de détrôner le président Trump. Ils ont échoué avec leur RussiaGate, ils ont échoué avec leur tentative de destitution, et le COVID est leur dernier espoir. Ils clament qu’il n’a pas réussi à sauver les États-Unis du virus, que tous les décès à New York sont de sa faute. Un éditorial du Boston Globe a déclaré que Trump a « du sang sur les mains » à cause du coronavirus. Comme ces campagnes médiatiques laissent de marbre l’électorat, ils ont l’intention de nuire à l’économie en prolongeant le confinement, pour faire en sorte que même les Sans-dents (les « déplorables ») refusent de voter pour Trump lors des prochaines élections de novembre.
Aux États-Unis, la bataille pour la levée du confinement ou son maintien est essentiellement une bataille pour ou contre Trump, bien que les deux parties utilisent des arguments quasi médicaux. Un observateur de la politique terrienne basé sur Mars pourrait supposer que les libéraux voudraient l’ouverture, alors que les conservateurs préféreraient maintenir le confinement. En pratique, c’est l’inverse. Les libéraux veulent que le verrouillage dure pour toujours. Il est évident que les libéraux représentent l’élite riche et les cols blancs de la nouvelle économie ; ils peuvent travailler à domicile, ils ne perdent ni argent ni emploi tant que dure la quarantaine. Les « déplorables », eux risquent fort de se retrouver sur la paille.
Une solution, ce pourrait être la rupture de l’Union. Il n’y a plus de raison pour que New York et le Dakota du Nord, le Kansas et Washington restent unis, car ils ont des tendances et des aspirations très différentes et antagonistes. Certains États libéraux aimeraient rester dans leur rêve de confinement à jamais ; d’autres préféreraient se libérer du joug fédéral. Cette solution, certains y pensent depuis longtemps : Le New York Times a, un jour, demandé à ses lecteurs : « Comment aimeriez-vous vivre dans la nouvelle nation de Nouvelle-Angleterre ? tandis que Californiens et Texans jouent périodiquement avec l’idée de l’indépendance. Si Trump gagne en novembre, les libéraux risquent de se diviser ; si Trump perd, les États rouges pourraient faire sécession. Une telle rupture serait une bonne solution pour les Américains des deux côtés, et ce serait une très bonne solution pour l’humanité en général car elle manifesterait l’effondrement des rêves de Tour de Babel des mondialistes.
Alexandre Loukachenko
Dans l’ancienne URSS, le Belarus et son président de tous les défis, M. Loukachenko, ont fait preuve d’une grande indépendance. Ce pays plutôt petit de dix millions d’habitants a suivi le modèle suédois avec de très bons résultats : 13 morts par million contre 21 par million chez son voisin, la Pologne verrouillée. Le Belarus a célébré Pâques avec ses églises ouvertes, et ils ont commémoré le jour de la Victoire en Europe, avec la seule parade militaire de tout l’espace post-soviétique. Prudent, M. Poutine a autorisé la fermeture des églises à Pâques et a annulé la parade militaire – son événement favori depuis vingt ans. La prudence est une bonne qualité chez un dirigeant, mais l’audace est plus excitante et porteuse.
En Russie, c’est le maire de Moscou, Sergey Sobyanin, qui a mené la campagne de bouclage. Ses mesures strictes n’ont pas été reproduites ailleurs en Russie, malgré ses admonestations. À Moscou, il faut un laissez-passer avec un code QR pour quitter son domicile et utiliser les transports publics. Vous n’êtes pas autorisé à vous promener dans la forêt « pour prévenir les incendies ». Une personne de plus de 65 ans n’est pas autorisée à sortir du tout « pour prévenir les infections », comme si elle n’avait pas plus de chances de mourir par manque d’air frais et d’exercice dans son minuscule logis de l’époque soviétique. Les familles ne sont pas autorisées à se promener avec leurs enfants, mais les travailleurs invités d’Asie centrale sont autorisés à travailler dans la construction et ailleurs. (Heureusement, la rigueur des lois russes est atténuée par une faiblesse chronique dans leur application, comme l’avait souligné l’auteur russe Shchedrin il y a 150 ans).
Sobyanin utilise également le verrouillage pour son propre profit : sautant par-dessus les consultations avec les citoyens, il a accéléré une grande vague d’expropriation et de privatisation de terres communales auparavant utilisées à des fins récréatives. Il est si actif dans l’extension des restrictions que de nombreux Russes soupçonnent qu’il espère remplacer Poutine à la tête de l’État. (Poutine a autorisé les maires et les gouverneurs à décider par eux-mêmes comment et quand lever les restrictions). Les Russes qui ont l’esprit conspirationniste pensent que Poutine a déjà perdu son pouvoir, ce qui est quand même loin d’être vrai. Peut-être que les Moscovites ont tenté de protester, mais le verrouillage rend cela impossible à la grande satisfaction des responsables en poste.
C’est vrai pour d’autres pays également. Comme entre les cow-boys et les Indiens, nous nous sommes battus férocement, en grinçant des dents et en nous égratignant jusqu’à ce que la nounou intervienne et impose la paix aux nations en guerre de notre jardin d’enfants. Avez-vous remarqué qu’avec la crise du Corona, la culture actuelle des révolutions a disparu comme par magie ? Les Gilets Jaunes ne défilent plus à Paris, les révolutionnaires de Hong Kong ne cassent plus les distributeurs automatiques. À Beyrouth, la forte vague révolutionnaire s’est éteinte. En Afrique du Sud, le gouvernement a interdit l’alcool et le tabac, mais grâce au confinement, il n’y a pas de protestations. En Angleterre, la police a interrompu une manifestation pacifique en faveur de Julian Assange, parce que contraire aux règles de la quarantaine. C’est une incitation supplémentaire à faire durer la crise du virus, pour les dirigeants.
Au-delà de ces considérations pratiques et politiques, le confinement conduit à un nouveau style de vie, à une « nouvelle normalité ». Plus le verrouillage dure longtemps, plus cette solution finale a des chances de se concrétiser.
Maintenant on entrevoit le plan, tel que tracé par les Deep Pockets.
