Un réseau «Antifa» basé à Brooklyn aide à organiser la violence aux États-Unis

Alors que les villes américaines brûlent et que les gens sont assassinés dans la rue en toute impunité par des groupes protestant contre la mort de George Floyd, très peu de rapports ont été publiés sur qui est exactement responsable, au-delà des tweets de Donald Trump, des foules dirigées par « Antifa » (Anti- Fasciste) – un terme générique que les organisations anarchistes utilisent comme propagande lorsqu’elles tentent d’obtenir un soutien libéral pour les attaques paramilitaires qu’elles mènent contre des manifestants nationalistes et des partisans de Trump.

 

 

Les médias grand public ont joué leur rôle en dissimulant intentionnellement qui sont exactement les groupes incitant à l’émeute et au meurtre en affirmant que « antifa » n’est pas un groupe, ce qui est une demi-vérité malveillante. Des sources policières, Andy Ngo et Fox News ont identifié deux organisations comme jouant un rôle actif dans le carnage: le Mouvement révolutionnaire abolitionniste et The Base.

Ces deux groupes sont liés et encouragent et organisent actuellement la violence dans la région de New York.

Mouvement révolutionnaire abolitionniste et la base

 

La Base, dont la page Facebook dit désormais explicitement aux gens de commettre des actes de violence, est un « espace organisationnel » hors-sol situé au 1286 Myrtle Ave à Bushwick, Brooklyn.

Selon un article paru dans une publication de Brooklyn de 2013, le « collectif anarchiste » est dirigé par Elysa Lozano, professeure adjointe au LaGuardia Community College qui porte ses vues extrémistes violentes sur sa manche, et Khalid Robinson, un homme qui, selon une interview accordée à un podcast anarchiste est l’organisateur du Mouvement révolutionnaire abolitionniste à New York.

Robinson, représenté ci-dessus avec Lozano, peut être vu portant un t-shirt « antifa » vendu dans le cadre d’une collecte de fonds pour le « Tinley Park 5 », un groupe d’anarchistes qui ont été arrêtés pour avoir brutalement blessé 10 personnes dans une attaque au marteau préméditée à la banlieue de Tinley Park en Illinois en 2012.

Selon l’interview de Robinson sur le « Solecast », il a aidé à démarrer The Base comme « un lieu de rencontre pour les anarchistes ».

On ne sait pas combien d’activités criminelles sont prévues sur ce site, mais c’est une lumière de bogue pour les extrémistes de gauche de partout au pays et à l’étranger. Le groupe utilise des images d’explosions comme logo et a des liens étroits avec la milice terroriste kurde en Syrie, les YPG, qui a fourni à de nombreux anarchistes américains une formation militaire qui est sans aucun doute utilisée dans les émeutes au moment où nous parlons.

Le front est également un espace de travail pour des groupes comme la Croix-Noire anarchiste de New York, qui est composée de membres « antifa » et utilisée comme un moyen aérien pour lever des fonds et écrire des lettres de prisonniers.

Une photographie obtenue par des services de renseignement open source montre des membres « antifa » masqués qui, selon les médias, n’existent pas devant The Base.

 

Quant au Mouvement révolutionnaire abolitionniste de Khalid Robinson, il ne cache pas de quoi il s’agit. Comme l’a rapporté Lara Logan de Fox News, ils croient à la violence raciale contre les blancs et les policiers au hasard au nom du renversement de la «suprématie blanche».

Le groupe a deux drapeaux, l’un avec un AK-47 rouge sur une bannière noire, et un autre montrant une étoile rouge avec l’acronyme « RAM ».

La justice nationale a obtenu une image de membres masqués de la RAM posant avec des fusils de chasse, des AK-47, des machettes et un drapeau « antifa ».

Quant au Mouvement révolutionnaire abolitionniste de Khalid Robinson, il ne cache pas de quoi il s’agit. Comme l’a rapporté Lara Logan de Fox News, ils croient à la violence raciale contre les blancs et les policiers au hasard au nom du renversement de la «suprématie blanche».

Le groupe a deux drapeaux, l’un avec un AK-47 rouge sur une bannière noire, et un autre montrant une étoile rouge avec l’acronyme « RAM ».

La justice nationale a obtenu une image de membres masqués de la RAM posant avec des fusils de chasse, des AK-47, des machettes et un drapeau « antifa ».

Ce groupe opère depuis des années, diffusant une propagande violente avec l’aide de sociétés de médias sociaux, tandis que le FBI consacre toutes ses ressources à chasser les «terroristes suprémacistes blancs» imaginaires.

