Le Bloc Québécois et la menace communiste venue de l’intérieur

Depuis quelques jours,l’ancien chef du Parti Communiste du Québec et membre de Québec Solidaire,André Parizeau,est devenu officiellement candidat du Bloc Québécois!

Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, est à l’aise avec le passé communiste de l’un de ses candidats à l’investiture dans Ahuntsic-Cartierville, à Montréal.

La Presse canadienne a appris que le Bureau national du Bloc s’est réuni plus tôt cette semaine pour discuter du cas d’André Parizeau, qui était jusqu’à tout récemment chef du Parti communiste du Québec (PCQ)…pendant 21 ans!

André Parizeau, ex-chef du Parti communiste du Québec, a l’intention de se porter candidat bloquiste dans Ahunstic-Cartierville.

Et Yves-François Blanchet, le chef du Bloc, n’a aucun problème avec ça.

« Que quelqu’un soit pour plus ou moins d’intervention de l’État, on peut avoir la discussion », a-t-il dit.

En d’autres mots : le Bloc est une coalition. Qu’est-ce que ça fait que quelqu’un soit plus à gauche ou plus à droite ?

VIVE L’EXTRÊME GAUCHE !

Voici ce que j’aimerais rappeler à monsieur Blanchet.

André Parizeau n’a pas été un simple « compagnon de route » du Parti communiste du Québec, un simple partisan, comme de nombreux intellectuels dans les années 1970.

Il a été le chef du Parti !

Pendant 21 ans !

Jusqu’à l’an dernier !

Avec tout ce qu’on sait des régimes communistes ! Les exactions, les camps, la censure, les violations à répétition des droits fondamentaux !

Si ce n’est pas une preuve flagrante d’un sérieux manque de jugement, je ne sais pas ce que c’est…

Et le chef du Bloc n’a aucun problème à ce qu’André Parizeau représente le Bloc ? Ben coudonc.

Question quiz de la semaine : monsieur Blanchet accepterait-il que l’ex-chef du Parti fasciste du Québec brigue une candidature au Bloc ?

Certainement pas ! Le Parti fasciste, voyons, ça n’a aucun sens !

L’extrême droite ? Jamais !

Mais l’extrême gauche, pas de problème, venez, on vous ouvre tout grand les bras…

LES COCOS

Voici des extraits du programme du Parti communiste du Québec (attachez votre tuque avec de la broche).

  • Nationalisation de toutes les banques.
  • Mise sous tutelle gouvernementale de toutes les Caisses populaires.
  • Fermeture de toutes les banques américaines sur le territoire du Québec.
  • Nationalisation des secteurs de l’énergie, de la santé et de l’éducation.
  • Adoption de lois qui faciliteront la syndicalisation.
  • Signature d’ententes économiques
  • avec des pays progressistes afin de nous libérer de notre dépendance face au marché états-unien.
  • Nationalisation du secteur des communications.
  • Nationalisation des entreprises œuvrant dans la haute technologie.
  • Mise sous contrôle étatique de la presse.
  • Le gouvernement du Québec utilisera les médias pour procéder à une vaste campagne d’éducation citoyenne.

L’ÉTAT PARTOUT

  • Le gouvernement octroiera des prêts sans intérêt aux travailleurs pour les aider à racheter leurs entreprises des mains des propriétaires.
  • Le gouvernement possédera la majorité des voix dans les conseils d’administration de ces entreprises.
  • Rehaussement du niveau des taxations des entreprises.
  • Les entreprises seront dirigées par un comité de gestion composé à 30 % (minimum) de travailleurs.
  • Les cadres et les contremaîtres seront élus par les travailleurs eux-mêmes.
  • L’État élaborera un plan destiné à coordonner toute la production de biens et services au Québec.
  • Tous les avocats seront payés par l’État.
  • Ce ne seront plus des juges qui siégeront sur les tribunaux de première instance, mais de simples citoyens.
  • Les policiers n’auront plus le droit de porter des armes à feu.
  • Les escouades antiémeutes seront dissoutes.

Etc., etc.

Michel Gauthier, ancien chef du Bloc québécois qui a joint les rangs du Parti conservateur du Canada l’an dernier, affirme ne plus reconnaître son ancienne formation.
«Il n’y a rien de commun entre le Bloc aujourd’hui et le parti que j’ai dirigé», a-t-il indiqué, samedi,le 27 avril 2019i, alors qu’il prenait la parole, à Victoriaville, au congrès général de l’aile québécoise du Parti conservateur du Canada.

 

DIGNE DU PARTI RHINOCÉROS

André Parizeau a défendu ce programme surréaliste pendant 21 ans.

L’an dernier, il le défendait encore !

Et il pourrait devenir député du   Bloc à Ottawa ?


EN COMPLÉMENT

Québec Solidaire est né grâce au Parti communiste du Québec et du Parti Communiste du Canada

André Parizeau,alors qu’il était le chef du Parti Communiste du Québec

Le Parti communiste du Québec (PCQ) a participé à la fondation de Québec solidaire (QS). C’est du moins ce que le chef du PCQ, André Parizeau, a déclaré sur les ondes de la station Radio X. M. Parizeau est allé plus loin : « J’oserais même dire […] que sans notre présence […] ce projet-là n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

Les explications de M. Parizeau sur l’histoire des relations entre QS et le PCQ étaient un peu floues, mais en gros, c’est en 2008 que son parti s’est fait reconnaître comme collectif au sein de QS, qu’il a finalement quitté en 2014. M. Parizeau a admis qu’ils étaient plusieurs chez les solidaristes à penser que la présence du PCQ pouvait nuire à leur formation, ajoutant à ce sujet qu’il existait, de 2008 à 2014, un rapport amour-haine entre les deux partis.

