Je viens de lire une analyse bien réfléchie d’un parent de Québec sur le port du masque obligatoire sous la dictature mondialiste gérée par le duo Legault.. Je trouve que ça l’a du sens…
…du crétinisme systémique!
« Donc si je comprends bien, les enfants devront porter et enlever leur masque dans l’ autobus le matin (2), dans l’école pour aller à sa classe (2), pour aller à la recréation (2), pour revenir de la récréation (2), pour aller faire pipi (2), pour aller dîner (2), pour aller dehors sur l’heure du midi (2), pour revenir à sa classe en après-midi(2), pour aller à la récréation (2), pour revenir de la récréation (2), pour aller à son cours d’éducation physique (2), aller faire pipi (2), pour sortir aller prendre l’autobus (2), et dans l’autobus (2)… ça fait beaucoup de manipulations quand on parle d un virus mortel qu’on se met dans le visage. Donc environ 28 fois où ils mettront/enlèveront leur masque. Ça n’a aucun bon sens !
En théorie, ils devraient se laver les mains 28 fois parce qu’ on nous casse les oreilles que le masque doit être mis et enlevé avec les mains propres. Ça va traîner partout et ils vont se remettre ça dans la face après je n’ose pas imaginer le nombre d enfant qui perdront leur masque pendant la journée… »
Si les enfants et les adolescents peuvent perdre leur masque,c’est Legault et Arruda qui viennent de perdre la face …devant le Peuple Québécois,leur employeur…dans cette affaire!
Ici,ce n’est pas du racisme systémique,c’est du crétinisme systémique!
Au summum de leur condition physique,ils vont apprendre à devenir malade et à mourir pour des psychopathes.
Jason Mostafa Ali, un professeur d’histoire du New Jersey d’origine égyptienne, a vu son appel dans une action en justice alléguant une discrimination de la part du directeur de son école renvoyé de la cour fédérale.
Le différend a commencé en 2017, lorsque le directeur juif de Woodbridge High School, Glenn Lottman, a fait pression sur le surintendant local Robert Zega pour le faire licencier.
Zega et Lottman ont mis fin à Ali après avoir permis aux élèves de la classe de remettre en question l’Holocauste et de savoir si le Mossad avait aidé Al-Qaïda pendant les attaques terroristes du 11 septembre.
Les étudiants remettaient en question l’Holocauste et l’héritage d’Hitler par eux-mêmes. Ali a seulement encouragé les étudiants à s’engager dans une pensée critique sans apport idéologique.
Les écoles publiques protègent prétendument le premier amendement, mais dans ce cas, Ali a été puni pour avoir simplement permis aux élèves de lire leurs papiers à haute voix.
L’un des articles était basé sur le documentaire « Adolf Hitler: la plus grande histoire jamais racontée », montrant à quel point les révisionnistes ont fait avancer le débat sur la Seconde Guerre mondiale. Un professeur d’anglais a entendu qu’il était en discussion et informé sur Ali et ses élèves aux administrateurs.
Après avoir été interrogé par Zega et Lottman sur les raisons pour lesquelles il n’a pas puni les étudiants pour avoir « nié » l’Holocauste, Ali a affirmé le droit de tout remettre en question. Il a ensuite été licencié.
Au cours de son procès, Ali a fait valoir qu’il avait le droit du Premier Amendement de définir ses propres plans de cours, et ses élèves avaient le droit d’examiner l’histoire sous n’importe quel point de vue qu’ils considéraient comme ayant les preuves les plus convaincantes. Le juge dans l’affaire, Madeline Cox Arleo, a déclaré que non et Lottmann avait le droit de le licencier.
Jennifer Rich, une professeure juive en «études sur le génocide», a été appelée pour fournir un témoignage d’expert sur l’affaire. Elle a salué la suppression des idées qu’elle n’aime pas et a condamné Ali dans un éditorial pour la libérale clickfarm Raw Story.
Ali allègue également que le principal Lottman ferait constamment des remarques discriminatoires, comme le qualifiant de terroriste et « d’Égyptien ». Ali a mis un accent supplémentaire sur cette partie de son cas lors du passage à la cour d’appel.
Mais Ali, qui est un homme musulman d’origine égyptienne, a déclaré qu’il avait été victime de discrimination pendant des années par le directeur du lycée et d’autres professeurs de Woodbridge. Les médias ont été informé de son procès par un groupe anonyme appelé Free Ali.
Dans une lettre accablante, son avocat, Dayna Katz, du cabinet d’avocats DiFrancesco Bateman, basé à Warren, envoyé au conseil scolaire de Woodbridge, Ari Schneider, le 27 février, Ali a allégué ce qui suit:
Il a commencé à travailler comme professeur d’histoire au lycée en 2015 et a également été entraîneur adjoint de l’équipe de football universitaire. Tout au long de son emploi, le directeur du lycée Glenn Lottmann lui adressait à plusieurs reprises des commentaires discriminatoires, tels que « Attention aux Egyptiens » et le taquinait à propos de son nom complet, Jason Mustafa Ali.
Ali a déclaré que d’autres enseignants et membres du personnel l’appelleraient à plusieurs reprises « anti-américain » et « sympathisant terroriste », mais lorsqu’il l’a signalé au directeur adjoint Matthew Connelly, aucune enquête n’a jamais été menée.
Ali dit également que Connelly a approuvé son plan de leçon le 11 septembre et a même approuvé les articles auxquels il a lié sur son site Web, y compris un rapport du renseignement saoudien sur les attaques du 11 septembre et un rapport du renseignement égyptien.
Le 28 septembre 2016, deux semaines après avoir enseigné le 11 septembre à ses élèves, Ali a déclaré qu’il avait été appelé au bureau du directeur Lottmann. Là, dit-il avec colère, Lottmann a demandé: « Qu’est-ce qui ne va pas avec toi? Je ne t’ai pas dit de te débarrasser des théories du complot? » Lottmann détenait le rapport du renseignement saoudien sur lui, auquel Ali a répondu qu’il était accrédité. Lottmann aurait dit « Chiffres, les Arabes » se référant à Ali.
Lottmann a déclaré: « Je suis fatigué de vous et de vos complots, vous êtes un théoricien du complot et n’appartenez pas à la classe … Vous n’allez pas me faire répondre aux questions des journalistes. » Lottmann a ordonné à Ali de supprimer les liens.
Ali a dit qu’il était entré à l’école le lendemain, 29 septembre, et avait trouvé deux papiers de licenciement signés de Zega. Il a ensuite été « immédiatement bombardé pendant plus de trente minutes avec des questions implacables, manifestement discriminatoires et inappropriées sur l’Holocauste, ses opinions sur la religion juive, son appartenance ethnique et sa religion », affirme Ali.
Ali a dit que Zega lui avait demandé « Expliquez ce que vous pensez de l’Holocauste. Combien de Juifs sont morts dans l’Holocauste? Croyez-vous que des Juifs ont été tués dans des camps de la mort dans l’Holocauste? Ne savez-vous pas que quelqu’un qui utilise des articles comme celui-ci est antisémite? » et « Voyez-vous comment une personne d’origine arabe, et je suppose que vous êtes musulman, qui établit des liens sur ses fils d’école comme celui-ci peut être considérée comme offensante? Avez-vous du terrorisme dans votre classe? » Il a également demandé: «Enseignez-vous une vision de la théorie du complot de l’Holocauste? Enseignez-vous qu’Hitler était un bon gars?
Ali a dit qu’il avait demandé un avocat, et Zega a répondu: « Vous n’avez pas de représentation. » Ali a déclaré que les articles ont été utilisés pour enseigner ce que les agences de renseignement et les gouvernements étrangers pensent du 11 septembre, auquel Zega a répondu: « Nous n’avons pas besoin d’une perspective du Moyen-Orient. Notre district et ce sujet ne font pas partie du programme d’études, vous devriez donc ne pas l’enseigner. «
Zega a licencié Ali ce jour-là et il a été banni de tous les terrains de l’école publique de Woodbridge. Son licenciement a été bien médiatisé dans les médias, y compris par Patch. Le 11 octobre, sa maison a été cambriolée et vandalisée, étiquetée de graffitis tels que « ISIS, Arab FU, Devil » et plusieurs croix gammées. A l’extérieur de sa maison, les mots « terroriste » et « mourir » ont été écrits.
L’avocat d’Ali, Katz, a déclaré qu’Ali est victime de la loi du New Jersey contre la discrimination et qu’il a droit à une indemnisation.
Les appels à la loi sur les droits civils dans les affaires politiquement sensibles ont tendance à faire mieux dans les tribunaux inférieurs que d’invoquer la Constitution actuelle, mais le 3e circuit de la Cour d’appel des États-Unis a décidé de ne pas donner plus d’oxygène à son cas. C’est encore un autre coup porté à la liberté d’expression.
