Nouvel Ordre Mondial:Pour la enième fois… Donald Trump confirme que le chef de l’État islamique est mort

Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.

Pour la enième fois:

Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.

Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.

Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.

 

Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.

L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.

Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.

Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.

La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.

Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.

Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.

Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.

 

Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.

Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».

L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.

Un travail conjoint avec le renseignement américain

Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.

Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.

Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.

Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.

Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.

Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.

Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe

Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.

Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.

«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.

Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.

Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El)  ».

«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.

Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.

Une première apparition en cinq ans

Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.

La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.

Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.

Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.

Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.

L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.

Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.


Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène

Donald Trump dans le Situation Room

 

 

 

«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.

«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»

« Il est mort comme un lâche »

Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»

Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»


Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?

Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.

Voici tout d’abord les « fausses informations »  comprenant quelques  vérités…véhiculées par les médias  « officiels »:

Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément  tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.

Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.


Voir notre article de l’époque de juillet 2014: Les djihadistes…


 

S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.

25 millions de dollars pour le trouver

Depuis des mois, l’homme dont la mort avait été évoquée à plusieurs reprises ne dirigeait plus que des troupes disloquées, même si dans ses vidéos de propagande soigneusement réalisées, Daesh continuait de revendiquer, plus ou moins opportunément, des attentats à travers le monde.

Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.

Les Etats-Unis offraient 25 millions de dollars pour la capture de cet homme, le plus recherché du monde, né dans une famille pauvre de Samarra, au nord de Bagdad.

L’antithèse d’Oussama Ben Laden

Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.

Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.

« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».

Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».

Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara. 

Traversée du désert

D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.

Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.

Rebaptisée Daesh, son organisation supplante ensuite Al-Qaïda. Mais Baghdadi, lui, est rapidement forcé à la retraite au désert. Il aurait d’abord trouvé refuge dans la zone désertique allant du centre de la Syrie à l’Irak, selon les experts.  C’est là que son fils Houdhayfah al-Badri a été tué en juillet 2018, fauché dans une grotte par trois missiles russes téléguidés. Lui-même a survécu à plusieurs attaques avant celle de dimanche et il avait au fil du temps drastiquement réduit son entourage.

Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts. 

 


Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers  mon article antérieur  écrit sur ce sujet:

Abou Bakr al-Bagdady serait un audacieux agent du Mossad


DÉSINFORMATION DE LA MATRICE:

Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles)  annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!

*Voir l’article en anglais s’y rapportant :

SKETCHY REPORTS: Iraq Media Report ISIS Leader Abu Bakr Al-Baghdadi Killed In U.S. Airstrike 


AUTRE DÉSINFORMATION:

Le 16 juin 2017,la Russie annonçait avoir tué , »elle aussi »,le calife Al-Bagdady:

Voir cet article en anglais:

                ISIS leader Abu Bakr al-Baghdadi                     ‘LIQUIDATED in Russian airstrike’

 


LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)

Voici des images horribles qui nous  montrent que les  forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par  le faux calife al-Baghdady  et l’État Islamique:

 

 

 

 

Nota Bene

L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?

 


*Voir aussi  cet autre  article sur l’État Islamique ou comment on enseigne aux enfants à décapiter un homme dans une mosquée

Des hélicoptères de l’armée américaines auraient transportées de nombreux terroristes de l’État Islamique suite…à un accord financier en or!

L’agent de la CIA qui a interrogé Saddam Hussein : «Toutes nos informations étaient fausses»

John Nixon estime que le développement de l’Etat islamique aurait été impossible si le régime baasiste s’était maintenu. S’il condamne la brutalité de Saddam Hussein, il dit être désormais sûr de l’absence d’armes de destruction massive dans le pays.

John Nixon, ancien agent de la CIA, publie dans les jours à venir ses mémoires, Debriefing The President: The Interrogation Of Saddam Hussein, dans lesquelles il revient notamment sur l’un des interrogatoires les plus marquants de sa carrière : celui de Saddam Hussein, l’ancien président irakien, interrogé avant le procès au terme duquel il a été exécuté.

