Pour abattre le Nouvel Ordre Mondial ,remplaçons le néo-libéralisme

Ère Nouvelle -logobb...nous sommes un

Au Québec,comme en France,aux États-Unis d’Amérique et dans tout le Commonwealt des Nations,beaucoup de gens ont abandonné  la motivation ,le goût de changer quelque chose et d’entretenir  un minimum de patriotisme dans le coeur.Je vous donne aujourd’hui d’excellentes raisons pour vous mobiliser afin d’abattre le néo-libéralisme.C’est le meilleur moyen « politique » pour abattre le Nouvel Ordre Mondial ,abolir l’esclavagisme salarié et protéger les formes de vie ainsi que les écosystèmes qui réussissent encore à survivre.

« Pourquoi irais-je me  fatiguer à comprendre quand tout est organisé pour me perdre ! »,écrivait  Raoul Vaneigem.Il disait vrai,mais  quelqu’un qui voit  un de ses semblables ,assassiner d’autres personnes sans réagir est coupable dans sa négligence et sa tolérance,de meurtre.Je vous le dis en vérité que toute personne qui ne réagit pas contre la mort programmée de notre démocratie (ou de ce qui en  reste) est menacée et condamnée par ce système hypocrite,mensonger et assassin qui porte maintenant le nom de « néo-libéralisme ».

L’évolution

C’était l’été 1989. Le mur de Berlin n’était pas encore tombé que, dans un article aussitôt  devenu célèbre, « La fin de l’histoire ? », le philosophe et politicologue  américain Francis Fukuyama condensait ce qui serait bientôt l’esprit de l’ère postsoviétique,sa philosophie. L’« idée occidentale » avait définitivement vaincu : la démocratie libérale et le libre marché constituaient désormais l’horizon indépassable pour toutes les sociétés. Cette affirmation s’appuyait sur un constat : avec l’effondrement des États autoritaires à l’Est et en Amérique latine ou ailleurs, la démocratie libérale apparaissait comme « la seule aspiration politique cohérente » à l’échelle planétaire. Par ailleurs, la diffusion des principes du libéralisme économique était, selon F. Fukuyama, à l’origine de niveaux de prospérité qui ont permis le développement et la croissance économique actuelle.Nous vivons donc dans « l’ère du capitalisme triomphant ».Moi,par contre,je vous annonce que nous vivons depuis peu,dans une Ère Nouvelle et que ce système  court après sa mort,comme s’il en avait envie.

D’autre part,l’historien François Hartog analyse pour sa part le « présentisme » actuel. Avec les Lumières et la Révolution de 1789, et même le marxisme, explique-t-il, c’est une véritable « posture futuriste » qui s’était instaurée, nourrie par la croyance dans le progrès, dans la démocratie. Pour l’historien, cette posture futuriste a dominé nettement pendant deux cents ans, de 1789 à 1989, date de l’effondrement du mur de Berlin. Suit un présent sans vision claire de ce que sera demain. Les choses du passé sont aujourd’hui transmises en tant que traces du passé, non pas en raison du message qu’elles seraient supposées délivrer, constate-t-il.

L’OCCULTATION DE LA VÉRITÉ

  Pour les adeptes fanatiques  du néo-libéralisme: nous allons atteindre un meilleur niveau de richesse par habitant.

Si on a  une croissance démographique  « équilibrée » (ce qui est encore le cas au niveau mondial), on doit nécessairement avoir une croissance économique pour que le ratio richesse / habitant ne diminue pas. Après, même si la croissance démographique ralentit, la croissance économique doit continuer et est nécessaire pour les régions du monde qui n’ont pas encore atteint un ratio de richesse par habitant suffisant : c’est le cas des pays en développement, exemple des pays de l’Afrique Sub-Saharienne !

Pour les pays développés, étant donné qu’on a déjà un certain « confort » matériel,selon eux, il serait juste de ne plus augmenter notre ratio richesse / habitant, en d’autres termes, de ne pas augmenter notre ratio consommation / habitant.Donc,prêchons l’austérité pendant  que notre  élite corrompue se la coule douce,mais surtout ,ne vous lamentez pas et….fermez-la!