Bien que cette histoire soit largement rapportée, ni les défenseurs conservateurs de la «liberté d’expression» ni l’ACLU ne semblent avoir de problème avec cette attaque contre le Premier Amendement.
Les États-Unis d’Amérique sont devenu une dictature ou les sionistes lavent le cerveau des américains sous la présidence de Donald Trump,le meilleur ami d’Israel!
En 1893 est paru le livre « Le Talmud démasqué, les enseignements rabbiniques secrets concernant les Chrétiens ». Son auteur était le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg. Dans cet ouvrage, Pranaitis dénonce tous les enseignements intolérants, discriminatoires, haineux et mêmes racistes contenus dans le Talmud.
Il y explique que la première édition complète du Talmud fut imprimée à Venise en 1520; les non-Juifs purent alors en prendre connaissance et furent scandalisés de tous les passages hostiles et insultants à leur égard qu’il contenait. Les Juifs, craignant des représailles, d’une part, et obéissant aux protocoles de Sion d’autre part, commencèrent alors à sortir des éditions censurées et expurgées du Talmud (comme celle de Bâle en 1578, par exemple).
Cependant, depuis la création de l’État d’Israël, les rabbins restaurèrent tous les passages insultants et dégradants pour les non-juifs dans les nouvelles éditions du Talmud en hébreu.
En 1962, le « Livre de la connaissance”, code talmudique de Maïmonide, a été publié à Jérusalem en édition bilingue anglais-hébreu.Dans la partie juive, tous las passages haineux et racistes sont présents alors que, bizarrement, dans la partie anglaise, ils sont absents.
Voici quelques exemples, rapportés par Pranaitis et ses successeurs, des passages contre les non-juifs contenus dans le Talmud (*).
Bush et son Talmud…!
Les non-juifs sont impurs
Abhodah Zarah 22b : « Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï. »
Abhodah Zarah 35b : « Toutes les filles des incroyants sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance ».
Iore Dea 198, 48 : « Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs ».
Schabbath 145b : « Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure ».
Zohar I, 46b, 47a : « L’âme des goyims est d’une origine théologique impure ».
Zohar I, 131a : « Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. »
Un rabbin enseignant le Talmud,en Israel.
Les non-Juifs sont des animaux
Ereget Rashi Erod.22 30 : « Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif ».
Lebhammoth 61a : « Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs ».
Jalkut Rubeni Gadol 12b: « Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs ».
Kerithuth 6b : « Les juifs sont des humains, les non-juifs sont des animaux ».
Orach Chaiim 225, 10 : « Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison ».
Schene Luchoth Haberith p. 250b : « Même si un non-juif a la même apparence qu’un juif, il se comporte envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme ».
Tosaphot, Jebamoth 94b : « Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme si vous mangiez avec un chien ».
Yebamoth 98a : « Tous les enfants des goyims (**) sont des animaux ».
Zohar II 64b : « Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes ».
Orach Chaiim 57, 6a : « Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins ».
Les juifs peuvent voler les non-juifs, se partager le vol, et mentir
Babha Bathra 54b : « La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame ». Note : c’est ce qui se passe tous les jours en Palestine : les juifs dépouillent les Palestiniens de leurs terres et de leurs maisons sans raison et sans devoir payer quoi que ce soit. Ils appliquent les lois du Talmud.
Babha Kama 113a : « Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif ».
Baba Mezia 24a: « Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre ».
Choschen Ham 183, 7: « Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement ».
Abhodah Zarah 54a: « L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs ».
Choschen Ham 226, 1: « Les juifs peuvent garder, sans s’en inquiéter, les affaires perdues par un Non-juif ».
iore Dea 157, 2 hagah: « Si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire ».
Babha Kama 113a: « Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et Dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël ». Note : cela permet de spolier les Palestiniens.
Schabbouth Hag. 6d: « Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge ».
Les juifs ont le droit de tuer les Non-juifs
Abhodah Zarah 4b: « Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains ».
Abhodah Zarah 26b Tosepoth : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu ». Note : les Israéliens tuent des Arabes tous les jours, sans que cela entraîne une quelconque punition en Israël ou à l’étranger. Les pays « démocratiques » ou « libres » n’y trouvent rien à redire, puisque c’est la loi juive qui le recommande.
Choschen Ham 425, 5 : « Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle ».
Bammidber Raba c 21 : « Tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu ».
Hilkkoth X, 1 : « il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort ».
Ialkut Simoni 245c : « Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu ».
Talmud, Makkoth 7b : « On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal ».
Talmud, Peaschim 25a : « Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous entendu des Non-juifs) ».
Talmud, Pesachim 49b : « Il est permis de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat ».
Sanhedrin 57a: « Si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder ».
Sanhedrin 58b : « Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu ».
Sanhedrin 59a : « Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort ».
Sepher Ou Israël 177b : « Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un péché ».
Zohar I, 25a : « Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres ».
Zohar I, 28b, 39a : « Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres ».
Zohar II, 64b : « Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement ».
Sepher Ikkarim III c25: « Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif ».
Zohar II, 43a : « L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu ».
Le Juif est un être supérieur
Chagigah 15b : « Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre ».
Chullin 91b: « Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas ».
Kallah 1b, 18: « Le juif peut se parjurer la conscience claire ».
Sanhédrin 52b: « L’adultère n’est pas défendu avec la femme d’un Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec ‘la femme de ton prochain’, et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains ».
Choschen Ham 34, 19: « Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès ».
Abhodah Zarah 20a: « Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de peur qu’il ne la croie ».
Abhodah Zarah 22a: « Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang ».
Abhodah Zarah 25b: « Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l’étranger ».
Abhodah Zarah 26a: « Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse la voir ».
Abhodah Zorah 26b: « Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés ».
Abhodah Zarah 35b: « Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif ».
Choschen Ham 156, 5: « Les clients non-juifs, possédés par un juif, ne doivent pas être démarchés par un autre juif ».
Choschen Ham 386, 10: « Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit ».
Choschen Ham 388, 15: « Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des Non-juifs ».
Eben Haezar 44, 8: « Sont nuls les mariages entre les Non-juifs et les juifs ».
Emek Haschanach 17a: « L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort ».
Hilkhoth X, 7: « Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres ».
Iore Dea 81, 7 Ha: « Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique ».
Iore Dea 120, 1: « La vaisselle achetée à des Non-juifs doit être jetée ».
Iore Dea 147, 5: « Il faut railler les objets du culte non-juif, il est interdit de souhaiter du bien à un Non-juif ».
Iore Dea 148, 12 H: « On peut prétendre se réjouir avec les Non-juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine ».
Iore Dea 151, 14: « Il est interdit de concourir à la gloire d’un Non-juif ».
Iore Dea 151, 11: « Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l’amitié ».
Iore Dea 154, 2: « Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif ».
Iore Dea 159, 1: « Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. « .
Moed Kattan 17a: « Si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et là il peut s’adonner au mal ».
Rosch Haschanach 17a : « L’âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations ».
Sanhedrin 57a: « Un juif n’est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif ».
Shabbath 116a (p. 569): « Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament) ».
Zohar I, 25b: « Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts ».
Zohar I, 28b: « Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse ».
Zohar I, 160a: « Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs ».
Zohar I, 219b: « Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir ».
Zohar II, 19a: « La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts ».
Que penser de tous ces exemples rapportés par Pranaitis ?
D’abord, on remarquera qu’il n’est pas besoin d’être un grand spécialiste de l’hébreu pour lire le Talmud en recopiant simplement les phrases intolérantes qui s’y trouvent.
Les rabbins objectent aussi que certains de ces passages sont caducs, car ils ne parlaient pas des Chrétiens actuels mais des anciens peuples polythéistes environnant l’antique Israël (les Cananéens par exemple).
Cependant, si c’est vrai, le problème n’est que reporté dans le passé : cela montre que le judaïsme s’est montré haineux et raciste envers ses voisins dans l’antiquité. Et à aucun moment ce comportement n’a été condamné… on a juste considéré qu’il n’avait plus lieu d’être puisque les peuples incriminés n’existent plus.
Cependant, en observant le comportement des Israéliens vis-à-vis des Palestiniens, on ne peut que constater que les injonctions du Talmud sont intégralement appliquées. Ainsi, le grand rabbin Ovadia Yossef, chef spirituel du Shas, la troisième formation de la Knesset a-t-il déclaré, en se conformant au Talmud : « Le seigneur devrait infliger aux arabes les actes qu’ils commettent, pourrir leur semence, les exterminer, et les faire disparaître de ce monde. Il est interdit d’être magnanime avec eux. Il faut leur lancer des missiles et les annihiler. Ce sont des démons. » .
De plus, le fait même que des rabbins discutent sur ces passages démontre bien que ceux-ci existent bien dans le Talmud. Donc on ne peut pas croire ceux qui prétendent que ces passages ne sont qu’une pure création de la part des antisémites.