Rappelons que le père d’Amir Khadir était un dirigeant du Parti communiste du Canada et qu’il a aidé à l’organisation  de la naissance de Québec Solidaire en apportant beaucoup de matériel provenant du Parti Communiste du Canada.

Nous pouvons apercevoir la silhouette du père d’Amir Khadir devant la boutique Le marcheur,dans le comté de Mercier,en décembre 2010. QS se faisait de la publicité sur le dos d’une entreprise familiale québécoise française parce qu’il y avaiot quelques souliers importés d’Israel sur les étagères.


Le dossier noir de Québec solidaire

 

Voici la ou les sources de cet article : L’Encyclopédie canadienneDossierQSFacebook, Point de bascule n° 1n° 2n° 3 et n° 4Presse gaucheYoutubeWikipédia et Marxists Internet Archive/Voici la source de la photo : Domaine public

Faut-il le rappeler ? C’est en URSS qu’a été légalisé pour la première fois dans l’époque moderne en 1920 l’avortement. C’est le marxisme culturel qui a répandu la théorie du genre dans bien des pays dont le Brésil. — CQV

Saviez-vous qu’un ex-coordonnateur d’Amir Khadir était une connaissance de Pol Pot ? Première partie de ce dossier.

Québec solidaire (QS) n’a plus besoin de présentation. Au départ populaire principalement à l’est du boulevard Saint-Laurent, l’organisation a réussi à soutirer 10 sièges aux dernières élections provinciales, dont un à Sherbrooke, un ancien fief de l’ex-Premier ministre libéral, Jean Charest.

Dépeint par plusieurs comme appartenant à l’extrême gauche, le parti de Manon Massé a déjà dû se défendre d’être associé aux antifas. Car si QS fait figure de modèle politique pour les maximalistes québécois, c’est parce qu’il a été bâti en grande partie sur le socle du communisme.

L’alliance des rouges

Québec solidaire est né en 2006 d’une fusion entre l’Union des forces progressistes et Option citoyenne. Dès le début, le parti accepta dans ses rangs des « collectifs » aux noms évocateurs : Gauche socialiste, Socialisme international, Masse critique, Parti communiste du Québec (PCQ), pour ne nommer que ceux-là.

De ces collectifs, c’est certainement le Parti communiste qui était le plus organisé. Sur son site, la formation avait très bien annoncé ses couleurs : « Tous les membres du PCQ sont également membres de Québec solidaire », était-il écrit à une certaine époque. Sur les ondes de Radio X, l’ex-chef du PCQ, André Parizeau, avait déclaré en septembre dernier que sans la présence de son ancien parti, « ce projet-là [la fondation de Québec solidaire] n’aurait jamais vu le jour au départ […] ».

M. Parizeau s’était d’ailleurs présenté sous la bannière de QS aux élections de 2007 et de 2008, de même que Francis Gagnon-Bergmann, un autre membre et ex-chef du PCQ.

Des militants fanatiques

Cet engouement pour la doctrine marxiste ne s’est pas évanoui avec le temps. En 2007, une autre ex-vedette de QS, Françoise David, était intervenue dans un atelier organisé dans le cadre d’un colloque appelé Marxism — A Festival of Resistance, qui avait eu lieu en Ontario.

En juin 2015, ce fut au tour d’Amir Khadir de participer à une conférence intitulée Bâtir une alternative politique à l’austérité : l’expérience de la gauche européenne. M. Khadir s’y était présenté en compagnie de délégués des partis d’extrême gauche européens Syriza, de la Grèce, Podemos, de l’Espagne et Die Linke, de l’Allemagne.

C’était le même Amir Khadir qui, au 6e congrès de la formation, s’était rendu compte à quel point les militants anti-capitalistes de son parti siégeaient « à gauche de la gauche ». Au micro, l’ex-député solidaire avait déclaré qu’il fallait « certes dépasser le capitalisme », c’est-à-dire « changer le système », mais que « la nouvelle gauche dont nous sommes issus se distingue quand même de la gauche radicale ». Il avait ajouté que l’erreur, pour QS, serait de proposer au peuple québécois, comme solution de rechange au capitalisme, « un système trop rigide ».

Le discours avait laissé de nombreux militants perplexes, dont plusieurs s’étaient ensuite mis à entonner le chant révolutionnaire L’Internationale, le même que chantaient les bolcheviks durant la révolution russe de 1917.

Une connaissance de Pol Pot

Roger Rashi n’est pas un nom qui vient à l’esprit de bien des Québécois. M. Rashi a été membre du comité de coordination de Québec solidaire dans la circonscription de Mercier, soit celle d’Amir Kadir, de décembre 2008 à octobre 2015. Mais ce que peu de gens savent, c’est qu’il a eu l’insigne honneur de serrer la main du diable. Ce diable, c’est le dictateur sanguinaire Pol Pot, du Cambodge, à qui M. Rashi semblait vouer une certaine admiration.

