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“Quand on tente de détruire les fondements de la démocratie, alors on détruit un pays”. John McCain est formel : la Russie a déclaré la guerre aux Etats-Unis en piratant des emails du parti démocrate pendant la campagne présidentielle.
La déclaration virulente du sénateur républicain (rapportée par l’AFP) vient entraver, au même titre que les sanctions prises par la Maison-Blanche contre des diplomates russes, les efforts de la nouvelle administration Trump pour mettre un terme définitif à l’opposition entre Moscou et Washington. Sa nuance n’y changera rien : “Je ne dis pas qu’il s’agit d’une attaque atomique, dit-il. Je dis seulement que lorsqu’on attaque la structure fondamentale d’un pays, ce qu’ils font, alors c’est un acte de guerre”.
Donald Trump, qui ne cache pas son intention de collaborer étroitement avec Vladimir Poutine, ne fait pas non plus mystère de ses doutes quant aux conclusions de l’enquête sur les piratages informatiques. Dans le mois précédant l’élection présidentielle, les emails démocrates diffusés sur le site Wikileaks avaient mis au jour les calculs politiques de Hillary Clinton et terni sa réputation.
Un processus qui avait déjà été entamé par le candidat républicain lui-même, qui ne cessait de rappeler les manquements de l’ancienne première dame,Hillary Clinton, lorsqu’elle était première dame. Lors d’un débat, il avait notamment menacé la démocrate de la jeter en prison s’il était élu président. Après son élection, le milliardaire a cependant mis de l’eau dans son coca en renonçant à poursuivre Clinton.
En attendant la prise de fonction de Donald Trump dans 15 jours, John McCain organise ce jeudi,12 janvier 2017, une réunion au Sénat au sujet de ces cyberattaques.
Pendant que Donald Trump s’active en coulisse pour tourner définitivement la page de la guerre froide, le torchon brûle entre Washington et Moscou. La Russie aurait-elle osé d’immiscer dans la campagne présidentielle américaine pour favoriser l’élection du candidat républicain ? “Je ne pense pas que des événements aux ramifications aussi importantes ne se produisent dans le gouvernement russe sans que Vladimir Poutine ne soit au courant” a lâché hier Ben Rhodes, un proche conseiller de Barack Obama, à la télévision.
Dans la foulée, le président sur le départ explique à la Radio publique nationale (NPR) qu’il sera intransigeant avec Moscou : “Je pense qu’il ne fait aucun doute que lorsqu’un quelconque gouvernement étranger essaye d’influencer l’intégrité de nos élections (…), nous devons prendre des mesures et c’est ce que nous ferons”.
Ces piratages concernent notamment la fuite de courriers de la convention démocrate ainsi que ceux de conseillers d’Hillary Clinton, qui ont occupé une part importante du débat pendant la campagne. De quelles “mesures” parle Barack Obama ?
“Elles seront mises en œuvre en temps voulu et de la manière que nous aurons choisie. Certaines pourront être explicites et visibles, d’autres peut-être pas. (…) Monsieur Poutine est tout à fait informé de ce que je pense de cela parce que j’en ai parlé directement avec lui peu de temps après”.
Dans un peu plus d’un mois, Obama laissera sa place à Donald Trump, qui tient pour l’instant un discours beaucoup plus favorable à Moscou. Le milliardaire a notamment nommé l’homme d’affaires Rex Tillerson, qui connait personnellement le président russe, au poste de secrétaire d’Etat.
C’en est trop pour la Russie. Ce lundi, le porte-parole du Kremlin a dénoncé la “chasse aux sorcières” faite par les américains à la Russie, cette dernière étant accusée depuis plusieurs par des agences de renseignement américaines d’être intervenue dans l’élection présidentielle pour favoriser une victoire du républicain Donald Trump, au détriment de la candidate démocrate Hillary Clinton.
“Nous commençons à nous lasser sérieusement de ces accusations” a ainsi déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, ajoutant que“ces accusations sans fondement, qui ne sont en rien étayées, sont réitérées de manière non professionnelle. Nous ne savons pas sur quelle information ils s’appuient”.
Seuls ceux qui ne suivent rien de la politique américain ou qui supportent la politique mondialiste et corrompue de la Reine des Illuminati,Hillary Clinton,vont dire ou écrire que ce que j’écris ici est faux,mais force est de constater que nous assistons à un coup de force mené par la clique de l’islamiste Barack Hussein Obama,afin de disqualifier le président-élu,Donald Trump.Le plan d’Obama consiste à faire croire que Donald Trump a été élu grâce à l’intervention de la Russie,et que,par conséquent,lui,le président en exercice ,reste au pouvoir afin de reprendre des » élections plus légales » ,du à la disqualification de Donald Trump.
…ou bien,il décrétera qu’Hillary Clinton est élue!
Et vlan pour ce qui reste de démocratie au Pays des Champions de la Liberté!
Seule une Seconde Révolution Américaine peut maintenant permettre au Peuple Américain ,de reprendre son pouvoir politique!
Il faut revenir à la base de l’esprit de Georges Washington et de Benjamin Franklin,maintenant!