Nous enfermer dans des cellules individuelles, communiquant par le biais de l’électronique. Ensemble et seuls à la fois. Pas de mariage, pas de famille, pas de religion. Juste la télévision, le chat en ligne et le porno gratuit. Toute chose emballée dans du plastique. Le rationnement, la privatisation et les Ausweiss mettront fin à l’encombrement des rues et des parcs. Chaque conducteur sera suivi, les rations attribuées seront vérifiées, les permis contrôlés, la situation professionnelle scrutée, les opinions politiques vérifiées, le casier judiciaire régulièrement vérifié, l’utilisation du temps libre dûment contrôlée et revérifiée en temps réel. Les abus seront notés et affecteront le budget mensuel pour le rationnement du conducteur. La présence de la police sera généralement invisible, car elle compte sur les frais et les amendes pour maintenir l’ordre. Même pour faire du vélo il faudra être propriétaire enregistré, avec une assurance, un permis et un dispositif de repérage.
Finis les déplacements, pour nous. Les gens très riches retrouveront leur possession solitaire de Venise, de la Côte d’Azur, et de toutes les autres destinations d’élite si inopinément gâchées par le tourisme de masse. À nouveau, les beaux sites vont retrouver leur enchantement du XIXème siècle. Voyager est un luxe, et les gens ordinaires ne méritent pas le luxe. Ils ont essayé de nous en tenir à l’écart en rendant les voyages aussi désagréables que possible avec les fouilles corporelles, mais cela n’a pas suffi.
Si cette pandémie mondiale ne nous arrête pas, ils vont tout simplement nous couper les vivres.
Vous aimeriez, vous, que des hordes d’Allemands ivres, d’Indiens arrivistes et de Chinois impénétrables envahissent vos plages préférées et vos refuges de montagne cachés ? Les riches non plus, et ce sont eux qui font les règles. Nous aurons besoin d’un visa et d’un permis pour aller partout, et nos déclarations d’impôts devront justifier pleinement nos dépenses. Et si vous n’êtes pas assez riche, on vous refusera un visa, même si vous avez économisé pour des vacances à l’étranger comme le font les élites.
Cette tendance existe aussi en Russie.
Les Russes ont cessé de délivrer des passeports et ont fermé les frontières. Un citoyen russe ne peut plus du tout aller à l’étranger ; les bi-nationaux et les étrangers peuvent partir mais ils ne peuvent pas revenir. La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Mme Zakharova, a déclaré dans une interview que les voyages à l’étranger étaient réservés aux personnes riches et bien informées, et non aux gens ordinaires qui ont du souci à se faire avec leur prêt hypothécaire (elle a ensuite affirmé qu’elle avait été mal comprise). Pour le moment, cette ambition n’est pas très pertinente, parce que la majorité des destinations est fermée à la circulation. On n’est même pas autorisé à traverser le pont entre la Suède et le Danemark. On va voir si ça continue…
Nous sommes maintenant à une croisée des chemins historique.
Le choix est ouvert, et il peut aller dans plusieurs sens en fonction des efforts que nous ferons aujourd’hui. Nous pouvons finir comme des non-entités plastifiées, contrôlées, numérisées ; nous pourrions devenir des cobayes pour les expériences de Bill Gates sur les vaccins ; nous pourrions flamber dans un holocauste nucléaire, mais nous pouvons aussi devenir des personnes libres. Il existe de nombreuses façons d’être libre, et la chose la plus importante pour nous est probablement de préserver la pluralité des choix. Ne pas succomber à l’Empire, rester libre. Des États nombreux, des cultures diverses, c’est important et nécessaire pour la planète Terre, tout comme plusieurs compartiments sont indispensables, pour un sous-marin. Tant que cette variété sera préservée, nous serons libres de comparer et de décider ce qui est le mieux pour nous. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier.
La question de la foi – ne lisez pas ce qui suit si la religion vous agace.
Au-delà des faits et des affirmations scientifiques, il y a le point de vue religieux. La première victime du bouclage a été l’Église. Partout où le pays était cadenassé, les églises l’ont été aussi. Même lorsque les magasins et les usines ont été rouverts, les églises sont restées fermées. Les princes de l’Église ont collaboré à la fermeture universelle. Le pape de Rome a célébré Pâques seul à Saint-Pierre, les patriarches de Moscou, de Constantinople et de Jérusalem ont célébré leurs Pâques sans fidèles. Les musulmans font de même : La Mecque est fermée, Médine est fermée, Al Aqsa de Jérusalem est fermée. Les fêtes de Pâques et le Ramadan se sont passées sans les gens, comme si le service divin était juste aussi important que le baseball…
C’est probablement le plus grand succès de Satan depuis la Crucifixion. C’est la grande apostasie, comme cela avait été prophétisé. Nous ne pouvons pas encore mesurer le résultat de ce méga-événement, mais certaines des personnes qui se cachent derrière le confinement en sont certainement conscientes. Ce n’est pas une coïncidence si Bill Gates a choisi le numéro 666 pour son brevet, qu’il a demandé de tamponner (tatouer) tous les hommes avec un sceau invisible, comme le suggérait la prophétie.[6]
Mais nous ne sommes pas réduits à l’impuissance. Le Ministère de la justice a été mobilisé par le président Trump pour soutenir l’ouverture des églises. Les églises et les fidèles sont dociles, tandis que ses ennemis sont effrontés. Les fidèles devraient être plus insistants, à moins que nous n’acceptions que notre foi disparaisse ou prenne une place très modeste à côté d’autres divertissements. Les exemples de l’Église de Suède et de l’Église du Belarus prouvent qu’il était possible d’observer Pâques. C’est notre faute si cela ne s’est pas fait partout.
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L’enfermement des gens dans leur maison, l’interdiction du rapprochement, la promotion de la pornographie, sont autant d’attaques intentionnelles contre un pilier très important de l’humanité et de sa relation avec Dieu. Il faut en finir avec ces attaques le plus rapidement possible afin que nos fils et nos filles puissent à nouveau s’élancer vers leurs bien-aimés.
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Donald Trump et Mike Pompeo…les agresseurs agressés dans leurs retranchements!
L’opération de guerre biologique dite Covid 19 menée par les USA à l’encontre de la Chine est un fiasco total et va même accélérer la défaite de l’Occident face à la Chine.
Cette opération de guerre biologique US « Covid 19 » visait à mettre à bas l’économie chinoise par la dissémination en Chine d’un virus hybride d’autres virus, faiblement létal, similaire celui de la grippe mais doté d’un très puissant pouvoir de propagation, et en conséquence d’invalidation de l’activité économique et globalement sociale. Les chinois ont su immédiatement juguler le virus. Il s’est quasi immédiatement disséminé en Occident en raison des échanges aériens incessants entre la Chine et l’Occident. Les occidentaux n’ont pas su eux le juguler. Le résultat obtenu par les USA est à l’inverse de celui qu’ils avaient espéré, qui était l’affaiblissement de l’économie chinoise. Cela a abouti au contraire à son renforcement puisque la Chine est incomparablement moins atteinte que l’Occident.