 

saddam-hussein

 

Evoquant un homme «courtois et en bonne condition physique», John Nixon insiste dans son ouvrage sur l’absence de fiabilité des informations dont disposaient les services secrets américains. «Toutes nos informations étaient fausses», déplore-t-il.

Vous allez échouer. Vous allez découvrir qu’il n’est pas aisé de gouverner l’Irak. Vous allez échouer parce que vous ne connaissez pas notre langue, vous ignorez notre histoire et vous ne comprenez pas l’esprit arabe

«Je ne sais pas d’où vous tenez vos renseignement, mais ils sont entièrement faux», s’amuse Saddam Hussein, tout en invalidant un certain nombre d’éléments dont les Etats-Unis semblaient persuadés : des plus anecdotiques, comme le fait que le président irakien ait cessé de manger de la viande et de fumer (ce qui s’est révélé être faux), jusqu’aux plus sérieux, en ce qui concerne notamment la possession présumée d’armes de destruction massive. «Utiliser des armes chimiques contre nos voisins ? Nous n’avons jamais eu cette intention. Quel individu en pleine possession de ses moyens ferait une chose pareille ?», s’indigne Saddam Hussein, avant de conclure ironiquement : «Vous avez trouvé un traître pour vous mener jusqu’à moi, mais pas un seul traître pour vous révéler l’emplacement de ces armes ?»

Avec le recul, John Nixon admet que «l’Irak n’était pas un Etat terroriste». Saddam Hussein est le premier étonné de se voir reprocher d’entretenir des liens avec Al-Qaïda et Oussama Ben Laden. Affirmant que George Bush a sciemment menti pour le renverser, Saddam Hussein met en garde les Etats-Unis.

armee-irakienne

«Vous allez échouer. Vous allez découvrir qu’il n’est pas aisé de gouverner l’Irak. Vous allez échouer parce que vous ne connaissez pas notre langue, vous ignorez notre histoire et vous ne comprenez pas l’esprit arabe», lui a confié le Raïs.

En dépit de la brutalité de son régime, seul un homme de poigne tel que lui pouvait tenir un Etat multiethnique comme l’Irak

John Nixon admet rétrospectivement que le président irakien avait partiellement raison et qu’il «aurait dû rester au pouvoir». «En dépit de la brutalité de son régime, seul un homme de poigne tel que lui pouvait tenir un Etat multiethnique comme l’Irak», explique-t-il.

Plus surprenantes sont les conclusions auxquelles il parvient, lorsqu’il évoque le détachement avec lequel Saddam Hussein a gouverné son pays dans les dernières années, de manière presque passive. «Il était tout à fait ignorant de ce qui se passait dans son pays et ne prêtait presque plus attention à ce que faisait son gouvernement», affirme l’ex-agent de la CIA.

Concernant l’imminence de l’attaque américaine, Saddam Hussein ne semblait pas davantage préparé, ni militairement, ni politiquement : «Il n’avait aucune appréciation de l’immensité de l’orage qui approchait», écrit John Nixon.

bombes-irakiennes

Bien au contraire, Saddam Hussein semble avoir cru que son pays et les Etats-Unis se rapprocheraient dans le cadre d’une lutte contre le terrorisme, au lendemain du 11 septembre. «Qui est derrière le 11 septembre ? Des saoudiens. Et le leader ? Un Egyptien. Pourquoi serais-je impliqué ?» demande-t-il à son interrogateur. John Nixon, de son côté, estime que le maintien de Saddam Hussein à la tête de l’Irak aurait permis de conserver la stabilité, et sans doute endigué la progression du terrorisme islamiste au Moyen-Orient.

 

 

 

 

Opération false flag en Irak: « Assaut factice » des Américains sur Mossoul afin de transférer les terroristes de l’État Islamique vers la Syrie

En Irak, l’action de l’armée irakienne et des milices chiites a contribué à faire reculer Daech sur tous les fronts. Mossoul reste pourtant la « capitale » irakienne du califat. Après avoir été plusieurs fois annoncées et toujours différées, les opérations visant à la libération de la ville, semblent imminentes, et, en touts cas, avant la fin de l’année. Bien mieux, cette libération, freinée depuis toujours par les Américains, devient tout à coup urgente : elle doit avoir lieu juste avant les élections présidentielles américaines. Tout le monde, sauf l’Irak, en est d’accord.  Voici pour quoi.