On peut cependant essayer de lire d’autres auteurs plus anciens qui, eux aussi, ont recopié les passages du Talmud qui posaient problème
En 1239, Nicolas Donin, un érudit Juif nouvellement converti au christianisme, porta devant le Pape Grégoire IX, une accusation contre le contenu du Talmud. Ce dernier fit alors saisir les exemplaires de ce livre et fit ouvrir une enquête sur le sujet. L’année suivante eut alors lieu à Paris une discussion entre Donin et quatre rabbins parmi les plus érudits, à la suite de laquelle le Talmud fut condamné à être brûlé. Les 35 chefs d’accusations soulevés lors du procès ont été mis par écrit dans l’ouvrage « Extractiones de Talmut », ce qui permet de connaitre les passages du Talmud qui posaient problème et scandalisaient les Chrétiens.
En cherchant, que peut-on donc encore trouver dans le Talmud ?
Zoophilie : Yebamoth 59b: « Une femme qui a eu des rapports sexuels avec une bête a le droit de se marier avec un prêtre juif. Une femme qui a eu des relations avec un démon a aussi droit de se marier avec un prêtre juif.«
Sexisme et mépris des femmes
Menahoth 43b : “Un Juif mâle devrait dire la prière suivante chaque jour : ‘Dieu Merci de ne pas m’avoir fait une femme, un Gentil ou un esclave’.”
Baba Bathra 16b : “la naissance d’une fille est un triste événement.”
Aboth 1:5 : “il n’est pas bon de parler aux femmes, pas même à votre propre femme.”
Pédophilie
Gittin 91a : “il est permis de divorcer d’avec votre femme si elle brûle votre dîner, ou si vous voyez une plus jolie fille, même si elle n’a que 3 ans.”
Mensonge et Hypocrisie
Plus hypocrite et insidieux, on peut également trouver une prière qui favorise le mensonge : Le Kol Nidre, dont le contenu apparait dans le Talmud, Livre de Nedarim 23a-23b.
Et voilà la traduction officielle de cette prière, issue du volume VIII de l’encyclopaedia Judaica (page 539) :
« De tous les vœux, les engagements, les serments, les anathèmes que l’on pourrait prendre, faire, jurer ou promettre, ou par lequel nous pourrions nous lier d’une manière quelconque entre ce jour de l’expiation et le suivant (dont nous attendons l’heureuse venue), nous nous repentons par avance. Puissent ils être absous, pardonnés, annulés, nuls et non avenus; ils ne doivent nous lier d’aucune manière, ni avoir un pouvoir quelconque sur nous. Les vœux ne doivent pas être considérés comme des vœux, les obligations ne doivent pas être obligatoires, ni les serments être des serments. »
Cette prière permet et autorise donc la dissimulation et le mensonge, voire l’incite. Ce n’est guère spirituel. On peut aussi citer divers exemples qui, sans être xénophobes ou racistes, paraissent très barbares. Exemples :
Pédérastie et Pédophilie
Kerithuth, 11a-11b. « Rabba a dit que ça voulait dire ceci : ‘Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là (moins de trois ans), c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où une fille est pénétrée par un morceau de bois’. »
Abhodah Zarah 36b-37a : Rabbi Naham ben Isaac a dit : ‘Au sujet des enfants païens, ils décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme, et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux. (…) À partir de quel âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.’
Rabina a dit : ‘Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginales’.”
Sanhedrin 54b : « Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. »
Sanhedrin 55b-55a : « Rab a dit : ‘La pédérastie avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.’
Samuel a dit : ‘La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.’
Sanhedrin 55b : « Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie). »
Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »
Yebamoth 60b : « Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : ‘Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte (et qui était mariée à un prêtre) qui n’avait pas encore trois ans et un jour, et Rabbi a déclaré : ‘Elle peut vivre avec ce prêtre’. »
Conclusions : Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si quelqu’un sodomise un enfant moins âgé, même un bébé, aucune culpabilité n’est encourue. Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s’en prendre à celles de moins de 3 ans !
Le fait est qu’il ne sera pas puni par Dieu s’il sodomise un garçon de moins de 9 ans ou une fille de moins de 3 ans. En outre, un enfant de moins de 9 (ou 3) ans qui se serait fait sodomiser n’est pas coupable du crime pédérastique alors que l’enfant qui est plus vieux que 9 (ou 3) ans, qu’il soit sodomisé ou qu’il sodomise, est coupable.
Plus récemment un autre auteur a mis en cause les lois talmudiques. Il s’agit d’Israël Shahak
C’est un Juif rescapé de l’Holocauste qui a émigré en Israël en 1945 et a servi dans l’armée juive Tsahal. Militant des droits de l’homme, il s’est attaqué à l’influence de l’obscurantisme religieux juif dans la vie politique israélienne.
En 1965, il est révolté par l’attitude d’un Juif religieux qui refuse de prêter son téléphone afin d’appeler une ambulance pour secourir un goy (non Juif). Ce religieux justifie son refus en invoquant la Halakha qui interdit de sauver un non-juif le jour du Sabbat. Questionnés par Shahak, les membres de la Cour rabbinique de Jérusalem (nommés par l’État d’Israël) répondent que ce refus était parfaitement conforme aux lois talmudiques. Selon cette loi, il est interdit à un juif de profaner le jour du Sabbat pour sauver un non-juif. Par contre c’est permis pour sauver un juif. Scandalisé par cette discrimination, Shahak se met alors à étudier les lois talmudiques et expose le résultat de ses recherches dans des livres comme « Le racisme de l’État d’Israël » et « Histoire juive, religion juive, le poids de trois millénaires ».
En 1973, Shahak révèle ainsi que l’armée israélienne a distribué à ses soldats une brochure disant ceci :« Lorsque nos forces rencontrent des civils en temps de guerre ou lors d’une poursuite ou d’un raid, tant qu’il n’y a aucune certitude que ces civils sont dans l’impossibilité de nuire à nos troupes, alors, conformément à la Halakha, ils peuvent et doivent être tués. En aucun cas on ne peut se fier à un Arabe, même s’il donne l’impression d’être civilisé. En temps de guerre, nos troupes donnant l’assaut sont non seulement autorisées mais tenues par la Halakha(*) de tuer même les civils paisibles, c’est-à-dire les civils paisibles en apparence« .
Cette brochure a alors été retirée mais ceux qui l’ont mise en pratique n’ont jamais été punis.
Israël Shahak pense même que le comportement impérialiste des Israéliens envers les Palestiniens est calqué directement sur le contenu de l’Ancien testament où Dieu encourage les Hébreux à exterminer tous les peuples occupant la terre promise.
Si on lit l’Ancien testament, en effet, il n’y a plus de problèmes de traduction : On voit directement ce qu’il en est des enseignements haineux envers les populations non-juives. On voit également l’intolérance barbare dont faisait preuve la loi mosaïque; Or la loi talmudique n’est autre que le développement de cette loi mosaïque.
L’Ancien Testament contient encore de nombreux passages barbares ou qui ne peuvent qu’inciter à l’intolérance religieuse, voire à la xénophobie ou au racisme. Ce qui a contribué à la persistance de l’anti judaïsme / anti sémitisme depuis l’Antiquité. Si des rabbins ont fait semblant d’expurger les livres religieux juifs de leurs aspects les plus racistes et xénophobes, nous constatons qu’aujourd’hui, les rabbins d’Israël affichent à nouveau ces écrits racistes et xénophobes, d’abord à l’encontre des Arabes musulmans ou chrétiens, ensuite à l’encontre des » juifs inférieurs » : noirs etséfarades. Exemples.
Tyrannie en matière de sexualité
Le Lévitique instaure la peine de mort pour toutes sorte de délits sexuels dont la plupart n’ont rien de répréhensible à nos yeux, ni aux yeux des gréco-romains contemporains des Hébreux.
