Le Bloc Québécois et la menace communiste venue de l’intérieur

Depuis quelques jours,l’ancien chef du Parti Communiste du Québec et membre de Québec Solidaire,André Parizeau,est devenu officiellement candidat du Bloc Québécois!

Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, est à l’aise avec le passé communiste de l’un de ses candidats à l’investiture dans Ahuntsic-Cartierville, à Montréal.

La Presse canadienne a appris que le Bureau national du Bloc s’est réuni plus tôt cette semaine pour discuter du cas d’André Parizeau, qui était jusqu’à tout récemment chef du Parti communiste du Québec (PCQ)…pendant 21 ans!

André Parizeau, ex-chef du Parti communiste du Québec, a l’intention de se porter candidat bloquiste dans Ahunstic-Cartierville.

Et Yves-François Blanchet, le chef du Bloc, n’a aucun problème avec ça.

« Que quelqu’un soit pour plus ou moins d’intervention de l’État, on peut avoir la discussion », a-t-il dit.

En d’autres mots : le Bloc est une coalition. Qu’est-ce que ça fait que quelqu’un soit plus à gauche ou plus à droite ?

VIVE L’EXTRÊME GAUCHE !

Voici ce que j’aimerais rappeler à monsieur Blanchet.

André Parizeau n’a pas été un simple « compagnon de route » du Parti communiste du Québec, un simple partisan, comme de nombreux intellectuels dans les années 1970.

Il a été le chef du Parti !

Pendant 21 ans !

Jusqu’à l’an dernier !

Avec tout ce qu’on sait des régimes communistes ! Les exactions, les camps, la censure, les violations à répétition des droits fondamentaux !

Si ce n’est pas une preuve flagrante d’un sérieux manque de jugement, je ne sais pas ce que c’est…

Et le chef du Bloc n’a aucun problème à ce qu’André Parizeau représente le Bloc ? Ben coudonc.

Question quiz de la semaine : monsieur Blanchet accepterait-il que l’ex-chef du Parti fasciste du Québec brigue une candidature au Bloc ?

Certainement pas ! Le Parti fasciste, voyons, ça n’a aucun sens !

L’extrême droite ? Jamais !

Mais l’extrême gauche, pas de problème, venez, on vous ouvre tout grand les bras…

LES COCOS

Voici des extraits du programme du Parti communiste du Québec (attachez votre tuque avec de la broche).

  • Nationalisation de toutes les banques.
  • Mise sous tutelle gouvernementale de toutes les Caisses populaires.
  • Fermeture de toutes les banques américaines sur le territoire du Québec.
  • Nationalisation des secteurs de l’énergie, de la santé et de l’éducation.
  • Adoption de lois qui faciliteront la syndicalisation.
  • Signature d’ententes économiques
  • avec des pays progressistes afin de nous libérer de notre dépendance face au marché états-unien.
  • Nationalisation du secteur des communications.
  • Nationalisation des entreprises œuvrant dans la haute technologie.
  • Mise sous contrôle étatique de la presse.
  • Le gouvernement du Québec utilisera les médias pour procéder à une vaste campagne d’éducation citoyenne.

L’ÉTAT PARTOUT

  • Le gouvernement octroiera des prêts sans intérêt aux travailleurs pour les aider à racheter leurs entreprises des mains des propriétaires.
  • Le gouvernement possédera la majorité des voix dans les conseils d’administration de ces entreprises.
  • Rehaussement du niveau des taxations des entreprises.
  • Les entreprises seront dirigées par un comité de gestion composé à 30 % (minimum) de travailleurs.
  • Les cadres et les contremaîtres seront élus par les travailleurs eux-mêmes.
  • L’État élaborera un plan destiné à coordonner toute la production de biens et services au Québec.
  • Tous les avocats seront payés par l’État.
  • Ce ne seront plus des juges qui siégeront sur les tribunaux de première instance, mais de simples citoyens.
  • Les policiers n’auront plus le droit de porter des armes à feu.
  • Les escouades antiémeutes seront dissoutes.