Notre homme s’était rendu au Cambodge en 1979 pour rencontrer le tyran, responsable de la mort de plus d’un million et demi de personnes. On peut le voir sur une photographie en compagnie de son idole des Khmers rouges. Aujourd’hui encore, Roger Rashi milite pour sa formation-coqueluche, Québec solidaire. À preuve, les nombreux billets et partages sur sa page Facebook en rapport avec le parti de Manon Massé. C’est peu dire que le soir du 1er octobre dernier, il jubilait.

 


SECONDE PARTIE DE L’ARTICLE

Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé

 

 

Voici la ou les sources de cette partie de l’ article : Point de bascule n°1n°2n°3 , n°4n°5n°6 et n°7, Le Point, France 24Québec solidaireWikipediaFacebookTimes of IsraelGouvernement du Canada,NewswireBarbara KayBateau canadien pour Gaza / Voici la source de la photo (rognée) : Asclepias, yanik_crepeau et Judicieux, WikimediaCC BY-SA 3.0

Le sujet de l’article ci-dessous est :

1) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun.

Or, pour comprendre pourquoi le christianisme est la seule vraie religion, il faut comprendre en quoi les autres sont fausses. — A. H.

En plus d’être un parti d’extrême gauche, QS cède à la complaisance à l’égard de l’islamisme. Deuxième partie de ce dossier.

Nul doute que l’attitude des partis de gauche à l’égard des cultures étrangères, en particulier envers l’islam, est marquée par l’empathie. Québec solidaire (QS) ne fait pas exception à cette règle, et les premiers signes de cette manifestation d’empathie sont apparus l’année suivant sa fondation, soit en 2007.

Cette année-là, l’ex-porte-parole de QS, Françoise David, avait participé, à Toronto, à un colloque appelé Marxism – A Festival of Resistance, organisé dans le but de renforcer l’alliance entre l’extrême gauche et les milieux islamistes. Une fratrie d’intégristes avait été invitée à cet événement à titre de conférenciers, parmi lesquels Zafar Bangash, un grand supporter de la révolution islamiste en Iran. Bangash souhaite d’ailleurs que ce type de révolution se propage dans tous les pays, dont le Canada.

QS côtoie des groupes islamistes

Au printemps 2011, lorsque les premières notes de la révolution syrienne se faisaient entendre, Québec solidaire avait pris fait et cause pour le Conseil national syrien (CNS). Un choix curieux, puisque le CNS a été noyauté par les tristement célèbres Frères musulmans. Selon le journal Le Point, « près d’un tiers des membres du CNS sont des islamistes, Frères musulmans syriens ou anciens de la confrérie ». Un autre média, France 24, cite un activiste syrien selon lequel les Frères étaient plutôt majoritaires au sein du CNS.

Cet appui aux Frères musulmans était-il délibéré ? Peut-être pas, mais toujours est-il que le 6 octobre 2012, Manon Massé et un député du Bloc québécois, Richard Nadeau, ont participé à la projection du film Sous les yeux de la Palestine, un événement organisé par Islamic Relief Canada, en collaboration avec Human Concern International, l’Association des étudiants musulmans de l’Université de Montréal et la Muslim Students Association (MSA).

Il est possible que les deux personnalités politiques n’aient pas été mises au courant que les bureaux de Human Concern avaient été fermés à la demande du gouvernement canadien à la fin des années 90 parce que l’organisme était accusé d’être un paravent d’Al-Qaida, ce qu’avait avoué Oussama ben Laden lui-même. À l’époque, le chef du bureau pakistanais de Human Concern était Ahmed Said Khadr, un des hauts gradés d’Al-Qaida et père d’Omar Khadr, qui a obtenu 10,5 millions du fédéral à titre de compensation pour avoir été interné à Guantanamo.

Islamic Relief Canada a été récemment accusé par certains pays d’entretenir des liens avec le terrorisme.

Un bateau pour des islamistes

En mai 2010, Manon Massé représentait Québec solidaire au sein d’une délégation de 17 Québécois qui voulaient tenter de sauver les Palestiniens victimes de la « persécution » israélienne*. Le communiqué publié pour l’occasion était signé par Mohamed Kamel et Ehab Lotayef. Des deux, c’est le second qui nous intéresse.

Ehab Lotayef était l’un des principaux organisateurs de l’opération Un bateau pour Gaza. Il est aujourd’hui membre du conseil de la Fédération canada-arabe (FCA), créée en 1967 pour représenter les intérêts des Canadiens d’origine arabe. En 2009, le gouvernement Harper avait mis fin au financement attribué à la FCA, accusant ses dirigeants d’avoir appuyé ouvertement deux groupes terroristes, le Hezbollah et le Hamas, et d’avoir tenu des propos antisémites. Omar Alghabra, membre du caucus libéral à Ottawa, a été président de la FCA de 2004 à 2005.

Le 30 juin 2009, Omar Shaban, vice-président de la FCA pour l’ouest du Canada, avait écrit sur sa page Facebook que le Canada était un « État génocidaire […] Il disait avoir honte d’être canadien.