L’étendue de leurs activités terroristes est inconnue, mais ils ont été très actifs dans les émeutes de George Floyd – appelant cela une « révolte de libération noire » – et ont des sections à travers le pays.

Extrémistes « Antifa » à Brooklyn

Christian Erazo est une autre figure importante dans l’organisation de la violence anarchiste à New York.

Erazo, photographié ci-dessus à l’extrême droite dans le bandana rouge et vert filmant une vidéo annonçant des plans pour perturber les transports publics, a été profilé pour ses activités par National Justice en janvier dernier pour son rôle dans la planification des émeutes du métro J31. Malgré ces informations, le NYPD et le FBI n’ont pris aucune mesure ni contre les personnes qui ont planifié ce chaos, ni contre la Synagogue qui leur a permis d’accueillir leurs séances de planification.

Erazo, le chanteur du groupe punk (A) Truth illustré ci-dessus en tenant le drapeau « antifa », aide à diriger plusieurs projets anarchistes violents, tels que Brigada 71 (un groupe de hooligan de football de gauche associé au New York Cosmos) et NYC Antifa . Brigada 71 passe beaucoup de temps au East River Bar, un lieu de rencontre populaire pour les hooligans de football de gauche, sur 97 South 6th Street à Brooklyn.

Les deux groupes encouragent actuellement la violence sur les réseaux sociaux et sont proches des propriétaires de The Base, qui leur ont permis d’utiliser le site pour leurs activités. Des lieux de rencontre comme The Base jouent un rôle important dans la fourniture de nouvelles recrues en raison de sa visibilité sur la devanture, qui invite les hipsters curieux et ennuyés et les radicalise dans le quartier rapidement embourgeoisé.

Pendant des années, Erazo a utilisé un entrepôt au 258 Johnson Ave à East Williamsburg surnommé « The Swamp » pour accueillir des spectacles de punk rock qui serviraient à recruter de nouveaux anarchistes. Alors qu’Erazo et ses amis ont fait de leur mieux pour garder l’endroit secret, une publication hipster de Brooklyn a répertorié « The Swamp » comme un endroit cool pour voir de la musique aussi récemment qu’en 2015. Erazo est spécifiquement nommé son « fondateur ».

Selon une source proche de la communauté anarchiste, lorsque la musique n’était pas jouée, le bâtiment avait une salle de gym et était utilisé pour mener une formation paramilitaire. Bien qu’il ne semble plus y avoir de concerts au Swamp, on ne sait pas si ces groupes anarchistes utilisent encore l’espace pour d’autres activités.

La vraie raison pour laquelle il est difficile de poursuivre « Antifa »

De nombreux Américains se sont plaints que ni la police ni le FBI ne semblent intéressés à enquêter ou à poursuivre les groupes paramilitaires anarchistes, même lorsqu’ils mènent les pires émeutes les plus meurtrières de l’histoire moderne.

Ce n’est pas parce qu’il est difficile de savoir qui sont ces personnes. Cela est dû à la corruption et aux privilèges de l’État. Un grand nombre d’anarchistes sont les fils et les filles de politiciens, de banquiers, de juges et d’autres élites connectées, immunisant ainsi contre les conséquences de leurs crimes.

Récemment, la propre fille du maire de New York, Bill De Blasio, a été arrêtée parmi les émeutiers de la ville qu’il dirige. Le candidat à la vice-présidence et le fils du sénateur de Virginie Tim Kaine en est un autre exemple. Un organisateur d ‘ »antifa » a été dénoncé par National Justice comme le petit-fils d’un juge et le neveu d’un membre du Congrès qui est également maintenant juge.

Ken Klippenstein, un blogueur numérique qui est un fan des groupes anarchistes surnommé « antifa », a été divulgué par des agents du FBI avec des détails sur une enquête en cours sur les activités de ces extrémistes violents.

Avec pratiquement toutes les institutions américaines exprimant leur soutien à ces groupes terroristes, ainsi que leurs liens avec de puissants responsables, Donald Trump se targue de les qualifier de groupe terroriste ne semble être rien d’autre qu’une rafale d’air chaud.

 

 

 

 

 

Orlando: Fini le déni et la naïveté. Nous sommes en guerre!

L’horrible attentat perpétré dans une boîte de nuit gaie à Orlando par Omar Mateen et revendiqué par l’État islamique scelle la fin des béats qui croient que s’alarmer face aux islamistes qui sévissent dans nos pays est un réflexe islamophobe.