C’est le cas pour l’homosexualité : « 13 Si un individu cohabite avec un mâle, d’une cohabitation sexuelle, c’est une abomination qu’ils ont commise tous les deux ; qu’ils soient punis de mort, leur supplice est mérité. » (Lévitique 20)
L’adultère est aussi interdit sous peine de mort : « 10 Si un homme commet un adultère avec la femme d’un autre homme, avec la femme de son prochain, l’homme et la femme adultères doivent être mis à mort. » (Lévitique 20)
Il vaut mieux également éviter de fréquenter les femmes qui ont leurs règles sinon, c’est le bannissement : « 18 Si un homme cohabite avec une femme qui souffre du flux, et découvre sa nudité, Il a mis à nu la source de son sang, et elle-même a dévoilé cette source ; lis seront retranchés, tous deux, du sein de leur peuple. » Cet inconvénient est toutefois modéré, pour les hommes, puisque la polygamie n’est pas du tout interdite quoique certaines unions soient prohibées : « 14 Celui qui épouse une femme et sa mère, c’est une Impudicité : on les fera périr par le feu, lui et elles, pour qu’il n’y ait point d’impudicité parmi vous. »
La zoophilieajoute une punition de la pauvre bête innocente au meurtre du « coupable » : « 15 Un homme qui s’accouplerait avec un animal doit être mis à mort, et l’animal, vous le tuerez«
L’incesteest puni de mort, même si il ne s’agit pas de consanguins : « 11 Si un homme cohabite avec la femme de son père, c’est la nudité de son père qu’il a découverte : qu’ils soient mis à mort l’un et l’autre, ils ont mérité leur supplice.«
Autorité dans la famille
Quel que soit leur comportement, les parents ont droit au respect de leurs enfants, sous peine de mort, bien évidemment : « Or, tout homme qui aura maudit son père ou sa mère, doit être mis à mort : il a maudit son père ou sa mère, il a mérité son supplice. » (Lévitique 20)
Chasse aux sorcières
La lapidation est conseillé pour tout ce qui ressemble à de la sorcellerie : « 27 Un homme ou une femme chez qui serait constatée une évocation ou un sortilège devront être mis à mort ; on les lapidera : ils ont mérité leur supplice. » (Lévitique 20)
Fanatisme (syndical ?) sur le travail pendant le Sabbat
A l’heure où, en France, on s’interroge sur les moyens d’empêcher les magasins d’ouvrir le dimanche, Moïse a une solution que l’on peut qualifier d’extrême : « 32 Pendant leur séjour au désert, les enfants d’Israël trouvèrent un homme ramassant du bois le jour du Sabbat. 33 Ceux qui l’avaient trouvé ramassant du bois le conduisirent devant Moïse et Aaron, et devant toute la communauté. 34 On le mit en lieu sûr, parce qu’il n’avait pas été expliqué comment il fallait agir à son égard. 35 Alors l’Éternel dit à Moïse : « Cet homme doit être mis à mort ; que toute la communauté le lapide hors du camp. » 36 Et toute la communauté l’emmena hors du camp, et on le fit mourir à coups de pierres, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse. » (Nombres, 15)
(*) « Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d’hébreu et d’araméen. Le Talmud est le fondement de la loi juive ou Halakha. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha »s). » Wikipédia.
(**)Goy, goyim ou goys ou goï, goïm ou goïs : Terme par lequel, depuis l’époque biblique, les Juifs désignent les non-Juifs.
(***)Une politicienne et parlementaire israélienne bien connue a qualifié (18/07/2014) les Palestiniens dans leur ensemble de « terroristes », allant jusqu’à affirmer que les mères des Palestiniens devraient également être tuées au cours de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza assiégée.
Ayelet Shaked, du parti ultra-nationaliste Jewish Home, a appelé au meurtre de toutes les mères palestiniennes qui donnent naissance à des « petits serpents ».
Elles doivent mourir, et leurs maisons doivent être détruites de telle sorte qu’elles ne puissent plus abriter de terroristes », a-t-elle affirmé, en ajoutant : « Elles sont toutes des ennemies, et leur sang devrait être sur nos mains. C’est aussi valable pour les mères des terroristes morts.
Ces commentaires sont considérés comme un appel au génocide, étant donné qu’elle déclare que tous les Palestiniens sont des ennemis d’Israël et doivent être tués.
Le Saviez vous : Les Vrais JUIFS de la THORA (ancien Testament chrétien), religieux ou laiques, Rejettent TOTALEMENT le SIONISME TALMUDIQUE, soutiennent la Cause Nationale Palestinienne & souhaitent même le Démantèlement de l’état sioniste d’Isra-Hell ! Ils rejettent la maffia du CRIF, de la LDJ ; de la LICRA ou encore le lobby israélien de l’AIPAC ! :-)) 1) https://www.youtube.com/watch?v=J-ZZ1lcZEMo 2)https://www.youtube.com/watch?v=SOEd_GFdEW8VOIR AUSSI :
L’homme et la femme ont été accusés d’adultère dans le quartier de Dashte Archi dans la province de Kunduz Août dernier .
Des centaines de personnes ont assisté à la lapidation , mais personne n’a été facturés . La zone est toujours sous le contrôle des Taliban .
Après avoir visionné le film , régional chef de la police Gen Daoud Daoud déclaré que les responsables pouvaient être reconnus.
» Enquêteurs de la police spéciale sera envoyée là-bas, nous allons les trouver et ils seront traduits en justice », at-il déclaré à la BBC.
Un enregistrement de la téléphonie mobile des meurtres vient seulement d’être vu par des responsables afghans et de l’OTAN . La plupart de la vidéo est trop graphique pour être montré.
Trempé dans le sang
La vidéo commence avec Siddqa , une femme de 25 ans , debout taille de profondeur dans un trou dans le sol .
Elle est entièrement caché dans une burka bleue. Des centaines d’ hommes du village sont rassemblés en deux mollahs passent phrase. Comme les talibans regardent , la sentence est prononcée et elle est reconnue coupable d’adultère .
La lapidation dure deux minutes. Des centaines de roches – certaines plus grandes que le poing d’ un homme – sont jetés à la tête et le corps. Elle essaye de ramper hors du trou , mais il est repoussé par les pierres . Un rocher est ensuite jeté à sa tête, son burka est trempé dans le sang, et elle s’effondre dans le trou .
Incroyablement Siddqa était encore en vie . Les mollahs se font entendre en disant qu’elle devrait être laissé seul . Mais un combattant taliban s’avance avec un fusil et elle est abattu de trois balles .
Puis son amant, Khayyam , est porté à la foule . Ses mains sont attachées derrière son dos. Avant , il a les yeux bandés , il regarde la caméra du téléphone mobile. Il semble provocante .
L’attaque contre lui est encore plus féroce. Son corps , allongé face contre terre, secousses que les roches atteignent leur objectif . Il est entendu à pleurer, mais c’est bientôt le silence.
Le couple a eu tôt enfui au Pakistan , mais ont été attirés en arrière avec la fausse promesse qu’ils ne seraient pas lésés.
Le porte-parole des talibans Zabiullah Mujahid a défendu la peine.
Dans un entretien téléphonique , il a dit: « Quiconque connaît l’islam sait que la lapidation est dans le Coran, et que c’est la loi islamique.
» Il ya des gens qui l’appellent inhumains – mais ce faisant, ils insultent le Prophète Ils veulent amener la pensée étrangère à ce pays. ».
«La peur et la haine «
Haut représentant civil de l’OTAN , Mark Sedwill , a déclaré le Taliban avait une vue «épouvantable» de la justice islamique.
Mais il a dit que le gouvernement afghan nécessaire pour améliorer l’état de droit dans le pays.
» Les communautés qui sont terrorisés n’ont pas de choix … C’est pourquoi nous devons éliminer les talibans dans ces communautés», at-il dit .
» Il est absolument essentiel que le gouvernement afghan en concurrence frontale avec les talibans dans ce domaine – la primauté du droit – de sorte que les gens ne sont pas confrontés à ce genre de choix que cette communauté fait face . «
Ahmed Nader Nadery , de la Commission afghane indépendante des droits de l’homme , a regardé la vidéo dans son intégralité. Il a dit qu’il a ramené des souvenirs de quand les talibans a gouverné le pays .
«C’est non seulement m’a rappelé ces jours à Kaboul et dans d’autres parties du pays, mais il a créé un sentiment de peur et de haine plus de ce groupe et la peur – . Que s’ils reviennent , » dit-il .
M. Nadery a ajouté: «Le gouvernement afghan et la communauté internationale n’ont pas réussi à faire face à ces crimes graves Il est arrivé à un moment où il y avait un débat sur l’avenir de la communauté internationale , et des discussions sur leur calendrier pour quitter le pays.
JÉSUS: « Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre ! » jean 8
Les médias de masse sont l’outil le plus puissant utilisé par la classe dirigeante pour manipuler les masses. Ils forment et modèlent les attitudes, les opinions et définissent ce qui est normal et acceptable. Cet article examine le fonctionnement des médias de masse à travers les théories de leurs penseurs majeurs, leur structure d’influence, et les techniques qu’ils utilisent, afin de comprendre leur véritable rôle dans la société.
Beaucoup d’articles de ce site [vigilantcitizen, ndlr] parlent de symbolisme occulte trouvé dans des objets de la culture populaire. De ces articles émergent beaucoup de questions légitimes liées à l’objectif de ces symboles et aux intentions de ceux qui les placent ici, mais il est impossible pour moi de fournir des réponses satisfaisantes à ces questions sans mentionner de nombreux autres faits et concepts. Par conséquent j’ai décidé d’écrire cet article autant pour étayer les fondements théoriques et méthodologiques des analyses présentées sur ce site que pour présenter les principaux spécialistes du monde de la communication de masse. Des gens lisent mes articles et pensent que je dis : « Lady Gaga veut contrôler nos esprits ». Or ce n’est pas le cas. Elle est simplement une petite partie de l’énorme système que sont les médias de masse.