Tous les moyens de transports sont utilisés par les mercenaires de l'État islamique.
Tous les moyens de transports sont utilisés par les mercenaires de l’État islamique.
Mercredi 5 octobre, les milices irakiennes qui se battent sous le drapeau irakien dans la région de Kayara près de Mossoul ont été touchées par une frappe de la coalition internationale dirigée par les États-Unis. 21 combattants ont été tués. Selon le porte-parole des milices, lors du raid, les combattants se battaient contre les terroristes islamistes de Daech, qui ont pu s’enfuir grâce aux actions de la coalition. Quelle coïncidence!
Selon le porte-parole des milices, Thou El-Faqqar Al-Baldawi, ce raid s’est passé en plein jour alors que les milices se battaient contre de petites unités de Daech dirigées par de hauts dirigeants. Les terroristes transportaient des armes de Mossoul au sud de Ninive quand ils été attaqués et encerclés par les milices. Après trois heures d’affrontement, des avions de la coalition ont attaqué les milices qui se battaient sous le drapeau irakien, épargnant les militants de Daech sous leurs drapeaux noirs.
Le drapeau noir de la mort islamique côtoie souvent celui rouge de sang .
Le drapeau noir de la mort islamique côtoie souvent celui rouge de sang .

« Ce combat n’a pas eu lieu dans une forêt, dans une zone difficilement visible. La bataille a eu lieu dans une zone ouverte où on peut clairement distinguer depuis le ciel les parties en présence. Les militants de Daech ont percé l’encerclement et ont réussi à s’échapper avec leurs dirigeants. Les avions qui ont frappé les milices n’ont pas attaqué les militants de Daech fuyant dans leurs Toyotas fournies par l’Amérique», a raconté M. Al-Baldawi.

Selon lui, ce n’est pas la première fois que la coalition attaque les milices populaires. La même chose s’est déjà passée à Tikrit, à Samarra, à Baïji, à Falloujah et dans d’autres villes de la province d’Al-Anbar.

L’attaque de ce mercredi a eu lieu alors même que la milice irakienne coordonne ses actions avec les forces armées américaines déployées dans le sud de Ninive sur la base de Kayara, ces dernières connaissant bien les divisions des milices. Apparemment, cette coordination permet aux Américains et aux autres Occidentaux de protéger efficacement Daech. Comme en Syrie voisine.

Hillary Clinton recouverte d'un tchador...Elle représente le danger no 1 pour la sécurité des nations.
Hillary Clinton recouverte d’un tchador…Elle représente le danger no 1 pour la sécurité des nations.

Obama a les yeux rivés sur Mossoul

Debkafile, site proche des milieux de renseignement de l’armée israélienne, consacre une analyse au « comportement de l’administration américaine en Syrie et en Irak » et conclut qu’Obama  » cherche à tout prix à remporter une victoire sensationnelle contre Daech avant la fin de son mandat ».

« En dépit de l’escalade verbale sans précédent entre les États-Unis et la Russie, l’administration Obama n’a aucun plan précis pour contrer les frappes de Moscou à Alep. Obama a la tête ailleurs au cours des dernières semaines de son mandat »   
Et le site d’ajouter : » En réalité, l’administration US fait semblant de vouloir lancer une attaque à grande échelle à Alep. Elle a abandonné Alep et la Syrie aux russes et elle ne fait que se préparer pour intervenir à Mossoul en Irak; C’est en Irak qu’il veut se rattraper et contrer les sorties particulièrement violentes de Donald Trump« . 
Citant des sources « bien informées » à Washington, Debka poursuit : » Les généraux américains avaient préparé un plan d’attaque contre l’armée syrienne à Alep, un plan de dimensions réduites. Mais Obama n’y a trouvé aucune justification. Il préfère désormais se tourner vers Mossoul où il espère remporter une retentissante victoire contre Daech » .