Etc., etc.

Michel Gauthier, ancien chef du Bloc québécois qui a joint les rangs du Parti conservateur du Canada l’an dernier, affirme ne plus reconnaître son ancienne formation.
«Il n’y a rien de commun entre le Bloc aujourd’hui et le parti que j’ai dirigé», a-t-il indiqué, samedi,le 27 avril 2019i, alors qu’il prenait la parole, à Victoriaville, au congrès général de l’aile québécoise du Parti conservateur du Canada.

 

DIGNE DU PARTI RHINOCÉROS

André Parizeau a défendu ce programme surréaliste pendant 21 ans.

L’an dernier, il le défendait encore !

Et il pourrait devenir député du   Bloc à Ottawa ?


EN COMPLÉMENT

Québec Solidaire est né grâce au Parti communiste du Québec et du Parti Communiste du Canada

André Parizeau,alors qu’il était le chef du Parti Communiste du Québec

Le Parti communiste du Québec (PCQ) a participé à la fondation de Québec solidaire (QS). C’est du moins ce que le chef du PCQ, André Parizeau, a déclaré sur les ondes de la station Radio X. M. Parizeau est allé plus loin : « J’oserais même dire […] que sans notre présence […] ce projet-là n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

Les explications de M. Parizeau sur l’histoire des relations entre QS et le PCQ étaient un peu floues, mais en gros, c’est en 2008 que son parti s’est fait reconnaître comme collectif au sein de QS, qu’il a finalement quitté en 2014. M. Parizeau a admis qu’ils étaient plusieurs chez les solidaristes à penser que la présence du PCQ pouvait nuire à leur formation, ajoutant à ce sujet qu’il existait, de 2008 à 2014, un rapport amour-haine entre les deux partis.

Rappelons que le père d’Amir Khadir était un dirigeant du Parti communiste du Canada et qu’il a aidé à l’organisation  de la naissance de Québec Solidaire en apportant beaucoup de matériel provenant du Parti Communiste du Canada.

Nous pouvons apercevoir la silhouette du père d’Amir Khadir devant la boutique Le marcheur,dans le comté de Mercier,en décembre 2010. QS se faisait de la publicité sur le dos d’une entreprise familiale québécoise française parce qu’il y avaiot quelques souliers importés d’Israel sur les étagères.


Le dossier noir de Québec solidaire

 

Voici la ou les sources de cet article : L’Encyclopédie canadienneDossierQSFacebook, Point de bascule n° 1n° 2n° 3 et n° 4Presse gaucheYoutubeWikipédia et Marxists Internet Archive/Voici la source de la photo : Domaine public

Faut-il le rappeler ? C’est en URSS qu’a été légalisé pour la première fois dans l’époque moderne en 1920 l’avortement. C’est le marxisme culturel qui a répandu la théorie du genre dans bien des pays dont le Brésil. — CQV

Saviez-vous qu’un ex-coordonnateur d’Amir Khadir était une connaissance de Pol Pot ? Première partie de ce dossier.

Québec solidaire (QS) n’a plus besoin de présentation. Au départ populaire principalement à l’est du boulevard Saint-Laurent, l’organisation a réussi à soutirer 10 sièges aux dernières élections provinciales, dont un à Sherbrooke, un ancien fief de l’ex-Premier ministre libéral, Jean Charest.

Dépeint par plusieurs comme appartenant à l’extrême gauche, le parti de Manon Massé a déjà dû se défendre d’être associé aux antifas. Car si QS fait figure de modèle politique pour les maximalistes québécois, c’est parce qu’il a été bâti en grande partie sur le socle du communisme.

L’alliance des rouges

Québec solidaire est né en 2006 d’une fusion entre l’Union des forces progressistes et Option citoyenne. Dès le début, le parti accepta dans ses rangs des « collectifs » aux noms évocateurs : Gauche socialiste, Socialisme international, Masse critique, Parti communiste du Québec (PCQ), pour ne nommer que ceux-là.

