Moyen Orient:Le chaos des alliances et des mésalliances politiques

« Vers l’Orient compliqué, je volais avec des idées simples ». Cette phrase prémonitoire du général De Gaulle, quoique quelque peu sortie de son contexte, résume à merveille la complexité de la scène moyen-orientale. C’est particulièrement vrai aujourd’hui, alors que nous assistons à l’émergence d’un casse-tête d’alliances et de contre-alliances où les acteurs eux-mêmes semblent parfois se perdre…

Ce blog a souvent ironisé sur les béantes contradictions de la politique américaine au Moyen-Orient. Les YPG syriens étaient des alliés mais leur alter ego du PKK, à quelques kilomètres de l’autre côté de la frontière, était « terroriste ». Pour une fois, Kurdes et Turcs devaient rire ensemble… très jaune. Et ne parlons même pas du soutien de la CIA à des groupes tirant sur les soldats envoyés par le Pentagone !

Soldats américains en Syrie…l’an passé.

Si l’empire US a souvent porté l’incohérence à son paroxysme, il n’est toutefois pas le seul. Nous allons voir, dans ce petit tour d’horizon schématique, une kyrielle de discordances chez les protagonistes du jeu dans la région.

Pourquoi l’Iran soutient-il en Libye ce qu’il combat en Syrie, pourquoi les Saoudiens arment-ils au Yémen ce qu’ils désarment en Égypte, comment diable le Hamas se retrouve-t-il dans le même camp qu’Israël sur le conflit syrien depuis dix ans ? Que penser des œillades émiraties envers les Iraniens malgré la proximité de ceux-ci avec le Qatar, ennemi juré d’Abu Dhabi ? Une proximité qui n’a d’ailleurs pas empêché l’Iran et le Qatar de s’affronter en Syrie. Syrie où Moscou et Téhéran sont alliés alors qu’ils se retrouvent dans des camps opposés en Libye. Faites vos jeux, rien ne va plus…

Avant de commencer, dressons un rapide tableau synoptique, forcément sommaire, des trois grandes oppositions qui traversent le Moyen-Orient. Ce sont en effet elles qui, ne se recoupant pas toujours, expliquent en partie le maelstrom.

  • Courant nassérien vs courant religieux

Pendant les décennies d’après-guerre, c’était la grande opposition qui divisait le Moyen-Orient. D’un côté, un bloc nationaliste, socialisant et laïc, férocement anti-sioniste, comprenant l’Égypte de Nasser, le Baath en Irak et en Syrie ou encore l’OLP d’Arafat. De l’autre, la tendance religieuse regroupée autour des pétromonarchies du Golfe.

La Guerre froide est évidemment venue mettre son grain de sel. Par proximité idéologique, l’URSS a soutenu le courant nassérien tandis que, par contrecoup, les États-Unis ont logiquement embrassé le courant religieux, d’autant plus qu’ils y avaient encore d’autres intérêts (pétrole, pétrodollar)

La chute de l’URSS a laissé le premier orphelin, même si celui-ci n’avait de toute façon jamais rien fait pour se placer dans une position confortable : conflit « fratricide » perpétuel entre la Syrie d’Assad père et l’Irak de Saddam, expulsion des 20.000 (!) conseillers soviétiques d’Égypte en 1972 etc.

Aujourd’hui, ce qui reste du nassérisme se compte sur les doigts de la main : l’Égypte des militaires (mais qui a complètement abandonné son anti-sionisme), la Syrie d’Assad fils et, d’une certaine façon, le général Haftar en Libye. C’est peu. Cependant, ce courant déclinant a été rejoint, au moins partiellement, par un autre, qui a totalement changé la donne en 1979…

  • Chiisme vs sunnisme

Sous l’éteignoir pendant des siècles, oppressé par la majorité sunnite, le chiisme a explosé avec la Révolution iranienne. Partout au Moyen-Orient, exaltées par le militantisme khomeyniste, les communautés chiites relevaient la tête, provoquant la panique, aussi bien du courant religieux sunnite (pétromonarchies) que d’une partie du courant nassérien qui se scinde alors.

Craignant une contagion révolutionnaire dans sa population majoritairement chiite, Saddam, fortement encouragé et financé par les pétromonarchies, déclenche en effet la guerre contre son voisin. Il reçoit l’appui diplomatique de l’Egypte tandis que la Syrie se range du côté des Iraniens. Soutenus à la fois par Bagdad et par Téhéran, les Palestiniens sont quant à eux un peu perdus…

Pour Israël, l’ennemi n’est plus le courant nassérien, qui s’est irrémédiablement affaibli au fil du temps, mais le nouvel « axe de la résistance » mis sur pied par les Iraniens : ce fameux arc chiite dont on a beaucoup parlé concernant la guerre en Syrie.

Nassérisme éclaté, partiellement remplacé par le chiisme qui s’est allié à certaines de ses composantes et en a combattu d’autres ; on pourrait croire que seul le courant religieux sunnite est sorti indemne des soubresauts moyen-orientaux. Il n’en est rien.

  • Frères musulmans vs wahhabisme

Nous n’allons pas entrer ici dans les innombrables querelles théologiques au sein de l’islam sunnite mais nous attacher à la principale opposition qui le traverse. Contrairement à une idée reçue, l’Arabie saoudite n’a pas toujours été l’ennemie des Frères Musulmans (appelons-les « FM » car le nom reviendra souvent). Durant des décennies, ces deux-là avaient un commun adversaire – le laïc Nasser – et Riyad accueille dans les années 60 des milliers de membres de la confrérie, souvent des enseignants chargés d’éduquer la population largement analphabète du pays [1].

Les choses commencent à déraper lors de la guerre du Golfe (1990-1991), lorsque ceux-ci s’opposent au déploiement des troupes américaines sur le sol saoudien. Elles s’enveniment définitivement avec le « printemps arabe » de 2011 qui amène les FM au pouvoir en Égypte, en Tunisie, en Libye et ailleurs. Depuis, le Saoud s’oppose résolument à la confrérie, d’autant plus que le sultan Erdogan, concurrent pour le commandement officieux des FM de la Oumma.

Ces considérations étant posées, voyons comment ces grilles de lecture se traduisent sur le terrain.

Commençons justement par l’Arabie saoudite. Nous avons vu plus haut qu’elle était à la fois anti-nassérienne, anti-chiite et anti-frériste. Diantre ! Quand un conflit éclate entre deux de ces composantes, qui soutient-elle ? Les faits présents ou passés nous permettent d’établir une typologie assez sûre. Les ennemis du Saoud sont dans l’ordre :

  1. les chiites et l’Iran
  2. les Frères musulmans
  3. les nassériens

Le tiercé gagnant de Riyad sera immanquablement 3 contre 1 (guerre Iran-Irak), 3 contre 2 (Égypte, Libye) ou 2 contre 1 (Syrie, Yémen).

Atterrés par la prise de pouvoir FM en Égypte, les Saoudiens y soutiennent le coup d’Etat militaire, pourtant laïc, en 2013. Et quand la sanglante répression pousse le Département d’Etat américain à interrompre son aide financière au Caire, ils sautent comme un diable de leur boîte pour offrir leurs pétrodollars.

Le général Haftar

En Libye, la guerre actuelle oppose le Gouvernement d’Entente Nationale (GNA en anglais) tendance FM à l’Armée Nationale Libyenne du général Haftar, nous y reviendrons. Sans surprise, l’Arabie saoudite soutient là aussi, avec armes et bagages, le général « nassérien » contre le gouvernement frériste.

Mais qu’entrent en scène l’Iran ou les chiites, et les Frères musulmans deviennent soudain beaucoup plus acceptables ! C’était évidemment le cas en Syrie quand ils combattaient Assad, allié de Téhéran. C’est également le cas au Yémen où le Saoud ravale sa fierté et épaule la milice al-Islah, principale force sur le terrain face aux Houthis chiites.

Si l’Arabie saoudite suit donc une stratégie à géométrie variable, graduelle en l’occurrence, deux poids lourds du Moyen-Orient conservent quant à eux une ligne directrice tout à fait cohérente, diamétralement opposée d’ailleurs. L’Égypte des militaires s’oppose universellement aux Frères musulmans, la Turquie les soutient partout.

Nous avons subrepticement évoqué le point chaud actuel, à savoir la Libye. La guerre y fait rage à peu près sans interruption depuis que les petits génies de l’OTAN se sont lancés dans un de leurs catastrophiques « regime change » en 2011. Si le général Haftar vient d’échouer aux portes de Tripoli à cause de la massive intervention turque, il contrôle encore la grande majorité du territoire (en rose).