Denise Bombardier
Denise Bombardier

Nous sommes en guerre. Et les Omar Mateen qui circulent parmi nous avant de passer à l’acte continueront leurs actions odieuses qui consistent à détruire dans le sang et le meurtre les chiens de mécréants que nous sommes censés être.

Ils vomissent nos valeurs de liberté, notre tolérance, notre manière de vivre, d’exprimer nos idées, notre façon de rire, notre goût extrême pour tous les plaisirs même défendus et cette égalité dans les relations entre les sexes.

Omar Mateen a choisi de tuer des gais qui incarnent aux yeux de tous ces djihadistes le mal par le sexe. Car les islamistes sont des malades du sexe.

Musulmans et homosexualité

Dans les pays musulmans, l’homosexualité est un crime. On va même jusqu’à nier officiellement son existence. L’on a entendu le père d’Omar Mateen, originaire d’Afghanistan, tenter d’excuser son fils quelques heures après le carnage. Il a raconté une histoire délirante selon laquelle son fils aurait commis son forfait non pas au nom de la religion, mais bien parce qu’il avait été scandalisé de voir deux hommes s’embrasser sur la bouche et se caresser en public à Miami. La colère était le motif de son crime. «L’islam n’a rien à voir là-dedans», a-t-il ajouté.

Omar Mateen est né aux États-Unis, mais comme tant d’autres djihadistes français et belges, ainsi que nos deux Canadiens, Michael Zehaf-Bibeau, de père iranien et qui s’était radicalisé au fil des ans et Martin Rouleau, un Québécois de souche converti par internet à l’islam radicalisé, ces jeunes gens ont développé une haine absolue de la civilisation moderne.

Ce sont des soldats d’Allah dont l’efficacité est surmultipliée du fait que non seulement ils ne craignent pas la mort, mais ils la souhaitent.

Rectitude politique

Comment ceux qui nous gouvernent pourraient-ils désormais pratiquer une rectitude politique qui s’acharne à prétendre qu’il faut éviter tout amalgame entre musulmans et islamistes? Omar Mateen fréquentait des mosquées. Des mosquées dans lesquelles on diabolise les homosexuels, où on enseigne aux femmes à se soumettre à leurs maris, à leurs frères voire à leurs fils, où on lance des fatwas envers les mécréants et les femmes libérées.

Le massacre d’Orlando était prévisible. Comme celui du Bataclan à Paris. Comme le serait celui qui viserait un rassemblement de féministes ou d’adeptes d’un salon de l’érotisme.

Il est du devoir de chacun de défendre toutes les libertés que nous offre la démocratie. Mais la naïveté est désormais intolérable. Nous sommes tous des victimes potentielles de ces tireurs déguisés en gens «normaux».

Il faut cesser de se laisser culpabiliser par ceux qui n’ont que l’islamophobie à la bouche dès que l’on s’interroge sur les motivations de ceux qui testent nos institutions par des demandes au nom d’un islam radical, celui-là même qui a sévi hier à Orlando dans sa version apocalyptique.

Source

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial: L’État Islamique supprime les enfants handicapés

 

Le groupe Etat islamique a émis une fatwa donnant l’autorisation à ses militants d’exécuter les enfants atteints de trisomie ou d’un handicap, rapporte le «Daily Mail». Plus de 38 enfants âgés entre une semaine et 3 mois et atteints de malformations ou de trisomie ont déjà été tués par injection létale ou par étouffement, assure le groupe activiste irakien Mosul Eye.

Vidéo à l’appui, l’organisation explique que les exécutions sont survenues dans les bastions de l’EI en Syrie et à Mossoul (nord de l’Irak). La plupart des bambins tués étaient le fruit d’une union entre des combattants étrangers et des femmes syriennes ou irakiennes. 

Mosul Eye ajoute que cette fatwa a été émise par un juge du groupe EI faisant appliquer la charia. Un Saoudien nommé Abu Said Aljazrawi.