Ehab Lotayef avait une fois lancé un boycottage à l’endroit des librairies Chapters et Indigo en raison du soutien de ses propriétaires, Heather Reisman et Gary Schwartz, à une fondation israélienne. Selon La Presse, Lotayef aurait par ailleurs été impliqué dans une tentative de mettre en place un tribunal de la charia à Montréal. Dans ce projet, il côtoyait l’imam Said Fawaz, un représentant de la Ligue islamique mondiale de l’Arabie saoudite.

Parmi les autres organisateurs du Bateau pour Gaza figurait Elias Hazineh, ex-président de Palestine House. S’adressant au rassemblement annuel de la Journée Al-Quds en août 2013, Elias Hazineh avait tenu des propos incendiaires sur les Israéliens : « Ils [les Israéliens] ne négocient pas. Et nous négocions avec eux depuis 65 ans. Nous disons [donc] : « Sors ou tu es mort ». On leur donne deux minutes et on commence à tirer. Et c’est la seule façon pour eux de comprendre », avait-il violemment déclaré.

Hazineh a été président de la circonscription Mississauga-Erindale sous le député libéral que nous avons cité plus haut, Omar Alghabra.


EN CONCLUSION

Le Bloc québécois est noyauté par le Parti Communiste du Québec et par Québec Solidaire.La dernière a a avoir défendu l’idée de l’indépendance du Québec aura été Martine Ouellet.

Martine Ouellet,la dernière bloquiste indépendantiste

Le simple fait d’être nationaliste de droite  peut vous faire éjecter de ce parti.

On est à des années-lumière du parti fondé par Lucien Bouchard qui lui-même a changé pour s’occuper de la défense de l’oligarchie,des libéraux bien nantis et des compagnies pétrolières.

Pour les vrais défenseurs de l’idée de l’indépendance du Québec,la seule option est devenu la désobéissance civile …totale!

Boycottons cette élection fédérale d’octobre 2019 ou votons pour des candidats indépendants.

En 1993,Lucien Bouchard était le chef du Bloc Québécois…Que de changements depuis ce jour!

 

*Rappelons que Lucien Bouchard est un grand ami de la famille Desmarais,de Sagard…nos Maîtres Illuminati!

 

 

 

Vidéo et article:Le Québec ,dernière colonie survivante de l’Empire Britannique: Le Coup d’état du Canada contre le Québec

 

La Bataille de Londres

– Dessous, secrets et coulisses du rapatriement constitutionnel Frédéric Bastien est le premier historien qui se penche sur ces événements en s’appuyant sur une étude systématique des archives, notamment les documents secrets du Foreign Office. C’est grâce à ces derniers que nous apprenons que Trudeau, dans son entêtement, est allé jusqu’à enfreindre une règle fondamentale des gouvernements démocratiques, soit celle de la séparation des pouvoirs, compromettant d’emblée la légitimité du nouveau régime constitutionnel.

Un rapatriement légal mais inconstitutionnel!

28 septembre 1981 La Cour suprême rend son verdict sur le rapatriement unilatéral de la Constitution en septembre 1981 : le rapatriement unilatéral de la Constitution est tout à fait légal. Par contre, comme six juges sur neuf reconnaissent l’existence d’une convention constitutionnelle, le gouvernement fédéral devra obtenir le consensus des provinces. Mme Solange Chaput-Rolland, ancienne membre de la commission Pépin-Robarts sur l’unité canadienne, et José Woehrling, professeur de droit constitutionnel à l’Université de Montréal, expliquent le jugement de la Cour suprême. À l’unanimité, les juges de la Cour suprême considèrent dans leur jugement que les modifications proposées par le fédéral affectent les droits des provinces. Par conséquent, une majorité de ces juges croient qu’une convention constitutionnelle oblige le fédéral à obtenir l’assentiment des provinces pour demander le rapatriement. Cinq juges sur sept pensent que celle-ci oblige le gouvernement fédéral à obtenir leur accord. Le fédéral décidera donc de ne pas outrepasser la position des provinces et tentera d’obtenir leur approbation. Le premier ministre de la Colombie-Britannique et porte-parole de l’alliance des huit, Bill Bennett, se réjouit de la décision de la Cour suprême.

Le gouvernement Trudeau se voit en quelque sorte forcé à négocier avec les provinces. À l’annonce du jugement, Pierre Elliott Trudeau est en Océanie. Il va profiter des rencontres du Commonwealth à Melbourne pour commencer son « lobbying » auprès de la reine. À son retour, le premier ministre va convoquer une conférence des premiers ministres provinciaux afin d’obtenir l’appui d’une majorité d’entre eux.

 

 

La signature sans le Québec est une insulte suprême,un coup d’état bien orchestré.

 

Pierre Elliott Trudeau et Mao Tsé Tung 1973.
PET portait une admiration sans borne au sanguinaire leader communiste.
Le fils,Justin Trudeasu qui a été intronisé chez les francs maçons par son père,voue la même admiration pour un autre dictateur communiste chinois: Xi Jin Ping.

 

– Le gouvernement péquiste exige du gouvernement Harper qu’il «ouvre les livres» du Conseil privé pour faire toute la lumière sur cette affaire trouble. – Face au refus aussi rapide que prévisible d’Ottawa, le ministre Alexandre Cloutier annonce que le gouvernement Marois préparerait «une offensive», dont on attend les détails.