Il est probable que d’autres vagues de virus devaient suivre pour finir d’anéantir la Chine.
Il est aussi probable que les USA réitéreront cette opération de guerre biologique.
Cette affaire en dit long sur la qualité intellectuelle des services secrets US et sans aucun doute israéliens qui ont conçu et mis en œuvre cette lamentable affaire.
Elle révèle bien avant terme qui sera le gagnant final de l’affrontement entre l’Occident et la Chine.
Plusieurs athlètes français ont révélé ces derniers jours avoir souffert des symptômes du Covid-19 suite aux Jeux militaires qui ont eu lieu en octobre dernier. Cette compétition, à laquelle ont pris part plus de 400 sportifs tricolores, s’était déroulée à Wuhan, l’épicentre chinois de la pandémie. La médaillée olympique Elodie Clouvel pense sans équivoque avoir « déjà eu le coronavirus », ainsi que son partenaire, le pentathlète Valentin Belaud. La polémique ne cesse de prendre de l’ampleur.
Elodie Clouvel and Valentin Belaud (R), respectively world vice-champion and world champion in modern pentathlon, pose during a training session of the French team in Font-Romeu, on June 14, 2016 ahead of the Rio Olympics. (Photo by RAYMOND ROIG / AFP)
Le coronavirus pourrait avoir frappé sans prévenir plus tôt que prévu. De nombreux témoignages et indices incriminent la tenue des Jeux militaires en Chine, à Wuhan -premier foyer mondial du Covid-19- comme possible vecteur de contamination. Plusieurs athlètes français ont ainsi exprimé avoir souffert des mêmes symptômes que ceux du Covid-19 après leur participation à la compétition organisée en octobre dernier. Près de 400 Tricolores ont pris part à ces Jeux, parmi les 10.000 sportifs présents dans ce qui s’est avéré être le point de départ de la pandémie qui touche le monde entier depuis plusieurs mois.
D’hypothèses en bruits de couloir, l’affaire est devenue une onde de choc, qui pourrait sérieusement remettre en question la date de la première contamination au virus jusque-là estimée au 17 novembre 2019 en Chine, et au 27 décembre en France. La championne du monde et vice-championne olympique de pentathlon Elodie Clouvel est ainsi persuadée d’avoir contracté le Covid-19 aux Jeux mondiaux militaires. Interrogée par la chaîne locale Télévision Loire 7 le 25 mars dernier, celle qui a décroché l’or durant ces Jeux assurait ne pas craindre de devoir se rendre à nouveau en Asie pour les Jeux Olympiques de Tokyo, puisqu’elle et son compagnon (le pentathlète Valentin Belaud) avaient déjà été contaminés. « On était à Wuhan et après, on est tous tombés malades. Valentin a loupé trois jours d’entraînement. C’était très bizarre, moi aussi, j’ai eu des trucs que je n’avais pas eus avant. On ne s’est pas plus inquiété que ça parce qu’on n’en parlait pas encore.«
[videopress eiuob7eY]
Un autre athlète militaire français sous couvert d’anonymat a confirmé à BFM TV être également tombé malade (fièvre, courbatures importantes) et avoir dû être alité pendant trois jours à son retour de Chine. « On a eu un contact avec le médecin militaire qui nous a dit, ‘Je pense que vous l’avez eu parce qu’il y a beaucoup de gens de cette délégation qui ont été malades »‘ relate Elodie Clouvel. Selon BFM TV, aucun sportif français n’a été testé après Wuhan, et il n’est pas prévu qu’ils le soient à l’avenir. « On nous dit : ‘il n’y a pas de risque, vous êtes repartis le 28 octobre et le virus est arrivé le 1er novembre’« , précise un autre athlète anonyme au Parisien. Au ministère des Armées, on a été demandé aux athlètes de ne pas répondre aux questions sur ce sujet avant de transmettre un communiqué sur la santé des membres de l’équipe de France militaire. « Il n’y a pas eu, au sein de la délégation française des Jeux militaires mondiaux, de cas déclarés auprès du Service de santé des armées de grippes ou d’hospitalisation pendant et au retour des JMME, pouvant s’apparenter, à postériori, à des cas de Covid-19« , a réagi le ministère des Armées, qui ne précise pas si Elodie Clouvel a été ou non en contact avec des médecins militaires pour être testée ou comparer ses symptômes de l’époque avec ceux du nouveau coronavirus. « La délégation française a bénéficié d’un suivi médical, avant et pendant les jeux, avec une équipe médicale dédiée composée de près d’une vingtaine de personnels« , souligne encore le ministère, en rappelant que « lorsque les Jeux mondiaux militaires d’été (JMME) se sont déroulés du 18 au 27 octobre 2019, à Wuhan en Chine, l’épidémie liée au Covid-19 n’était alors pas connue » et que « le premier cas de Covid-19 n’a été rapporté par la Chine à l’OMS, que le 31 décembre 2019« . Inquiétudes également à l’étranger L’affaire ne pose pas question seulement dans l’Hexagone. Aux États-Unis, la thèse d’une arrivée du virus sur le territoire par sa délégation militaire au retour des Jeux a déjà fait surface [1]. Cette thèse avait été étayée notamment par les propos du porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, qui avait expliqué entre les lignes d’un Tweet que le Covid-19 avait pu avoir être amené sur le sol américain par l’équipe militaire ayant pris part au rassemblement de Wuhan. Au Luxembourg ou en Suède, d’autres exemples de sportifs malades ont fait surface ces derniers jours. « Mais aucune des personnes testées n’a donné de résultat positif » au Covid-19 martèle le service de communication des forces armées suédoises.
[1] Contrairement à ce que dit l’article ci-dessus, ce sont les faux athlètes américains qui ont introduit le Covid en Chine.
Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine (13 mars 2020) :
Le journal chinois Global Times a rendu public aujourd’hui le nom du sergent d’état-major Maatje Benassi, une cycliste professionnelle (femme d’origine néerlandaise) qui a participé aux jeux de Wuhan et qui, selon le Global Times, s’est révélé positif pour COVID-19.
Voici donc l’Américaine qui a participé à la diffusion délibérée du COVID à Wuhan. Elle est également «chauffeur diplomatique armé» ayant des antécédents de liens avec des opérations de renseignement impliquant des personnalités clés du canular RussiaGate.