Nouvel Ordre Mondial:voici la preuve que les attentats de Paris sont un false-flag

 

Djihadistes 002

 

 

 

Présentation générale des faits les plus accablants

 

La vague d’attentats qui s’est abattue sur Paris pose quelques interrogations. Nous allons énumérer ici les faits qui nous font dire que la thèse officielle de ces attentats de Paris ne tient pas la route. Il est courant de qualifier de « complotiste » les articles qui dérangent et qui sont reproduits par des sites internet de toutes obédiences, y compris par d’authentiques extrémistes. Nous n’y sommes pour rien, nous ne faisons que relever des faits. Que le lecteur se fasse sa propre idée mais franchement, il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas voir la supercherie de ces attentats…

Déjà pour commencer, une chose simple qu’aucun média n’a osé relever, rappelons quand même que l’Etat français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi trente mille policiers,  lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21). Comme c’est bizarre… Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…

Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau « Plan Armes » du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur  le territoire national et européen. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau « Plan armes » à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats. Ces nouvelles mesures étaient critiquées car jugées trop fascisantes, mais avec les attentats du même jour, hop, celles-ci seront bientôt votées comme une lettre à la poste. Comme c’est bizarre… (source : http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministre/Interventions-du-ministre/13.11.2015-Presentation-du-Plan-Armes )

Un jour avant les attentats,  Le 12 novembre, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales —rattaché au ministère de l’Intérieur— ( tiens encore Cazeneuve…)publiait un rapport selon lequel le terrorisme était devenu la seconde préoccupation des Français après le chômage…( source : « La grande peur du terrorisme », Timothée Boutry, Le Parisien-Aujourd’hui en France, 13 novembre 2015.)

Et pour finir, un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur ( tiens encore Cazeneuve…) et de la Défense. Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres. (source : Cf. Intervention du Dr Patrice Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France, sur France Info à 10h26 et au journal du soir de France2, le 14 novembre 2015. « Comment le Samu s’est préparé aux attentats simultanés de Paris », Kira Mitrofanoff, Challenges, 15 novembre 2015.)

 

Ainsi, quand on fait déjà un premier scan des événements, c’est-à-dire juste une petite analyse globale, on se rend compte à quel point la thèse officielle des attentats vole en éclats, cédant sous la pression simple et logique des faits. Les faits sont accablants, et tout cela démontre que les attentats de Paris ont bien été planifiés par les hauts services de l’Etat français.

 

Mais il y a encore plus fort, nous allons maintenant nous intéresser à la personne de Brahim Abdeslam.

 

Le cas Brahim Abdeslam

 

Brahim Abdeslam, 31 ans, commando kamikaze impliqué dans les attentats du vendredi 13 novembre 2015, était propriétaire du café Les Béguines  situé dans une petite rue tranquille du quartier de Karreveld, à Molenbeek en Belgique. Ce bar faisait également office de coffee shop. Les autorités communales ont ordonné le 2 novembre la « fermeture au public de l’établissement », pour une « durée de 5 mois prenant cours le 5 novembre 2015 pour se terminer le 4 avril 2016 ».

(Source : le Parisien http://www.leparisien.fr/faits-divers/belgique-le-bar-des-freres-abdeslam-a-molenbeek-un-repaire-de-petits-voyous-16-11-2015-5280961.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr )

Brahim Abdeslam s’est fait exploser, seul, à 21h41 à la terrasse du bistrot Comptoir Voltaire, au 253 boulevard Voltaire, à deux pas de la place de la Nation, vendredi soir, blessant grièvement une quinzaine de personnes. Selon le récit du responsable du café à L’Express, le terroriste s’est installé tranquillement dans le café. C’est lorsqu’il a passé la commande qu’il s’est fait sauter. La serveuse, Catherine, a été blessée à l’abdomen et au thorax. Hospitalisée, ses jours ne seraient plus en danger, selon ses collègues, sous le choc. 

Il avait loué une voiture Seat noire, immatriculée en Belgique, et retrouvée à Montreuil, près de Paris, au lendemain des attaques. A son bord, trois fusils d’assaut kalachnikov, onze chargeurs vides et cinq pleins…

Comme par hasard, les autorités ordonnent la fermeture de son bar quelques jours avant les attentats de Paris, que lui a-t-on promis en échange ? De l’argent probablement, ce n’était donc pas son but de se faire exploser…

De plus, Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr. Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier« Allah akbar », isolé des autres personnes sauf de la serveuse… Et ne tuant personne… Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui ! Incroyable cette ceinture d’explosifs !… Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, secondement, il revendique son acte, troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir. Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.

Hors l’explosion a été vraiment peu puissante. La preuve : la serveuse à côté de lui n’est même pas morte, mais seulement blessée et on veut nous faire croire qu’il est rentré pour se faire exploser avec une ceinture d’explosifs. Franchement, cela ne tient pas la route. S’il avait eu une vraie ceinture d’explosifs, il y aurait eu un tas de cadavres, et la serveuse à moins d’un mètre de lui aurait volé en éclats !

Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre  et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade. Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité. Tout cela dans le but de faire croire  à un attentat suicide. Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible. D’une pierre on fait deux coups. On fait naitre une peur terroriste en faisant zéro mort, à qui profite le crime ? Personne n’a relevé l’incohérence de cet acte car les morts du Bataclan aveuglent tout le monde.