Carte des territoires contrôlés au 26 juin 2020
Il est soutenu par tous les Etats qui, pour des raisons diverses, sont ennemis des Frères musulmans : Egypte, Arabie saoudite, Emirats Arabes Unis, Russie et, par ailleurs, la France. Le Caire, qui craint comme la peste la confrérie et ne veut pas voir un gouvernement qui en est issu à ses frontières, est même prêt à intervenir militairement pour aider Haftar.
Le GNA (en bleu sur la carte) est naturellement défendu par les pays proches des FM, au premier rang desquels la Turquie et le Qatar. Surprise (qui n’en est peut-être pas une finalement), il vient également de recevoir le soutien de l’Iran ! Echange de bons procédés – je me range de ton côté en Libye, tu continues à t’opposer aux sanctions US – lors de la visite du MAE iranien à Ankara ? Sans doute, mais il y a peut-être plus…
Le rapport entre Téhéran et les Frères musulmans – les « meilleurs ennemis du monde » – a toujours été compliqué. Peu de points communs entre le chef de file du monde chiite et le mouvement islamiste sunnite, sinon les points de friction. En Syrie, les milices iraniennes se battent depuis des années contre les groupes d’obédience frériste ; au Yémen, les Houthis font face à al-Islah etc.
Et pourtant, dans les hautes sphères surplombant les combats sur le terrain, les choses sont soudain beaucoup plus nuancées, car entrent en jeu les intérêts stratégiques profonds des puissances. Ainsi, pour Téhéran, la rupture de juin 2017 au sein du Conseil de Coopération du Golfe a été une véritable bénédiction :
Les Perses la jouent très fine, faisant d’une pierre deux coups. Les demandes qataries en nourriture et eau potable ont été acceptées et même devancées puisque l’Iran offre maintenant l’utilisation de trois ports pour le ravitaillement de son voisin. En intensifiant ses relations avec Doha, il espère faire exploser le Conseil de Coopération du Golfe, le biais par lequel l’axe Washington-Riyad-Tel Aviv fait pression sur Téhéran. Et en échange de l’aide de première nécessité fournie actuellement, on imagine qu’une condition a été posée : le retrait du soutien qatari aux rebelles modérément modérés de Syrie.
Depuis, les rapports sont restés excellents avec l’émirat gazier et l’Iran, engagé dans un bras de fer titanesque, semble décidé à jouer la carte turco-qatarie frériste contre la triade américano-saoudo-israélienne qui le harcèle. L’ennemi de mon ennemi est théoriquement mon ami, même si je le combats sur le terrain dans plusieurs guerres…
Ceci pourrait expliquer le surprenant soutien iranien au GNA libyen, qui place Téhéran complètement en porte-à-faux vis-à-vis de Moscou et même de son allié syrien ! Rappelons en effet qu’Assad et Haftar, mus par une commune détestation du sultan, ont noué des relations diplomatiques, le second allant jusqu’à ouvrir une ambassade à Damas. On donnerait cher pour connaître la réaction d’Assad à la récente prise de position iranienne.
Et que penser des Houthis qui, sans tout à fait se ranger derrière le GNA, s’opposent à l’intervention militaire égyptienne en Libye alors qu’eux-mêmes combattent depuis des années des groupes FM ? Est-ce par simple suivisme de la ligne iranienne ? A ce titre, il sera très intéressant de voir la réaction du Hezbollah qui, pour l’instant, reste muet sur la question. S’il prend parti, il se mettra à dos l’un de ses deux protecteurs, Damas ou Téhéran. Orient compliqué, décidément…
Si les contorsions d’une partie de l’axe chiite ont au moins l’excuse de viser à un objectif supérieur – la défense de l’Iran -, il n’en est rien pour le Hamas palestinien, dont la trahison « gratuite » reste dans toutes les mémoires. Soutenu à bout de bras pendant des décennies par l’Iran et la Syrie, il retourne sans vergogne sa veste en 2012 et prend parti pour les rebelles modérément modérés en lutte contre Assad, partageant même avec eux son savoir-faire en matière de tunnels et de roquettes.
A la base de cette décision stratégiquement infantile et suicidaire (l’Iran diminuera d’ailleurs fortement son aide financière), la religion. Le Hamas est frériste, comme la majorité de la rébellion syrienne au début de la guerre, Ahrar al-Cham par exemple. Certes, on peut se demander ce que les Frères musulmans ont jamais fait concrètement pour la cause palestinienne mais les dirigeants du mouvement gazaoui ne se posent apparemment pas la question. Elle finit cependant par revenir en force et, retournant une fois de plus son keffieh, le Hamas reprend bouche avec l’Iran qui, à cette occasion, se montre bien peu rancunier.
Ce qui nous amène indirectement à la Turquie. La politique néo-ottomane d’Ankara n’est plus à prouver et a maintes fois été décrite, notamment sur ce blog. Pour accomplir ses rêves sultanesques, elle s’appuie presque exclusivement sur les Frères musulmans, tant par proximité idéologique – l’AKP d’Erdogan est peu ou prou FM – que par pragmatisme – la confrérie est présente sur tous les théâtres où opèrent les Turcs, Syrie et Libye principalement.
Dans le dossier palestinien par contre, le sultan fait moins le fier, et c’est la seule incohérence de sa vision globalement homogène. S’il grogne de temps en temps, par exemple quand Israël lui coule un bateau (épisode de la flottille à destination de Gaza), il n’a jamais été au-delà des belles paroles et n’a aucune intention de rompre avec Tel Aviv tout comme, dans un autre registre, il est hors de question pour lui de quitter l’OTAN.

 

Terminons sur un pays dont on parle moins, mais qui ne jette pourtant pas sa part au chien  dans le grand concours de dissonance moyen-orientale. Les Émirats Arabes Unis suivent fidèlement la ligne saoudienne concernant l’organisation frériste qu’ils ont en horreur. Ils sont en pointe dans l’aide à Haftar en Libye, ont rompu avec le Qatar lors du grand esclandre de 2017 et s’opposent généralement partout où ils le peuvent à la Turquie.
Comme Riyad, ils ont cependant mis de l’eau dans leur chicha au Yémen, où ils soutiennent eux aussi les milices FM contre les Houthis. Mais le plus déroutant est que, contrairement cette fois au Saoud, qui suit avec un fanatisme épatant son obsession religieuse, les EAU n’ont rien contre l’axe chiite. Preuve en sont les très bonnes relations qu’ils entretiennent avec Téhéran (dont ils bombardent pourtant les protégés yéménites), accointance encore renforcée par la pandémie covidienne. Dans une région habituée à toutes les contorsions, le grand écart émirati remporte sans doute la palme.
Et si après tout cela, chers lecteurs, le jeu moyen-oriental vous paraît encore quelque peu obscur, voici une carte qui vous permettra de comprendre … ou pas.

Un dernier mot sur la Russie. Il a été relevé, notamment dans le livre de votre serviteur, que Moscou réussissait le tour de force de s’entendre bien avec à peu près tout le monde et, sans renier ses alliances, de ne fermer la porte à personne. Quand on voit le maelstrom moyen-oriental, ses innombrables contradictions et ses retournements incessants, c’est peut-être en effet l’approche la plus sage…

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Le général Haftar,un ancien actif de la CIA est devenu un casse-tête américain en Libye

Avril 2019,dans un renversement brutal de la politique américaine de longue date qui reconnaît uniquement le gouvernement d’accord national (GNA) soutenu par l’ONU à Tripoli comme l’autorité légitime sur la Libye, la Maison Blanche a déclaré  que le président Trump avait parlé par téléphone  au commandant basé à Benghazi, Khalifa Haftar. , s’engageant à soutenir le général et son armée nationale libyenne (LNA) alors qu’elle assiège la capitale.

Le communiqué de la Maison Blanche a déclaré que Trump « reconnaissait le rôle important du maréchal Haftar dans la lutte contre le terrorisme et la sécurisation des ressources pétrolières de la Libye, et les deux ont discuté d’une vision commune de la transition de la Libye vers un système politique démocratique et stable. »

Khalifa Haftar, centre, chef de l’armée nationale libyenne

 

Haftar, qui a fait la connaissance de Kadhafi en tant que jeune officier militaire, semblait être un fidèle partisan du chef libyen jusqu’en 1987, date à laquelle lui et 400 autres soldats ont été capturés par les forces adverses au Tchad voisin, où il a servi comme commandant en Libye. la guerre du chef là-bas.

Haftar s’est retourné contre son ancien patron lorsque Kadhafi a répudié l’échec de la campagne au Tchad, avec les prisonniers de guerre et Hifter lui-même. Hifter a rejoint le Front national pour le salut de la Libye (NFSL), un groupe de dissidents libyens soutenu par les États-Unis qui prévoyait de renverser Kadhafi.

La Maison Blanche du président Ronald Reagan avait précédemment approuvé une opération secrète, nommée « Tulip », qui visait à canaliser le soutien aux groupes dissidents dans le but de renverser le leader libyen. Kadhafi avait des liens avec des groupes terroristes et était allié à l’Union soviétique. Reagan l’a qualifié de «chien fou du Moyen-Orient».

C’est au Tchad que les hommes de Haftar ont établi des liens avec des agents des services de renseignement américains, selon plusieurs anciens responsables impliqués dans l’opération en Libye.

Selon un ancien responsable, les soldats libyens sous Haftar ont été formés par du personnel de la Division des activités spéciales de la CIA, la branche paramilitaire de l’agence. La CIA a refusé de commenter.

Récemment,des mercenaires venant d’agences du Qatar ont été filmé en Lybie.

 

 

 

La Russie tente de geler le conflit en Libye

La guerre en Libye s’est transformé en conflit par procuration entre de nombreux acteurs internationaux.

 

Le gouvernement d’entente nationale (GNA), dirigé par le Premier ministre Fayez al-Sarraj, est soutenu par les Frères musulmans. Son principal sponsor politique et financier est le Qatar et son principal allié militaire est la Turquie. L’Italie soutient également Sarraj. Le GNA contrôle la capitale, Tripoli, et Misrata dans l’ouest du pays.

 

Du côté opposé, on trouve l’ancien agent de la CIA, Khalifa Haftar, et son armée nationale libyenne (ANL). Il contrôle l’est de la Libye et la plupart des ressources pétrolières. Il est soutenu par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Grèce et la France.

 

La Russie se voit dans le conflit en tant qu’arbitre.

Elle veut rétablir ses intérêts commerciaux à long terme en Libye, qui s’étaient volatilisés après la guerre que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont menée contre ce pays en 2011. Elle a vendu des armes à Haftar via les EAU et a permis à des mercenaires russes de prendre part à la guerre aux côtés de l’ANL d’Haftar.

 

Depuis avril 2019, Haftar tente de prendre Tripoli et d’expulser le GNA. Le combat a été plus difficile et a duré beaucoup plus longtemps qu’il ne s’y attendait. La situation économique des deux camps est imbriquée et complique la guerre. En janvier, la Russie a demandé à Haftar d’arrêter de se battre. Elle a tenu une conférence de paix à Moscou et l’a exhorté à signer un accord de cessez-le-feu :

Après des heures de négociations négociées par la Russie et la Turquie, Haftar a demandé, lundi soir, d’avoir jusqu’à mardi matin pour étudier l’accord déjà signé par Fayez al-Sarraj, le chef du gouvernement d’entente nationale (GNA) reconnu par les Nations unies.

 

Mais Haftar, dont les forces avaient lancé, en avril, une offensive pour s’emparer de Tripoli, la base du GNA, a quitté Moscou sans signer l’accord, a déclaré mardi le ministère russe des affaires étrangères, selon l’agence de presse TASS.

Cette attitude envers la Russie ne sera pas oubliée.