– Voyant sa crédibilité remise en cause ouvertement, l’adjoint exécutif juridique de la Cour suprême réagit à la vitesse de l’éclair en ces brefs termes: «La Cour attache une très grande importance à son indépendance institutionnelle et à la confidentialité de ses délibérations, et elle examine présentement la teneur de ces allégations». S’il n’y aura évidemment pas d’«enquête» de la Cour sur la Cour, sa réaction rapide trahit tout de même une certaine inquiétude. Quoiqu’il serait fort étonnant, pour ne pas dire inconcevable, que la Cour suprême en vienne à conclure à sa propre perte de crédibilité…

– Constitutionnalistes et politologues interviewés dénoncent quant à eux le comportement allégué du juge Laskin (décédé en 1984). Ils demandent aussi que le gouvernement Harper «ouvre ses livres». Le tout, en faisant remarquer avec raison, que la constitution de 82 continuera malgré tout à s’appliquer au Québec. Publicité

– Constatant le caractère grave des allégations, certains experts proposent carrément le déclenchement d’une enquête indépendante. Un minimum dans les circonstances. – Dans les médias anglophones, d’ici et hors Québec, on rapporte l’histoire, mais on la commente peu.

– À Ottawa, on banalise et réduit le tout à des «vieilles chicanes» du passé. La réaction de Justin Trudeau — futur chef du PLC et fils de Pierre Trudeau -, s’en fait l’écho parfait.

– À Québec, le Parti libéral de Philippe Couillard marche sur des œufs tout en demandant, timidement, de faire la lumière. – Côté CAQ, la réaction de François Legault voulant que cette histoire n’ait plus d’importance aujourd’hui, en laisse plusieurs pantois et fait décrocher bien des mâchoires. Qu’un chef de parti se comporte de manière à banaliser une question pourtant centrale à l’existence politique du Québec risque de laisser des traces. De le voir contribuer ainsi à endormir une population qui a pourtant grand besoin de retrouver sa conscience politique nonobstant les convictions de chacun sur cette question cruciale, en laissera plusieurs sur leur faim.

– Jeudi soir, sur les ondes de RDI à 24 heures en 60 minutes, l’ex-premier ministre Lucien Bouchard, pourtant un proche de M. Legault, se fait cinglant et qualifie la réaction du chef caquiste d’«inacceptable» : «Comment un chef de parti, qui veut devenir un jour premier ministre du Québec peut réagir de façon aussi légère à quelque chose d’aussi important, qui est au cœur même de la vie constitutionnelle canadienne? N’oublions pas que le rapatriement, la Charte, du côté de beaucoup de gens, c’est perçu comme l’acte fondateur du Canada moderne.» – Pour les caquistes, ce retour en force de la question constitutionnelle prouve que contrairement à leur principal mantra, elle est loin d’être enterrée. Pour les libéraux et les caquistes, l’intervention de Lucien Bouchard leur met une pression considérable en les enjoignant publiquement de se réveiller sur l’«affaire» de la bataille de Londres.

– Au gouvernement Marois, nul doute qu’on entend se servir du tout pour faire la «pédagogie» d’une telle duperie. Ayant exigé du Conseil privé canadien qu’il «ouvre ses livres», il reste cependant à voir s’il sera également capable, ou non, d’aller au-delà de la rhétorique de dénonciation pour reprendre la promotion de son option comme étant sa véritable réponse…

Le vrai visage de Pierre Elliott Trudeau, Les Intouchables, 

Il y a 37 ans entrait en vigueur, le 17 avril 1982, une importante modification de la constitution du Canada, la Loi constitutionnelle de 1982, qui a donné naissance à la Charte canadienne des droits et libertés. Cette charte a été imposée par Trudeau au Québec avec l’accord des neuf provinces anglophones. Trudeau a reconnu en 1986 « qu’à cette dernière étape il fallait presque un putsch, un coup de force. »

EN CONCLUSION

Étant donné que François Legault,l’homme d’affaire multimillionnaire  est devenu premier ministre  du Québec,nous avons  tout à craindre d’un formatage  des cerveaux de la jeunesse actuelle,au Québec.

François Legault est devenu premier ministre du Québec suite à « l’écoueurantite aigüe » qui a marqué le règne des libéraux (2003-2012,2014-2018) .La loi 21 sur la laïcité va  réveiller la franc maçonnerie,le crime organisé et les migrants djihadistes et autres que Justin Trudeau a laissé entrer …librement!C’est l' »État Profond » qui a largué les libéraux (contrôlé par la famille Desmarais et leurs alliés).

J’avais prédit l’élection de François Legault en 2018 suite à cette décision des Desmarais:tantôt la CAQ et Legault auront des comptes à rendre!

Il est important pour les Illuminatis et leNouvel Ordre Mondial que les québécois de souche restent endormis et abrutis par le travail en attendant leur mise en minorité par l’immigration massive…Legault semble rentrer dans leur jeu!

Si le peuple québécois se réveille à temps,il se rendra compte qu’il se fait « fourrer » à chaque élection.

Encore une fois,je le répète:Si les élections,au Québec ou/et même au Canada pouvaient servir à changer quelque chose,on les  enlèverait et on les rendrait illégales!