De ces collectifs, c’est certainement le Parti communiste qui était le plus organisé. Sur son site, la formation avait très bien annoncé ses couleurs : « Tous les membres du PCQ sont également membres de Québec solidaire », était-il écrit à une certaine époque. Sur les ondes de Radio X, l’ex-chef du PCQ, André Parizeau, avait déclaré en septembre dernier que sans la présence de son ancien parti, « ce projet-là [la fondation de Québec solidaire] n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

M. Parizeau s’était d’ailleurs présenté sous la bannière de QS aux élections de 2007 et de 2008, de même que Francis Gagnon-Bergmann, un autre membre et ex-chef du PCQ.

Des militants fanatiques

Cet engouement pour la doctrine marxiste ne s’est pas évanoui avec le temps. En 2007, une autre ex-vedette de QS, Françoise David, était intervenue dans un atelier organisé dans le cadre d’un colloque appelé Marxism — A Festival of Resistance, qui avait eu lieu en Ontario.

En juin 2015, ce fut au tour d’Amir Khadir de participer à une conférence intitulée Bâtir une alternative politique à l’austérité : l’expérience de la gauche européenne. M. Khadir s’y était présenté en compagnie de délégués des partis d’extrême gauche européens Syriza, de la Grèce, Podemos, de l’Espagne et Die Linke, de l’Allemagne.

C’était le même Amir Khadir qui, au 6e congrès de la formation, s’était rendu compte à quel point les militants anti-capitalistes de son parti siégeaient « à gauche de la gauche ». Au micro, l’ex-député solidaire avait déclaré qu’il fallait « certes dépasser le capitalisme », c’est-à-dire « changer le système », mais que « la nouvelle gauche dont nous sommes issus se distingue quand même de la gauche radicale ». Il avait ajouté que l’erreur, pour QS, serait de proposer au peuple québécois, comme solution de rechange au capitalisme, « un système trop rigide ».

Le discours avait laissé de nombreux militants perplexes, dont plusieurs s’étaient ensuite mis à entonner le chant révolutionnaire L’Internationale, le même que chantaient les bolcheviks durant la révolution russe de 1917.

Une connaissance de Pol Pot

Roger Rashi n’est pas un nom qui vient à l’esprit de bien des Québécois. M. Rashi a été membre du comité de coordination de Québec solidaire dans la circonscription de Mercier, soit celle d’Amir Kadir, de décembre 2008 à octobre 2015. Mais ce que peu de gens savent, c’est qu’il a eu l’insigne honneur de serrer la main du diable. Ce diable, c’est le dictateur sanguinaire Pol Pot, du Cambodge, à qui M. Rashi semblait vouer une certaine admiration.

Notre homme s’était rendu au Cambodge en 1979 pour rencontrer le tyran, responsable de la mort de plus d’un million et demi de personnes. On peut le voir sur une photographie en compagnie de son idole des Khmers rouges. Aujourd’hui encore, Roger Rashi milite pour sa formation-coqueluche, Québec solidaire. À preuve, les nombreux billets et partages sur sa page Facebook en rapport avec le parti de Manon Massé. C’est peu dire que le soir du 1er octobre dernier, il jubilait.

 


SECONDE PARTIE DE L’ARTICLE

Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé

 

 

Voici la ou les sources de cette partie de l’ article : Point de bascule n°1n°2n°3 , n°4n°5n°6 et n°7, Le Point, France 24Québec solidaireWikipediaFacebookTimes of IsraelGouvernement du Canada,NewswireBarbara KayBateau canadien pour Gaza / Voici la source de la photo (rognée) : Asclepias, yanik_crepeau et Judicieux, WikimediaCC BY-SA 3.0

Le sujet de l’article ci-dessous est :

1) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun.

Or, pour comprendre pourquoi le christianisme est la seule vraie religion, il faut comprendre en quoi les autres sont fausses. — A. H.

En plus d’être un parti d’extrême gauche, QS cède à la complaisance à l’égard de l’islamisme. Deuxième partie de ce dossier.