L’attaque biologique au coronavirus contre la Chine a été révélée par un officier dénonciateur britannique en 2010 (14/03/2020) :
« …. Par la suite, ou simultanément, des armes biologiques seraient utilisées contre la population chinoise. Cela déclencherait alors une autre chaîne d’événements qui ferait s’effondrer toute l’infrastructure politique et sociale chinoise. Cela a été mentionné comme suit: Maladie, suivie de pénuries alimentaires généralisées, suivie d’une famine de masse. […] Les agents biologiques étaient décrits comme ressemblant à la grippe et se propageaient comme un feu de forêt. Cela me choque et me rend malade de décrire ces événements. Cela me choque encore plus de savoir que des événements plausibles sont manipulés pour provoquer l’extinction de toute une partie de la race humaine. »
Coronavirus. Après la Chine, les soldats américains infestent l’Europe, le Japon, la Corée du Sud, etc. (16/03/2020) :
Nous avons vu que les Chinois ont accusé les Américains d’avoir introduit l’arme biologique Covid-19 lors des jeux militaires de Wuhan. On constate aujourd’hui que les principaux foyers de contamination en Europe, au Japon, en Corée du Sud, et ailleurs se situent à proximité immédiate des grandes bases militaires américaines. Cela confirmerait que l’Otan n’est rien d’autre que l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord.
CONFIRME. Les USA ont introduit le COVID-19 en Chine à l’occasion des « Jeux Militaires » de Wuhan (26/03/2020) :
En octobre 2019, les États-Unis ont amené 172 (en réalité 369) « athlètes » militaires à Wuhan pour les Jeux militaires mondiaux. Bien qu’ils aient la « plus grande armée au monde », les États-Unis se sont classés 35e derrière des pays comme l’Iran, la Tunisie, la Finlande ou la Slovénie. Il n’y a pas de vidéo ou de photos de l’équipe américaine, aucun dossier n’a été conservé.
Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
Le journal chinois Global Times a rendu public aujourd’hui le nom du sergent d’état-major Maatje Benassi, une cycliste professionnelle (femme d’origine néerlandaise) qui a participé aux jeux de Wuhan et qui, selon le Global Times, s’est révélé positif pour COVID-19.
Voici donc l’Américaine qui a participé à la diffusion délibérée du COVID à Wuhan. Elle est également «chauffeur diplomatique armé» ayant des antécédents de liens avec des opérations de renseignement impliquant des personnalités clés du canular RussiaGate.
Benassi était chauffeur pour le général James Jones, de ShadowNet, (George Webb) et a travaillé pour le renseignement de l’armée américaine. ShadowNet et Psy-Group ainsi que Cambridge Analytica faisaient partie de l’enquête Mueller, cherchant des informations sur leurs relations avec Paul Manafort (emprisonné) et Donald Trump Jr. (pas encore emprisonné).
D’autres allégations disent que 67 militaires américains sont morts il y a une semaine, mais cela provient d’une source médicale / diplomatique à Moscou et n’est pas confirmé.
La Chine demande aux États-Unis de divulguer des informations sur le nombre de militaires américains qui ont quitté Wuhan (369 étaient là) et qui ont été testés positifs. Notez que beaucoup auraient pu être infectés dans l’avion de retour de Chine… Jim W. Dean ———————————-
Première publication… 25 mars 2020 –
Les internautes et experts chinois exhortent les autorités américaines à divulguer les informations sur la santé et les infections de la délégation militaire américaine qui est venue à Wuhan pour les Jeux mondiaux militaires en octobre pour mettre fin à la conjecture selon laquelle le personnel militaire américain aurait introduit la COVID-19 en Chine.
Un journaliste américain a affirmé qu’un athlète militaire américain dans la délégation pourrait être le « patient zéro » de la nouvelle maladie mortelle.
George Webb, un journaliste d’investigation à Washington, DC, a affirmé dans des vidéos et des tweets récents qu’il pensait que Maatje Benassi, un chauffeur diplomatique armé et cycliste qui était à Wuhan en octobre pour la compétition de cyclisme aux Jeux mondiaux militaires, pourrait être « patient zéro » de COVID-19 à Wuhan.
[Selon] un rapport du site officiel du département américain de la Défense du 25 octobre, Maatje Benassi a participé à une course cycliste sur route de 50 milles à Wuhan.
Webb a également cité un laboratoire militaire, le laboratoire de Fort Detrick , qui traite des organismes pathogènes de haut niveau tels qu’Ebola , à Fredrick, Maryland, qui a été fermé et déplacé en juillet en raison d’installations et d’un système de gestion non qualifiés.
Benny Benassi is stuck at home this season.
dancingastronaut.com
Les politiciens américains soutiennent que le nouveau coronavirus est «fabriqué en Chine», tandis que les scientifiques mondiaux, y compris ceux des États-Unis, n’ont trouvé aucune preuve solide pour prouver l’origine du virus. Compte tenu de cette situation, il est important de détecter tout point suspect dans la délégation américaine aux jeux de Wuhan dans ce scénario, et de savoir ce qui s’est réellement passé, a déclaré Li.
COVID-19, une maladie mortelle causée par le nouveau coronavirus, a infecté plus de 330.000 personnes dans le monde et en a tué plus de 14.000.
L’identification de l’origine aidera à développer une thérapie efficace contre la maladie. Les États-Unis devraient fournir des informations sur les membres de la délégation pour soutenir les recherches connexes, a déclaré Li.
Plus tôt en mars, Zhao Lijian, un diplomate chinois franc, soupçonne, sur son compte Twitter personnel, que ce pouvaient être les représentants de l’armée américaine aux Jeux mondiaux militaires qui avaient amené le nouveau coronavirus à Wuhan en octobre 2019, après qu’un haut responsable américain de la santé a admis avoir détecté des infections à coronavirus sur certains patients décédés de la grippe.
Zhao a exhorté les États-Unis à divulguer de plus amples informations, à faire preuve de transparence sur les cas de coronavirus et à fournir une explication au public. —————————————–
Une femme américaine termine 8e malgré un accident dans une course sur route de 50 miles à vélo
Par Gary Sheftick, Army News Service, 24 octobre 2019
WUHAN, Chine – Un coup par derrière dans le dernier tour a peut-être anéanti les espoirs des forces armées américaines pour l’or dans le cyclisme féminin, mais des côtes meurtries et un casque fissuré n’ont pas empêché le Sgt. 1re classe Maatje Benassi de franchir la ligne d’arrivée.