La vérité va t-elle finir par pousser Obama dehors...avant le dernier jour de sa présidence pourrie par les mensonges?
La vérité va t-elle finir par pousser Obama dehors…avant le dernier jour de sa présidence pourrie par les mensonges?

Le plan machiavélique d’Obama

Pour atteindre cet objectif, le président américain a donc ordonné de préparer une offensive fictive pour reprendre Mossoul. La « libération » de Mossoul par les Américains assurera le triomphe de l’Hilarante à l’élection présidentielle de 2016.

Pour s’assurer de cette victoire, les États-Unis et l’Arabie Saoudite ont conclu un accord avec Daech. 
Ils vont permettre à tous les terroristes et à leurs familles de quitter la ville en emportant armes, esclaves et bagages. Pour s’assurer l’impunité totale, les terroristes seront accompagnés par une partie de la population civile de Mossoul, qui servirait comme bouclier humain en cas d’attaque surprise, venant surtout des Irakiens, qui ne sont pas partie prenante de cette trahison. Après leur arrivée sains et saufs dans leurs fortifications syriennes, les Daéchiens auraient promis de libérer les otages irakiens. 
En effet, selon cet accord, plus de neuf mille terroristes vont quitter Mossoul et passer en Syrie afin de renforcer Daech dans la partie orientale du pays. Ils iraient capturer à nouveau Deir ez-Zor et Palmyre.  

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Après la sortie de l’État Islamique  de Mossoul, la « coalition internationale » lancera ses frappes aériennes sur des cibles imaginaires ou isolées dans Mossoul et aux alentours, tout en évitant toute attaque contre les terroristes.
Les Saoudiens ont accepté de soutenir financièrement l’opération, en payant « les frais de déménagement » aux terroristes. 
Cette opération n’est pas la premère du genre. On se rappelle que :
– les services secrets saoudiens ont fait de même lors de la libération de Fallujah (Irak) en Juin dernier, 
–  les Américains ont évacué les terroristes daéchiens lors de l’offensive kurde sur Raqqa, en mai 2016. 
– Les Américains ont aussi évacué les terroristes daéchiens hors de Ramadi, en décembre 2015, lors de l’offensive irakienne sur cette ville.

Les fameuses petites camionettes Toyota proviennent du ...Département d'État Américain.On disait alors qu'on voulait aider les "forces rebelles modérées" pour renverser le président légitime de la république de Syrie.
Les fameuses petites camionettes Toyota proviennent du …Département d’État Américain.On disait alors qu’on voulait aider les « forces rebelles modérées » pour renverser le président légitime de la république de Syrie.

Les têtes pensantes de la Maison Blanche croient que cet assaut factice sur Mossoul permettra à la Maison Blanche de poursuivre un autre objectif important : discréditer les efforts de Moscou en Syrie tout en sapant le pouvoir de Bachar al-Assad.

Les stratèges de la Maison Blanche croient que ce scénario va conduire le gouvernement syrien à la catastrophe et faire que la Russie va quitter le Moyen-Orient.

Le drapeau noir et sombre de l'État Islamique.
Le drapeau noir et sombre de l’État Islamique.

Ils croient encore et toujours au Père Noël.

L'un des pires dangers que l'on peut retrouver en occident chrétien est la présence de politiciens néolibéraux qui croient que toutes les formes de  religions ont des droits plus élevés que les droits nationaux...seul le mondialisme a le droit de parole. Justin Trudeau,Philippe Couillard  et François Hollande en sont les grands exemples de cette affirmation.
L’un des pires dangers que l’on peut retrouver en occident chrétien est la présence de politiciens néolibéraux qui croient que toutes les formes de religions ont des droits plus élevés que les droits nationaux…seul le mondialisme a le droit de parole. Justin Trudeau,Philippe Couillard et François Hollande en sont les grands exemples de cette affirmation.
Article d’Hannibal Genséric

Nouvel Ordre Mondial: L’État Islamique supprime les enfants handicapés

 

Le groupe Etat islamique a émis une fatwa donnant l’autorisation à ses militants d’exécuter les enfants atteints de trisomie ou d’un handicap, rapporte le «Daily Mail». Plus de 38 enfants âgés entre une semaine et 3 mois et atteints de malformations ou de trisomie ont déjà été tués par injection létale ou par étouffement, assure le groupe activiste irakien Mosul Eye.