La programmation via les médias de masse
Les médias de mass (« mass media ») sont des formes de médias conçues pour toucher la plus large audience possible. Cela inclut la télévision, les films, la radio, les journaux, les magazines, les livres, les chansons, les jeux vidéos et Internet. De nombreuses études ont été conduites au siècle passé pour mesurer les effets des médias de masse sur la population afin de découvrir les meilleures techniques pour l’influencer. De ces études a émergé la science des communications, qui est utilisée dans le marketing, les relations publiques et la politique : la communication de masse est un outil nécessaire pour assurer le fonctionnement d’une vaste démocratie ; c’est aussi un outil nécessaire pour une dictature. Tout dépend de son usage.
Dans la préface de son Meilleur des Mondes de 1958, Aldous Huxley peint un portrait plutôt sombre de la société. Il croit qu’elle est contrôlée par une « force impersonnelle », une élite dirigeante, qui manipule la population par des méthodes variées.
« Les forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avions presque aucun contrôle semblent tous nous pousser en direction du cauchemar Meilleur-mondiste ; et cette poussée impersonnelle est en train d’être sciemment accélérée par les représentants des organisations politiques et commerciales qui ont développé un certain nombre de techniques pour manipuler, dans l’intérêt d’une certaine minorité, les pensées et sentiments des masses. » – Aldous Huxley, préface du Meilleur des mondes.
Sa sombre perspective n’est pas qu’une simple hypothèse ou une illusion de paranoïaque. C’est un fait certifié, présent dans les plus importantes études mondiales sur les médias de masse. En voici quelques unes :
Les penseurs de l’élite
Walter Lippmann
Walter Lipman
Walter Lippmann, intellectuel américain, écrivain qui a gagné à deux reprises le prix Pulitzer, a donné naissance à un des premiers travaux à propos de l’usage des médias de masse. DansOpinion publique (1922), Lippmann compare la masse à une « grosse bête » et à « un troupeau perplexe » qui avait besoin d’être guidé par un classe gouvernante. Il a décrit l’élite dominante comme « une classe spécialisée dont les intérêts se portent au-delà du local ». Cette classe est composée d’experts, de spécialistes et de bureaucrates. Selon Lippmann, les experts, à qui ont fait souvent référence comme « l’élite », seront sous peu une machine de la connaissance qui circonvient au principal défaut de la démocratie, l’idéal impossible d’un « citoyen omnipotent ». Le « troupeau perplexe » rugissant et piétinant a sa fonction : être « le spectateur désintéressé de l’action », c-à-d pas un participant. La participation est le devoir de « l’homme responsable », qui n’est pas le citoyen ordinaire.
Les médias de masse et la propagande sont par conséquent des outils qui doivent être utilisés par l’élite pour diriger le public sans correction physique. Un concept important présenté par Lippmann est la « fabrication du consentement » qui est, en gros, la manipulation de l’opinion publique pour accepter le programme de l’élite. A l’avis de Lippmann, le public en général n’est pas en mesure de raisonner et de trancher les questions importantes. Il est donc important pour l’élite de décider « pour son propre bien » et ensuite vendre ces décisions aux masses.
« Que cette fabrication du consentement soit capable de grandes améliorations personne, je pense, personne ne le nie. Le procédé par lequel les opinions publiques se présentent n’est certainement pas moins subtil qu’il l’est apparu dans ses pages, et les opportunités de manipulation qui s’ouvrent à quiconque comprend le procédé sont suffisamment claires… Comme un résultat de recherches psychologiques alliées avec les moyens de communication modernes, la pratique de la démocratie a pris un tournant. Une révolution se produit, infiniment plus significative que toutes les variations du pouvoir économique… Sous l’impact de la propagande, pas nécessairement au sens péjoratif du mot, les vieilles constantes de notre pensée sont devenues variables. Il n’est plus possible, par exemple, de croire au dogme initial de la démocratie ; que la connaissance nécessaire à la gestion des affaires humaines sort spontanément du cœur humain. Lorsqu’on agit selon cette théorie on s’expose à l’autodéception, et à des formes de conviction que nous ne pouvons vérifier. Il a été démontré que nous ne pouvons pas compter sur l’intuition, la conscience, ou les accidents de l’opinion faite à la va-vite pour traiter avec le monde au-delà de notre portée. » – Walter Lippmann, « Opinion publique »
Il peut être intéressant de remarquer que Lippmann est un des pères fondateurs du CFR (« Council of Foreign Relations », soit « le conseil des relations étrangères »), le club de réflexion en politique étrangère le plus influent du monde. Ce fait devrait vous donner un petit indice sur l’état d’esprit de l’élite concernant l’utilisation des médias.
« Le pouvoir politique et économique aux Etats-Unis est concentré entre les mains d’une « élite dirigeante » qui contrôle la plupart des corporations multinationales, les principaux médias, les fondations les plus influentes, les universités privées les plus importantes et la plupart des services publics basés aux E-U. Fondé en 1921, le Council of Foreign Relations est le lien-clé entre les grosses corporations et le gouvernement fédéral. On l’appelait « l’école des hommes d’Etats » et « ce qui se rapproche d’un organe de ce que C. Wright Mills appelait l’Elite du Pouvoir – un groupe d’hommes aux intérêts et modes de pensée similaires façonnant les évènements depuis des positions invulnérables dans les coulisses. La création des Nations Unies était le projet du CFR, tout comme le Fond Monétaire International et la Banque Mondiale. » – Steve Jacobson, « Contrôle mental aux Etats-Unis »
Parmi les membres actuels du CFR se trouvent David Rockefeller, Dick Cheney, Barack Obama, Hilary Clinton, le pasteur d’une méga-église Rick Warren, les PDG de corporations importantes telles que CBS, Nike, Coca-Cola et Visa.
Carl Jung
Carl Jung
Carl Jung est le fondateur de la psychologie analytique (aussi connue sous le nom de « psychologie jungienne ») qui met l’accent sur la compréhension de la psyché en explorant les rêves, l’art, la mythologie, la religion, les symboles et la philosophie. Le thérapeute suisse est à l’origine de nombreux concepts psychologiques utilisés aujourd’hui tels que l’Archétype, le Complexe, la Personne, l’Introverti/Extraverti et la Synchronicité. Il a été hautement influencé par le milieu occulte de sa famille. Carl Gustav, son grand-père, était un fervent Franc-maçon (il était Grand-Maître) et Jung lui-même découvrit que certains de ses ancêtres étaient rosicruciens. Cela pourrait expliquer son grand intérêt pour la philosophie Occidentale et Orientale, l’alchimie, l’astrologie et le symbolisme. Un de ses plus importants concepts (et un des plus mal compris) était celui d’Inconscient collectif.
« Ma thèse, donc, est comme suit : en plus de notre conscience immédiate, qui est d’une nature tout à fait personnelle et que nous croyons être le seul psychisme empirique (même si nous ajoutons l’inconscient personnel en appendice), il existe un second système psychique d’une nature collective, universelle et impersonnelle qui est indentique à tous les individus. Cet inconscient collectif ne se développe pas individuellement, mais on en hérite. Il consiste en formes préexistantes, les archétypes, qui peuvent seulement devenir conscientes de manière secondaire, et qui donnent une forme définie à certains contenus psychiques. » – Carl Jung, « le Concept d’inconscient collectif ».
L’inconscient collectif ressort à travers l’existence de symboles similaires et de personnages mythologiques dans différentes civilisations. Les symboles archétypaux semblent être ancrés dans notre subconscient collectif et, lorsque nous y sommes exposés, nous démontrons une fascination et une attraction naturelles. Les symboles occultes peuvent donc exercer un impact conséquent sur les gens, même si beaucoup d’individus n’ont jamais été personnellement confronté au sens ésotérique du symbole. Les penseurs des médias de masse, comme Edward D. Bernays, a trouvé dans ce concept un excellent moyen de manipuler l’inconscient collectif et personnel du public.
Edward Bernays
Edward Bernays
Edward Benays est considéré comme le « père des relations publiques » et a utilisé des concepts découverts par son oncle Sigmund Freud pour manipuler le public en utilisant le subconscient. Il partageait la vision de Walter Lippmann concernant la population en général, la considérant irrationnelle et sujette au « mouvement de troupeau ».
« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et opinions organisées des masses est un élément important d’une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est la vraie force dirigeante du pays.
Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont on n’a jamais entendu parler. C’est un résultat logique de la manière dont notre société démocratique est organisée. Un vaste nombre d’êtres humains doivent coopérer de cette manière s’ ils veulent sous peu vivre ensemble dans une société qui fonctionne sans difficultés.
Nos gouvernants invisibles sont, dans beaucoup de cas, inconscients de l’identité de leurs collègues dans le cercle fermé. » – Edward Bernays, « Propagande ».