 

 

 

Photo: WikiStrike

Le mystère des 3 kamikazes du Stade de France

Pourquoi se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ? Tout le monde s’interroge. Personne ne comprend. Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi, alors qu’ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant qu’une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient pu faire beaucoup plus de victimes. Rappelons ici la chronologie des faits :

 

21h20 Au niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de sa ceinture explosive remplie de TATP (explosif artisanal) et de boulons. Un passant, proche de lui, est tué.

21h30. Nouvelle détonation. Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux gît sur le bitume. La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.

22h. Dans une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la ceinture piégée, dans l’entrée d’une impasse, comme s’il s’était isolé avant d’appuyer sur le bouton mortel.

 

A la fin de la rencontre. S’ils avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de terribles dégâts, d’autant que Paris aurait déjà été sous le coup des attaques contre les restaurants et le Bataclan.

« C’est incompréhensible », confie dimanche à l’AFP, sous le sceau de l’anonymat, une source policière. « Il est miraculeux qu’il y ait eu si peu de victimes. Concrètement, ce qu’ils ont fait, à part se suicider, ça n’a aucun sens. » « Ce n’est pas la bonne heure : si vous voulez faire un carnage, vous faites ça au moment de l’entrée ou de la sortie des spectateurs, ajoute le même policier. Autant ce qui s’est passé dans Paris intra-muros a du sens, autant là ce sont juste des mecs qui se sont suicidés. »

 

Wikistrike va maintenant résoudre en direct l’énigme. La clé de compréhension résidait dans le cas Brahim Abdselam que personne n’a vu… à part nous. Et que nous venons d’élucider quelques lignes plus haut.

 Le premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y aura un mort… Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur, secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.

C’est pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant, lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.

Et 30 minutes après ils ont dû trouver un vice, raconter n’importe quoi, une histoire à dormie debout au troisième afin que celui-ci s’isole dans une impasse, seul, pour qu’ils le fassent sauter à son tour sans faire de victimes. Les services secrets voulaient les faire sauter sans causer de victimes, voilà pourquoi personne ne comprend leurs actes. Si les terroristes avaient été de vrais kamikazes, ils auraient fait de nombreux morts. Car ils se seraient fait explosés au bon moment et avec bien plus d’explosifs.

 Ce qui prouve de manière certaine qu’ils étaient manipulés par les services secrets, c’est déjà le fait qu’ils aient explosés isolés sans faire de mal à personne, et que secondement, leurs ceintures d’explosifs était de qualité très faible. De plus, quand un kamikaze veut faire un gros coup, il n’utilise jamais une ceinture mais un gilet d’explosifs, bien plus puissant.

La preuve irréfutable est le second djihadiste, dont le corps n’a même pas explosé, mais s’est seulement retrouvé coupé en deux. La vitre à proximité de lui se retrouve fendue, même pas brisée. Preuve que tout était calculé pour faire le moins de victimes possible. C’est un false flag absolu. C’est la preuve que l’Etat français est bien derrière : vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire passer le changement de constitution tant désiré. C’est tellement gros qu’il est à peine croyable que personne n’ait deviné la supercherie. C’est pourtant d’une simplicité déconcertante.

3 apprentis kamikazes sans cervelle munis de ceintures d’explosifs moyens faites pour tuer un ou deux pigeons, 3 débiles avec des oreillettes d’où ils reçoivent leur ordre, 3 abrutis munis de GPS incrustés dans leur ceinture d’explosifs qu’on promène et qu’on file, voilà nos 3 marionnettes avec lesquelles les services secrets français ont joué aux jeux vidéo. Le Djihad international est devenu la PlayStation des services secrets français.

 

 

 

 

Le cas Salah Abdeslam

 

Soupçonné d’être l’un des huit auteurs des attentats de Paris vendredi, Salah Abdeslam, frère de Brahim Abdeslam, le soi-disant kamikaze du boulevard Voltaire, pour une raison indéterminée, recul ou raté, Salah Abdeslam n’a pas déclenché de ceinture explosive à l’inverse de son frère et des six kamikazes qui ont agi au Stade de France et au Bataclan. Les enquêteurs pensent que Salah et son frère Brahim ont pu former l’équipe qui a tiré à la kalachnikov sur des terrasses et des restaurants, y semant la mort et se déplaçant en Seat.