Seule la désobéissance civile bien organisée pourrait changer ce système basé sur l’élite et l’oligarchie financière bourgeoise!Le système canadien actuel est né dans la tête de Pierre Elioth Trudeau,le franc maçon ,et est basé sur la division du peuple par la multi-ethnicité et le mondialisme.Souvenez-vous comment le petit Justin était à genoux devant Donald Trump quand celui-ci ait réclamé  un nouvel ALENA!

Lors de l’élection de Jean Charest,en 2008,Pauline Marois lui serre la main.

 

 

Le Québec sous contrôle du crime organisé:LES COCHONS DE BPR ET DE NATHALIE NORMANDEAU

Cochons

 

 

 

ST-IRÉNÉE, QUÉBEC-Aujourd’hui, nousêtre le plus important scandale à avoir jamais plané sur le Québec.
Toute cette histoire a débuté en 1997 quand le premier ministre Lucien Bouchard a déclaré que l’industrie porcine serait le fleuron de l’agriculture québécoise.
Maintenant, il est établi que la firme d’ingénieurs-conseils BPR conseille depuis cette époque l’industrie porcine et l’Union des producteurs agricoles (l’UPA). BPR emploie quinze cents personnes et fournit toute la gamme de services-conseils en ingénierie aux entreprises spécialisées industrielles et aux organismes publics et privés.
Ensuite, il a aussi été établi que c’est l’UPA qui dicte les réglements sur la protection des bandes riveraines des cours d’eau. Je n’invente rien, des documents publics existent qui appuient mes dires. Le 15 juin 2002, le ministre de l’Environnement du Québec d’alors, André Boisclair, a fait adopter à la vapeur, sous le baillon, un règlement qui a réduit de trente à trois mètres la bande de protection des cours d’eau en regard des fertilisant. Pour les cours d’eau servant à l’alimentation, la distance a été abaissée de soixante-quinze à quinze mètres.
Ce qui n’a encore jamais été dit nulle part dans les médias, c’est que ce même règlement a annulé toute protection pour les cours d’eau de deux mètres par deux mètres, soit les ruisseaux qui traversent les champs et qui alimentent les lacs et les rivières, et les sources d’eau. On peut épandre du lisier de cochon directement dans ces cours d’eau en toute légalité, et on ne s’en prive pas. C’est à la demande de l’UPA, conseillée par BPR, que cette disposition a été adoptée par le législateur. Résultats de toute cette réglementation : de larges nappes phréatiques ont été contaminées, des rivières polluées, des lacs détruits. Un cochon pollue deux fois et demi de plus qu’un être humain, on leur administre aussi des quantités phénoménales d’hormones de croissance et d’antibiotiques qui filent dans les cours d’eau; les neuf millions de porcs du Québec polluent donc comme une population d’environ vingt-deux millions d’habitants, et bien davantage encore.

Lucien Bouchard en compagnie d'un autre ami de la famille Desmarais:Jean Charest. Libéraux et péquistes unis dans un même combat:le contrôle du peuple et de l'argent.
Lucien Bouchard en compagnie d’un autre ami de la famille Desmarais:Jean Charest.
Libéraux et péquistes unis dans un même combat:le contrôle du peuple et de l’argent.

