Nouvel Ordre Mondial : la fraude esclavagiste des dettes nationales et la faillite de l’Europe

LA FRANCE:  LA FUTURE GRECE !

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CALCULONS: PLUS LES GRECS REMBOURSENT  LEURS DETTES ET PLUS IL EN DOIVENT !

CONSTAT ACTUEL DES PAYS EN FAILLITE & RECAPITULATIFS DE LA DETTE DE LA GRECE EN 2008 DE 200 MILLIARDS MALGRE DE NOMBREUX RENFLOUEMENT TOTALISANT 219 MILLIARDS + (((( un abandon par les banques privées de 50 % de la dette publique qu’elles détiennent sur la Grèce))))) OU EN SONT IL?

100 millions d'euros
100 millions d’euros

Mr Arfeuille a vu les dernières statistiques d’Eurostat, et elles sont édifiantes. « Eurostat publie les chiffres de la dette publique du quatrième trimestre 2013. Dans l’Union Européenne, neuf pays sont en faillite. Quand ces 9 pays vont-ils se déclarer en défaut de paiement ?  » En effet, mais le problème est que le 25 mai 2014 il y a les élections européennes, et ce que ce n’est pas une bonne idée que d’aborder ce sujet. Ne comptez pas sur BFM-WC et sur son service économique pour vous en parler non plus, ha ha ha. Je rapelle que ce sont les chiffres officiels. Alors imaginez les vrais chiffres.

1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 318,703 milliards d’euros, soit 175,1% du PIB.
2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2069,216 milliards d’euros, soit 132,6 % du PIB.
3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 213,631 milliards d’euros, soit 129 % du PIB.
4- Irlande : dette publique de 202,920 milliards d’euros, soit 123,7 % du PIB.
5- Chypre : dette publique de 18,442 milliards d’euros, soit 111,7 % du PIB.
6- Belgique : dette publique de 387,159 milliards d’euros, soit 101,5 % du PIB.
7- Espagne : dette publique de 960,676 milliards d’euros, soit 93,9 % du PIB.
8- France : dette publique de 1925,292 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
9- Royaume-Uni : dette publique de 1460,975 milliards de livres sterling, soit 90,6 % du PIB.

1 milliard d'euros
1 milliard d’euros

PREMIER PLAN DE SAUVETAGE DE LA GRECE :

UNE DETTE INITIALE , EN 2008, DE 200 MILLIARDS SOIT 200 MILLIARDS OU 80% DU PIB !

Le 23 avril 2010, la Grèce requiert l’aide du FMI et de l’UEM. Après négociation un accord est trouvé le 2 mai 2010. Athènes obtient des crédits de l’Union européenne et du FMI à hauteur de 110 milliards d’euros sur trois ans (80 milliards d’euros prêtés par les pays de la zone euro et 30 milliards par le FMI)40.

En contrepartie, la Grèce prend une série de mesures dont l’application sera étroitement surveillée41 par les bailleurs de fonds : le FMI et les pays de la zone euro. Parmi les mesures faisant partie de l’accord, nous pouvons citer :

la suppression des 13e et 14e mois dans la fonction publique compensée par une prime annuelle de 1 000 euros pour les fonctionnaires gagnant moins de 3 000 euros41 et gel des salaires des fonctionnaires pendant trois ans42
si le treizième mois est maintenu dans le secteur privé, la flexibilité du marché du travail sera renforcée41
la durée de cotisations retraites sera portée de 37 annuités à 40 annuités en 201541
ouverture de professions fermées43
taxe sur les résidences illégales43
nouvelle hausse de la TVA qui doit être portée à 23 %41

1000 milliards d'euros
1000 milliards d’euros

DEUXIEME PLAN DE SAUVETAGE DE LA GRECE

Le jeudi 21 juillet, les Européens et le FMI ont adopté les grandes lignes d’un second plan de sauvetage.