Nul doute que l’attitude des partis de gauche à l’égard des cultures étrangères, en particulier envers l’islam, est marquée par l’empathie. Québec solidaire (QS) ne fait pas exception à cette règle, et les premiers signes de cette manifestation d’empathie sont apparus l’année suivant sa fondation, soit en 2007.

Cette année-là, l’ex-porte-parole de QS, Françoise David, avait participé, à Toronto, à un colloque appelé Marxism – A Festival of Resistance, organisé dans le but de renforcer l’alliance entre l’extrême gauche et les milieux islamistes. Une fratrie d’intégristes avait été invitée à cet événement à titre de conférenciers, parmi lesquels Zafar Bangash, un grand supporter de la révolution islamiste en Iran. Bangash souhaite d’ailleurs que ce type de révolution se propage dans tous les pays, dont le Canada.

QS côtoie des groupes islamistes

Au printemps 2011, lorsque les premières notes de la révolution syrienne se faisaient entendre, Québec solidaire avait pris fait et cause pour le Conseil national syrien (CNS). Un choix curieux, puisque le CNS a été noyauté par les tristement célèbres Frères musulmans. Selon le journal Le Point, « près d’un tiers des membres du CNS sont des islamistes, Frères musulmans syriens ou anciens de la confrérie ». Un autre média, France 24, cite un activiste syrien selon lequel les Frères étaient plutôt majoritaires au sein du CNS.

Cet appui aux Frères musulmans était-il délibéré ? Peut-être pas, mais toujours est-il que le 6 octobre 2012, Manon Massé et un député du Bloc québécois, Richard Nadeau, ont participé à la projection du film Sous les yeux de la Palestine, un événement organisé par Islamic Relief Canada, en collaboration avec Human Concern International, l’Association des étudiants musulmans de l’Université de Montréal et la Muslim Students Association (MSA).

Il est possible que les deux personnalités politiques n’aient pas été mises au courant que les bureaux de Human Concern avaient été fermés à la demande du gouvernement canadien à la fin des années 90 parce que l’organisme était accusé d’être un paravent d’Al-Qaida, ce qu’avait avoué Oussama ben Laden lui-même. À l’époque, le chef du bureau pakistanais de Human Concern était Ahmed Said Khadr, un des hauts gradés d’Al-Qaida et père d’Omar Khadr, qui a obtenu 10,5 millions du fédéral à titre de compensation pour avoir été interné à Guantanamo.

Islamic Relief Canada a été récemment accusé par certains pays d’entretenir des liens avec le terrorisme.

Un bateau pour des islamistes

En mai 2010, Manon Massé représentait Québec solidaire au sein d’une délégation de 17 Québécois qui voulaient tenter de sauver les Palestiniens victimes de la « persécution » israélienne*. Le communiqué publié pour l’occasion était signé par Mohamed Kamel et Ehab Lotayef. Des deux, c’est le second qui nous intéresse.

Ehab Lotayef était l’un des principaux organisateurs de l’opération Un bateau pour Gaza. Il est aujourd’hui membre du conseil de la Fédération canada-arabe (FCA), créée en 1967 pour représenter les intérêts des Canadiens d’origine arabe. En 2009, le gouvernement Harper avait mis fin au financement attribué à la FCA, accusant ses dirigeants d’avoir appuyé ouvertement deux groupes terroristes, le Hezbollah et le Hamas, et d’avoir tenu des propos antisémites. Omar Alghabra, membre du caucus libéral à Ottawa, a été président de la FCA de 2004 à 2005.

Le 30 juin 2009, Omar Shaban, vice-président de la FCA pour l’ouest du Canada, avait écrit sur sa page Facebook que le Canada était un « État génocidaire […] Il disait avoir honte d’être canadien.

Ehab Lotayef avait une fois lancé un boycottage à l’endroit des librairies Chapters et Indigo en raison du soutien de ses propriétaires, Heather Reisman et Gary Schwartz, à une fondation israélienne. Selon La Presse, Lotayef aurait par ailleurs été impliqué dans une tentative de mettre en place un tribunal de la charia à Montréal. Dans ce projet, il côtoyait l’imam Said Fawaz, un représentant de la Ligue islamique mondiale de l’Arabie saoudite.