Si cette industrie était rentable, l’acceptabilité de la chose serait peut-être plus facile. Mais elle ne l’est pas. Chaque cochon coûte cent-cinquante dollars à élever, soixante-quinze dollars doivent être versés en subventions pour y parvenir. Alors, quel peut bien être l’avantage pour le Québec d’une telle industrie? L’industrie réclame des centaines de millions de dollars en subventions pour subsister. Alors quoi?
Dans la municipalité de St-Irénée, dans Charlevoix, on a construit une usine d’eau potable au coût de trois millions six cents mille dollars. Les travaux ont été confiés à la firme BPR, sans appel d’offres, par la ministre Nathalie Normandeau. L’usine produit assez d’eau pour satisfaire cinq fois les besoins de cette municipalité où seulement trois-cent-cinquante personnes sont branchées sur le réseau d’aqueduc ! Elle a été construite après que la firme BPR ait effectué des sondages dans les environs pour trouver une source d’eau et que ses ingénieurs aient rapporté qu’il n’y en avait pas. Mais des résidents de l’endroit sont passés aux endroits où BPR était allé, et ils ont trouvé une source d’eau bien riche, propre et bien abondante. À St-Irénée, dans Charlevoix, on a donc construit une usine d’eau cinq fois trop grosse…et pour rien du tout; il y avait déjà tout ce qu’il fallait en eau.
St-Irénée n’est pas un cas unique au Québec. Un peu partout, des usines d’eau potable ont ainsi été construites à coûts élevés, avec l’approbation subventionnée par la ministre Normandeau, rapportant des milliards aux firmes d’ingénieur-conseil, le tout parce que les nappes phréatiques étaient contaminées par une industrie hyper-polluante, déficitaire, et subventionnée elle-aussi à coups de milliards. Alors quoi? Qu’est-ce qu’il y a derrière tout ça? Le président de BPR, Pierre Lavallée, qui a démissionné à la suite de sa comparution à la Commission Charbonneau où on n’a pas abordé toute cette question d’usine d’eau potable. Pourtant, parenthèse, la Commission Charbonneau a été mise au courant de toutes ces données. Monsieur Lavallée remplaçait Paul Lafleur, président au moment de la construction, sans appel d’offres, répétons-le, de l’usine de peau potable de St-Irénée. D’ailleurs, tous les projets de construction publics qui s’effectuent à St-Irénée le sont par BPR et toujours sans appel d’offres.
Paul Lafleur était jusqu’à récemment président du conseil d’administration du Domaine Forget, un vaste domaine champêtre où des étudiants viennent suivre des cours de musique. Le domaine est ouvert environ six mois par année. Il reçoit des subventions du gouvernement du Québec, d’Hydro-Québec, de riches mécènes comme monsieur Lafleur et la famille Desmarais de Power Corporation, laquelle a un aéroport à sa disposition, tout près, au sommet d’une colline de St-Irénée. De jour comme de nuit, des Learjet viennent s’y poser, débarquant passagers et marchandises en toute franchise car il n’y a là aucun douanier pour embêter personne.
Monsieur Lafleur est souvent appelé « le génie de l’eau » pour la science dont il a fait preuve à BPR. Prenons maintenant le temps de nous résumer un peu. Monsieur Lafleur a pris la direction de la firme en 1991. Il l’a notamment développée en appuyant, via les conseils fournis à l’UPA, le développement de l’industrie porcine, puis en conseillant cette même industrie qui a dicté la réglementation la concernant au gouvernement du Québec. C’est sous l’impulsion des conseils de BPR que la protection des bandes riveraines a été réduite par le gouvernement du Québec à presque rien et, dans le cas des ruisseaux et des petits cours d’eau, à néant, contaminant les nappes phréatiques, les plus gros cours d’eau, et entraînant la nécessaire construction, par BPR , d’usines d’épurations des eaux et d’usine d’eau potable. Et voilà : d’un côté, on s’est assuré de polluer, de l’autre on a fait des milliards en dépolluant et en usines d’eau potable, tout en étant largement subventionné par la ministre Normandeau. Et la boucle est bouclée.
Il est intéressant de noter, quand on regarde la liste des donateurs au Domaine Forget, qu’ils bénéficient généralement de généreux contrats publics d’Hydro-Québec, souvent sans appels d’offres, comme c’est le cas pour BPR.
Finalement, si on avait voulu détruire les ressources en eau du Québec pour faire faire des milliards aux firmes de génies-conseils en usines inutiles, on n’aurait pas agi autrement.

 

Nathalie Normandeau 002

Écrit par François Harvey,reporter, pour la Fédération des groupes révolutionnaires du Québec

 

Le gouvernement du Québec comparé à la Russie de Poutine

Je ne rebloggerai pas un article aussi outrageant.Je vais juste vous le traduire pour vous donner une bonne idée du racisme  véhiculé par le National Post contre le Québec,sa langue,son drapeau et ses droits.

Le National Post  y va à fond de train contre le peuple québécois ,par la même occasion.Un commentaire stipule même que nous , le peuple québécois,n’aurions plus  le droit d’exposer notre drapeau fleurdelysé à cause de la « croix blanche » au centre.

En 1995,Lucien Bouchard était comparé à Adolph Hitler  et le Parti québécois au Parti nazi. En 2013, on ose comparé Pauline Marois à Vladimir Poutine  et le Québec est devenu la Russie.C’est une insulte grave,car jamais Vladimir Poutine  n’ira manifester avec  les gais et les lesbiennes…jamais Poutine ne fera de lois anti-corruption,car c’est grace à la Mafia russe qu’il a pris et garde son pouvoir.Par contre,à Toronto ,on n’a pas hésité à frapper sur des manifestants anti-capitalistes jusqu’à les blesser gravement,devant les caméras.Au Québec, les policiers  essayent de se cacher avant de frapper.

En 2013,la rage qu’exprimait jadis Félix Leclerc…monte en moi…,malgré moi!

N’oubliez jamais mes ami(e)s que dans le mot « Révolution »,il y a le mot »Évolution »!

Voici le torchon :

«Comme  dans la  Russie de Poutine»:  le «plan impensable»  du Parti québécois «d’interdire les signes religieux dans le secteur public

 Baltej Singh Dhillon, the RCMP constable who fought to wear his turban.
Baltej Singh Dhillon, the RCMP constable who fought to wear his turban.

MONTRÉAL – Lorsque le philosophe Charles Taylor lu le titre tabloïd mardi que le gouvernement du Parti québécois a l’intention d’interdire le port de tout symbole religieux dans les institutions publiques, il a supposé qu’il s’agissait d’une erreur par l’excitable Journal de Montréal.

« Je ne pensais  pas que le gouvernement irait si loin « , a-t-il déclaré à un journaliste de Radio-Canada.

Dire aux  travailleurs dans le secteur public, à partir des garderies  jusqu’aux hôpitaux, qu’ils ne peuvent pas porter le hijab, la kippa, le turban ou le crucifix en vue sur le travail serait « un acte absolument terrible d’exclusion», a déclaré M. Taylor, un professeur de l’Université McGill qui a servi en tant que co-président d’une commission gouvernementale pour  étudier les accommodements religieux en 2007-2008.