Les campagnes marketing novatrices de Barneys ont profondément changé le fonctionnement de la société américaine. Il a pratiquement créé le « consumérisme » en créant une culture dans laquelle les Américains achètent pour le plaisir et non pour la survie. Pour cette raison, il est considéré par Life Magazine comme étant dans le Top 100 des Américains les plus influents du XXème siècle.
Harold Lasswell
Harold Lasswell
En 1939-1940, l’Université de Chicago fut l’hôte d’une série de séminaires secrets sur les communications. Ces clubs de réflexion furent fondés par la fondation Rockfeller et comprenait les chercheurs les plus importants dans les domaines de la communication et des études sociologiques. Un de ses érudits était Harold Lasswell, un scientifique politique et théoricien en communication de premier plan, spécialisé dans l’analyse de la propagande. Il partageait aussi l’opinion selon laquelle la démocratie, un gouvernement dirigé par les gens, ne pouvait pas se maintenir sans une élite spécialisée formant et façonnant l’opinion publique à travers la propagande.
Dans son Encyclopédie des Sciences sociales, Lasswell explique que lorsqu’il manque aux élites la force requise pour l’obéissance contrainte, les managers sociaux doivent se tourner vers «une toute nouvelle technique de contrôle, en grande partie par la propagande ». Il y ajouta la justification conventionnelle : « l’ignorance et la stupidité [des]… masses et ne pas succomber aux dogmatismes démocratiques comme quoi les hommes seraient les meilleurs juges de leurs propres intérêts. »
Lasswell a considérablement étudié le domaine de l’analyse de contenu pour comprendre l’efficacité des différents types de propagande. Dans son essai Les contenus de la communication, Lasswell explique que, afin de comprendre la signification d’un message (c-à-d un livre, un discours, un film etc), on doit prendre en compte la fréquence à laquelle certains symboles apparaissent dans le message, la direction dans laquelle ces symboles essaient de guider l’opinion de l’audience, et l’intensité des symboles utilisés.
Lasswell était célèbre pour son analyse des médias basée sur ceci :
« Qui (dit) Quoi (à) Qui (par) Quel Moyen (avec) Quel Effet »
Via ce modèle, Lasswell indique que pour analyser correctement un produit médiatique, il nous faut regarder à qui l’a produit (les gens qui ont ordonné sa création), à qui il est destiné(l’audience-cible) et quels sont les effets désirés du produit (informer, convaincre, vendre, etc) sur l’audience.
Voilà quelle serait l’analyse d’une vidéo de Rihanna par exemple : QUI A PRODUIT : Vivendi Universal ; QUOI : l’artiste pop Rihanna ; A QUI : les consommateurs âgés de 9 à 25 ans ; QUEL MOYEN : vidéoclip ; et QUEL EFFET : vendre l’artiste, sa chanson, son image, et son message.
L’analyse de films et de vidéos sur The Vigilant Citizen donne une grande importance à « qui est derrière » les messages communiqués au public. Le terme « Illuminati » est souvent utilisé pour décrire un petit groupe formant une élite dirigeant secrètement les masses. Bien que le terme sonne assez caricatural et conspirateur, il décrit judicieusement les affinités de l’élite avec des sociétés secrètes et un savoir occulte. Cependant, je déteste personnellement utiliser le terme de « théorie du complot » pour décrire ce qui se passe dans les médias de masse. Si tous les faits concernant la nature élitiste de l’industrie sont facilement disponibles au public, est-ce qu’on peut encore appeler ça une « théorie du complot » ?
Il y avait avant une variété de points de vue, idées et opinions dans la culture populaire. La consolidation des corporations médiatiques a cependant produit une standardisation de l’industrie culturelle. Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi toutes les musiques récentes sonnent pareilles et tous les films récents ont l’air pareils ? la réponse se trouve dans la partie suivante :
Possession des médias
Le nombre de corporations qui contrôlent la majorité des médias aux Etats-Unis : (journaux, magazines, stations de radio, chaînes télé, livres, musiques, films, fournisseurs d’accès et agences de photographie)
Comme il est représenté sur le graphique ci-dessus, le nombre de corporations possédant la majorité des organes de presse aux E-U est passé de 50 à 5 en moins de 20 ans. Voici le top des corporations en évolution autour du monde et les capitaux actifs qu’elles possèdent :
« Une liste des propriétés contrôlées par AOL Time Warner prendrait dix pages dactylographiées qui listeraient 292 compagnies séparées et filiales. Parmi elles, 22 sont des sociétés en participation avec d’autres majors impliquées à divers degrés en opérations médiatiques. Ces partenaires incluent 3Com, eBay, Hewlett-Packard, Citygroup, Ticketmaster, American Express, Homestore, Sony, Viva, Berterlsmann, Polygram, et Amazon.com. Quelques une des propriétés plus familières détenues à 100% par AOL Time Warner : Book-of-the-Month Club : Little Brown éditeurs ; HBO et ses sept chaînes ; CNN ; sept chaînes spécialisées et en langues étrangères ; « Bip-Bip et Vil Coyote » ; les studios Warner Bros ; Popular Science et 52 autres labels de disques différents. » – Ben Bagdikan, « le Nouveau monopole des Médias. »
AOL Time Warner possède : – 64 magazines, dont Time, Life, People, MAD Magazine et DC Comics. – Waner Bros, New Line et Fine Line Features dans le cinéma. – Plus de 40 labels musicaux dont Warner Bros, Atlantic et Electra. – Beaucoup de « networks » télévisuels tels que AB Network, HBO, Cinemax, TNT, Cartoon Network et CNN. – Madonna, Sean Paul, les Whites Stripes…
Viacom possède : – CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN, CMT et BET – Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films – Blockbuster Videos – 1800 écrans de cinéma à travers Famous Players
« La propriété de Disney d’une équipe de hockey appelés les Mighty Ducks d’Anaheim ne suffit pas à décrire l’immensité de son royaume. Hollywood reste son cœur symbolique, avec huit studios de productions et distributeurs : Wall Disney Pictures, Touchstone Pictures, Miramax, Buena Vista Home Video, Buena Vista Home Entertainment, Buena Vista International, Hollywood Pictures et Caravan Pictures.
La compagnie Walt Disney contrôle huit maisons d’édition sous Walt Disney Company Book Publishing et ABC Publishing Book ; 17 magazines ; ABC Television Network avec ses dix stations qu’elle possède et qu’elle fait fonctionner y compris dans le top 5 du marché ; 30 stations de radio, dont toutes les plus grosses du marché; 11 chaînes câblées dont Disney, ESPN (conjointement) ; A&E et la chaîne Histoire ; 13 chaînes de diffusion internationale qui vont de l’Australie au Brésil ; 17 unités sportives et unités de production autour du monde ; et 17 sites Internet, ce qui inclut le groupe ABC, ESPN.sportzone, NFL.com, NBAZ.com et NASCAR.com. Ses cinq groupes musicaux incluent la Buena Vista, Lyric Street et les labels Disney, et des productions cinématographiques « vivantes » d’où sont sortis des films comme Le Roi Lion, la Belle et la Bête, et le Roi David… » – Ibid.
La Walt Disney Company possède : – ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channel – Walt Disney Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film Corp., Dimension etBuena Vista International – Miley Cyrus/ Hannah Montana, Selena Gomez, les Jonas Brothers.
Vivendi Universal possède: – 27% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent: Interscope, Geffen, A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown et Universal – Universal Studios, Studio Canal, Polygram Films, Canal + – De nombreuses compagnies téléphoniques et Internet, – Lady Gaga, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna, Mariah Carey, Jay-Z
Sony possède: – Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures Classics – 15% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent : Columbia, Epic, Sony, Arista, Jive et RCA Records – Beyonce, Shakira, Michael Jackson, Alicia Keys, Christina Aguilera
Un nombre limité d’acteurs dans l’industrie culturel signifie un nombre limité de points de vue et d’idées qui font leur chemin jusqu’au grand public. Cela signifie aussi qu’une seule idée peut facilement saturer toutes les plateformes médiatiques pour générer le consentement (par exemple : « il y a des armes de destruction massive en Irak »).
La standardisation de la pensée humaine
La fusion des compagnies médiatiques lors des dernières décennies a engendré une petite oligarchie de conglomérats médiatiques. Les shows télé que nous suivons, la musique que nous écoutons, les films que nous regardons et les journaux que nous lisons sont tous produits par CINQ corporations. Les propriétaires de ces conglomérats ont des liens étroits avec l’élite mondiale et, de bien des façons, ils SONT l’élite. En possédant tous les points de vente disponible qui ont le potentiel d’atteindre les masses, ces conglomérats ont le pouvoir de créer, dans l’esprit des gens, une seule et cohérente vision du monde, engendrant une « standardisation de la pensée humaine. »
Mêmes les mouvements et les styles considérés marginaux sont, en fait, des extensions de la pensée principale. Les médias de masse produisent leurs propres rebelles qui ont bel et bien l’air de faire partie et qui continuent de faire partie de l’ordre établi et de n’en rien contester. Les artistes, les créations et les idées qui ne correspondent pas au mode de pensée principale sont oubliés et rejetés sans merci par les conglomérats, qui à leur tour les font virtuellement disparaître de la société elle-même. Cependant, les idées qui sont estimées valides et désirables pour être acceptées par la société sont adroitement commercialisées aux masses dans le but de les transformer en normes qui vont de soi.