Vidéo à l’appui, l’organisation explique que les exécutions sont survenues dans les bastions de l’EI en Syrie et à Mossoul (nord de l’Irak). La plupart des bambins tués étaient le fruit d’une union entre des combattants étrangers et des femmes syriennes ou irakiennes. 

Mosul Eye ajoute que cette fatwa a été émise par un juge du groupe EI faisant appliquer la charia. Un Saoudien nommé Abu Said Aljazrawi.

Nouvel Ordre Mondial:la Russie, s’apprète à envoyer ses forces terrestres contre ISIS

Malgré les  démentis formels de Moscou, les troupes aéroportées russes se préparent à débarquer en Syrie pour combattre les forces de l’Etat islamique. L’attaque surprise des forces ISIS sur le quartier Al-Qadam au sud de Damas le 31 août où ils ont pris des positions clefs, a fait d’ISIS le groupe anti-Assad le plus proche qui n’ait jamais été de la capitale syrienne. C’est pourquoi cet évènement a accéléré l’intervention militaire russe.

L'armée russe débarque.
L’armée russe débarque.

 

La Russie court-circuite l’ US Central Command

Les sources militaires de Debkafile rapportent que les discussions de la Commission militaire russo-syrienne ont accéléré au cours des derniers jours car Moscou veut coordonner son intervention. Nos sources de renseignement indiquent que les plans stratégiques russes sont avancés alors que la centrale de commande de l’avant-poste américain en Jordanie (CCFJ) est en pleine paralysie suite aux attaques des rebelles syriens dans le sud, y compris sur les positions du Golan tenu par Israël.

 

La plupart des opérations de la CCFJ ont été interrompues en raison d’un débat qui a éclaté entre les rebelles syriens et l’US Central Command, la CENTCOM. L’armée américaine est opposée à tous rebelles qui coopèrent avec des groupes d’Al-Qaeda, comme le Front Al-Nusra, alors que les rebelles affirment que cela ne peut pas être évitée si l’on veut vaincre les forces de Bachar al-Assad et du Hezbollah.
La paralysie de la CCFJ a ainsi stimulé les Russes a établir leur «commandement central» sans aucune difficulté.

Les avions russes de dernière génération y seront aussi.
Les avions russes de dernière génération y seront aussi.


Les quatre étapes militaires russes en Syrie:

1. Le 18 août dernier, six Mikoyan-Gourevitch MiG-31 Foxhound qui sont des avions d’interception russe dernière version ont atterri sur la base aérienne de Mezze tenue par les Forces aériennes syriennes, c’est la section militaire de l’aéroport international de Damas. Après que les avions d’attaque aient débarqué, ils ont été immédiatement suivis par les avions-cargos géants Antonov AN-124 Condor  qui les ont ravitaillés avec 1 000 missiles antichars 9M133 Kornet.

Intérêt statégique: Ces jets de combat avancés sont destinés à servir de support aérien pour les unités terrestres russes qui arrivent sur le sol syrien.

 

2. Moscou a conclu un accord avec Washington pour qu’elle enlève ses batteries de missiles MIM-104 Patriot postées en Turquie par l’OTAN. Cette suppression a été réalisée progressivement durant tout le mois d’août.

Intérêt statégique: empêcher la possibilité que des missiles Patriot  frappent les chasseurs russes effectuant des opérations dans l’espace aérien syrien.

3. Au cours de la dernière semaine d’août, un grand nombre de troupes russes, pour la plupart des équipes logistiques sont arrivées en Syrie. Ces troupes ont été vues à Damas et dans le district de la province de Lattaquié, leur travail est de préparer le terrain pour l’arrivée des unités de combat.

Intérêt statégique: Les forces russes sont en train de construire une base militaire.