Parmi les autres organisateurs du Bateau pour Gaza figurait Elias Hazineh, ex-président de Palestine House. S’adressant au rassemblement annuel de la Journée Al-Quds en août 2013, Elias Hazineh avait tenu des propos incendiaires sur les Israéliens : « Ils [les Israéliens] ne négocient pas. Et nous négocions avec eux depuis 65 ans. Nous disons [donc] : « Sors ou tu es mort ». On leur donne deux minutes et on commence à tirer. Et c’est la seule façon pour eux de comprendre », avait-il violemment déclaré.

Hazineh a été président de la circonscription Mississauga-Erindale sous le député libéral que nous avons cité plus haut, Omar Alghabra.


EN CONCLUSION

Le Bloc québécois est noyauté par le Parti Communiste du Québec et par Québec Solidaire.La dernière a a avoir défendu l’idée de l’indépendance du Québec aura été Martine Ouellet.

Martine Ouellet,la dernière bloquiste indépendantiste

Le simple fait d’être nationaliste de droite  peut vous faire éjecter de ce parti.

On est à des années-lumière du parti fondé par Lucien Bouchard qui lui-même a changé pour s’occuper de la défense de l’oligarchie,des libéraux bien nantis et des compagnies pétrolières.

Pour les vrais défenseurs de l’idée de l’indépendance du Québec,la seule option est devenu la désobéissance civile …totale!

Boycottons cette élection fédérale d’octobre 2019 ou votons pour des candidats indépendants.

En 1993,Lucien Bouchard était le chef du Bloc Québécois…Que de changements depuis ce jour!

 

*Rappelons que Lucien Bouchard est un grand ami de la famille Desmarais,de Sagard…nos Maîtres Illuminati!

 

 

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:L’immigration divise les chefs devant de jeunes électeurs québécois

Économie, immigration, environnement et éducation : les quatre chefs des principaux partis, interrogés par de jeunes électeurs, ont clarifié leur position lors d’un événement organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM), vendredi soir,17 août 2018, moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale arrangée d’avance sous les bons soins des médias contrôlés par de grandes familles financières,au Québec.

Sur un ton majoritairement amical et détendu, les chefs du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, et la coporte-parole de Québec solidaire (QS), Manon Massé ont répondu à 20 questions, sélectionnées parmi celles rédigées par 400 jeunes électeurs.

L’Institut du Nouveau Monde n’aura invité que 4 représentants de partis politiques néolibéraux et sur-médiatisés sur plus de 20 partis politiques inscrits au Québec.Les urnes doivent être prêtes ,bien dissimulées des yeux du public qui croit que voter va leur donner un changement!

Devant 700 personnes, réunies dans un amphithéâtre de l’Université Concordia (le château-fort de la gauche communiste et des Antifa,au Québec), Manon Massé, Jean-François Lisée et François Legault ont notamment confirmé leur volonté de réformer le mode actuel de scrutin, en instaurant une dose de proportionnelle.

Cette « injustice » du système uninominal à un tour doit cesser, a clamé Manon Massé, avant d’être enlacée par le chef de la CAQ, tandis que Jean-François Lisée levait ses deux pouces(un  message maçonnique connu), un grand sourire aux lèvres.

Manon Massé a ensuite invité « les boys » à « convaincre Philippe ». Ce dernier, qui n’est pas partisan de cette initiative , n’a pas bronché.

 


EN COMPLÉMENT

LES DEMANDES ÉTUDIANTES

 

Moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale, les jeunes demandent aux chefs politiques québécois de se positionner sur la rémunération des stages et la santé psychologique de leurs pairs.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ), qui représente 79 000 étudiants dans la province, estime que les chefs des partis doivent prendre des engagements forts dans différents dossiers que les jeunes jugent primordiaux.