Raisonnement quant à ceux qui voient la chose négativement  :

(a) L’épuisement des ressources

La règle d’or est de ne pas consommer plus que ce que notre planète peut nous offrir. Pour illustrer cette règle, il faut par exemple ne pas couper de forêt plus rapidement que la nature n’a le temps d’en régénérer, il ne faut pas pêcher plus de poissons que ce que permet leur fécondité pour le renouvellement des générations.

  On voit donc très rapidement le paradoxe: la croissance de la biomasse est limitée, ce qui n’est pas le cas de la croissance économique, qui peut être infinie tant que notre appétit du matériel n’est pas rassasié (je parle des « pseudo développeurs » et des  fanatiques de la consommation).

(b) La pollution

  Il s’agit le même raisonnement pour la pollution. La croissance infinie peut générer une pollution infinie, or la capacité d’absorption et de retraitement par notre planète est limitée. Pour les illustrations, il faut par exemple ne pas rejeter plus de CO2 que les forêt n’ont le temps d’en retraiter, il ne faut pas enterrer plus de déchets que la terre n’a le temps de les décomposer etc.

Les principes de décroissance, ou d’arrêt de la croissance vise à respecter ces règles de « balance » car même si on a de la marge actuellement, si les effets négatifs de nos activités  humaines dépassent les réparations positives de notre planète d’année en année, alors fatalement il arrivera un jour où l’on aura consommé notre très chère planète bleue jusqu’à la moelle..et ce jour,croyez moi s’en vient à grand pas,car les chinois communistes rêvent de produire et de consommer plus et mieux que les américains.Pour permettre aux chinois d’atteindre ce niveau …avec le reste du monde,il faudrait ajouter les ressources de  4 autres planètes Terre.C’est donc de la folie furieuse engendrée par un fanatisme politique dangereux.

Petite remarque  :
Certains optimistes pensent que la croissance peut aller de paire avec la résolution des problèmes environnementaux, l’intuition de cette idée est que le progrès technique finira par ouvrir de nouvelles voies pour le retraitement des déchets et l’utilisation de ressources renouvelables… cela ressemble à un « chèque en blanc » que l’on remettrait  à un gambler ,avec dépendances affectives,pour aller  jouer un bon coup de poker…en misant tout sur une seule mise!

Moi,j’hésiterais beaucoup et ne ferais pas confiance!Vous?

La meilleure façon pour les  partisans fanatiques du néo-libéralisme  de se perpétuer infiniment dans le temps,c’est de nous voiler la Vérité en nous présentant  cette façade ,cet énoncé  afin de nous diviser,nous les citoyens et citoyennes:

« La croissance économique est nécessaire pour assurer la sécurité sociale ,économique et politique du pays.Nous avons besoin des riches et du pouvoir de l’argent pour assurer une cohésion sociale en créant des emplois .Ce qui générera une richesse  qui profitera à tous.Le profit est donc un droit sacré et tous ceux qui  se dressent contre « le système établi » sont  sacrilège,ennemis de l’état et de potentiels terroristes qui doivent être dénoncé sur la place publique…Particulièrement les défenseurs de l’environnement et les écologistes,car ils remettent en question  « la bonne marche des affaires. »

Quiconque défend l’énoncé,pour  ne pas dire « la sainte prière  libérale » que je vient d’écrire,devrait être accusé de crime contre l’humanité et contre toutes les formes de vie sur Terre et condamné immédiatement « à la peine capitale »!Car nous sommes maintenant dans une situation de légitime défense,en tant qu’êtres vivants avec pensée logique !

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ÉNONCÉS DE MENSONGES

« Le libéralisme, c’est plus de choix et des meilleurs prix pour le consommateur »

 

FAUX: Selon le dogme libéral lui-même, le libéralisme ne peut fonctionner que si il existe une concurrence suffisante de l’offre. Or dans les faits, le capitalisme libéral tend vers la concentration et la formation de monopoles qui éliminent toute concurrence, réduisent le choix du consommateur et font monter les prix (ou baisser la qualité).