 

Avant la réunion de Moscou, la Turquie avait promis un soutien militaire au GNA. En échange, le GNA avait signé un accord avec la Turquie pour délimiter une frontière maritime entre la Turquie et la Libye. Cette frontière convenue ignore les droits de la Grèce et de Chypre et ne sera jamais reconnue au niveau international. Mais la Turquie utilise l’accord pour revendiquer des droits étendus en Méditerranée orientale.

 

Une semaine après l’échec des pourparlers à Moscou, une autre tentative de négociation d’un cessez-le-feu, cette fois à Berlin, a également échoué. L’Allemagne a de nouveau tenté de faire entendre raison à Haftar, lors d’une visite en mars, mais sans résultat.

 

Pendant ce temps, le conflit s’intensifie grâce aux fournitures turques de drones et d’artillerie et aux 13 000 « rebelles syriens » engagés par la Turquie comme mercenaires pour renforcer le GNA. L’opération turque est financée par le Qatar, qui est également intervenu récemment pour arrêter la chute de la livre turque.

systèmes de défense aérienne Pantsir

Les Émirats arabes unis ont contré cette poussée turque en fournissant à la LNA davantage de systèmes de défense aérienne Pantsir, de fabrication russe, et en recrutant davantage de mercenaires en Russie et au Soudan. Face aux Pantsirs, les drones turcs sont tombés par douzaines, les lignes de front ne bougeant pratiquement pas.

 

Le 17 mai, la donne a changé. Les drones turcs ont soudainement pu frapper les Pantsirs et, en une journée, en ont détruit au moins six. Au même moment, les mercenaires russes ont reçu l’ordre de se retirer du front. Laissées sans protection, les forces de Haftar ont pour la plupart fui et le GNA a avancé. Ces cartes montrent les changements récents.

8 mai 2020

 

8 juin 2020

 

 

 

Il n’y a pas eu de fuites sur ce qui s’est passé en coulisses. Il est possible que la Turquie ait réussi à brouiller électroniquement le radar des Pantsirs afin que ses drones puissent les éliminer. Mais si elle avait cette capacité, pourquoi ne l’a-t-elle pas utilisée plus tôt ?

 

Certains pensent que la Russie en a assez des entourloupes d’Haftar et juge nécessaire de le punir pour son attitude.

 

Mais la Russie ne l’a pas complètement laissé tomber. Peu après l’attaque sur les Pantsirs, des avions de chasse russes ont été acheminés de Russie en Libye et installés sur la base aérienne d’Al-Jufra, qui est sous le contrôle de l’ALN. Ils permettront à la Russie de maintenir un équilibre entre les parties en conflit.

 

Jusqu’à présent, ce plan a bien fonctionné. Samedi, l’Égypte a annoncé un nouveau cessez-le-feu en Libye à partir d’aujourd’hui et Haftar l’a finalement accepté :

Haftar et Aguila Saleh, présidente de la Chambre des représentants basée à Tobrouk, ont participé à la conférence du Caire. Plusieurs diplomates étrangers, dont des envoyés américains, russes, français et italiens, y ont assisté. Haftar et Saleh sont des alliés.

 

Il n’y avait pas de représentants de l’administration de Tripoli, ni de ses principaux bailleurs de fonds, la Turquie et le Qatar, à la conférence.

Vendredi, le GNA a pris Tarhuna, une ville située à 60 kms au sud-est de Tripoli. Les « rebelles syriens » ont immédiatement commencé à piller la ville. Cette action a mis fin au siège de Tripoli qu’Haftar tenait depuis 15 mois.

 

La Russie aurait dit à la GNA de ne pas se déplacer plus à l’est et de respecter le cessez-le-feu qu’Haftar avait accepté. Elle veut qu’Haftar garde le contrôle de l’Est. La Russie a tracé une ligne traversant Syrte, une ville qui couvre les champs pétrolifères de l’Est, ce qui va également créer des profits pour Moscou. La base aérienne d’Al-Jufra, à 220 kms au sud de Syrte, est également censée rester sous le contrôle d’Haftar. Le pays serait ainsi divisé en deux moitiés.

 

 

 

Mais la victoire du 17 mai est montée à la tête du GNA et de ses commanditaires et leur a donné de mauvaises idées. La Turquie a soudainement changé ses objectifs de guerre :

À la lumière des derniers développements, la Turquie a identifié un nouvel objectif en Libye. Ankara ne cherche plus à forcer Haftar à participer aux négociations diplomatiques. La nouvelle mission consiste plutôt à mettre hors d’état de nuire cette source d’instabilité, cet homme qui assassine la population civile de Tripoli.

Le gouvernement du GNA a posé une condition à son acceptation du cessez-le-feu :

Le ministre de l’intérieur basé à Tripoli, Fathi Bashagha, a déclaré que la partie gouvernementale n’engagerait des discussions politiques qu’après avoir pris Syrte et la base aérienne intérieure de la Jufra, au sud. Le mois dernier, les États-Unis ont accusé la Russie de déployer au moins 14 avions sur la base pour soutenir les mercenaires russes soutenant Haftar, une accusation rejetée par Moscou.

 

Prendre Syrte ouvrirait la porte aux milices alliées à Tripoli pour faire pression encore plus loin vers l’est, afin de prendre potentiellement le contrôle d’installations pétrolières vitales, de terminaux et de champs pétrolifères que les tribus alliées à Haftar ont fermés au début de l’année, asséchant ainsi la principale source de revenus de la Libye.

Depuis vendredi, les « rebelles syriens » sous commandement turc tentent de prendre Syrte, qui est aux mains de l’ALN. Mais soudain, les avions récemment livrés par la Russie sont entrés en action. Plusieurs convois du GNA, qui se dirigeaient vers Syrte, ont été bombardés. Les drones turcs tombent à nouveau du ciel.

 

L’Égypte a commencé à positionner des équipements militaires lourds sur sa frontière occidentale. Elle ne veut pas d’une Libye contrôlée par les Frères musulmans comme voisin. La zone tampon que l’ALN d’Haftar lui fournit est une priorité pour sa propre sécurité. L’Égypte, ainsi que la France, la Grèce, Chypre et les Émirats arabes unis, ont également rejeté les aspirations turques en Méditerranée orientale.

 

Si la Russie retirait son soutien et renonçait complètement à Haftar, l’Égypte serait obligée d’intervenir en Libye. Une guerre turco-égyptienne sur le sol libyen deviendrait alors probable.

 

Les États-Unis sont quasiment restés en dehors du jeu actuel. Mais s’ils semblaient auparavant favoriser Haftar, ils ont récemment exprimé leur inquiétude quant au rôle de la Russie en Libye et ont fait quelques remarques positives à l’égard du GNA.

 

L’Europe est divisée sur la question, la France et la Grèce étant du côté de l’ANL tandis que l’Italie du côté du GNA. Il est donc impossible pour l’UE de jouer un rôle important.

 

La Russie tente de parvenir en Libye à la même situation qu’en Syrie (et en Ukraine). Elle veut geler le conflit actif en pressant les deux parties de s’en tenir à une ligne et en n’intervenant que lorsque cette ligne est franchie par l’une ou l’autre des parties. Elle continuera à faire pression pour que des négociations soient menées entre les deux parties en conflit et leurs parrains.

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial: L’anarchie politique s’installe avec le début des guerres civiles de 2020

Il y a cinq jours, un policier du Minnesota, bien connu pour sa brutalité, assassinait un homme noir, George Floyd, en l’étouffant lors d’une arrestation où ce dernier était soupçonné d’avoir payé avec un faux billet de 20 dollars. C’était un meurtre parmi de nombreux autres.

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Des manifestations pacifiques spontanées contre le régime ont suivi.

 

Le lendemain après-midi, le régime a envoyé ses provocateurs. L’un d’entre eux serait un homme blanc en vêtements noirs, affublé d’un masque à gaz professionnel et portant un parapluie noir. Il a été filmé alors qu’il commençait à briser des vitrines de magasins, alors même que les manifestants lui disaient de ne pas le faire. (vidéo). Lorsque les gens ont commencé à se méfier de lui, l’homme s’est éloigné, son parapluie toujours levé. (vidéo). Il a ensuite été identifié comme étant un membre du département de police de St. Paul.

Dans la nuit, les protestations ont pris de l’ampleur et ont viré socialistes lorsque les gens ont commencé à communautariser les produits offerts dans un marché local connu. Plus tard, le restaurant McDonald’s local a également été incendié.

Le régime a reculé. La police s’est enfuie de la 3e circonscription en un long convoi . Peu de temps après, le commissariat était incendié. 

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Les  provocateurs antifa,à Montréal:

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De grandes violences radicales…ressemblant à des règlements de comptes:

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Il ne s’agit pas d’émeutes raciales. Beaucoup de manifestants sont des jeunes de couleur blanche. 

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Pendant toute la nuit, d’autres bâtiments ont été incendiés.

Le gouverneur local du régime a ordonné à sa garde nationale d’intervenir.

Le président a menacé de tuer les manifestants non armés :

…Ces VOYOUS déshonorent la mémoire de George Floyd, et je ne laisserai pas cela se produire. Je viens de parler au gouverneur Tim Walz et de lui dire que l’armée est toujours avec lui. En cas de difficulté, nous prendrons le contrôle mais, quand le pillage commencera, les tirs commenceront. Merci !

Les mots de Trump ont une connotation historiquement raciste :

« Quand le pillage commencera, les tirs commenceront » est une menace inventée par le chef de la police de Miami, Walter Headley, quand il a promis de violentes représailles à des manifestants noirs, en 1967. Il a également déclaré « Cela ne nous dérange pas d’être accusés de violence policière. Ils n’ont encore rien vu ».

Twitter a mis un avertissement disant que le tweet du président « glorifiait la violence » mais ne l’a pas supprimé.

 

Tôt le 29 mai 2020 ,au matin, la police d’État du Minnesota était revenue sur les lieux. Elle a arrêté un journaliste de CNN à la peau foncée devant la caméra en marche . Le journaliste demandait à la police où elle voulait que son équipe se mette en place. Il n’a pas obtenu de réponse. Aucune raison n’a été donnée pour son arrestation. Un autre reporter de CNN, celui-ci de couleur blanche, a également été approché par la police mais a été autorisé à rester :

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Josh Campell, de CNN, qui se trouvait également dans la zone mais qui ne se trouvait pas avec l’équipe à l’antenne, a déclaré que lui aussi avait été approché par la police, mais qu’il avait été autorisé à rester.