Salah Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et Mohamed Amri. Ils ont fait en voiture le trajet Molenbeek-Paris-Molenbeek – plus de 600 km et 6 heures de route – dans la nuit du vendredi au samedi matin.

 Les enquêteurs ont trouvé du nitrate d’ammonium aux domiciles de ces deux complices ainsi que des munitions de calibre 5.56 et de 7.62, adapté aux kalachnikovs. Le nitrate d’ammonium est un composant utilisé pour la fabrication d’engrais, mais est hautement dangereux. C’est ce composant chimique qui avait entrainé l’explosion accidentelle de l’usine AZF de Toulouse en 2001, faisant 31 morts.

Le commanditaire des attentats est l’ami d’enfance de Salah Abdeslam, le célèbre Abdelhamid Abaaout, qui a pour kounia (nom de guerre) Abou Omar. Ce dernier travaille pour l’EMNI, il s’agit de la sécurité intérieure de l’Etat Islamique (Daesh). L’EMNI est également chargé d’envoyer des espions  et des kamikazes en Europe. Chaque espion touche 50 000 € par l’EMNI pour faire une attaque en Europe. Et beaucoup plus s’il est prêt à se faire exploser (dans ce cas précis c’est la famille du martyr qui touche l’argent). C’est Abou Omar en personne qui gère les dossiers.

Ainsi, il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes autorités de Daesh. Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les martyrs. Ils se sont fait doubler par les services secrets français de peur qu’ils ne parlent. Car il est au courant des accords secrets entre la France et Daesh (voir la conclusion). Pour Brahim cela a fonctionné, mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est débarrassé du dispositif GPS ainsi que de la ceinture explosive.  Et ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.

Conclusion

Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’Etat français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ce dans leur propre intérêt : changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les américains après les attentats du World trade Center. Ils se sont servis de Daesh et de ses agents, comme ils l’ont fait au début pour tenter de renverser Bachar al Assad en Syrie.

N’oublions pas que Daesh est une création artificielle. Ce n’est que l’instrument de la politique de plusieurs États et multinationales. En Syrie, la présence d’officiers français encadrant des groupes armés extrémistes lorsqu’ils perpétraient des crimes contre l’humanité est largement attestée.

En effet, la France n’a pas toujours bombardé Daesh, mais lui a largué des armes durant plus d’un an. Ce point est ignoré de la presse occidentale, mais a été largement discuté un an durant par la presse arabe et perse. La vérité a éclaté au grand jour lorsque cinquante analystes du CentCom ont dénoncé les mensonges des rapports sur la Coalition, qu’une enquête interne a été déclenchée et que, finalement, le général John Allen a été contraint à la démission. Voir notamment : « Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone » et « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 12 et 23 septembre 2015.

Source:Wikistrike

Comment l’Arabie saoudite promeut la charia au Québec

MISE à JOUR : Le Journal de Montréal rapportait, le 15 octobre, que des livres qui dénigrent la façon de vivre des femmes occidentales et vantent les valeurs islamiques ont été envoyés gratuitement à des bibliothèques de la plupart des régions du Québec par la Ligue islamique mondiale (LIM), un organisme basé à La Mecque en Arabie saoudite. 

La LIM, dont le cheikh Saïd Fawaz est l’envoyé au Québec, était derrière le projet de tribunaux de la charia dénoncé par Fatima Houda-Pépin en 2005. 

********************

Comme l’expliquait Fatima Houda-Pépin, plusieurs imams des plus grandes mosquées au Québec ont été formés à l’étranger. Souvent, ils visent moins à aider les musulmans à s’intégrer à notre culture qu’à amener les Québécois à accommoder les valeurs qu’ils promeuvent.

Le New York Times a publié un article sur des documents diplomatiques saoudiens diffusés par Wikileaks et qui expliquent notamment le financement de l’exportation de la charia par l’Arabie saoudite.

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Selon le NYT, qui a analysé plusieurs dizaines de milliers de documents :

Pendant des décennies, l’Arabie Saoudite a versé des milliards de pétrodollars à des organisations islamiques sympathisantes à travers le monde, pratiquant la diplomatie du carnet de chèques pour faire avancer son agenda.

[…]

Parmi ses initiatives récentes, l’Arabie a rémunéré des prédicateurs étrangers ; construit des mosquées, des écoles et des centres d’études ; et torpillé des fonctionnaires et des médias étrangers perçus comme une menace pour les visées du Royaume.

Les documents couvrent essentiellement la période de 2010 au début 2015. Ils documentent les activités de sensibilisation religieuse coordonnées par le Conseil suprême des Affaires islamiques, un organisme interministériel dissous par le roi Salman lors d’un remaniement effectué après son accession au trône cette année.