 

Dans le domaine des services publics comme la distribution d’eau, la poste, ou les chemins de fer, leur privatisation s’est toujours traduite par une augmentation des coûts pour l’usager, une diminution du service, et une réduction des investissements dans l’entretien des infrastructures. Un exemple parmi d’autres: dans les années 90, le FMI et la Banque mondiale ont obligé les Philipines à privatiser la gestion de l’eau. Au début, les prix ont baissé de 20%, une baisse utilisée par la propagande libérale pour démontrer l’utilité des privatisations. Mais 10 ans plus tard, le prix de l’eau a été multiplié par 5.

 

Quant aux systèmes de retraites privés (les fonds de pension), ils consistent à priver les salariés de toute sécurité, en les livrant aux incertitudes de la gestion des organismes financiers. En cas de faillite de ces derniers, les salariés se retrouvent sans retraite malgré des années de cotisation. C’est ce qui s’est passé aux Etats-Unis en 2002 avec la faillite d’Enron.

« Le libéralisme, c’est le libre-jeu du marché »

 

FAUX: Toujours selon le dogme libéral, le libre-jeu du marché nécessite la transparence du marché et de l’information.
En réalité, à cause des pratiques d’opacité et de l’inégalité dans l’accès à l’information, le consommateur ne peut choisir en connaissance de cause.

 

« La croissance crée des emplois »

 

FAUX: La croissance crée des emplois dans un premier temps, mais elle sert surtout à financer les « restructurations » et les délocalisations. Au bout du compte, elle détruit davantage d’emplois qu’elle n’en crée.

 

 

 

« Seul le marché est apte à déterminer le juste prix des matières premières, des devises, ou des entreprises »

FAUX: Les marchés sont essentiellement guidés par la spéculation et la recherche du profit à court-terme. Les fluctuations des cours sont souvent irrationnelles, excessives, et soumises à la manipulation. Ces oscillations excessives des cours sont destructrices, provoquant ruines et faillites dans l’économie réelle. Mais dans le même temps, ces oscillations sont aussi génératrices de profit pour les spéculateurs. Encore le principe des vases communicants…!

 

 

 

 

« L’entreprise crée des richesses. Elle est la source de la prospérité des pays et de leurs habitants »

 

FAUX: le plus souvent, les entreprises ne créent pas de richesses, car la valeur créée est inférieure aux coût réel des ressources utilisées ou détruites, si on prend en compte le coût environnemental et humain, ainsi que le coût réel des matières premières non-renouvelables.

 

Le « profit » des grandes entreprises est en réalité prélevé sur la nature, saccagée par l’exploitation, l’urbanisation et la pollution, ou « vampirisé » sur d’autres acteurs économiques:

 

– sur les salariés qu’on aura licencié pour économiser des coûts ou « augmenter la productivité », ou dont on aura réduit la rémunération ou la protection sociale.

 

– sur les consommateurs qui doivent payer plus pour une qualité ou une quantité moindre.

 

– sur les fournisseurs (en particulier sur les producteurs de matières premières minières ou agricoles)

 

– sur d’autres entreprises dont on aura provoqué la faillite par des pratiques déloyales, ou qui sont rachetées pour être ensuite dépecées, vendues par morceaux, et dont dont les salariés sont transformés en chômeurs.

 

– sur les populations du Tiers-Monde qui ont été spoliées de leurs terres et de leurs ressources, et qui ont été réduites en esclavage, obligées de travailler dans les mines ou les « ateliers de la sueur » des entreprises transnationales, ou pire encore, obligées de servir de cobayes à l’industrie pharmaceutique, ou de vendre leurs organes (le plus souvent un rein ou un oeil) qui seront ensuite greffés à des malades fortunés. (le prix payé pour le prélèvement d’un rein va de 20.000 euros en Turquie, à seulement 800 euros en Inde)

« La mondialisation profite à tous »

 

FAUX: Entre 1992 et 2002, le revenu par habitant a chuté dans 81 pays. Dans le Tiers-Monde, le nombre des « extrêmement pauvres » a augmenté de près de 100 millions.