« Je me suis identifié … ils m’ont dit, ‘OK, vous êtes autorisé à être dans la zone' », a raconté Campbell, qui est blanc. « J’ai été traité bien différemment de (Jimenez) ».

Jimenez est noir et latino.

Après l’appel de CNN au gouverneur, le journaliste et son équipe ont été libérés. Il a expliqué ici ce qui s’est passé. La police ne lui a pas présenté d’excuses.

Le gouvernement britannique a protesté contre l’arrestation des journalistes.

Des appels publics à de nouvelles manifestations ont été lancés dans de nombreuses autres villes. Elles risquent de s’intensifier.

Les appels lancés au président chinois Xi pour qu’il fournisse aux rebelles américains les moyens de se défendre contre le régime n’ont pas encore reçus de réponses.

Sous la poussée des émeutiers,Washington ,comme beaucoup d’autres villes américaines,est en flammes!

 


EN CONCLUSION

Il est clair que ce que nous voyons ressemble à de la manipulation politique et au début d’une guerre civile.

 

 

 

 

Les vraies raisons pour expliquer le coup d’Etat au Venezuela

Après les USA, le Canada, la Grande-Bretagne, le Brésil, les pays du Lima à l’exception du Mexique, c’est au tour d’Israël de reconnaître le président autoproclamé du Venezuela et de soutenir de fait le coup d’État au Venezuela.
«Israël se joint aux États-Unis, au Canada et à la plupart des pays d’Amérique du sud et des pays d’Europe en reconnaissant le nouveau pouvoir au Venezuela», a fait savoir Netanyahou dans une vidéo.
Il ne manque plus que la France et l’UE pour compléter le tableau atlantiste des impérialistes anti-socialistes et adeptes du coup de force en violation complète avec le droit international. La France, l’Allemagne, l’Espagne ayant menacé de reconnaître l’usurpateur Guaido si Maduro n’envisageait pas des élections sous 8 jours. C’est tout comme si c’était fait. Le club des impérialistes est à nouveau réuni pour un nouvel Irak, une nouvelle Libye ou une nouvelle Syrie ?
USA : un sioniste de choc à la tête du changement de régime au Venezuela

Elliot Abrams est de retour, cette fois-ci en train de changer le régime du Venezuela, à la « manière juive« . Il est sorti de l’ombre, faisant officiellement ce qu’il avait déjà fait à l’abri de Pompeo au Département d’Etat, c’est-à-dire qu’il veut refaire rapidement en 2019 le coup d’État vénézuélien échoué en 2002 sous Bush dans l’espoir de renverser Hugo Chavez. Il prête maintenant ses mains criminelles à une nouvelle « guerre sale » en Amérique latine. Il en a l’expérience!

Trump l’avait écarté lorsqu’il constituait son cabinet à cause de l’opération d’Abrams en mai 2016 intitulée Quand vous ne pouvez pas supporter votre candidat après que Trump ait remporté la nomination du Parti Républicain[1].

Comment se fait-il qu’Abrams se soit introduit dans le camp Trump?

Comme tous les Juifs qui attendent une occasion propice, ils se planquent dans les ruelles du Beltway, puis ils se sortent de leurs trous et se frayent un chemin jusqu’au sommet de la fourmilière.

En effet, voilà que Pompeo a annoncé vendredi qu’Abrams, le belliciste juif néo-conservateur, avait rejoint l’équipe du département d’Etat pour « restaurer la démocratie » au Venezuela et « aider le peuple » à obtenir le résultat que « le peuple vénézuélien veut obtenir.« 

C’est une chose de restaurer la démocratie et c’en est une autre que de prétendre aider les personnes qui l’ont déjà.

CEPENDANT, LA MAJORITÉ des Vénézuéliens, y compris l’armée et la police, soutient pleinement son président actuel et légitime, Nicolas Maduro.

Et avec le ministre de la Défense du Venezuela dénonçant le «président» autoproclamé Juan Guaido comme un «fantoche américain qui veut diriger le Venezuela à partir de de Washington», les mains sales d’Abrams ont une occasion de faire appel à un fantoche [2] pour semer, une fois de plus, le chaos, l’effusion de sang et la misère.

Elliott Abrams est un néo-con historique. Il a appartenu à la petite coterie juive entourant le sénateur démocrate Henry Scoop Jackson, avant de rejoindre l’administration Reagan. Il a épousé la belle-fille de Norman Podhoretz, le rédacteur-en-chef de Commentary. C’est un des initiateurs de la théopolitique.

Il supervisa la création de la National Endowment for Democracy, l’agence chargée de poursuivre à découvert les objectifs de la CIA. Il fut un des organisateurs de la guerre contre le Nicaragua et le Salvador, incluant l’affaire Iran-Contras, sous la présidence de Ronald Reagan. Il fut également conseiller pour la « démocratie globale » dans l’administrationBush fils. C’est à ce titre qu’il supervisa la tentative de coup d’État contre le président vénézuélien Hugo Chávez, en 2002.

Dès qu’un juif pointe son nez dans les « droits de l’homme » d’un pays étranger, alors attendez-vous à du sang, des massacres et des « souffrances humaines ». Rappelez-vous le BHL en Libye et les autres « intellectuels » juifs français sur la Syrie.

En réalité, il ne s’agit pas de la personne de Maduro, mais de la saisie des avoirs pétroliers et financiers du Venezuela car le même Abrams faisait partie d’un complot visant à renverser son prédécesseur, Hugo Chavez, en 2002, pour confisquer les biens du Venezuela.

Au début de 2019, 500.000 barils par jour de brut vénézuélien – essentiel à la production américaine de diesel – étaient importés aux États-Unis.

À cela s’ajoute le fait que Citgo, un raffineur basé au Texas, appartient à la compagnie pétrolière nationale du Venezuela, Petroleos de Venezuela, et Abrams cherche à mettre la main sur cette compagnie pour la donner aux oligarques judéo-américains.

Mais Maduro s’est engagé à défendre la société d’une prise de contrôle par cette maffia.

AINSI QUAND POMPEO a été interrogé sur les avoirs du Venezuela à l’étranger, il a déclaré: «Nous annoncerons comment Juan Guaido (président autoproclamé du Venezuela) disposera des ressources nécessaires pour diriger le gouvernement du Venezuela.» (défense de rire !.)

Partenaire des sales coups de Pompeo dans le changement de régime,Bolton a déclaré jeudi à la presse qu’il travaillait à la canalisation des paiements de recettes pétrolières du Venezuela vers le gouvernement dirigé par Guaido.

Dans le même temps, la Banque d’Angleterre, détenue par des Juifs,refuse de restituer les lingots d’or de 1,5 milliard de dollars appartenant au gouvernement vénézuélien. Les Britanniques, qui dirigeaient autrefois les mers, sont maintenant soumis aux fourches caudines de la finance mondiale juive.

Abrams, juif fanatique, intensifiera la pression sur le gouvernement de Maduro (les médias appartenant à des Juifs l’appellent désormais «régime»), notamment en imposant de lourdes sanctions à son secteur pétrolier, ce qui aggravera la crise et aggravera les souffrances du peuple vénézuélien.

Conclusion de cette nomination 

C’est clair comme l’eau de roche. Trump n’a plus aucun contrôle sur son administration quand on voit comment ce sioniste Abrams qui l’a condamné au cours de sa campagne s’est retrouvé au Département d’État pour tenir les rênes du changement de régime au Venezuela.

Est-ce que les USA veulent vraiment s’enliser dans un autre bourbier militaire à l’étranger menant à une guerre civile, à la mort de civils et à la démolition d’une infrastructure d’un autre pays, au nom de la «restauration de la démocratie», à la juive? Les exemples du Vietnam, de l’Afghanistan, de l’Irak, de la Libye, de la Syrie et de tant d’autres pays servent-ils à quelque chose ? Demandez-le à Abrams ou à Rothschild qui ont l’art et la manière pour envoyer des goyim mourir dans des guerres pour le bénéfice exclusif des Juifs.

NOTES

[1] En février 2017, Trump ne veut pas de l’ultra-sioniste Elliott Abrams

Elliott Abrams, néo-conservateur historique pur et dur opposé aux mariagesentre juifs et goyim, impliqué dans les crimes US au Nicaragua, au Salvador, dans la tentative de coup d’État contre Hugo Chavez, et dans l’assassinat de Rafic Hariri au Liban.

Le CV d’Abrams est éloquent. Sous la première présidence de George W. Bush, il a occupé le poste d’assistant spécial du président et directeur senior du Conseil de sécurité nationale pour les affaires du Proche-Orient et d’Afrique du Nord. A ce titre, il était l’un des plus virulents avocats de l’invasion de l’Irak – avec le désastre que l’on sait et que Trump n’a cessé de stigmatiser tout au long de sa campagne électorale. Il plaidait également pour le renforcement de l’alliance avec Israël et les monarchies du Golfe, au service des seuls intérêts israéliens.

Au début de la seconde présidence de Bush, Abrams a été promu au poste de conseiller pour la sécurité nationale sur les stratégies de démocratie globale, responsable de la progression de la stratégie pour faire « Avancer la démocratie à l’étranger », autrement dit « regime change ». L’originedes révolutions de couleur et autres « Printemps arabe »  est à chercher dans cette stratégie américaine bien réfléchie qu’Obama a non seulement poursuivie, mais accélérée.

Concernant le lobby juif dont il était un des pivots, Elliott Abrams appela, dès 1995, à la nécessité pour les juifs américains de s’allier avec les Évangélistes et les Sionistes chrétiens.

[2] Éduqué à l’université Georges Washington, nid d’espion de la CIA, Guaido est proclamé le président de l’assemblée nationale du Venezuela le 5 janvier courant. Il a immédiatement déclaré que Maduro n’était pas le président du pays et a incité à la rébellion au sein de l’armée.

Maria Iris Vadela Rangel, une leader du parti politique de Maduro du Parti Socialiste Unifié a tweeté au sujet de la sédition : “Guaido, j’ai déjà préparé ta cellule avec le bon uniforme et j’espère que tu nommeras ton cabinet rapidement afin de savoir qui te tiendra compagnie, imbécile de sale gosse.