Au niveau financier, le pays va bénéficier de 109 milliards d’euros de fonds publics : 79 venant du FESF et du FMI et 30 des privatisations. Par ailleurs, le secteur privé doit participer pour 49,7 milliards d’euros. Les taux des prêts du FESF sont ramenés de 4,5 % à 3,5 % et leur durée de remboursement est allongée90.
Au niveau structurel, il est créé une « task force » destinée à soutenir la Grèce dans la mise en œuvre des réformes votées et à essayer de redynamiser la croissance en Grèce en employant au mieux les Fonds européens (aides régionales notamment) non encore utilisés91.

ET DE PLUS

Après d’âpres négociations, liées notamment à la volonté exprimée lors d’un vote au Bundestag de la quasi-totalité des partis allemands de limiter les garanties allemandes aux pays en crise et de ne pas « faire payer » uniquement les contribuables, mais également les banques, un accord est trouvé le 27 octobre au matin. Il prévoit :

un abandon par les banques privées de 50 % de la dette publique qu’elles détiennent sur la Grèce (la BCE et le FMI ne sont pas concernés). Cet accord a été particulièrement difficile à atteindre du fait de la résistance des banques. Il a fallu que Charles Dallara, directeur de l’Institut de la finance internationale y soit incité par Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Christine Lagarde et Herman Van Rompuy92 ;
les banques doivent être recapitalisées pour un montant de 106 milliards d’euros (30 milliards pour la Grèce, 26,1 milliard pour l’Espagne, 14,7 milliards pour l’Italie, 8,8 milliards pour la France et 5,1 milliards pour l’Allemagne)93. La recapitalisation sera faite soit par appel à l’épargne, soit par les États, soit, en dernier ressort, par le FESF ;
le FESF n’est pas autorisé à devenir une banque mais un effet de levier va être recherché par « un rehaussement de crédit pour de nouvelles émissions par les États membres » et/ou en faisant appel de façon complémentaire à des investisseurs privés ou souverains, en coopération avec le FMI94.

Le premier ministre Georges Papandréou, face au mécontentement populaire et à ce qu’il perçoit comme des abandons de souveraineté décide de soumettre l’accord à référendum95. Il abandonnera l’idée quatre jours plus tard quand, la classe politique grecque prenant conscience que les autres pays envisagent sérieusement la sortie de la Grèce de la zone euro96, se prononce contre ce projet et envisage un gouvernement d’union nationale97.

http://www.jpchevallier.com/article-dette-de-la-grece-200-milliards-80-du-pib-49429463.html


L’origine de l’esclavagisme bancaire ,en France

Évolution et prévision sur la dette de la France.
Évolution et prévision sur la dette de la France.
 On se fout du monde !
Pas un média ne parle de la CAUSE de cette dette qui est une des plus grosse ESCROQUERIE de tous les temps ! Tout le monde s’accorde à dire que cette fameuse dette à démarrée en France en 1974 . Pourquoi ? Simplement parce qu’en 1973 Pompidou
(comme par hasard ex fondé de pouvoir de la banque Rothschild ! ) ,à décidé avec Giscard que la France ne pourrait plus
s’auto-financer par la banque de France sans intérêts ou presque ,mais auprès de banques PRIVÉES AVEC intérêts décidés par ces
banques ! Loi confirmée  par l’article 123 de traité de Lisbonne que voici :  » Il est interdit à la Banque centrale européenne et
aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées »banques centrales nationales », d’accorder des découverts
ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités
régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition
directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de

leur dette est également interdite. » La BCE prête donc D’ABORD aux banques privées qui prêtent ENSUITE aux pays de l’UE AVEC intérêts ! Les
banques se servent donc au passage ! C’est un RACKET LÉGALISÉ !!!
Quand à Mario Draghi président de la BCE c’est l’ex directeur en Europe de la banque d’affaires Goldman Sachs ! Banque MAFIEUSE de
sinistre réputation , il serait trop long ici d’énumérer tous ses méfaits . La France ayant perdue sa souveraineté monétaire , elle
dépend du bon vouloir des banquiers internationaux grâce à la COMPLICITÉ des politiques Français depuis Pompidou . Cela s’appelle de la HAUTE TRAHISON ! Si l’on rajoute à cela la fraude , évasion et optimisation (légale) fiscale des particuliers ( ultra riches) ,
des grosses entreprises et de certains politiques souvent eux-mêmespartenaires des dites entreprises , environ 100 milliards d’euros/an
. On comprend mieux d’où vient cette escroquerie qui dure depuis 40 ans et qu’en plus on vient dire aux français que c’est de leur faute
parce qu’ils vivent au dessus de leurs moyens ! C’est bien ce que je disais , on se fout vraiment du monde !!!