 

L’écart des salaires s’est également creusé de manière fantastique. Prenons l’exemple d’une ouvrière chez un sous-traitant asiatique de Disney qui fabrique des vêtements à l’éffigie de Mickey pour les consommateurs occidentaux. Cette ouvrière travaille dans un « atelier de la sueur », 14 heures par jour, 7 jours sur 7, sans aucune protection sociale, sans droit de grève, le tout pour un salaire horaire de 0,28 dollars. Dans le même temps, le salaire horaire du PDG de Disney est de 2800 dollars, soit 10.000 fois plus.

 

Les 225 personnes les plus riches du monde cumulent un patrimoine global de 1000 milliards de dollars, l’équivalent du revenu annuel des 3 milliards de personnes les plus pauvres de la planète, soit 47% de la population mondiale. La fortune additionnée des 84 personnes les plus riches dépasse le produit intérieur brut de la Chine avec ses 1,2 milliard d’habitants.

 

En 2002, 20% de la population mondiale accapare 80% des richesses, possède plus de 80% des voitures en circulation et consomme 60% de l’énergie, tandis que le milliard d’habitants les plus pauvres se partagent 1% du revenu mondial.

 

 

 

« Le libre-jeu du marché crée par lui-même les conditions de l’équilibre »

 

FAUX: Le libre-jeu du marché produit l’équilibre uniquement en moyenne sur une longue période. En réalité, il oscille en permanence autour de l’équilibre, et ces oscillations sont brutales et destructrices. Une économie libérale entraîne un environnement économique instable qui prive les individus de toute sécurité, les obligeant à s’adapter sans cesse aux aléas de la conjoncture et aux « restructurations économiques ».

 

Or comme toute vie biologique, l’être humain a besoin d’un minimum de stabilité de son environnement. Le libéralisme est donc contraire à l’homme et à la vie dans son ensemble, le libéralisme ayant aussi pour conséquence l’exploitation sauvage de la nature et la pollution généralisée de l’écosystème.

 

 

 

« Le libéralisme est le seul choix possible, sous peine de s’isoler du Monde »

 

FAUX: Certes, un pays cours le risque d’une délocalisation accrue des entreprises si il ne va pas dans le sens de leurs désirs. Du fait de la mondialisation, les salariés occidentaux sont désormais en concurrence avec les salariés de l’Inde ou de la Chine, y compris pour des emplois qualifiés dans le tertiaire ou les secteurs technologiques. Tant qu’il y aura le moindre profit à réaliser en délocalisant, les entreprises iront au plus offrant, dans le pays où elles trouvent les lois sociales et environnementales les moins contraignantes.

 

Mais si il en est ainsi, c’est parce que nos gouvernements se sont entendus pour créer ces conditions, en appliquant simultanément dans tous les pays les déréglementations prônées par l’idéologie libérale. Ils ont réalisé la mondialisation uniquement dans un sens favorable aux entreprises, sans la contrepartie d’une mondialisation au niveau des lois de protection sociale et environnementale. La mondialisation néo-libérale est résolument dissymétrique.

 

D’autre part, cette absence apparente de choix revient de fait à une dictature des entreprises. Accepter cette dictature, c’est renoncer au pouvoir souverain des Etats et des représentants élus du Peuple. C’est donc renoncer à la démocratie, et accepter à terme un esclavage généralisé.