L’épouse d’Elliott Abrams appelle les enfants palestiniens « le rejeton du diable »

L’épouse d’Elliott Abrams a publié sur son blog « Bad Rachel » une folie vitriolique dans laquelle elle appelle les enfants palestiniens «le rejeton du diable».

Témoignant d’une ignorance surprenante vis-à-vis de l’islam et de la situation israélo-palestinienne , Rachel Abrams écrit à propos de la libération du mitrailleur israélien Gilad Shalit (en échange de centaines de prisonniers palestiniens , y compris des femmes et des enfants):

Il est libre et il est chez lui au sein de sa famille et de son pays. Célébrez, Israël, avec toute la joyeuse gratitude qui remplit vos cœurs, comme nous le faisons tous avec vous.

Ensuite, rassemblez ses ravisseurs, des sauvages égorgés, sacrifiant des enfants, immolant dans le sang, adorant la mort, sacrifiant des enfants dans le sang et utilisant des femmes – celles qui n’attachent pas de bombes à la frayeur de leurs propres démons et les envoient se réunir leurs soixante-douze vierges en prenant la vie des enfants d’autrui qui manient le bus scolaire, qui dessinent des cœurs, qui transforment leurs pensées, qui perdent leurs devoirs – et de leur progéniture – ceux que leurs mères n’ont pas encore fauchés assassiner dieu – en tant que boucliers, se cachant derrière leurs burkas et leurs berceaux comme des animaux sans équipage, et ne les jetez pas dans vos prisons, où ils peuvent attendre jusqu’à ce qu’ils soient échangés par milliers contre un autre enfant d’Israël, mais dans la mer, pour y flotter, de la nourriture pour les requins, les astronomes et tout ce que d’autres carnivores océaniques Dieu a mis là pour cela.

Selon sa biographie sur le site Internet du CFR : Elliott Abrams est: «Ancien directeur principal pour la démocratie et les droits de l’homme, directeur principal pour le Proche-Orient et conseiller adjoint pour la sécurité nationale chargé des affaires du Moyen-Orient sous l’administration George W. Bush. Ancien secrétaire d’État adjoint aux affaires des Nations Unies, des droits de l’homme et de l’Amérique latine dans l’administration Reagan. ”

Abrams a été condamné en 1991 pour avoir dissimulé illégalement des informations au Congrès lors de l’enquête sur l’affaire Iran-Contra.


LE PLAN D’ELLIOTT ABRAMS POUR LA SYRIE

Elliott Abrams est membre du Conseil des relations financières des entreprises.
Le co-conspirateur mondialiste dégénéré, Elliott Abrams, a toujours soutenu la récente conflagration dans le monde arabe et plaide pour une ingérence toujours croissante des États-Unis dans la région. Dans son récent article paru dans le Washington Post intitulé  » débarrasser la Syrie d’un despote « , il expose ce qui est un plan d’action assez prévisible prenant déjà forme contre le membre  » Axe du Mal  » de l’ ère Bush .

 

Elliott Abrams est membre du Conseil des entreprises et des finances du Conseil des relations étrangères , signataire du projet «Un nouveau siècle américain» , et ancien conseiller adjoint du président George W. Bush en matière de sécurité nationale. Il a été condamné pour son implication dans lecomplot Iran-Contra et rapidement pardonné par George Bush père. Il a par la suite été mis en cause pour son implication dans la tentative de coup d’État au Venezuela contre Hugo Chavez en 2002 . Son histoire de trahison et de déshonoration de son pays, et de s’en sortir, est probablement la raison pour laquelle il se sent parfaitement à l’aise de lancer des menaces larges et radicales à l’encontre de nations entières aujourd’hui.

Elliott Abrams a récemment lancé une menace personnelle contre Qadaffi et son chef des services de renseignement libyens, affirmant qu’ils rencontreraient le même sort que Saddam Hussein si un Américain était attaqué à la suite des menaces croissantes des États-Unis et de leurs actions en Libye. Il avait également pesé sur l’Égypte dans son article intitulé «Moins d’engagement, plus de démocratie» dans le New York Times. Dans cet article, il critique la politique actuelle d’égal à égal avec les nations qu’il considère comme des régimes répressifs et appelle à un réexamen du « programme de la liberté » de George Bush. En d’autres termes, l’exportation de la « démocratie » qui a valu à l’Amérique des milliers de milliards de dollars aventures en Irak, en Afghanistan et maintenant en Libye, au prix de la vie de milliers de soldats américains et de celle de millions d’étrangers tués, mutilés ou déplacés.

Ellioth Abrams est au centre des conflits touchant le Vénézuela.

Irak: à peine désigné, le futur Premier ministre indépendant face à une tâche ardue

Le nouveau président irakien Barham Saleh à Bagdad, le 3 octobre 2018.afp.com – AHMAD AL-RUBAYE L’indépendant Adel Abdel Mahdi, tout juste désigné, dispose d’un mois pour former un gouvernement en Irak, une tâche qui s’annonce ardue alors que plusieurs coalitions continuent à revendiquer une prééminence au sein d’un Parlement fragmenté.

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Nouvelle guerre civile aux Etats-Unis d’Amérique? Certaines personnes pensent que ça a déjà commencé

© Jonathan Bachman / Reuters Des célébrités qui appellent les citoyens à descendre dans la rue, des membres du Congrès appelant au harcèlement public des fonctionnaires de la Maison Blanche, à la justice populaire dans les restaurants – les Etats-Unis d’Amérique se dirigent-ils vers une nouvelle guerre civile? Eh bien, certaines personnes pensent que les […]

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USA Trump coupe tous les fonds visant à financer les “Casques blancs” en Syrie

Les États-Unis viennent de retirer des fonds à l’un des seuls groupes sur le terrain qui sauvent des vies en Syrie. Environ un tiers du financement de la protection civile syrienne, connue populairement sous le nom de Casques blancs, provenait des États-Unis, le reste provenant du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres gouvernements. Jusqu’à tout récemment, […]

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Etats-Unis : Une tentative de coup d’État contre Trump menée par Clinton et la CIA ! — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

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Une tentative de coup d’État contre Trump menée par Clinton et la CIA Par Alexander Mercouris – Le 11 Décembre 2016 – Source The Duran / Le Saker Francophone Le dernier rapport de la CIA impliquant la Russie, pour les fuites concernant la convention démocrate et Podesta, n’est fondé sur aucune preuve. Venant quelques semaines avant […]

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Fraude électorale US:Le FBI rouvre le dossier Clinton après que de nouveaux e-mails sont trouvés dans le cas Anthony Weiner

La candidate démocrate Hillary Clinton a appelé le FBI vendredi,28 octobre 2016, pour libérer toutes les informations dans son enquête renouvelée dans son utilisation d’un serveur privé alors qu’ell était  secrétaire d’Etat.Ceci arrive  après que le FBI  a découvert de nouveaux e-mails – apparemment lors de l’enquète  de l’ancien sexting Anthony Weiner ( Republicain),ce qui provoque un retournement de situation  étonnant et inattendu  des événements quelques jours avant l’élection présidentielle.
http://video.foxnews.com/v/embed.js?id=5190015038001&w=466&h=263

 

« [Le directeur du FBI James Comey] lui aurait  dit qu’il ne sait pas si les e-mails … sont importants ou non », a déclaré Hillary Clinton aux journalistes dans l’Iowa vendredi soir. « Je suis confiante  qu’ils sont ne changeront pas la conclusion en Juillet. Par conséquent, il est impératif que le FBI tente  d’expliquer cette affaire, quelle qu’elle soit, sans aucun délai. »

Plus tôt vendredi, Comey a  informé les  membres importants  du Congrès dans une lettre que le FBI avait « appris l’existence des courriels qui semblent être pertinents à l’enquête. »

L’organisation d’Hillary Clinton a fustigé la police fédérale américaine (FBI), affirmant que les récents courriels qu’examine le corps policier ne sont pas liés à la candidate démocrate. Pendant ce temps, parcourant l’ouest des États-Unis, le républicain Donald Trump a tenté de tirer avantage de cette dernière controverse. John Podesta, le directeur de campagne de Mme Clinton, a déclaré aux journalistes que la lettre du directeur du FBI James Comey au Congrès était «pleine d’insinuations», mais n’apportait «aucun fait concret». D’autres démocrates ont dénoncé que cette révélation pourrait déterminer de façon injuste le résultat de l’élection présidentielle du 8 novembre. M. Podesta a insisté pour dire qu’il n’y avait «aucune preuve d’actes répréhensibles» et que rien ne prouve encore que ces courriels concernent Hillary  Clinton.
L’organisation d’Hillary Clinton a fustigé la police fédérale américaine (FBI), affirmant que les récents courriels qu’examine le corps policier ne sont pas liés à la candidate démocrate. Pendant ce temps, parcourant l’ouest des États-Unis, le républicain Donald Trump a tenté de tirer avantage de cette dernière controverse.
John Podesta, le directeur de campagne de Mme Clinton, a déclaré aux journalistes que la lettre du directeur du FBI James Comey au Congrès était «pleine d’insinuations», mais n’apportait «aucun fait concret». D’autres démocrates ont dénoncé que cette révélation pourrait déterminer de façon injuste le résultat de l’élection présidentielle du 8 novembre.
M. Podesta a insisté pour dire qu’il n’y avait «aucune preuve d’actes répréhensibles» et que rien ne prouve encore que ces courriels concernent Hillary Clinton.

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Voici un document important:

important-letter

Comey n’a pas précisé ces e-mails, disant seulement qu’ils ont fait surface « dans le cadre d’une autre affaire. »

Une source du FBI, cependant, a confirmé à Fox News que les nouveaux e-mails ont été découverts après que le bureau a saissi des dispositifs appartenant au  déshonoré ex-Republicain   Weiner et son épouse, Huma Abedin, une proche collaboratrice de  Clinton qui a récemment annoncé qu’elle se séparait de l’ancien membre du Congrès. Le New York Times a rapporté le premier ,les détails sur la connexion d’enquête Weiner, notant que le FBI enquêtait sur des  textes que Weiner a  envoyé à une jeune fille de 15 ans.

Comme Donald Trump et les républicains du Congrès saisis sur la décision du FBI, chef intérimaire du Parti démocrate Donna Brazile simplement tweeté, « Bon sang, » après que  les nouvelles de la connexion Anthony Weiner ont éclaté. Le directeur de  campagne de Clinton a qualifié la décision de revoir ce cas si proche de l’élection «d’extraordinaire» et a exhorté Comey de fournir plus de détails.