En entrevue à RDI matin, il est revenu sur le débat de vendredi soir, organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) et Le Devoir, dans un amphithéâtre de l’Université Concordia.

Le président de l’UEQ s’est dit très satisfait de l’échange qu’ont eu Philippe Couillard, du Parti libéral du Québec (PLQ), François Legault, de la Coalition avenir Québec (CAQ), Jean-François Lisée, du Parti québécois (PQ), et Manon Massé, de Québec solidaire (QS).

Les partis nous ont largement dit que l’éducation devait être la priorité. Maintenant, ça va être le temps de les voir passer de la parole aux actes.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)
Guillaume Lecorps, président de l'Union étudiante du Québec.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec, plaide pour une rémunération des stages offerts aux étudiants.  Photo : Union étudiante du Québec

Guillaume Lecorps fait notamment référence à la rémunération des stages et à l’offre de meilleurs services aux étudiants dans un souci d’équité. Pour le président de l’organisme, la compensation financière des stages permettrait de « donner un peu de souffle » aux jeunes.

L’autre dossier que l’UEQ veut voir aborder est celui de la santé psychologique étudiante. M. Lecorps se félicite des positions qu’ont prises les quatre chefs.

« Ils semblent vouloir développer une stratégie panquébécoise pour prévenir et combattre les problèmes de santé psychologique des étudiants », a détaillé M. Lecorps avant de citer une étude de l’Université de Montréal qui rapporte qu’un étudiant sur 10 a des idées suicidaires.

Désintérêt des jeunes pour la politique

Depuis le début des années 1980, le taux de participation des jeunes est en déclin constant. M. Lecorps estime qu’il est de la responsabilité des chefs des partis d’intéresser les jeunes aux enjeux électoraux.

Je leur conseille d’écouter la jeunesse et de parler d’enjeux qui sont chers aux étudiants.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)

 

Un test de français qui divise

Cette bonne humeur a cependant disparu lorsque François Legault a évoqué sa volonté d’instaurer un test de français pour les nouveaux arrivants, notamment les adultes.

Pour le chef de la CAQ, au bout de trois ans, les immigrants doivent « réussir » un tel exercice sous peine de se retrouver « dans une situation illégale ».

Ces propos lui ont valu des sifflets dans la salle, alors que le patron de la CAQ a indiqué qu’il était possible de « négocier » avec le fédéral, seul gouvernement responsable des expulsions.

Un peu plus tard, Philippe Couillard a souligné le « besoin » pour la province d’accueillir de « nouveaux arrivants » afin de pourvoir de nombreux postes. « Il faut aller plus loin dans leur intégration à la société », a-t-il lancé.

« La meilleure façon d’intégrer une personne, ce n’est pas de l’éloigner six mois dans une salle de classe », a-t-il complété, en ajoutant qu’il valait mieux leur offrir un emploi.

Pas de baisse d’impôts pour le PQ

L’éducation a également été au cœur de ce dialogue, où les chefs ne pouvaient se répondre directement.

Jean-François Lisée a promis de ne pas baisser les taxes et les impôts afin de financer le service public, tout comme le système de santé.

« On aimerait ça promettre le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémaillère, mais on ne le fera pas », a-t-il clamé, avec le sourire, en détaillant son vœu d’offrir la gratuité scolaire aux personnes à « revenus modestes ».

Le chef du PQ, qui aimerait des écoles « belles, éclairées et conviviales », a promis qu’en cas de victoire le 1er octobre, il proposera un projet de loi qui interdira de « réduire les budgets de l’éducation en bas de sa progression normale », soit l’inflation, a-t-il précisé.

Questionné sur un thème semblable, François Legault a confirmé son intention d’offrir la maternelle dès 4 ans . Pour l’égalité des chances, a-t-il dit, « on doit agir tôt ».

Pour récupérer du budget, a-t-il insisté, il souhaite « éliminer une partie de la bureaucratie, le gaspillage et les bonis » distribuées dans « certaines sociétés d’État ».