Benassi a mené le peloton pendant une grande partie du troisième et du quatrième tours des 50 milles et cinq tours sur route dimanche lors de la deuxième journée de compétition cycliste des Jeux mondiaux militaires du CISM. Elle était retombée au repêchage depuis un moment et commençait à peine sa dernière poussée lorsque le crash s’est produit.
« Mon plan était de monter sur la gauche« , a expliqué Benassi. Deux virages à droite plus larges approchaient avant l’arrivée « et donc si vous vous déplacez sur la gauche, vous n’avez pas besoin de freiner; vous pouvez porter tout cet élan – cette vitesse – dans le virage. «
Le CISM, ou International Military Sports Council, organise les Jeux tous les quatre ans, avec plus de 100 nations participant à 32 sports. Le conseil est désigné par son acronyme français, CISM, parce que le français est sa langue fondatrice.
Alors que le peloton approchait de la marque des 2 kilomètres depuis l’arrivée, «il y avait beaucoup de mouvement en cours», a-t-elle déclaré. « C’est devenu très flou. »
Quand elle est allée à pleine vitesse dans le virage à droite, elle a repéré un maillot blanc remonté par derrière. Le pneu avant de cette concurrente a heurté sa roue arrière, la faisant tomber.
Sa tête a touché le sol et elle a entendu un déclic « et je savais que j’avais cassé le casque à ce moment-là« , a-t-elle déclaré. «Ma première réaction a été:« Je ne pouvais pas respirer ».» L’impact lui a littéralement coupé le souffle. « Je devais juste reprendre mon souffle, mais ça ne vienait pas. »
Alors que les décès dus au COVID-19 commencent à augmenter, les travailleurs américains décident de riposter .
Jeff Bezos, qui vaut 100 milliards de dollars, a profité de l’avantage injuste de son entreprise maintenant que de nombreux États ont contraint des magasins de briques et de mortier non essentiels à fermer.
Amazon a connu une vague de recrutement massive, emballant des milliers de nouveaux travailleurs dans ses entrepôts insalubres et exigus. L’augmentation drastique de la demande et du désir de profiter de la pandémie a conduit les employés, même dans les entrepôts avec des cas confirmés de COVID-19, à passer à travers des quarts physiquement taxés, mal compensés, plus longtemps que d’habitude. Chaque travailleur doit toucher d’innombrables colis chaque jour, sans se voir accorder un équipement suffisant et des mesures de précaution qui pourraient ralentir son efficacité. L’assurance maladie ou la prime de risque qu’ils méritent ne sont pas envisageables. Ce n’est pas seulement dangereux pour les travailleurs, mais cela pourrait aussi propager le virus aux clients à travers notre pays.
Un certain nombre de facteurs ont donné aux travailleurs américains la confiance nécessaire pour se défendre. Pour le moment, il n’est pas facile pour Amazon de prendre des remplaçants, que ce soit des travailleurs temporaires ou des immigrants . Le nouveau projet de loi de relance du gouvernement fédéral, bien que très défectueux et en baisse du bien-être des entreprises, offre un filet de sécurité décent à ceux qui sont licenciés . Le gel actuel du mondialisme a considérablement affaibli le pouvoir du capital et l’a rendu vulnérable à la résistance des travailleurs.
Amazon a commencé comme un libraire en ligne qui s’est transformé plus tard en un monopole multinational avec 800 000 employés. Amazon est en mesure de conserver son pouvoir en rachetant des concurrents, en soumettant les travailleurs à des conditions du tiers-monde et à peu ou pas d’avantages, et utilise un certain nombre d’échappatoires pour payer 1,2% de ses 14 milliards de dollars de revenus sur les impôts fédéraux, malgré le public massif le fardeau de l’infrastructure cause le modèle commercial d’Amazon.
Quoi que vous pensiez économiser lorsque vous magasinez sur Amazon, vous finissez par payer des impôts sur le revenu pour subventionner les problèmes de main-d’œuvre et d’infrastructure de Jeff Bezos. Les travailleurs d’Amazon sont disproportionnellement plus susceptibles d’avoir besoin de coupons alimentaires , de l’aide sociale, de médicaments et d’autres services sociaux. À Seattle, la présence d’Amazon a causé d’énormes problèmes de circulation et le coût du logement a doublé en six ans .
Bezos ne fait rien de valeur sociale avec la richesse et le pouvoir personnels qu’il a accumulés. La sélection illimitée de livres qui a mis Amazon sur la carte est désormais, après avoir écrasé ses concurrents, strictement limitée à censurer les livres politiques et historiques des organisations juives et Bezos ne veulent pas que le public puisse lire. Le programme Smiles d’Amazon est géré par des extrémistes anti-blancs et anti-ouvriers au Southern Poverty Law Center. Une nouvelle série produite par sa société, «Hunters», est pro- «antifa», un porno anti-tabac à priser blanc qui célèbre le meurtre grotesque et sadique de «nazis» allemands compris explicitement comme des espaces réservés aux Blancs ordinaires . The Washington Post, un journal autrefois faisant autorité, a été transformé en une version imprimée du Huffington Post sous son commandement.
Bezos finance des programmes d’ouverture des frontières et 10 milliards de dollars de subventions pour pousser l’austérité verte . Cela peut le protéger de l’opposition totale de la gauche libérale, mais pourquoi ne paie-t-il pas simplement ses impôts et ne fournit-il pas à ses travailleurs des soins de santé, des droits fondamentaux au travail et un salaire décent?
Au lieu de cela, Amazon mène le monde des entreprises dans une exploitation impitoyable. Le livre de Jessica Bruder, Nomadland , note qu’Amazon encourage la pratique du « Workamping » – des blancs pauvres et souvent plus âgés qui sont obligés de déménager dans des maisons mobiles ou de vivre dans leur voiture et de voyager à travers le pays à la recherche d’emplois temporaires juste pour survivre. Une personne sur quatre dans cette tragique sous-culture travaille pour Amazon, qui reçoit également une subvention fiscale pour son emploi en raison de son âge. La nature physique et répétitive du travail à un rythme élevé pèse sur ces travailleurs, et le livre décrit comment Amazon a des dispensaires d’analgésiques sur les murs du chantier pour les travailleurs à emploi précaire.
Il est maintenant temps pour Bezos de payer. Les revendications avancées par les travailleurs en grève: double prime de risque, congés de maladie payés et plus de pauses, sont du bon sens. Les consommateurs, effrayés par la perspective d’une propagation de la pandémie, font déjà pression sur leur gouvernement pour fermer les entrepôts qui ont connu des épidémies infectieuses, mais Amazon a exigé de rester ouvert.