Comey a donné un bref aperçu dans sa lettre aux législateurs de ce qui a incité leur décision. Il a écrit que l’équipe d’enquête l’a informé de l’information un jour plus tôt, « et j’ai  convenu que le FBI devrait prendre des mesures d’enquête appropriées pour permettre aux enquêteurs d’examiner ces e-mails afin de  déterminer si elles contiennent des informations classifiées, ainsi que d’évaluer leur importance à notre enquête. « 

Il a dit que le FBI n’a pas encore pu déterminer si le nouveau matériel est important et il ne pouvait pas prédire combien de temps il faudra pour compléter « ce travail supplémentaire. »

Ce retournement de situation arrive  après  que Comey et le ministère de la Justice ont  décidé en Juillet de ne pas porter des accusations sur les pratiques de courriel de Clinton, en disant à l’époque que l’enquête était terminée.

Comey est devenu plus tard critiqué par Trump,des  législateurs GOP et d’autres qui prétendent que l’enquête a minimisé la mauvaise gestion des informations classifiées pendant le mandat de Clinton.

Une référence à l’oléoduc Keystone XL a été retirée des mémoires de Hillary Clinton pour des raisons politiques, selon la dernière série de courriels volés, publiée jeudi par WikiLeaks. Alors qu’elle écrivait le livre «Hard Choices» («Le temps des décisions»), Hillary Clinton avait inclus une référence à l’oléoduc à la suggestion de sa fille, Chelsea, selon un courriel apparemment envoyé en 2014 au président actuel de sa campagne, John Podesta. La note, signée par le rédacteur de discours de Mme Clinton Dan Schwerin, précisait que la politicienne avait décidé d’écrire sur Keystone parce que sa fille croyait que ce serait une omission évidente et qu’elle aurait l’air de vouloir éviter le sujet.
Une référence à l’oléoduc Keystone XL a été retirée des mémoires de Hillary Clinton pour des raisons politiques, selon la dernière série de courriels volés, publiée jeudi par WikiLeaks.
Alors qu’elle écrivait le livre «Hard Choices» («Le temps des décisions»), Hillary Clinton avait inclus une référence à l’oléoduc à la suggestion de sa fille, Chelsea, selon un courriel apparemment envoyé en 2014 au président actuel de sa campagne, John Podesta.
La note, signée par le rédacteur de discours de Mme Clinton Dan Schwerin, précisait que la politicienne avait décidé d’écrire sur Keystone parce que sa fille croyait que ce serait une omission évidente et qu’elle aurait l’air de vouloir éviter le sujet.

Trump, parlant sous les  applaudissements nourris de ses  partisans vendredi après-midi à Manchester, NH, a salué le FBI pour avoir le eu  «courage» de mettre à la  lumière du «droit l’horrible erreur qu’ils ont fait » , en disant qu’il espère que  tout est « corrigé ».

«La corruption de Hillary Clinton est sur une échelle que nous n’avons jamais vu auparavant », a déclaré Trump. « Nous ne devons pas laisser prendre en main   le Bureau ovale par  son régime criminel. »

Dans un clin d’œil à l’importance de l’annonce faite par le FBI, Trump a ironisé: « Le reste de mon discours va être tellement ennuyeux. »

D’autres législateurs GOP ont également  insisté, appelant le FBI à poursuivre une nouvelle enquête approfondie.

« La décision du FBI de rouvrir son enquête sur Mme Clinton renforce ce que le Comité judiciaire de la Chambre a affirmé pendant des mois: plus nous en apprenons sur l’utilisation de la secrétaire Clinton d’un serveur de messagerie privée, plus il devient clair qu’elle et ses associés ont commis  des actes répréhensibles  et compromis la sécurité nationale « , que le  président du Comité judiciaire Bob Goodlatte, R-Va., a déclaré dans un communiqué.

Puis, le président du Comité national républicain Reince Priebus a  dit que la découverte doit être «très grave» pour que le FBI  se met subitement à enquêter à partir  d’une  date si  proche de l’élection.

Hillary Clinton n’a pas répondu aux questions des journalistes au sujet du développement subit de cette affaire, comme elle venait  d’atterrir à Cedar Rapids, Iowa, et elle n’a même  pas abordé la question en prenant la  parole devant  ses partisans dans la même ville.

Mais le  Président de la Campagne d’Hillary Clinton, John Podesta ,a fortement remis en question la décision du FBI et dit que Comey devrait «fournir immédiatement» plus d’informations.

«À l’issue de cette enquête, il y a plus de trois mois, le directeur du FBI, Comey, a déclaré qu’aucun procureur raisonnable ne pouvait aller de l’avant avec un cas comme celui-ci et il a ajouté qu’il n’avait même pas reçu un appel à ce moment-là. Dans les mois qui suivirent , Donald Trump et ses alliés républicains ont été sans fondement deuxième à deviner ce qui pouvait bien arriver avec le FBI et, à la fois le  public et le privé, ont tenté  d’intimider les fonctionnaires de carrière  pour revoir leur conclusion dans une tentative désespérée pour nuire à la campagne présidentielle de Hillary Clinton « , a-t-il dit dans un communiqué.

Podesta a déclaré: «nous ne savions même pas  que ces e-mails [qui sont venus à la lumière] existaient et le directeur lui-même fait remarquer qu’ils ne peuvent même pas être significatifs. »

Selon une source reliée à la campagne Clinton qui a réclamé l’application de la loi, le FBI a quatre appareils  qui  appartiennent à Abedin, et au moins un appartient à Weiner. Jusqu’à présent, aucune information classifiée n’a été trouvé sur les appareils, selon Fox News.

Le développement inattendu de tout cela est arrivé  11 jours avant l’élection générale, et est la dernière « onde de choc »  à venir  frapper la campagne électorale de plein fouet. Jusqu’à présent,Hillary Clinton avait gagné dans les sondages sur Trump dans le sillage du dévoilement  des vidéos et des enregistrement  montrant Trump parler sans respect des femmes et les allégations ultérieures d’agression sexuelle et de harcèlement contre lui qu’il nie fortement.

Cependant, les révélations quotidiennes de piratage des courriels de la campagne Clinton obtenus par WikiLeaks sont devenus un casse-tête pour la campagne de la  démocrate. La reprise de l’enquête du  FBI pose potentiellement un  problème mille fois plus important que les dérapages clownesques de Donald Trump:c’est  la première fois dans l’histoire des États-Unis d’Amérique que les citoyens  peuvent  bien sentir  le vol et le pillage de leur gouvernement.

Ron Hosko, ancien directeur adjoint du FBI à la retraite, a déclaré à Fox News dans une interview téléphonique que des fonctionnaires du FBI étaient «livides de peur » face  à Comey sur le fait que des accusations criminelles  n’ont pas été portées contre Hillary Clinton dès le  premier jour de l’enquête,devant la masse de preuves qui s’accumulaient devant leurs yeux.

« Il l’a allumé le feu, puis est reparti», a déclaré Hosko,en parlant  de Comey,lors de  la tenue d’une conférence de nouvelles portant sur la mauvaise gestion d’Hillary Clinton sur des informations classifiées.

Hosko dit qu’il ose encore  défendre Comey  parce que le FBI a toujours agi de manière à prendre une décision « sur la base de ce qu’ils ont » à l’époque. Hosko dit qu’il pense que les agents ont trouvé des e-mails qui ont fait dire: «Oh mon Dieu, regardez ce que nous avons. »

Ils ne croyaient pas ce qu’ils voyaient parce qu’il croyaient au système politique dans lequel ils vivaient.Ils ne pouvaient pas croire,ni comprendre qu’une femme comme Hillary Clinton qui a si longtemps servi le gouvernement américain puisse être une si grande criminelle.

Elle semble plus vieille sur cette photo prise en Ohio le 28 octobre 2016.
Elle semble plus vieille sur cette photo prise en Ohio le 28 octobre 2016.

Discussions sur Twitter:

My full statement ⇩

 Paul Ryan (speaker) …on twitter this morning.

Président de la Chambre Paul Ryan a qualifié la décision du FBI « depuis longtemps. »


 

How many emails did the FBI find? Get your butt in gear, read them, assess them, form a conclusion. Letting this hang is so irresponsible.

Mais l’ancien porte-parole de l’administration Obama Tommy Vietor a réprimandé le FBI sur Twitter. 


En plus que de servir les Illuminati,elle sert aussi le CFR (Council of Foreign Relations) et elle est le choix du Groupe de Bilderberg. Hillary Clinton est l'ennemie No 1 du Peuple Américain.
En plus que de servir les Illuminati,elle sert aussi le CFR (Council of Foreign Relations) et elle est le choix du Groupe de Bilderberg.
Hillary Clinton est l’ennemie No 1 du Peuple Américain.

EN CONCLUSION

Profitant d’une première accalmie après des semaines à la dérive, Donald Trump s’en est donné à coeur joie, vendredi. « C’est plus gros que le Watergate », a-t-il lancé lors d’un rassemblement tenu dans le New Hamp-shire. « La corruption d’Hillary Clinton atteint une ampleur sans précédent », a ajouté M. Trump, alors que ses partisans scandaient« Enfermez-la ! ».

 

Cela, parce que le directeur du FBI, James Comey, a donné son accord pour que l’agence examine une nouvelle série de courriels qui « semblent pertinents à l’enquête » latente que mène le FBI sur l’usage d’une messagerie privée par Mme Clinton alors qu’elle était la secrétaire d’État.

 

Ces courriels ont été obtenus par hasard dans le cadre d’une enquête séparée qui n’a rien à voir avec Mme Clinton : elle concerne plutôt des messages à caractère sexuel envoyés par Anthony Weiner, l’ex-mari d’une proche conseillère de la candidate démocrate (Huma Abedin).

 

En évoquant le Watergate, M. Trump a pris plusieurs pas d’avance sur le directeur du FBI. Dans une lettre transmise à des présidents de commission parlementaire, M. Comey indique que « le FBI ne peut déterminer si ces informations seront ou non significatives ». Ce sera aux enquêteurs « d’examiner ces courriels et de déterminer s’ils contiennent des informations classifiées ».