Crise Économique Mondiale: un trou de 1000 milliards de dollars aux banques européennes

Euros 001

 

 

Après HSBC puis la Deutsche Bank, voici qu’une étude publiée par Bloomberg, l’une des agences de presse économiques les plus sérieuses de la planète, démontre qu’il ne manque pas moins de 1 000 milliards de dollars de capitaux propres aux banques européennes, ce qui, vous en conviendrez, est tout de même une somme relativement importante et conséquente. À titre de comparaison, cela représente 50 % du PIB français, ou encore la totalité des fonds mis dans le MES (ou censés être mis par les Européens) doté d’environ 700 milliards d’euros.

Les banques européennes sont confrontées à un trou de 1 000 milliards de dollars

 

Je vous traduis ici l’essentiel de la dépêche Bloomberg dont vous trouverez le lien en annexe ci-dessous avec quelques remarques personnelles évidemment…

 

« Les banques européennes ont un déficit en capitaux propres estimé à 767 milliards d’euros (ce qui équivaut avec le taux de change actuel à environ 1000 milliard de dollars) alors que la Banque centrale européenne devrait prochainement procéder aux désormais très célèbres stress tests (censés mesurer la solidité des banques et concluant à chaque fois que le système bancaire européen est trèèèèès solide). »

 

Comme chacun le sait, le sinistre de l’Économie, phare dans la tempête de sa copine de 25 ans, veille sur la sécurité du système bancaire français et sur l’intérêt du petit peuple (les manants)… et dans la catégorie loser, le winner est… la France !! « Ce sont les banques françaises qui montrent le plus grand écart avec 285 milliards d’euros »… Oups… 285 milliards d’euros, vous savez, cela commence à faire un sacré paquet de sous du genre environ 4 300 euros par français (sur la base de 65 millions), je vous laisse multiplier pour savoir combien cela représente pour une famille de 4 personnes.
Soit dit en passant, une petite ponction de 10 % de votre épargne permettrait de bien vite remettre du baume au cœur de nos gentils banquiers en renflouant au bon moment leurs petites caisses bien vides.

 

Le deuxième nominé est évidemment ce pays dont nous voulons absolumment imiter la moindre décision, j’entends par là l’Allemagne ! Pour eux, le trou s’élève à 199 milliards d’euros. Vous remarquerez quand même que ce sont presque 100 milliards de trou en moins que pour nous, cela dit je soupçonne que les chiffres concernant l’Allemagne ne prennent pas suffisamment en compte l’état déplorable des comptes de la Deutsche Bank.

 

D’ailleurs, les auteurs de l’étude pointent les risques particulièrement élevés parmi les banques allemandes publiques ou Landesbanken. « En Allemagne, de nombreuses institutions d’État peuvent nécessiter des émissions de capital ou cautions », écrivent-ils. Sans blague ! Moi qui croyais que la crise était finie et que le pire était derrière nous… D’ailleurs, petite question à Moscovenividivessie, dis-moi mon ami Pierrot, as-tu envoyé un fax à François pour le prévenir entre deux de ses galipettes que la crise pourrait bien nous repasser devant ? Si ce n’est pas le cas, je peux te prêter ma plume, pour lui envoyer un mot. Ça serait bien qu’il soit au courant pour sa prochaine conférence de presse, cela lui éviterait de passer pour un benêt-béat plus qu’il ne l’est…

 