C’est en temps de crise que nous apprécions la vraie valeur du travail. Il est temps de le compenser, qu’il s’agisse de «sous-traitants» dans l’économie des concerts ou d’un esclave. Ce sont des vers comme Jeff Bezos dont la présence multinationale et les chaînes d’approvisionnement internationales ont permis la propagation du virus mondialiste et causé des pénuries chroniques par la désindustrialisation. Il est temps que les ploutocrates néolibéraux soient obligés de payer pour le désordre et la misère qu’ils ont causés.
EN COMPLÉMENT
Un vice-président d’Amazon démissionne en soutien aux employés sonneurs d’alertes
Amazon a affirmé à maintes reprises que toutes les mesures possibles étaient prises pour assurer la sécurité de ses employés, mais bon nombre d’entre eux affirment le contraire.
Le vice-président canadien des services numériques de l’entreprise de commerce électronique Amazon, Tim Bray, démissionne pour dénoncer le licenciement d’employés ayant sonné l’alarme sur de mauvaises conditions de travail durant la pandémie de COVID-19.
«Je suis consterné par le fait qu’Amazon ait licencié des dénonciateurs qui ont attiré l’attention sur des employés d’entrepôts effrayés par la COVID-19», écrit Tim Bray, basé à Vancouver, dans un billet publié en ligne.
Depuis le début de la pandémie, des employés dénoncent des conditions de travail incompatibles avec les mesures de distanciation physique. En avril, Radio-Canada a rapporté leurs préoccupations et a choisi de protéger leur anonymat afin de leur éviter des représailles.
Or, un travailleur qui s’organisait pour réclamer de meilleures conditions a été licencié, affirme Tim Bray dans son billet.
L’explosion de la demande, en raison des mesures de confinement et de la fermeture des commerces jugés non essentiels, met une énorme pression sur le réseau de distribution, disent des employés.
Des congédiements aux motifs « risibles »
L’organisation Amazon Employees for Climate Justice (AECJ), un groupe qui milite pour la protection de l’environnement fondé par des travailleurs d’Amazon, a créé une pétition et organisé une conférence virtuelle le jeudi 16 avril, avec des employés d’entrepôts internationaux et la militante Naomi Klein.
Deux organisatrices, Emily Cunningham et Maren Costa, ont été congédiées sur-le-champ et les motifs étaient risibles, raconte M. Bray.
Un représentant d’Amazon affirme qu’elles ont été renvoyées pour violation répétée des politiques internes, sans toutefois donner de détails.
Emily Cunningham soutient pour sa part avoir été licenciée après avoir milité pendant bon nombre d’années pour des changements au sein de l’entreprise.
«Je ne peux pas aller à des funérailles ou à un mariage, et pourtant Amazon met les gens en danger en vendant des articles non essentiels comme des balles de ping-pong et des poulets en caoutchouc. Cela n’a aucun sens», dit cette dernière.
« Triste, mais libre »
En fin de compte, tout tourne autour de l’équilibre des pouvoirs, écrit Tim Bray.
Les employés d’entrepôt sont faibles et s’affaiblissent à cause d’un chômage massif et d’une assurance maladie liée à l’emploi aux États-Unis.
La démission de Tim Bray lui aura coûté près d’un million de dollars, sans compter le meilleur emploi qu’il n’ait jamais eu. Il conclut en se disant triste, mais en mesure de respirer plus librement.
Au moment où vous lisez ces lignes, peut-être avez-vous déjà appris l’ampleur des dégâts subis sur le front de l’emploi au Canada le mois dernier, alors que se faisait ressentir toute la force de l’impact de la pandémie de coronavirus ?
Des secteurs tels que la restauration continueront d’être plombés par les nouvelles normes sanitaires et la prudence des consommateurs.
À moins d’une surprise, tout aussi immense qu’improbable, les pertes s’avéreront aussi terribles qu’on le croyait, du jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale.
On aura l’embarras du choix pour le chiffre le plus effrayant, entre les quatre, peut-être cinq millions d’emplois effacés en un seul mois, le taux de chômage qui pourrait flirter avec le taux hallucinant de 20 % et la proportion de Canadiens qui avaient encore le privilège d’occuper un emploi, qui pourrait être inférieure à un sur deux.
On ne manquera pas de faire des comparaisons avec les récessions passées et de parler de nouveaux records. Seulement, cette crise économique n’est pas comme les autres, répétait dans un discours, la semaine dernière encore, le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, en raison de la décision délibérée des gouvernements de mettre leurs économies sur pause pour freiner la progression de la COVID-19.
« La situation actuelle ressemble beaucoup plus à une catastrophe naturelle qu’à une récession économique classique », expliquait-il, et « à la suite de catastrophes naturelles, la reprise économique est généralement assez rapide et solide ».
Aussi, plusieurs observateurs s’entendent-ils pour dire que ces terribles statistiques du mois d’avril marqueront le creux de la crise, après quoi on verra la situation de l’emploi, et de l’économie en général, graduellement s’améliorer. Les gouvernements provinciaux n’ont-ils pas déjà entamé le déconfinement ?
Une catastrophe pas comme les autres
Seulement, l’actuelle pandémie n’est pas n’importe quelle sorte de catastrophe naturelle.
Contrairement à un tremblement de terre ou à un tsunami, qui se terminent aussi rapidement qu’ils sont arrivés, la pandémie continuera de faire des siennes vraisemblablement jusqu’à ce qu’un vaccin soit trouvé, peut-être dans 12 à 18 mois.
La levée, ou plus probablement l’assouplissement, des règles de confinement et de distanciation sociale facilitera sans doute la vie de plusieurs entreprises et travailleurs, mais cela ne les ramènera pas à une vie normale.
Quant aux secteurs économiques les plus exposés, comme le tourisme, l’hébergement, la restauration et le commerce de détail, leurs activités continueront d’être cruellement plombées par les nouvelles normes sanitaires et la prudence des consommateurs.
Pendant encore combien de temps ces entreprises pourront-elles tenir le coup avant de devoir fermer définitivement leurs portes et transformer leurs employés, considérés aujourd’hui comme en simple chômage technique, en chômeurs ordinaires ?
Un sondage de la firme Recherche Modus, réalisé auprès d’un millier d’entreprises canadiennes de toute taille, révélait mercredi que, en vertu des règles en vigueur la semaine dernière, et en dépit de l’aide financière d’urgence des gouvernements, 5 % d’entre elles avaient déjà abandonné la partie et que cette proportion grimpera à 21 % d’ici trois mois et à 46 % d’ici six mois.