En 1928, Edward Barnays avait déjà vu l’immense potentiel du cinéma pour standardiser les pensées :
« Le cinéma américain est le plus grand transporteur inconscient de propagande dans le monde aujourd’hui. C’est un grand distributeur d’idées et d’opinions. Le cinéma peut standardiser les idées et habitudes d’une nation. Parce que les images sont faites pour satisfaire les demandes du marché, elles reflètent, soulignent, et même exagèrent les grandes tendances populaires, plutôt que de stimuler de nouvelles idées et opinions. Le cinéma use des idées et des faits qui sont en vogue. Tandis que les journaux cherchent à offrir les faits, il [le cinéma] cherche à offrir du divertissement. »
– Edward Bernays, Propagande.
Ces faits ont été marqués comme des dangers à la liberté humaine dans les années 1930 par les penseurs de l’école de Frankfort tels que Theodor Adorno et Herbert Marcuse. Ils ont identifié trois problèmes principaux avec l’industrie culturelle. L’industrie peut :
1. Réduire les êtres humains au statut de « masse » en entravant le développement d’individus émancipés, qui sont capables de prendre des décisions rationnelles
2. Remplacer le dynamisme légitime vers l’autonomie et la conscience de soi par la paresse sécurisante du conformisme et de la passivité ; et
3. Valider l’idée que les hommes cherchent bien à s’échapper du monde absurde et cruel dans lequel ils vivent en se perdant dans un état hypnotique de satisfaction personnelle.
La notion d’évasion est encore plus pertinente aujourd’hui avec l’avènement des jeux vidéo en ligne, des films en 3d et des home cinémas. Les masses, cherchant le divertissement dernier cri, vont avoir recours à des produits à gros budget qui peuvent seulement être produits par les plus grosses corporations médiatiques mondiales. Ces produits contiennent des messages et symboles délibérément placés avec attention qui ne sont ni plus ni moins que de la propagande divertissante. Le public a été entraîné à AIMER cette propagande, au point de dépenser son argent difficilement gagné pour y être exposé.
« En ce qui concerne la propagande, les premiers défenseurs de l’alphabétisation universelle et de la presse libre envisagèrent deux possibilités : la propagande peut être vraie, ou elle peut être fausse. Ils n’ont pas prévu ce qui est en fait arrivé, surtout dans nos démocraties capitalistes occidentales – le développement d’une vaste industrie de consommation de masse, concernée dans l’absolu ni par le vrai ni par le faux, mais par l’irréel, le plus ou moins totalement dénué de pertinence. En un mot, ils ont échoué à prendre en compte l’appétit presque infini de l’Homme pour la distraction. »
– Aldous Huxley, préface du « Meilleur des mondes ».
Un seul extrait d’un média n’a souvent pas un effet durable sur la psyché humaine. Les médias de masse cependant, par leur nature omniprésente, créent un environnement vivant dans lequel on évolue sur des bases journalières. Ils définissent la norme et excluent l’indésirable. De la même manière que les chevaux de trait portent des oeillières afin de ne voir que ce qui est devant eux, les masses ne peuvent voir que là où elles sont supposées voir.
« C’est l’émergence des médias de masse qui rend possible l’utilisation de techniques de propagande à échelle sociétale. L’orchestration de la presse, de la radio et de la télévision pour créer un environnement continuel, durable et total rend l’influence de la propagande virtuellement insoupçonnée précisément parce que ça crée un environnement constant. Les médias de masse fournissent le lien essentiel entre l’individu et les exigences de la société technologique. »
– Jacques Ellul
Une des raisons pour lesquelles les médias de masse influencent avec succès la société industrielle, on la doit à la quantité considérable de recherches sur les sciences cognitives et la nature humaine qui y a été appliquée…
Techniques de manipulation
« La publicité est une tentative délibérée pour contrôler la perception qu’a le public d’un sujet. Parmi les sujets de la pub se trouvent des gens (par exemple des politiciens ou des artistes en train de jouer), des biens et des services, des organisations de tous les types, des œuvres d’art et de divertissement. »
L’effort pour vendre produits et idées aux masses a conduit à un nombre de recherches sans précédent sur le comportement humain et la psyché humaine. Sciences cognitives, psychologie, sociologie, sémiotique, linguistique et d’autres domaines qui leur sont liées étaient et sont encore considérablement recherchés par les études bien financées.
« Aucun groupe de sociologistes ne peut se rapprocher des équipes publicitaires en ce qui concerne le rassemblement et le traitement de données sociales. Les équipes publicitaires ont des milliards par an à dépenser dans les recherches et tests de réactions, et leurs produits sont de magnifiques accumulations de substance concernant les sentiments et expériences vécues par la communauté entière. »
– Marshall Mcluhan, « les Extensions de l’Homme »
Les résultats de ces études sont appliqués aux publicités, aux films, aux clips et à d’autres médias dans le but de les rendres aussi influents que possible. L’art du marketing est hautement scientifique et calculé parce qu’il doit atteindre à la fois l’insconscient collectif et individuel. En ce qui concerne les produits culturels à gros budget, une vidéo n’est jamais « une simple vidéo ». Les images, les symboles et les significations sont placées stratégiquement dans le but d’obtenir un effet désiré.
« C’est aussi bien avec la connaissance de l’être humain, de ses tendances, de ses désirs, de ses besoins, de son mécanisme psychique, de ses automatismes que celle de la psychologie sociale et de la psychologie analytique que la propagande peut affiner ses techniques. »
– Jacques Ellul.
La propagande d’aujourd’hui n’utilise quasiment jamais d’arguments logiques ou rationnels. Elle va directement puiser dans les besoins et instincts humains les plus primaires afin de générer une réponse émotionnelle et irrationnelle. Si nous pensions de manière rationnelle, il est probable que nous n’achèterions pas 50% de ce que nous avons. On peut trouver constamment des bébés et des enfants dans les pubs qui ciblent les femmes pour une raison spécifique : les études ont montré que les images d’enfants déclenchent chez les femmes un besoin instinctif de nourrir, de prendre soin et de protéger, ce qui conduit au bout du compte un parti-pris de sympathie envers la publicité.
Veille pub bizarre de 7up, utilisant le côté mignon des bébés. Le sexe est omniprésent dans les médias de masse, puisque cela attire et maintient l’attention du spectateur. Cela se met immédiatement en communication avec notre instinct de perpétuer l’espèce, de nous reproduire, et quand il est déclenché, cet instinct peut éclipser toute autre pensée rationnelle de notre cerveau.
Perception subliminale
Et si les messages décrits ci-dessus étaient capables d’atteindre directement l’inconscient des spectateurs, sans mêmes que ceux-ci s’apperçoivent de ce qui se passe ? C’est le but de la perception subliminale. Le terme « publicité subliminale » fut inventé en 1957 par le spécialiste en études de marché américain James Vicary, qui disait qu’il pouvait faire « boire du Coca-Cola » et « manger du pop-corn » aux gens qui allaient au cinéma en faisant apparaître ces messages à l’écran par flashes assez courts pour que les spectateurs n’en soient pas conscients.
« La perception subliminale est un processus délibéré créé par les techniciens en communication par lequel vous recevez des informations, des instructions et y répondez sans en avoir conscience. »
– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis. »
Cette technique est souvent utilisée en marketing et on sait tous que le sexe fait vendre.
Bien que certaines sources prétendent que la publicité subliminale est inefficace ou même que c’est une légende urbaine, l’utilisation documentée de cette technique dans les médias de masse prouvent que ses créateurs croient en son pouvoir. Les études récentes ont aussi prouvé son efficacité, particulièrement lorsque le message est négatif.
« Une équipe de l’University College de Londres, financée par le Wellcome Trust, a découvert qu’elle [la perception subliminale] était particulièrement bonne à inculquer des pensées négatives. « Il y a eu beaucoup de spéculations pour savoir si les gens pouvaient traiter inconsciemment l’information émotionnelle, par exemple des images, des visages et des mots », a dit le professeur Nill Lavie, qui a conduit la recherche. « Nous avons montré que les gens peuvent percevoir la valeur émotionnelle des messages subliminaux et avons démontré de façon concluante que les gens sont beaucoup plus à l’écoute des mots négatifs. »
Juste après que le nom « Gore » est mentionné, la fin du mot « bureaucrats » – « rats » – flashe à l’écran pendant une fraction de seconde.