Ensuite, nous trouvons les banques espagnoles (penser à envoyer là aussi un mail à Rajoy pour le prévenir qu’il est beaucoup plus mal que ce que ses conseillers lui disent de dire), avec un modeste 92 milliards d’euros. Bon, ne soyons pas dupes. 92 milliards d’euros, c’est la note juste pour payer les pertes liées aux crédits immobiliers de l’année en cours, et j’ai comme la très désagréable impression que l’année prochaine il en faudra sensiblement autant. Disons que vu le nombre d’Espagnols sans emploi et que les créances douteuses atteignent en 2013 le plus haut historique et que ce n’est pas la folle croissance économique débridée de Madrid qui va ramener la félicité et le pognon dans tous les ménages ibériques dans les 6 prochains mois, les banques du coin risquent fort de ne pas aller vraiment mieux l’année prochaine… mais je ne suis pas com-pétent moi.

 

Enfin, les banques italiennes, dont quelques-unes nous ont fait de bien belles faillites cette année ce qui les fait sortir du classement (mais ne rembourse pas les trous ni les dettes pour autant), sont dans une situation de manque estimée à 45 tout petits milliards d’euros…

 

Tiens, c’est marrant, il nous manque la Grèce, le Portugal et encore quelques autres, mais chut ! la note étant déjà de 1 000 milliards de dollars, on ne va pas pinailler pour 200 ou 300 milliards de plus, il suffira juste de faire passer la ponction obligatoire sur les comptes de 10 % à 15 % et puis histoire d’avoir un peu de marge, on prendra 20 %. De toute façon, vous n’aurez pas le choix ! Tonte obligatoire. On va bien rigoler quand le mouton va se réveiller pendant la tonte ! Maiiiiis heuuuuuuu, pourquoi tu me tonds ? Ze croyais que la krise, elle était finie…. Hahahahaa. Je sais, c’est cruel, mais que voulez-vous… ce n’est pas comme si je répétais inlassablement avec quelques autres que tout cela va très mal finir et en particulier avec la ruine des épargnants et qu’il faut s’y préparer…

D’ailleurs, j’adore la fin de cette étude et de cette dépêche :

 

« Nos résultats suggèrent que, avec émission d’actions ordinaires et les coupes de cheveux sur les créanciers subordonnés, il devrait être possible de traiter les besoins en capital de nombreuses banques. »

 

Alors là, je vous traduis ce petit jargon de financier pour que cela soit plus compréhensible : il va être possible de traiter les besoins en capital de ces nombreuses banques en ruinant les détenteurs d’obligations et les actionnaires et en allant directement se servir sur les comptes des clients »… C’est plus clair là, non ?

 

Et la dépêche de conclure avec une mention spéciale pour les banques belges, chypriotes et grecques !!

 

Justement, à propos de traduction des intentions de nos mamamouchis dont le seul et unique objectif est de sauver les banques à tout prix y compris au risque de ruiner les peuples, une autre nouvelle est tombée, mais juste une petite remarque en passant.

 

Pourquoi faut-il sauver les banques ? Parce que ne pas le faire signifierait la ruine des peuples. Ha, bon, ben d’accord, c’est dans mon intérêt alors et comment fait-on pour sauver les banques alors ? Eh bien il faut ruiner les peuples pour renflouer les banques… donc pour résumer, et si je comprends bien, pour éviter que je sois ruiné, il faut me ruiner… En clair, je suis ruiné dans tous les cas, sauf que quitte à être ruiné… pourquoi les banques devraient-elles être sauvées ? Parce que, économiquement, sauver les banques en sacrifiant les épargnants n’est pas une meilleure idée que de ne sauver ni les banques… ni les épargnants, car en laissant le système faire faillite, on condamnerait les banques et l’on serait dès lors en mesure de redéfinir un nouveau système beaucoup plus sain et beaucoup plus libre.

 

Nous n’en ferons rien bien entendu puisque, de toutes les façons, la réalité c’est que ce sont les financiers et les banquiers qui dirigent le monde. Pierrot et François ne sont rien du tout. Toutes les lois, tous les règlements sont actuellement écrits dans l’optique non pas de sauver les peuples mais les banquiers, et pour réussir ce sauvetage du lobby bancaire, des peuples entiers seront ruinés.