En fait, personne ne sait quelles pertes d’emploi du mois d’avril ne seront bientôt plus qu’un mauvais souvenir et ce qui se traduira en destruction plus durable de la capacité de production.
Dans la version la plus optimiste de ses prévisions économiques, le Fonds monétaire international prédisait au Canada, il y a un mois, des taux de chômage moyens de 7,5 % cette année et de 7,2 % l’an prochain. Rien à voir avec le taux vertigineux qu’il dévoilera ce vendredi, mais, tout de même, une augmentation marquée et durable par rapport à la moyenne de 5,7 % affichée l’an dernier.
EN COMPLÉMENT
80 travailleurs de Résolu perdront leur emploi à Alma
Des rouleaux de papier fabriqués à l’usine de Produits forestiers Résolu d’Alma.
Environ 80 travailleurs de Produits forestiers Résolu à Alma perdront bientôt leur emploi. La compagnie ferme la machine à papier numéro 10 pour au moins les six prochains mois.
Résolu a annoncé la nouvelle à ses employés vendredi matin. La production sera interrompue dans une semaine.
Au début avril, l’entreprise avait déjà annoncé la fermeture de la machine numéro 9 pour une durée indéterminée, ce qui touchait une cinquantaine de travailleurs au sein des installations.
Il reste toujours une machine à papier en fonction. Environ 200 travailleurs y sont rattachés.
Pour expliquer la plus récente fermeture, le porte-parole de Résolu, Karl Blackburn, invoque une baisse des commandes de papier circulaire au Canada et aux États-Unis en raison de la pandémie de coronavirus.
La faillite guette l’industrie aérienne
La plupart des compagnies aériennes voient de 90 a 95% de leur flotte clouée au sol.
Sans injection de liquidités rapide, 50 % des compagnies aériennes seront en faillite début juin, entre 80 et 90 % fin juillet. Alexandre de Juniac parle d’une crise sans précédent de par son ampleur. « L’industrie va se réduire, se consolider. »
Dans le cadre d’une visioconférence organisée par le Conseil des relations internationales de Montréal, Alexandre de Juniac, directeur général et chef de la direction de l’IATA, est revenu sur l’urgence financière qui confronte l’industrie.
L’Association, qui compte 290 membres revendiquant 82 % du trafic aérien mondial, évalue que la crise menace 25 millions d’emplois dans l’aviation et les chaînes de valeur connexes, y compris le secteur touristique.
Les revenus de passagers devraient être inférieurs de 314 milliards $US cette année, « soit moitié moins que le chiffre d’affaires de 2019 », et les compagnies aériennes vont dépenser environ 61 milliards de liquidités « seulement au deuxième trimestre », alors que la demande plonge de 80 % ou plus.
« Une compagnie « normale » voit présentement de 90 à 95 % de ses avions cloués au sol », dit-il.
Refroidissement immobilier
Le quartier Griffintown à Montréal
Cette pandémie est venue jeter un froid soudain sur le marché résidentiel au Canada. L’état de surchauffe observé avant mars pourrait se transformer en une correction des prix débordant 2020, selon le degré de détérioration de l’état de santé financière des ménages et leur niveau de confiance. Mais ce ne serait alors qu’un retour à un certain équilibre.
Avant l’expansion de la pandémie et l’imposition de restrictions et de mesures de confinements, le marché de l’habitation poursuivait sur sa lancée tant au chapitre des ventes, de la revente et des cours immobiliers. Mais la COVID-19 est venue appliquer brusquement un frein dont la levée demeure difficile à prévoir tant pour sa durée que pour l’impact réel. L’élan recevait son impulsion de la croissance démographique, de la vigueur du marché du travail et de la faiblesse des taux d’intérêt. Puis, le choc est venu, forçant un plongeon moyen de 14 % de la revente résidentielle, selon les résultats publiés ces jours-ci, et poussant plus de 3 millions de Canadiens vers une situation de perte d’emploi ou de réduction des heures travaillées. Et les chiffres d’avril attendus vendredi devraient présenter une image plus sombre.
Bref, avec déjà 700 000 emprunteurs ayant demandé un report de paiement selon l’Association des banquiers canadiens, mai et les mois suivants vont probablement donner le ton à une lente correction du marché. « Plusieurs propriétaires qui éprouvent des difficultés financières à la suite d’une perte de revenus d’emplois pourraient mettre en vente leur résidence, augmentant ainsi l’offre disponible sur le marché », écrit Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins. Un choc devant toutefois être amoindri par l’aide gouvernementale et les politiques de sursis ou de report des paiements des institutions financières. Mais si les acheteurs se font hésitants en raison d’une détérioration de leur santé financière et des incertitudes économiques, « le marché pourrait d’abord basculer en situation d’équilibre et ensuite de surplus si une demande suffisante n’est toujours pas au rendez-vous », ajoute l’économiste.
La firme d’évaluation Morningstar DBRS a élaboré deux scénarios macro-économiques pour le Canada, servant non pas de prévisions, mais plutôt de base à l’exercice d’évaluation de la firme. Tout en rappelant le chiffre de Statistique Canada voulant que le ratio dette/revenu disponible des ménages atteint les 176 %, l’agence retient que le taux de défaillance sur les prêts hypothécaires atteignait à peine 0,25 %, ou 25 points de base, avant l’expansion de l’épidémie. Selon le scénario modéré auquel l’agence adhère, ce taux pourrait presque tripler pour atteindre les 65 points de base en 2020, et reculer graduellement ensuite. Son scénario pessimiste évoque pour sa part un pourcentage de prêts en souffrance atteignant les 100 points de base, poussé à des niveaux généralement observés lors de corrections immobilières sévères.
DBRS appuie toutefois son exercice d’analyse et d’évaluation sur le premier scénario, qui table sur une expansion de la pandémie contenue au deuxième trimestre, avec reprise de l’activité économique au troisième. Le PIB canadien chuterait alors de 4 % en 2020 et le taux de chômage atteindrait les 10 %, soit près du double du taux d’avant crise sanitaire. L’image pessimiste fait ressortir un plongeon du PIB de 8 % cette année et un taux de chômage touchant les 14 %.