La découverte de cette ruse a causé pas mal de remous, même s’il n’y a aucun loi contre les messages subliminaux aux E-U, la publicité a été retirée des chaînes.
Comme on peut le voir dans beaucoup d’articles sur Vigilant Citizen, les messages subliminaux et semi-subliminaux sont souvent utilisés dans les films et les clips pour communiquer des idées et des messages aux spectateurs.
Désensibilisation
Par le passé, lorsque des changements étaient imposés aux populations, elles descendaient dans la rue, protestaient, voire déclenchaient des émeutes. La principale raison de ces affrontements était dûe au fait que les changements étaient clairement annoncés par les dirigeants et compris par la population. C’était soudain, et les effets pouvaient être clairement analysés et évalués. Aujourd’hui, lorsque l’élite a besoin que le public comprenne une partie de son programme, elle le fait à travers la désensibilisation. Le programme, qui peut aller à l’encontre des meilleurs intérêts du public, est lentement, peu à peu et à maintes reprises présenté au monde à travers les films (en l’impliquant dans l’intrigue) des clips (qui le rendent cool et sexy) ou les nouvelles (qui le présentent comme une solution aux problèmes actuels). Après plusieurs années d’exposition des masses à un programme particulier, l’élite expose ouvertement son projet au monde et, à cause de la programmation mentale, il est accueilli dans l’indifférence générale, et passivement accepté. Cette technique vient de la psychothérapie.
« Ces techniques de psychothérapie, largement pratiquées et acceptées comme un moyen de guérir les désordres psychologiques, sont aussi des méthodes pour contrôler les gens. Elles peuvent être systématiquement utilisées pour influencer les attitudes et les comportements. La désensibilisation systématique est une méthode utilisée pour faire disparaître l’anxiété afin que le patient (le public) ne soit plus troublé par une peur spécifique, la peur de la violence par exemple. […] Les gens s’adaptent aux situations effrayantes s’ils y sont suffisamment exposés.»
– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis »
On peut souvent trouver de la programmation prédictive dans le genre de la science-fiction. Elle représente une image spécifique du futur – celui qui est désiré par l’élite – qui devient au bout du compte inévitable dans l’esprit des hommes. Il y a dix ans, le public a été désensibilisé à la guerre contre le monde arabe. Aujourd’hui, le public est petit à petit exposé à l’existence du contrôle de l’esprit, au transhumanisme et à l’existence d’une élite Illuminati. Emergant de l’ombre, ces concepts sont à présent partout dans la culture populaire. C’est ce qu’Alice Bailey décrit sous le nom d’ « externalisation de la hiérarchie » : ceux qui dirigent dans l’ombre se révèlent lentement…
Symbolisme occulte dans la culture populaire
Metropolis – Un film de l’élite pour l’élite ?
Contrairement aux informations présentées ci-dessus, la documentation sur le symbolisme occulte est plutôt difficile à trouver. Cela ne doit pas se révéler surprenant, puisque le terme « occulte » signifie littérallement « caché ». Cela veut dire aussi « réservé à ceux qui savent » puisqu’il est seulement communiqué à ceux qui sont considérés dignes de ce savoir. Il n’est ni enseigné dans les écoles ni discuté par les médias. Il est donc considéré marginal voire ridicule par la population en générale.
Le savoir occulte n’est cependant PAS considéré comme ridicule dans les cercles occultes. Il est considéré intemporel et sacré. Il y a une longue tradition de savoir hermétique et occulte qui s’enseigne à travers les sociétés secrètes qui viennent de l’Egypte Ancienne, aux Mystiques Orientaux, aux chevaliers Templiers jusqu’aux Francs-Maçons des temps modernes. Même si la nature et l’étendue et ce savoir a très probablement été modifié, altéré à travers les siècles, les écoles de l’occulte ont gardé leurs principales caractéristiques, qui sont hautementsymboliques, ritualistes et métaphysiques. Ces caractéristiques, qui étaient une part complexe des anciennes civilisations, ont totalement été évacuées de la société moderne pour être remplacées par un pragmatisme matérialiste. Pour cette raison il existe un fossé de compréhension important entre la personne lambda et l’institution ritualiste.
« Si cette doctrine ésotérique a toujours été dissimulée aux masses, pour qui un code plus simple a été partitionné, n’est-il pas hautement probable que les représentants de chaque aspect de la civilisation moderne – philosophique, éthique et scientifique – soient ignorants de la vraie signification de ces théories et principes mêmes sur lesquels leurs croyances sont fondées ? Est-ce que les arts et les sciences que la race a héritées de nations plus anciennes dissimulent derrière leure jolie façade un mystère si grand dont seuls les intellectuels les plus illuminés peuvent comprendre la portée ? C’est très certainement le cas. »
– Manly P. Hall, « Enseignements secrets de tous les âges ».
Le « code plus simple » partitionné pour les masses avait pour habitude d’être les religions organisées. Maintenant, c’est devenu le Temple des Médias de Masse et il prêche quotidiennement le matérialisme extrême, la vacuité spirituelle et une existence individualiste, tournée vers soi. C’est exactement le contraire des attributs requis pour devenir un homme réellement libre, comme c’est enseigné par les grandes écoles de pensée. Est-ce qu’une population abêtie est plus facile à tromper et à manipuler ?
« On dit à ces esclaves aveugles qu’ils sont « libres » et « bien éduqués », même quand ils marchent au pas derrière des signes qui feraient s’enfuir d’eux paniqué et en criant n’importe quel paysan du Moyen-Age. Les symboles que l’homme moderne embrasse avec la confiance naïve d’un enfant équivaudraient à cet écriteau sur une pancarte : « Direction votre mort et l’esclavage », comme le comprendrait un paysan de l’antiquité ».
– Michael A. Hoffman II, « Sociétés secrètes et guerre psychologique ».
En conclusion
Cet article a porté un regard sur les penseurs majeurs dans le domaine des médias de masse, la structure d’influence des médias, et les techniques utilisées pour manipuler les masses. Je crois que cette information est vitale pour la compréhension du « pourquoi » dans les sujets débattus sur The Vigilent Citizen. La dichotomie entre la « masse de la population » contre « l’élite dirigeante » décrite dans nombre d’articles n’est pas une « théorie de la conspiration » (encore une fois je déteste ce terme), mais une réalité qui a été précisément indiquée dans les travaux de quelques uns des hommes les plus influents du XXème siècle.
Lippmann, Bernays et Lasswell ont tous déclaré que le public n’était pas à même de décider de son propre destin, qui est le but inhérent à la démocratie. A la place, ils en ont appelé à une « cryptocratie », un gouvernement caché, une classe dirigeante en charge du « troupeau perplexe ». Au fur et à mesure que leurs idées continuent d’être appliquées à la société, il est de plus en plus visible qu’une population ignorante n’est pas un obstacle dont les dirigeants doivent s’occuper : c’est quelque chose de DESIRABLE, et, en effet, nécessaire pour assurer un leadership total. Une population ignorante ne cherche pas ses droits, ne cherche pas une plus grande compréhension des problèmes, ne questionne pas l’autorité. Elle suit simplement la tendance. La culture populaire pourvoit aux besoins de l’ignorance et la nourrit en servant continuellement du divertissement asphyxiant le cerveau et en mettant en lumière des célébrités dégénérées pour qu’elles soient idolatrées. Beaucoup de gens me demandent : « est-ce qu’il y a un moyen d’arrêter ça ? ». Oui, il y en a un. ARRETEZ D’ACHETER LEURS SALOPERIES ET LISEZ UN LIVRE.
« Si une nation espère être ignorante et libre, elle espère ce qui n’a jamais été et ce qui ne sera jamais. »
À la télévision la désinformation massive, la météo, les résultats sportifs, le juste prix avec son public bien dressé qui rit, tape dans les mains sur commande, les émissions de télé-réalité avec son lot de dégénérés consanguins, des clips remplis de grosses voitures, de prostituées et de faux gangsters …
Dans la rue des troupeaux de consommateurs, lobotomisés par le petit écran, ils se pensent bien informés, ne veulent pas trop réfléchir, estiment vivre dans une démocratie puisqu’ils votent tous les cinq ans, à droite ou à gauche, selon le vent, et dont, les seules préoccupations sont la presse people, les grandes marques, les téléphones portables ou comment finir le mois …
La question qui est impossible d’éviter de se poser est : dans la mesure où l’information que nous recevons est monolithique, formatée, décidée à notre place, dans quelle mesure pouvons-nous toujours prétendre être maîtres de nos opinions et de notre pensée ? Jusqu’à quel point la notion même de démocratie peut encore être pertinente si une partie si essentielle de notre liberté, à savoir la pensée, nous est ôtée ? En quoi sommes-nous encore sujets ou plutôt en quoi ne sommes-nous pas objets ? Jusqu’à quel point pouvons-nous affirmer avec certitude ne pas être ces machines de « Matrix » ou ces robots de « Terminator .
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