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  L’ENVIRONNEMENT VERSUS LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE ILLIMITÉE

Selon la tendance des défenseurs du Nouvel Ordre Mondial et du libéralisme économique ,la corrélation positive entre croissance et pollution tend à se défaire lorsque des sociétés enrichies ont à la fois les moyens et le souci de protéger l’environnement. Si l’on pense que les sociétés actuellement pauvres vont elles aussi accéder au niveau de richesse des pays industrialisés au cours de ce siècle, elles devraient parvenir à améliorer significativement la situation de l’environnement sur la planète,selon eux.C’est ce genre de lavage de cerveau que tendent  à véhiculer les patrons esclavagistes des grandes multinationales qui  nous publicisent effrontément leurs « fondations  humanitaires ».Nous savons parfaitement bien ,partout en Occident ,que  quand on a amassé un Saint Profit Capitaliste dans ses poches que les entreprises Bénites du Système Néo-Libéral ,oublient totalement …et l’environnement,et la faune et en plus  ,les générations à venir des citoyens et citoyennes qui vont avec.Sauf que ce sont les entreprises privées favorisées par ce système corrompu qui se sauvent avec les profits et que ce sont nos descendants qui vont hérités des pertes et des coûts à payer pour tenter(si c’est encore possible) de rétablir l’environnement.

Pour les « pessimistes », le message précédent ne défend qu’une fuite en avant. La majorité de la population mondiale vivant aujourd’hui dans des pays en développement, leur accession aux modes de consommation des pays riches ne peut qu’entraîner une dégradation massive de l’environnement, dégradation tellement importante et irréversible que même s’ils décidaient demain de protéger leur environnement, il n’y aurait plus grand chose à protéger, et il leur serait tout à fait impossible de « recréer » un environnement naturel de qualité.

Donc si on a bien compris,le libéralisme économique et son successeur,le néo-libéralisme,ceux-ci privatisent les profits et socialisent les coûts et les pertes.

DONNER UN SENS À LA VIE

La possibilité et la nécessité de donner un sens à l’histoire,à la vie humaine , n’ont jamais été autant d’actualité. Voltaire écrivait, en 1734, dans son Traité de métaphysique : « Je vais tâcher, en étudiant l’homme, de me mettre d’abord hors de sa sphère et hors d’intérêt (…). Je suppose, par exemple, que né avec la faculté de penser et de sentir que j’ai présentement, et n’ayant point la forme humaine, je descends du globe de Mars ou de Jupiter. Je peux porter une vue rapide sur tous les siècles, tous les pays, et par conséquent sur toutes les sottises de ce petit globe. » Un programme historiographique ? L’enjeu du renouvellement d’une réflexion sur l’histoire se situe en effet peut-être bien dans le renouvellement des échelles d’analyse.

Nous vivons  depuis peu dans une Ère Nouvelle et nous avons la responsabilité d’améliorer notre environnement.Si l’on voit que nous faisons fausse route en établissant  l’ordre mondial actuel sur de fausses valeurs  matérielles et artificielles,je vous propose de revenir un peu en arrière et de repartir l’édifice  social mondial sur les bases  spirituelles solides de l’altruisme,de la compassion ,du partage en tenant compte d’une discipline collective face à la menace de mort que suggère les fanatiques du Nouvel Ordre Mondial.

Comprendre que nous faisons fausse-route avec le capitalisme triomphant,n’est pas une damnation ,ni un péché!Quant on voit qu’on est dans l’erreur,on se relève les manches,on se crache dans les mains et…on recommence!

C’est simplement une question de volonté et de courage de le faire,car c’est par la peur (le terrorisme psychologique surtout) que nos gouvernements vont tenter de nous arrêter de réfléchir,d’espérer et d’oser.

Il faut juste avoir confiance en soi!

Je suis un ennemi de l’état,…pardon un ennemi de tous les états corrompus de la Terre,je  sais qu’ils le savent et pourtant je dors très bien avec cela,car je m’assume,en tant que Défenseur de la Terre.Je suis même fier de ce que je suis…et je veux que tous ceux qui veulent changer quelque chose,le soient aussi…fier d’eux-mêmes!

Je pense comme Voltaire: actuellement nous sommes observé et que tôt ou tard ,nous aurons des comptes à rendre…parce que  « nous ne sommes pas propriétaires de la Terre,mais de simples locataires…et un locataire a un droit d’usage limité!

Michel Duchaine

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