Le ministère des Affaires étrangères relayait les demandes de financement à des officiels à Riyad; le ministère de l’Intérieur et l’agence de renseignement approuvaient parfois les bénéficiaires potentiels après vérification; la Ligue islamique mondiale aidait à coordonner la stratégie; et les diplomates saoudiens supervisaient les projets à travers le monde. Ensemble, ces officiels identifiaient des leaders et des associations islamiques sympathiques à l’étranger, ils distribuaient des fonds et de la littérature produite en Arabie saoudite, ils formaient des prédicateurs et leur versaient un salaire pour travailler dans leurs pays.

L’Arabie saoudite investit depuis longtemps dans la formation de prédicateurs étrangers ; elle octroie des bourses à des étudiants musulmans étrangers pour leur permettre d’étudier la charia dans des universités saoudiennes.

Source: WikiLeaks Shows a Saudi Obsession With Iran, NY Times, 16 juillet 2015

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NIGERIA : des grosses fortunes américaines financent Boko Haram

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Les mercenaires de Boko Haram aux services du capitalisme d'affaires.
Les mercenaires de Boko Haram aux services du capitalisme d’affaires.

 

 

La résurgence de Boko Haram au Nigeria après la mort du fondateur de cette organisation au départ  fondamentalement  islamiste serait l’œuvre de 2 grosses fortunes  américaines : Bill Gates et  Hugh Grant  PDG de la Monsanto Company.

En effet ces 2 milliardaires américains ont été identifiés par le « Global Alliance Prolife » (GPA)  en tant sponsor étranger  de l’insurrection de Boko Haram.

Global alliance Prolife a révélé que le nom de Boko Haram originel a été utilisé comme couverture dans des attaques terroristes. Selon GPA les vrais coupables étaient des assassins et des mercenaires embauchés par « Blackwater » ou « Xe-Service » appelé aujourd’hui « Academy », une armée privée propriété de Bill Gates et Monsanto Company. Toujours selon Global Alliance Prolife, en 2009 après la mort du fondateur de Boko Haram (en tant secte purement islamiste opposée à la culture occidentale) Mohamed Yusuf, « Blackwater » a commencé le recrutement d’anciens enfants soldats sierra lionais et libériens de la rébellion de Charles Taylor et les a formé à Ouagadougou au Burkina Faso en dépit de l’éviction de « Blackwater » du Liberia par la présidente Ellen Johnson Sirleaf. Par la suite ces enfants soldats libériens et sierra lionais ont été amenés au Nigéria et présentés comme des employés de l’ECOMOG (The Economic Community of West African States Monitoring Group ou Groupe de Surveillance de la Communauté des Etas de l’Afrique de l’Ouest) pour officiellement combattre la secte islamiste Boko Haram. Mais en réalité, la mission de ces mercenaires libériens introduis au Nigéria par Bill Gates et Monsanto Company était de déplacer les agriculteurs locaux du Nord Est du pays ; de créer une chute de la production agricole et obliger le gouvernement fédéral à adopter les grandes exploitations des deux géants américains spécialisés dans l’agrobusiness génétiquement modifiée pour nourrir la population. Les aliments de base locales, tels le riz, le sorgho ; le millet ou le manioc serait ainsi remplacés par des variantes génétiquement modifiées de Gates et Monsanto leur cédant ainsi efficacement la sécurité alimentaire pour plus de 170 millions de nigérians. Selon l’AGP, « le volume de production des ces OGMs serait alors vendue à des prix inférieurs à celui de la nourriture cultivée biologiquement ou naturellement partout ailleurs au Nigeria, détruirait le marché des aliments biologiques traditionnels, faisant des cultures des industries agroalimentaires Gates/Monsanto dominants de l’alimentation au Nigeria. Le président de GPA, le Dr Philip Njemanze a également tiré la sonnette d’alarme sur les moyens de hautes technologies utilisées par bill Gates dans l’exécution du plan terrorisme. Selon lui ; la récente entrevue du maniaque de la micro-informatique dans le quotidien ‘’Daily trust’’ dans laquelle il a déclaré que « sa fondation effectuait de la télédétection dans les Etas du Nord Est du Nigéria fief de Boko Haram pour étudier les schémas de migration des personnes » signifiait que des images satellitaires contre la loi nigériane ont été utilisée par l’espionnage pour identifier les installations militaires nigérianes comment s’en échapper et les attaquer en état d’urgence. Le Dr Njemanze a par ailleurs dénoncé les téléphones portables distribués aux agriculteurs locaux par Bill Gates via le ministère nigérian de l’agriculture pour accorder à ces derniers des agro-crédits pour les engrais et les cultures OGM. Décrivant ces dons comme des « portes feuilles de la morts » faits et acceptés dans le mépris total de la preuve fournie par le Ministère américain de l’agriculture (USDA) que les OGM ne peuvent augmenter les rendements des cultures, sinon diminuer la production agricole globale , endommager les terres fertiles , le président de GPA soutient que les OGM constituent des risques sanitaires dangereux encore méconnus incluant des cancers et autres maladies débilitantes. Toujours selon le Dr Njemanze, grâce aux GPS des téléphones cellulaires distribués aux populations rurales du nord du Nigéria , la position de chaque agriculteurs serait connue des terroristes à la solde des multinationales agroalimentaires américaines qui utilisent des images satellitaires pour connaître l’emplacement de la JTF ( Joint Task Force) et les téléphones portables pour traquer les agriculteurs nigérians.