4. Nos sources de renseignement indiquent aussi que Moscou a commencé à fournir à Damas toutes leurs compétences en matière d’imagerie satellite.

Intérêt statégique: visualiser la situation sur le terrain sur les différents fronts syriens, une étapespréparatoire pour l’introduction des forces terrestres.


Moscou n’est certainement pas prêt à mettre en danger le fief du président Bachar al-Assad  à Damas car il le considère comme une ligne rouge qui ne peut être franchie.
Si la Russie intervient militairement de cette façon, la Russie sera le premier pays extérieur au Moyen-Orient qui enverra des forces terrestres dans la guerre civile syrienne.

 

 

Le président Vladimir Poutine et ses soldats.
Le président Vladimir Poutine et ses soldats.

 

 

 

 

 

Histoire de la conspiration sur l’évolution de l’humanité .partie 1

Effet monotonique du froid sur le cerveau humain
Effet monotonique du froid sur le cerveau humain

Selon  cette conspiration,l’ histoire de la manipulation génétique de l’espèce humaine par des êtres extraterrestres et extra-dimensionnels a commencé autour de 5000 av.

Ces êtres avancés qui à travers l’histoire ont visité la Terre, ont été pris pour les deux antagonistes:  Anges et Démons… par ceux qui les ont vus . Selon les textes anciens non frelatés du monde entier leur première apparition aurait eu lieu là où l’Euphrate entre dans le golfe Persique . La raison étant que dans ce domaine caché dans l’eau de mer se trouve  de vastes concentrations de ce qu’on appelle l’or monoatomique .

Les crânes allongés découverts depuis plusieurs années,seraient d'origine Annunaki (extraterrestre).
Les crânes allongés découverts depuis plusieurs années,seraient d’origine Annunaki (extraterrestre).

Les visiteurs ont été appelés » les Annunaki « qui, selon tablettes cunéiformes sumériens , un peuple qui vivait dans la partie sud-est de ce qui est maintenant connu comme l’Irak , où le fleuve Euphrate se jette dans  le golfe Persique,signifie littéralement ceux qui descendus  du ciel  sur  la terre  . Les visiteurs sont venus sur  la Terre  afin d’exploiter l’or monotomique (ou monoatomique) afin de  reconstituer les réserves épuisées sur leur propre planète . La substance nommée « Le Pain de la Présence Divine « par les pharaons de l’Egypte antique aurait  été élaborée  pour améliorer et réparer toutes les fonctions corporelles , faire avancer l’intelligence et arrêter le vieillissement  du  corps humain. Loin d’être un mythe archaïque en termes scientifiques modernes ,l’or monoatomique est connu comme un métal supraconducteur.

LA SUPRACONDUCTIVITÉ ET SON INFLUENCE

La supraconductivité permet à l’ efficacité optimale de la retransmission  de l’énergie . Signifie l’apport d’énergie maximal devient la sortie d’énergie maximum , il n’y a aucune perte d’énergie due à la dissipation de la chaleur . En appliquant ce principe à la machine molle électro- magnétique ,le cerveau humain  qui est une énorme machine électrique ,l’ or monoatomique augmente la productivité intellectuelle par super- charge des voies nerveuses afin qu’elles agissent comme une autoroute d’entraînement quantique . Cela signifie que tous vos sens reçoivent des intrants de manière optimale et les entrées peuvent être traitées de façon optimale , en activant les parties dormantes de votre cerveau,donnant une  amélioration de la mémoire , la résolution de problèmes , la capacité psychique et l’augmentation de la perception cognitive . De la même manière que nous venons de le décrire,l’uranium 235 est aussi produite . Les éléments monoatomiques sont séparés de leurs contre- parties multi- atomiques , en les traitant de la même  manière  que l’or , le plus souvent en paires de 8 atomes de carbone par molécule , qui peuvent être divisé en particules libres.

L'arbre de vie Selon les Sumériens
L’arbre de vie Selon les Sumériens

Comme décrit sur ​​les tablettes d’argile des Sumériens :

Pour l’utilisation comme esclaves intelligents ( les Annunaki auraient  enlevé une côte  d’un humain  qui contient la moelle osseuse et une source idéale pour l’extraction d’ADN) .