« C’est quelque chose que l’on s’attendrait à voir dans la Russie de [Vladimir] Poutine. C’est exactement la même chose, que les gens ne peuvent pas être vu en public d’être gay, ils ne peuvent pas avoir un défilé de la fierté gaie, parce que c’est contre la loi. Dans ce type de société, nous nous attendons à ce que, si nous protestons fermement et correctement. Mais dans une société libérale comme la nôtre, il est presque impensable.  »
Relatif

Mais comme la journée se passa sans que personne du gouvernement niant le rapport avant de page du Journal, il semblait que le « presque impensable» est de gagner les politiques publiques dans les yeux du PQ.

En fait, les détails divulgués sont en ligne avec ce que le parti a promis pendant la campagne électorale de l’an dernier, lorsque le premier ministre Pauline Marois a déclaré que ces mesures étaient nécessaires pour préserver «notre identité, notre langue, nos institutions et nos valeurs. »

Son gouvernement minoritaire prévoit de présenter ses propositions pour une charte des valeurs du Québec lorsque l’Assemblée nationale reprendra ses travaux le mois prochain. Retardé par rapport au printemps, la charte a été décrit par le ministre responsable, Bernard Drainville, comme la «loi 101 de notre ère » – une référence à la Charte de la langue française adoptée par le premier gouvernement péquiste en 1977.

«La société québécoise est de plus en plus multi-ethnique et multi-religieuse, qui est une richesse exceptionnelle. Mais si nous voulons être en mesure de bien gérer cette diversité, nous aurons à nous donner des règles et des valeurs communes « , a dit M. Drainville Le Devoir au printemps dernier.
Ian Smith / Vancouver Sun
Ian Smith / Vancouver 1992 Sun fichier photo de Baltej Singh Dhillon, l’agent de la GRC qui se sont battus pour porter son turban.

Avec son projet de souveraineté au point mort, le PQ espère  qu’en mettant l’accent sur la protection des valeurs du Québec  qu’il va gagner le soutien (des électeurs)  avant une élection qui pourrait venir l’année prochaine.

En mai, il a commandé un sondage pour demander l’opinion des gens sur l’accommodement des minorités religieuses, et a constaté que la majorité des répondants appuient l’interdiction des signes religieux dans la fonction publique.

Citant des sources anonymes, le Journal a rapporté que la charte de M. Drainville interdirait les travailleurs du secteur public de porter des signes religieux ostensibles.

La commission dirigée par M. Taylor et Gérard Bouchard a recommandé l’interdiction des symboles pour les salariés en situation d’autorité – des policiers, des juges et des gardiens de prison. Mais le PQ a l’intention d’aller beaucoup plus loin, couvrant les travailleurs de garderie, les enseignants des écoles publiques et les employés de l’hôpital, ainsi que tous les fonctionnaires. En outre, les personnes qui reçoivent des services du gouvernement devraient avoir le visage découvert.

 » Je n’ai pas encore l’avoir expliqué comment mon port d’un symbole religieux a affecté mes capacités à représenter mes citoyens. »

Les nouvelles est sortie  le jour même Lionel Perez, maire de Montréal pour l’arrondissement multi-culturel de la Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, a rencontré M. Drainville pour discuter de ses préoccupations au sujet de la charte proposée. En mai, M. Drainville avait fustigé contre la politique de l’arrondissement de ne pas  donner des billets d’infractions aux  voitures autour de synagogues juives sur les séjours élevés. Il avait également critiqué la politique de longue date de l’arrondissement de désigner deux heures par semaine, à la piscine municipale, pour les femmes seules.

M. Perez, qui est juif et porte une kippa, a dit qu’il a tenté en vain d’influencer M. Drainville sur la question des symboles religieux.

«Si quelqu’un commence à faire du prosélytisme au travail, c’est évidemment un comportement inacceptable», M. Perez a déclaré dans une interview. « Mais quelqu’un qui porte un hijab et est un professeur de l’école, ils peuvent communiquer, ils peuvent transmettre l’information à la fois verbale et non-verbale, et  il n’y  a aucune façon que  cela affecte la capacité de la personne à accomplir leurs responsabilités.

« En tant qu’élu au cours des quatre dernières années, j’ai porté une kippa, et je n’ai pas encore  eu à avoir expliqué comment mon port d’un symbole religieux a affecté mes capacités à représenter mes concitoyens. . . Je pense que c’est un exemple de la nouvelle réalité québécoise que nous avons, les nouvelles données démographiques du Québec ».

M. Taylor a déclaré qu’il est faux pour  le PQ  de penser la laïcité exige la neutralité religieuse de tous les représentants de l’Etat.

« Ce qui est important, c’est que ces institutions soient neutres», a-t-il dit. « Mais le fait qu’ils sont neutres ne signifie pas que les personnes qui  y travaillent soient neutres. »

M. Perez espère que la charte proposée reste un travail en cours et que les têtes froides prévaudra. « La question est si inflammatoire que nous devons être responsables et modérés dans nos vues », at-il dit. « Nous devons démontrer que c’est un débat d’idées et non pas faire de la petite politique sur le dos des citoyens. »

Pour voir l’article en anglais  htt:p://fullcomment.nationalpost.com/2013/08/20/like-putins-russia-parti-quebecois-unthinkable-plan-to-ban-religious-symbols-in-public-sector/

 

 

Vive la République nationale du peuple québécois!