QS défend l’environnement

À plusieurs reprises, Manon Massé a mis en avant la défense primordiale de l’environnement.

Dès son discours d’ouverture, elle a affirmé qu’« on est en train de scrapper notre planète », avant de s’adresser au jeune public. « Et vous êtes ceux qui vont vivre avec ces conséquences », a-t-elle mentionné.

De son côté, Philippe Couillard a défendu le bilan en santé de son équipe en place depuis 2014.

Il a aussi promis une « stratégie étoffée, chiffrée et avec des moyens » pour lutter contre « la pression » subie par les jeunes dans les milieux universitaires.

Un poids démographique important

Ce dialogue a été organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) dans le but de pousser les jeunes électeurs de 18 à 34 ans à aller voter.

Cette catégorie d’âge pourrait jouer un rôle important cette année, puisqu’elle représente plus du quart de la population en âge de voter.

Le taux de participation des 18-34 reste cependant fluctuant et surtout faible, élection après élection.

En 2014, 56 % des 18-24 ans et 60 % des 25-34 ans sont allés voter. Le taux de participation global était de 71 % lors de ces élections remportées par Philippe Couillard.

En 2008, ce taux était de 36 % pour les moins de 24 ans et de 42 % chez les 25-34 ans, avec une participation globale de 57,4 %.

Le Parti vert du Québec en colère

Une vingtaine de militants du Parti vert du Québec ont manifesté mardi soir devant les locaux de l’Université Concordia. Plusieurs pancartes ont été brandies afin de dénoncer leur absence à cet événement, vue comme une « trahison de la démocratie ».

« C’est antidémocratique, a clamé Alex Tyrrell, le chef du parti, âgé de 30 ans. Les trois quarts de nos candidats ont moins de 35 ans, c’est ridicule de nous exclure. Les organisateurs privilégient le statu quo en donnant une tribune à des gens qui sont déjà médiatisés. »

Le Parti Vert du Québec vient d’apprendre que la  pseudo-démocratie au Québec est contrôlée par les médias et la famille Desmarais,entre-autres! 

Des représentants du Parti communiste révolutionnaire étaient également présents.

EN CONCLUSION

Cette élection confirme que si voter pouvait changer quelque chose au Québec (et au Canada) on abolirait immédiatement le droit de voter a tout le monde,car cela menacerait les intérêts  du 1 % et du Nouvel Ordre Mondial.

Au Québec,dernière colonie survivante de l’Empire Britannique,ce Quebec exclu du Rapatriement de la Constitution Canadienne en 1982,,ce Québec envahi et noyé  par l’immigration massive permise par le  franc maçon Justin Trudeau  et ce Québec  endormi par la fausse richesse de l’économie actuelle qui entre en crise,ce Québec que j’aime, semble accepter son sort en mouton qu’on mène a l’abattoir.

Le réveil sera brutal  pour la jeunesse québécoise qui va souffrir pendant des décennies a venir,de se laisser  mentir et manipuler ainsi par les médias corrompus,les 4 partis néolibéraux de l’Assemblée Nationale et ses très Hauts Fonctionnaires nommés a vie.

Peu de gens semblent avoir compris,en 2018 que nous sommes rendus au point de non-retour social,politique et économique prédit par un certain René Lévesque,après le premier référendum.

Non-seulement,la pensée politique du Parti Québécois est lessivée,mais ses chefs actuels applaudissent  les chefs bolchéviques  de Québec Solidaire pour se donner un mini prestige désuet.

Seule va rester la Désobéissance Civile alliée au courage d’un peuple qui va apprendre a se tenir debout pour vaincre,abolir et changer ce système mensonger d’oppression contrôlée!

En 2018,plus de 70 ans après son message lancé,le Manifeste du Refus Global garde tout son sens:

                            « Vous avez pas fini de mourir,bande de caves! »

*Je vous invite a joindre les rangs du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile : lien Facebook 

*Nous  préparons aussi un nouveau parti politique pour prendre le pouvoir quand le système va s’écrouler :lien Facebook de l’Ère Nouvelle du Québec