Source : Ngouegni N. Nadège,Afrique Média

Nouvel Ordre Mondial: le prochain objectif est l’Algérie

Vers un scénario  ressemblant à celui de la Syrie.
Vers un scénario ressemblant à celui de la Syrie.

 

Algérie : Vers un scénario syrien ?

Comme annoncé dans l’une de nos précédentes communications : « Algérie : Prochaine cible du projet sioniste en Afrique ! », le scénario de l’entité sioniste se poursuit sans cacher, le moins du monde, son intention interventionniste vers le nord de l’Afrique.

Il y a déjà plusieurs mois que les Etats-Unis, après avoir classé l’Algérie comme « pays à risque pour la sécurité des diplomates », ont implanté des installations militaires avec contingents de marines, à la pointe sud de l’Espagne.

Des rapports de renseignements indiquent que des terroristes s’activant sous les ordres d’un chef salafiste palestinien, ont réussi à percer un nombre important de tunnels à travers la montagne de Chaâmbi (massif montagneux tunisien à quelques kilomètres de la frontière algérienne), avec le financement et le soutien logistique d’un pays du Golfe persique. Toutefois, les autorités algériennes restent vigilantes. Ces mêmes rapports affirment que des tunnels ont déjà été creusés par centaines, au niveau de la bande frontalière algéro-tunisienne.

Ces rapports ont conduit les autorités algériennes à déployer des milliers d’hommes des forces armées à la frontière algéro-tunisienne, pour lutter contre ces groupes terroristes, de plus en plus actifs dans cette zone. Toujours d’après ces renseignements, la mobilisation de centaines de jeunes « djihadistes » à la montagne de Chaâmbi est financée par certains pays du Golfe persique qui veulent, à tout prix, que l’Algérie et la Tunisie connaissent le même scénario que la Syrie !

Les mêmes rapports estiment le nombre des terroristes actuellement présents au Djebel Chaâmbi à plusieurs centaines et affirment qu’il y existe un centre de formation pour les groupes terroristes également financé par un pays du Golfe persique, ainsi qu’une « base » pour attaquer le territoire algérien et faciliter leurs incursions en profondeur sur le territoire national. Face à cette grande menace, l’Etat algérien a déployé un vaste dispositif sécuritaire constitué de plusieurs milliers de soldats appuyés par d’autant de gardes-frontières (GGF).

Mieux, l’Algérie s’est dotée d’armes très sophistiquées acquises auprès de son fournisseur traditionnel, la Russie, afin de lutter efficacement contre les incursions terroristes. Par ailleurs, ce qui inquiète vivement les deux Etats algérien et tunisien, ce sont les cellules dormantes d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui n’ont toujours pas été démantelées…

Ce qui s’est passé en Algérie dans les années 1990 s’est répété en Egypte, l’année dernière et se répète partout où l’entité sioniste intervient au nom du « droit à la vie des populations concernées », CQFD en Libye, en Côte d’Ivoire, en Centrafrique, au Mali : tous désintégrés, découpés et finalement partitionnés ! Par ailleurs, au même moment, sous forme d’amendements, la loi anti-terroriste était rediscutée au Congrès américain avec, comme objectif affiché, de permettre l’intervention des Forces armées, sans consultation préalable, en… Afrique du Nord !

Le peuple algérien a suffisamment souffert, c’est un peuple fier qui a su résister au colonialisme français et qui, en tant que prochaine cible, ne doit pas tomber dans le piège de la division orchestrée par l’USraël.

Source:Parti Anti-Sioniste