 

Des détails !

 

Le flou maintenu par James Comey a fait bondir le chef de la campagne d’Hillary Clinton, John Podesta. « M. Comey devrait donner plus d’informations immédiatement, a-t-il écrit dans un communiqué publié en fin de journée. Nous n’avons aucune idée de ce que [les courriels visés] disent et le directeur reconnaît lui-même qu’ils sont peut-être non signifiants. C’est extraordinaire de voir quelque chose comme ça survenir à 11 jours d’une élection présidentielle. »

 

Hillary Clinton a lancé sensiblement le même message en soirée, se disant convaincue que le FBI « ne changera pas sa conclusion de juillet ».

 

Le scandale des courriels embête Hillary  Clinton depuis mars 2015, avant même son entrée en campagne. Lorsqu’elle dirigeait la diplomatie américaine (durant le premier mandat d’Obama), elle a utilisé une messagerie privée plutôt qu’un compte gouvernemental officiel, exposant ainsi potentiellement des informations confidentielles à un piratage.

 

Le FBI a ouvert une enquête, pour conclure en juillet 2016 qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre Mme Clinton. Donald Trump a souvent vilipendé cette décision. James Comey avait tout de même souligné que l’ancienne secrétaire d’État avait fait preuve d’une« négligence extrême ». Hillary Clinton a présenté ses excuses dans cette affaire, mais elle a toujours prétendu n’avoir rien fait d’illégal.

 

Quel impact ?

 

Les révélations faites vendredi risquent-elles de renverser la vapeur dans une course qui annonce une victoire assez nette d’Hillary Clinton ? 

 

« Le FBI se doit de vérifier qu’aucun crime n’a été commis par l’usage d’une messagerie privée, dit-il. Mais je pense surtout que l’agence a voulu démontrer que c’est vraiment une institution indépendante, après avoir été souvent accusée par Donald Trump d’être à la solde des démocrates. »

 

Selon M. Tourreille, James Comey aurait « évoqué dans sa lettre s’il y avait quelque chose de majeur dans ces courriels. Or il est resté très vague. J’ai plus l’impression d’une démarche pour rassurer l’opinion publique [sur l’indépendance] du FBI. »

 

Directeur de la Chaire d’études politiques américaines du Cérium, Pierre Martin n’y voit pas un danger majeur pour Hillary Clinton à ce stade de la campagne. « Les informations [diffusées vendredi] ne sont pas fondamentalement différentes de ce qu’on savait déjà de ce dossier. C’est sûr que tout prend une dimension énorme en fin de campagne. Mais, dans les faits, ce dossier n’a pas eu énormément d’effets sur l’opinion publique dans le passé, et je ne pense pas que la lettre de M. Comey va convaincre un partisan de Mme Clinton de voter pour M. Trump. »

 

N’empêche que la décision du FBI n’est pas une bonne nouvelle pour la candidate démocrate, ajoute M. Martin. « On relance les questions sur son manque de transparence, on renforce cette perception qu’elle se croit au-dessus des règles. Mais ce sont des éléments qui sont dans le débat depuis longtemps. »

Donald Trump semble   terminer la course à l'élection avec beaucoup de forces et de supports nouveaux.
Donald Trump semble terminer la course à l’élection avec beaucoup de forces et de supports nouveaux.

ANNULER L’ÉLECTION OU FAIRE APPEL À L’ARMÉE POUR RÉTABLIR LA DÉMOCRATIE

 Donald Trump a suggéré jeudi,27 octobre 2016, lors d’un meeting électoral dans l’Ohio, d’annuler l’élection présidentielle et de le déclarer vainqueur, rapporte la chaîne américaine CNN.Ce serait peut être la meilleure solution dans cette campagne électorale.

 

 

Les allégations de fraude électorale martelées par Donald Trump se sont enracinées chez ses partisans, pour qui la victoire de Hillary Clinton ferait naître de sérieux doutes quant à la légitimité des résultats du scrutin, révèle un sondage Associated Press-GfK.

Seuls 35 pour cent des sympathisants du candidat républicain disent qu’ils accepteront probablement les résultats de l’élection si Mme Clinton accède à la Maison-Blanche, contre 64 pour cent qui affirment qu’ils s’en méfieraient sans doute.

D’autre part, 69 pour cent des partisans de l’ancienne secrétaire d’État se disent prêts à accepter l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Cependant, 30 pour cent d’entre eux manifestent une réticence face à cette idée.

Au total, 77 pour cent des électeurs probables disent qu’ils reconnaîtront le résultat du vote, même si Donald Trump en sort gagnant. À l’opposé, 70 pour cent des Américains qui se rendront sûrement aux urnes, le 8 novembre, adoptent la même position face à l’éventuelle victoire de la candidate démocrate.

Lors du troisième et ultime débat présidentiel, l’ex-vedette de téléréalité a refusé de dire s’il allait reconnaître ou non les résultats du dépouillement. «Je garde le suspense», avait-il répondu en souriant au modérateur.

Cet affront à la transition pacifique du pouvoir — un élément central de la démocratie américaine — lui a attiré bien des critiques, mais n’a pratiquement pas fait sourciller sa base partisane.

«Bien sûr, je crois que c’est truqué, et bien sûr je n’accepterai pas les résultats, a lancé Mike Cannilla, un électeur de Staten Island. Ça vient d’en haut: Obama essaie de prendre contrôle du pays, il cache tous les crimes de Hillary et il manipule les médias pour faire perdre Trump.»

«Notre seule chance, le 9 novembre, c’est si l’armée développe une conscience et prend les choses en main», a avancé le sympathisant républicain de 53 ans.

Bien qu’il y ait eu quelques cas isolés de fraude électorale aux États-Unis, aucune preuve ne permet d’affirmer — comme le répète M. Trump — qu’il s’agit d’un problème répandu. Un professeur de la faculté de droit de Loyola, à Los Angeles, n’a trouvé que 31 cas d’usurpation d’identité sur un milliard de bulletins de vote remplis entre 2000 et 2014 à travers le pays.

Par ailleurs, 40 pour cent des partisans de M. Trump disent avoir peu ou aucune confiance en l’exactitude du décompte des voix. Du côté des sympathisants de Mme Clinton, 79 pour cent des électeurs sondés ont déclaré avoir beaucoup ou assez confiance en la justesse des résultats. Plusieurs d’entre estiment que le magnat de l’immobilier devrait exprimer son soutien au système électoral même s’il est défait.

Le sondage Associated Press-GfK a été mené en ligne auprès de 1546 adultes, dont 1212 électeurs probables, du 20 au 24 octobre. L’échantillon a été tiré d’un panel de GfK, qui est conçu pour être représentatif de la population américaine. La marge d’erreur pour tous les répondants est de plus ou moins 2,75 points de pourcentage et celle concernant les électeurs probables, de plus ou moins 3,1 points de pourcentage.

LA GUERRE CIVILE MENACE L’EMPIRE AMÉRICAIN

Pourrait-on voir la violence éclater aux Etats-Unis et ce indépendamment de la personne qui gagnera les élections le 8 novembre prochain ?

Espérons que cela ne se produise pas, mais comme vous le verrez ci-dessous, la violence anti-Trump ravage toute l’Amérique. Si Trump venait à remporter les élections, cela pourrait engendrer une forte colère du côté de la gauche radicale et ce à un niveau que nous n’avons jamais vu auparavant. D’un autre côté, il y a d’énorme doutes quant à la bonne tenue du scrutin puisque certains pensent que cette élection pourrait être volée par Hillary Clinton. Et comme je l’ai montré hier, il semble que les machines électroniques permettant de voter au Texas soient déjà prêtes à transférer les votes pour Donald Trump à Hillary Clinton. Si Hillary Clinton venait à remporter cette élection dans des circonstances suspectes, cette situation pourrait déclencher des troubles civils généralisés dans tout le pays.

Actuellement, il reste moins de deux semaines avant les élections du 08 Novembre prochain, et une nouvelle enquête vient de révéler que la majorité des Américains craignent « des actes de violence » le jour du scrutin…

 

51% des électeurs américains expriment une certaine inquiétude quant à des possibles actes de violence le jour du scrutin; 20% se disent «très inquiets». 75% des américains disent avoir confiance dans le fait que la passation du pouvoir se déroule de manière pacifique comme cela s’est toujours passé depuis plus de 200 ans dans ce pays démocratique, mais seulement 40% se sont dits «très confiants».

Plus de 40% des partisans de Trump disent qu’ils ne reconnaîtraient pas la légitimité d’Hillary Clinton en tant que présidente des Etats-Unis si elle venait à remporter ces élections car pour eux, elle ne se sera pas imposée d’une manière loyale.

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Mais beaucoup d’américains à gauche n’attendront pas le résultat des élections afin de commettre des actes de violence. A Hollywood, Hier, le mercredi 26 Octobre 2016, un homme a brisé en morceaux l’étoile de Donald Trump sur le Walk of Fame à l’aide d’un marteau et d’une pioche…

Donald Trump a pris beaucoup de coups aujourd’hui, et pas seulement dans la course à la présidentielle. A moins de deux semaines avant que l’Amérique ne se décide si l’ancienne vedette de l’émission The apprentice arrachera une victoire surprise face à Hillary Clinton, l’étoile de Donald Trump a été vandalisée sur le Walk of Fame à Hollywood, puisqu’elle a été détruite tôt le mercredi en matinée par un homme portant un uniforme d’ouvrier et brandissant un marteau et une pioche.

…ET SI HILLARY CLINTON QUITTAIT L’ÉLECTION?

 

Si Hillary Clinton venait à quitter la course à la présidentielle américaine, les membres du Comité national du parti démocrate se réuniront pour élire un remplaçant. Les membres du comité national démocrate avait massivement soutenu Clinton même si la situation tendait à basculer vers le sénateur socialiste du Vermont Bernie Sanders.

Mark Paustenbach, le porte-parole du comité démocrate national indique qu’il y a actuellement 445 membres au comité démocrate – un nombre qui change au fil du temps et qui est régi par les propres statuts du groupe, qui accordent le statut de membre et des chefs de partis et attribuent 200 points pour la sélection au sein de chaque état, avec une option de 75 points que les membres du comité du parti démocrate peuvent choisir d’utiliser.