Ainsi,dans la Bible ,Dieu (Yahvé) extrait une côte d’Adam ,le premier homme afin de créer Ève,sa future compagne.

Tout est écrit.

La conception moderne de l'hélice de l'ADN : Les éléments constitutifs de la vie
La conception moderne de l’hélice de l’ADN : Les éléments constitutifs de la vie

Les  Annunaki  ont modifié l’ ADN des Humains de la Terre ,pour une meilleure manipulation des humains et ont inséré un  implant dans une femme qui a donné naissance à des enfants qui ont été génétiquement modifiés par procuration . Ces humains sont devenus les ouvriers des  Annunaki et traités l’or monoatomique  pour eux,les dieux . Un échange d’informations a eu lieu entre les deux races dans laquelle une élite  de la science et de la connaissance a été  mise en place pour établir  la construction de la civilisation ,le développement de  la culture et de  l’astronomie terrienne . Mais tout cela  ne fut donnée qu’à une élite afin que les masses puissent être mieux contrôlées . Ensuite, les Annunaki disparurent de l’histoire  humaine .

Par conséquent, le symbole universel de l’ADN humain ressemble au  mot YAH qui en hébreu se  traduit par DIEU .

Arbre de vie Kabbalistique
Arbre de vie Kabbalistique

Pourtant ,certains des êtres humains  ont reçu des instructions sur la construction d’ une partie de la technologie de pointe des   Annunaki . Ceci est même très clairement écrit:  selon certains chercheurs ,c’était le peuple juif qui aurait  construit un super- conducteur portable ,plus communément appelé par les historiens et les théologiens ,comme étant  l’Arche  d’alliance ( Traduction libre du sumérien :arc en arc – lumière ) .Il s’agirait d’une technologie venant de l’Egypte . Avant de les imiter, l’arche  venait des terres des Sumériens , des Babyloniens et des Tibétains . Cet arche  a été construit  pour contenir des pouvoirs immenses tels que la lévitation et la capacité de produire et de livrer le feu des étoiles, attribué à la stabilisation de des éléments monotomiques (…ou monoatomiques)  qui y sont contenus . Ceux qui étaient au courant de cette science  et de son fonctionnement, se sont vu  accorder une  longue et prospère vie, comme Mathusalem qui aurait vécu jusqu’à 950 ans.
La science derrière les éléments de l’Arche , techniquement connu comme ORMES  (Orbitale Rearranged Monoatomiques) sont des éléments  détenus par le public et sont exonérés de la « Freedom of Information Act » américaine  comme une question de sécurité nationale  US. Connaître les secrets réels de ORMEs ,se prête à la manipulation de ces éléments et à un grand pouvoir à la nation qui l’exerce . Ces pouvoirs sont censés inclure le contrôle de l’ anti- gravité , l’énergie libre , le calcul quantique , la télépathie , la télé- portation , la visualisation à distance et de voir à la fois l’avenir et le passé. La technologie ne peut être utilisée par l’accès direct et la manipulation de la conscience , donc la force de l’objet et la clarté d’esprit sont nécessaires de peur que la technologie reste inerte et sans effet .
Le mot ORME est le même que le mot hébreu qui signifie : «l’Arbre de Vie  » .
ORMEs se compose  de huit métaux connus comme la famille du platine qui comprend : le ruthénium, le rhodium , le palladium et l’argent, ainsi que de l’osmium , de l’iridium , du platine et de l’or ou du groupe du platine lourd . La gestation de ces métaux sous forme monoatomique devrait prolonger la vie et d’améliorer et de réparer les fonctions corporelles . En suivant ce qui est appelé un régime à large spectre , vous pouvez fournir à votre corps des éléments monoatomiques supra conducteurs, en insérant dans votre alimentation des aliments  tels que les raisins, les carottes , les fruits rouges et bleu-foncé et les légumes et les poissons .

Ce que nous mangeons fait aussi parti d’un héritage génétique ancien.

Sources: les innombrables travaux menés par Zecharia Sitchin