Mais, quelle que soit la trame qui va dominer, DBRS estime que la pandémie aura eu pour effet de ramener les prix immobiliers à un niveau consistant avec la croissance des revenus des ménages et de la population. À ses yeux, l’immobilier canadien était surévalué de 20 % l’an dernier. De 26 et de 18 % dans les poches de surchauffe de Toronto et Vancouver, de 11 % à Montréal. Sa lecture modérée esquisse une contraction de 10 % du prix moyen au Canada d’ici 2022, de 14 % et de 10 % à Toronto et Vancouver (avec une contraction de 19 et de 15 % respectivement sur le marché des condominiums, là où il y a davantage de surchauffe), de 6 % à Montréal.
Alors que la Chine blâme le gouvernement américain pour le coronavirus, les organisations juives et le FBI sont occupés à semer des canulars paranoïaques contre leur ennemi national: des hommes blancs politiquement actifs en Amérique.
Ronald Lauder devant le Congrès Juif Mondial
Selon un rapport du FBI cité par le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, des bandes de « nationalistes blancs » et de « néonazis » parcourent actuellement les rues de New York infectant délibérément des Juifs, des minorités et des policiers dans un complot secret à répandre. la peste moderne.
La revendication extravagante de Lauder concorde avec la fuite d’un rapport du Département de la sécurité intérieure publié par Sharon Weinberger affirmant que les blagues et les mèmes sur les coronavirus qu’ils ont trouvés sur 4Chan constituent une « menace biologique » crédible contre le peuple juif. Le document affirme que les nationalistes blancs envisagent de pulvériser les Juifs avec leur salive infectée et de passer du temps en public avec des minorités.
Rien ne prouve que cela se soit produit ou ait jamais eu lieu. Il s’agit d’une diffamation sans fondement contre des Blancs destinée à masquer les échecs de ces démagogues en pleine crise. Les crimes haineux perpétrés contre des Asiatiques aux États-Unis jusqu’à présent semblent être commis en grande partie par des Noirs.
La communauté juive hassidique d’Outremont sur l’île de Montréal est à l’origine du prioncipal foyer d’infection de la COVID 19 au Québec. Ce sont eux qui auraient ramené le virus de leurs visites à New York,au début de la dite pandémie.
Les Juifs se propagent le coronavirus entre eux en raison de leur mauvaise hygiène, de leur penchant pour les voyages internationaux et de leur refus de suivre les prescriptions en matière de distanciation sociale. Dans le New Jersey, des Juifs ont été arrêtés dans deux cas distincts pour avoir organisé des mariages au mépris des lois temporaires contre les grands rassemblements sociaux. L’un des premiers zéros au sol de contagion signalés en Amérique a été un dîner de Shabbat. Parmi les plus grands points chauds, on compte Kiryas Joel, New Rochelle, Williamsburg et diverses autres parties du nord-est avec des populations juives massives.
Quant à la «communauté du renseignement», le coronavirus devrait devenir l’un des plus grands échecs du renseignement de l’histoire américaine. Le gaspillage colossal de ressources fédérales de l’administration Trump sur les canulars politiquement motivés de «l’antisémitisme et de la« suprématie blanche »signifie que l’État disposait d’informations meilleures et plus précises sur les derniers gags de 4Chan que sur le virus hautement contagieux.
Le nombre de personnes infectées à New York continue d’augmenter à mesure que le président et son administration doublent en minimisant le coût humain potentiel. Le nombre de morts en Espagne et en Italie a déjà dépassé la Chine. La seule justification que les Juifs et les agents fédéraux doivent essayer de blâmer une conspiration invisible d’hommes blancs, avec laquelle les médias se feront un plaisir de faire courir.
Selon plusieurs extrémistes sionistes:les blancs seraient responsables de la propagations du virus criminel. Nous sommes tous des nazis…Bravo Rotschild!
La journaliste, Cheryl K. Chumley, allègue dans un article du Washington Times que l’OMS a été influencée par Bill Gates pour déclarer la situation actuelle liée au coronavirus comme une pandémie alors qu’elle refusait de la reconnaître comme tel auparavant.
Bill Gates et Tedros Adhanom Ghebreyesus
Elle aurait reconnu la pandémie le lendemain d’un don important à une société partenaire de l’OMS de la part de la fondation Bill et Melinda Gates. L’auteure dans l’article, intitulé « Bill Gates and his coronavirus conflicts of interest » (« Bill Gates et son coronavirus : conflits d’intérêts ») publié le 2 avril 2020 dans le Washington Times, allègue qu’il ne s’agit pas d’une coïncidence (traduction SLT) :
« …En fait, l’OMS n’a annoncé le coronavirus comme une pandémie que le lendemain de la déclaration de Gates – qui souhaitait depuis un certain temps que l’OMS déclare le coronavirus comme une pandémie – ou plutôt le lendemain du don très important que Gates a fait à une cause qui bénéficie à l’OMS. »
Elle relaie ensuite la chronologie dans son article (traduction SLT) :
« Le 10 mars, Business Insider écrivait : « Bill Gates a tiré la sonnette d’alarme sur le COVID-19, le qualifiant de « pandémie », bien que l’Organisation mondiale de la santé ne lui ait pas encore accordé cette distinction« …. Il s’agissait simplement d’un aparté à l’article principal de Business Insider, qui annonçait que « la Fondation Gates, Wellcome et Mastercard s’engagent à verser 125 millions de dollars aux entreprises qui développent des traitements pour le nouveau coronavirus » et que « le financement serait utilisé pour Therapeutics Accelerator COVID-19 » pour aider à accélérer les traitements contre le coronavirus pour les personnes infectées. La Fondation Gates, quant à elle, a précisé dans son propre message en ligne que la part des 125 millions de dollars donnée par Gates serait de 50 millions de dollars.
La Fondation Gates a également publié cette information : « Therapeutics Accelerator COVID-19 travaillera avec l’Organisation mondiale de la santé, les bailleurs de fonds et les organisations du secteur public et privé, ainsi qu’avec les institutions mondiales de réglementation et d’élaboration des politiques »… »
« …Le 11 mars, un jour après que Business Insider ait rapporté comment Gates avait fait pression pour que l’OMS déclare une pandémie sur le coronavirus – un jour après que Gates ait annoncé l’injection de millions de dollars dans une entreprise partenaire de l’OMS appelée COVID-19 Therapeutics Accelerator, qui faisait miroiter la perspective de mettre plus de pouvoirs réglementaires entre les mains des élitistes mondiaux – un jour après cela, le directeur général de l’OMS a fait une annonce intéressante. Le 11 mars, lors d’une conférence de presse sur le coronavirus, Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré ceci : « Nous avons donc fait l’évaluation que le COVID-19 peut être caractérisé comme une pandémie ».
Voici la discussion:
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