Mais les règles du parti pour le remplacement d’un candidat à la présidence précisent simplement que la majorité des membres doivent être présents à une assemblée extraordinaire convoquée par le président du comité. La réunion suivra les procédures établies par le Comité du parti démocrate et le vote par procuration ne serait pas autorisé.

Il serait extrêmement difficile de dégager une majorité de l’ensemble des membres du Comité national démocrate dans un délai aussi bref. Si Hillary Clinton devait abandonner la course à la présidentielle américaine la semaine prochaine, il serait pratiquement impossible de trouver un candidat démocrate de substitution avant le jour de l’élection.

Bref,ce serait l’anarchie.

Sans Hillary aux portes du pouvoir, les chances de voir Trump l’emporter seraient très importantes.

Donc, si Hillary était contrainte de quitter la course à la présidentielle du fait de l’enquête du FBI, Barack Obama et les démocrates voudront retarder ou suspendre l’élection aussi longtemps qu’ils le pourront s’ils le peuvent.

Pour l’instant, un tel scénario n’est que peu probable, mais étant donné la folle compagne à laquelle nous assistons depuis un an maintenant, tout peut arriver.

 

…ET QUE DIT L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE?

Incroyable,mais vrai!
Incroyable,mais vrai!

A défaut d’avoir la faveur des sondages américains, Donald Trump pourrait se réjouir puisque le système d’intelligence artificielle a prédit qu’il remportera les prochaines élections face à Hillary Clinton.

Si vous pensez que c’est un autre sondage bidon, sachez le système d’intelligence artificielle a réussi à prédire le résultat des trois dernières élections américaines, ainsi que les primaires démocrate et républicaine.

Développé en 2004 par Sanjiv Rai, MogIA analyse 20 millions de points de données en provenance des plates-formes sociales telles que Google, Facebook, Twitter et YouTube. Puis, il est en mesure de faire des prédictions.

«Si Trump perd, cela va défier la tendance de données pour la première fois au cours des 12 dernières années », a écrit M. Rai, à CNBC.

L’empire est au bord du gouffre!

Vive la Seconde Révolution Américaine!

À bas,la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial!

 

 

 

 

 

Les dossiers de Michel Duchaine:Des courriels déclassifiés révèlent que l’OTAN a tué Kadhafi pour mettre fin au projet libyen d’une monnaie soutenue par l’or

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En dépit de la résolution française,en 1973,  adoptée par le  Conseil de sécurité de l’ ONU ,créant une zone d’exclusion aérienne sur la Libye avec l’intention « expresse » de la protection des civils, l’ un des  3000 nouveaux courriels d’Hillary Clinton publié par le Département d’ Etat, à la veille du Nouvel An de 2016,  contient des preuves accablantes sur les nations occidentales qui  se sont servi de l’ OTAN ,comme un outil pour renverser le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi. Le renversement de Kadhafi par  l’ OTAN n’a pas été  fait pour la protection des personnes, mais afin de contrecarrer la tentative de Kadhafi pour créer une monnaie africaine basée sur l’or ,menaçant de  concurrencer le monopole central occidental bancaire dans toute l’Afrique.

Les courriels indiquent que l’initiative militaire de l’OTAN dirigée par les Français en Libye a également été motivée par le désir d’avoir accès à une plus grande part de la production de pétrole libyen, et de porter atteinte à un plan à long terme de  Kadhafi visant à supplanter la France comme puissance dominante dans l’Afrique francophone .

Avril 2011,un courriel  envoyé à la secrétaire d’Etat Hillary Clinton  par le conseiller officieux et conseiller  de longue date  Sidney Blumenthal avec la ligne d’objet « le client et de la France de l’or de Kadhafi, » révèle les intentions occidentales prédatrices.

Le Foreign Policy Journal rapporte :

Le courriel identifie le président français Nicolas Sarkozy comme leader de l’attaque sur la Libye avec cinq objectifs précis en tête: pour obtenir le pétrole libyen, d’assurer l’influence française dans la région, d’accroître la réputation de Sarkozy au niveau national, affirmer la puissance militaire française, et pour empêcher l’influence de Kadhafi dans ce qui est considéré comme «l’Afrique francophone. »

La plus étonnante information  est la longue section délimitant la grande menace que l’or et l’argent des réserves de Kadhafi, estimées à « 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent, » pose au franc français (CFA) en circulation comme monnaie africaine prime.

L'esclavage du peuple libyen avait commencé bien avant la Deuxième Guerre Mondiale par l'invasion italienne .
L’esclavage du peuple libyen avait commencé bien avant la Deuxième Guerre Mondiale par l’invasion italienne .

 

C'était ces photos de la mise en esclavage du peuple libyen par les soldats italiens que Kadhafi aborait sur son uniforme devant Berlusconi...pour discuter de la dette italienne à l'endroit de la Libye.
C’était ces photos de la mise en esclavage du peuple libyen par les soldats italiens que Kadhafi aborait sur son uniforme devant Berlusconi…pour discuter de la dette italienne à l’endroit de la Libye.

Le courriel indique clairement que les sources de renseignement indiquent que  la détermination derrière l’attaque française sur la Libye était un geste calculé pour consolider une plus grande puissance, à l’aide de l’OTAN comme un outil de conquête impérialiste, et non pas une intervention humanitaire que le public a été faussement conduit à croire.

Selon l’ email :

 

Cet or a été accumulée avant la rébellion actuelle et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le Dinar or libyen. Ce plan a été conçu pour fournir les pays africains francophones comme une alternative au franc français (CFA).

(Source Commentaire: Selon des personnes bien informées cette quantité d’or et d’argent est évalué à plus de $7 milliards US selon les  officiers de renseignement français ont découvert ce plan peu après que la rébellion actuelle a commencé, et ce fut l’un des facteurs qui ont influencé la décision du président Nicolas Sarkozy à commettre l’attentat. France à l’attaque sur la Libye.)

Le courriel offre un coup d’oeil  privilégié derrière le rideau pour  nous révéler la façon dont la politique étrangère est souvent réalisée dans la pratique. Bien que rapporté dans les médias qui se sont fait l’écho de la propagande néolibérale , l’intervention militaire en Libye, soutenue  par l’Occident est  montrée comme nécessaire pour sauver des vies humaines, mais le  véritable moteur de l’intervention a été  le fait que Kadhafi avait prévu de créer un haut degré d’indépendance économique africaine… avec une nouvelle monnaie panafricaine , ce qui aurait réduit l’influence et la puissance française dans la région.

La preuve indique que lorsque l’intelligence française a pris connaissance de l’initiative libyenne de créer une monnaie afin  de rivaliser avec le système central occidental bancaire, la décision de renverser le régime par des moyens militaires avait  commencé, y compris  l’alliance de l’OTAN.


EN CONCLUSION

Paul Desmarais,ancien chef illuminati au Québec,Nicolas Sarkozy ,alors président illuminati de la France et Jean Charest ,alors premier-minitre du Québec qui a édifié le système politique actuel du Québec autour  de la corruption et de la collusion.De ces 3 hommes,seul Paul Desmarais est mort,mais les autres mériteraient d'être condamné à la peine capitale pour leurs crimes.Ils représentent ce que l'Occident chrétien a fait de pire,en ce début du Troisième Millénaire!
Paul Desmarais,ancien chef illuminati au Québec,Nicolas Sarkozy ,alors président illuminati de la France et Jean Charest ,alors premier-minitre du Québec qui a édifié le système politique actuel du Québec autour de la corruption et de la collusion.De ces 3 hommes,seul Paul Desmarais est mort,mais les autres mériteraient d’être condamné à la peine capitale pour leurs crimes.Ils représentent ce que l’Occident chrétien a fait de pire,en ce début du Troisième Millénaire!

Le Grand Guide Socialiste du Peuple Libyen,Mouammar Kadhafi,malgré  tous ses défauts,malgré sa violence et son  manque de condescendance,était résolu à laisser plus de liberté et d’indépendance aux peuples d’Afrique.En  voulant laisser ,en héritage, une monnaie  convertible en or et qui soit liée à l’environnement politique ,social et économique africain,il est entré en conflit avec  un personnage sans scrupule ,membre important des Illuminati: Nicolas Sarkozy.

En 1991,il inaugurait le Grand Bassin de Nubie...grâce  aux propres finances du Peuple Libyen.La Libye ne faisait pas affaires avec les banques de Rotschild.
En 1991,il inaugurait le Grand Bassin de Nubie…grâce aux propres finances du Peuple Libyen.La Libye ne faisait pas affaires avec les banques de Rotschild.

Sarkozy,membre de l’élite illuminati qui se  donne rendez-vous au Siècle,est l’un des meilleurs amis de la famille Bush qui s’est ralliée récemment derrière Hillary Clinton pour barrer la route à Donald Trump.

Combien de temps encore,les peuples d’Afrique vont attendre avant de vivre la naissance et la montée d’un aussi grand Guide…?Combien de temps encore  le terrorisme islamique,financé et armé  par le Nouvel Ordre Mondial et ses alliés (USA,France,Italie,Israël,Arabie Saoudite,etc) va continuer de menacer la paix et la sérénité des nations au nom du satanique pétrole?

Comment peut-on dire d’un pays « qu’il est démocratique » quand il complote pour  déstabiliser et renverser d’autres gouvernements légitimes?

Comment ne pas voir dans cette affaire que l’OTAN est une secte criminelle qui sert d’outil au service du Nouvel Ordre Mondial afin d’étendre le  pouvoir esclavagiste de l’oppression contre les peuples et les nations?

Le crime organisé contrôle de nombreux gouvernements de par  le monde;les cas du Québec,des états-Unis d’Amérique et de la France sont loin d’être les seuls!

Aussi,j’invite le peuple français,le peuple québécois et tous les peuples du monde  à s’unir dans la Révolte pacifique mais courageuse contre le crime organisé qui gère nos pays au nom du Nouvel Ordre Mondial!

Il faut arrêter le bain de sang actuel avant qu’il ne devienne incontrôlable et seule la désobéissance civile,pacifique mais résolue,peut débarrasser les peuples du monde qui rêvent de liberté,du péril grandissant des gouvernements néolibéraux et de leurs alliés.

Dans peu de temps,le point de non-retour sera franchi…Réveillez-vous !

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