L’UE travaille sur une directive qui limitera les retraits d’argent des clients de banques en faillite à 100 ou 200 euros par jour

 

C’est article de L’Express en Belgique qui nous apprend que les gentils gouvernements européens, qui vous veulent que du bien, surtout à votre argent, « travaillent à un compromis sur la directive de l’UE pour le paiement de la garantie des dépôts des clients lors de faillites bancaires. Un document de travail de la présidence de l’UE, qui est assurée depuis le 1er Juillet par la Lituanie, montre que la directive pourrait être prête dès cette année ».

 

Vous voyez, lorsque les mamamouchis font quelque chose c’est toujours bien présenté. C’est beau, c’est bien enveloppé et l’emballage donne envie. En l’occurrence, la loi en question va s’intituler quelque chose comme « paiement de la garantie des dépôts » !! Ha, voilà une bonne nouvelle pour le mouton d’en bas ! On va être payé en cas de problème ! Voilà ce qu’il se dit.

 

Et puis incidemment, nous apprenons que, dans cette directive écrite pour vous, mes braves crétins, heu moutons, heu épargnants… que l’Europe examine maintenant aussi la possibilité de qualifier cette période de «circonstances exceptionnelles». Pendant cette période, les citoyens pourraient effectuer quotidiennement des retraits d’argent de 100 à 200 euros maximum, comme ce fut le cas à Chypre. Ce sont les vilains journalistes du journal allemandBörsen-Zeitung qui ont vendu la mèche !

Il faut donc retenir :

 

1/ Quoi que l’on vous raconte, c’est faux, et les banques sont de véritables bombes à retardement. Donc elles vont faire faillite et il faudra les sauver. Pour les sauver, il faudra ruiner les épargnants. Pour que le mouton soit bien tondu, on doit empêcher sa fuite. Donc il ne faut pas l’effrayer le temps que le cadre juridique de la tonte soit mis en place.

 

2/ L’organisation des modalités de la tonte est presque achevée. Il ne manque plus que cette directive qui permettra ni plus ni moins que de rationner vos retraits le temps que l’on vous fasse les poches.

 

3/ Concrètement, les banques seront fermées, vos comptes bloqués. Afin que vous puissiez juste acheter de quoi manger, vous aurez droit à 100 ou 200 euros… Bref, pas de quoi vider votre compte de son épargne… qui restera pleinement disponible pour le plus grand bien de votre banquier qui ira renflouer son compte en vidant le vôtre.

 

Voilà comment s’organise, en parfaite transparence car nous avons à notre disposition toute l’information nécessaire, le plus grand hold-up à venir.

 

Si une banque comme BNP Paribas, ou comme le Crédit Agricole venait à tomber, je vous laisse imaginer l’état de notre économie par la suite. Épargnants ruinés, récession majeure, entreprises toutes en dépôts de bilan, chômage massif, etc., et ce ne sont là que quelques-unes des conséquences les plus évidentes.

Conclusion

 

Plan épargne boîte de conserve pour manger lorsque tout sera rationné y compris l’argent et les retraits (PEBC).

 

Or et argent métal pour stocker votre patrimoine loin des banques et hors système financier afin d’éviter le chyprage de votre épargne ou de le rendre en tous cas plus difficile.

 

Pour les plus gros patrimoines, on diversifie avec des actifs tangibles plus larges, du type terres agricoles, forêt, diamants ou vins !

 

Enfin, pour ceux qui veulent se préparer à devenir véritablement résistants dans tous les sens du terme, alors investissez dans une maison à la campagne, dans un jardin et dans un potager. Cheminée et poêle à bois, récupérateur d’eau de pluie, ou puits, bref, soyez autonome, devenez autonome.

 

La stratégie de préparation patrimoniale est toujours la même, simplement le jour approche où vous allez vous en mordre les doigts de ne pas l’avoir mise en œuvre et d’avoir attendu sidéré, en vous disant mais non, ce n’est pas possible… quand même, ils vont bien trouver une solution ! Mais ils l’ont trouvée LA solution, et c’est votre argent… tout simplement et ils vont vous le braquer.

Sources: Économie-Matin.fr